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Jones Carolyn

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Jones Carolyn Carolyn Jones (Amarillo, Texas, 28 avril 1930 – West Hollywood, Californie, 3 août 1983), est une actrice américaine dont le rôle le plus marquant fut celui de Morticia Addams dans la série télévisée La Famille Addams. Née Carolyn Sue Baker, elle rejoint le Pasadena Playhouse en 1947. Elle décroche un contrat avec la Paramount et tourne son premier film en 1952. L'année suivante, elle épouse le cinéaste Aaron Spelling, et se convertit au judaïsme en même temps. Ils se séparent en 1964, année de son rôle le plus marquant dans La Famille Addams.

Après la fin de la série en 1966, sa carrière décline. Son visage étrange, un peu inquiétant, l'a sans doute desservie auprès des studios. Elle s'impose dans les chefs-d'œuvre des genres marginalisés au sein de l'industrie : L'Homme au masque de cire, L'Invasion des profanateurs de sépultures. Plus tard elle exploitera cette veine à la télévision de La Famille Addams (qui en fait une icône) puis dans Batman et Wonder Woman.

À côté, si elle figure au premier rang dans des films réussis (L'Ennemi public de Don Siegel avec Mickey Rooney et Bagarres au King Créole de Michael Curtiz avec Elvis Presley), elle se contente d'apparitions dans Sept Ans de réflexion et L'Homme qui en savait trop, et rate (pour cause de maladie) le rôle dévolu à Donna Reed dans Tant qu'il y aura des hommes de Fred Zinneman - film couvert d'Oscars dont celui du meilleur second rôle féminin pour Reed. Jones trouve quand même le moyen de gagner une citation à l'Oscar avec un rôle de quelques minutes ! Elle pouvait par ailleurs se targuer d'avoir travaillé avec Fritz Lang, Elia Kazan, Billy Wilder, Alfred Hitchcock et Frank Capra, devenue un second (ou troisième) rôle apprécié. Les téléspectateurs l'aperçoivent aujourd'hui de loin en loin dans Le Dernier Train de Gun Hill, western de Sturges avec Kirk Douglas et Anthony Quinn, ou dans La Conquête de l'Ouest, western collectif où elle joue l'épouse de George Peppard.

L'actrice est ensuite sous employée dans des séries telles que Le Virginien, Quincy, L'Homme de fer, L'Île fantastique. Tardivement, Capitol, soap malchanceux qui se déroulait dans les coulisses de la vie politique à Washington, avait démontré le magnétisme intact de Carolyn Jones, teinte en rousse pour le personnage vénéneux de Myrna Clegg, son dernier rôle, digne rivale d'Alexis Colby (Joan Collins) dans Dynastie et d'Angela Channing (Jane Wyman) dans Falcon Crest. Atteinte d'un cancer du côlon, elle continue toutefois à jouer mais dans un fauteuil roulant. Le cancer se propage rapidement à son foie et l'estomac et Carolyn Jones décède le 3 août 1983.

videoFilmographie

  • 1952 : The Turning Point de William Dieterle avec William Holden, Alexis Smith : Woman
  • 1952 : En route vers Bali (Road to Bali) : Eunice
  • 1953 : Off Limits de George Marshall avec Bob Hope, Mickey Rooney, Marilyn Maxwell : Deborah
  • 1953 : L'Homme au masque de cire (House of Wax) : Cathy Gray
  • 1953 : La Guerre des mondes (The War of the Worlds) : Blonde (non créditée)
  • 1953 : Règlement de comptes (The Big Heat) : Doris
  • 1953 : Geraldine comédie musicale de R. G. Springsteen: Kitty
  • 1954 : Make Haste to Live : Mary Rose
  • 1954 : The Saracen Blade aventures de William Castle avec Ricardo Montalban : Elaine of Siniscola
  • 1954 : Le Bouclier du crime (Shield for Murder) film noir de et avec Edmond O'Brien : Beth, Girl at Bar
  • 1954 : Trois heures pour tuer (Three Hours to Kill) western avec Dana Andrews, Donna Reed : Polly
  • 1954 : Désirée de Henry Koster avec Marlon Brando en Napoléon, Jean Simmons : Mme. Tallien (non créditée selon imdb)
  • 1954 : The Answer avec David Niven TV
  • 1954-1955 : Dragnet 4 épisodes
  • 1955 : Star Stage avec Charles Lane, Cornel Wilde TV
  • 1955 : À l'est d'Eden (East of Eden)
  • 1955 : Sept ans de réflexion (The Seven Year Itch) de Billy Wilder avec Marilyn Monroe : Miss Finch (night nurse)
  • 1955 : Le Tendre piège (The Tender Trap) de Charles Walters avec Frank Sinatra, Debbie Reynolds : Helen
  • 1955 : Passport to Danger avec Cesar Romero 1 épisode TV
  • 1956 : Cavalcade de Lewis Allen d'après Noel Coward avec Merle Oberon, Michael Wilding TV
  • 1956 : L'Invasion des profanateurs de sépultures (Invasion of the Body Snatchers) : Theodora 'Teddy' Belicec
  • 1956 : L'Homme qui en savait trop (The Man Who Knew Too Much) : Cindy Fontaine
  • 1956 : The Opposite Sex de David Miller avec June Allyson, Joan Collins, Dolores Gray, Ann Sheridan, Ann Miller, Joan Blondell (remake de Femmes de George Cukor) : Pat
  • 1957 : La Nuit des maris (The Bachelor Party) : The Existentialist
  • 1957 : The Man Who Inherited Everything avec George Sanders (hôte : Ronald Reagan) TV
  • 1957 : Climax ! épisode avec Miriam Hopkins TV
  • 1957 : Wagon Trail épisode avec Ward Bond TV
  • 1957 : Johnny Trouble de John H. Auer avec Ethel Barrymore, Cecil Kellaway, Stuart Whitman : Julie Horton
  • 1957 : The Girl in the Grass de et avec Ray Milland et High Barrier avec Vincent Price TV
  • 1957 : Until the Man Dies coécrit par Spelling avec John Payne TV
  • 1957 : L'Ennemi public (Baby Face Nelson) : Sue
  • 1958 : The Last Man de John Frankenheimer sur un scénario de Aaron Spelling avec Sterling Hayden, Hurd Hatfield, Peter Mark Richman TV
  • 1958 : Marjorie Morningstar de Irving Rapper avec Gene Kelly, Natalie Wood, Claire Trevor : Marsha Zelenko
  • 1958 : Bagarres au King Créole (King Creole) de Michael Curtiz avec Elvis Presley : Ronnie
  • 1959 : L'Homme dans le filet (The Man in the Net) de Curtiz avec Alan Ladd : Linda Hamilton
  • 1959 : Un trou dans la tête (A Hole in the Head) : Shirl
  • 1959 : Le Dernier train de Gun Hill (Last Train from Gun Hill) : Linda, Craig's Girl
  • 1959 : En lettres de feu (Career) de Joseph Anthony avec Dean Martin, Anthony Franciosa, Shirley MacLaine : Shirley Drake
  • 1960 : Les Aventuriers (Ice Palace) de Vincent Sherman d'après Edna Ferber avec Richard Burton, Robert Ryan : Bridie Ballantyne
  • 1960 : Picture of Sal western avec Rod Taylor TV
  • 1961 : Sail a Crooked Ship comédie avec Robert Wagner, Dolores Hart : Virginia
  • 1961 : Blood Red western de David Lowell Rich avec Dick Powell TV
  • 1961 : Wagon Trail épisode avec John McIntire TV
  • 1961 : Who Killed Julie Greer avec Dick Powell, Ronald Reagan TV
  • 1962 : Le Jeune Docteur Kildare avec Richard Chamberlain 1 épisode TV
  • 1962 : La Conquête de l'Ouest (How the West Was Won) : Julie Rawlings
  • 1963 : A Ticklish Affair comédie romantique de George Sidney avec Shirley Jones, Gig Young, Red Buttons : Tandy Martin
  • 1963-1964 : Burke's Law 2 épisodes avec Gene Barry, Jeanne Crain, Dorothy Lamour TV
  • 1964 Jeremy Rabbitt comédie musicale de Franklin J. Schaffner TV
  • 1964-1966 : La Famille Addams rôle de Morticia
  • 1966-1967 : Batman 5 épisodes TV : Marsha, Queen of Diamonds
  • 1967 : The Danny Thomas Hour avec Richard Conte 1 épisode TV
  • 1969 : King David de Robert Day avec Zsa Zsa Gabor, Eleanor Parker TV
  • 1969 : Au paradis à coups de révolver (Heaven with a Gun) de Lee H. Katzin avec Glenn Ford, Barbara Hershey, David Carradine : Madge McCloud (saloon owner)
  • 1969 : The Dance of Death : Jenny
  • 1969 : Color Me Dead thriller coécrit par Russell Rouse avec Tom Tryon : Paula Gibson
  • 1971 : Le Virginien 1 épisode TV
  • 1971 : Dan August avec Burt Reynolds, Richard Anderson, John Beck 1 épisode TV
  • 1972 : The Summer House horreur de Leo Penn coécrit par Richard Matheson avec Steve Forrest TV
  • 1973 : The New Perry Mason avec Monte Markham 1 épisode TV
  • 1974 : L'Homme de fer avec Raymond Burr 2 épisodes TV
  • 1976 : Kolchak épisode de Don Weis avec Darren McGavin TV
  • 1976 : Ellery Queen avec Jim Hutton, David Wayne, Bob Crane 1 épisode TV
  • 1976-1977 : Les nouvelles Aventures de Wonder Woman 3 épisodes TV : Queen Hippolyta
  • 1977 : Little Ladies of the Night de Marvin J. Chomsky avec David Soul, Louis Gossett jr. (TV) : Marilyn Atkins
  • 1977 : Racines ("Roots") 3 épisodes (feuilleton TV) : Mrs. Moore
  • 1977 : Le Crocodile de la mort (Eaten Alive) horreur de Tobe Hooper avec Mel Ferrer, Robert Englund : Miss Hattie
  • 1977 : Quincy avec Jack Klugman deux épisodes TV
  • 1977 : La Famille Addams : C'est la fête (Halloween with the New Addams Family) (TV) : Morticia Addams
  • 1979 : Good Luck, Miss Wyckoff de Chomsky d'après William Inge avec Anne Heywood dans le rôle titre, Robert Vaughn, Donald Pleasance : Beth
  • 1979 : Terreur à bord ("The French Atlantic Affair") (feuilleton TV) de Douglas Heyes avec Jean-Pierre Aumont, Horst Buchholz, José Ferrer (acteur), Louis Jourdan, Michelle Phillips, Marie-France Pisier: Peg
  • 1979 : La croisière s'amuse 1 épisode TV
  • 1979-1982 : L'Île fantastique avec Ricardo Montalban 4 épisodes TV
  • 1980 : The Dream Merchants feuilleton de Vincent Sherman avec Mark Harmon, Morgan Fairchild, Red Buttons, Robert Culp (TV) : Vera
  • 1981 : Piège à minuit (Midnight Lace) (TV) : Bernadette Chance
  • 1981 : Quincy 1 épisode TV
  • 1981 : Midnight Lace thriller avec Mary Crosby, Celeste Holm TV
  • 1982-1983 : Capitol ("Capitol") avec Rory Clahoun, Constance Towers, Richard Egan, Debrah Farentino (série TV) : Myrna Clegg

 


Trevor Claire

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Trevor Claire Claire Trevor, née Claire Wemlinger, est une actrice américaine née le 8 mars 1910 à New York (États-Unis), décédée le 8 avril 2000 à Newport Beach (Californie).














videoFilmographie

  • 1933 : The Mad Game de Irving Cummings avec Spencer Tracy
  • 1934 : Baby Take a Bow de Harry Lachman avec Shirley Temple
  • 1935 : L'Enfer (Dantes inferno) de Harry Lachman avec Spencer Tracy
  • 1936 : Human Cargo d'Allan Dwan
  • 1937 : Rue sans issue (Dead End) de William Wyler avec Humphrey Bogart
  • 1937 : L'Homme qui terrorisait New York (King of Gamblers) de Robert Florey
  • 1937 : J'ai deux maris (Second honeymoon) de Walter Lang avec Tyrone Power et Loretta Young
  • 1938 : Le Mystérieux docteur Clitterhouse (The Amazing Dr. Clitterhouse) d'Anatole Litvak avec Edward G. Robinson et Humphrey Bogart
  • 1939 : La Chevauchée fantastique (Stagecoach) de John Ford avec John Wayne
  • 1939 : Le Premier Rebelle (Allegheny Uprising) de William A. Seiter avec John Wayne
  • 1940 : L'Escadron noir (Dark Command) de Raoul Walsh avec John Wayne
  • 1941 : Franc jeu (Honky Tonk), de Jack Conway avec Clark Gable et Lana Turner
  • 1941 : Texas de George Marshall avec William Holden
  • 1942 : Crossroads de Jack Conway
  • 1944 : Adieu, ma belle (Murder, My Sweet) de Edward Dmytryk avec Dick Powell
  • 1947 : Né pour tuer (Born to kill) de Robert Wise
  • 1948 : Quand le rideau tombe (The Velvet Touch) de Jack Gage
  • 1948 : Key Largo de John Huston avec Humphrey Bogart, Edward G. Robinson et Lauren Bacall
  • 1949 : The Lucky stiff de Lewis R. Foster avec Dorothy Lamour
  • 1950 : Borderline de William A. Seiter avec Fred MacMurray et Raymond Burr.
  • 1951 : Hard, Fast and Beautiful de Ida Lupino
  • 1952 : My Man and I avec Shelley Winters
  • 1954 : Écrit dans le ciel (The High and the Mighty) de William A. Wellman avec John Wayne
  • 1955 : L'Homme qui n'a pas d'étoile (Man Without a Star) de King Vidor avec Kirk Douglas
  • 1955 : Une femme extraordinaire (Lucy Gallant) de Robert Parrish avec Charlton Heston et Jane Wyman
  • 1955 : La Neige en deuil (The Mountain) d'Edward Dmytryk avec Spencer Tracy
  • 1958 : La Fureur d'aimer (Marjorie Morningstar) de Irving Rapper avec Gene Kelly et Natalie Wood
  • 1959 : Les Incorruptibles (série télévisée), Ma Barker et ses fils
  • 1962 : Quinze jours ailleurs (Two Weeks in Another Town) de Vincente Minnelli avec Kirk Douglas
  • 1965 : Comment tuer votre femme (How to murder your wife), de Richard Quine avec Jack Lemmon
  • 1982 : Kiss Me Goodbye de Robert Mulligan avec Sally Field

Baker Diane

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Baker DianeDiane Baker est une actrice et productrice américaine née le 25 février 1938 à Hollywood, Californie (États-Unis). Diane Baker est née et a grandi à Hollywood. Elle est la fille de Dorothy Helen Harrington et de Clyde L. Baker. Après avoir étudié l'art dramatique à New York avec Charles E. Conrad et le ballet avec Nina Fonaroff, elle entame une carrière cinématographique avec la 20th Century Fox.

Elle débute notamment au cinéma dans le rôle de Margot Frank dans le film Le Journal d'Anne Frank réalisé par George Stevens. La même année, elle joue dans Voyage au centre de la Terre au côté de James Mason. Elle apparait dans de nombreux autres films comme Pas de printemps pour Marnie avec Tippi Hedren et Sean Connery ou Mirage avec Gregory Peck et Walter Matthau mais aussi dans des séries télévisées comme Les Envahisseurs et tient un rôle récurrent dans Dr Kildare.

En 1967, Diane Baker apparait dans les deux derniers épisodes de la série Le Fugitif puis, dans les années 70, figure dans 3 épisodes de la série Mission impossible et dans un épisode de la saison 5 de Columbo (La montre témoin). En plus de son rôle d’actrice, elle produit des films pour le cinéma ou la télévision. Durant les années 2000, elle apparaît encore dans la série Dr House, jouant la mère du personnage principal.

Filvideomographie

Cinéma

  • 1959 : Le Journal d'Anne Frank (The Diary of Anne Frank) : Margot Frank
  • 1959 : Rien n’est trop beau (The Best of Everything) : April Morrison
  • 1959 : Voyage au centre de la Terre (Journey to the Center of the Earth) : Jenny
  • 1960 : Tess of the Storm Country : Tess MacLean
  • 1960 : The Wizard of Baghdad : Princess Yasmin
  • 1962 : Aventures de jeunesse (Hemingway's Adventures of a Young Man) : Carolyn
  • 1962 : La Bataille des Thermopyles (The 300 Spartans) : Ellas, Leonidas' Niece
  • 1963 : À neuf heures de Rama (Nine Hours to Rama) : Sheila
  • 1963 : Les Heures brèves (Stolen Hours) : Ellen
  • 1963 : Pas de lauriers pour les tueurs (The Prize) : Emily Stratman
  • 1964 : The Ghost of Sierra de Cobre : Vivia Mandour
  • 1964 : Della : Jenny Chappell
  • 1964 : La Meurtrière diabolique (Strait jacket) : Carol Harbin
  • 1964 : Pas de printemps pour Marnie (Marnie) : Lil Mainwaring
  • 1965 : Mirage : Shela
  • 1966 : Sands of Beersheba : Susan
  • 1968 : Le Cheval aux sabots d'or (The Horse in the Gray Flannel Suit) : Suzie 'S.J.' Clemens
  • 1969 : Krakatoa à l'est de Java (Krakatoa, East of Java) : Laura
  • 1972 : Stigma
  • 1976 : La Loi de la montagne (Baker's Hawk) : Jenny Baker
  • 1981 : The Pilot : Pat Simpson
  • 1990 : The Closer : Beatrice Grant
  • 1991 : Le Silence des agneaux (The Silence of the Lambs) : le sénateur Ruth Martin
  • 1993 : Twenty Bucks : Ruth Adams
  • 1993 : Le Club de la chance (The Joy Luck Club) : Mrs. Jordan, Ted's Mother
  • 1994 : Imaginary Crimes (en) : Abigail Tate
  • 1995 : Traque sur Internet (The Net) : Mrs. Bennett
  • 1996 : Disjoncté (The Cable Guy) : Steven's Mother
  • 1996 : À l'épreuve du feu (Courage Under Fire) : Louise Boylar
  • 1997 : Meurtre à la Maison-Blanche (Murder at 1600) : Kitty Neil, First Lady
  • 2000 : Des fleurs pour Harrison (Harrison's Flowers) : Mary Francis
  • 2002 : On the Roof : Mrs. Arnott
  • 2003 : A Mighty Wind, titre québécois Les Grandes Retrouvailles) de Christopher Guest : Supreme Folk Defense Lawyer
  • 2005 : The Keeper: The Legend of Omar Khayyam : Miss Taylor


Télévision3À la télévision

  • 1965 : Inherit the Wind
  • 1966 : The Dangerous Days of Kiowa Jones : Amilia Rathmore
  • 1966 : Le Fugitif : "Épisode-Le Jugement" épisode en 2 Parties
  • 1967 : Première preuve (Beachhead) premier épisode des envahisseurs (the invaders) : Kathy Adams
  • 1969 : Trial Run : Carole Trenet
  • 1969 : D.A.: Murder One : Mary Brokaw
  • 1970 : The Old Man Who Cried Wolf : Peggy Pulska
  • 1971 : Prenez mon nom, ma femme, mon héritage (Do You Take This Stranger?) : Rachel Jarvis
  • 1971 : Sarge : Carol Swanson
  • 1971 : Congratulations, It's a Boy! : Eydie
  • 1971 : Tuer n'est pas jouer (A Little Game) : Elaine Hamilton
  • 1972 : Killer by Night : Tracey Morrow
  • 1973 : Here We Go Again : Susan Evans
  • 1973 : The Police Story : Jenny Dale
  • 1973 : Wheeler and Murdoch : Karen
  • 1974 : A Tree Grows in Brooklyn : Katie Nolan
  • 1975 : Le Rêve brisé (The Dream Makers) : Mary Stone
  • 1975 : The Last Survivors : Marilyn West
  • 1976 : Columbo : La Montre témoin (Last Salute to the Commodore) : Joanna Clay
  • 1978 : One of a Kind : Carrie Williams
  • 1980 : Fugitive Family : Ellen 'Ellie' Roberts
  • 1982 : Boys from the Blackstuff : Marie
  • 1982 : The Blue and the Gray : Evelyn Hale
  • 1983 : L'Espace d'une vie ("A Woman of Substance") : Laura O'Neill
  • 1987 : Little Miss Perfect : Mrs. Summers
  • 1987 : Arabesque La couleur de la mort : Eleanor Thane
  • 1991 : La Maison hantée (The Haunted) : Lorraine Warren
  • 1992 : Perry Mason: The Case of the Heartbroken Bride : Laura Parrish
  • 1992 : Arabesque: : Laura Parrish
  • 1995 : Crazy Love : Dina Stratton
  • 1995 : A Walton Wedding : Charlotte Gilchrist
  • 1996 : Joan Crawford: Always the Star
  • 1998 : Des fleurs pour Sarah (About Sarah) : Lila Hollingsworth
  • 2000 : Jackie Bouvier Kennedy Onassis : Rose Kennedy
  • 2009 : Dr House (saison 5) : Marianne, la mère de House
  • 2012 : Dr House (saison 8) : Marianne, la mère de House


videocomme productrice

  • 1977 : Portrait of Grandpa Doc
  • 1978 : One of a Kind (TV)
  • 1980 : Never Never Land
  • 1983 : L'Espace d'une vie ("A Woman of Substance") (feuilleton TV)
  • 1986 : Aashiana
  • 1990 : Malcolm Takes a Shot (TV)

Hedren Tippi

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Hedren Tippi Tippi Hedren, née Natalie Kay Hedren le 19 janvier 1930 à New Ulm au Minnesota, est une actrice américaine et une militante de la cause animale. Mère de l'actrice Melanie Griffith. Tippi Hedren, de son véritable nom Nathalie Kay Hedren, se destinait à devenir mannequin quand elle est repérée par Alfred Hitchcock en 1961. Le réalisateur, sous le charme, fait aussitôt signer à Tippi Hedren un contrat la liant à lui, et lui confie dès 1963 le rôle principal de son film Les Oiseaux. Un premier rôle pour lequel elle remporte le Golden Globe de la Meilleure révélation féminine et qui l'élève au rang de star.

En 1964, alors que Grace Kelly vient de refuser d'interpréter le rôle titre de son nouveau film, Pas de printemps pour Marnie, Alfred Hitchcock décide de confier le rôle à Tippi Hedren. Le long-métrage marquera leur seconde et dernière collaboration. Le réalisateur, sous le charme de l'actrice, lui fait régulièrement des avances. Repoussé continuellement par celle-ci, Hitchcock décide de briser la carrière de celle qu'il a découverte en refusant les propositions de films que lui font les autres réalisateurs.

A la fin des années soixante Tippi Hedren rachète son contrat à Alfred Hitchcock et met fin à toute relation avec lui. L'actrice se distingue en 1967, aux côtés de Sophia Loren et Marlon Brando, dans La Comtesse de Hong Kong de Charles Chaplin, mais le film est, à l'époque, un échec commercial. Dès lors Tippi Hedren enchaîne les seconds rôles au cinéma.

Parallèlement à sa carrière d'actrice, Tippi Hedren s'engage pour des causes humanitaires et des associations caritatives dès le milieu des années soixante. Ses choix de carrière vont influencer sa vie. En effet, en 1969, elle tourne en Afrique pour Satan's Harvest de George Montgomery, en 1973 Tippi Hedren retourne sur le continent africain pour les besoins du film Mister Kingstreet's War, dans lequel elle incarne une directrice de réserve animalière. Un rôle que l'actrice décide de poursuivre hors caméra puisqu'elle se consacre dès lors à la défense des félins.

Mais c'est surtout en 1981 que sa lutte pour la protection des félins prend toute son ampleur. L'actrice et son second époux, Noel Marshall (dont elle divorce en 1982), réalisent, produisent et jouent dans Roar, un long-métrage dans lequel ils défendent les espèces en danger. Bien que le film soit un échec commercial, il marque un tournant dans la vie de l'actrice, qui fonde en 1983 The Roar Foundation, une fondation chargée de récolter des fonds pour sa réserve Shambala qui accueil plus de 70 félins et animaux exotiques.

Tippi Hedren se fait de plus en plus rare au cinéma et accumule les apparitions dans des séries télévisées : Super Jaimie, Pour l'amour du risque, Arabesque, Les 4400 et des téléfilms comme Les Oiseaux 2 de Rick Rosenthal. En 1990, elle donne, pour la troisième fois, la réplique à sa fille dans Fenêtre sur Pacifique de John Schlesinger. Durant la décennie quatre-vingt dix, Tippi Hedren tourne dans de nombreux téléfilms. En 2005 on la retrouve sur grand écran dans J'adore Huckabees. Depuis, l'actrice consacre la majeure partie de son temps à sa fondation tout en continuant d'apparaître dans des seconds rôles.

videoFilmographie


  • 1950 : La Scandaleuse Ingénue (The Pretty Girl) de Henry Levin : Apparition (non créditée)
  • 1963 : Les Oiseaux (The Birds) de Alfred Hitchcock : Melanie Daniels
  • 1964 : Pas de printemps pour Marnie (Marnie) de Alfred Hitchcock : Marnie Edgar
  • 1967 : La Comtesse de Hong-Kong (A Countess from Hong Kong) de Charles Chaplin : Martha Mears
  • 1970 : Tiger By the Tail de R. G. Springsteen : Rita Armstrong
  • 1970 : Satan's Harvest de George Montgomery : Marla Oaks
  • 1973 : Mister Kingstreet's War de Percival Rubens : Maggie Kingstreet
  • 1973 : The Harrad Experiment de Ted Post : Margaret Tenhausen
  • 1976 : Allá donde muere el viento de Fernando Siro
  • 1981 : Roar de Noel Marshall : Madelaine
  • 1982 : Foxfire Light de Allen Baron : Elizabeth Morgan
  • 1989 : Deadly Spygames de Jack M. Sell : Chastity
  • 1990 : In the Cold of the Night de Nico Mastorakis : Clara
  • 1990 : Fenêtre sur Pacifique (Pacific Heights) de John Schlesinger : Florence Peters
  • 1994 : Teresa's Tattoo de Julie Cypher : Evelyn Hill
  • 1994 : Inevitable Grace de Alex Monty Canawati : Dr. Marcia Stevens
  • 1996 : Citizen Ruth de Alexander Payne : Jessica Weiss
  • 1997 : Mulligans ! (court métrage) de Miles Hood Swarthout : Dottie
  • 1998 : Exposé de Daphna Edwards
  • 1998 : Point de rupture (Break Up) de Paul Marcus : Mère
  • 1998 : I Woke Up Early the Day I Died de Aris Iliopulos : Maylinda Austed
  • 1999 : The Storytellers de James D.R. Hickox : Lillian Glosner
  • 2001 : Ice Cream Sundae (court métrage) de Désirée Nosbusch : Lady
  • 2001 : Tea with Grandma (court métrage) de Jonathan Fahn : Rae
  • 2003 : Julie and Jack de James Nguyen : Julie McNeal
  • 2003 : Searching for Haizmann de Scott Gordon et Ron Meyer : Dr. Michelle Labner
  • 2003 : Dark Wolf (sortie directement en vidéo) de Richard Friedman : Mary
  • 2003 : Rose's Garden de Shawna Baca et Craig Nisker : Rose
  • 2004 : Raising Genius de Linda Voorhees et Bess Wiley : Babe
  • 2004 : Mind Rage de Mark Allen Michaels : Dr. Wilma Randolph
  • 2004 : J'adore Huckabees (I Heart Huckabees) de David O. Russell : Mary Jane Hutchinson
  • 2005 : Diamond Zero de David Gaz et Annelie Wilder : Eleanor Kelly
  • 2005 : Strike the Tent de A. Blaine Miller et Julian Adams : Mme Adams
  • 2008 : Secrets de jeunesse (Dead Write) de Michael Connell : Minnie
  • 2008 : They Boneyard Collection de Edward L. Plumb : Tante Gloria (Segment Her Morbid Desires)
  • 2012 : Jayne Mansfield's Car de Billy Bob Thornton : Naomi Caldwell
  • 2012 : Free Samples de Jay Gammill : Betty
  • 2012 : Return to Babylon de Alex Monty Canawati : Mme Peabody
  • 2014 : The Ghost and the Whale (En tournage) de Anthony Gaudioso et James Gaudioso : Tippi


Télévision3Télévision

  • 1965 : Haute Tension (Kraft Suspense Theatre, série, S2e28: Les Trains du silence) : Lee Anne Wickheimer
  • 1965 : Match contre la vie (Run for Your Life, série, S1e3: Someone Who Makes Me Feel Beautiful) : Jessica Braden
  • 1970-1971 : The Courtship of Eddie's Father (Série, S1e24: Free Is a Four Letter Word, 1970 ; S2e4: A Little Get Together for Cissy, 1971) : Cissy Drummond-Randolph
  • 1973 : Docteur Caraïbes (Feuilleton, 4e épisode: L'homme à l'Albatros) : Sonia
  • 1976 : Super Jaimie (The Bionic Woman, série, S1e5: Les griffes) : Susan Victor
  • 1983 : Pour l'amour du risque (Hart to Hart, série, S4e11: Les Chasses de Monsieur Davenport) : Liza Atterton
  • 1984 : Histoires de l'autre monde (Tales from the Darkside, série, S1e5: Mookie and Pookie) : Ruth Anderson
  • 1985 : Alfred Hitchcock présente (Alfred Hitchcock Presents, série, Pilote 4e épisode: Man from the South) : Une serveuse
  • 1988 : Hôtel (Hotel, série, S5e12: Double Take) : Barbara Lyman
  • 1988 : Baby Boom (Série, S1e7: Christmas '88) : Laura Curtis
  • 1990 : Return to Green Acres (Téléfilm) de William Asher : Arleen
  • 1990 : Amour, Gloire et Beauté (The Bold and the Beautiful, série, S1e896) : Helen Maclaine
  • 1991 : Shadow of a Doubt (Téléfilm) de Karen Arthur : Mme Mathewson
  • 1991 : Dans la chaleur de la nuit (Série, S5e4: Liar's Poker) : Annabelle Van Buren
  • 1992 : Piège à domicile (Through the Eyes of a Killer, téléfilm) de Peter Markle : Mme Bellano
  • 1993 : Perry Mason (Troisième série, 24e épisode: La formule magique) : Beverly Courtney
  • 1994 : Arabesque (Murder, She Wrote, série, S10e6: Le faux-semblant) : Catherine Noble
  • 1994 : Les Oiseaux 2 (The Birds II: Land's End, téléfilm) de Rick Rosenthal : Helen
  • 1994 : Les armes de la passion (Treacherous Beauties, téléfilm) de Charles Jarrott : Lettie Hollister
  • 1994-1996 : Dream On (Série, S5e12: Crise de foi, 1994 ; S6e11: La Petite sœur, 1995 ; S6e18: La Seconde chance, 1996 ; S6e21: Nos plus belles années, 1996 ; S6e27: Finale - 2e partie, 1996) : Di
  • 1997 : The Guardian (Téléfilm) de Rob Cohen : Wynn
  • 1997 : Adventures from the Book of Virtues (Série, S2e3: Generosity) : Madame Sofroni/Molly Mouse (voix)
  • 1998 : La Vie à tout prix (Chicago Hope, série, S4e14: Un oiseau aux trousses) : Alfreda Perkins
  • 1998 : Batman (Deuxième série, Les Nouvelles Aventures de Batman, 9e épisode: La Fille du calendrier) : Donna Day (voix)
  • 1998 : Invasion America (Série) : Mme McAllister
  • 1998 : Arliss (Arli$$, série, S3e9: Stanley Babson...Win, Place, or Show)
  • 1999 : Fenêtre sur meurtre (The Darklings, téléfilm) de Jeffrey Reiner : Martha Jackson
  • 1999 : S'il suffisait d'aimer (Replacing Dad, téléfilm) de Joyce Chopra : Dixie
  • 2000 : Bull (Série, S1e20: A Beautiful Life) : Caitlin Coyle
  • 2000 : Hollywood Off-Ramp (Série, S1e2: Simple Simon)
  • 2000 : Providence (Série, S3e5: Une femme à la mer ; S3e6: Un thanksgiving inattendu) : Constance Hemming
  • 2001 : Aux portes du cauchemar (The Nightmare Room, série, S1e5: La Vie en jeu) : La sorcière
  • 2003 : 111 Gramercy Park (Téléfilm) de Bill D'Elia : Mme Granville
  • 2006 : Les 4400 (The 4400, série, S3e1: Une nouvelle ère - 1re partie ; S3e2: Une nouvelle ère - 2e partie) : Lily Moore Tyler
  • 2006 : Fashion House (Série, S1e1: It Takes One to Know One ; S1e6: The Best Laid Plans ; S1e16: Multiple Offers ; S1e19: Maternal Instincts ; S1e24: All in the Family ; S1e30: Coup de Grace ; S1e31: Irreconcilable Differences ; S1e35: Gaggle at the Gallery ; S1e44: Women on Verge ; S1e46: Opportunity Knocks, Rings the Doorbell and Beats Down Your Door! : Doris Thompson
  • 2008 : Les Experts (CSI, série, S9e8: 8.Star de demain... et d'hier) : Karen Rosenthal
  • 2008 : Hantée par le passé (Tribute, téléfilm) de Martha Coolidge : Aileen Hennessey
  • 2008 : Batman : L'Alliance des héros (Batman: The Brave and the Bold, S3e8: Triumvirate of Terror!) : Queen Hippolyta (voix)
  • 2012 : Raising Hope (Série, S3e1: Not Indecent, But Not Quite Decent Enough Proposal) : Nana
  • 2013 : Cougar Town (Série, S4e15: Have Love Will Travel) : Tippi Hedren

Tippi Hedren wings in to help promote 'Birds'

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Stars and Stripespublished 11/09/1963  at 08:26 by Ralph Bennington

Frankfurt — Two years ago Tippi Hedren "never had aspirations to be an actress" but these days she is on a four-week swing through Europe to plug her first movie, "The Birds."

Hedren TippiThe rising young star, who flew into Frankfurt without her "guiding light" and director Alfred Hitchcock, has other stops planned in Berlin, Sweden, Denmark and Belgium before returning to the United States.

Hitchcock, who discovered the Minnesota-born beauty through a television commercial and quickly cast her in a starring role, remained in Hollywood to work on the script of their next production called "Marnie."

The 27-year-old beauty, who says "it's awfully flattering" to be called a new Grace Kelly, has nothing but praise and admiration for the famed director who took her away from TV and modeling to launch what critics call a promising career.

'I was terribly happy doing TV and modeling, and doing quite well financially," she explained. "But I was happy right from the start in the movies, too. It is more of a challenge."

Tippi is under an exclusive 7-year contract with Hitchcock and quips, "I am extremely fortunate in having him to guide my career." That career started oddly enough on a "Friday the 13th of October" two years ago when she got a phone call from the famed director.

Although a model since 13, Tippi explained that she had "never studied acting" and Hitchcock has been her only coach. "We just talked aver the role at lunch most of the time, and here we are."

Miss Hedren admitted to having used the expression "that's for the birds" on occasions, but it certainly didn't have any connection with "The Birds," another Hitchcock thriller built around the story of hundreds of birds attacking and destroying a community.

In fact, she has four of the birds (small finches) used in the movie as pets at her horns.

"The others were too large and too mean," she said while going into detail somewhat about the training involved on the crows, ravens and sea gulls used in the picture:

"At one time we had to use sign language because some of the birds started to take their cues from the words 'roll it.'"

As for hobbies and men, she has no preference in either. "I would never make a list of the qualities I like in men because that would eliminate everyone. Anyway, right now I am in between meeting men." She later admitted she had been married.

Decorating her home ("Switching everything around at least once a year"), riding, swimming and skin diving are varied hobbies, the same as eating habits, but she did label her favorite food simply as "onions."

Natalie is her real name, but she has been going under her father's pet name of Tippi — Swedish for little girl — "since 6 pounds, 7 ounces."

La Plante Violet

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La Plante Violet Violet La Plante, aussi connue sous le nom de Violet Avon, est une actrice américaine née à Saint-Louis (Missouri) le 17 juin 1908 et morte à La Jolla (Californie) le 1er juin 1984. Elle fut une actrice du cinéma muet hollywoodien. Sœur cadette de Laura La Plante, star d'Hollywood, elle fit ses débuts en 1924 aux côtés de Buddy Roosevelt dans Battling Buddy.

Cette même année, elle participa à quatre autres films, mais seulement un en 1925, ce qui lui permit d'intégrer deux ans après sa sœur la liste des WAMPAS Baby Stars (à cette époque, "baby star" était le terme utilisé pour "starlette"). Mais malgré cette nomination, elle n'aura jamais le même succès que son aînée. En 1926 et 1927, elle ne fit qu'un film, puis deux en 1928. Sa carrière était donc finie avant même l'apparition du cinéma parlant, son dernier rôle ayant été dans How to Handle Women en 1928.






videoFilmographie

  • 1924 : Battling Buddy de Richard Thorpe
  • 1924 : The Clean Heart de James Stuart Blackton
  • 1924 : Walloping Wallace
  • 1924 : His Majesty the Outlaw
  • 1925 : The Hurricane Kid d'Edward Sedgwick
  • 1926 : The Ramblin' Galoot
  • 1927 : The Haunted Homestead de William Wyler
  • 1928 : My Home Town de Scott Pembroke
  • 1928 : How to Handle Women

Eyton Bessie

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Eyton BessieBessie Eyton (de son vrai nom Bessie Harrison) est une actrice américaine née à Santa Barbara (Californie) le 5 juillet 1890 et décédée à Thousand Oaks (Californie) le 22 janvier 1965. Son signe astrologique était le Cancer. Elle a joué dans 188 films de 1911 à 1925. En 1914, elle écrivit le scénario du court-métrage «The smuggler's sister». Elle est décédée le 22 janvier 1965 à Thousand Oaks, aux États-Unis. Elle était âgée de 74 ans.












videoFilmographie

  • 1911 : The Sheriff of Tuolomne
  • 1911 : Saved from the Snow
  • 1911 : In the Shadow of the Pines
  • 1911 : The Totem Mark
  • 1911 : Kit Carson's Wooing
  • 1911 : McKee Rankin's '49'
  • 1911 : An Indian Vestal
  • 1911 : A Painter's Idyl
  • 1911 : The Right Name, But the Wrong Man
  • 1911 : For His Pal's Sake
  • 1911 : George Warrington's Escape
  • 1911 : Captain Brand's Wife
  • 1911 : Lieutenant Grey of the Confederacy
  • 1911 : Blackbeard
  • 1911 : An Evil Power
  • 1911 : Brown of Harvard
  • 1911 : A Diamond in the Rough
  • 1912 : Monte Cristo
  • 1912 : Me an' Bill
  • 1912 : A Waif of the Sea
  • 1912 : The Ones Who Suffer
  • 1912 : The Price He Paid
  • 1912 : Bessie's Dream
  • 1912 : The Lake of Dreams
  • 1912 : Disillusioned
  • 1912 : The Coming of Columbus
  • 1912 : The Love of an Island Maid
  • 1912 : The Price of Art
  • 1912 : The Professor's Wooing
  • 1912 : His Masterpiece
  • 1912 : The End of the Romance
  • 1912 : In Exile
  • 1912 : A Child of the Wilderness
  • 1912 : The Indelible Stain
  • 1912 : The Pity of It
  • 1912 : The Great Drought
  • 1912 : The Shuttle of Fate
  • 1912 : The Fisherboy's Faith
  • 1912 : Carmen of the Isles
  • 1912 : Shanghaied
  • 1912 : The Triangle
  • 1912 : Miss Aubry's Love Affair
  • 1912 : The God of Gold
  • 1912 : Opitsah: Apache for Sweetheart
  • 1912 : A Crucial Test
  • 1912 : Sammy Orpheus ou The Pied Piper of the Jungle
  • 1912 : The Last of Her Tribe
  • 1912 : The Little Organ Player of San Juan
  • 1912 : The Danites
  • 1913 : Greater Wealth
  • 1913 : Whose Wife Is This?
  • 1913 : A Revolutionary Romance
  • 1913 : The Three Wise Men
  • 1913 : A Little Hero
  • 1913 : The Flaming Forge
  • 1913 : The Story of Lavinia
  • 1913 : The Dancer's Redemption
  • 1913 : Sally in Our Alley
  • 1913 : A Prisoner of Cabanas
  • 1913 : Vengeance Is Mine
  • 1913 : Hiram Buys an Auto
  • 1913 : An Old Actor
  • 1913 : In the Long Ago
  • 1913 : The Noisy Six
  • 1913 : Wamba, a Child of the Jungle
  • 1913 : The Wordless Message
  • 1913 : When the Circus Came to Town
  • 1913 : Alone in the Jungle
  • 1913 : When Lillian Was Little Red Riding Hood
  • 1913 : When Men Forget
  • 1913 : Songs of Truce
  • 1913 : Budd Doble Comes Back
  • 1913 : A Wild Ride
  • 1913 : The Ne'er to Return Road
  • 1913 : Hope
  • 1913 : The Hopeless Dawn
  • 1913 : Terrors of the Jungle
  • 1913 : The Master of the Garden
  • 1913 : Until the Sea...
  • 1913 : A Dip in the Briney
  • 1914 : The Lily of the Valley
  • 1914 : On the Breast of the Tide
  • 1914 : The Tragedy of Ambition
  • 1914 : The Smuggler's Sister (+ scénario)
  • 1914 : The Spoilers, de Colin Campbell
  • 1914 : The Uphill Climb
  • 1914 : The Salvation of Nance O'Shaughnessy
  • 1914 : Shotgun Jones
  • 1914 : Me an' Bill
  • 1914 : In Defiance of the Law
  • 1914 : The Wilderness Mail
  • 1914 : The Fire Jugglers
  • 1914 : The Lonesome Trail
  • 1914 : The Cherry Pickers
  • 1914 : The Mother Heart
  • 1914 : Etienne of the Glad Heart
  • 1914 : The White Mouse
  • 1914 : Chip of the Flying U
  • 1914 : When the West Was Young
  • 1914 : The Going of the White Swan
  • 1914 : In the Days of the Thundering Herd
  • 1915 : Love Finds a Way
  • 1916 : The Three Wise Men
  • 1916 : The Regeneration of Jim Halsey
  • 1916 : The Crisis
  • 1916 : Twisted Trails
  • 1917 : Beware of Strangers
  • 1917 : Her Perilous Ride
  • 1917 : The Victor of the Plot
  • 1917 : Her Heart's Desire
  • 1917 : The Smoldering Spark
  • 1917 : The Love of Madge O'Mara
  • 1917 : Between Man and Beast
  • 1917 : The Witness for the State
  • 1917 : The Angel of Poverty Row
  • 1917 : The Law North of 65
  • 1917 : Who Shall Take My Life?
  • 1918 : The Still Alarm
  • 1918 : The City of Purple Dreams

LeSaint Stella

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LeSaint Stella Stella LeSaint, née Razeto (17 décembre 1881 (San Diego - Californie) – 21 septembre 1948 (Malibu - Californie) est une actrice du cinéma muet américain. Stella Razeto commence sur scène avec la troupe de Florence Roberts à San Francisco. Elle se tourne vers le vaudeville à New York et créé la troupe « Stella Razeto and Company ».

Des problèmes de santé l'amènent à quitter la scène puis elle rejoint la « Majestic Company » où elle joue avec Mabel Trunnelle et Herbert Prior pendant plusieurs mois. Elle est engagée par la Selig Polyscope Company où elle rencontre et travaille avec son futur mari, Edward LeSaint. Elle partage l'affiche avec William Garwood dans Lord John in New York. Elle épouse Edward Le Saint le 25 décembre 1913 et reste avec lui jusqu'à sa mort le 10 septembre 1940.



videoFilmographie
Film réalisés par Edward LeSaint

  • 1914 : Ye Vengeful Vagabonds
  • 1914 : Memories
  • 1914 : His Father's Rifle
  • 1915 : Poetic Justice of Omar Khan
  • 1915 : The Circular Staircase
  • 1915 : Lord John's Journal
  • 1915 : Lord John in New York
  • 1916 : The Grey Sisterhood
  • 1916 : Three Fingered Jenny
  • 1916 : The League of the Future
  • 1916 : The Three Godfathers
  • 1916 : The Jackals of a Great City
  • 1917 : Out of the Wreck, de William Desmond Taylor

Lewis Vera

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Lewis VeraVera Lewis est une actrice américaine, née Vera Mackey le 10 juin 1873 à New York (État de New York), morte le 8 février 1956 à Los Angeles — Quartier de Woodland Hills (Californie). Vera Lewis débute au cinéma en 1915 et contribue jusqu'en 1947 (année où elle se retire) à cent-quatre-vingt cinq films américains — parfois dans des petits rôles non-crédités —, dont une soixantaine muets.

Épouse de l'acteur américain Ralph Lewis (en) (1872-1937), elle tourne sept films muets à ses côtés, dont Intolérance de D. W. Griffith (1916, avec Lillian Gish et Mae Marsh). Parmi ses autres films notables, citons Ramona d'Edwin Carewe (1928, avec Dolores del Río et Warner Baxter), L'Ange blanc de William A. Wellman (1931, avec Barbara Stanwyck et Ben Lyon), Rêves de jeunesse de Michael Curtiz (1938, avec Priscilla Lane et Claude Rains), ou encore La Péniche de l'amour d'Archie Mayo (1942, avec Jean Gabin et Ida Lupino).





videoFilmographie

  • 1915 : The Caprices of Kitty de Phillips Smalley
  • 1916 : Intolérance (Intolerance : Love's Struggle Throughout the Ages) de D. W. Griffith
  • 1917 : Jack et le Haricot magique (Jack and the Beanstalk) de Chester M. Franklin et Sidney Franklin
  • 1917 : The Trouble Buster de Frank Reicher
  • 1917 : Lost in Transit de Donald Crisp
  • 1918 : A Bit of Jade d'Edward Sloman
  • 1919 : The Long Lane's Turning de Louis Chaudet
  • 1919 : As the Sun went Down d'E. Mason Hopper
  • 1919 : The Pest de Christy Cabanne
  • 1919 : Yvonne from Paris d'Emmett J. Flynn
  • 1919 : Lombardi, Ltd. de Jack Conway
  • 1920 : The Blooming Angel de Victor Schertzinger
  • 1920 : Nurse Marjorie de William Desmond Taylor
  • 1920 : The Poor Simp de Victor Heerman
  • 1920 : A Full House de James Cruze
  • 1922 : The Glorious Fool d'E. Mason Hopper
  • 1922 : Peg de mon cœur (Peg o' My Heart) de King Vidor
  • 1922 : Nancy from Nowhere de Chester M. Franklin
  • 1923 : Desire de Rowland V. Lee
  • 1923 : Le Cœur et la Dot (The Marriage Market) d'Edward LeSaint
  • 1923 : Long Live the King de Victor Schertzinger
  • 1923 : Brass de Sidney Franklin
  • 1924 : How to Educate a Wife de Monta Bell
  • 1924 : Cornered de William Beaudine
  • 1924 : In Every Woman's Life d'Irving Cummings
  • 1925 : Enticement de George Archainbaud
  • 1925 : The Only Thing de Jack Conway
  • 1925 : Eve's Secret de Clarence G. Badger
  • 1925 : Le Sublime Calvaire de Stella Dallas (Stella Dallas) d'Henry King
  • 1926 : The Passionate Quest de J. Stuart Blackton
  • 1926 : Ella Cinders d'Alfred E. Green
  • 1926 : The Lily de Victor Schertzinger
  • 1926 : Take It from Me de William A. Seiter
  • 1927 : Resurrection d'Edwin Carewe
  • 1927 : Thumbs Down de Phil Rosen
  • 1927 : What happened to Father ? de John G. Adolfi
  • 1928 : Ramona d'Edwin Carewe
  • 1928 : Satan and the Woman de Burton L. King
  • 1928 : Épouvante (Something Always Happens) de Frank Tuttle
  • 1929 : Le Masque de fer (The Iron Mask) d'Allan Dwan
  • 1930 : Wide Open d'Archie Mayo
  • 1931 : L'Ange blanc (Night Nurse) de William A. Wellman
  • 1931 : Command Performance de Walter Lang
  • 1933 : King Kong de Merian C. Cooper et Ernest B. Schoedsack
  • 1935 : Paddy O'Day de Lewis Seiler
  • 1935 : Roaring Roads de Charles E. Roberts
  • 1935 : Les Joies de la famille (Man on the Flying Trapeze) de Clyde Bruckman
  • 1935 : À travers l'orage (Way Down East) d'Henry King
  • 1936 : Le Danseur pirate (Dancing Pirate) de Lloyd Corrigan
  • 1936 : Missing Girls de Phil Rosen
  • 1937 : La Joyeuse Suicidée (Nothing Sacred) de William A. Wellman
  • 1938 : Rêves de jeunesse (Four Daughters) de Michael Curtiz
  • 1938 : Caprice d'un soir (Comet Over Broadway) de Busby Berkeley
  • 1938 : Les Anges aux figures sales (Angels with Dirty Faces) de Michael Curtiz
  • 1939 : Women in the Wind de John Farrow
  • 1939 : Le Retour du docteur X (The Return of Doctor X) de Vincent Sherman
  • 1939 : Fausses notes (Naughty but Nice) de Ray Enright
  • 1939 : Hell's Kitchen d'Ewald André Dupont et Lewis Seiler
  • 1939 : Quatre jeunes femmes (Four Wives) de Michael Curtiz
  • 1939 : Monsieur Smith au Sénat (Mr. Smith goes to Washington) de Frank Capra
  • 1939 : Les Fantastiques années 20 (The Roaring Twenties) de Raoul Walsh
  • 1940 : The Courageous Dr. Christian de Bernard Vorhaus
  • 1940 : L'Étrangère (All This, and Heaven Too) d'Anatole Litvak
  • 1941 : Four Mothers de William Keighley
  • 1941 : La Charge fantastique (They died with their Boots on) de Raoul Walsh
  • 1942 : Lady Gangster de Robert Florey
  • 1942 : La Péniche de l'amour (Moontide) d'Archie Mayo
  • 1943 : Someone to Remember de Robert Siodmak
  • 1943 : La Petite Exilée (Princess O'Rourke) de Norman Krasna
  • 1944 : Le Suspect (The Suspect) de Robert Siodmak
  • 1944 : Femme aimée est toujours jolie (Mr. Skeffington) de Vincent Sherman
  • 1946 : The Cat Creeps d'Erle C. Kenton
  • 1946 : Les Tueurs (The Killers) de Robert Siodmak
  • 1947 : It's a Joke, Son ! de Benjamin Stoloff

Un film amateur montrant l'actrice a été découvert en Australie

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Galapublié le 02/09/2008 à 10h54

C’est une découverte rarissime. Une vidéo de Marylin Monroe dans les coulisses du tournage de Certains L’Aiment Chaud a refait surface en Australie.

Marylin Monroe

 

Marilyn Monroe a laissé derrière elle bon nombre de mystères. Près de 46 ans après sa mort, voilà qu’un film montrant la star dans les coulisses du tournage de Certains L’Aiment Chaud de Billy Wilder refait surface en Australie. Retrouvé dans sa boîte d’origine chez un officier de marine américain, le film au format 8 mm montre une Marilyn Monroe en pleine répétition avec ses partenaires de scène Tony Curtis et Jack Lemmon. 2mn30 d’images 100% inédites. Cette trouvaille, extrêmement précieuse, sera vendue aux enchères le mois prochain et est estimée entre 20 000 et 30 000 dollars (entre 16 710 et 25 000 euros).

Allen Winifred

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Allen WinifredWinifred Allen (née le 1er juin 1896 à New Rochelle, État de New York et morte le 3 janvier 1943 (à 46 ans) à Rochester, État de New York) est une actrice américaine.

















videoFilmographie

  • 1915 : The Open Door : la fille
  • 1915 : When We Were Twenty-One de Hugh Ford et Edwin S. Porter : Peggy
  • 1915 : The Jewelled Dagger of Fate : Marion Giles
  • 1915 : The Reward : Mary Lang
  • 1916 : Seventeen de Robert G. Vignola : May Parcher
  • 1917 : For Valour de Albert Parker : Melia Nobbs
  • 1917 : The Haunted House de Albert Parker
  • 1917 : The Man Hater de Albert Parker : Phemie Sanders
  • 1917 : The Jinx Jumper
  • 1917 : The Long Trail de Howell Hansel : Mitchette Dubois
  • 1917 : American - That's All de Arthur Rosson : Hazel Stanley
  • 1917 : The Man Who Made Good de Arthur Rosson : Frances Clayton
  • 1917 : A Successful Failure de Arthur Rosson
  • 1918 : From Two to Six de Albert Parker : Alice Stevens
  • 1924 : Second Youth de Albert Parker : Phoebe Barney

 

Allyson June

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Allyson June June Allyson, de son vrai nom Ella Geisman1, était une actrice américaine née le 7 octobre 1917 dans le quartier du Bronx à New York. Elle est décédée le 8 juillet 2006 à Ojai en Californie, d'une complication pulmonaire occasionnée par une bronchite aiguë. De prime abord, rien ne laissait présager que cette femme au sourire radieux, mesurant 1m55 et pesant 48 kilos (en 1955) verrait un jour son étoile briller à Hollywood. Ses parents étaient Clara Provost et Robert Geisman ; ce dernier était d’origine germanique mais elle assurait que son vrai nom était van Geisman et qu’elle était d’ascendance néerlandaise.

Elle connut une enfance pauvre : son père était alcoolique, il travaillait comme concierge, mais quand Allyson eut 6 ans, il abandonna femme et enfant. Sa mère tenta de faire vivre sa fille grâce à de petits boulots : opératrice téléphonique et caissière de restaurant. À huit ans, à la suite d'une chute de vélo, Allyson se rompit plusieurs os et, selon le pronostic du médecin, elle ne pourrait jamais plus remarcher. Plusieurs mois d'hydrothérapie la remirent sur pieds contre toute attente et, alors qu’elle était passée du fauteuil roulant aux béquilles, elle fut fascinée par les films qui montraient Ginger Rogers et Fred Astaire en train de danser. Finalement, après ses études secondaires et pour perfectionner son jeu d'actrice, elle s'inscrivit à des cours de danse dirigés par Betty Hutton.

En 1938, Broadway retint ses services pour la comédie musicale Sing Out the News où le chorégraphe lui donna le pseudonyme de June Allyson. Le visionnement de ses prestations musicales impressionna favorablement George Abbott qui la retint pour jouer dans la comédie musicale Best Foot Forward (1941). Ce coup d'envoi permit à Allyson d'être embauchée par la Metro-Goldwyn-Mayer pour une durée de douze ans. Après qu’elle eut tourné dans plusieurs films à succès, vint pour elle la consécration : elle gagna le Golden Globe 1951 pour sa prestation dans la comédie Too Young to Kiss de Robert Z. Leonard.

En 1955, lors du tournage du film The McConnel Story, elle tomba amoureuse de l'acteur Alan Ladd. Mais, à l'époque il était marié avec l'actrice et agent d'artistes Sue Carroll. Judy Garland et Esther Williams (actrice et championne olympique) furent longtemps ses grandes amies. Dans les films des années 1940 et 1950, elle joua souvent en compagnie de l'acteur fétiche James Stewart. Par la suite on la vit de moins en moins à l'écran dans des films classiques. Elle joua plutôt dans des séries télévisées comme Love Boat et Murder et dans des publicités pour la marque Kimberly-Clark.

En somme, la carrière cinématographique de cette brillante actrice s'échelonne de 1937 à 2001. C'est ainsi, que pour récompenser l'ensemble de sa carrière, l'industrie du cinéma lui décerna une étoile au 1537 Vine Street sur l'Avenue des Célébrités à Hollywood. Le 19 août 1945, Allyson épousa l'homme de sa vie, l'acteur Dick Powell, qui avait treize ans de plus qu’elle. Ils eurent un garçon, Dick Powell Junior, et peu de temps après adoptèrent une petite fille: Pamela Allyson-Powell. En 1963, après quelques années de vie commune, Dick Powell mourut. C'est alors qu’Allyson convola avec Alfred Glenn Maxwell (ancien coiffeur de Dick Powell) dont elle divorça deux fois. Les années 1970 furent des années creuses pour l’actrice, aux prises avec des problèmes d'alcoolisme. Mais par la suite, les choses s'améliorèrent.

En 1976, June Allyson épousa le dentiste et futur acteur David Ashrow qui devait être le compagnon de ses trente dernières années. C’est David Ashrow qui était à son chevet quand elle rendit l'âme à 88 ans. On peut trouver l'endroit où elle repose en consultant le site Internet Find a Grave. Citation de June Allyson : Si vous rencontrez dans la rue quelqu'un qui n'a pas le sourire : c'est bien simple, donnez-lui le vôtre.

videoFilmographie

  • La Princesse et le Groom (1945)
  • Cœur secret (1946)
  • Too Young To Kiss (1951)
  • Le Cirque infernal (1952)
  • 1943 : Best Foot Forward (en) de Edward Buzzell
  • 1943 : Girl Crazy de Norman Taurog
  • 1943 : Parade aux étoiles (Thousands cherr) de George Sidney
  • 1944 : Deux jeunes filles et un marin (Two Girls and a Sailor) de Richard Thorpe
  • 1944 : Tendre symphonie (en) (Music for Millions) de Henry Koster
  • 1945 : La Princesse et le Groom (Her Highness and the Bellboy) de Richard Thorpe
  • 1945 : The Sailor Takes A Wife de Richard Whorf
  • 1946 : Du burlesque à l'opéra (Two Sisters from Boston) de Henry Koster
  • 1946 : La Pluie qui chante (Till the clouds roll by) de Richard Whorf
  • 1946 : Cœur secret (The Secret heart) de Robert Z. Leonard
  • 1947 : L'Île enchantée (High Barbaree) de Jack Conway
  • 1947 : Vive l'amour (Good news) de Charles Walters
  • 1948 : Les Trois mousquetaires de George Sidney : Constance Bonacieux
  • 1948 : Ma vie est une chanson (Words and music) de Norman Taurog
  • 1949 : Les Quatre Filles du docteur March de Mervyn LeRoy
  • 1949 : Un homme change son destin (The Stratton Story) de Sam Wood
  • 1950 : Une rousse obstinée (The Reformer and the Redhead) de Melvin Frank et Norman Panama
  • 1950 : Tourment (Right Cross) de John Sturges
  • 1951 : Too Young to Kiss de Robert Z. Leonard
  • 1952 : The Girl in White (en) de John Sturges
  • 1952 : Le Cirque infernal (Battle circus) de Richard Brooks
  • 1953 : Drôle de meurtre (Remains to Be Seen) de Don Weis
  • 1953 : Romance inachevée (The Glenn Miller story) de Anthony Mann
  • 1954 : La Tour des ambitieux (Executive suite) de Robert Wise
  • 1954 : Les femmes mènent le monde (Woman's World) de Jean Negulesco
  • 1955 : Strategic Air Command, d'Anthony Mann
  • 1955 : Ange ou démon (The Shrike) de José Ferrer
  • 1955 : Le Tigre du ciel (The McConnel Story) de Gordon Douglas
  • 1956 : The Opposite Sex de David Miller
  • 1956 : L'Extravagante héritière (You can't run away from it) de Dick Powell
  • 1957 : Les Amants de Salzbourg (Interlude) de Douglas Sirk
  • 1957 : Mon homme Godfrey (My man Godfrey) de Henry Koster
  • 1959 : Un étranger sur les bras (en) (A Stranger in My Arms ) de Helmut Käutner
  • 1972 : They Only Kill Their Masters (en) de James Goldstone
  • 1978 : Black-Out à New York (Blackout) de Eddy Matalon
  • 2001 : A Girl, Three Guys, and a Gun (en) de Brent Florence
  • 2001 : Drôles de retrouvailles (These Old Broads) de Matthew Diamond (en) (TV) (non créditée)

Des soirées hot avec les frères Kennedy, Frank Sinatra et Sammy Davis Jr?

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Galapublié le 15/06/2010 à 13h45

Un nouveau scandale sommeillait dans une pile de dossiers du FBI. Une note y fait état de rencontres plutôt chaudes entre la star peroxydée, les frères Kennedy, Frank Sinatra et Sammy Davis Jr. Une intox' pour déstabiliser le clan de JFK ou une nouvelle vérité qui dérange?

Marilyn Monroe

 

Près de 50 ans après sa mort, Marilyn Monroe est encore mêlée à une affaire de "sex file". Il y a quelques mois, l'existence d'un film la mettant en scène fumant un joint ou lors de relations sexuelles était révélée. Aujourd'hui, la star, objet de tous les fantasmes, est citée dans un dossier du FBI pour une autre affaire de moeurs. Un feuillet figurant dans un rapport "déclassifié" récemment nous apprend, en marge de fichiers concernant des menaces de mort très précises sur le clan Kennedy, que Marilyn aurait participé à des séances échangistes. Ou du moins à des orgies.

Tout a commencé avec la publication d'un épais dossier couvrant la période 1962-1985, à la suite d'une demande invoquant la loi sur la liberté de l'information. Dans ce dossier, une note datée de 1965 (fac similé ci-dessous) indique qu'une femme de New York aurait eu "des informations considérables sur des parties fines" impliquant des personnalités américaines. Parmi elles, Robert, Ted et John Fitzerald lui-même, Frank Sinatra, Sammy Davis Junior et une certaine... Marilyn Monroe!

Celle qui était, à l'époque, à l'origine de ces indiscrétions de plus ou moins bas étage, s'appelait Jacqueline Hammond. Une ex-femme, fortunée, d'un ancien ambassadeur américain en Espagne, aurait donc eu des informations sur des séances très hot, qui se tenaient à l'hôtel Carlyle, où John F. Kennedy possédait justement un appartement dans l'aile est.

De la dynamite au sein des 2 632 pages d’un document relatif à la vie du frère de JFK (avec lequel Marilyn avait eu une liaison) le sénateur Ted Kennedy auquel J. Edgar Hoover s'intéressait de près... Une habitude chez l'homme qui a été le patron du "bureau" pendant près de 50 ans. Mais les "Feds" avaient pris soin de cacher ces éléments de biographie un peu particuliers où l'on apprenait également qu'un étrange complot avec tentative d'extorsion en échange de Polaroïds obscènes avait aussi été fomenté.

Il faut dire que c'est avec des motivations plus honorables que le FBI a collecté ces tuyaux. Il aurait en effet commencé son enquête sur la base de menaces contre le sénateur Ted Kennedy durant deux décennies après l'assassinat de ses frères John et Robert dans les années 1960. Des attentats ou des actions nuisibles auraient en effet été imaginés par des psychopathes, des opposants isolés ou encore le Ku Klux Klan...

Mais, selon l'analyse du cas Monroe, il se pourrait également que la mafia avait elle aussi intérêt à détruire l'image des Kennedy (et entraver la candidature de Ted pour les démocrates?), n'hésitant pas à faire appel au réseau amical et professionnel de Frank Sinatra. Ayant flairé la machination à l'époque, le FBI aurait préféré ne pas prendre au sérieux les allégations impliquant les Kennedy dans une affaire de ballets roses. N'empêche. Le "témoignage" de Jacqueline Hammond a bel et bien été consigné. Et conservé.

Tony Curtis raconte ses ébats avec Marilyn Monroe

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Galapublié le 10/08/2009 à 16h24

Le playboy prétend avoir mis la star enceinte

Marilyn Monroe et Tony Curtis

 

Certains l’aiment chaud… D’autres préfèrent attendre des années, en espérant que le temps fasse son œuvre. Tony Curtis, 84 ans, vient de révéler sa relation passionnée avec Marilyn Monroe et confesse avoir été le père de son enfant. Amoureusement vôtre.

Retraité du cinéma et de la télévision, Tony Curtis exerçait depuis une trentaine d’années ses talents d’artiste dans la peinture. Au crépuscule de sa vie, l’acteur retiré à Las Vegas a laissé l’huile et les toiles pour tremper sa plume dans ses plus torrides souvenirs. Attention, ses mémoires sont un pavé dans la marre de la bienséance. Révélations incandescentes.

Acteur incontournable des années 50’, Curtis est entré dans la légende du cinéma grâce à ses rôles dans Le Grand Chantage, Les Vikings, Spartacus et surtout Certains L'Aiment Chaud, un chef d’œuvre du 7e Art dans lequel il donnait la réplique à la sulfureuse Monroe… Si irrésistible, que le héros d’Une Vierge Sur Canapé serait tombé sous le charme! C’est du moins ce qu’il affirme dans son autobiographie intitulée The Making of Some Like It Hot, à paraître en septembre.

Dans ce livre confessions, Tony Curtis affirme que l'enfant que Marilyn portait en 1958 était le sien.

L’octogénaire révèle des détails sulfureux sur leur liaison interdite. Il raconte dans son brûlot que leur relation «inoubliable» avait commencé en 1950, bien avant le tournage du film culte de Billy Wilder.

Quelques passages de son ouvrage décrivent en détail cette histoire charnelle: «Elle parvenait à me faire perdre la tête - avant, pendant et après nos ébats. Quand j'étais au lit avec Marilyn, je ne savais jamais ce qu'elle pensait. Elle était actrice. Elle jouait peut-être un rôle. Je n'en ai jamais demandé davantage. (…) Elle pouvait être la femme parfaite ou en tout cas ce qu'un homme attendait. Elle s'adaptait en imaginant ce qu’on voulait avoir…»

Pendant le tournage, Marilyn aurait révélé à Anthony qu'elle était enceinte de lui, alors qu'elle venait d’épouser le dramaturge Arthur Miller: «Je suis resté perplexe quand Marilyn m'a annoncé sa grossesse. Son mari était là. La pièce est devenue si silencieuse que je pouvais entendre les voitures du Boulevard Santa Monica. J'ai demandé à Miller ce que nous devions faire. Il m'a dit: ‘Finis le film et ensuite sors de notre vie’. Je l'ai regardé pendant une longue minute et puis j'ai regardé Marilyn. Elle pleurait. J'ai répondu: OK, ça je peux le faire. Je me suis levé et je suis parti. Plus tard, Miller m'a dit qu'il avait consulté le médecin de Marilyn et que celui-ci lui avait dit que l'enfant ne pouvait pas être de moi...».

Le palyboy explique que sa liaison avec Marilyn s'est donc achevée avec la fin du scénario. C'est plus tard, qu'il a finalement appris que l'actrice avait fait une fausse couche (ou décidé d’avorter?).

Icône la plus glamour d’Hollywood, Marilyn a instauré la gloire du blond platine et des formes féminines. Pourquoi attendre si longtemps pour ajouter au mythe Monroe, vous demandez-vous?

Si Tony Curtis, le sex-symbol, est resté jusque-là muet, c’est qu’il était lui-même marié à cette époque avec Janet Leigh alors enceinte de leur deuxième fille, Jamie Lee Curtis. Un secret de polichinelle.

Marilyn Monroe: ses poumons aux enchères!

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Galapublié le 29/06/2010 à 20h34

La star vendue au rayon X

Marilyn Monroe

 

Des radiographies, notamment des poumons, de Marilyn Monroe ont été vendues aux enchères à Las Vegas. Que restera-t-il de ses mystères?

Au fil des années, la pauvre Marilyn Monroe ne pourra plus rien cacher de son intimité. Après des images où elle fumait un joint, d'autres où elle s'adonnait à des pratiques sexuelles, la publication d'un dossier du FBI l'impliquant dans des parties fines avec les frères Kennedy, voilà qu'on s'arrache les derniers remparts de ses secrets. En effet, c'est ce qu'il y avait derrière les seins de Marilyn Monroe qui passionne les a-mateurs et a permis une grosse vente aux enchères ce week-end...

Des radiographies de la cage thoracique de Marilyn Monroe. C'est ni plus ni moins l'un des lots qui étaient mis à prix par Julien's Auctions (déjà à l'origine de la vente d'objets ayant appartenu à Michael Jackson...), au Planet Hollywood Resort and Casino. Au total, trois clichés des poumons, mais aussi d'autres du bassin réalisés à l'époque où Marylin se croyait enceinte, se sont arrachés pour 45 000 dollars.

Il fallait aussi mettre un gros paquet sur le tapis pour emporter la chaise utilisée lors de la dernière séance photos de Marylin. Mais il ne faut pas nécessairement être mort, aux Etats-Unis, pour mettre à profit sa célébrité. Pour preuve, cette paire de boucles d'oreilles portée par Kate Winslet, dans Titanic. Mais à 25 000 dollars les breloques, ce genre de souvenirs est réservé aux maîtres du monde.


Marilyn sur le divan

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Galapublié le 28/06/2010 à 20h42 par Jean-François Kervéan

45 ans après sa mort, les psys cherchent à savoir qui elle est

Marilyn sur le divan

 

Dans la nuit du 4 au 5 août 1962, Marilyn Monroe choisi de mettre fin à ses jours. Cette fameuse nuit , une star sensuelle s'éteint et une légende est née.

Lire le début : Marilyn dénudée par ses psys

Dans Certains l’aiment chaud, il fallut quatre-vingts prises pour lui faire dire « Mais où est cette bouteille de Bourbon ? » Et dans Quelque chose doit craquer, film terminal, elle ne put jamais prononcer sa première réplique « Nick, mon chéri ». Côté vie privée, rien ne tient. Greenson mesure son vide et son vertige sexuel. Elle lui avoue qu’elle peut s’offrir à n’importe qui, au plombier venu réparer sa baignoire, à un chauffeur de taxi de nuit. Et Montand ? « Il est parti, il m’a appelée “une passade”. » Et Arthur Miller, son dernier mari ? « Il me trouve laide et idiote et lourde et fatigante et malheureuse, je crois. » Rencontrant Miller, Greenson le prévient : « Il faut l’aimer intégralement, sinon c’est comme si vous ne lui donniez rien. » Miller n’aura pas cette force, et s’enfuit.

Tout le monde a peur. A New York en février 1961, Marianne Kris, la voyant dans un état catastrophique après quarante-deux séances en deux mois, prendra la décision de l’interner de force. Epreuve apocalyptique pour Marilyn. Elle éclate une vitre avec une chaise, menace de s’ouvrir les veines. Joe DiMaggio, son ex-mari, qu’elle n’avait pas revu depuis sept ans, la sort du gouffre. Dans Marilyn dernières séances*, on trouve son immense lettre écrite à Greenson depuis la clinique, très belle : « Je n’ai pas dormi de la nuit. Parfois je me demande à quoi sert la nuit. Pour moi ce n’est jamais qu’un affreux jour sans fin... »

A L.A., Greenson la récupère. Son état s’aggrave. Aucun psy ne fit jamais de diagnostic de Marilyn Monroe. Dans sa correspondance, Greenson répète seulement : « Elle est très malade. » Schizophrène ? Un peu. Paranoïaque ? Un peu. Borderline, dirait-on aujourd’hui, incapable de se relever des blessures psychiques qu’elle a vécues enfant (père disparu, mère folle, abandons, abus pro bables). Et narcissique, évidemment, le noyau le plus dur à vaincre pour la psychanalyse. Sa mise à nu semble la laisser au bord du vide, sans la guérir. Rien ne tient. Sauf la peur. Les objectifs des photographes et les miroirs la calment, un peu.

Bientôt, cette femme qui pleure, tantôt sublime, tantôt bouffie et blafarde, Greenson doute de pouvoir la guérir, alors il va la protéger, devenir son père, lui offrir la famille qu’elle n’a pas eue. Pulvérisant le cadre de la psychanalyse, il va littéralement adopter et diriger une petite fille de trente-quatre ans. Elle le voit tous les jours, même le dimanche, à 50 dollars la séance (tarif préférentiel mais onéreux). Le soir, Marilyn dîne chez son psy, en famille dans sa belle hacienda. Après le repas, elle fait même la vaisselle. Quand sa tuyauterie tombe en panne, ravie, elle se précipite chez les Greenson pour se laver les cheveux. Nuit et jour, elle et lui s’appellent. Peu à peu, il décide de tout. Les films, les cachets (Marilyn fut sous-payée jusqu’à sa mort). Oui, elle jouera la revenante névrosée de Quelque chose doit craquer. Grassement rémunéré par les studios, Greenson doit contrôler le script, le montage, et garantir la ponctualité de Marilyn. Il échouera.

Mais on n’en peut plus de Marilyn, les Kennedy, les studios, les psys, le personnel de maison. Inquiet et dépassé, Greenson décide de prendre enfin ses premières vacances depuis deux ans. Il lui laisse un psy temporaire : Milton Wexler, pourtant hostile au traitement de Greenson. Selon lui, replacer Marilyn Monroe devant une famille, un foyer ne fait que renforcer sa détresse de n’en avoir jamais eu. Greenson part pour l’Europe. Le tournage de Quelque chose doit craquer commence. Il ne finira jamais. Marilyn va craquer. Elle le sait. Elle l’a dit lors de sa dernière séance. Avec la mort de l’enfant qu’elle portait de Miller, à trente-six ans, elle comptabilise dix-sept fausses couches et avortements. Elle se sauve pour chanter ce célèbre Happy Birthday éméché et paroxystique à l’homme le plus puissant du monde. Dernière baise, la nuit même, au Carlyle, avant que Kennedy ne coupe les ponts. Rage. Menace, chantage. Folie. Sinatra reprend la main, conviant l’actrice dans un casino du Nevada, pour une tournante entre potes. Il existe une photo, une seule, atroce, d’une Marilyn nue, défoncée, à quatre pattes entre des jambes d’hommes. Greenson revient. Trop tard ?

La psychanalyse ne l’a pas sauvée. Nul ne sait aujourd’hui ce qui s’est passé à Santa Monica. Ce corps déplacé. Ces hommes du F.B.I., partout. Ralph Greenson brisa la vitre de la chambre où gisait sa patiente, il est « le dernier homme à l’avoir vue vivante, et le premier à l’avoir vue morte » titra la presse. Il valide le suicide. Dans le ciel vide et plein d’étoiles où vivait Marilyn, la psychanalyse ne fut pas assez forte pour retrouver un sens. Un jour après une séance, Greenson trouva un petit mot plié laissé par Marilyn. C’était un poème. « La nuit n’a ni regard ni silence / Sauf pour la nuit elle-même. »

* De Michel Schneider, éd. Grasset.

Marilyn sur le divan

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puGalablié le 06/09/2006 à 20h54

45 ans après sa mort, les psys cherchent à savoir qui elle est . Dans la nuit du 4 au 5 août 1962, Marilyn Monroe choisi de mettre fin à ses jours. Cette fameuse nuit , une star sensuelle s'éteint et une légende est née.

Marylin Monroe

 

La blonde la plus célèbre du monde avait trois passions : le sexe, les barbituriques... Et la psychanalyse.Un jour, son psychanalyste lui demanda ce qu’il faudrait écrire sur sa tombe. De son petit rire gloussant, elle répliqua : « Marilyn Monroe, blonde, 94.53.89. » Il aura fallu presque cinquante ans, depuis cette aube triste du 5 août 1962 où Marilyn gît nue sous un drap, pour comprendre le cœur d’une femme sous le strass de la déesse. Norma Jean Baker-Marilyn Monroe était d’une intelligence à fleur de peau, aussi intelligente que blessée, aussi vive et gaie qu’autodestructrice.

En janvier 1960, quand elle fait venir pour la première fois à son chevet Ralph Greenson, le psy du Tout-Hollywood, il la juge trop fragile pour l’analyse et choisit une psychothérapie : « Tous les hommes veulent m’allonger, sauf vous ! », plaisanta l’actrice. Ils ne se lâcheront plus. Marilyn n’est pas une novice, depuis le milieu des années cinquante, la psychanalyse l’a suivie à travers le monde : Anna Freud l’a même prise en charge à Londres (Greenson restera discret sur ces séances, ne voulant pas entacher le nom de Freud par un cas qu’il pressentait funeste). Marianne Kris – qui plus tard soignera Jackie Kennedy – la suivra à New York. Dans cette ville qu’elle aime, en perruque brune et lunettes noires, la star se fond dans l’anonymat des rencontres sexuelles.

Revenue à Los Angeles, elle raconte tout à Greenson. Il devient le gourou de la femme la plus célèbre et la plus fragile du monde. Sa carrière chancelle. La Fox s’épouvante de ses retards... A Greenson, elle murmure : « Ce n’est peut-être pas pour faire attendre les hommes que je suis en retard, c’est pour faire attendre la mort. » Il est sidéré. La nuit, elle l’appelle pendant des heures : « Docteur Greenson, la première fois que vous m’avez reçue, vous m’avez regardée du fond de vous-même. Comme s’il y avait quelqu’un en moi à qui vous alliez me présenter. Ça m’a fait du bien. » Elle sera toujours ponctuelle chez Greenson, mettant même une bouteille de Dom Pérignon au frais pour chaque fin de séance. « Je ne l’ai jamais touchée, confiera Greenson, on n’écoute pas les gens que l’on touche. »

Mais une passion va les lier. Il veut sauver Marilyn Monroe. On l’accuse d’avoir sous-estimé sa dépendance aux barbituriques, probablement, mais depuis ses premiers essais, à dix-huit ans, Marilyn se gave de Demerol, Penthotal, Phénobarbital, Amytal... Sa connaissance de la pharmacopée stupéfia Greenson. Elle piquait les capsules à coups d’épingle pour accélérer leur effet. Rien n’y fait, son angoisse empire. La panique l’envahit de plus en plus souvent sur les plateaux.

Sommières et son histoire publie dans son nouveau bulletin des articles sur les deux guerres mondiales

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Midi Librepublié le 06/02/2014 à 19 h 00

L’association Sommières et son histoire publie chaque année un bulletin qui révèle chaque fois de nouveaux aspects de l’histoire de la ville. Le numéro 22, qui vient de sortir, apporte avec lui son lot d’anecdotes et de précisions sur différents sujets.

Sommières et son histoire

 

Cette année 2014 est l’occasion de célébrer un double anniversaire. Celui du centenaire du début de la Première Guerre Mondiale ainsi que le soixante-dixième anniversaire de la libération de la ville en août 1944.

Plusieurs articles sont consacrés à la guerre de 1914, traitant du déclenchement de celle-ci, de la mobilisation qui a suivi et de la création d’un hôpital militaire. Un important chapitre, dû à M. Grais-Bruguière traite des victimes tombées sur le front, de leurs sépultures sur place et de leur retour éventuel pour inhumation au cimetière communal. L’hommage aux morts de la grande guerre, dans les années qui ont suivi, a conduit de nombreuses communes à édifier des monuments aux morts. La création de celui de Sommières nous est contée dans ce chapitre.

La Libération de la ville en 1944 a été marquée par le passage d’une colonne allemande qui faisait retraite vers l’Allemagne et qui a été mitraillée par des avions américains. Elle s’est alors rendue aux forces de la Résistance. Un article d’Aimé Jeanjean rappelle le rôle joué par un officier belge, Aimé de Zutter et le maquis Aigoual-Cévennes, dans cette affaire.

D’autres articles sur l’histoire plus ancienne de la ville racontent : un épisode de la vie du colonel Vialla ; Sommières il y a cent ans ; histoires des sièges de la ville en 1573 et 1575 ; le couvent des Cordeliers ; la danse des treilles.

L’association lance un appel auprès des personnes qui auraient des documents se rapportant à la première Guerre Mondiale (carnets de poilus, photos, cartes postales, objets de prisonniers…) de bien vouloir se manifester auprès des archives municipales qui les photocopieront et les rendront à leurs propriétaires.

Les bulletins sont en vente : à l'Office de tourisme, à la librairie de l'Avenir et chez Max Sagon, photographe. 

L'histoire : révoqué par Vichy, l'instituteur est réintégré 70 ans après

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Midi Librepublié le 24/12/2013 à 15h15

Un instituteur ariégeois à la retraite, révoqué en 1943 par le régime de Vichy pour avoir échappé au Service du travail obligatoire (STO), a été officiellement réintégré 70 ans après, a annoncé mardi le ministère de l'Education nationale.

Instituteur révoqué

 

Jean Souque, 94 ans, "est réintégré en qualité d'instituteur, à compter du 28 juillet 1943", selon un courrier du ministre de l'Education nationale Vincent Peillon en date du 19 décembre et transmis à la presse. En 1943, le jeune instituteur de 24 ans a la charge d'une classe de 6e dans le village de Seix (Ariège) lorsqu'il est convoqué pour le STO, direction la Pologne où il est censé participer à l'effort de guerre allemand. "Bien entendu, il n'était pas question que j'aille au service des Allemands", se rappelle M. Souque. Le réfractaire décide avec un groupe d'amis de passer la frontière espagnole pour rejoindre les forces combattantes françaises en Afrique du Nord. M. Souque met à profit sa connaissance des passeurs de la région pour franchir début juillet 1943 les Pyrénées, au nez et à la barbe des Allemands qui surveillaient pourtant ces "chemins de la liberté".

Un grand combattant

Rapidement interpellé et emprisonné en Espagne, il est libéré en novembre 1943 et finit par rejoindre le Maroc, où il décide de s'engager dans une unité combattante: "On était parti pour se battre... alors j'ai choisi les commandos parachutistes". Il participe ensuite au débarquement en Provence, à compter du 15 août 1944, puis remonte la vallée du Rhône et rejoint l'Alsace "en combattant continuellement". Au printemps 1945, il franchit le Rhin début avril et est grièvement blessé quelques jours plus tard, atteint d'une balle dans la cuisse. Son lieutenant, médecin dans le civil, parviendra à lui ligaturer l'artère fémorale avant qu'il ne puisse être hospitalisé. Fin de la guerre pour Jean Souque.

Une carrière exemplaire malgré sa révocation par Vichy

C'est à son retour en Ariège, en novembre 1945, qu'il apprend par sa mère sa révocation de l'Education nationale par le régime de Vichy, défait entre temps. "Ma mère me l'annonce, en montrant le papier qu'elle avait reçu. Elle n'en avait pas dormi pendant des nuits et des nuits", se souvient M. Souque. "J'ai été voir mon directeur du cours complémentaire, un M. Palmade. Il m'a accompagné pour rencontrer l'inspecteur d'académie. Celui-ci a dit: "Ne vous inquiétez-pas, on va lui donner un poste et pour le reste, ça s'arrangera". M. Souque reprend alors le cours normal de sa carrière, qu'il terminera comme directeur d'école à Saint-Girons, à une vingtaine de kilomètres de Seix. Il demande à plusieurs reprises la régularisation de sa situation, en vain. Toujours vaillant, le retraité avoue avoir accueilli la nouvelle de sa réintégration à retardement dans une certaine "indifférence". "Après tout ce que j'ai fait, j'estimais qu'on ne pouvait rien me reprocher. Par conséquent, moi, j'avais la conscience tranquille".

Décès d'un soldat japonais qui avait continué la guerre jusqu'en 1974

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Midi Librepublié le 17/01/2014 à 14h25

Iroo Onoda est mort à Tokyo à 91 ans. Banal, sauf que cet ancien soldat japonais a vécu caché dans la jungle aux Philippines jusqu'en 1974, pensant que la guerre n'était pas finie.



Hiroo Onoda

Cette image prise le 11 mars 1974 montre l'ancien soldat impérial japonais d'armée Hiroo Onoda sortant de la jungle où il s'était caché depuis la Deuxième Guerre mondiale, dans l'île Lubang aux Philippines. (AFP JIJI PRESS)

 

Durant près de trente ans après la capitulation de l'empire nippon, cet officier de renseignement et spécialiste des techniques de guérilla a résisté sur l'île philippine de Lubang, près de Luzon. On l'y avait envoyé en 1944 avec un ordre formel: ne jamais se rendre et tenir jusqu'à l'arrivée de renforts. Avec trois autres soldats, il a obéi à cette instruction pendant des années après le conflit, ignorant que le combat était fini.

Introuvables dans la jungle

Leur existence fut découverte en 1950 lorsque l'un d'eux décida de sortir de la forêt et de rentrer au Japon. On a eu beau alors larguer par avion des tracts annonçant à Onoda que la guerre était terminée depuis longtemps et que l'armée impériale avait été battue, le soldat n'y crut jamais et continua avec ses derniers acolytes à surveiller des installations militaires et même parfois à se battre contre des soldats philippins. Après la mort d'un des compagnons d'infortune de Onoda, Tokyo et Manille continuèrent de rechercher ce dernier et son ultime frère d'arme pendant dix ans. Finalement les recherches furent arrêtées en 1959, Japonais et Philippins étant persuadés que tous deux étaient morts.

Retrouvé vivant en 1974

Mais en 1972, ils refirent surface pour attaquer des troupes philippines. Onoda réussit à s'enfuir alors que son dernier homme était tué. Tokyo décida alors d'envoyer des membres de sa propre famille pour tenter de le convaincre d'arrêter le combat, mais en vain. Il aura finalement fallu que son ex-commandant s'enfonce lui-même dans la jungle en 1974 et lui ordonne de déposer les armes pour qu'il accepte sa reddition. Hiroo Onoda était le dernier de ces dizaines de soldats japonais qui, aux quatre coins de l'Asie, ne croyaient pas à la défaite, et avaient décidé de continuer la lutte au nom de l'empereur Hirohito, bien après la capitulation annoncée par ce dernier le 15 août 1945. A son retour au Japon en 1974, il expliqua lors d'une conférence de presse que pendant ses trente années au coeur de la jungle philippine, il n'avait eu qu'une seule chose en tête: "exécuter les ordres".

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