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Jabotinsky Vladimir

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Zeev Vladimir Jabotinsky (Jabotinsky Vladimir Evgenevich), né en Ukraine le 18 octobre 1880 et décédé le 4 août 1940, était un leader de l'aile droite du mouvement sioniste et le fondateur de la Légion juive durant la Première Guerre mondiale. Il crée en 1925 le Parti révisionniste, le principal parti de la droite nationaliste sioniste, qui réclame un État juif sur les deux rives du fleuve Jourdain, intégrant aussi la Transjordanie, l'actuelle Jordanie. En opposition avec la gauche qui domine alors le mouvement sioniste, lui et son parti quittent l'Organisation sioniste mondiale en 1935. Il sera le principal inspirateur politique de l'organisation armée clandestine sioniste, l'Irgoun. 

Jabotinsky VladimirJabotinsky Vladimir

Jabotinsky est né à Odessa, en Ukraine. Il a reçu un enseignement religieux durant son enfance, mais s'est vite éloigné du judaïsme orthodoxe. Après des études de droit en Italie et en Suisse, il devient journaliste sous le nom de plume de "Altalena", travaillant pour des journaux en langue russe, puis en yiddish et plus tard en hébreu. Il rejoint le mouvement sioniste peu après le pogrom de Kichinev en 1903. La même année, il est élu au 6e congrès sioniste. Il acquiert rapidement la réputation d'un brillant orateur, et s'impose comme un des leaders du mouvement. Il se met à l'hébreu moderne, et organise des unités d'auto-défense destinées à répondre aux nombreux pogroms qui sévissent encore en Russie.

De ses études en Italie, Jabotinsky gardera une forte admiration pour le nationalisme italien du risorgimento (unité italienne). Parmi ses héros, on trouve donc Giuseppe Garibaldi, Giuseppe Giusti et le poète Giacomo Leopardi. Durant la Première Guerre mondiale, Jabotinsky considère que les Juifs doivent aider les Britanniques à s'emparer de la Palestine, alors territoire ottoman, dans l'espoir que le Royaume-Uni favorisera l'établissement d'un "Foyer National Juif" dans cette région. Il conçoit alors l'idée d'une force militaire juive, la Légion juive. Celle-ci n'existera jamais officiellement. Début 1915, Jabotinsky et Joseph Trumpeldor parviennent à convaincre les Britanniques de créer le "corps des muletiers de Sion". Cette unité de 562 hommes se distinguera lors de la bataille de Gallipoli, sous les ordres du lieutenant-colonel Pattesrson, avant d'être dissoute fin 1915.

Après une intense activité de Jabotinsky, les Britanniques acceptent en 1917 la formation de plusieurs unités juives : les 38e, 39e et 40e bataillons (dans lesquels se battra également David Ben Gourion). Jabotinsky obtient le grade de lieutenant. Les unités juives ne seront engagées que quelques mois avant la fin de la guerre, à partir de la fin 1917. À cette date, une bonne partie de la Palestine est déjà tombée aux mains des Britanniques. Jabotinsky lui-même se bat contre les Turcs dans la vallée du Jourdain en 1918. Entre décembre 1918 et décembre 1919, les Britanniques dissolvent ces unités (5 000 hommes à cette date), à la grande fureur de Jabotinsky, qui voulait en faire l'embryon d'une armée juive. En 1920, Jabotinsky reçoit une décoration pour son rôle pendant la guerre, décoration qu'il rendra peu après.

Il fonde alors à Jérusalem un groupe d'auto-défense autour du club de sport des Maccabées. Celui-ci rassemble environ 200 membres et interviendra lors des émeutes de Jérusalem début avril 1920 afin de défendre les Juifs. Suite à ces émeutes, Jabotinsky est condamné à 15 ans de prison. Sa peine est rapidement commuée à 1 an de prison, et il est emprisonné à la prison d'Acre. Il sera libéré le 8 juillet 1920 sur ordre du nouveau Haut-Commissaire, Herbert Samuel3, suite à la prise de poste de celui-ci, le 30 juin 1920. En 1921, Jabotinsky est élu membre de la direction de l'Organisation sioniste mondiale (OSM), direction qu'il quittera en 1923, suite à des divergences de vue profondes avec Chaim Weizmann, autre père du sionisme, et avec la gauche sioniste. La divergence débuta par l'acceptation en 1923 par l'OSM du retrait de l'émirat de Transjordanie (actuelle Jordanie), des terres susceptibles d'accueillir l'immigration juive et le « foyer national juif de Palestine ». La gauche comme la droite avaient protesté contre cette interprétation de la Déclaration Balfour mais sous la pression britannique, Chaim Weizmann avait fini par accepter et la ratifier. Ce n'est cependant pas directement sur cette question que s'est faite la rupture de 1923, mais sur l'affaire Petlioura.

L' otaman4 Simon Petlioura fut le chef du gouvernement indépendantiste ukrainien à partir de 1919 pendant la guerre civile russe. Sous le cri de guerre « mort aux Juifs et aux Bolchéviques »5, ses troupes commirent de nombreux massacres de Juifs, que certains évaluent à 40 000 victimes5 (elles ne furent pas les seules : toutes les forces participant dans la guerre civile furent impliquées dans les pogroms sanglants de caractère antisémite). Les polémiques sur le nombre de morts, le rôle exact des armées ukrainiennes ou l'implication de Petlioura dans les actions de ses subordonnées ont été et restent aujourd'hui très vives6. Mais au-delà de ces divergences sur son rôle exact, Petlioura a été perçu dans les milieux Juifs de l'époque comme un ennemi des Juifs, et cette perception explique l'ampleur de la polémique contre Jabotinsky. En août 1921, le gouvernement ukrainien en exil prit en effet contact avec ce dernier, sachant qu’il avait des sympathies pour la cause indépendantiste ukrainienne. Petlioura lui annonça une prochaine offensive contre le régime soviétique (prédécesseur de l’URSS) qui finalement n'aura pas lieu. Petlioura proposait à Jabotinsky la création d'une « gendarmerie juive » chargée de sécuriser les zones juives pendant la reconquête de l'Ukraine (sans se mêler aux combats), afin d'éviter des nouveaux pogroms.

En septembre 1921, Jabotinsky signa un accord sans en référer à la direction de l'OSM, dont il était membre. Il le justifia par la volonté de protéger les Juifs contre de nouveaux massacres. Le rejet de l'accord fut très large au sein de la diaspora. La gauche, mais pas seulement elle, accusa Jabotinsky de se lier à un massacreur de Juifs par anti-communisme. Le 17 janvier 1923, le Comité d'action sioniste (l'exécutif élargi de l'OSM) décida d'une commission d'enquête, et demanda à auditionner Jabotinsky. Celui-ci refusa et démissionna de l'exécutif, accusant la gauche d'avoir cherché à le détruire. Jusqu'à sa mort, Jabotinsky défendra avec vigueur cet accord. En novembre 1923, Jabotinsky publie un texte fondamental dans la structuration de sa pensée : la « Muraille d'acier ». Dans ce texte, Jabotinsky critique la démarche du courant sioniste majoritaire, et entend promouvoir une politique alternative en Palestine. Le cœur de sa réflexion est la résistance arabe au sionisme, qui pour lui ne pourra que s'amplifier avec la colonisation juive. Il se demande quelle réponse le sionisme doit lui apporter : « Sur le plan émotionnel, j'éprouve à l'égard des Arabes les mêmes sentiments qu'envers les autres peuples : une indifférence polie. Sur un plan politique, [...] je considère qu'il est absolument impossible d'expulser de quelque manière que ce soit les Arabes de Palestine, où vivront toujours deux peuples ».

Mais il ne faut pas se faire d'illusion : « les Arabes de Palestine n'accepteront jamais la transformation de la Palestine arabe en un pays à majorité juive. [...] Que le lecteur passe en revue tous les exemples de colonisation dans d'autres contrées. Il n'en trouvera pas un seul où elle se soit faite avec l'accord des indigènes ». Jabotinsky se moque de ceux qui prendraient les Arabes pour des « imbéciles qu'on peut escroquer. [...] Ils sont aussi fins psychologues que nous. On peut leur raconter ce qu'on voudra, ils lisent aussi bien dans notre cœur que nous dans le leur ». Ceux qui croient possible un accord avec les Arabes, croient que ceux-ci donneront leur pays aux Juifs en échange de la promesse de l'égalité et d'une amélioration du niveau de vie. Pour Jabotinsky, c'est ridicule, et ils ont au fond un « mépris fondamental » pour les Arabes. Ils ne voient finalement en eux qu'« une populace avide, disposée à vendre sa patrie pour une ligne de chemin de fer. [...] La Palestine n'en demeurerait pas moins aux yeux des Arabes palestiniens le centre et la base de leur existence nationale indépendante ».

Le sionisme devra donc s'imposer grâce à une « Muraille d'Acier », une armée juive. On retrouve ici le thème de la légion juive, qui est au cœur de l'analyse politique de Jabotinsky : le sionisme devra s'imposer par la force. Jabotinsky ne rejette pas la coopération avec le Royaume-Uni : il souhaite son aide pour ériger cette « Muraille d'acier ». Il ne rejette pas non plus un accord avec les Arabes. On peut au contraire discuter avec eux « d'une garantie contre l'expulsion, de l'égalité des droits. [...] Je crois et j'espère que nous pourrons leur donner ces garanties [...] mais la muraille d'acier est le seul moyen d'y parvenir ». Il n'y aura un accord que lorsque le rapport de force sera clairement établi en faveur des sionistes : « autrement dit, le seul moyen d'obtenir un accord dans l'avenir, c'est de totalement renoncer à en obtenir un dans le présent ».

Vouloir bâtir un rapport de force sur le terrain n'est pas spécifique à Jabotinsky. Les leaders sionistes de toute obédience perçoivent l'immigration juive et la Haganah comme les outils de ce rapport de force. La spécificité de Jabotinsky réside dans la brutalité avec laquelle il pose le problème, et dans son insistance sur le volet militaire du rapport de force à créer. Après la rupture de 1923, Jabotinsky se retrouve le leader de la tendance la plus nationaliste au sein du sionisme, et la plus hostile à la gauche sioniste. En 1925, il crée formellement l'« Union mondiale des sionistes révisionnistes » ayant son siège à Paris. Le parti révisionniste va alors se positionner comme le représentant d'une droite nationaliste intransigeante. Il a pour idéologie :

  • Un État juif s'étendant sur les deux rives du fleuve Jourdain, qui correspond à la Palestine mandataire de 1920-1922 (y compris la Jordanie actuelle).
  • La défense du libéralisme économique face aux idées socialistes qui dominent à l’époque le Yichouv (communauté juive en Palestine).
  • La défense du libéralisme politique (démocratie). On note cependant que des courants d’extrême-droite minoritaires opèrent à la droite du parti. Voir le chapitre parti Révisionniste : La tentation Fasciste et les Birionim (1928-1933).

Le parti est lié à une organisation de jeunesse, le Betar (acronyme hébreu de l'expression « Ligue de Joseph Trumpeldor »), encore plus radicale. Le Betar se réclame de l'idéologie révisionniste, mais n'a pas à l'époque de lien institutionnel avec le parti. Il en est indépendant, et ne reconnaît que Jabotinsky comme guide (le Roch Betar). Le Betar reprend certaines formes des mouvements fascistes : uniforme, culte du chef, entraînement paramilitaire, mais sans adhérer officiellement au fascisme. L'attitude de Jabotinsky vis-à-vis de Mussolini et du fascisme italien est quelque peu ambiguë, parfois admirative mais globalement distante. Fin 1927, il écrit « la revanche du chef est une idée à la mode que je déteste [...]. Passe encore qu'un personnage comme Mussolini enfourche un tel cheval. Du moins cet homme ne manque ni de grandeur ni de sens pratique, bien que je le supporte aussi peu que les autres8 ». Il fustige le 2 décembre 1928 « la tendance maladive qui existe dans nos rangs à exagérer l'importance du pouvoir personnel. »

L'objectif politique révisionniste est au final l'établissement d'un État juif de part et d'autre du Jourdain, sur le modèle politique et économique du Royaume-Uni. En 1928-1929, Jabotinsky se fixe en Palestine. En 1929, suite à un déplacement à l'étranger, les autorités britanniques promulguent un décret lui interdisant le retour. Ce faisant, elles répondent à une demande arabe à l'encontre d'un homme perçu comme particulièrement radical. En 1933, la gauche prend le contrôle de l'OSM, et les relations avec cette dernière se dégradent rapidement. Jabotinsky déteste la gauche et David Ben Gourion. Ce dernier le traitera d'ailleurs de "Vladimir Hitler", en l'accusant de sympathie fasciste, ce que Jabotinsky niera toujours.

De fait, des sympathisants fascistes proclamés opèrent bien sur l'aile droite du parti révisionniste (Brit Ha'birionim sous l'autorité de Abba Ahiméir, ou le poète Uri Zvi Greenberg). Tout en refusant de les suivre, Jabotinsky refusera aussi de rompre avec eux. En 1933, on verra même Abba Ahiméir approuver certains aspects du nazisme (en particulier « la pulpe anti-marxiste », selon son expression), par anti-communisme. Cette sortie provoquera par contre la fureur de Jabotinsky, très inquiet devant la montée du nazisme. En 1935, les révisionnistes de Jabotinsky quittent l'OSM, à cause du refus de cette dernière de revendiquer un État juif en Palestine (c'était bien l'objectif des partis de gauche et du centre, membres de l'OSM, mais à l'époque, ceux-ci considéraient que les bonnes relations avec les Britanniques impliquaient de ne pas demander plus qu'une zone autonome juive en Palestine : le « Foyer National Juif »). La scission est en fait la conséquence logique de la dégradation des relations avec la gauche qui contrôle l'OSM.

Après cette scission, Jabotinsky crée en 1935 la « Nouvelle Organisation Sioniste », qui se veut la rivale de l'OSM. Elle n'aura qu'une capacité très réduite à attirer des organisations au-delà des cercles révisionnistes. Fin 1935, c'est le début de la Grande révolte arabe en Palestine, qui durera jusqu'en 1939. Celle-ci est marquée par des attaques contre les Britanniques et les civils juifs. Jabotinsky accepte progressivement, parfois avec réserves, la décision de la milice juive de droite, proche du parti révisionniste, l'Irgoun, de se livrer à des représailles aveugles contre la population arabe. Il devient le responsable officiel de l'Irgoun (il n'aura qu'un commandement lointain et très général). Le 16 avril 1936, en réponse à l'assassinat de deux juifs la veille, l'Irgoun tue deux ouvriers agricoles dans une orangeraie. La généralisation des attaques contre les civils date cependant de 1937, après le départ vers la Haganah du responsable de l'Irgoun, Avraham Tehomi, et de ses partisans, plus modérés. En 1936, Jabotinsky joue d'ailleurs encore un rôle modérateur, adjurant « ses partisans de faire preuve de retenue, aussi longtemps qu'il existera une chance de reconstituer une Légion juive avec le soutien de la Grande-Bretagne ».

Mais après la scission, la modération est remise en cause. Jabotinsky écrit à la direction de l'IZL « si les troubles reprennent et s'accompagnent d'attaques contre des juifs, ne vous retenez pas ». À Alexandrie, en juillet 1937, il indique cependant à ses troupes qu'il préfère éviter le terrorisme aveugle : « Je ne vois nul héroïsme à tirer sur un fellah venu vendre ses légumes à Tel Aviv, ni le bénéfice politique que nous pourrions en tirer ». La question de la violence agite l'organisation tout 1937. Robert Bitker (un ex-officier des armées blanches de la guerre civile russe) devient le nouveau responsable de l'Irgoun d'après la scission, à laquelle sont restés fidèles 1 700 combattants. Peu apprécié de ses hommes, il est remplacé à l'automne 1937 par Moshe Rosenberg. Hostile au terrorisme, celui-ci est rapidement remplacé par David Ratziel. C'est ce dernier qui organise les représailles du « dimanche noir », le 14 novembre 1937, où 8 passants (6 hommes et 2 femmes) sont abattus.

Preuve de l'influence lointaine de Jabotinsky, pourtant chef politique officieux de l'organisation, l'Irgoun s'est lancé dans la violence contre les civils palestiniens sans son autorisation. Ces attaques valent à l'Irgoun la réprobation des instances officielles du Yishouv et de la Haganah, ainsi que la qualification d'organisation terroriste par les Britanniques. « Des dizaines de cadres du parti révisionniste et du Betar sont placés en détention administrative. Des tribunaux militaires sont instaurés, la possession illégale d'armes devient passible de la peine de mort. [...] L'Irgoun doit interrompre ses attaques fin 1937 ».

Mais le 29 juin 1938, un militant de l'Irgoun, Ben Yosef, arrêté pendant la préparation d'un attentat en 1937 est pendu par les Britanniques. La réaction de l'Irgoun sera violente. Il est décidé de ne pas viser les Britanniques, pour ne pas pousser trop loin l'épreuve de force. Alors que la grande révolte arabe se calmait, il est décidé de cibler la population palestinienne. « Il faut créer une situation ou la vie d'un Arabe ne vaudra pas plus que celle d'un rat. Comme ça, tout le monde comprendra que les Arabes sont de la merde, que nous sommes nous et non eux les véritables maîtres du pays ». Jabotinsky approuve la nouvelle orientation. (Voir aussi L'Irgoun et la question de la violence.)

Le 27 février 1939, 27 Arabes sont tués au hasard dans les rues de Haïfa, Tel Aviv et Jérusalem, ce qui entraîne les félicitations de Jabotinsky : « votre réponse aux manifestations de victoire des ennemis de l'État juif a produit un effet énorme et positif. » Le bilan politique de ces actions pour le révisionnisme semble au final plutôt négatif. L'utilisation de la violence aveugle contre les civils est largement condamnée par le Yichouv et isole la droite nationaliste, l'Irgoun et Jabotinsky. Fin 1939, la Seconde Guerre mondiale entraîne l'arrêt des actions de l'Irgoun, qui décide de soutenir le Royaume-Uni contre les Nazis. Dans les années 1930, Jabotinsky est marqué par une inquiétude croissante pour le sort des Juifs en Europe.

En 1936, il présente un « plan d'évacuation ». Ce plan propose l'évacuation de la population juive tout entière de la Pologne vers la Palestine. Le « plan d'évacuation » cause une vive polémique au sein de la communauté juive polonaise, certains l'applaudissant tandis que la majorité le rejette, estimant qu'il fait le jeu des antisémites polonais qui souhaitaient le départ des Juifs. Le fait que le gouvernement polonais (souvent taxé d'antisémitisme) ait apporté un certain soutien à ce plan a d'ailleurs joué contre celui-ci. De toute façon, les Britanniques n'étaient pas prêts à accepter 3,5 millions de Juifs en Palestine, pas plus que ceux-ci ne voulaient majoritairement partir. Deux ans après, en 1938, Jabotinsky indique dans un discours que les Juifs polonais « vivaient au-dessus d'un volcan » et avertit qu'une vague de « super-pogroms » sanglants se produiraient en Pologne dans un proche avenir.

Vladimir Jabotinsky décède en août 1940 d'une crise cardiaque, lors d'une visite dans un camp d'été du Betar, aux États-Unis. Son souhait d'être enterré dans le futur État juif se réalisera grâce aux efforts du premier ministre travailliste, Levi Eshkol, qui succéda à David Ben Gourion, lequel était un ennemi juré de Jabotinsky. Les cendres de Jabotinsky et de sa femme ont ainsi été transférées au mont Herzl en 1964. Surtout connu pour être le fondateur de la droite israélienne, Jabotinsky a aussi une œuvre littéraire importante : poésie, articles de journaux, romans et nouvelles.

De nombreuses personnalités politiques de la droite israélienne se réclameront de l'héritage de Jabotinsky. Parmi elles, on peut citer Menahem Begin, qui dirigea l'Irgoun à partir de 1943, avant de devenir, au soir de sa vie, le premier ministre de l'État d'Israël qui signera le premier traité de paix avec un pays arabe, l'Égypte, en 1977. Le Hérout (liberté) formé par Menahem Begin après l'indépendance d'Israël est l'héritier du parti révisionniste. Créé en 1973, le Likoud, le grand parti de la droite israélienne, formé autour du Hérout, en est le prolongement actuel. Le rattachement de la Jordanie au territoire juif, qui avait été la raison de la création du sionisme révisionniste par Jabotinsky en 1925 est par contre abandonné depuis longtemps par les héritiers du révisionnisme. On note quand même que sur certaines insignes du Betar, on trouve toujours une carte de Eretz Israël (la terre d'Israël) qui inclut la Jordanie.

L'abandon de la revendication sur la Jordanie a d'ailleurs servi à beaucoup au sein du Likoud pour indiquer qu'un compromis territorial au bénéfice des « palestiniens » d'avant 1922 (les Jordaniens) avait déjà eu lieu. Dès lors, l'abandon de 78 % de la Palestine (la Palestine mandataire d'avant 1922, incluant la Jordanie) aux Arabes avait déjà permis la création d'un État palestinien : la Jordanie. En conséquence, il ne serait pas légitime de créer un second état palestinien à l'ouest du Jourdain. On lit dans cette argumentation un lointain reste de l'ancienne revendication des révisionnistes sur la Jordanie.


Nixon Richard

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Richard Milhous Nixon, né le 9 janvier 1913 à Yorba Linda (Californie) et mort le 22 avril 1994 à New York, est le 37e président des États-Unis. Il est élu pour deux mandats de quatre ans en 1968 et 1972. Sa présidence est marquée par la guerre du Viêt Nam, le traité SALT ainsi que la détente avec l'Union des républiques socialistes soviétiques, l'ouverture sur la République populaire de Chine et le scandale du Watergate, qui mènera à sa démission en 1974. Il est le seul président américain à avoir démissionné.

Nixon RichardNixon Richard

Richard Milhous Nixon naît le 9 janvier 1913 à Yorba Linda. Son arrière-grand-père fut tué lors de la bataille de Gettysburg durant la guerre de Sécession. Ses parents, Francis Nixon et Annah Milhous, sont des quakers pratiquants et si son père gère l'épicerie et la station d'essence familiale, sa mère l'éduque dans l'esprit quaker (pas de boissons alcoolisées, pas de soirées dansantes et défense d'utiliser des jurons) et veut en faire un missionnaire. Fils cadet, Richard Nixon a eu quatre frères dont l'un, Arthur, mourut à l'âge de sept ans (tuberculose) : Harold (1909–1933), Donald (1914–1987), Arthur (1918–1925) et Edward Nixon (né en 1930). Ses études secondaires brillantes lui permettent d'obtenir une bourse offerte par l'université Harvard mais ses parents n'ont pas les moyens d'assurer son entretien en dehors de la maison. Il fréquente donc le Whittier College (une école quaker) où il finit deuxième de sa promotion, puis reçoit une bourse qui lui permet de faire ses études de droit à l'université Duke en Caroline du Nord.

endant la Seconde Guerre mondiale, il s'engage dans la Marine alors que sa religion lui aurait permis d'être exempté. Il sert sur un navire de ravitaillement et termine la guerre avec le rang de commandant en second et l'estime de ses supérieurs qui le considèrent comme un bon officier et un meneur d'hommes. C'est aussi pendant son service militaire dans la Marine qu'il apprend à jouer au poker et qu'il devient rapidement un excellent joueur ; il y gagne près de 10 000 dollars, somme considérable à cette époque, ce qui lui permet de financer sa première campagne politique. Un groupe d'hommes d'affaires californiens (The Committee of 100) lui demande de devenir candidat pour la Chambre des représentants à la fin de son service militaire. Il est élu à la Chambre des représentants des États-Unis en 1946 comme député de l'État de Californie, au cours d'une première campagne très dure contre Jerry Voorhis.

Nixon grimpe rapidement les échelons politiques se faisant connaître comme un ferme anti-communiste. Il est membre du Comité de lutte contre les menées anti-patriotiques (House Un-American Activities Committee) et participe au procès d'Alger Hiss (accusé d'être un espion communiste, il fut condamné à cinq ans de prison pour faux témoignage). En 1950, Nixon bat la candidate Helen Gahagan aux élections sénatoriales, en l'accusant d'avoir des sympathies pour le communisme. C'est durant cette dernière campagne électorale qu'un petit journal lui donne un surnom qu'il conservera toute sa vie, « Tricky Dick » (Richard le roublard). Nixon est élu vice-président de Dwight Eisenhower en 1952. Il n'a alors que 39 ans. Il est réélu à la vice-présidence en 1956. Un des points marquants de sa campagne est l'utilisation de la télévision, une nouveauté à ce moment. Richard Nixon est accusé d'avoir été financé par une caisse noire et il utilise la télévision pour assurer lui-même sa défense dans un discours destiné à émouvoir l'opinion publique (Checkers Speech). Il est alors submergé de soutiens ce qui permet à Eisenhower de le garder sur le ticket républicain.

Nixon Richard

En tant que vice-président, Richard Nixon voyage en Amérique du Sud et reçoit des éloges pour sa détermination, faisant face aux opposants de la politique étrangère des États-Unis. Durant sa vice-présidence, il assume à trois reprises les fonctions de chef d'État, lors de trois crises cardiaques du président Eisenhower (24 septembre 1955, juin 1956 et novembre 1957). Il prouve aussi qu'il est un fin penseur lors de sa confrontation avec Nikita Khrouchtchev lors de l'« American National Exhibition » à Moscou (le 24 juillet 1959). Cette célèbre confrontation voit les deux leaders débattre des mérites respectifs des systèmes capitaliste et communiste dans un modèle de cuisine américaine aménagée présenté à l'exposition. Lors de l'élection présidentielle de 1960, il est le candidat principal des Républicains, mais il perd de justesse face à John F. Kennedy. La plupart des observateurs s'accordent à dire que le facteur crucial qui a fait basculer la campagne est le premier débat télévisé de l'élection présidentielle.

Malgré une barbe naissante (le débat ayant lieu en fin d'après midi), Nixon refusa qu'on le maquille, de plus, il était malade et fatigué par de nombreux déplacements de campagne. Il espérait gagner des voix grâce à ses connaissances en politique étrangère, mais les Américains ont seulement vu un homme mal à l'aise, transpirant beaucoup et portant un costume gris qui se confondait avec le décor. D'ailleurs, les sondages ont montré que les auditeurs qui avaient suivi le débat à la radio considéraient que Nixon était le vainqueur alors que les téléspectateurs optaient pour Kennedy. Le mardi 6 novembre 1962, il perd une nouvelle élection : celle pour le poste de gouverneur de Californie. Dans son discours de clôture, Nixon affirme que c'était sa « dernière conférence de presse ». Pendant sa « traversée du désert », de Gaulle le reçoit, geste que le futur président américain n'oubliera pas.

Son défaitisme ne dure pas. Il déménage à New York où il devient un éminent avocat. En 1968, candidat des Républicains, il a sa revanche en remportant de justesse l'élection présidentielle devant le démocrate Hubert Humphrey et le candidat Dixiecrat George Wallace. Nixon obtient 43,4% des votes (301 grands électeurs) alors que H.H. Humphrey en obtient 42,7% (191 grands électeurs). En janvier 1969, Richard Nixon devient le 37e président des États-Unis. Parmi les faits marquants de sa présidence, notons :

  • le redémarrage des rapports avec la Chine communiste en février 1972, ce qui aboutira à l'établissement de relations diplomatiques avec la République populaire de Chine en 1979 sous la présidence de Jimmy Carter, et l'amélioration des relations avec l'Union soviétique. Son secrétaire d'État Henry Kissinger a joué un rôle majeur dans cette politique ;
  • la création de l'Agence de protection de l'environnement des États-Unis (EPA) ;
  • la création de la Drug Enforcement Administration (DEA);
  • la « vietnamisation » de la guerre du Viêt Nam : retrait progressif des troupes américaines de la république du Viêt Nam en les remplaçant par des combattants sud-vietnamiens ;
  • signature (avec le Nord Vietnam) d'un accord de paix le 27 janvier 1973 à Paris
  • dans le cadre de la guerre du Viêt Nam, les bombardements sur le territoire du Cambodge neutre, puis le renversement du régime en place ;
  • le lancement du programme de construction de la navette spatiale.

Pendant la campagne électorale, comme pendant sa présidence, Nixon s'appuie sur ceux qu'il appelle la « majorité silencieuse » : l'Amérique conservatrice qui n'aime pas les hippies, la contre-culture et les anti-guerre. Nixon promet une « paix avec l'honneur » au Viêt Nam sans expliquer comment il compte procéder. Son rival démocrate va alors ironiser sur un « plan secret » et il est couramment attribué à Nixon d'avoir prétendu en avoir un. Nixon confirmera dans ses mémoires qu'il n'en avait aucun. Giulio Andreotti avec son épouse Livia en compagnie de Frank Sinatra, du président américain Richard Nixon et de la première dame Pat Nixon, le 17 avril 1973 à la Maison Blanche.

L'administration Nixon commence secrètement une campagne de bombardements massifs contre le Cambodge en mars 1969 (nom de code : « Menu ») pour détruire ce qu'elle croyait être les quartiers généraux ainsi que les « sanctuaires » où se seraient trouvés de nombreux soldats du Front national de libération du Viêt Nam. La campagne de bombardements ne reste secrète que pour l'opinion publique américaine. L'efficacité militaire fut limité et n'empêche pas les forces communistes de s'implanter dans ce pays. En ordonnant ces bombardements, Nixon réalisa qu'il allait étendre une guerre déjà impopulaire tout en violant la neutralité officielle du Cambodge. Quelques jours plus tard, des manifestations étudiantes contre la guerre font quatre morts. Les conseillers de Nixon puis l'opinion se retournent. Les détails de ces bombardements restèrent secrets même pour de hautes personnalités. L'usage peu orthodoxe des pouvoirs exécutifs à l'occasion des bombardements du Cambodge est l'une des raisons de la procédure d'impeachment lancée contre Nixon mais cette charge fut finalement retirée car il n'y avait pas violation des pouvoirs constitutionnels.

Le 30 juillet 1969, Nixon fait une visite surprise au Viêt Nam du Sud où il rencontre le président Nguyen Văn Thiệu et le commandant en chef des forces armées américaines. La guerre se termine pendant sa présidence, mais après quatre années de bombardements massifs, de piétinements sur le terrain et par le retrait des troupes du Viêt Nam du Sud. Le 4 septembre 1970, alors que le président chilien, Salvador Allende est élu, le président Nixon n'envoie aucun message de félicitation et son ambassadeur à Santiago n'assiste pas à la cérémonie d'investiture. La victoire d'Allende menace de faire tache d'huile dans le continent tout entier. « Il faut écraser ce fils de p... le plus tôt possible », répétait Richard Nixon à qui voulait bien l'entendre. La commission Church n'a trouvé aucune preuve d'une implication directe des États-Unis dans le coup qui renverse Allende en 1973 ; néanmoins cette implication est fréquemment tenue pour hautement probable.

Le 5 janvier 1972, Nixon ordonne le développement du programme de construction de la navette spatiale américaine. Cette décision allait profondément modifier la manière d'explorer et d'utiliser l'espace dans les décennies qui suivirent. Alors que la gauche est très hostile à Nixon quand il arrive au pouvoir, les politiques économiques et sociales de celui-ci apparaissent rétrospectivement centristes, voire de gauche : il impose un contrôle des salaires et des prix face à la crise, refuse les changes flottants et abolit l'étalon-or, intervient fréquemment en légiférant, crée des agences et administrations, augmente considérablement les salaires des fonctionnaires. L'élection présidentielle de 1972 est la consécration de Richard Nixon. En effet, avec plus de 60% de suffrages populaires, il remporte 49 des 50 États contre le démocrate George McGovern (seul le Massachusetts lui échappe). Il lance le Project Independence pour tenter de réduire la dépendance énergétique des États-Unis le 7 novembre 1973 et le 2 janvier 1974, Nixon signe une loi limitant la vitesse des automobiles à 55 miles par heure (environ 90 km/h) afin de réduire la consommation de pétrole pendant la crise pétrolière.

Nixon a été impliqué peut-être dans la préparation et certainement dans la dissimulation du cambriolage effectué au siège du Parti démocrate, dans l'immeuble du Watergate.Ce cambriolage est l'un des scandales impliquant le comité de réélection de Nixon. Ce sont les enregistrements secrets de la Maison Blanche qui révèlent des détails sur son implication dans l'affaire. Il perd tout soutien après le « massacre du samedi soir » (Saturday Night Massacre) pendant lequel il fait renvoyer Archibald Cox, défenseur du ministère public dans l'affaire, ainsi que ceux qui se sont exprimés contre ce renvoi dans sa propre équipe. La Chambre des représentants lance une procédure d'impeachment contre Richard Nixon le 9 mai 1974. Menacé de destitution, il préfère démissionner, le 9 août 1974. Son successeur à la Maison Blanche, Gerald Ford, proclame un pardon, ce qui met fin aux enquêtes. Dans ses dernières années, Richard Nixon parvient à redorer son image, et à gagner le respect du peuple en tant que sage sur le plan des affaires étrangères. Nixon écrit de nombreux ouvrages pendant sa retraite politique, dont ses mémoires.

Il meurt le 22 avril 1994 dans un hôpital de New York à l'âge de 81 ans, à la suite de complications d'un accident vasculaire cérébral. Conformément à ses vœux, il n'aura pas d'obsèques nationales à Washington. Sa dépouille est transportée à bord du Boeing VC-137C SAM 26000, avion de la flotte présidentielle et ancien Air Force One du temps de Nixon, vers sa bibliothèque présidentielle à Yorba Linda (Californie) sa ville natale. Il y est enterré aux côtés de sa femme Pat. Le président Clinton et les anciens présidents Ford, Carter, Reagan et Bush assistent à ses obsèques.

Gensac Claude

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Claude Gensac, née Claude-Jeanne-Malca Gensac le 1er mars 1927 à Acy-en-Multien (Oise), est une actrice française.

Gensac ClaudeGensac Claude

Elle entre comme élève du Conservatoire national supérieur d'art dramatique en 1947. Elle débute en 1949 au théâtre, puis se voit confier son premier rôle au cinéma par Sacha Guitry en 1952 dans La Vie d'un honnête homme. Elle joue des grands premiers rôles dramatiques d'aristocrates comme Madame de Montespan dans l'épisode Le Drame des poisons de la série télévisée La caméra explore le temps, ou de grandes bourgeoises séduisantes et un peu garces dans Comment épouser un premier ministre, Les Sultans et Journal d'une femme en blanc, avant de se spécialiser dans la comédie, voire dans le burlesque.

Elle doit particulièrement sa notoriété à sa longue collaboration avec Louis de Funès, rencontré en 1952, et avec lequel elle tourne dix films, interprétant la plupart du temps l'épouse du personnage incarné par l'acteur, comme dans Les Grandes Vacances, Oscar, Hibernatus, Jo et la saga des Gendarme de saint-Tropez. Mais, comme elle le constate, à partir de la mort de l'acteur en 1983, les producteurs ne l'embaucheront plus que très rarement. Au théâtre, Claude Gensac est apparue entre autres aux côtés de Robert Lamoureux dans Jo (1964) et Le Dindon (1984), d'Edwige Feuillère dans La Folle de Chaillot (1974) et Robert Manuel dans Les Deux Vierges (1984).

Elle apparaît aussi dans une vingtaine de séries ou feuilletons télévisés comme Marc et Sophie (1987-1991), son dernier rôle marquant étant celui d'une tante avare dans Sous le soleil. En 2005, elle publie une autobiographie, Ma biche... c'est vite dit !, en référence au surnom que lui a donné Louis de Funès dans leurs films, dans lequel elle retrace aussi son parcours de comédienne et raconte des anecdotes de tournage. Elle est officier de l'ordre des Arts et des Lettres depuis juillet 2011. Elle a été mariée avec l'acteur Pierre Mondy de 1951 à 1955 puis, en secondes noces, avec le pilote automobile Henri Chemin, de 1958 à 1977.

CinémaFilmographie

  • 1952 : La Vie d'un honnête homme de Sacha Guitry : Évelyne, la femme de chambre
  • 1957 : Les Fanatiques d'Alex Joffé
  • 1964 : Comment épouser un premier ministre de Michel Boisrond : Mme Grandbourg
  • 1965 : Journal d'une femme en blanc de Claude Autant-Lara : Mlle Viralleau
  • 1966 : Les Sultans de Jean Delannoy : Model
  • 1967 : Les Grandes Vacances de Jean Girault : Isabelle Bosquier
  • 1967 : Oscar d'Édouard Molinaro : Germaine Barnier
  • 1968 : Le gendarme se marie de Jean Girault : Josépha Cruchot
  • 1969 : Hibernatus d'Édouard Molinaro : Edmée de Tartas
  • 1970 : Le Gendarme en balade de Jean Girault : Josépha Cruchot
  • 1970 : Le Bal du comte d'Orgel de Marc Allégret : Mademoiselle d'Orgel
  • 1971 : Jo de Jean Girault : Sylvie Brisebard
  • 1973 : La Dame de trèfle de Pierre Cavassilas : Mme Prascovic
  • 1973 : Le Plumard en folie Jacques Lemoine : Adrienne
  • 1976 : L'Aile ou la Cuisse de Claude Zidi : Marguerite 
  • 1976 : Le Chasseur de chez Maxim's de Claude Vital : Germaine
  • 1977 : Moi, fleur bleue d'Éric Le Hung : la directrice de l'école
  • 1980 : L'Avare de Jean Girault et Louis de Funès : Frosine
  • 1981 : La Soupe aux choux de Jean Girault : Amélie Poulangeard
  • 1982 : Le Gendarme et les Gendarmettes de Jean Girault : Josépha Cruchot
  • 1985 : Le Gaffeur de Serge Pénard : Lucienne
  • 1987 : Poule et Frites de Luis Rego : Françoise, la belle-mère
  • 2001 : Absolument fabuleux de Gabriel Aghion : Mamie Mousson
  • 2010 : Coursier de Hervé Renoh : la Hollandaise
  • 2010 : L'Immortel de Richard Berry : Mme Fontarosa
  • 2011 : De l'huile sur le feu de Nicolas Benamou : Mme Lavignasse
  • 2013 : Elle s'en va d'Emmanuelle Bercot : Annie
  • 2013 : Lulu femme nue de Sólveig Anspach : Marthe

TélévisionTélévision

  • 1958 : Monsieur de Saint-Germain de Philippe Ducrest
  • 1958 : Adélaïde de Philippe Ducrest : Mme Élisabeth
  • 1959 : La caméra explore le temps : La Dernière Nuit de Kœnigsmark de Stellio Lorenzi : Marie-Louise
  • 1959 : La caméra explore le temps : Le Véritable Aiglon de Stellio Lorenzi : Marie-Louise
  • 1960 : La caméra explore le temps : Le Drame des poisons de Stellio Lorenzi : Madame de Montespan
  • 1962 : L'inspecteur Leclerc enquête : Coup double de Jean Laviron : Caroline
  • 1964 : Les Cinq Dernières Minutes : 45 tours... et puis s'en vont de Bernard Hecht : Françoise Vérac
  • 1967 : Le Chevalier Tempête de Yannick Andréi : Mireille
  • 1973 : La Dame de trèfle de Pierre Cavassilas : Mme Prascovic
  • 1976 : La Folle de Chaillot de Gérard Vergez : Constance, la Folle de Passy
  • 1977 : Les Folies Offenbach de Michel Boisrond : Céleste Baroche
  • 1978 : Gaston Phébus de Bernard Borderie : la Reine
  • 1980 : George Dandin ou le Mari confondu d'Yves-André Hubert : Mme de Sotenville
  • 1981 : Les Fugitifs de Freddy Charles : Mme Levroux
  • 1981 : Les Fiancées de l'Empire de Jacques Doniol-Valcroze : Mme de Croissy
  • 1981 : Les Amours des années grises : Joli Cœur de Gérard Espinasse : Mme de Mirval
  • 1984 : Le Sexe faible de Lazare Iglesis : Isabelle
  • 1985 : Le Crime de Mathilde de Jean-Paul Carrère
  • 1985 : Les Amours des années 50 : Fil à fil de Philippe Galardi : la baronne
  • 1986 : Madame et ses flics de Roland-Bernard
  • 1987 : Cloud Waltzing de Gordon Flemyng : Mme Hibbert
  • 1987-1991 : Marc et Sophie  : Grenelle
  • 1991 : Quiproquos ! de Claude Vital : Alice Girardon
  • 1992 : Tout ou presque de Claude Vital
  • 1994 : Tout feu, tout femme de Marion Sarraut et Pierre Sisser : Henriette
  • 1998 : Changement de cap de Patrick Malakian : Dora
  • 2003 : Docteur Claire Bellac : Mme Lherminier
  • 2003 : Un été de canicule de Sébastien Grall : Mamette
  • 2004 : Le Grand Patron : Entre deux rives de Claudio Tonetti : Rose
  • 2005 : Papa est formidable de Dominique Baron : Paulette
  • 2005 : Sous le soleil : tante Clarisse
  • 2005 : Vénus et Apollon : Soin paradis de Pascal Lahmani : Mouche
  • 2007 : La Prophétie d'Avignon de David Delrieux : Odette Esperanza
  • 2011 : La Grève des femmes de Stéphane Kappes : Mme Deschamps
  • 2012- actuellement : Scènes de ménages : Yvonne, la femme de Norbert (Michel Galabru) et l'amie d'Huguette (Marion Game)
  • 2014 : Les Fées du logis de Pascal Forneri : Mme Berto
  • 2015 : Mon cher petit village de Gabriel Le Bomin : Adèle

Au théâtre ce soir

  • 1975 : Un homme d'action de William Dinner et William Morum, adaptation Pol Quentin, mise en scène Grégoire Aslan, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Édouard VII : Lucie
  • 1975 : Le Sourire de la Joconde d'Aldous Huxley, mise en scène Raymond Gérôme, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Édouard VII : Miss Braddock
  • 1977 : Les Deux Vierges de Jean-Jacques Bricaire et Maurice Lasaygues, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny : Madeleine
  • 1980 : La Claque d'André Roussin, mise en scène Georges Vitaly, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny : Fernande
  • 1982 : Le Caveau de famille de Pierre Chesnot, mise en scène Francis Joffo, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny : Simone
  • 1984 : J'y suis, j'y reste de Jean Valmy et Raymond Vincy, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny : la comtesse

ThéâtreThéâtre

  • 1949 : C'est moi qui ai tué le Comte de Max Vierbo et Marcel Dubois d'après Alec Coppel, théâtre de l'Humour
  • 1950 : Pucelle de Jacques Audiberti, mise en scène Georges Vitaly, théâtre de la Huchette
  • 1951 : Horace de Pierre Corneille, mise en scène Hélène Lefèvre, théâtre royal du Parc (Bruxelles)
  • 1951 : Edmée de Pierre-Aristide Bréal, mise en scène Georges Vitaly, théâtre de la Huchette
  • 1951 : Ombre chère de Jacques Deval, mise en scène de l'auteur, théâtre Édouard VII
  • 1952 : Sans cérémonie de Jacques Vilfrid et Jean Girault, théâtre Daunou
  • 1953 : Le Piège à l'innocent d'Eduardo Sola Franco, mise en scène Jean Le Poulain, théâtre de l'Œuvre
  • 1953 : Kean de Jean-Paul Sartre d'après Alexandre Dumas, mise en scène Pierre Brasseur, théâtre Sarah-Bernhardt
  • 1953 : Comme les dieux de Fabre Luce, théâtre de l'Œuvre
  • 1953 : L'Heure éblouissante d'Anna Bonacci, mise en scène Fernand Ledoux, théâtre Antoine
  • 1955 : Pour Lucrèce de Jean Giraudoux, mise en scène Jean-Louis Barrault, théâtre des Célestins
  • 1956 : La Belle Dame sans merci de Jean Le Marois, mise en scène Marcelle Tassencourt, théâtre Hébertot
  • 1956 : Chaud et Froid de et mise en scène Fernand Crommelynck, théâtre de l'Œuvre
  • 1956 : Monsieur Masure de Claude Magnier, Comédie-Wagram
  • 1957 : Partage de midi de Paul Claudel, mise en scène André Berger, Rideau de Bruxelles
  • 1957 : Trois souris aveugles d’Agatha Christie, mise en scène Christian-Gérard, théâtre de la Renaissance
  • 1957 : Cléo de Paris de Fabre Luce, mise en scène Pierre Valde, théâtre de l'Œuvre
  • 1958 : La Bonne Anna de Marc Camoletti, Comédie Wagram, théâtre des Capucines
  • 1958 : Les Boutons de manchettes, théâtre Gramont
  • 1958 : La Bonne Soupe de Félicien Marceau, mise en scène André Barsacq, théâtre du Gymnase
  • 1960 : Les Glorieuses d'André Roussin, mise en scène de l'auteur, théâtre royal du Parc, théâtre de la Madeleine
  • La Dévotion à la croix de Pedro Calderón de la Barca, mise en scène Georges Vitaly
  • 1963 : Sémiramis de Marc Camoletti, mise en scène Michel de Ré, théâtre Édouard VII
  • 1964 : Jo de Claude Magnier, mise en scène Jean-Pierre Grenier, théâtre des Nouveautés
  • 1965 : La Dame de chez Maxim de Georges Feydeau, mise en scène Jacques Charon, théâtre du Palais-Royal
  • 1968 : L'Amour propre de et mise en scène Marc Camoletti, théâtre Édouard VII
  • 1970 : Un sale égoïste de Françoise Dorin, mise en scène Michel Roux, théâtre Antoine
  • 1974 : Le Siècle des lumières de Claude Brulé, mise en scène Jean-Laurent Cochet, théâtre du Palais-Royal
  • 1975 : La Folle de Chaillot de Jean Giraudoux, mise en scène Gérard Vergez, Théâtre de l'Athénée
  • 1975 : Les Deux Vierges de Jean-Jacques Bricaire et Maurice Lasaygues, mise en scène Robert Manuel, théâtre des Nouveautés
  • 1976 : La Rose et le Chou-fleur de et mise en scène Jacques Pierre, théâtre La Bruyère
  • 1977 : La Maison des cœurs brûlés de George Bernard Shaw, mise en scène Jean Mercure, théâtre de la Ville
  • 1978 : La Cage aux folles de Jean Poiret, théâtre des Variétés
  • 1983 : L'Étiquette de Françoise Dorin, mise en scène Pierre Dux, théâtre des Variétés
  • 1984 : Le Dindon de Georges Feydeau, mise en scène Jean Meyer, théâtre du Palais-Royal
  • 1985-1986 : La Prise de Berg-Op-Zoom de Sacha Guitry, mise en scène Jean Meyer, théâtre des Célestins puis théâtre des Nouveautés, théâtre de la Michodière
  • 1987 : Y'a pas qu'Agatha de Jacques Bedos, mise en scène René Clermont, théâtre de la Renaissance
  • 1992 : Chantecler d'Edmond Rostand, mise en scène Jean-Paul Lucet, théâtre antique de Fourvière, théâtre des Célestins
  • 1992 : Zizanie de Julien Vartet, mise en scène Raymond Acquaviva, théâtre de la Potinière
  • 1993 : Le Mariage de Barillon de Georges Feydeau, mise en scène Philippe Rondest
  • 1994 : La Nuit à Barbizon de Julien Vartet, mise en scène Gérard Savoisien, théâtre Édouard VII
  • 1995 : Le Saut du lit de Ray Cooney et John Chapman, mise en scène Raymond Acquaviva
  • 1996 : Le Bal des voleurs de Jean Anouilh, mise en scène Jean-Claude Idée, théâtre Montparnasse
  • 1997 : Ce que femme veut de Julien Vartet, mise en scène Raymond Acquaviva, théâtre des Mathurins
  • 1998 : Bientôt les fêtes de Bruno Druart, mise en scène Xavier Letourneur
  • 2000 : Le Squat de Jean-Marie Chevret, mise en scène Jean-Pierre Dravel, théâtre Rive Gauche
  • 2005 : Ces dames de bonne compagnie de Benjamin Auray, mise en scène Pierre Santini
  • 2008 : La Perruche et le Poulet de Robert Thomas, mise en scène Luq Hamet, théâtre Déjazet

Comment épouser un premier ministre

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Comment épouser un premier ministre est un film franco-italien de Michel Boisrond, sorti en 1964.  Comment un futur 1er ministre voit son destin basculer par la perte d'une lettre d'amour compromettante. Philippe Lambert, jeune et brillant attaché de cabinet, mené par le bout du nez par une jolie petite ouvreuse qui le fait chanter, ca ne s'est jamais vu! Et pourtant, elle ira jusqu'a lui conquérir... le cœur !

Comment épouser un premier ministre de Michel BoisrondComment épouser un premier ministre de Michel Boisrond

Comment épouser un premier ministre de Michel Boisrond

Fiche technique

  • Titre : Comment épouser un premier ministre
  • Réalisation : Michel Boisrond
  • Scénario et adaptation : Albert Husson et Annette Wademant, d'après le roman de Maria Luisa Linarès
  • Dialogues : Albert Husson
  • Photographie : Raymond Lemoignecadre(D Diot)1er(B Noisette)2em(G Guymont) * Musique : Gérard Calvi
  • Décors : Bernard Evein
  • Son : Julien Coutellier
  • Montage : Claudine Bouché
  • Directeur de production : Jean Darvey
  • Année : 1964
  • Genre : comedie
  • Durée :
  • Format : 35m/m
  • Pays : France
  • Date de sortie : le 11 novembre 1964

Distribution

  • Jean-Claude Brialy : Philippe Lambert
  • Pascale Petit : Marion
  • Claude Gensac : Mme Grandbourg
  • Maurice Escande : Grandbourg
  • Jacques Charon : Le chef de cabinet
  • Max Montavon : Les deux policiers
  • Jacqueline Jehanneuf : La secrétaire
  • Jacques Castelot : Un ministre d'état
  • André Luguet : Le premier ministre
  • Michèle Grellier : La fille du promoteur
  • Jean Richard : Le promoteur
  • Pierre Bertin : Le présentateur de la soirée de gala
  • Bernard Lavalette : Le commissaire
  • Harry Max : Le père de Marion
  • Jacques Martin : Un ami de Philippe
  • Daniel Lecourtois
  • Mario David
  • Armand Landi
  • Catherine Clarence
  • Monique Barbillat
  • Max Fournel
  • Raymonde Vattier
  • Pilar Lecer
  • Marie Laurence
  • René Hell (non crédité)
  • Bernard Musson (non crédité)
  • Jean-Pierre Bertrand (non crédité)
  • Laure Paillette (non crédité)
  • Evelyne Dassas (non crédité)

Les Sultans

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Les Sultans (titre italien : L'amante italiana) est un film franco-italien de Jean Delannoy, sorti en 1966. Les sultans, ce sont les Don Juan modernes qui ont passé la quarantaine. Epoux d'une dame distinguée mais quadragénaire, père d'une ravissante Klm de dix-huit printemps, amant comblé d'une belle Italienne photographe, Laurent est le plus heureux des « sultans ». Cependant la petite Kim a des peines de coeur. Son flirt la dédaigne ; alors Papa aidera la petite à le rendre jaloux, en jouant les don Juan dans une « boite » très yé-yé. Et Lisa, l'amante italienne, se morfondra en compagnie de Mireille, sa voisine de palier, dont le « sultan », à ceci près qu'il s'appelle Michel et est médecin dans le civil, ressemble furieusement à Laurent.

Dans la « boite», le flirt entre père et fille bat son plein. Arrive le galant de Kim, qui n'est autre qu'un troisième « sultan » de quarante ans. Bagarre entre Laurent et lui. Les yeux de Klm semblent se dessiller. Cependant, une charitable amie avertit Lisa que Laurent parait la trahir. Suicide. manqué de peu, grâce au sultan Michel ; puis tout rentre dans l'ordre (si l'on peut dire!) quand Laurent vient s'expliquer. Lisa est reconquise. Le lendemain, Lisa attend Laurent qui doit l'emmener danser. Mais elle attendra, sans doute, toute la nuit : car Laurent apprend soudain que Kim est partie avec son sultan. Michel, de son côté, est revenu, mais Lisa aemble désormais l'intéresser autant que Mireille. à tel point qu'il s'invente un prétexte pour fuir. Les deux voisines cherchent leur consolation dans le « blanc de blancs ». « Je ne croîs pas, dit Lisa, que les hommes soient faits pour les femmes. ».

Les Sultans de Jean DelannoyLes Sultans de Jean Delannoy

Les Sultans de Jean Delannoy

Fiche technique

  • Titre original : Les Sultans
  • Titre italien : L'amante italiana
  • Réalisateur : Jean Delannoy
  • Scénario : Jean-Loup Dabadie et Jean Delannoy d'après le roman de Christine de Rivoyre, Les Sultans (Éditions Grasset, 1964)
  • Dialogues : Christine de Rivoyre
  • Décors : René Renoux
  • Photographie : Tonino Delli Colli
  • Son : René-Christian Forget
  • Montage : Henri Taverna
  • Musique : Georges Garvarentz
  • Production : Jacques-Paul Bertrand
  • Sociétés de production : Chretien (France), Cineurop (France), Mancori (Italie)
  • Société de production associée : Bercol Films
  • Sociétés de distribution : Société Cinématographique Lyre (France), Delemar Films Distribution, Les Films Sirand (France), Films Meric (France), UGC
  • Pays d’origine : France, Italie
  • Tournage :
  • Langue : français
  • Année : 1965
  • Format : couleur (Eastmancolor) — 35 mm — 2.35:1 (Scope) — monophonique
  • Genre : comédie dramatique
  • Durée : 98 minutes
  • Date de sortie : France 6 mai 1966
  • (fr) Mention CNC : tous publics (visa d'exploitation no 31177 délivré le 26 avril 1966)

Distribution

  • Gina Lollobrigida : Lisa Bortoli
  • Louis Jourdan : Laurent Messager
  • Corinne Marchand : Mireille
  • Daniel Gélin : Léo
  • Philippe Noiret : Michel dit « Michou »
  • Muriel Baptiste : Kim Messager
  • Renée Faure : Odette Messager
  • Rosy Varte : Delphine
  • Claude Gensac : Marcelle
  • Lucia Modugno : Maguy
  • Pascale de Boysson
  • Philippine Pascal
  • Dominique Maurin
  • Zouzou : une danseuse

Les Fanatiques

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Les Fanatiques est un film français, réalisé par Alex Joffé et sorti en 1957. Une révolution vient d'éclater dans un pays d'Amérique du Sud, pendant l'absence de son dictateur, parti en voyage. Celui-ci décide de rentrer pour mâter ces révolutionnaires. Dans l'avion qui doit le déposer à Rome, il fait la connaissance de Luis Vargas principal opposant à son régime de dictature. Mais le général Ribéra, cardiaque, apprend que Luis a pris cet avion pour le tuer, car il a embarqué avec une bombe cachée dans une machine à écrire. Ribéra affolé meurt, alors Luis met tout en œuvre pour sauver les passagers de l'avion.

Les Fanatiques d'Alex JofféLes Fanatiques d'Alex Joffé

Les Fanatiques d'Alex Joffé

Fiche technique

  • Réalisation : Alex Joffé
  • Scénario, adaptation et dialogues : Alex Joffé et Jean Lévitte
  • Assistant réalisateur : Robert Ménégoz et Ornella Volta
  • Images : Léonce-Henri Burel
  • Opérateur : Henri Raichi, assisté de Jean Charvein et Jean Chiabant
  • Musique : Paul Misraki (éditions Impéria)
  • Décors : Jacques Paris, assisté d'Henri Sonois et André Guérin
  • Montage : Raymond Lamy, assisté de Germaine Fouquet
  • Son : Jacques Lebreton
  • Perchman : Charly Ackerman
  • Recorder : Daniel Héron
  • Maquillage : Igor Kaldich
  • Coiffure : Claude Uselmann
  • Photographe de plateau : Jean-Louis Castelli
  • Script-girl : Colette Robin
  • Régisseur : Irénée Leriche
  • Régisseur adjoint : Pierre Cosson
  • Régisseur extérieur : Émeric Genini
  • Accessoiriste : Marius Martin et Raymond Lemarchand
  • Administrateur : Antoine Maestrati
  • Habilleuse : Germaine Hoden et Paule Cousteau
  • Tournage du 14 juin au 23 août 1957 dans les studios de Boulogne
  • Production : Coopérative Générale du Cinéma, Films Régent, Cinégraph
  • Chef de production : Pierre Lévy, Alex Joffé
  • Secrétaire de production : Élyse Marion
  • Distribution : Pathé Consortium Cinéma
  • Trucage : LAX
  • Tirage : Laboratoire franay L.T.C Saint-Cloud
  • Enregistrement Optiphone Western Electric, système sonore
  • Durée : 90 min
  • Pellicule 35 mm, noir et blanc
  • Première présentation le 08/11/1957

Distribution

  • Pierre Fresnay : Luis Vargas
  • Michel Auclair : Diego Dias
  • Françoise Fabian : Mlle Lambert
  • Grégoire Aslan : Le général Antonio Ribéra
  • Tilda Thamar : Juana Ribéra
  • Betty Schneider : Lili
  • Pierre Tabard : Sevelli
  • José Lowgoy : Ramirez
  • Edward Fleming : Un passager amoureux
  • René Hell : Coti, le bagagiste de l'aéroport
  • Grégory Chmara : Le passager qui pose une question
  • Pascal Alexandre : François, le petit garçon
  • Olivier Darrieux / Jean Olivier : L'homme qui demande à Diego de prendre des passagers
  • René Alone
  • Luce Aubertin
  • Georges Debret
  • François Marié
  • Jean Chapot
  • Geneviève Antonelli
  • Pierre Cosson
  • Bernard Privat
  • Armand Tabuteau
  • André Bonnarel
  • Véronique Deschamps
  • Claude Gensac
  • Daniel Crohem
  • Lucien Camiret

Les Grandes Vacances

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Les Grandes Vacances est une comédie franco-italienne écrite et réalisée par Jean Girault, sortie en 1967. Philippe, le fils aîné de Charles Bosquier, propriétaire et directeur d'un pensionnat pour enfants de familles aisées, est recalé au bac en partie à cause de son anglais déplorable. Pour remédier à cette carence, son père décide de l'envoyer pour les grandes vacances au Royaume-Uni, dans la famille Mac Farrel, entre autres distillateur de whisky écossais. En contrepartie, la famille Bosquier accueille leur fille Shirley. 

Celle-ci, après avoir dissipé les élèves du pensionnat, entraîne le fils cadet Gérard dans des distractions. Cela va contrarier les plans de Philippe, qui avait prévu pour ses vacances de descendre la Seine en voilier… Il décide de se faire remplacer par Michonnet, autre élève de l'institution, aux projets de vacances incertains et désireux de visiter le Royaume-Uni… Au nombre des équipiers de la croisière s'ajouteront l'élève Bargin, requis pour ses compétences de mécanicien, et Shirley Mac Farrell, qui préfère l'aventure aux vacances forcées chez la famille Bosquier. Malgré cela, monsieur Bosquier va tout mettre en œuvre pour ramener cette progéniture dans le droit chemin.

Les Grandes Vacances de Jean GiraultLes Grandes Vacances de Jean Girault

Les Grandes Vacances de Jean Girault

Fiche technique

  • Titre : Les Grandes Vacances
  • Réalisation : Jean Girault
  • Scénario : Jean Girault et Jacques Vilfrid
  • Dialogues : Jacques Vilfrid
  • Décors : Sydney Bettex
  • Costumes : Jacques Cottin et Marc Doelnitz
  • Photographie : Marcel Grignon
  • Montage : Jean-Michel Gautier
  • Musique : Raymond Lefèvre (Éditions French Music)
  • Production : Maurice Jacquin
  • Sociétés de production : Les Films Copernic (Paris) et Fida Cinematografica (Rome)
  • Société de distribution : Valoria Films
  • Tournage dans les studios de Boulogne et d'Epinay-sur-Seine
  • Pays d'origine : France, Italie
  • Langues originales : français, anglais
  • Format : couleur (Eastmancolor) par Franscope — 2.35 : 1 – 35 mm – Mono
  • Genre : comédie
  • Durée : 85 minutes
  • Date de sortie : 1er décembre 1967

Distribution

  • Louis de Funès : M. Charles Bosquier, le directeur de collège privé
  • Claude Gensac : Mme Isabelle Bosquier, la femme
  • Ferdy Mayne : Mac Farrell, le producteur de whisky et père de Shirley
  • Martine Kelly : Shirley Mac Farrell, sa fille
  • Olivier de Funès : Gérard Bosquier, le fils cadet
  • François Leccia : Philippe Bosquier, le fils aîné
  • Maurice Risch : Stéphane Michonnet, le copain de Philippe qui part pour l'Angleterre
  • Jean-Pierre Bertrand : Christian, un copain de Philippe
  • René Bouloc : Bargin, l'élève qui part avec Philippe
  • Jacques Dublin : Claude, un copain de Philippe
  • Dominique Maurin : Michel, un copain de Philippe
  • Mario David : éternel importuné (voiture et bateau)
  • Jean St-Clair : Mrs Mac Farrell
  • Max Montavon : Morizot, un professeur
  • Billy Kearns : le conducteur de car
  • Robert Destain : le surveillant général
  • Silvia Dionisio : une vacancière (sous le nom de Sylvia Dionisio)
  • Barbara Sommers : la préposée aux costumes
  • Françoise Girault : une vacancière
  • Dominique Davray : Rose, la propriétaire du café-bal
  • Denise Provence : la comtesse
  • Christiane Muller : la bonne des Bosquier
  • Jacques Dynam : M. Croizac, le livreur de charbon
  • Emile Prud'homme : Mimile, l'accordéoniste
  • Paul Faivre : le propriétaire du poulailler
  • Guy Grosso : un professeur
  • Carlo Nell : un professeur
  • Daniel Bellus : le comte
  • Colin Drake : Jenkins, le domestique des Mac Farrell
  • Jean Droze : Benoît, le jardinier
  • Jean Falloux : l'homme ivre
  • Percival Russell : un policier
  • Rudy Lenoir : un professeur
  • Bernard Le Coq : Jean-Christophe
  • Louise Chevalier
  • Jenny Orléans

Oscar

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Oscar est un film français réalisé par Édouard Molinaro, sorti en 1967. Bertrand Barnier, un riche promoteur, à la vie paisible et sans souci, ne se doute pas en se réveillant que la journée qui commence va lui être funeste. En effet, l'un de ses employés, Christian Martin, qui fait irruption dans son appartement, vient lui apprendre une série de « tuiles » ; d'abord il demande une augmentation de 100 % sur son salaire , ensuite il demande à Barnier sa fille en mariage ; « elle est déjà, ajoute-t-il, ma maîtresse ». Enfin il révèle à son patron qu'il lui a dérobé la coquette somme de 60 millions en truquant les écritures, et Barnier ne peut rien faire car il révélerait par là même, si on venait à enquêter dans ses comptes, que lui-même a commis de nombreuses fraudes fiscales. Christian Martin se déclare prêt à remettre généreusement cette somme à sa future femme si Barnier accepte le mariage. 

Au bord de l'apoplexie, Barnier consent à tout, et son premier objectif est pour l'instant de recouvrer ses 60 millions qui consistent en une valise de bijoux que Martin lui remet en échange d'une promesse de mariage. Les choses se compliquent quand Barnier s'aperçoit que la maîtresse de Martin a menti à celui-ci quand elle lui a annoncé qu'elle était la fille du riche promoteur. Barnier pense avoir récupéré ainsi son argent à bon compte mais, au même moment, sa propre fille lui apprend qu'elle est enceinte des oeuvres d'Oscar, le chauffeur de la maison. Dès lors, c'est un perpétuel chassé-croisé qui commence entre Barnier, qui veut conserver ses bijoux et marier sa fille à n'importe qui pour éviter le déshonneur, et Christian Martin qui veut épouser celle qu'il aime et améliorer sa situation financière. Evidemment, tout s'arrangera quand on saura que la maîtresse de Martin était aussi la fille - une enfant naturelle - de Barnier et quand l'autre fille du promoteur retrouvera son Oscar, parti au Pôle Nord. Barnier donnera sa bénédiction à un double mariage qui réconciliera tout le monde.

Oscar de Édouard MolinaroOscar de Édouard Molinaro

Oscar de Édouard Molinaro

Fiche technique

  • Titre : Oscar
  • Réalisation : Édouard Molinaro
  • Scénario : d’après la pièce Oscar de Claude Magnier (1958)
  • Adaptation : Jean Halain, Édouard Molinaro, Louis de Funès
  • Dialogue additionnel : Jean Halain
  • Assistants réalisateur : Jean-Marie Poiré, Philippe Monnier
  • Producteur délégué : Alain Poiré pour Gaumont International
  • Coproducteur (non crédité) : Jean Le Duc
  • Directeurs de production : Irénée Leriche, Robert Sussfeld
  • Administrateur de production : Guy Azzi
  • Décors : Georges Wakewitch, assisté de Jean Forestier
  • Musique : Jean Marion et Georges Delerue - (Éditions Hortensia)
  • Images : Raymond Lemoigne
  • Opérateurs : Jean Bénézech, Georges Pastier
  • Assistants opérateur : Michel Lebon, Claude Amiot
  • Son : René-Christian Forget
  • Perchman : Jean Jak
  • Montage : Robert et Monique Isnardon
  • Scripte : Aurore Pasquiss
  • Ensemblier : Pierre Charron
  • Photographe de plateau : Jean-Louis Castelli, André Dino
  • Régisseur général : Roger Boulais
  • Maquillage : Anatole Paris
  • Coiffures : Micheline Chaperon
  • Accessoiriste : Raymond Lemoigne
  • Costumes : Francesco Smalto pour Claude Rich
  • Perruques : Carita - Générique : Jean Fouchet F.L
  • Attachée de presse : Françoise Mallet
  • Tournage : aux Studios de Billancourt et, en extérieurs, à la Villa Stein à Vaucresson
  • Format : Couleurs (Eastmancolor) - 2,35:1 (Franscope) - son monophonique - 35 mm - Laboratoire G.T.C
  • Film français
  • Langue : Français
  • Genre : Comédie
  • Durée : 82 minutes
  • Date de sortie : France : 11 octobre 1967. Reprise en France : 11 juin 2009
  • Visa d'exploitation en France : N° 33.338 délivré le 26-6-1967.
  • Tout public
  • Nombre d'entrées en France : 6.120.862

Distribution

  • Louis de Funès : Bertrand Barnier
  • Claude Rich : Christian Martin
  • Claude Gensac : Germaine Barnier
  • Agathe Natanson : Colette Barnier
  • Mario David : Philippe Dubois
  • Germaine Delbat : Charlotte
  • Dominique Page : Bernadette
  • Paul Préboist : Charles le domestique
  • Sylvia Saurel : Jacqueline Bouillotte
  • Roger Van Hool : Oscar
  • Philippe Vallauris : Le chauffeur

Le gendarme se marie

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Le gendarme se marie est un film français réalisé par Jean Girault, sorti en 1968. Ce film, le troisième de la série du Gendarme, est précédé du Gendarme à New York et suivi du Gendarme en balade. Le maréchal-des-logis Cruchot - le sympathique gendarme de Saint-Tropez - participe à la campagne de surveillance de la route (nous sommes le 1er juillet) avec un tel zèle qu'il poursuit avec acharnement une Mercedes conduite à toute allure par une jolie femme, mais dangereuse conductrice, et qu'il enfreint lui-même gravement le code de la route. Arrêté, sans papier, il a bien du mal à prouver son identité de sous-officier de gendarmerie|#! Aussi lorsqu'il arrive enfin au bercail, s'apprête-t-il à savourer sa vengeance, en constatant que la belle Mercedes est là, et de plus, en stationnement interdit ! Sa conductrice est la belle Josépha, veuve du colonel de gendarmerie François, et venue à ce titre rendre une visite de courtoisie à l'adjudant Gerber. 

C'est après avoir violemment invectivé la contrevenante que Cruchot apprend son identité. II se confond alors en interminables excuses, baise la main de la colonelle et, ô miracle, une décharge d'électricité statique, véritable coup de foudre, convainc Josépha et Cruchot du miraculeux accord secret qui va les lier. Nicole, la fille de Cruchot, ne tarde pas à découvrir que son père est amoureux. La jeune fille le surprend à se raser deux fois par jour, à prendre des cours de danse au Byblos, ce qui vaudra au gendarme - car il n'oublie pas pour autant sa vocation - d'arrêter un dangereux escroc. Le veuf, Cruchot, et la veuve, Josépha, gagneront l'amitié et la confiance de Nicole, d'abord réticente et hostile à la présence d'une future belle-mère. Lea deux femmes vont bientôt devenir si amies qu'elles rivaliseront de soins attentifs pour obliger le gendarme accablé à poursuivre des études de recyclage afin de gagner de nouveaux galons. 

Mais, à la gendarmerie de Saint-Tropez, l'émulation est de rigueur, et l'adjudant Gerber, poussé lui aussi par une épouse ambitieuse, va postuler pour le grade supérieur. A la suite d'une erreur, Cruchot se croit promu adjudant-chef, mais il devra un peu plus tard rendre son grade à Gerber qui en profitera pour exercer avec vigueur une autorité pesante ! Mais finalement Cruchot, qui a imaginé une réglementation de la circulation sous-marine et surveille les pillards d'épaves, se voit félicité par le colonel inspecteur pour services exceptionnels rendus à la gendarmerie ! Ce sera la joie à la gendarmerie de Saint-Tropez et une joyeuse fête folklorique marquera le mariage de Cruchot et de Josépha, ainsi que celui de Nicole avec son jeune fiancé.

Le gendarme se marieLe gendarme se marie

Fiche technique

  • Réalisation : Jean Girault
  • Réalisateur de la seconde équipe : Bernard Farrel, assisté de Francis Pernet
  • Scénario : Sur une idée de Richard Balducci
  • Adaptation : Richard Balducci, Jean Girault et Jacques Vilfrid
  • Dialogues : Jacques Vilfrid
  • Assistants réalisateur : Tony Aboyantz, Christian Raoux, Jean-Noël Jourdanet
  • Musique : Raymond Lefèvre (Éditions E.M.C.I)
  • Images : Marcel Grignon. Pour la seconde équipe : Jean Tournier, Gricha Willy
  • Cadreur : Jean-Paul Schwartz, assisté de Robert Fraisse et Bernard Grignon
  • Seconde équipe : Bernard Noisette, assisté de André Delille et Jacques Le François
  • Son : René Sarrazin
  • Seconde équipe : André Hervé, assistés de Fernand Janisse, Paul Pauwels, Juliette Toutain, Clo d'Alban, Roger Moise
  • Montage sonore : Eva Zora, Annie Baronnet, Martine Barraqué
  • Montage : Jean-Michel Gautier, assisté de Annie Vital, Florence Eymon
  • Décors : Sydney Bettex, assisté de Georges Richard, Henri Sonois
  • Scripte : Colette Robin. Pour la seconde équipe : Aurore Paquier
  • Photographe de plateau : Jean-Louis Castelli
  • Costumes : Jacques Cottin, Rita Laffargue
  • Maquillage : Anatole Paris, Marie-Madeleine Paris, Alain Scemama
  • Effets spéciaux : Rémy Julienne, Michel Bernard, Jean Pécriaux
  • Ensemblier : Roger Jumeau, Jean Chaplain, Albert Volper
  • Production : Gérard Beytout et René Pignières
  • Sociétés de production : Société Nouvelle de Cinématographie - Medusa Distribuzione (Franco-Italienne)
  • Directeur de production : Paul Laffargue
  • Régisseur général : Alain Darbon
  • Séquences sous-marines : Paul de Roubaix, Didier Tarot, Henri Portail
  • Équipement sous-marin : Piel - Postiches : Carita
  • Trucages et Générique : Jean Fouchet F.L
  • Tournage : Saint-Tropez
  • Distribution : Société Nouvelle de Cinématographie, Medusa Distribuzione
  • Pays d'origine : France
  • Langue : Français
  • Format : Couleurs par procédé Franscope - 2,35:1 - Mono - 35 mm - Transparence Franstudio
  • Tirage : Laboratoire Eclair à Epinay-sur-Seine
  • Affichiste : Clément Hurel
  • Genre : Comédie policière
  • Durée : 85 minutes (1 h 25)
  • Date de sortie : 30 octobre 1968 (France)

Distribution

  • Louis de Funès : Le maréchal des logis-chef Ludovic Cruchot
  • Michel Galabru : L'adjudant Jérôme Gerber
  • Jean Lefebvre : Le gendarme Lucien Fougasse
  • Christian Marin : Le gendarme Albert Merlot
  • Guy Grosso : Le gendarme Gaston Tricard
  • Michel Modo : Le gendarme Jules Berlicot
  • Geneviève Grad : Nicole Cruchot, la fille de Ludovic
  • Claude Gensac : Josépha Cruchot
  • Mario David : Frédo le boucher, le malfrat
  • Nicole Vervil : Mme Gerber, la femme de l'adjudant
  • Yves Vincent : Le colonel examinateur lors du concours
  • France Rumilly : La religieuse
  • Yves Barsacq : L'automobiliste
  • Nicole Garcia : La jeune fille verbalisée
  • Maurizio Bonuglia : L'ami de Nicole
  • Bernard Lavalette : Le professeur de danse
  • Dominique Davray : La professeur de danse
  • Jean-Pierre Bertrand : Eddie
  • Claude Bertrand : le gendarme répondant au nom de « Poussin bleu »
  • Jean Ozenne : Le préfet
  • Robert Destain : Le commandant
  • André Tomasi : L'homme au tracteur
  • Jacky Blanchot : Le pilote de la vedette d'entrainement
  • Rudy Lenoir : Un candidat à l'examen
  • Dominique Zardi : Un autre candidat
  • René Berthier : Un sous-officier lors de l'examen
  • Christian Bonnichon : cascadeur (non crédité)
  • Tave Frisch : Une jeune fille (non crédité)
  • Donatella Turi
  • Karin Skarresco
  • Patrizia Giammci
  • Guy Verda
  • Henri Guégan
  • Jack Romoli
  • Jerry Cala

Hibernatus

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Hibernatus est un film franco-italien réalisé par Édouard Molinaro et sorti en 1969. 1970. Un homme congelé dans les glaces du pôle Nord est retrouvé miraculeusement vivant au bout de 65 ans par une expédition polaire franco-danoise. Après enquête, il s'avère qu'il s'agit d'un jeune homme de 25 ans nommé Paul Fournier, parti en exploration en 1905 et parfaitement conservé. Il est alors progressivement réanimé par le professeur Loriebat, spécialiste mondial de l'hibernation artificielle. Pendant ce temps, se rendant à une convocation du Ministère de l'Intérieur, où il croit recevoir enfin la légion d'honneur tant attendue, l'industriel Hubert de Tartas apprend avec stupeur que « l'Hiberné » n'est autre que le grand-père de sa femme Edmée. Celle-ci s'oppose alors formellement à ce que son jeune grand-père devienne un cobaye au service de la science et exige qu'il lui soit rendu, afin qu'il partage la vie de sa famille. Les scientifiques tentent de l'en dissuader, prétextant que le brusque saut dans le monde moderne d'un homme qui ignore tout de la réalité, car mis à l'isolement dans une chambre d'hôpital depuis sa réanimation, risquerait de lui être fatal. Hubert se range à ces arguments, y voyant son propre intérêt. Il doit écarter à tout prix Paul Fournier de sa famille et pour cause : au regard de la loi celui-ci doit rentrer dans ses droits après ces nombreuses années d’« absence ». Or, de Tartas doit justement une grande partie de sa fortune à la famille de son épouse.

Afin de reconquérir la confiance d'Edmée qui tient malgré tout tous les cordons de la bourse et qui le lui fait savoir, Hubert se décide finalement à récupérer le grand-père. Devant le refus de Loriebat, de Tartas et son épouse l'enlèvent avec la complicité du professeur Bibolini, le psychiatre responsable de la santé mentale du patient, qui craint que son collègue utilise Paul Fournier à des fins scientifiques personnelles. Durant l'enlèvement, Paul Fournier est drogué. Les ravisseurs se réfugient alors dans une abbaye médiévale, qui est bientôt encerclée par les forces de l'ordre. À ce moment, le grand-père reprend connaissance et croit voir en Edmée sa propre mère, Clémentine. Loriebat et les autorités acceptent finalement que de Tartas et son épouse accueillent Fournier dans leur résidence du Vésinet, à la condition que celle-ci soit remise dans l'état où elle était en 1905, ce qui n'enchante guère Hubert (la demeure venant d'être récemment refaite et équipée à grands frais de tout le confort moderne). Les travaux étant pris entièrement en charge par l'État, il finit par accepter. Mais, il est également contraint comme tous les habitants du Vésinet, de vivre à la mode de ce début du siècle, afin de préserver à tout prix la santé du patient.

Se croyant encore à la Belle Époque, Paul Fournier reprend très vite ses marques. Il se croit à la tête d'une fabrique de lampes à pétrole. Pour lui, Edmée a les traits de sa mère Clémentine qu'il adore. On pense alors que Hubert, même grimé jouera aisément le rôle du père. Premier obstacle, on apprend que le père de Paul était un époux volage et que son fils était en très mauvais termes avec lui. Paul met donc Hubert (alias Fournier père) à la porte de chez lui. On résout la situation en présentant cette fois-ci de Tartas sous les traits d'un nouveau prétendant de Clémentine Fournier qui se retrouve ainsi dans la situation de courtiser sa propre femme ! Il doit malgré tout faire ses preuves auprès de Paul, désormais méfiant, qui ne souhaite que le bonheur de sa mère. Deuxième obstacle : Paul est aussi tombé amoureux d'Évelyne Crépin-Jaujard, la fille d'un gros industriel et... future fiancée de Didier, le fils de Tartas. Paul ne voit pas où est le problème car pour lui, Didier n'est qu'un intrus, qui lui a été présenté comme étant un étudiant ayant pris pension dans cette demeure, donc sans rapport avec la famille. Il cherche à le mettre lui aussi manu militari à la porte, ceci au grand dam d'Hubert qui voyait déjà dans les fiançailles de son fils, un excellent moyen de lier son entreprise à une grosse firme et d'être ainsi moins dépendant financièrement des « caprices » de son épouse.

Pour Hubert, la coupe est pleine et la plaisanterie a assez duré. Durant une des scènes finales, étant dans un état de grande excitation, il met au courant Paul Fournier de toute la vérité à son sujet. Puis, il quitte la maison totalement hystérique, poursuivi en vain par l'ensemble de la famille. Resté seul, Paul découvre un poste de télévision qu'il met en marche. Ainsi, il est bel et bien mis devant la réalité du monde moderne. Plus tard, Paul Fournier, revenu de ses émotions, épouse Évelyne. Cependant, durant la cérémonie, la famille reçoit un télégramme d'Hubert dont on n'avait plus de nouvelles depuis plusieurs jours. Celui-ci donne « rendez-vous dans un demi siècle » à ses proches. Se rendant à l'hôpital dans lequel Paul a été soigné auparavant, ils découvrent alors, avec stupeur, le corps d'Hubert prisonnier d'un bloc de glace.

Hibernatus d'Édouard MolinaroHibernatus d'Édouard Molinaro

Hibernatus d'Édouard Molinaro

Fiche technique

  • Titre : Hibernatus
  • Réalisation : Édouard Molinaro
  • Scénario et dialogues : Jean Halain, Jean Bernard-Luc, Louis de Funès, Jacques Vilfrid d'après la pièce éponyme de Jean Bernard-Luc
  • Décors : François de Lamothe
  • Costumes : Jacques Fonteray
  • Maquillage : Anatole Paris
  • Photographie : Marcel Grignon, Raymond Lemoigne
  • Son : René-Christian Forget
  • Montage : Robert Isnardon, Monique Isnardon
  • Musique : Georges Delerue (éditions Hortensia)
  • Production : Alain Poiré
  • Sociétés de production : Gaumont (France), Rizzoli Films (Italie)
  • Société de distribution : Gaumont
  • Pays d'origine : France, Italie
  • Langue : français
  • Format : Couleurs (Eastmancolor) - 35 mm - 2,35:1 (Franscope) - Son mono
  • Genre : Comédie fantastique
  • Durée : 78 minutes (1h18)
  • Date de sortie : 10 septembre 1969

Distribution

  • Louis de Funès : Hubert Barrère de Tartas
  • Claude Gensac : Edmée de Tartas née Fournier
  • Bernard Alane : Paul Fournier (« l'Hiberné »)
  • Olivier de Funès : Didier de Tartas
  • Michael Lonsdale : le professeur Édouard Loriebat
  • Pascal Mazzotti : le professeur Bibolini
  • Martine Kelly : Sophie
  • Paul Préboist : Charles
  • Yves Vincent : Édouard Crépin-Jaujard
  • Annick Alane : Mme Crépin-Jaujard
  • Éliette Demay : Évelyne Crépin-Jaujard
  • Jacques Legras : l'avocat
  • Claude Piéplu : le Secrétaire général du ministère de l'Intérieur
  • Harry-Max : le vieil homme
  • Robert Lombard : M. Thomas
  • Max Montavon : Rabier
  • Évelyne Dassas : l'assistante du professeur Bibolini
  • Robert Le Béal : le docteur de la maison de repos
  • Gérard Palaprat : le groom
  • Paul Bisciglia : le prêtre moderne
  • Raymond Malfray : le motard
  • Jean-Pierre Zola : le moine de l'abbaye
  • Bob Lerick : l'assistant qui rase « l'Hiberné »
  • Sébastien Floche : l'huissier du secrétaire général
  • Virginie Vignon : une soubrette
  • Monita Derrieux : une infirmière
  • Carlo Nell : un reporter
  • Sylvain Lévignac : un ambulancier
  • Adrien Cayla-Legrand : un photographe
  • Jean Gold : un invité
  • Michel Duplaix : un inspecteur
  • Gérard Hernandez : le maquilleur Belle Époque (non crédité)
  • Robert Lombard : l'invité blasé à la réception (non crédité)

Kelly Martine

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Martine Kelly est une actrice, chanteuse et productrice française, née le 15 février 1948 à Paris et décédée le 4 juin 2011 dans la même ville.

Kelly Martine Kelly Martine

Martine Kelly débute au cinéma en 1967 dans Les Grandes Vacances aux côtés de Louis de Funès, puis suivent Hibernatus et L'Homme orchestre, toujours en compagnie de ce dernier. Elle interprète Thérèse dans le film Histoire d'O et incarne la productrice dans la comédie musicale télévisée Émilie ou la Petite Sirène 76 où elle chante Dans un beau show accompagnée au piano par Michel Berger. Elle a également joué dans plusieurs pièces de théâtre avant de s'orienter définitivement vers la production au début des années 1990. Elle a été mariée avec l'acteur Richard Leduc.

Filmographie

  • 1967 : Les Grandes Vacances de Jean Girault : Shirley Mac Farrell
  • 1967 : Des garçons et des filles d'Étienne Périer : Gill
  • 1969 : Hibernatus d'Édouard Molinaro : Sophie
  • 1970 : L'Homme orchestre de Serge Korber : La danseuse qui se marie
  • 1970 : La Dame dans l'auto avec des lunettes et un fusil d'Anatole Litvak : Kiki
  • 1972 : La Guerre des espions de Jean-Louis van Belle : Bastos
  • 1972 : Les Fous du stade de Claude Zidi : Délice
  • 1972 : Les Charlots font l'Espagne de Jean Girault : Une terroriste
  • 1973 : Le Grand Bazar de Claude Zidi : Une cliente de la discothèque
  • 1974 : Miss O'Gynie et les hommes fleurs de Samy Pavel : Anne (Miss O'Gynie)
  • 1974 : Marseille contrat (The Marseille contrat) de Robert Parrish : Janet
  • 1975 : Sérieux comme le plaisir de Robert Benayoun
  • 1975 : Histoire d'O de Just Jaeckin : Thérèse
  • 1976 : Les Mal Partis de Sébastien Japrisot : Madeleine
  • 1977 : La Fille d'Amérique de David Newman : Terry
  • 1983 : La vie est un roman d'Alain Resnais : Claudine Obertin
  • 1987 : Le Vampire et le Lapin, Court métrage de Boris Bergman
  • 1988 : Les Pyramides bleues d'Arielle Dombasle : la femme au bar

Télévision

  • 1969 : Candice, ce n'est pas sérieux, de Lazare Iglesis (Téléfilm) : Candice
  • 1970 : Tango, de Jean Kerchbron (Téléfilm) : Aline
  • 1974 : Au théâtre ce soir : L'Or et la paille de Pierre Barillet et Jean-Pierre Grédy, mise en scène Jacques Sereys, réalisation Georges Folgoas, Théâtre Marigny : Géraldine
  • 1975 : Les Mohicans de Paris, Série TV réalisé par Gilles Grangier d'après Alexandre Dumas : Julie Armand
  • 1976 : Émilie ou la Petite Sirène 76, comédie musicale de Michel Berger, réalisation de Marion Sarraut : la productrice
  • 1978 : Cinéma 16, série télévisée, épisode La Discorde réalisé par Georges Franju : Miss Hopkins
  • 1978 : The Pirate, Télésuite de Ken Annakin : Marguerite
  • 1979 : Au théâtre ce soir : Ne quittez pas de Marc-Gilbert Sauvajon & Guy Bolton, mise en scène Max Fournel, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny : Suzy
  • 1980 : Au théâtre ce soir : La Prétentaine de Jacques Deval, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny : Barbara
  • 1982 : Les Amours des années grises, série télévisée de Jean Duché, réalisé par Agnès Delarive : Claude
  • 1982 : Au théâtre ce soir : Un dîner intime d'Yves Chatelain, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny : Solange Fressinet

Théâtre

  • 1966 : La Prétentaine de Jacques Deval, mise en scène Robert Manuel, Théâtre Marigny
  • 1968 : La Dame de Chicago de Frédéric Dard, mise en scène Jacques Charon, Théâtre des Ambassadeurs
  • 1970 : Libres sont les papillons de Leonard Gershe, mise en scène Raymond Gérôme, Théâtre Montparnasse
  • 1972 : Duos sur canapé de Marc Camoletti, mise scène de l'auteur, Théâtre Michel
  • 1979 : Le Philanthrope de Christopher Hampton, mise en scène Michel Fagadau, Théâtre Montparnasse
  • 1981 : Joyeuses Pâques de Jean Poiret, mise en scène Pierre Mondy, Théâtre du Palais-Royal, Théâtre de la Michodière
  • 1982 : Un dîner intime de Yves Chatelain, mise en scène Robert Manuel, Théâtre Marigny

Histoire d'O

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Histoire d’O est un film franco-germano-canadien réalisé par Just Jaeckin, sorti en 1975. Le scénario du film est une adaptation du roman érotique Histoire d’O publié en 1954 par Pauline Réage. O est une jeune femme libre et indépendante, qui est emmenée par son amant René dans un château situé à Roissy où elle devient esclave de son plein gré. Elle y est marquée au fer rouge aux initiales de son maître et est soumise à diverses pratiques sexuelles sado-masochistes.

Histoire d'O de Just JaeckinHistoire d'O de Just Jaeckin

Histoire d'O de Just Jaeckin

Fiche technique

  • Titre : Histoire d’O
  • Autres titres : Une femme soumise
  • Titre anglais : The Story of O
  • Réalisation : Just Jaeckin
  • Scénario : Sébastien Japrisot d'après Histoire d'O de Pauline Réage
  • Production : Gérard Lorin, Éric Rochat
  • Sociétés de production : A.D. Creation, S.N. Prodis [réf. souhaitée]
  • Sociétés de distribution : Concorde Film, Artisan Entertainment, Allied Artists Pictures
  • Musique : Pierre Bachelet
  • Décors : Jean-Baptiste Poirot
  • Costume : Tan Giudicelli
  • Photographie : Robert Fraisse et Yves Rodallec
  • Directeur artistique : Jean-Baptiste Poirot
  • Montage : Francine Pierre
  • Pays d'origine : France / Allemagne de l'Ouest / Canada
  • Langue : français
  • Format : couleurs - 1,85:1 - mono, 35 mm
  • Genre : érotique
  • Public : interdit aux moins de 18 ans en France en 1975, aux moins de 16 ans aujourd'hui
  • Dates de sortie : France : 28 août 1975

Distribution

  • Corinne Cléry : O
  • Udo Kier : René
  • Anthony Steel : Sir Stephen 
  • Jean Gaven : Pierre
  • Christiane Minazzoli : Anne-Marie
  • Alain Noury : Ivan
  • Martine Kelly : Thérèse
  • Jean-Pierre Andréani : Éric, maître
  • Gabriel Cattand : the commander
  • Henri Piégay : Maître 
  • Florence Cayrol : Yvonne

Cléry Corinne

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Corinne Cléry (née Corinne Piccolo) est une actrice française du cinéma et de la télévision (principalement italienne), née le 23 mars 1950 à Paris, Île-de-France. Elle a été l'épouse de Hubert Wayaffe, animateur radio d’Europe 1 dans les années 1960 et 1970.

Cléry CorinneCléry Corinne

Sa première apparition au cinéma date de 1967, au côté de Johnny Hallyday dans Les Poneyttes. Elle joue en 1975 le rôle d'O dans une adaptation cinématographique du roman érotique Histoire d'O par Just Jaeckin (auparavant réalisateur d’Emmanuelle). Elle a été la troisième James Bond girl française grâce à sa participation à Moonraker (1979), un des films de la célèbre série. Le reste de sa carrière se déroule en Italie.

Filmographie

  • 1967 : Les Poneyttes de Joël Le Moigné : Poneytte
  • 1973 : Il sergente Rompiglioni de Giuliano Biagetti : Figlia del colonelle
  • 1975 : Histoire d'O de Just Jaeckin : O
  • 1976 : E Tanta paura de Paolo Cavara : Jeanne
  • 1976 : Striptease de Germán Lorente : Anne
  • 1976 : Bluff de Sergio Corbucci
  • 1976 : Le Bataillon en folie (Sturmtruppen) de Salvatore Samperi
  • 1976 : Allô... Madame (Natale in casa d'appuntamento) d'Armando Nannuzzi
  • 1977 : La Proie de l'autostop (Autostop Rosso Sangue) de Pasquale Festa Campanile : Eve
  • 1977 : Tre tigri contro tre tigri de Sergio Corbucci et Steno
  • 1977 : Kleinhoff Hotel de Carlo Lizzani
  • 1978 : Sono stato un agente C.I.A. de Romolo Guerrieri : Anne Florio
  • 1979 : Moonraker de Lewis Gilbert : Corinne Dufour
  • 1979 : i viaggiatori della sera : Ortensia
  • 1979 : L'Humanoïde (L'umanoide) d'Aldo Lado : Barbara Gibson
  • 1980 : Eroina de Massimo Pirri : Pina
  • 1980 : Odio le bionde : Angelica
  • 1981 : L'ultimo harem : Sara
  • 1983 : Yor, le chasseur du futur (Yor, the Hunter from the Future) : Ka-Laa
  • 1984 : Giochi d'estate : Lisa Donelli
  • 1986 : Il miele del diavolo : Carol Simpson
  • 1986 : Yuppies; i giovani di successo : Francesca
  • 1986 : Via Montenapoleone : Chiara
  • 1987 : Rimini, Rimini, - un anno dopo : Carla Formigoni
  • 1988 : La partita : Jacqueline
  • 1990 : Vacanze di Natale '90 : Alessandra
  • 1990 : Occhio alla perestrojka : Angela Bonetti
  • 1992 : Non chiamarmi Omar : Luisa Tavoni
  • 1994 : Donna di cuori : Vania
  • 1995 : Le Roi de Paris : Betty Favert
  • 2000 : Alex l'ariete : Ernestina
  • 2007 : Il peso dell'aria : Anna
  • 2008 : Ti stramo : Nonna

Télévision

  • 1976 : Natale in casa d'appuntamento (Téléfilm)
  • 1983 : Benedetta e company (Téléfilm)
  • 1984 : Skipper (Téléfilm)
  • 1989 : Disperatamente Giulia (Série TV) : Elena Dionisi
  • 1990 : Vita coi figli (Téléfilm)
  • 1991 : Errore fatale (Téléfilm) : Maria
  • 1991 : L'odissea (Téléfilm) : Circe
  • 1990 : Les mouettes, de Jean Chapot, (Téléfilm) : Leone
  • 1993 : Moscacieca (Téléfilm) : Anna
  • 1995 : The Colony (Téléfilm)
  • 1996 : La signora della città (Téléfilm)
  • 1998 : La forza dell'amore (Série TV) : Sandra
  • 1999 : Tre addii (Série TV) : Claudia Vailati
  • 1999 : Stella di Mare - Hilfe, wir erben ein Schiff (Téléfilm)
  • 1999 : L'ispettore Giusti (Série TV) : Stella Mattioli
  • 2002 : Un sacré détective (Série TV) : Marie
  • 2007 : Incantesimo 9" (Série TV) : Viola Dessi
  • 2008 : Incantesimo 10" (Série TV) : Viola Dessi

Ravalec Blanche

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Blanche Ravalec est une actrice française. Spécialisée dans le doublage, elle est entre autres la voix régulière de Marcia Cross.

Ravalec BlancheRavalec Blanche

Filmographie

  • 1978 : La Carapate : Marguerite, la fermière
  • 1978 : Trocadéro bleu citron
  • 1978 : L'Hôtel de la plage : Yveline
  • 1978 : Une histoire simple : Maggy
  • 1979 : Moonraker : Dolly
  • 1981 : Salut j'arrive :
  • 1982 : Le Grand Pardon : Colette
  • 1983 : Les Voleurs de la nuit : la première femme
  • 1984 : À nous les garçons : Daphné
  • 1985 : Suivez mon regard :
  • 1986 : Kamikaze : la speakerine en différé
  • 1987 : Club de rencontres : Marion
  • 1992 : L'Homme de ma vie :
  • 1994 : Quand j'avais cinq ans je m'ai tué : la mère de Gil
  • 1995 : Une femme dans les bras, un cadavre sur le dos : Sylvie Brisebard
  • 2000 : Scènes de crimes : Madame Bourgoin

Télévision

  • 1984 : Les Enquêtes du commissaire Maigret, épisode : Maigret à Vichy d'Alain Levent : Francine Lange
  • 1991 : Cas de divorce : maître Girard
  • 1999 : Une femme d'honneur, épisode Piège en eaux troubles : Évelyne Fontanel
  • 2000 : Nestor Burma, épisode Machinations pour machines à sous
  • 2005 : Navarro, épisode Escort Blues : Madame Daguet
  • 2011 : Joséphine, ange gardien, épisode Suivez le guide : Michelle
  • 2013 : Une bonne leçon de Bruno Garcia : Jeanne

Le Gendarme en balade

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Le Gendarme en balade est un film français réalisé par Jean Girault, sorti en 1970 avec Louis de Funès et Michel Galabru dans les rôles principaux. Ce film, le quatrième de la série du Gendarme, est précédé par Le gendarme se marie et suivi par Le Gendarme et les Extra-terrestres. Le maréchal des logis chef Cruchot a été mis à la retraite comme toute la brigade, pour être remplacés par une équipe plus jeune et aux méthodes plus modernes. Six mois plus tard, Cruchot s'ennuie ferme en retraite dans le château de son épouse, pourtant débordante d'attention à son égard pour le sortir de sa morosité : promenades à cheval, système de surveillance ultra sophistiqué de la propriété n'obéissant qu'à ses ordres, visite du curé… Rien n'y fait, même le lavage de la voiture qu'il revendique…

Lors d'une visite inopinée, l'adjudant Gerber et sa femme, pris au départ pour des intrus, tombent dans une ancienne oubliette grâce au fameux système de détection radar offert par Josépha. Cruchot montre alors à Gerber son musée-souvenir, ils évoquent leur passé révolu à la gendarmerie de Saint-Tropez. Puis ils reçoivent un vieux compagnon de service, le gendarme Merlot, qui leur apprend que Fougasse est devenu amnésique.

Également accompagné de leur collègues Tricard et Berlicot, ils décident d'aller porter secours à leur ancien camarade et de faire un pèlerinage aux sources. Cependant, trop excités à l'idée de porter à nouveau l'uniforme, les Gendarmes entrent dans l'illégalité, côtoient malgré eux les hippies, déjouent un jeu d'enfants extrêmement dangereux et retrouvent cette sympathique et bienvenue complicité avec les sœurs dont la meilleure conductrice (sœur Clothilde) est devenue Mère supérieure du couvent devenu orphelinat. Malgré la traque acharnée de leurs successeurs, ils brilleront une fois de plus. Ainsi ridiculisés, les « nouveaux » devront rendre la place à leurs aînés, trop heureux de reprendre leur poste de gendarmes de Saint-Tropez et de recevoir un hommage mérité.

Le Gendarme en balade de Jean GiraultLe Gendarme en balade de Jean Girault

Le Gendarme en balade de Jean Girault

Fiche technique

  • Titre : Le Gendarme en balade
  • Réalisation : Jean Girault
  • Réalisation de la seconde équipe : Edmond Séchan
  • Scénario, adaptation : Jean Girault, Jacques Vilfrid, d'après les personnages de Richard Balducci
  • Dialogues : Jacques Vilfrid
  • Assistant réalisateur : Tony Aboyantz, Gilles Joly, Thierry Chabert, Jean-Noel Jourdannet
  • Producteurs délégués : René Pignères, Gérard Beytout
  • Musique : Raymond Lefèvre
  • Directeur de la photographie : Pierre Montazel, assisté de Pierre Manciet
  • Décors : Sydney Bettex, assisté de Georges Richard, Henri Sonois
  • Montage : Armand Psenny, assisté de Eva Zora, Renée Deschamps
  • Ingénieur du son : Jean Rieul, assisté de Marcel Corvaisier, Vartan Karokeusian
  • Costumes : Jacques Cottin
  • Maquillage, coiffure : Michel Deruelle, Fernande Hugi, Pierre Vadé
  • Administrateur comptable : Odette Hainsselin
  • Caméraman : Jean-Paul Schwartz, Guy Delattre
  • Assistant opérateur : Marcel Gilot, Jacques Lefrançois, Yves Mirkine
  • Régie générale : Jean.R Rognoni, Georgette Darbon, Jean-Jacques Lecot, Alex Maineri, Paul Lemaire
  • Ensemblier : André Labussière, Gabriel Béchir
  • Attachés de presse : Eugène Moineaux, Marlène Moineaux
  • Script-girl : Colette Robin, Lydie Douat
  • Bijoux de : Renée Longuet
  • Effets spéciaux : Pierre Durin, Rémy Julienne
  • Bruitages : Robert Pouret
  • Générique et Trucages : Eurocitel
  • Affichiste : Clément Hurel (non crédité)
  • La séquence du couvent a été tournée au château de Saint-Tropez grâce à l'amabilité de monsieur Libert Borganetti
  • Studio : Paris studio-cinéma Billancourt, Laboratoire : Eclair à Epiney sur Seine
  • Transparences Franstudio, Eastman color Kodak
  • Système : Panavision, Système sonore : Enregistrement Westrex 1135 Société S.N.E.C
  • Distribution : SNC
  • Pays d'origine : France
  • Langue : Français
  • Format : Couleurs - 2,35:1 - Mono - 35 mm
  • Genre : Comédie policiére
  • Durée : 96 minutes (1 h 36)
  • Date de sortie : 28 octobre 1970 (France)

Distribution

  • Louis de Funès : le maréchal des logis chef Ludovic Cruchot
  • Michel Galabru : l'adjudant Jérôme Gerber
  • Claude Gensac : Josépha
  • Jean Lefebvre : Fougasse
  • Christian Marin : Merlot
  • Guy Grosso : Tricard
  • Michel Modo : Berlicot
  • France Rumilly : Sœur Clothilde
  • Nicole Vervil : Madame Gerber
  • Dominique Davray : La sœur forte
  • Yves Vincent : le colonel
  • René Berthier : le sous-officier adjoint du colonel
  • Sara Franchetti : Sœur Marie-Bénédicte
  • Paul Préboist : le palefrenier
  • Paul Mercey : le curé
  • Cris Georgiadis : le majordome
  • Dominique Zardi : le braconnier
  • Robert Le Béal : le ministre
  • Yves Barsacq : le conducteur accidenté de la MGB blanche (non crédité)
  • Jean Valmence : le conducteur accidenté de l'Alfa Romeo Giulia GT coupé Bertone rouge
  • Henri Guégan : un joueur de boules à la Pinsonière
  • Ugo Fangareggi : un hippie
  • Yvan Varco : un jeune gendarme
  • Georges Fabre : doublure de Louis de Funès dans les cascades (non crédité)

Le Bal du comte d'Orgel

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Le Bal du comte d'Orgel est un film français réalisé par Marc Allégret en 1970, d’après le roman éponyme de Raymond Radiguet.  Paris en 1920 ressemble à un gigantesque bal masqué : on va de fêtes en fêtes, de bons mots en bons mots. On s'amuse follement pour oublier la mort encore proche. Les rois de Paris sont le Comte d'Orgel et sa jeune femme originaire de la Martinique, Mahé. Un soir ils rencontrent François de Séryeuse, qu'ils connaissent de vue. Le comte, tout à la joie de se faire un nouvel ami, l'invite à Robinson... Là, un Tout-Paris bigarré danse le Charleston et le black bottom, parle de Picasso, Satie, Apollinaire. 

Très vite, François devient un familier du clan d'Orgel. Lors d'un déjeuner chez la mère de François, Madame de Séryeuse, le comte d'Orgel découvre que François et Mahé sont vaguement cousins. Mais delà, les commérages vont bon train. François est profondément amoureux de Mahé : un soir, dans l'obscurité d'une voiture, il lui prend furtivement la main. Mais le comte, à qui Mahé, troublée, rapporte le fait, refuse de le prendre au tragique. Au lendemain des vacances, le comte prépare un grand bal costumé, dont le clou sera un ballet dansé par les invités. 

Mahé, qui se sent chaque jour perdre pied davantage, avoue à Madame de Séryeuse son amour pour François, et lui demande d'éloigner son fils, lequel se révèle fou de joie d'apprendre son amour partagé. Lors d'une répétition du ballet, qui prévoit une scène d'amour entre François et elle, Mahé s'évanouit. Le soir même, elle reconnaît à son mari son amour pour François. Le comte, douloureux mais impassible, refuse cet aveu et calme son épouse : tel un magicien, il pointe son doigt sur la jeune femme : « Et maintenant, Mahé, dormez, je le veux ! ». Aussitôt, Mahé s'endort : elle voit François s'avancer vers elle. Ils s'enlacent.

Le Bal du comte d'Orgel de Marc AllégretLe Bal du comte d'Orgel de Marc Allégret

Le Bal du comte d'Orgel de Marc Allégret

Fiche technique

  • Titre : Le Bal du comte d'Orgel
  • Réalisation : Marc Allégret
  • Assistant réalisateur : Michel Lang
  • Scénario : Marc Allégret, Philippe Grumbach, d'après le roman éponyme de Raymond Radiguet
  • Dialogues : Françoise Sagan, Philippe Grumbach
  • Décors : Pierre Guffroy
  • Costumes : Mario Franceschi
  • Photographie : Christian Matras
  • Son : Robert Billard
  • Montage : Victoria Mercanton
  • Musique : Raymond Le Sénéchal
  • Production exécutive : Philippe Grumbach
  • Pays d'origine : France
  • Langue originale : français
  • Format : couleur (Eastmancolor) — 35 mm — son Mono
  • Genre : Comédie dramatique
  • Durée : 100 minutes
  • Sortie en salle : France : mai 1970 (Festival de Cannes), France : 1er juillet 1970 (Sortie nationale)

Distribution

  • Jean-Claude Brialy : Le comte Anne d'Orgel
  • Sylvie Fennec : La comtesse Mahé d'Orgel
  • Bruno Garcin : François de Séryeuse
  • Micheline Presle : Madame de Séryeuse
  • Gérard Lartigau : Paul Robin
  • Sacha Pitoëff : Le prince Naroumof
  • Marpessa Dawn : Marie
  • Claude Gensac : Mademoiselle d'Orgel
  • Ginette Leclerc : Hortense d'Austerlitz
  • Aly Raffy : Mirza
  • Marcel Charvey : L'ambassadeur
  • Béatrice Chatelier : Amina
  • Max Montavon : Un invité
  • Wendy Nicholls : Hester Wayne

Fennec Sylvie

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Sylvie Fennec (Sylvie Fassio, née le 19 mai 1946 à Paris, France ) est une actrice française de cinéma et de télévision. 

Fennec Sylvie Fennec Sylvie

Elle débuta au cinéma en 1968 dans le film Adélaïde avec Jean Sorel et Ingrid Thulin. Pendant près de dix ans, de 1974 à 1980 et de 1983 à 1985, Sylvie Fennec a été le visage de la marque Monsavon. Après sa carrière d'actrice, elle se lança dans les décors de cinéma.

Filmographie

  • 1969 : Le Spécialiste
  • 1970 : Le Bal du comte d'Orgel : La comtesse Mahé d'Orgel
  • 1975 : Il pleut toujours où c'est mouillé
  • 1978 : Good-bye, Emmanuelle : Clara
  • 1988 : En toute innocence : Geneviève
  • 1988 : Le Maître de musique : Estelle Fischer
  • 1988 : La Maison dans la dune : Germaine

Télévision

  • 1971 : La Brigade des maléfices : Rosalinde, une fée
  • 1979 : Mon ami Gaylord : Marie
  • 1985 : Châteauvallon : Thérèse Berg
  • 1992 : Ferbac - Bains de jouvence

Garcin Bruno

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Bruno Garcin, né le 3 juillet 1949 à Paris, est un acteur français qui connut son heure de gloire dans les années 1970 grâce à des rôles de jeunes premiers (Rastignac, Rubempré...) dans des dramatiques « en costume » à la télévision française.

Garcin BrunoGarcin Bruno

Filmographie

  • 1967 : Le Franciscain de Bourges de Claude Autant-Lara
  • 1970 : Belle d'amore de Fabio De Agostini
  • 1970 : Le Bal du comte d'Orgel de Marc Allégret : François de Seyrieuse
  • 1973 : Le Magnifique de Philippe de Broca : Pilu
  • 1981 : La Revanche de Pierre Lary : l'inspecteur Morland
  • 1982 : Pour cent briques, t'as plus rien d'Édouard Molinaro : l'adjoint de Bouvard
  • 1983 : El señor presidente de Manuel Octavio Gómez : Cara de Angel

Télévision

  • 1971 : Au théâtre ce soir : La Corde de Gabriel Arout d'après Patrick Hamilton, m.e.s. Raymond Gérôme, réalisation de Pierre Sabbagh : Brandon
  • 1972 : Le Père Goriot, téléfilm de Guy Jorré : Eugène de Rastignac
  • 1972 : Les Thibault, feuilleton télévisé d'André Michel et Alain Boudet : Daniel de Fontanin
  • 1973 : Lucien Leuwen, feuilleton télévisé de Claude Autant-Lara : Lucien Leuwen
  • 1975 : Splendeurs et misères des courtisanes, feuilleton télévisé de Maurice Cazeneuve : Lucien de Rubempré
  • 1977 : D'Artagnan amoureux, feuilleton télévisé de Yannick Andréi : Roger de Bussy-Rabutin
  • 1979 : Les Dames de la côte, feuilleton télévisé de Nina Companéez
  • 1988 : La Valise en carton, feuilleton télévisé de Michel Wyn : Pascal
  • 1991 : Vous êtes folle, Imogène, épisode de la série télévisée Imogène : Albert de Saint-Pierre
  • 1995 : Coup bas, épisode de la série télévisée Navarro : Morales

Jo

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Jo est un film français réalisé par Jean Girault, sorti le 1er septembre 1971. Antoine Brisebard, auteur comique à succès, est victime de Jo, un maître chanteur qui menace de dévoiler les origines familiales douteuses de sa femme. Résolu à se débarrasser de lui, Brisebard prétexte l'écriture d'une pièce policière afin de recueillir les ingrédients du crime parfait. Malheureusement, lorsque Jo vient chercher la somme d'argent exigée, le plan de Brisebard ne se déroule pas comme prévu.

A peine Jo éliminé, les visiteurs les plus farfelus se succèdent dans sa maison : un agent immobilier tenace et un couple excentrique, une gouvernante émotive, le maçon qui a récemment installé un kiosque, cadeau de Mme Brisebard et même l'inspecteur Ducros bien décidé à découvrir pourquoi Jo a été retrouvé assassiné. Comprenant rapidement qu'il n'a pas tué la bonne personne, Antoine Brisebard va devoir redoubler d'ingéniosité pour cacher son crime à la police tout en éloignant de chez lui cette foule qui semble bien décidée à lui rendre la vie impossible.

Jo de Jean GiraultJo de Jean Girault

Jo de Jean Girault

Fiche technique

  • Titre : Jo
  • Réalisation : Jean Girault
  • Scénario : Claude Magnier et Jacques Vilfrid, d'après la pièce de théâtre The Gazebo d'Alec Coppel et Myra Coppel
  • Adaptation : Jacques Vilfrid, Jean Girault
  • Dialogues additionnels : Jacques Vilfrid
  • Assistant réalisateur : Tony Aboyantz
  • Production : Léo L. Fuchs
  • Directeur de production : Alain Darbon
  • Musique : Raymond Lefèvre
  • Images : Henri Decaë
  • Décors : Sydney Bettex, assisté de Georges Richard et Enrique Sonois
  • Montage : Armand Psenny, assisté de Jacques Comets
  • Opérateur : Daniel Vogel, assisté de Jacques Lefrançois
  • Costumes : Colette Baudot
  • Coiffures : Marc Blanchard
  • Maquillage : Fernande Hugi
  • Son : René-Christian Forget
  • Perchman : Guy-Henri Maillet
  • Recorder : Jacques Bareille
  • Mixage : Alex Prout
  • Ensemblier : Guy Maugin
  • Costumière : Colette Baudot
  • Script-girl : Colette Robin
  • Photographe de plateau : Maurice Chapiron
  • Régisseur général : Jean-Roch Rognoni
  • Administrateur : Paul Bengin
  • Accessoiriste : Maurice Terrasse
  • Attaché de presse : Paul-François Fregost et Eugène Moineau
  • Accessoiriste : Maurice Terrasse
  • Le jardin a été réalisé par : Moser Versailles
  • Costumes : Cerruti - Robes : Rety
  • Chaussures : Clarence - Générique : STAN
  • Éléments de cuisine : Jacques Doubinsky
  • Affichiste : Clément Hurel (non crédité)
  • Tournage à Franstudio de Saint-Maurice
  • Matériel de location : Chevereau
  • Système sonore Westrex P.S.C
  • Tirage : Laboratoire L.T.C Franay Saint-Cloud
  • Pays d'origine : France
  • Format : Couleurs Eastman Kodak- 1,66:1 - Mono - 35 mm
  • Production : Trianon Production S.A Paris
  • Distribution : Metro Goldwyn Mayer
  • Genre : comédie policière, burlesque
  • Durée : 82 minutes
  • Date de sortie : 1er septembre 1971 en France

Distribution

  • Louis de Funès : Antoine Brisebard, auteur comique
  • Claude Gensac : Sylvie Brisebard, comédienne et épouse d'Antoine
  • Bernard Blier : L'inspecteur Ducros
  • Michel Galabru : Tonelotti, le maçon
  • Christiane Muller : Mathilde, la bonne des Brisebard
  • Florence Blot : Mme Cramusel, la femme qui fait visiter la maison
  • Guy Tréjan : Me Adrien Colas, avocat et ami des Brisebard
  • Ferdy Mayne : M. Grunder, le futur acheteur de la maison
  • Yvonne Clech : Mme Grunder, sa femme portée sur la boisson
  • Micheline Luccioni : Françoise, une amie du couple Brisebard
  • Jacques Marin : Andrieux, un adjoint de l'inspecteur Ducros
  • Dominique Zardi : Le Duc, un homme de main de Jo
  • Henri Attal : Grand Louis, un homme de main de Jo
  • Paul Préboist : Le brigadier qui ramène la malle
  • Jean Valmence : Le représentant de commerce
  • Carlo Nell : Plumerel, un adjoint de l'inspecteur Ducros
  • Jacques Préboist : Le gendarme (non crédité)
  • Marcel Gassouk : Le plombier (non crédité)
  • Henri Guéguan : L'ouvrier (non crédité)
  • Jean Droze : Riri (non crédité)

Chiles Lois

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Lois Chiles est une actrice américaine, née le 15 avril 1947 (67 ans) à Houston, au Texas (États-Unis).

Chiles Lois

Filmographie

  • 1972 : Together for Days : Shelley
  • 1973 : Nos plus belles années (The Way We Were) : Carol Ann
  • 1974 : Gatsby le Magnifique (The Great Gatsby) : Jordan Baker
  • 1978 : Morts suspectes (Coma) : Mrs. Nancy 'Nance' Greenly
  • 1978 : Mort sur le Nil (Death on the Nile) : Linnet Ridgeway Doyle
  • 1979 : Moonraker : Dr. Holly Goodhead
  • 1984 : Courage : Ruth
  • 1986 : Sweet Liberty d'Alan Alda : Leslie
  • 1987 : Creepshow 2 : Annie Lansing (segment The Hitchhiker)
  • 1987 : Broadcast News : Jennifer Mack
  • 1989 : Un monde pour nous (Say Anything...) : La mère de Diane
  • 1990 : Twister : Virginia
  • 1991 : Venins (In the Eye of the Snake) : La mère de Claire Anzer—Marc
  • 1991 : Jusqu'au bout du monde (Bis ans Ende der Welt) : Elsa Farber
  • 1991 : Hit man, un tueur (Diary of a Hitman) : Sheila
  • 1995 : The Babysitter de Guy Ferland : Bernice Holsten
  • 1996 : Poussière d'étoile (Wish Upon a Star) : Mittermonster
  • 1996 : Sang-froid (Curdled) : Katrina Brandt
  • 1997 : Au-delà du désir (Bliss) : Eva
  • 1997 : Austin Powers (Austin Powers: International Man of Mystery) : La femme de Steamrolled Henchman
  • 1997 : Speed 2 : Cap sur le danger (Speed 2: Cruise Control) : Celeste
  • 2000 : Eventual Wife : La mère de Susan
  • 2006 : Kettle of Fish : Jean

Télévision

  • 1981 : Pour l'amour du risque (Hart to Hart) (série télé) : Scottie / Mary Scott
  • 1982 - 1983 : Dallas (série télé) : Holly Harwood
  • 1986 : Dark Mansions (téléfilm) : Jessica Drake
  • 1987 : Tales from the Hollywood Hills: A Table at Ciro's (téléfilm) : Lita Nathan
  • 1990 : Liaison brûlante (Burning Bridges) (téléfilm) : Claire Morgan
  • 1990 : Arabesque (Murder She Wrote) (série télé) S07E07 : Millie Bingham Stafford
  • 1991 : Veronica Clare (série télé)
  • 1992 : Obsession (Obsessed) (téléfilm) : Louise
  • 1993 : Dans la chaleur de la nuit (In the Heat of the Night) (série télé) : Muriel Gray
  • 1993 : Lush Life (Téléfilm) : Lucy
  • 1993 : Crossroads (série télé) : Renee
  • 1994 : La Loi de Los Angeles (L.A. Law) (série télé) : Carmilla Greer
  • 1995 : Flipper (Série TV) : Allison Van Rijn
  • 1997 : Une nounou d'enfer (The Nanny) (série télé) : Elaine
  • 1998 : Black Cat Run (Téléfilm) : Ada Bronnel
  • 2002 : Any Day Now (série télé) : Juge
  • 2002 : Warning: Parental Advisory (Téléfilm) : Susan Baker
  • 2005 : Les Experts (CSI: Crime Scene Investigation) (série télé) : Jillian Stokes
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