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Channel: Mémoires de Guerre
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Morison Patricia

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Patricia Morison (parfois créditée Patricia Morrison) est une actrice et chanteuse américaine, née Eileen Patricia Augusta Fraser Morison à New York le 19 mars 1915. Patricia Morison joue au cinéma de 1935 à 1976 et à la télévision (séries, téléfilms) entre 1950 et 1989. Après une participation à un court métrage en 1935, elle débute véritablement au cinéma dans un film de 1939, produit par la Paramount, où elle sera sous contrat jusqu'en 1942. À l'issue d'une tournée en Grande-Bretagne (afin de distraire les troupes américaines depuis peu engagées dans la Seconde Guerre mondiale), elle poursuit de manière indépendante, à partir de 1943, sa carrière au cinéma, où elle apparaîtra le plus souvent dans des seconds rôles.

Elle fait également carrière au théâtre, principalement dans des comédies musicales, étant une bonne chanteuse (dans la tessiture de mezzo-soprano). Notamment, de 1933 à 1954, elle se produit à Broadway, où elle crée en 1948, dans Kiss Me, Kate, le rôle de Lilli Vanessi qu'elle reprendra jusqu'en 1965, tant au théâtre (notamment à Londres) qu'à la télévision. Toujours à Broadway, elle est l'une des interprètes d'Anna Leonowens, aux côtés de Yul Brynner, dans une autre comédie musicale à succès, créée en 1951, Le Roi et moi (elle reprendra aussi ce rôle, à Los Angeles puis à Saint Louis). Mentionnons encore son interprétation de Maria von Trapp, toujours dans une comédie musicale bien connue, La Mélodie du bonheur, à Los Angeles en 1972.

Morison PatriciaMorison Patricia

Filmographie 

  • 1935 : Wreckless de William A. Shilling (court métrage)
  • 1939 : Le Parfum de la dame traquée (Persons in Hiding) de Louis King
  • 1939 : The Magnificent Fraud (en) de Robert Florey
  • 1940 : Rangers of Fortune de Sam Wood
  • 1941 : Romance of the Rio Grande d'Herbert I. Leeds
  • 1942 : Mabok, l'éléphant du diable (Beyond the Blue Horizon) de Alfred Santell
  • 1942 : Night in New Orleans de William Clemens
  • 1943 : Silver Skates de Leslie Goodwins
  • 1943 : Nid d'espions (The Fallen Sparrow) de Richard Wallace
  • 1943 : Hitler's Madman de Douglas Sirk
  • 1943 : Le Chant de Bernadette (The Song of Bernadette) de Henry King
  • 1945 : Sans amour (Without Love) de Harold S. Bucquet
  • 1945 : Deanna mène l'enquête (Lady on a Train) de Charles David
  • 1946 : La Clef ou Sherlock Holmes et la Clef (Dressed To Kill) de Roy William Neill
  • 1947 : Le Carrefour de la mort (Kiss of Death) de Henry Hathaway (rôle coupé au montage)
  • 1947 : Meurtre en musique (Song of the Thin Man) d'Edward Buzzell
  • 1947 : L'Amazone de la jungle (Queen of the Amazons) d'Edward Finney
  • 1947 : Tarzan et la Chasseresse (Tarzan and the Huntress) de Kurt Neumann
  • 1948 : The Prince of Thieves de Howard Bretherton
  • 1948 : Sofia de John Reinhardt
  • 1948 : Furie sauvage (The Return of Wildfire) de Ray Taylor et Paul Landres
  • 1960 : Le Bal des adieux (Song without End) de Charles Vidor et George Cukor

Télévision

  • 1958 : Kiss Me, Kate, téléfilm de George Schaefer
  • 1964 : Kiss Me, Kate, téléfilm de David Askey
  • 1985 : Le Miroir aux alouettes (Mirrors), téléfilm de Harry Winer
  • 1989 : Send in the Crane de James Burrows (saison 7, épisode 9, de la série Cheers)

Théâtre

  • 1933 : Growing Pains, pièce d'Aurania Rouverol, produite et mise en scène par Arthur Lubin, avec Georgette McKee
  • 1938 : The Two Bouquets, opérette, livret et lyrics d'Herbert et Eleanor Farjeon, mise en scène et production de Marc Connelly, avec Leo G. Carroll, Alfred Drake, Enid Markey
  • 1944 : Allah be praised !, musique de Don Walker et Baldwin Bergersen, livret et lyrics de George Marion Jr.
  • 1948-1951 : Kiss Me, Kate, musique et lyrics de Cole Porter, livret de Bella et Samuel Spewack, d'après La Mégère apprivoisée (The Taming of the Shrew) de William Shakespeare, avec Alfred Drake (adaptée au cinéma en 1953)
  • 1951-1954 : Le Roi et moi (The King and I), musique de Richard Rodgers, livret et lyrics d'Oscar Hammerstein II, chorégraphie de Jerome Robbins, mise en scène de John Van Druten, d'après le roman Anna et le Roi de Siam (Anna and the King of Siam) de Margaret Landon, avec Yul Brynner (Alfred Drake en remplacement), Gertrude Lawrence (Celeste Holm ou Patricia Morison en remplacement), Sal Mineo (adaptée au cinéma en 1956)
  • 1954 : Le Roi et moi, reprise à Los Angeles
  • 1959 : Le Roi et moi, reprise à Saint Louis
  • 1965 : Kiss Me Kate, reprise à Seattle et New York
  • 1972 : La Mélodie du bonheur (The Sound of Music), musique de Richard Rodgers, lyrics d'Oscar Hammerstein II, livret de Howard Lindsay et Russel Crouse, reprise à Los Angeles (adaptée au cinéma en 1965)

La Femme gorille

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La Femme gorille (Captive Wild Woman) est un film américain réalisé par Edward Dmytryk, sorti en 1943. Un scientifique fou fait de l'expérimentation dans la recherche glandulaire et devient obsédé par la transformation d'une femelle gorille dans un être humain ... même si cela coûte la vie humaine.

La Femme gorille d'Edward DmytrykLa Femme gorille d'Edward Dmytryk

La Femme gorille d'Edward Dmytryk

Fiche technique

  • Titre original : Captive Wild Woman
  • Titre français : La Femme gorille
  • Réalisation : Edward Dmytryk
  • Scénario : Ted Fithian, Neil P. Varnick, Griffin Jay et Henry Sucher
  • Photographie : George Robinson
  • Société de production : Universal Pictures
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Format : Noir et blanc - 1,37:1 - Mono
  • Genre : horreur
  • Date de sortie : États-Unis : 4 juin 1943

Distribution

  • John Carradine : Dr. Sigmund Walters
  • Evelyn Ankers : Beth Colman
  • Milburn Stone : Fred Mason
  • Acquanetta : Paula Dupree, la femme gorille
  • Lloyd Corrigan : John Whipple
  • Martha Vickers : Dorothy Colman
  • Vince Barnett : Curley
  • Paul Fix : Gruen

L'Île aux plaisirs

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L'Île aux plaisirs (Coney Island) est un film musical américain de Walter Lang, sorti en 1943. Eddy Johnson et Joe Rocco se disputent l'amour de Kate Farley, l'amie de Rocco Eddy ouvre une boite de nuit pour concurrencer celle de Joe. Après avoir saccagé leurs établissements, ils s'aperçoivent de l'inutilité de leur lutte se réconcilient et s'associent. Kate devient une vedette à Broadway et vit avec Eddy.

L'Île aux plaisirs de Walter LangL'Île aux plaisirs de Walter Lang

L'Île aux plaisirs de Walter Lang

Fiche technique

  • Titre original : Coney Island
  • Titre français: L'Île aux plaisirs
  • Réalisateur : Walter Lang
  • Scénario : George Seaton
  • Direction artistique : Richard Day et Joseph C. Wright
  • Décors : Frank E. Hughes et Thomas Little
  • Costumes : Helen Rose
  • Photographie : Ernest Palmer
  • Montage : Robert L. Simpson
  • Musique : Cyril J. Mockridge (non crédité)
  • Direction musicale : Alfred Newman
  • Chorégraphe : Hermes Pan et Angela Blue (assistante)
  • Production : William Perlberg
  • Société de production : Twentieth Century Fox
  • Société de distribution : Twentieth Century Fox
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Format : Couleurs (Technicolor) - 35 mm - 1,37:1 - Son mono (Western Electric Recording)
  • Durée : 96 minutes
  • Genre : comédie musicale
  • Dates de sortie : États-Unis 11 juin 1943 (San Francisco), 18 juin 1943 (sortie nationale), France : 21 octobre 1947 (Festival de Cannes) ; 6 mai 1949 (Paris)

Distribution

  • Betty Grable : Kate Farley
  • George Montgomery : Eddie Johnson
  • Cesar Romero : Joe Rocco
  • Charles Winninger : Finnigan
  • Phil Silvers : Frankie
  • Matt Briggs : William 'Willie' Hammerstein
  • Paul Hurst : Louie
  • Leo Diamond : lui-même
  • Hermes Pan : danseur (non crédité)

Tessa, la nymphe au cœur fidèle

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Tessa, la nymphe au cœur fidèle (The Constant Nymph) est un film américain réalisé par Edmund Goulding, sorti en 1943. Le film est une adaptation du roman de Margaret Kennedy, Tessa, la nymphe au cœur fidèle (The Constant Nymph, 1924). Le compositeur Lewis Dodd rend visite à son ami Sanger, un vieux musicien. Ce dernier est le père de quatre filles qui font fête au nouveau venu. Si Antonia doit se marier avec Fritz Bercovi, les trois autres mènent une vie romanesque, imprégnée des paysages de la région. La plus jeune, Tessa, qui souffre d'une maladie de cœur, se sent vite attirée par Dodd, malgré la différence d'âge. Celui-ci s'amuse de ses sentiments. À la mort de Sanger, il décide de placer les trois jeunes filles dans un pensionnat. Entre temps, il épouse une de leurs cousines Florence Creighton. Malheureuses dans leur nouvelle existence, Tessa et sa sœur Paula s'enfuient de leur institution…

Tessa, la nymphe au cœur fidèle d'Edmund GouldingTessa, la nymphe au cœur fidèle d'Edmund Goulding

Tessa, la nymphe au cœur fidèle d'Edmund Goulding

Fiche technique

  • Titre : Tessa, la nymphe au cœur fidèle
  • Titre original : The Constant Nymph
  • Réalisation : Edmund Goulding
  • Scénario : Kathryn Scola d'après le roman de Margaret Kennedy et la pièce de Basil Dean
  • Production : Henry Blanke et Hal B. Wallis
  • Société de production : Warner Bros. Pictures
  • Musique : Erich Wolfgang Korngold
  • Photographie : Tony Gaudio
  • Montage : David Weisbart
  • Direction artistique et décors : Carl Jules Weyl
  • Création des costumes : Orry-Kelly (robes)
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Format : Noir et blanc - Son : Mono (RCA Sound System)
  • Genre : Drame romantique
  • Durée : 112 minutes
  • Date de sortie : 23 juin 1948 New York (États-Unis)
  • Dates de sortie : États-Unis : 23 juin 1943 (New York)  ; France : 4 juin 1947

Distribution

  • Charles Boyer : Lewis Dodd
  • Joan Fontaine : Tessa Sanger
  • Brenda Marshall : Toni Sanger
  • Alexis Smith : Florence Creighton
  • Charles Coburn : Charles Churchill
  • Dame May Whitty : Lady Longborough
  • Peter Lorre : Fritz Bercovi
  • Jean Muir : Kate Sanger
  • Joyce Reynolds : Paula Sanger
  • Eduardo Ciannelli : Roberto
  • Montagu Love : Albert Sanger
  • Janine Crispin : Marie
  • Doris Lloyd : Miss Hamilton
  • Joan Blair : Lina Kamaroff
  • Crauford Kent : Thorpe
  • Richard Ryen : Trigorin
  • Marcel Dalio : Georges

Corvette K-225

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Corvette K-225 est un film américain réalisé par Richard Rosson et Howard Hawks, sorti en 1943. Le lieutenant commandant McClain, de la Canadian Navy, a perdu son bateau et beaucoup de ses hommes face à un torpilleur allemand. En attendant son nouveau navire, le Corvette K-255, le lieutenant rencontre Joyce Cartwright, la sœur de l'un de ses défunts officiers. Alors que la construction du bateau avance peu à peu, il s'avère que le futur subalterne de McClain est le frère de Joyce, fraîchement sorti de l'académie... 

Corvette K-225 de Richard Rosson Corvette K-225 de Richard Rosson

Corvette K-225 de Richard Rosson

Fiche Technique

  • Production Company: Universal Pictures Company, Inc.  
  • Distribution Company: Universal Pictures Company, Inc.  
  • Director: Richard Rosson (Dir), William Tummel (Asst dir)
  • Producer: Howard Hawks (Prod)
  • Writer: John Rhodes Sturdy Lieut. R.C.N.V.R. (Orig scr)
  • Photography: Tony Gaudio (Dir of photog)
  • Harry Perry (Convoy photog)
  • Len Powers (Crew, Convoy photog)
  • Bert Eason (Crew, Convoy photog)
  • Roland Smith (Crew, Convoy photog)
  • Harry Gudstram (Crew, Convoy photog)
  • Art Direction: John B. Goodman (Art dir)
  • Robert Boyle (Art dir)
  • Film Editor: Edward Curtiss (Film ed)
  • Set Decoration: R. A. Gausman (Set dec)
  • A. J. Gilmore (Set dec)
  • Music: Charles Previn (Mus dir)
  • David Buttolph (Mus score)
  • Sound: Bernard B. Brown (Dir of sd)
  • William Hedgcock ([Sd] tech)
  • Special Effects: John P. Fulton (Spec photog eff)
  • Production Misc: Vernon Keays (Bus mgr)
  • John Rhodes Sturdy Lieut. R.C.N.V.R. (Tech adv)
  • Country: United States

Distribution

  • Randolph Scott (Lieut. Commander MacClain)  
  • James Brown (Paul Cartwright)  
  • Ella Raines (Joyce Cartwright)  
  • Barry Fitzgerald (Stooky O'Meara)  
  • Andy Devine (Walsh)  
  • Fuzzy Knight (Cricket)  
  • Noah Beery Jr. (Stone)  
  • Richard Lane (Admiral)  
  • Thomas Gomez (Smithy)  
  • David Bruce (Rawlins)  
  • Murray Alper (Jones)  
  • James Flavin ([Bill] Gardner)  
  • Walter Sande (Evans)  
  • Edmund MacDonald (LeBlanc)  
  • Matt Willis (Roger)  
  • Bob Mitchum (Sheppard)  
  • Charles McGraw (E.R.A.)  
  • Oscar O'Shea (Captain Smith)  
  • Addison Richards (Commander Rowland)  
  • Jack Wegman (Naval captain)  
  • James Dodd (Steward)  
  • John Diggs (Naval rating)  
  • Milburn Stone (Canadian captain)  
  • Lester Matthews (British captain)  
  • Ian Wolfe (Paymaster commander)  
  • Holmes Herbert (Commodore Ramsay)  
  • Frank Faylen (Workman)  
  • Charles Cane (Workman)  
  • Jack C. Smith (Workman)  
  • Oliver Prickett (Cook)  
  • William Forrest (Commander Manning)  
  • Morton Lowry (British lieutenant)  
  • Grandon Rhodes (Lieutenant)  
  • John Mylong (Submarine commander)  
  • Guy Kingsford (RAF pilot)  
  • Vernon Downing (Officer)  
  • John Frederick (Officer)  
  • Stewart Garner (Officer)  
  • Neal Young (Officer)  
  • Jack Mulhall (Officer)  
  • Joseph Haworth (Officer)  
  • Gary Bruce (Officer)  
  • Jack Luden (Officer)  
  • Howard Banks (Officer)  
  • Earl Kent (Officer)  
  • Frank Mayo (Captain of merchant ship)  
  • Leslie Denison (Pilot)  
  • John Frazer (Submarine lieutenant)  
  • Don McGill (Submarine lieutenant)  
  • James Butler (Rating)  
  • John Estes (Rating)  
  • Eddie Coke (Rating)  
  • Bob McCutchin (Rating)  
  • Frank Coghlan Jr. (Rating)  
  • Phil Warren (Rating)  
  • John Walsh (Rating)  
  • Jackie Ray (Rating)  
  • Franklin Parker (Captain)  
  • Kendall Bryson (Naval officer)  
  • Peter Lawford (Naval officer)  
  • Nelson Leigh (Naval officer)  
  • Tony Marsh (RAF officer)  
  • Martin Ashe (RAF officer)  
  • George O'Hanlon (RCAL wireless operator)  
  • Rex Lease (Coxswain)  
  • John Whitney (Quartermaster)  
  • Gene O'Donnell (Quartermaster)  
  • Fred Steele (Quartermaster)  
  • Paul Bryar (Stoker)  
  • John Elliott (Merchant captain)  
  • George Sherwood (Canadian lieutenant)  
  • Tommy Branningan (Newsboy)  
  • Arthur Stuart Hull (Civilian)  
  • Hooper Atchley (Civilian)  
  • Claire Meade (Hostess)  
  • Michael Kirk (Petty officer)  
  • Bill Sloan (Quartermaster Anderson)  
  • Clarence Straight (Signalman)  
  • Jack Gardner (Signalman)  
  • John James (Signalman)  
  • Richard Crane (Leading torpedo man)  
  • Eddie Dew (Crew man)  
  • Charles Sherlock (First mate)  
  • Bob Lowell (Gunner's mate)  
  • Jimmy Carpenter (Lookout)  
  • Cliff Robertson (Lookout)  
  • Carl Vernell (Leading seaman)  
  • Pauline Ignatiev (Russian woman)  
  • Bill Walker (Wireless rating)  
  • Sandra Morgan 

La Vie aventureuse de Jack London

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La Vie aventureuse de Jack London (Jack London) est un film américain d'Alfred Santell sorti en 1943.  Evocation de la vie du célèbre écrivain américain. 

La Vie aventureuse de Jack London d'Alfred Santell La Vie aventureuse de Jack London d'Alfred Santell

La Vie aventureuse de Jack London d'Alfred Santell

Fiche technique

  • Titre : La Vie aventureuse de Jack London
  • Titre original : Jack London
  • Réalisation : Alfred Santell
  • Producteur : Samuel Bronston et Joseph H. Nadel (producteur associé)
  • Société de production : Samuel Bronston Productions
  • Société de distribution : United Artists
  • Scénario et adaptation : Ernest Pascal et Isaac Don Levine d'après le roman The Book of Jack London de Charmian London
  • Photographie : John W. Boyle et Lee Garmes
  • Musique : Freddie Rich
  • Direction artistique : Bernard Herzbrun
  • Décorateur de plateau : Earl Wooden
  • Costumes : Maria P. Donovan et Arnold McDonald
  • Montage : William H. Ziegler
  • Pays : États-Unis
  • Format : Noir et blanc - Son : Mono (Western Electric Mirrophonic Recording)
  • Durée : 94 minutes
  • Genre : Film d'aventure - Film biographique
  • Date de sortie : 24 novembre 1943 première San Francisco, Californie (USA)

Distribution

  • Michael O'Shea : Jack London
  • Susan Hayward : Charmian Kittredge
  • Osa Massen : Freda Maloof
  • Harry Davenport : Professeur Hilliard
  • Frank Craven : Vieux Tom
  • Virginia Mayo : Mamie
  • Ralph Morgan : George Brett
  • Jonathan Hale : Kerwin Maxwell
  • Louise Beavers : Mammy Jenny
  • Leonard Strong : Capitaine Tanaka
  • Regis Toomey : Scratch Nelson
  • Albert Van Antwerp : French Frank
  • Lumsden Hare : Correspondant anglais
  • Edward Earle : James Hare

Et, parmi les acteurs non crédités 

  • Olin Howland : Un télégraphiste
  • Sarah Padden : Une femme à la conserverie

Darrieux Danielle

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Danielle Darrieux, née le 1er mai 1917 à Bordeaux, est une actrice française. En huit décennies de carrière, Danielle Darrieux a traversé l’histoire du cinéma parlant et a une carrière parmi les plus longues du cinéma. Elle est aujourd'hui l'une des dernières actrices mythiques du cinéma mondial.

Darrieux DanielleDarrieux Danielle

Excellente comédienne, elle s'est montrée à son aise dans tous les genres, avec un égal bonheur, depuis les jeunes filles ingénues dans des comédies musicales « à la française », aux jeunes filles romantiques de drames historiques, la Marie Vetsera de Mayerling (1936) d’Anatole Litvak et la Catherine Yourevska de Katia (1938) de Maurice Tourneur, en passant par les mélodrames et les comédies pétillantes d’Henri Decoin dont Abus de confiance (1938), Retour à l'aube (1938), Battement de cœur (1939), Premier rendez-vous (1941), jusqu'aux sommets de sa carrière que représentent notamment Occupe-toi d'Amélie (1949) de Claude Autant-Lara, La Vérité sur Bébé Donge (1952) de Decoin et surtout les films de Max Ophüls. Après la bourgeoise de La Ronde, Ophüls lui fera jouer une prostituée dans Le Plaisir et enfin lui offrira son plus beau rôle dans Madame de...

La comédienne, bien des années avant Brigitte Bardot, va imposer les initiales de son prénom et de son nom : DD. Danielle Darrieux voit le jour en 1917 au sein d’une famille de mélomanes. Elle passe son enfance à Paris où elle devient élève au Conservatoire de musique (études de violoncelle). La mort prématurée de son père contraint sa mère à donner des leçons de chant pour subsister. Danielle en retire très tôt un goût prononcé pour la musique. Elle est dotée d’une voix menue mais juste et claire. Elle prend également des cours de violoncelle et de piano. C’est par l’intermédiaire du mari d’une élève de sa mère, Marie Serta, qu’elle apprend que deux producteurs, Delac et Vandal, recherchent une héroïne d'environ treize ou quatorze ans pour leur prochain film. Elle se présente et passe des essais aux studios d’Epinay qui se révèlent concluants. Elle débute à 14 ans pour un premier rôle dans Le Bal (1931) de Wilhelm Thiele et tout de suite, séduisant les producteurs par son allant et sa spontanéité, elle décroche un contrat de cinq ans.

Danielle Darrieux ne pensait pas initialement exercer le métier d'actrice, et n'a jamais pris de cours d'art dramatique. « Jeune première idéale » du cinéma français dans les années 1930, elle a connu un succès qui ne s'est jamais démenti. Elle a beaucoup tourné, évoluant discrètement avec les années. » Sa carrière commence avec des rôles de gamine facétieuse et fantasque aux côtés des plus grands acteurs populaires du cinéma français d'avant-guerre : Jean-Pierre Aumont, Henri Garat, Pierre Mingand et surtout Albert Préjean avec qui elle forme, en six films, le couple de charme des comédies musicales françaises des années 1930 (La crise est finie, Dédé, Quelle drôle de gosse...) Dès son premier film, elle chante et interprète, dans bon nombre de ses films (bien souvent dans des compositions de Georges Van Parys) des chansons populaires qui font la joie du public. La crise est finie, Un mauvais garçon, Une charade et Premier rendez-vous que la France entière fredonnera pendant des mois durant l’occupation. Durant cette période, elle a aussi tourné dans le film Mauvaise graine (1933), réalisé par un scénariste autrichien exilé, fuyant l’Allemagne nazie, Billy Wilder. Un film tourné dans les rues de Paris en décors naturels, « C’était une sorte de film d’avant-garde » dira Wilder. Elle devient en 1935, l'épouse du réalisateur Henri Decoin, rencontré un an plus tôt lors du tournage de L'Or dans la rue, il lui fait tourner des comédies charmantes qui, aujourd'hui encore, font la joie des cinéphiles : J'aime toutes les femmes, Le Domino vert, Mademoiselle ma mère...

On la surnomme alors, la fiancée de Paris et elle triomphe déjà au box-office. « Le succès, c’est un mystère, j’ai réussi peut-être parce que mon personnage n’était pas courant sur les écrans : je veux dire par là que je n’étais simplement qu’une jeune fille, alors que les autres gamines de quatorze ans jouaient déjà à la vamp. » Toujours en 1935, Anatole Litvak lui offre un rôle plus dramatique : dans Mayerling, elle interprète une fragile et touchante comtesse Marie Vetsera aux côtés de Charles Boyer, déjà star en Amérique du Nord. C'est une révélation : Danielle Darrieux se montre émouvante tout en restant spontanée et naturelle. Le film connaît un succès mondial qui lui ouvre les portes d’Hollywood. C'est la consécration internationale pour Danielle Darrieux qui signe un contrat de 7 ans avec les studios Universal. Accompagnée de son mari, elle s’embarque pour Hollywood et tourne son premier film américain en 1938, La Coqueluche de Paris avec Douglas Fairbanks Jr.. Nino Frank, journaliste, déclara : « Danielle Darrieux débute à Hollywood et elle le fait avec une grâce extrêmement nuancée, un charme dépourvu de timidité, un talent qui enchante parce qu’elle est à l’aise et ne le brandit pas comme un drapeau. »

Mais très vite Danielle Darrieux s’ennuie à Hollywood et préfère casser son contrat pour rentrer en France. Entre-temps, Danielle Darrieux a déjà tourné un film de Maurice Tourneur, Katia qui exploite le succès et la magie de Mayerling. Henri Decoin confirmera également le talent dramatique de Danielle Darrieux avec Abus de confiance et Retour à l'aube, et surtout, profitant de son expérience acquise aux États-Unis, il tourne un chef-d’œuvre digne des meilleures comédies américaines Battement de cœur, un autre triomphe. Danielle Darrieux déclare à propos de Henri Decoin : « ...J’ai toujours eu une absolue confiance en lui et je lui ai obéi en tout. Sans ses conseils, son flair et son appui, je serais sans aucun doute restée une jolie fille chantant et bêtifiant dans des productions mineures et j’aurais probablement quitté le métier assez rapidement. Il a su me mettre en valeur et me persuader que je pouvais jouer de grands rôles dramatiques. Il a même écrit pour moi, m’imposait ainsi dans un emploi où personne ne m’imaginait et ne me voulait. Il m’encourageait quand je perdais confiance ou quand je voulais abandonner. C’est à lui et à lui seul, que je dois d'être ce que je suis devenue. »

Les trois derniers films de Decoin sont des succès et Darrieux est l’une des vedettes les plus populaires du moment. « ...Le public plébiscite, ovationne Danielle Darrieux. Les femmes portent à son instar des cravates, des jupes souples, les cheveux ondulés et libres sur les épaules... N’est-elle pas (sondage de la Cinématographie française) la plus populaire des vedettes ? N’est-elle pas copiée par toutes les jeunes femmes et jeunes filles qui voudraient posséder son aisance, sa joyeuseté, son élégance jamais tapageuse, toujours dans le vent ? » Darrieux tourne un nouveau film avec Decoin, Coup de foudre mais la guerre est déclarée et le film interrompu restera inachevé. Divorcée d’Henri Decoin en 1941, avec qui elle aura toujours des relations amicales, Danielle accepte, la même année, de tourner dans Premier rendez-vous pour la Continental. « Comme j’avais - à l’instar de beaucoup de mes camarades - tourné en Allemagne avant la guerre, je n’avais pas une idée bien précise de ce que représentait cette compagnie. » Le film et la chanson-titre connaissent un succès énorme en cette époque des années sombres de la guerre où le public a besoin de divertissement.

Elle se remarie en 1942 avec Porfirio Rubirosa, rencontré dans le Midi de la France, ambassadeur de Saint-Domingue, il sera soupçonné d’espionnage contre l’Allemagne au point d’être interné en Allemagne. Alfred Greven, directeur de la Continental, fait subir des pressions à Danielle Darrieux au point d’exiger d’elle, si elle ne veut pas que « la personne qui lui était chère eût de gros ennuis », de tourner deux autres films Caprices et La Fausse maîtresse pour la compagnie. Elle fit également partie du tristement célèbre voyage à Berlin en 1942 en compagnie d’autres acteurs français sous contrat avec la Continental dont Albert Préjean, René Dary, Suzy Delair et Viviane Romance. Dans un documentaire diffusé sur ARTE au début des années 1990, elle déclarait qu’elle n'était partie en Allemagne, qu'après un accord avec les Allemands, en ayant l'assurance de rencontrer son mari Porfirio Rubirosa qui y était incarcéré. Une fois son mari libéré, Danielle rompt son contrat avec la Continental et passe la fin de la guerre en résidence surveillée à Megève puis, sous un faux nom, dans la région parisienne. Elle ne fut que peu inquiétée à la Libération... Contrairement à Arletty qui, bien qu'elle n'ait jamais accepté de travailler pour la Continental, paiera de sa carrière la liaison sincère qu’elle eut avec un officier allemand.

Après trois années d’interruption, Danielle Darrieux revient à l’écran décidée à tourner la page aux rôles de jeunes filles écervelées de ses débuts. Après quelques années un peu grises, elle se remarie une troisième et dernière fois avec Georges Mitsinkidès en 1948, et commence pour elle une seconde carrière encore plus brillante que la première. Après quelques films mineurs, Jean Cocteau, pour laquelle il envisagea quelques années plus tôt d’adapter La Princesse de Clèves, fait appel à elle pour interpréter la reine d’Espagne dans Ruy Blas (1948) de Pierre Billon avec Jean Marais. Mais c’est Claude Autant-Lara qui, l’employant différemment, lui donne l’occasion de renouer avec le succès avec trois films, un truculent vaudeville Occupe-toi d'Amélie (1949), où elle joue une femme entretenue de la Belle Époque, dans Le Bon Dieu sans confession (1953) où rouée et ambiguë elle interprète la garce assumée et Le Rouge et le Noir. À nouveau, Henri Decoin la sollicite et l’impose dans un rôle très noir La Vérité sur Bébé Donge (1952) avec Jean Gabin. Elle est sublime dans ce rôle, un de ses meilleurs, d’une épouse aimante et bafouée qui devient une meurtrière statufiée. Elle fera deux autres films avec Decoin, un polar Bonnes à tuer et un film historique, L'Affaire des poisons où elle incarne Madame de Montespan.

Dans les années 1950, elle retrouve Hollywood pour quelques films. Elle chante et danse dans une comédie musicale aux côtés de Jane Powell dans Riche, jeune et jolie. Elle est choisie par Joseph Mankiewicz pour incarner la comtesse Anna Slaviska dans L'Affaire Cicéron avec James Mason, elle joue également la mère de Richard Burton (pourtant son cadet de 7 ans seulement) dans Alexandre le Grand (1956) de Robert Rossen. Danielle Darrieux est au sommet de sa beauté et de son talent, elle triomphe aussi bien à l'écran qu'à la scène. Un grand directeur d’actrices va exploiter son admirable talent de tragédienne et revenu de son exil américain, Max Ophüls fait de Darrieux, au début des années 1950, son égérie. Danielle Darrieux n’a jamais été aussi belle que dans les films de ce « magicien » comme elle le nommera. Elle tourne dans trois chefs-d’œuvre : La Ronde (1951) où elle incarne une épouse infidèle que ni son mari ni son amant ne parviennent à satisfaire ; Le Plaisir (1952) la transfigure, sous le soleil de Normandie, en putain respectueuse touchée par la grâce ; et surtout Madame de... Chef-d’œuvre absolu qui commence comme une comédie légère et sombre dans le drame. Danielle Darrieux y fait une création digne de Dietrich et Garbo. Madame de... : « … une femme prise au piège des passions, oiseau qui se croyait volage et se trouve tout à coup captif, masque mondain qui recèle une âme inquiète, corps d’apparat où le cœur va exercer ses terribles ravages. »

Karl Guérin écrira sur cette collaboration : « ...de La Ronde au Plaisir, du Plaisir à Madame de... , les personnages interprétés par Danielle Darrieux découvrent la réalité du masque social dont ils finissent par être les victimes. Errant au milieu de tous les bonheurs possibles et jamais réalisés, celle qui fut la plus célèbre ingénue du cinéma français semble de film en film découvrir avec naïveté et étonnement l’univers des sensations et des passions. Parvenir à animer d’un frémissement ce visage et ce corps si ordinairement élégants, parvenir à attirer à la lumière du jour un peu de la femme dissimulée derrière l’image frivole et rassurante chère à l’actrice : voilà l’indice d’un certain plaisir ophulsien dont Danielle Darrieux fut plus que tout autre la victime consentante. » Elle tourne aussi avec les plus grands acteurs de l’époque Jean Gabin, Jean Marais, Jeanne Moreau, Bourvil, Fernandel, Louis de Funès, Alain Delon, Jean-Claude Brialy, Michèle Morgan, Michel Piccoli... Elle donne également la réplique à Gérard Philipe dans deux adaptations de classiques de la littérature, en amoureuse éplorée dans Le Rouge et le Noir (1954) de Claude Autant-Lara d’après Stendhal et en femme d’affaires mêlant autorité et séduction dans Pot-Bouille (1957) de Julien Duvivier d’après Zola, deux énormes succès. Devenue son actrice préférée, Duvivier la retrouve et l’entoure d’une pléiade d’acteur comme Paul Meurisse, Lino Ventura, Serge Reggiani, Bernard Blier... dans un huis clos dramatique, Marie-Octobre (1959). Elle tournera encore avec Marcel L'Herbier, Sacha Guitry, Christian-Jaque, Marc Allégret, Henri Verneuil...

Désormais, dans les années 1960, le temps est aux rencontres avec des cinéastes qui sont, avant tout, ses admirateurs. La nouvelle vague la fait tourner, Claude Chabrol dans Landru (1962) et Jacques Demy dans Les Demoiselles de Rochefort (1967). Elle reste dans cette comédie musicale, la seule comédienne non doublée au chant. Parallèlement, le théâtre la rattrape. Après avoir fait ses débuts en 1937 dans une pièce d’Henri Decoin Jeux Dangereux et quelques pièces au cours des deux décennies suivantes (Sérénade à trois de Noel Coward, Faisons un rêve de Sacha Guitry...), Françoise Sagan, scénariste du Landru de Chabrol, lui offre un rôle en or en 1963, La Robe mauve de Valentine qui est un immense succès. Dominique Delouche jeune cinéaste, la sollicite pour deux films, Vingt-quatre Heures de la vie d'une femme (1967), un film que Max Ophüls rêvait déjà de tourner avec Danielle Darrieux et Divine (1975), une comédie musicale.

Jacques Demy reprend le projet d’un film abandonné sept ans plus tôt, Une chambre en ville. Apprenant cela, Danielle Darrieux contacte le réalisateur, démarche qu’elle n’avait jamais entreprise pour aucun film, en espérant interpréter la Baronne Margot Langlois prévue auparavant pour Simone Signoret. Demy, qui s’était toujours promis de retrouver l’actrice, n’osait pas la solliciter pour incarner le rôle d’une alcoolique. Danielle effectue un magistral retour pour ce film, un drame social entièrement chanté (seule Danielle Darrieux et Fabienne Guyon chantent avec leur propre voix), qui fut encensé par la critique mais connu un échec public. À Jacques Demy, en 1982, elle a précisé : « Je suis un instrument, il faut savoir jouer de moi, alors on sait en jouer ou on ne sait pas. » « Un instrument, oui, rétorquera Demy, mais un Stradivarius. »

À son tour, Paul Vecchiali, qui admire la comédienne depuis son enfance et souhaite la diriger depuis longtemps, parvient également à concrétiser son rêve grâce à En haut des marches (1983). Elle y incarne le premier rôle d’une institutrice, très proche de la propre mère du cinéaste, qui revient à Toulon quinze ans après la guerre et affronte les souvenirs liés à la mort de son mari, accusé de collaboration et assassiné à la Libération. Elle y chante trois chansons. Danielle Darrieux avait déjà fait une apparition dans son premier film Les Petits drames et le retrouvera plus tard dans un téléfilm de 1988 avec Annie Girardot, Le Front dans les nuages. André Téchiné, après un projet avorté Les Mots pour le dire, parvient à réunir Catherine Deneuve et Danielle Darrieux dans Le Lieu du crime (1986). Par la suite Benoît Jacquot lui donne le rôle d'une vieille excentrique qui veut venger la mort de son amie dans Corps et biens, Claude Sautet la hisse en directrice d’une chaîne de magasins, mère de Daniel Auteuil dans Quelques jours avec moi, elle retrouve deux amies complices de toujours, Micheline Presle et Paulette Dubost, dans le truculent Le Jour des rois.

Danielle redouble d’activité dans les années 2000, outre le succès au théâtre avec Oscar et la dame rose, François Ozon lui fait tourner son 99e film, qui marque ses soixante-dix ans de carrière, et en fait l'une des suspectes de 8 Femmes. Mère de Catherine Deneuve pour la troisième fois, elle y chante le poème d'Aragon mis en musique par Georges Brassens, « Il n'y a pas d'amour heureux ». En 2006, Danielle Darrieux joue un premier rôle dans Nouvelle chance d'Anne Fontaine aux côtés d'Arielle Dombasle et à 90 ans elle est la victime du film L'Heure zéro adaptation d’un roman d’Agatha Christie. En 2008, elle prévoit de remonter une dernière fois sur scène pour jouer La Maison du lac au côté de Jean Piat mais une chute lors des dernières répétitions l'amène à renoncer à ce projet. En 2009, à 92 ans, elle accepte de tourner dans le nouveau film de Denys Granier-Deferre intitulé Une pièce montée au côté de Jean-Pierre Marielle.

Elle fit aussi un tour de chant en 1967. À partir des années 1970, Danielle Darrieux partage équitablement sa carrière entre théâtre, télévision et cinéma. Une de ses fiertés théâtrale est d’avoir joué et chanté en anglais à Broadway en 1970, dans la comédie musicale Coco interprétant le rôle de Coco Chanel qui avait été joué auparavant par son idole Katharine Hepburn. Elle fit l’unanimité de la critique new-yorkaise, pourtant réputée pour sa férocité, qui salua sa performance. « ...Je reprenais le rôle de Coco Chanel, que Katharine Hepburn, mon idole, avait tenu durant sept mois… C’est la seule personne à qui j’ai demandé un autographe. Je l’adorais. À mes yeux, il n’y avait personne de plus talentueux qu’elle. Dès mon arrivée à New York, elle a été adorable. Elle m’a emmenée dîner chez elle et m’a offert deux tailleurs Chanel. « Je ne m’habille jamais comme ça », m’a-t-elle expliqué. « Moi non plus ! », lui ai-je répondu. On était parfaites pour ce rôle toutes les deux ! »

Elle est chevalier de la Légion d'honneur et officier des Arts et des Lettres. Elle a reçu en 1955, 1957, 1958 la Victoire de la meilleure comédienne du cinéma français. Elle est également lauréate d'un César d'honneur reçu en 1985, d'un Molière d'honneur décerné en 1997 et en 2003 d'un Molière de la Meilleure comédienne dans Oscar et la dame rose ainsi qu'un Sept d'or en 1995 comme Meilleure comédienne pour Jalna et un Globe de Cristal d'honneur en 2010. Un hommage lui a été rendu à la Cinémathèque française à Paris du 7 janvier au 2 mars 2009, avec une programmation spéciale de plus de 90 films de sa filmographie. Un autre hommage lui a été rendu par Michel Drucker dans l'émission Vivement dimanche enregistrée le 24 février 2010, au cours de laquelle elle était entourée d'amis tels que Paulette Dubost et Charles Aznavour.

Filmographie

  • 1931 : Le Bal de Wilhelm Thiele - Antoinette
  • 1931 : Coquecigrole d'André Berthomieu - Coquecigrole, l'orpheline
  • 1932 : Panurge de Michel Bernheim - Régine
  • 1932 : Le Coffret de laque de Jean Kemm - Henriette Stenay
  • 1933 : Château de rêve de Géza von Bolváry et Henri-Georges Clouzot - Béatrix
  • 1934 : L'Or dans la rue de Kurt Bernhardt - Gaby
  • 1934 : Mauvaise Graine de Billy Wilder et Alexander Esway - Jeannette
  • 1934 : Le Secret d'une nuit de Félix Gandéra : présence non créditée
  • 1934 : Volga en flammes de Victor Tourjansky - Macha
  • 1934 : Mon cœur t'appelle de Carmine Gallone et Serge Veber - Nicole Nadin
  • 1934 : La crise est finie de Robert Siodmak - Nicole
  • 1935 : L'Auberge du Petit-Dragon de Jean de Limur (non créditée)
  • 1935 : Mademoiselle Mozart de Yvan Noé - Denise
  • 1935 : Dédé de René Guissart - Denise
  • 1935 : Le Contrôleur des wagons-lits de Richard Eichberg
  • 1935 : Quelle drôle de gosse de Léo Joannon - Lucie
  • 1935 : J'aime toutes les femmes d'Henri Decoin et Carl Lamac - Danielle
  • 1935 : Le Domino vert d'Herbert Selpin et Henri Decoin - Hélène et Marianne de Richmond
  • 1936 : Port-Arthur de Nicolas Farkas - Youki
  • 1936 : Un mauvais garçon de Jean Boyer et Raoul Ploquin - Jacqueline Serval
  • 1936 : Mademoiselle ma mère de Henri Decoin - Jacqueline Letournel
  • 1936 : Mayerling d'Anatole Litvak - Maria Vetsera
  • 1936 : Tarass Boulba de Alexis Granowsky - Marina
  • 1936 : Club de femmes de Jacques Deval - Claire Derouve
  • 1938 : Abus de confiance d'Henri Decoin - Lydia
  • 1938 : Retour à l'aube d'Henri Decoin - Anita Ammer
  • 1938 : Katia de Maurice Tourneur - Katia Dolgoronsky
  • 1938 : La Coqueluche de Paris (The rage of Paris) d'Henry Koster - Nicole
  • 1940 : Battement de cœur d'Henri Decoin - Arlette
  • 1940 : Coup de foudre film resté inachevé de Henri Decoin
  • 1941 : Premier rendez-vous d'Henri Decoin - Micheline Chevasse
  • 1941 : Caprices de Léo Joannon - Lise
  • 1942 : La Fausse Maîtresse d'André Cayatte - Lilian Rander
  • 1945 : Adieu chérie de Raymond Bernard - Chérie
  • 1946 : Au petit bonheur de Marcel L'Herbier - Martine Cavignol
  • 1947 : Bethsabée de Léonide Moguy - Arabella Delvert
  • 1948 : Ruy Blas de Pierre Billon - La reine d'Espagne
  • 1948 : Jean de la Lune de Marcel Achard - Marceline
  • 1949 : Occupe-toi d'Amélie de Claude Autant-Lara - Amélie
  • 1950 : La Ronde de Max Ophüls - Emma Breitkopf, la femme mariée
  • 1950 : Toselli (Romenzo d'amor) de Duilio Coletti - Luisa d'Asburgo-Lorena
  • 1951 : Riche, jeune et jolie "Rich, young and pretty" de Norman Taurog - Marie Devaronne
  • 1951 : La Maison Bonnadieu de Carlo Rim - Gabrielle Bonnadieu
  • 1951 : L'Affaire Cicéron "Five Fingers" / "Operation Cicéron" de Joseph Mankiewicz - La comtesse Anna Staviska
  • 1952 : La Vérité sur Bébé Donge d'Henri Decoin - Elisabeth "Bébé" Donge
  • 1952 : Le Plaisir de Max Ophüls - "Rosa, une pensionnaire dans le sketch : "La maison Tellier"
  • 1952 : Adorables Créatures de Christian-Jaque - Christine
  • 1953 : Le Bon Dieu sans confession de Claude Autant-Lara - Janine Frejoul
  • 1953 : Madame de... de Max Ophüls - La comtesse Louise de...
  • 1954 : Châteaux en Espagne (El torero) de René Wheeler - Geneviève Dupré
  • 1954 : Escalier de service de Carlo Rim - Béatrice Berthier
  • 1954 : Napoléon de Sacha Guitry - Eléonore Denuelle
  • 1954 : Bonnes à tuer d'Henri Decoin - Constance "Poussy" Andrieux
  • 1954 : Le Rouge et le Noir de Claude Autant-Lara - Madame de Rénal
  • 1955 : L'Affaire des poisons d'Henri Decoin - Madame de Montespan
  • 1955 : L'Amant de lady Chatterley de Marc Allégret - Constance Chatterley
  • 1955 : Si Paris nous était conté de Sacha Guitry - Agnès Sorel
  • 1956 : Alexandre le Grand (Alexander the great) de Robert Rossen - Olympias
  • 1956 : Le Salaire du Péché de Denys de La Patellière - Isabelle Lindstrom
  • 1957 : Typhon sur Nagasaki de Yves Ciampi - Françoise Fabre
  • 1957 : Pot-Bouille de Julien Duvivier - Caroline Hédouin
  • 1957 : Le Septième ciel de Raymond Bernard - Brigitte de Lédouville
  • 1958 : Le Désordre et la Nuit de Gilles Grangier - Thérèse Marken, la pharmacienne
  • 1958 : La Vie à deux de Clément Duhour - Monique Lebeaut
  • 1958 : Un drôle de dimanche de Marc Allégret - Catherine
  • 1958 : Marie-Octobre de Julien Duvivier - Marie-Hélène Dumoulin, dite: "Marie-Octobre"
  • 1959 : Les Yeux de l'amour de Denys de La Patellière - Jeanne Moncatel
  • 1959 : Meurtre en quarante-cinq tours de Étienne Périer - Eve Faugères
  • 1960 : L'Homme à femmes de Jacques-Gérard Cornu - Gabrielle/Françoise
  • 1960 : Vive Henri IV, vive l'amour de Claude Autant-Lara - Henriette d'Entragues
  • 1961 : Un si bel été (The greengage summer / Loss of innocence) de Lewis Gilbert - Madame Zisi
  • 1961 : Les Lions sont lâchés d'Henri Verneuil - Marie-Laure
  • 1961 : Les Bras de la nuit de Jacques Guymont - Danielle Garnier
  • 1961 : Les Petits drames de Paul Vecchiali - Simplement une apparition
  • 1961 : Le crime ne paie pas un film à sketches inspiré des bandes dessinées de Paul Gordeaux, de Gérard Oury - Madame Marsais dans le sketch: "L'homme de l'avenue"
  • 1962 : Le Diable et les Dix Commandements de Julien Duvivier - Clarisse Ardan dans le sketch: "Tes père et mère honoreras"
  • 1962 : Les Don Juan de la Côte d'Azur (I Don Giovanni della Costa Azzura) de Vittorio Sala - images d'archives
  • 1962 : Pourquoi Paris ? de Denys de La Patellière - La prostituée dans le café de Denis
  • 1963 : Landru de Claude Chabrol - Berthe Héon
  • 1963 : Du grabuge chez les veuves de Jacques Poitrenaud - Judith
  • 1963 : Méfiez-vous, mesdames "Un monsieur bien sous tous rapports" de André Hunebelle - Hedwige
  • 1964 : Patate de Robert Thomas - Edith Rollo
  • 1964 : Le Coup de grâce (Les temps héroïques) de Jean Cayrol et Claude Durand - Yolande
  • 1965 : L'Or du duc de Jacques Baratier et Bernard Toublanc-Michel - Marie-Gabrielle
  • 1966 : L'Homme à la Buick de Gilles Grangier - Madame Delayrac
  • 1967 : Le Dimanche de la vie de Jean Herman - Julia
  • 1967 : Les Demoiselles de Rochefort de Jacques Demy - Yvonne Garnier
  • 1967 : Vingt-quatre Heures de la vie d'une femme de Dominique Delouche - Alice
  • 1968 : Les oiseaux vont mourir au Pérou de Romain Gary - Madame Fernande
  • 1969 : La Maison de campagne de Jean Girault - Lorette Boiselier
  • 1972 : Roses rouges et piments verts, (No encontré rosas para mi madre) de Francisco Rovira Beleta - Teresa, la mère de Jaci
  • 1975 : Divine de Dominique Delouche - Marion Renoir
  • 1976 : L'Année sainte de Jean Girault - Christina
  • 1979 : Le Cavaleur de Philippe de Broca - Suzanne Taylor
  • 1982 : Une chambre en ville de Jacques Demy - Margot langlois
  • 1983 : En haut des marches de Paul Vecchiali - Françoise Canavaggia
  • 1986 : Le Lieu du crime d'André Téchiné - La grand-mère
  • 1986 : Corps et biens de Benoît Jacquot - Madame Krantz
  • 1988 : Quelques jours avec moi de Claude Sautet - Madame Pasquier, la mère de Martial
  • 1989 : Bille en tête de Carlo Cotti - L'Arquebuse
  • 1991 : Le Jour des rois de Marie-Claude Treilhou - Armande
  • 1992 : Les Mamies de Annick Lanoë - Lolotte
  • 1993 : Les Demoiselles ont eu 25 ans documentaire de Agnès Varda - Seulement une apparition
  • 1994 : L'Univers de Jacques Demy documentaire de Agnès Varda - Seulement une apparition
  • 2000 : Ça ira mieux demain de Jeanne Labrune - Eva
  • 2001 : Emilie est partie court métrage de Thierry Klifa - Émilie
  • 2001 : 8 Femmes de François Ozon - Mamy
  • 2003 : La marquise est à Bicêtre de Paul Vecchiali
  • 2004 : Une vie à t'attendre de Thierry Klifa - Émilie
  • 2006 : Nouvelle chance de Anne Fontaine - Odette Saint-Gilles
  • 2006 : Persepolis film d'animation de Vincent Paronnaud et Marjane Satrapi - Voix de la grand-mère
  • 2007 : L'Heure zéro de Pascal Thomas - Camille Tressilian
  • 2010 : Pièce montée de Denys Granier-Deferre : Madeleine

 

Coquecigrole

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Coquecigrole est un film français réalisé par André Berthomieu, sorti en 1931. Un garçon de café, Macarol, ex-comique, recueille une orpheline, Coquecigrole. Il lui apprend le théâtre avec son camarade Tulipe. Le père de Coquecigrole revient et enlève la jeune fille. Elle s'enfuit et retrouve son père adoptif et son camarade dont elle est amoureuse...

Coquecigrole d'André BerthomieuCoquecigrole d'André Berthomieu

Coquecigrole d'André Berthomieu

Fiche technique

  • Titre : Coquecigrole
  • Réalisation : André Berthomieu
  • Scénario : André Berthomieu d'après le roman de Alfred Machard
  • Photographie : Jean Isnard
  • Montage : Jacques Desagneaux
  • Dialogue : Alfred Machard
  • Producteur : Jacques Haïk
  • Société de production et de distribution : Les Établissements Jacques Haïk
  • Musique : Pollet et Dillard
  • Pays d'origine : France
  • Format : Noir et blanc - 35 mm - 1,20:1 - Son mono
  • Genre : Comédie dramatique
  • Durée : 98 minutes
  • Date de sortie : France : 22 décembre 1931

Distribution


Le Coffret de laque

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Le Coffret de laque est un film français réalisé par Jean Kemm, sorti en 1932, adapté de la pièce de théâtre Black Coffee d'Agatha Christie. C'est la première adaptation d'une œuvre d'Agatha Christie qui ne soit pas en langue anglaise. Un chimiste travaille dans le plus grand secret à mettre au point certaines formules pour le ministere de la guerre. Or, il est la victime d'habiles voleurs. Le détective Préval est certain qu'il s'agit de familiers du savant. Qui va vider la tasse de café noir empoisonné ?

Le Coffret de laque de Jean KemmLe Coffret de laque de Jean Kemm

Le Coffret de laque de Jean Kemm

Fiche technique

  • Titre : Le Coffret de laque
  • Titre anglais : The Lacquered Box
  • Réalisation: Jean Kemm
  • Scénario : H. Fowler Mear et Brock Williams, d'après la pièce Black Coffee d'Agatha Christie
  • Dialogues : Pierre Maudru
  • Photographie : Paul Cotteret
  • Musique : Henri Verdun
  • Société de production et de distribution : Les Établissements Jacques Haïk
  • Pays d'origine : France
  • Langue originale : français
  • Format : Noir et blanc - 35 mm - 1,37:1 - Son mono
  • Genre : Film policier
  • Durée : 85 minutes
  • Date de sortie : France : 15 juillet 1932

Distribution

  • René Alexandre : Préval
  • Harry Arbell
  • Danielle Darrieux : Henriette Stenay
  • Maxime Desjardins
  • Gaston Dupray
  • Alice Field : Lucie
  • Maurice Varny
  • Marcel Vibert

Panurge

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Panurge est un film français réalisé par Michel Bernheim, sorti en 1932.

Panurge avec Danielle Darrieux et Vincent HyspaPanurge avec Danielle Darrieux et Vincent Hyspa

Panurge avec Danielle Darrieux et Vincent Hyspa

Fiche technique

  • Titre : Panurge
  • Réalisation : Michel Bernheim
  • Scénario : Michel Bernheim et Gérard Sandoz
  • Dialogue : Steve Passeur
  • Musique : Cliquet-Pleyel
  • Montage : Jacques Desagneaux
  • Costumes : Paul Poiret
  • Pays d'origine : France
  • Format : Noir et blanc - Son : Mono
  • Genre : Comédie dramatique
  • Durée : 80 minutes
  • Date de sortie : France, 2 décembre 1932

Distribution

  • Danielle Darrieux : Régine
  • Gérard Sandoz : Panurge
  • Vincent Hyspa : le père Varenne
  • Paul Poiret : le père Ursule
  • Jean Marconi : Fred
  • Olga Lord : Tulipe

L'Or dans la rue

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L'Or dans la rue est un film français réalisé par Curtis Bernhardt, sorti en 1934.

L'Or dans la rue de Curtis BernhardtL'Or dans la rue de Curtis Bernhardt

L'Or dans la rue de Curtis Bernhardt

Fiche technique

  • Titre : L'Or dans la rue
  • Réalisation : Curtis Bernhardt
  • Scénario : Henri Decoin et Henry Koster
  • Dialogues : Henri Decoin
  • Décors : Robert Gys
  • Photographie : Michel Kelber
  • Son Joseph de Bretagne
  • Montage : Henri Aisner, Trude von Molo
  • Musique et chansons : Paul Dessau, Jean Lenoir et Georges van Parys
  • Production : Eugène Tucherer
  • Société de production : Films Essor
  • Pays d'origine : France
  • Format : Noir et blanc - Son mono - 1,37:1
  • Genre : Comédie
  • Durée : 95 minutes
  • Date de sortie : France : 28 décembre 1934

Distribution

  • Albert Préjean : Albert Perret
  • Danielle Darrieux : Gaby
  • Raymond Cordy : Pierre
  • Pierre Larquey : Tourbier
  • Jean Worms : De Varville
  • Vanda Gréville : Miss Bruce
  • Alice Tissot : Mme Tourbier
  • Suzy Delair : Madeleine (non créditée)
  • Pierre Finaly : Achille, le joueur invétéré et employé des chemins de fer
  • Gabrielle Fontan : La mère de Pierre
  • Lucien Callamand : Le secrétaire (crédité Pierre Callamand)
  • Georges Paulais : Le client (non crédité)
  • Léon Larive : le patron de L'escargot d'Or (non crédité)

Dédé

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Dédé est une comédie misicale française réalisé par René Guissart, sorti en 1935 et inspirée de l'opérette éponyme d'Henri Christiné et Albert Willemetz créée en 1921. Le magasin de chaussures de Monsieur Chausson (René Bergeron) s'oriente vers la faillite, Après avoir licencié son personnel il le met en vente chez un notaire, Maître Leroydet (Louis Baron fils). Son épouse, Odette (Mireille Perrey) se rendant dans un bal de charité fait la connaissance d'André de la Huchette dit Dédé (Claude Dauphin). Cherchant à se revoir discrètement, Odette propose à ce dernier qu'ils se rencontrent dans l'arrière-boutique d'un magasin, elle lui suggère donc d'acheter le magasin de chaussures sans lui dévoiler qu'elle est la femme de l'ancien patron. 

Dédé qui ne connait rien au commerce engage Denise la secrétaire du notaire (Danielle Darrieux) comme première vendeuse, celle-ci tombera secrètement amoureuse de Dédé et enragera de voir se développer sa liaison avec Odette. Dédé embauche ensuite son ami Robert Dauvergne (Albert Préjean) comme gérant, et celui-ci engage des danseuses de revues comme vendeuses. À la suite de plusieurs quiproquos impliquant le préfet de police et l'intervention des grévistes de la chaussure, Denise et Dédé finiront par se déclarer leur amour, tandis que Robert tombera sous le charme d'Odette. À la fin dans un grand élan de générosité, Dédé restituera le magasin à son ancien propriétaire, dont Robert restera le gérant avec la bénédiction d'Odette.

 

Dédé de René GuissartDédé de René Guissart

Dédé de René Guissart

Fiche technique

  • Titre : Dédé
  • Réalisation : René Guissart
  • Scénario et dialogues : Jacques Bousquet et Jean Boyer d'après l'opérette de Albert Willemetz
  • Production : Henri Ullmann
  • Société de production : France Univers-Film
  • Distribution : Paramount
  • Photographie : Charles Bauer et Fred Langenfeld
  • Musique : Henri Christiné et Franz Waxman
  • Chorégraphe : Miss Blubell
  • Décors : René Renoux, Henri Ménessier et Jacques Constant
  • Pays d'origine : France
  • Format : Noir et blanc - Son : Mono
  • Genre : Comédie musicale
  • Durée : 75 minutes
  • Date de sortie : France : 24 janvier 1935 (Paris)

Distribution

  • Albert Préjean : Robert Dauvergne
  • Danielle Darrieux : Denise
  • Mireille Perrey : Odette Chausson
  • Claude Dauphin : André 'Dédé' de la Huchette
  • Louis Baron fils : Maître Leroydet
  • René Bergeron : Monsieur Chausson
  • Pierre Piérade : Toto
  • Robert Hennery : Le commissaire
  • Gaston Orbal : Un gréviste
  • Léonce Corne : L'orateur
  • Dany Lorys : Une des deux poules
  • Ginette Leclerc : Une des deux poules
  • Georges Cahuzac : Le contrôleur principal
  • Suzy Delair
  • Pierre Larquey
  • Viviane Romance
  • Roland Armontel
  • Les 16 Blue Bell Girls
  • Les 16 Parisian Shop Beauties

Le Contrôleur des wagons-lits

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Le Contrôleur des wagons-lits (titre original : Der Schlafwagenkontrolleur) est un film franco-allemand réalisé par Richard Eichberg, sorti en 1935. En 1900, Bernard invente un carburateur qui décuple la vitesse des automobiles. Lors d'une course, il est pris pour le directeur des voitures Jupiter qui gagnent la course grâce à son invention. Mais une comtesse découvre que Bernard n'est en fait qu'un contrôleur des wagons-lits.

Le Contrôleur des wagons-lits de Richard EichbergLe Contrôleur des wagons-lits de Richard Eichberg

Le Contrôleur des wagons-lits de Richard Eichberg

Fiche technique

  • Titre : Le Contrôleur des wagons-lits
  • Titre original : Der Schlafwagen kontrolleur
  • Réalisation : Richard Eichberg
  • Scénario : Hans F. Fischer Werner Kortwich et Hertha von Gebhardt d'après la pièce de Alexandre Bisson
  • Dialogues : Jean Boyer
  • Société de production : Bavaria Vandor Films
  • Musique : Will Meisel
  • Photographie : Karl Hasselmann
  • Montage : Roger Mercanton
  • Décors : Gustav A. Knauer et Alexander Mügge
  • Costumes : Hermann Dor et Dorothea Saumweber
  • Pays d'origine : France / Allemagne
  • Format : Noir et blanc
  • Genre : Comédie
  • Durée : 90 minutes
  • Date de sortie : 16 février 1935 (France)

Distribution

  • Albert Préjean : Bernard
  • Danielle Darrieux
  • Lucien Baroux
  • Robert Arnoux
  • Lucien Callamand
  • Robert Goupil
  • Vivian Grey
  • Jane Piérly
  • Germaine Reuver
  • Alice Tissot

Quelle drôle de gosse

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Quelle drôle de gosse est un film français réalisé par Léo Joannon, sorti en 1935. Lucie aime son patron qui la congédie, par principe, avant de la demander en mariage. Mais Lucie croit qu'il a voulu se débarrasser d'elle et tente de se suicider. Elle est sauvée par un jeune homme qui la renvoie à son patron, mais elle se rend compte que c'est son sauveteur qu'elle aime maintenant.

Quelle drôle de gosse d'Yves MirandeQuelle drôle de gosse d'Yves Mirande

Quelle drôle de gosse d'Yves Mirande

Fiche technique

  • Titre : Quelle drôle de gosse
  • Réalisation : Léo Joannon
  • Scénario : Yves Mirande
  • Directeur artistique : Robert Gys
  • Photographie : Robert Lefebvre, Jacques Mercanton et Harry Stradling Sr.
  • Musique et chansons : Jean Lenoir et Georges Van Parys
  • Montage : Jacques Grassi
  • Production : E.A. Algazy
  • Société de production : Métropa-Film
  • Pays d'origine : France
  • Format : Noir et blanc - Son mono - 1,37:1
  • Genre : Comédie
  • Durée : 85 minutes
  • Date de sortie : France : 17 mai 1935

Distribution

  • Albert Préjean : Gaston Villaret
  • Danielle Darrieux : Lucie
  • Lucien Baroux : Alfred, le majordome de Gaston
  • Jeanne Helbling : Bertrande
  • André Roanne : Paul Gaudoin
  • Suzanne Desprès : Mme Gaudoin
  • Germaine Brière
  • Lucien Callamand
  • Jean Tissier : Un invité

J'aime toutes les femmes

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J'aime toutes les femmes est un film franco-allemand réalisé par Carl Lamac et Henri Decoin, sorti en 1935. Jean Kiepura, joue un double jeu et campe une double-vie en parallèle. D'une part, il bénéficie de la popularité d'un chanteur à succès, d'autre part il revêt les habits d'un simple garçon épicier. Cette périeuse acrobatie lui permet de séduire puis épouser les deux femmes dont il est amoureux.

J'aime toutes les femmes de Henri Decoin et Carl LamacJ'aime toutes les femmes de Henri Decoin et Carl Lamac

J'aime toutes les femmes de Henri Decoin et Carl Lamac

Fiche technique

  • Titre : J'aime toutes les femmes
  • Réalisation : Carl Lamac et Henri Decoin
  • Scénario et dialogues : Ernst Marischka et Serge Véber
  • Décors : Karl Haacker et Hermann Warm
  • Costumes : Hans Dupke, Walter Leder et Elisabeth Massary
  • Photographie : Friedl Behn-Grund
  • Montage : Ella Ensink
  • Musique : Paul Hühn, Werner Schmidt-Boelcke et Robert Stolz
  • Production : Fritz Klotsch, Arnold Pressburger et Gregor Rabinovitch
  • Société de production : Cine-Allianz Tonfilmproduktions GmbH et Universum Film (UFA)
  • Société de distribution : Les Films Osso
  • Pays : France / Allemagne
  • Langue : Français
  • Genre : Comédie
  • Format : Noir et blanc - 35 mm - 1,37:1 - Son : Mono (Tobis-Klangfilm)
  • Durée : 95 minutes
  • Date de sortie : France : 25 octobre 1935

Distribution

  • Danielle Darrieux : Danielle
  • Jan Kiepura : Jean Morena / Eugène
  • Charles Deschamps : J.J. Suret
  • Marfa Dhervilly : Princesse Lordowska
  • Pierre Finaly : L'escamoteur
  • Larquey : Wessmaier
  • Marcelle Praince : Madame Durand
  • Hélène Robert : Camille
  • Louis Blanche : L'habilleur de Morena
  • Georges Prieur : G. Bonfield
  • Henry Houry, Serge Grave, Eugène Dumas

Port-Arthur

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Port-Arthur est un film franco-allemand réalisé par Nicolas Farkas en deux versions, française et allemande, sorti en 1936. En 1904, pendant la guerre russo-japonaise, la femme d'un capitaine de marine russe est compromise dans une affaire d'espionnage. 

Port-Arthur de Nicolas Farkas avec Danielle DarrieuxPort-Arthur de Nicolas Farkas avec Danielle Darrieux

Port-Arthur de Nicolas Farkas avec Danielle Darrieux

Fiche technique

  • Titre : Port-Arthur
  • Réalisation : Nicolas Farkas
  • Scénario : Henri Decoin, Nicolas Farkas, Arnold Lipp, d'après le roman de Pierre Frondaie ; Steve Passeur, dialogues v.f. ; Kurt Heuser, Hans Klaehr, scénario et dialogues v.a.
  • Photographie : Otto Heller et Jaroslav Tuzar
  • Musique : Otakar Jeremias
  • Montage : Roger Mercanton, v.f. ; Carl Forcht (de), v.a.
  • Décors : Alexandre Lochakoff, Bohumil Hes, Stepán Kopecky , Vladimir Meingard
  • Son : Hermann Storr
  • Production : Pierre O'Connell
  • Société de production : F.C.L.
  • Société de distribution : Films Sonores Tobis
  • Pays d'origine : France, Allemagne
  • Format : Son mono - Noir et blanc - 1,37:1
  • Genre : Drame de guerre
  • Durée : 80 minutes
  • Dates de sortie : France : 11 décembre 1936, Allemagne : 7 décembre 1936

Distribution

Version française

  • Danielle Darrieux : Youki
  • Anton Walbrook : Boris Ranewsky
  • Charles Vanel : Commandant Vassidloff
  • Jean-Max : Capitaine Ivamoura
  • Jean Worms : Commandant Novitzki
  • Foun-Sen : La servante
  • Ky Duyen
  • Jean Marconi
  • Pierre Nay
  • Philippe Richard
  • Jean Appert
  • Jean Dax
  • René Fleur

Version allemande

  • Karin Hardt : Youki
  • Anton Walbrook (sous son nom d'Adolf Wohlbrück) : Boris Ranewsky
  • Paul Hartmann : Wossidlow
  • René Deltgen : Ivamoura
  • Werner Pledath : Novitzki
  • Ferdinand Classen : Li Hung
  • Hugo Werner-Kahle : Général Stoessel
  • Fritz Klippel : l'adjudant
  • Wilhelm König
  • Karl Meixner
  • Karl Morvilius
  • Erich Nadler
  • Theodore Rocholl
  • Youngling Tschang
  • Willi Volker

Lee Belinda

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Belinda Lee (née le 15 juin 1935 à Budleigh Salterton, dans le Devon et morte le 12 mars 1961) est une actrice anglaise.

Lee Belinda Lee Belinda

Née à Budleigh Salterton, une petite ville sur la côte sud du Devon, en Angleterre, à 25 kilomètres au sud d'Exeter, Belinda Lee suit les cours de l'Académie royale d'art dramatique de Londres, avant d'être engagée par le studio de cinéma Rank. Elle semble d'abord devoir succéder à Diana Dors, partenaire de Benny Hill dans la comédie et de Louis Jourdan dans le film historique. Mais après son divorce, elle s'installe en Italie où elle poursuit sa carrière.

Elle y incarne Lucrèce Borgia, Messaline et Aphrodite, imposant sa beauté sculpturale dans des rôles de femmes dangereuses (trop belles), parfois à leurs propres dépens. Belinda Lee travaille également avec Jean-Pierre Mocky et Francesco Rosi, avec pour partenaires Daniel Gélin, Alberto Sordi ou Marcello Mastroianni. Elle meurt à 25 ans dans un accident de voiture sur une route de Californie. Les trois autres occupants de la voiture sont blessés. Les cinéastes Paolo Cavara et Gualtiero Jacopetti se trouvaient à l'arrière. Elle est inhumée à Rome, dans le cimetière Campo-Cestio.

Filmographie

  • 1954 : The Case of Canary Jones (court métrage)
  • 1954 : The Runaway Bus de Val Guest avec Margaret Rutherford, Petula Clark, George Coulouris
  • 1954 : Family Affair de Val Guest avec Bebe Daniels, Ben Lyon
  • 1954 : Meet Mr. Callaghan de Charles Saunders d'après Peter Cheyney
  • 1954 : The Belles of St. Trinian's de Frank Launder avec Alastair Sim
  • 1955 : Des pas dans le brouillard d'Arthur Lubin avec Jean Simmons, Stewart Granger
  • 1956 : Who Done It ? de Basil Dearden avec Benny Hill
  • 1957 : Faux Policiers (The Secret Place) de Clive Donner avec Ronald Lewis, David McCallum
  • 1957 : Miracle à Soho de Julian Amyes d'après un roman d'Emeric Pressburger
  • 1957 : Aphrodite, déesse de l'amour de Fernando Cerchio et Victor Tourjansky avec Jacques Sernas et Massimo Girotti
  • 1958 : Le Prisonnier du Temple (Dangerous Exile) de Brian Desmond Hurst avec Louis Jourdan
  • 1958 : The Big Money de John Paddy Carstairs avec Ian Carmichael et Jill Ireland dans un second rôle
  • 1958 : Aventures au Kenya Elephant Gun de Ken Annakin avec Michael Craig, Anna Gaylor, Patrick McGoohan
  • 1958 : Ce corps tant désiré de Luis Saslavsky avec Daniel Gélin, Maurice Ronet, Dany Carrel, Antoine Balpêtré, Jane Marken
  • 1959 : Les Nuits de Lucrèce Borgia de Sergio Grieco avec Jacques Sernas, Arnoldo Foa, Michèle Mercier, Franco Fabrizi
  • 1959 : Les Dragueurs de Jean-Pierre Mocky avec Jacques Charrier, Charles Aznavour, Nicole Berger, Dany Robin, Estella Blain, Anouk Aimée, Dany Carrel, Margit Saad
  • 1959 : Profession Magliari de Francesco Rosi avec Alberto Sordi, Renato Salvatori
  • 1959 : L'Amour c'est mon métier (She Walks by Night) de Rudolf Jugert avec Walter Rilla
  • 1959 : Brevi amore a Palma di Majorca
  • 1960 : Il sicario (Blood Feud) de Damiano Damiani avec Alberto Lupo, Sylva Koscina, Sergio Fantoni, Pietro Germi
  • 1960 : L'Esclave du pharaon (Joseph et ses frères) d'Irving Rapper avec Geoffrey Horne, Robert Morley, Mario Girotti
  • 1960 : Marie des Iles de Georges Combret avec Alain Saury, Jacques Castelot, Folco Lulli, Noël Roquevert, Dario Moreno, Magali Noël, Philippe Hersent, Jean Tissier, Alexandre Rignault
  • 1960 : Messaline de Vittorio Cottafavi avec Spiros Focas, Ida Galli, Giuliano Gemma
  • 1960 : Constantin le Grand de Lionello De Felice avec Cornel Wilde, Massimo Serato, Christine Kaufmann
  • 1960 : Breve amore a Palma di Majorca de Giorgio Bianchi avec Alberto Sordi, Gino Cervi, Dorian Gray, Antonio Cifariello
  • 1960 : Le Port des illusions (Satan Tempts with Love) de Rudolf Jugert avec Ivan Desny, Joachim Hansen
  • 1960 : La Longue nuit de 43 (It Happened in 43) de Florestano Vancini écrit par Pier Paolo Pasolini avec Gabriele Ferzetti, Enrico Maria Salerno, Gino Cervi
  • 1960 : Femmine di lusso (Love, The Italien Way) de Bianchi avec Ugo Tognazzi, Elke Sommer, Walter Chiari, Koscina, Cervi, Massimo Serato, Ferzetti
  • 1960 : Joyeux Fantômes (Fantasmi a Roma) d'Antonio Pietrangeli avec Marcello Mastroianni, Sandra Milo, Vittorio Gassman

Carrel Dany

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Yvonne Chazelles du Chaxel, connue sous le nom de scène Dany Carrel, est une actrice française, née le 20 septembre 1932 à Tourane, en Indochine française (aujourd'hui Đà Nẵng, au Viêt Nam).

Carrel Dany Carrel Dany

Tout comme sa sœur Alice, elle est née de l'amour d'Aimé Chazelles du Chaxel, directeur des douanes et d'une Vietnamienne prénommée Kam. Son nom de scène a été suggéré par Henri Decoin qui l'engagea pour son film Dortoir des grandes. C'est à partir d'un manuscrit sur la vie du docteur Alexis Carrel qui figurait sur son bureau, qu'il proposa le nom de Carrel. Et l'actrice choisit le prénom de Dany qui ne permettait aucun diminutif comme les Vovonne ou Vonette de son enfance. 

Elle se révèle au grand public dans le film Porte des Lilas, en 1957. Cependant le théâtre tient une grande place dans sa vie et elle participe à de nombreuses tournées avec les Galas Karsenty-Herbert. En 1991, Dany Carrel a publié son autobiographie chez Robert Laffont. Ce livre intitulé L’Annamite est paru dans la collection Vécu de cet éditeur dont Thierry Chabert a réalisé un film pour la Télévision.

Filmographie

  • 1953 : Dortoir des grandes d'Henri Decoin : Bettina De Virmant
  • 1953 : Maternité clandestine de Jean Gourguet : Lucienne
  • 1954 : La Patrouille des sables de René Chanas : Taina
  • 1954 : La Cage aux souris de Jean Gourguet : Manouche
  • 1955 : Les Chiffonniers d'Emmaüs de Robert Darène : Suzy
  • 1955 : Les Grandes Manœuvres de René Clair : Rosemousse
  • 1955 : La Môme Pigalle d'Alfred Rode : Marie-Claude
  • 1955 : Des gens sans importance d'Henri Verneuil : Jacqueline Viard
  • 1956 : Club de femmes de Ralph Habib : Sylvie
  • 1957 : Pot-Bouille de Julien Duvivier : Berthe
  • 1957 : Porte des Lilas de René Clair : Maria
  • 1957 : Ce soir, les souris dansent de Juan Fortuny : Luce Arnel
  • 1957 : Escapade de Ralph Habib : Agnès Marcenary
  • 1957 : Élisa de Roger Richebé
  • 1957 : Que les hommes sont bêtes de Roger Richebé : Sylvie Cerruti
  • 1958 : La Moucharde de Guy Lefranc : Betty Lefébure
  • 1958 : Femmes d'un été : Jacqueline
  • 1959 : Les Possédées de Charles Brabant : Silvia
  • 1959 : Ce corps tant désiré de Luis Saslavsky : Marinette Féraud
  • 1959 : Les Dragueurs de Jean-Pierre Mocky : Dadou
  • 1959 : Sans tambour ni trompette : Marguerite
  • 1960 : Le Moulin des supplices de Giorgio Ferroni : Liselotte Karnheim
  • 1960 : Quai du Point-du-Jour : Madeleine
  • 1960 : Le Général ennemi (The Enemy General) de George Sherman : Lisette
  • 1961 : Les Mains d'Orlac d'Edmond T. Gréville : Régina/Li-Lang
  • 1961 : Carillons sans joie de Charles Brabant : Léa
  • 1962 : Les Ennemis d'Édouard Molinaro : Lillia
  • 1963 : Du grabuge chez les veuves de Jacques Poitrenaud : Isabelle Valmont
  • 1963 : Le commissaire mène l'enquête de Fabien Collin et Jacques Delille : Annick
  • 1963 : Chasse à l'homme : Susana
  • 1964 : Une souris chez les hommes (ou Un Drôle de caïd) de Jacques Poitrenaud : Sylvie
  • 1964 : Le Bluffeur : Dany
  • 1964 : L'Enfer de Henri-Georges Clouzot (film inachevé) : Marylou
  • 1965 : Piège pour Cendrillon de André Cayatte : L'amnésique/Michèle Isola/Dominique Loï
  • 1966 : Le Chien fou d'Eddy Matalon : Marie
  • 1967 : Un idiot à Paris de Serge Korber : Juliette dite « La Fleur »
  • 1968 : Le Pacha de Georges Lautner : Nathalie
  • 1968 : La Petite vertu de Serge Korber : Claire Augagneur
  • 1968 : La Prisonnière d'Henri-Georges Clouzot : Maguy
  • 1969 : Delphine d'Éric Le Hung : Delphine
  • 1969 : Clérambard d'Yves Robert : La Langouste
  • 1972 : Les Portes de feu de Claude Bernard-Aubert : Solange
  • 1972 : Trois milliards sans ascenseur de Roger Pigaut : Lulu
  • 1981 : Faut s'les faire... ces légionnaires ! d'Alain Nauroy : Katia, la femme de l'adjudant
  • 1981 : Le bahut va craquer de Michel Nerval : la mère de Béa

Télévision

  • 1972 : Au théâtre ce soir : Folie douce de Jean-Jacques Bricaire et Maurice Lasaygues, mise en scène Michel Roux, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny : Sylvie
  • 1973 : On l'appelait Tamerlan (Téléfilm) : Lise
  • 1974 : La Voleuse de Londres (Téléfilm) : Pamela
  • 1975 : L'Idiote (Téléfilm) : Josefa
  • 1978 : Cinéma 16 (Série TV) : Colette
  • 1979 : Monsieur Masure (Téléfilm) : Jacqueline Giraux
  • 1979 : L'Éclaircie (Téléfilm) : Lucie Lemesnil
  • 1982 : Le Féminin pluriel (Téléfilm) : Marianne Dassier
  • 1982 : Les nerfs à vif (Téléfilm) : Éliane
  • 1982 : Allons voir si la rose (Téléfilm) : Claire
  • 1982 : La Rescousse (Téléfilm) : Agnès
  • 1983 : Merci Sylvestre (Téléfilm) : Claude
  • 1983 : Le Disparu du 7 octobre de Jacques Ertaud (Téléfilm) : Françoise Maurin
  • 1983 : La Dernière Cigarette (Téléfilm) : Marie
  • 1984 : Péchés originaux (Série TV) : Cécile
  • 1985 : Le Seul Témoin (Téléfilm) : Catherine
  • 1987 : Les Enquêtes Caméléon (Série TV) : Charlotte
  • 1989 : Le Saut du lit (Téléfilm) : Josiane Sébastien

Théâtre

  • 1962 : L'Idiote de Marcel Achard
  • 1963 : Le Système Fabrizzi d'Albert Husson, mise en scène Sacha Pitoëff, théâtre Moderne
  • 1964 : Le Système Fabrizzi d'Albert Husson, mise en scène Sacha Pitoëff, théâtre des Célestins
  • 1971 : L'Idiote de Marcel Achard, mise en scène Jacques-Henri Duval, tournée Herbert-Karsenty
  • 1972 : Folie douce de Jean-Jacques Bricaire et Maurice Lasaygues, mise en scène Michel Roux, théâtre Marigny
  • 1973 : Le Grand Standing de Neil Simon, mise en scène Emilio Bruzzo, théâtre des Célestins
  • 1975 : Monsieur Masure de Claude Magnier, mise en scène Michel Roux, théâtre Daunou
  • 1988 : Le Saut du lit de Ray Cooney et John Chapman, mise en scène Jean Le Poulain, théâtre des Variétés
  • 1994 : Laisse parler ta mère ! de Yves Jamiaque, mise en scène Annick Blancheteau.

Trent Jackie

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Jackie Trent est une chanteuse et parolière britannique, née le 6 septembre 1940 à Newcastle-under-Lyme et morte le 21 mars 2015 à Minorque.

Trent JackieTrent Jackie

Son plus grand succès, Where Are You Now (My Love) (en), atteint la 1re place du UK Singles Chart en 1965. Au cours de sa carrière, elle écrit plus de 400 chansons avec son mari Tony Hatch. Yvonne Burgess, née en 1940 dans le Staffordshire, commence à chanter en public durant son enfance. Elle remporte un concours de jeunes talents qui lui permet d'apparaître pour la première fois à la télévision. La jeune fille adopte les noms de scène Jackie Tremayne, puis Jackie Trent. Elle chante et danse dans des spectacles de variétés destinés à divertir les soldats britanniques stationnés en Europe et au Moyen-Orient.

Le premier disque de Jackie Trent, produit par John Schroeder, sort en 1962. Durant la décennie suivante, elle enregistre plusieurs albums pour le label Pye Records. En 1965, elle fait la connaissance du compositeur et producteur Tony Hatch (en), qui l'encourage à écrire des paroles de chansons. Where Are You Now (My Love) (en), le seul grand succès de Jackie Trent, sort en 1965. Le titre, coécrit avec Hatch, se classe no 1 du UK Singles Chart. Trent tient le premier rôle dans la comédie musicale Nell!, dont la troupe effectue une tournée nationale. À la fin de sa carrière, elle se produit dans un autre spectacle musical, intitulé High Society.

Jackie Trent et Tony Hatch, qui sont surnommés « Mr and Mrs Music », signent plus de 400 chansons au cours de leur carrière. Elles sont interprétées par des artistes comme Frank Sinatra et Shirley Bassey. Plusieurs de ces titres, dont Trent a écrit les paroles, sont devenus des tubes. C'est le cas de The Other Man's Grass Is Always Greener (en) et Don't Sleep in the Subway de Petula Clark, ou encore Joanna de Scott Walker. Elle signe les paroles et la musique de What Would I Be?, interprétée par le chanteur irlandais Val Doonican, qui atteint la 2de place du UK Singles Chart en 1966.

Le couple écrit We'll Be With You, l'hymne du Stoke City Football Club. Commercialisé en 1972, le titre se classe dans le Top 40. Ils signent la musique des comédies musicales The Card et Rock Nativity, et travaillent également sur des productions télévisées. En 1984, ils cosignent le thème musical du soap opera australien Les Voisins (Neighbours). La chanteuse a écrit son autobiographie, qui reste inédite au jour de sa mort. Jackie: The Jackie Trent Story, un spectacle musical retraçant son parcours, est en projet. Jackie Trent et Tony Hatch (en) se marient en 1967. Le couple a vécu en Australie durant les années 1980. Ils se séparent en 1995 et divorcent en 2002. La chanteuse retourne au Royaume-Uni, puis se remarie et s'installe sur l'île de Minorque, aux Baléares.

Discographie

Albums

  • 1965 : The Magic of Jackie Trent (Pye)
  • 1967 : Once More With Feeling (Pye)
  • 1967 : Stop Me and Buy One (Pye)
  • 1968 : Yesterdays (Pye)
  • 1969 : The Look of Love (Pye)
  • 1975 : Can't Give It Up (Pye)

Compilation

  • 2006 : Where Are You Now: The Pye Anthology (Castle Music)

Miller Hal

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Sir Hilary Duppa "Hal" Miller (6 March 1929 – 21 March 2015), was a British Conservative Party politician.

Miller HalMiller Hal

Hie was the son of Jack Duppa-Miller GC. Educated at Eton College, Miller graduated from Merton College, Oxford in 1956 and the University of London in 1962, and then entered colonial service in Hong Kong. Miller unsuccessfully fought Barrow-in-Furness in 1970, and Bromsgrove in a 1971 by-election. He served as Member of Parliament (MP) for Bromsgrove and Redditch from February 1974 to 1983, and for Bromsgrove from 1983 until he retired in 1992. He is a former vice-chairman of the Conservative Party. After retiring from politics, he joined the Society of Motor Manufacturers and Traders (SMMT), the trade association of the motor industry in the UK, as its chief executive.

He modernised and transformed the somewhat staid society by introducing and implementing a strategy of commercialisation. After a four-year term, he resigned from SMMT to become managing director and later chairman of Cosmopolitan Textiles Limited, a UK-based subsidiary of the Hong Kong textile conglomerate Mingley Corporation with a brief to take the company into the auto industry. This was achieved successfully as a second tier supplier of patented substrates, mainly for headliners.

In 2005, he became a key supporter of Project Kimber. This had been formed to keep MG sportscars British after MG Rover's entry into administration in April of that year. Following the surprise sale of the entire assets of MG Rover and its subsidiary Powertrain Limited by the administrators, PricewaterhouseCoopers, to Nanjing Automotive Corporation against letters of credit to the reported value of £55m on July 22, 2005, Project Kimber developed a new business plan.

This focussed on a key element of the original MG plan, which was to acquire the rights to produce and sell a rebranded and re-engineered version of the successful smart roadster, that had sold at a rate of 15,000 cars per annum in Europe for the previous two years, from DaimlerChrysler. Miller was twice married: in 1956 to Fiona McDermid, with whom he had four children, and in 1976 to Jacqueline Roe, with whom he had two children. He was appointed a Deputy Lieutenant (DL) of Worcestershire in 2000. His brother, Michael Miller, was a QC and died in 2008.

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