Quantcast
Channel: Mémoires de Guerre
Viewing all 30791 articles
Browse latest View live

La Recrue

$
0
0

La Recrue ou Le Nouvel Agent au Québec (The Recruit) est un film d'espionnage américain réalisé par Roger Donaldson en 2003. James Clayton est un brillant programmeur du MIT. C'est sur lui que s'est porté le choix de Walter Burke, un recruteur de la CIA. En acceptant sa proposition, Clayton espère découvrir si son père faisait lui aussi partie de l'agence. Il commence alors à suivre un entraînement sévère à « La Ferme », le centre de formation de la CIA de Camp Peary. Tout en se familiarisant avec les règles du métier, il va s'éprendre de Layla Moore, une autre recrue. Mais il est finalement évincé de « La Ferme », après avoir échoué à un test. Convaincu de son échec au test d'interrogatoire, James se morfond chez lui, c'est alors que Burke tente de s'introduire dans son appartement... Ce dernier lui apprend que nul n'a jamais réussi aussi bien au test d'interrogatoire durant les quinze dernières années et que cet "échec" était programmé.

La RecrueLa Recrue

Fiche technique

  • Titre français : La Recrue
  • Titre original : The Recruit
  • Réalisateur : Roger Donaldson
  • Scénario : Roger Towne, Kurt Wimmer et Mitch Glazer
  • Producteur : Jeff Apple, Gary Barber et Roger Birnbaum
  • Musique : Klaus Badelt (additionnel : Ramin Djawadi et Blake Neely)
  • Image : Stuart Dryburgh
  • Montage : David Rosenbloom
  • Dates de sortie :
  • États-Unis : 31 janvier 2003
  • Belgique : 26 mars 2003
  • France : 11 juin 2003
  • Suisse : 11 juin 2003 (région francophone)

Distribution

  • Al Pacino (VF : José Luccioni et VQ : Luis de Cespedes) : Walter Burke
  • Colin Farrell (VF : Boris Rehlinger et VQ : Martin Watier) : James Clayton
  • Bridget Moynahan (VF : Françoise Cadol et VQ : Camille Cyr-Desmarais) : Layla Moore
  • Gabriel Macht (VF : Damien Boisseau et VQ : Gilbert Lachance) : Zack
  • Ron Lea (VF : Patrick Raynal et VQ : Denis Michaud) : Bill Rudolph, recruteur Dell
  • Karl Pruner (VF : Bernard Lanneau et VQ : Mario Desmarais) : Dennis Slayne
  • Richard Fitzpatrick (VF : Bernard Métraux) : Rob Stevens
  • Kenneth Mitchell (VQ : Benoit Éthier) : Alan
  • Mike Realba (VQ : François Godin) : Ronnie Gibson
  • Jeanie Calleja : Co-Ed no 1
  • Domenico Fiore : Instructeur no 1
  • Jessica Greco : Fille au Blue Ridge
  • Angelo Tsarouchas : Conducteur de taxi
  • Veronica Hurnick : Interrogratrice utilisant un polygraphe
  • Eugene Lipinski (VQ : Jean-Marie Moncelet) : Husky
  • Steve Lucescu : Instructeur no 2

Marathon Man

$
0
0

Marathon Man est un film américain réalisé par John Schlesinger, sorti en 1976, et adaptation du roman éponyme de William Goldman paru un an plus tôt. Le film a valu à Laurence Olivier d'obtenir le Golden Globe du meilleur acteur dans un second rôle et d'être nommé à l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle. À New York, par un été caniculaire, un violent accident de voiture cause la mort de deux personnes, dont le frère d'un ancien criminel nazi planqué en Amérique du Sud, Christian Szell, qui se trouvait aux États-Unis afin d'y récupérer un vieux trésor de guerre. Cet accident va avoir des répercussions collatérales sur le quotidien tranquille de Thomas Levy, brillant étudiant en histoire surnommé « Babe » par son entourage, et qui s'entraine d'arrache-pied en vue de courir un marathon. En effet, son grand frère Henry « Doc », membre d'une organisation secrète du gouvernement américain, est dans la ligne de mire de Szell. Dès lors, « Babe » va devoir courir pour sauver sa peau, tout en cherchant à comprendre pourquoi il est lui aussi devenu une cible à éliminer.

 

Marathon Man de John SchlesingerMarathon Man de John Schlesinger

Marathon Man de John Schlesinger

Fiche technique

  • Titre français et québécois : Marathon Man
  • Titre original : Marathon Man
  • Réalisateur : John Schlesinger
  • Production : Robert Evans et Sidney Beckerman
  • Scénario : William Goldman, d'après son roman
  • Musique : Michael Small
  • Image : Conrad L. Hall
  • Montage : Jim Clark
  • Société de distribution : Paramount Pictures
  • Genre : Espionnage, thriller
  • Pays : États-Unis
  • Langues : anglais, français, allemand, espagnol et yiddish
  • Lieux de tournage : New York, Los Angeles et Paris.
  • Durée : 125 minutes
  • Dates de sorties en salles : États-Unis 8 octobre 1976, France 22 décembre 1976, 26 mai 2010 (ressortie en salles)
  • Film interdit aux moins de 16 ans lors de sa sortie en salles en France

Distribution

  • Dustin Hoffman (VF : Michel Bedetti) : Thomas « Babe » Levy
  • Laurence Olivier (VF : André Valmy) : Dr Christian Szell
  • Roy Scheider (VF : Gabriel Cattand) : Henry « Doc » Levy
  • William Devane : (VF : Serge Sauvion) : Peter « Janey » Janeway
  • Marthe Keller (VF : Marthe Keller) : Elsa Opel
  • Richard Bright : Karl
  • Marc Lawrence : Erhard
  • Fritz Weaver (VF : François Chaumette) : Professeur Biesenthal
  • Jacques Marin : Leclerc
  • Ben Dova : Klaus Szell
  • Lou Gilbert : Rosenbaum
  • James Wing Woo : Chen
  • Allen Joseph : le père de Babe et Doc
  • Tito Goya : Melendez
  • Nicole Deslauriers : Nicole
  • Treat Williams : un joggeur

Arsenic et vieilles dentelles

$
0
0

Arsenic et vieilles dentelles (Arsenic and Old Lace) est un film américain réalisé en 1941 par Frank Capra, sorti aux États-Unis en 1944. Il est adapté d'une pièce de théâtre homonyme en trois actes de Joseph Kesselring inspirée par la vie de Vera Renczi, d'abord intitulée Bodies in Our Cellar (Des cadavres dans notre Cave), jouée à Broadway de 1941 à 1944. Mortimer Brewster vient annoncer à ses deux tantes Abby (Dorothy dans la pièce de Théâtre) et Martha, qui l'ont élevé, son prochain mariage avec la fille du révérend Harper, qui habite à quelques dizaines de mètres de là. Mais il découvre, caché dans un coffre sous la fenêtre, le cadavre d'un vieil homme. 

Ses deux tantes lui avouent alors, le plus ingénument et le plus naturellement du monde, qu'elles se sont fait une spécialité de supprimer les vieux messieurs seuls au monde en vue de leur rendre service, non sans prononcer pour eux des éloges funèbres. Mortimer et ses vieilles tantes envisagent de faire envoyer en asile psychiatrique leur neveu et frère Theodore, un fou qui se prend pour le Président Roosevelt et sonne la charge à tout bout de champ avec un clairon ou en hurlant. Apparaît alors Jonathan Brewster, frère de Mortimer, un dangereux psychopathe — accompagné du couard Docteur Einstein qui l'a opéré plusieurs fois pour masquer son identité à la police — venu lui aussi cacher un cadavre dans la maison de ses tantes.

Arsenic et vieilles dentelles de Frank CapraArsenic et vieilles dentelles de Frank Capra

Arsenic et vieilles dentelles de Frank Capra

Fiche technique

  • Titre français : Arsenic et vieilles dentelles
  • Titre original : Arsenic and Old Lace
  • Réalisateur : Frank Capra
  • Scénario : Julius J. Epstein et Philip G. Epstein, d'après la pièce éponyme de Joseph Kesselring
  • Production : Frank Capra ; producteur exécutif : Jack Warner
  • Société de production et de distribution : Warner Bros.
  • Musique : Max Steiner
  • Photographie : Sol Polito
  • Montage : Daniel Mandell
  • Directeur artistique : Max Parker (en)
  • Costumes : Orry-Kelly
  • Assistant réalisateur : Jesse Hibbs
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Format : Noir et blanc - 1,37:1 - son monophonique (RCA Sound System) - 35 mm
  • Durée : 118 minutes
  • Genre : comédie
  • Dates de sortie : États-Unis : 1er septembre 1944 (New York), 23 septembre 1944 (sortie nationale) ; France : 20 décembre 1946

Distribution

  • Cary Grant : Mortimer Brewster, l'écrivain
  • Priscilla Lane : Elaine Harper, la fille du pasteur et fiancée de Mortimer
  • Josephine Hull : Abby Brewster, la vieille tante et assassine
  • Jean Adair : Martha Brewster, la vieille tante et assassine
  • John Alexander : Theodore « Roosevelt » Brewster, l'oncle fou
  • Raymond Massey : Jonathan « Frankenstein » Brewster, le frère psychopathe de Mortimer
  • Peter Lorre : le docteur allemand Einstein
  • Jack Carson : l'agent O'Hara, le flic écrivain
  • Grant Mitchell : le révérend Harper, le voisin des tantes Brewster
  • James Gleason : le lieutenant Rooney
  • John Ridgely : l'agent Saunders
  • Charles Lane : un journaliste
  • Edward Everett Horton : M. Witherspoon, le directeur de l'asile psychiatrique
  • Chester Clute (en) : le docteur Gilchrist
  • Garry Owen : le chauffeur de taxi
  • Vaughan Glaser : le juge Cullman

Les Croix de bois

$
0
0

Les Croix de bois est un film français réalisé par Raymond Bernard, sorti en 1932, adapté du roman Les Croix de bois de Roland Dorgelès. En France, pendant la Première Guerre mondiale, Gilbert Demachy, étudiant en droit, s'engage pour en découdre avec l'envahisseur allemand. La ligne de Front paraît stagner en Champagne. Terré dans les tranchées, chaque camp attend de passer à l'offensive..Par son sujet (l'évolution mentale d'un soldat, au départ idéaliste), ce film se rapproche de La Grande Parade de King Vidor (1925) ou de À l'Ouest, rien de nouveau de Lewis Milestone (1930). Pierre Blanchar et Charles Vanel ont réellement combattu durant la « Grande Guerre », tout comme la majorité des acteurs et figurants. 

Pour les figurants, l'Armée française avait fourni quelques bataillons de jeunes recrues qui faisaient leur service militaire. N'étant pas satisfait de leur attitude, ni de leurs façons de se tenir dans la tranchée, Raymond Bernard décida d'employer des anciens de 14-18, à l'attitude plus « vraie ». Il en va de même pour le lieu du tournage qui est un vrai champ de bataille, l'armée ayant autorisé l'accès a des zones militaires. Le tournage fut d'ailleurs interrompu a plusieurs reprises car des corps de soldats ou des obus non éclatés remontaient a la surface. (Échos de naguère, mémoires de Raymond Bernard).

Les Croix de bois de Raymond BernardLes Croix de bois de Raymond Bernard

Les Croix de bois de Raymond Bernard

Fiche technique

  • Réalisation : Raymond Bernard
  • Scénario : Raymond Bernard et André Lang, d'après le roman éponyme de Roland Dorgelès, Les Croix de bois
  • Décors : Jean Perrier
  • Photographie : Jules Kruger et René Ribault
  • Son : Antoine Archimbaud
  • Montage : Lucienne Grumberg
  • Société de production : Pathé-Natan
  • Pays : France
  • Format : Noir et blanc - Son mono (RCA Photophone) - 1,37:1
  • Genre : Film de guerre
  • Durée: 110 minutes
  • Date de sortie : France - 17 mars 1932, Paris, cinéma Moulin-Rouge

Distribution

  • Pierre Blanchar : soldat Gilbert Demachy
  • Gabriel Gabrio : Sulphart
  • Charles Vanel : caporal Breval
  • Raymond Aimos : soldat Fouillard
  • Antonin Artaud : soldat Vieublé
  • Paul Azaïs : soldat Broucke
  • René Bergeron : soldat Hamel
  • Raymond Cordy : soldat Vairon
  • Marcel Delaître : soldat Berthier
  • Jean Galland : capitaine Cruchet
  • Pierre Labry : soldat Bouffioux
  • Geo Laby : soldat Belin
  • René Montis : lieutenant Morache
  • Jean-François Martial : soldat Lemoine
  • Marc Valbel : Maroux
  • Christian-Jaque : un lieutenant

Schneckenburger Wilhelm

$
0
0

Wilhelm 'Willi' Schneckenburger (30 mars 1891 à Tübingen - 14 octobre 1944 à Belgrade) est un General der Infanterie allemand qui a servi au sein de la Heer dans la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale

Schneckenburger Wilhelm

Il a été récipiendaire de la Croix de chevalier de la Croix de fer. Cette décoration est attribuée pour récompenser un acte d'une extrême bravoure sur le champ de bataille ou un commandement militaire avec succès. Wilhelm Schneckenburger est tué le 14 octobre 1944 près de Belgrade par le tir d'avions volant à basse altitude.

Décorations

  • Croix de fer (1914) 2e Classe, 1re Classe
  • Insigne des blessés (1914) en Noir
  • Croix d'honneur
  • Agrafe de la Croix de fer (1939) 2e Classe, 1re Classe
  • Médaille du Front de l'Est
  • Croix allemande en Or (5 mai 1942)
  • Croix de chevalier de la Croix de fer, Croix de chevalier le 1er août 1942 en tant que Generalleutnant et commandant de la 125. Infanterie Division

 

Schmidt Hans

$
0
0

Hans Schmidt (14 mars 1895 à Bayreuth - 28 novembre 1971 à Weiden in der Oberpfalz) est un Generalleutnant allemand qui a servi au sein de la Heer dans la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale

Schmidt Hans

Il a été récipiendaire de la Croix de chevalier de la Croix de fer. Cette décoration est attribuée pour récompenser un acte d'une extrême bravoure sur le champ de bataille ou un commandement militaire avec succès. Croix de fer (1914) 2e Classe et 1re Classe, Croix d'honneur pour combattants 1914-1918, Agrafe de la Croix de fer (1939), 2e Classe, 1re Classe, Médaille du Front de l'Est, Croix allemande en Or (21 avril 1943), Croix de chevalier de la Croix de fer, Croix de chevalier le 16 octobre 1944 en tant que Generalleutnant et commandant de la 275. Infanterie-Division.

Décorations

  • Croix de fer (1914) 2e Classe et 1re Classe
  • Croix d'honneur pour combattants 1914-1918
  • Agrafe de la Croix de fer (1939) 2e Classe et 1re Classe
  • Médaille du Front de l'Est
  • Croix allemande en Or (21 avril 1943)
  • Croix de chevalier de la Croix de fer, Croix de chevalier le 16 octobre 1944 en tant que Generalleutnant et commandant de la 275. Infanterie-Division

Schmidt Hans-Thilo

$
0
0

Hans-Thilo Schmidt (13 mai 1888 – septembre 1943), dit Asché, alias Source D, est un fonctionnaire allemand, agent à la solde du Service de Renseignement (SR) français, connu pour avoir trahi les secrets d'Enigma

Hans-Thilo Schmidt et son épouse Charlotte

Hans-Thilo Schmidt et son épouse Charlotte

Employé au bureau du chiffre du ministère de la Reichswehr, Schmidt noceur, coureur de jupons, a d'insatiables besoins d'argent aggravés par la crise. En octobre 1931, il fait au SR français des offres qui sont acceptées, à une condition, qu'il fournisse vite un renseignement important, afin de prouver sa bonne foi. Or Schmidt a accès à la documentation d'EnigmaTraité par un inconnu (le capitaine Gustave Bertrand), Schmidt reçoit un nom de code, H.E ou Asché (cendres). Son contact est un certain Rex (Rudolf Stahlmann, dit Rodolphe Lemoine). En outre, Schmidt est approché par deux officiers de la section allemande du SR français, André Perruche et Guy Schlesser, qui s'intéressent aux renseignements militaires et politiques. Le colonel Paillole, responsable du service de contre-espionnage allemand, sous les ordres de Schlesser, raconte, dans son ouvrage Notre espion chez Hitler, les services rendus par Schmidt qu'il évalue comme l'un de ses agents les plus audacieux.

Jusqu'en 1937, Schmidt rencontre des agents français dans diverses villes européennes. Il fournit des copies des manuels d'instruction, des procédures de mise en œuvre et des listes de clefs quotidiennes. L'ensemble est baptisé Enigma de papier. Toutefois, ni les cryptologues français, ni le GC&CS contacté par Bertrand, ne progressent. En décembre 1932, Bertrand partage des renseignements avec le Bureau polonais du chiffre (Biuro Szyfrów). Le mathématicien Marian Rejewski avait déjà mis en équations le fonctionnement des circuits des rotors. Les listes de clefs fournies par Schmidt permettent de résoudre certaines inconnues des formules de Rejewski. Pendant six ans, par intermittences, les Polonais lisent certains trafics, ce qu'ils se gardent bien de révéler au GC&CS et à Bertrand.

En 1937, Schmidt quitte le bureau du chiffre. Il entre au Forschungsamt (bureau de recherches) du ministère de l'air. Frère d'un officier d'état-major en pleine ascension, il a cependant, par relations, accès à des informations confidentielles qu'il s'empresse de vendre au SR français. Le 27 février 1943, Stahlmann-Lemoine est arrêté par l'Abwehr. Il se met à table. Hans-Thilo Schmidt est arrêté le 1er avril et probablement torturé à mort. En septembre, sa fille Gisela est priée de venir reconnaître le cadavre, mais elle racontera plus tard que son père s'est suicidé au moyen d'un poison qu'elle lui avait fait passer en prison. Commandant une armée blindée, son frère, le général Rudolf Schmidt, est relevé de ses fonctions et mis à pied, malgré de brillants états de service.

Schmidt Hans

$
0
0

Hans Schmidt (28 avril 1877 à Ulm - 5 juin 1948 à Stuttgart) est un General der Infanterie allemand qui a servi au sein de la Heer dans la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale

Schmidt Hans

Il a été récipiendaire de la Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne. La Croix de chevalier de la Croix de fer et son grade supérieur les feuilles de chêne sont attribués pour récompenser un acte d'une extrême bravoure sur le champ de bataille ou un commandement militaire avec succès.

Décorations

  • Croix de fer (1914) 2e Classe et 1re Classe
  • Ordre de la Couronne (Prusse) 4e Classe
  • Croix de chevalier de l'Ordre royak de Hohenzollern
  • Ordre du Mérite militaire (Bavière) 4e Classe avec glaives et couronne
  • Croix de chevalier de l'Ordre d'Albert 2e Classe
  • Croix de chevalier de l'Ordre du Mérite militaire (Württemberg)
  • Croix de chevalier de l'Ordre de Frédéric avec glaives
  • Médaille militaire de service (Württemberg) 1re Classe
  • Croix hanséatique de Hambourg
  • Croix du Mérite militaire (Autriche) 3e Classe avec décorations de guerre
  • Médaille de service de la Wehrmacht 4e à 1re Classe
  • Agrafe de la Croix de fer (1939) 2e Classe et 1re Classe
  • Médaille du Front de l'Est
  • Croix allemande en Or le 6 novembre 1942
  • Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne, Croix de chevalier le 22 septembre 1941, 34e feuilles de chêne le 24 novembre 1943

 


Schwalbe Félix

$
0
0

Eugen-Felix Schwalbe (né le 25 mars 1892 à Kleinprießligk et mort le 12 juin 1974 à Bielefeld) est un General der Infanterie allemand qui a servi au sein de la Heer dans la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale

Felix Schwalbe (right side) in Northern France with Walther Fischer von Weikersthal (left side with glasses) and Generalfeldmarschall Erwin Rommel

Felix Schwalbe (right side) in Northern France with Walther Fischer von Weikersthal (left side with glasses) and Generalfeldmarschall Erwin Rommel

Il a été récipiendaire de la Croix de chevalier de la Croix de fer. Cette décoration est attribuée pour récompenser un acte d'une extrême bravoure sur le champ de bataille ou un commandement militaire avec succès. Croix de chevalier de l'Ordre de Mérite de Saxe avec glaives, Croix de chevalier de l'Ordre d'Albert avec glaives, Croix de chevalier de l'Ordre militaire de Saint-Henri (31 mai 1916), Croix allemande en Argent (30 octobre 1943) en Or (7 décembre 1944), Croix de chevalier de la Croix de fer, Croix de chevalier le 13 juillet 1940 en tant que Oberst et commandant du Infanterie-Regiment 461.

Décorations

  • Croix de fer (1914) 2e Classe et 1re Classe
  • Croix de chevalier de l'Ordre de Mérite de Saxe avec glaives
  • Croix de chevalier de l'Ordre d'Albert avec glaives
  • Croix de chevalier de l'Ordre militaire de Saint-Henri (31 mai 1916)
  • Insigne des blessés (1914) en Noir
  • Croix d'honneur
  • Agrafe de la Croix de fer (1939) 2e Classe et 1re Classe
  • Insigne de combat d'infanterie
  • Médaille du Front de l'Est
  • Croix du Mérite de guerre avec glaives 2e Classe et 1re Classe
  • Croix allemande en Argent (30 octobre 1943) et en Or (7 décembre 1944)
  • Croix de chevalier de la Croix de fer, Croix de chevalier le 13 juillet 1940 en tant que Oberst et commandant du Infanterie-Regiment 461

Kluge Wolfgang von

$
0
0

Wolfgang von Kluge (5 mai 1892 à Stettin - 30 octobre 1976 à Kiel) est un Generalleutnant allemand qui a servi au sein de la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale

Kluge Wolfgang von

Il a été récipiendaire de la croix de chevalier de la Croix de fer. Cette décoration est attribuée pour récompenser un acte d'une extrême bravoure sur le champ de bataille ou un commandement militaire avec succès. Croix de fer (1914), 2e Classe et 1re Classe, Insigne des blessés (1914) en Noir, Croix d'honneur, Agrafe de la Croix de fer (1939) 2e Classe et 1re Classe. Médaille du Front de l'Est, Croix allemande en Or (28 novembre 1942), Croix de chevalier de la Croix de fer, Croix de chevalier le 29 août 1943 en tant que Generalleutnant et commandant de la 292. Infanterie-Division.

Décorations

  • Croix de fer (1914) 2e Classe et 1re Classe
  • Insigne des blessés (1914) en Noir
  • Croix d'honneur
  • Agrafe de la Croix de fer (1939) 2e Classe et 1re Classe
  • Médaille du Front de l'Est
  • Croix allemande en Or (28 novembre 1942)
  • Croix de chevalier de la Croix de fer, Croix de chevalier le 29 août 1943 en tant que Generalleutnant et commandant de la 292. Infanterie-Division

Buck Albert

$
0
0

Albert Buck (23 janvier 1895 à Stuttgart - 6 septembre 1942 à Novorossiisk en Russie) est un Generalmajor allemand qui a servi au sein de la Heer dans la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale

Buck Albert

Il a été récipiendaire de la Croix de chevalier de la Croix de fer. Cette décoration est attribuée pour récompenser un acte d'une extrême bravoure sur le champ de bataille ou un commandement militaire avec succès. Albert Buck est tué le 6 septembre 1942 près de Novorossiisk, en Russie quand sa voiture a été touchée par des grenades. Croix de fer (1914) 2e Classe et 1re Classe. Croix d'honneur, Agrafe de la Croix de fer (1939) 2e Classe (17 avril 1940) et 1re Classe (1er août 1940). Médaille du Front de l'Est, Croix allemande en Or (13 septembre 1942), Croix de chevalier de la Croix de fer, Croix de chevalier le 17 juillet 1941 en tant que Oberst et commandant du Grenadier-Regiment 305.

Décorations

  • Croix de fer (1914) 2e Classe et 1re Classe
  • Croix d'honneur
  • Agrafe de la Croix de fer (1939) 2e Classe (17 avril 1940) et 1re Classe (1er août 1940)
  • Médaille du Front de l'Est
  • Croix allemande en Or (13 septembre 1942)
  • Croix de chevalier de la Croix de fer, Croix de chevalier le 17 juillet 1941 en tant que Oberst et commandant du Grenadier-Regiment 305
  • Mentionné dans le bulletin quotidien radiophonique de l'Armée: le Wehrmachtbericht (5 juillet 1941)

Höfl Hugo

$
0
0

Hugo Höfl (16 juin 1878 à Regensburg - 13 avril 1957 à Weipertshausen) est un Generalleutnant allemand qui a servi au sein de la Heer dans la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale

Höfl HugoHöfl HugoHöfl Hugo

Il a été récipiendaire de la Croix de chevalier de la Croix de fer. Cette décoration est attribuée pour récompenser un acte d'une extrême bravoure sur le champ de bataille ou un commandement militaire avec succès. Hugo Höfl est retiré du service actif en avril 1943. Décorations : Croix de fer (1914), 2e Classe, 1re Classe. Croix d'honneur, Agrafe de la Croix de fer (1939), 2e Classe, 1re Classe. Croix du mérite de guerre avec glaives, 2e Classe. Médaille du Front de l'Est, Croix de chevalier de la Croix de fer. Croix de chevalier le 4 décembre 1941 en tant que Generalleutnant et commandant de la 206. Infanterie-Division.

Décorations

  • Croix de fer (1914) 2e classe et 1re classe
  • Croix d'honneur
  • Agrafe de la Croix de fer (1939) 2e classe et 1re classe
  • Croix du mérite de guerre avec glaives 2e Classe
  • Médaille du Front de l'Est
  • Croix de chevalier de la Croix de fer, Croix de chevalier le 4 décembre 1941 en tant que Generalleutnant et commandant de la 206. Infanterie-Division

 

Wuthmann Rolf

$
0
0

Rolf Wuthmann (26 août 1893 à Kassel — 20 octobre 1977 à Minden) est un General der Artillerie allemand au sein de la Heer dans la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale.

Wuthmann Rolf

Il a été récipiendaire de la Croix de chevalier de la Croix de fer. Cette décoration est attribuée en reconnaissance d'un acte d'une extrême bravoure ou d'un succès de commandement important du point de vue militaire. Rolf Wuthmann est capturé par les forces soviétiques en mai 1945 après l'Offensive de Zemland. Il reste en captivité jusqu'en 1955. Décorations : Croix de fer (1914) 2e Classe et 1re Classe, Insigne des blessés (1914) en Noir, Croix d'honneur, Agrafe de la Croix de fer (1939) 2e Classe et 1re Classe. Médaille du Front de l'Est. Croix allemande en Or (26 janvier 1942), Croix de chevalier de la Croix de fer, Croix de chevalier le 22 août 1944 en tant que General der Artillerie et commandant du IX. Armeekorps.

Décorations

  • Croix de fer (1914) 2e Classe et 1re Classe
  • Insigne des blessés (1914) en Noir
  • Croix d'honneur
  • Agrafe de la Croix de fer (1939) 2e Classe et 1re Classe
  • Médaille du Front de l'Est
  • Croix allemande en Or (26 janvier 1942), Croix de chevalier de la Croix de fer, Croix de chevalier le 22 août 1944 en tant que General der Artillerie et commandant du IX. Armeekorps

Al-Dhari Harith

$
0
0

Sheikh Harith Sulayman al-Dhari (al-Dari) or Harith ibn Sulayman ibn Dhari al-Zoba'i al-shamri (born in 1941 in Anbar in Al Zaidan district, Iraq) is a Sunni Arab cleric, and chairman of the Association of Muslim Scholars. 

Al-Dhari Harith

He is also leader of the Zoba' tribe. An outspoken critic of the American invasion of Iraq, he is known as "the Spiritual Leader of the Iraqi Resistance" (Insurgency). His father and grandfather killed British Colonel Gerard Leachman and played a part in the 1920 revolution against British imperial rule, which was the fiercest in the Shi'ite south, and was a seminal moment of unity between Iraq's Sunnis, Shi'ites, and Kurds that forced the British to allow a form of self-rule. Harith al-Dhari was educated at Al-Azhar University in Cairo. He later worked in the Islamic Law Department of Baghdad University.

Harith al-Dhari has been an outspoken critic of the foreign military presence in Iraq, and has said that he approves of the armed resistance in the absence of a timetable for the withdrawal of American troops. This stance has won him support among Sunni Arabs and respect among the rebels. On November 16, 2006 Iraq's interior minister Jawad al-Bolani (a Shi'a) announced that an arrest warrant had been issued from the state's judicial system for al-Dhari, who then lived between Cairo and Amman, on charges of inciting violence. 

"The government's policy is that anyone who tries to spread division and strife among the Iraq people will be chased by our security agencies,". In his speech on July 2, 2006, Osama Bin Laden praised Al-Dhari. In May 2007 Harith al-Dhari did an interview with Time magazine, taking a stand in opposition to Al-Qaeda in Iraq, but also in opposition to the US occupation and the Maliki government. In July 2007 Harith al-Dhari did an interview with Al Jazeera Live channel, which announced that Al-Qaeda in Iraq killed 50 members from his family.

Bures Doris

$
0
0

Doris Bures, née le 3 août 1962 à Vienne, est une femme politique autrichienne, présidente du Conseil national d'Autriche, la Chambre basse du Parlement autrichien, depuis 2014.

Bures Doris

En 2008, elle est nommée ministre des Transports, de l'Innovation et de la Technologie, dans le gouvernement de « grande coalition » du chancelier Werner Faymann ; elle est reconduite, à cette charge, dans le second gouvernement du chancelier Faymann. En 2014, elle est élue présidente du Conseil national d'Autriche, succédant à Barbara Prammer, décédée dans l'exercice de ses fonctions. Diplômée d'une école de commerce, Doris Bures s'engagea politiquement en 1980, après son élection au secrétariat fédéral de la Jeunesse socialiste (Sozialistischen Jugend), organe du SPÖ. En 1987, elle est élue au Conseil national pour le district de Vienne, la capitale nationale. Elle est présentée, au sein du FPÖ, comme une proche de l'ancien chancelier Alfred Gusenbauer.

Après les élections fédérales de septembre 2008, Doris Bures est nommée ministre des Transports, de l'Innovation et de la Technologie, au sein du gouvernement de « grande coalition » dirigé par le chancelier social-démocrate Werner Faymann ; elle est reconduite, à cette charge, dans le second gouvernement du chancelier Faymann. Le 1er septembre 2014, elle quitte le gouvernement fédéral après avoir été désignée candidate à la présidence du Conseil national, qu'elle obtient le lendemain ; elle prend la succession de Barbara Prammer, décédée le mois précédent d'une longue maladie dans l'exercice de ses fonctions.


Bandion-Ortner Claudia

$
0
0

Claudia Bandion-Ortner (née le 30 novembre 1966 à Graz, Autriche), est une femme politique autrichienne. Elle est ministre de la Justice du 15 janvier 2009 au 21 avril 2011.

Bandion-Ortner Claudia

Gastinger Karin

$
0
0

Karin Gastinger (née le 11 mars 1964 à Graz, Autriche), est une femme politique autrichienne. Ministre de la Justice entre le 25 juin 2004 et juin 2007.

Gastinger Karin

Heinisch-Hosek Gabriele

$
0
0

Gabriele Heinisch-Hosek, née le 16 décembre 1961 à Guntramsdorf, est une femme politique autrichienne, membre du Parti social-démocrate d'Autriche (SPÖ). Elle était ministre fédérale des Femmes et de l'Éducation, depuis le 16 décembre 2013. Depuis le 28 février 2014, elle est ministre fédéral de l'Éducation, des Arts et de la Culture.

 

Heinisch-Hosek Gabriele

En 1999, elle est élue députée fédérale au Conseil national, où elle devient vice-présidente du groupe SPÖ en 2007. Elle démissionne le 8 avril 2008, lorsqu'elle est nommée ministre de la Santé et de la Protection sociale de Basse-Autriche dans la grande coalition du conservateur Erwin Pröll. Elle fait son retour en politique fédérale le 2 décembre suivant, en tant que ministre fédérale des Femmes et de la Fonction publique dans le premier gouvernement de grande coalition du social-démocrate Werner Faymann. Lors de la reconduction de l'alliance au pouvoir, le 16 décembre 2013, elle devient ministre fédérale des Femmes et de l'Éducation dans le gouvernement Faymann II.

 

Berger Maria

$
0
0

Maria-Margarethe Berger (née le 19 août 1956 à Perg en Autriche) est un juge autrichienne depuis le 22 avril 2009 à la Cour de justice européenne, et membre du SPÖ. 

Berger Maria

Ancienne membre du Parlement européen et ministre de la Justice du gouvernement autrichien. En 2007, elle propose une somme de 50 000 € à toute personne susceptible de donner des informations concrètes concernant la localisation d'Alois Brunner et Aribert Heim.

Shoah

$
0
0

La Shoah - mot hébreu signifiant "catastrophe"- désigne la persécution et l'extermination systématiques et bureaucratiques d'environ 6 millions de Juifs, par le régime nazi et ses collaborateurs. Le terme grec "Holocauste" qui signifie "sacrifice par le feu" est également utilisé. Les nazis, qui arrivèrent au pouvoir en janvier 1933, pensaient que les Allemands étaient "racialement supérieurs" et que les Juifs, qu'ils considéraient inférieurs, représentaient une menace étrangère pour la "communauté raciale allemande".

Shoah

Pendant la Shoah, les autorités allemandes s'en prirent aussi à d'autres groupes qu'elles jugeaient "racialement inférieurs": les Roms (Tziganes), les handicapés et certains peuples slaves (dont les Polonais et les Russes). D'autres groupes furent persécutés pour des raisons politiques, idéologiques et comportementales, parmi eux des communistes, des socialistes, des Témoins de Jéhovah et des homosexuels.

Qu'est-ce que la Shoah?

En 1933, la population juive d'Europe dépassait les neuf millions de personnes. La plupart des Juifs européens vivaient dans des pays que le Troisième Reich occuperait ou contrôlerait pendant la Seconde Guerre mondiale. En 1945, près de deux Juifs européens sur trois avaient été exterminés dans le cadre de la "Solution finale", la politique nazie d'extermination des Juifs d'Europe. Bien que les Juifs, considérés par les Nazis comme le danger principal pour l'Allemagne, aient été les premières victimes du racisme d'Etat, il y en eut d'autres parmi lesquelles au moins 200 000 Tsiganes. Au moins 200 000 handicapés physiques ou mentaux, pour la plupart allemands, qui vivaient en institution, furent également assassinés dans le cadre du programme d'euthanasie.

A mesure que la tyrannie nazie s'étendait en Europe, les Allemands et leurs collaborateurs persécutèrent et exterminèrent des millions d'autres personnes. Entre deux et trois millions de prisonniers de guerre soviétiques furent assassinés ou moururent de faim, de maladie, de manque de soins ou des suites de mauvais traitements. Les Allemands cherchèrent également à exterminer l'intelligentsia polonaise non-juive et déportèrent des millions de citoyens polonais et soviétiques pour le travail forcé en Allemagne ou en Pologne occupée. Les déportés travaillaient dans des conditions déplorables et souvent ne survécurent pas. Dès les premières années du régime nazi, les autorités allemandes persécutèrent les homosexuels ainsi d'autres dont le comportement ne correspondait pas aux normes sociales qu'elles avait définies. La police allemande s'en prit également à des milliers d'opposants politiques (dont des communistes, des socialistes et des syndicalistes) ainsi qu'à des dissidents religieux (comme les Témoins de Jéhovah). Beaucoup moururent à la suite de leur incarcération et des mauvais traitements.

L'Administration de la solution finale

Dans les premières années du régime nazi, le gouvernement national-socialiste mit en place des camps de concentration afin d'y incarcérer des opposants politiques et idéologiques, réels ou imaginaires. Jusqu'au début de la seconde guerre mondiale, les SS et les policiers y incarcérèrent un nombre toujours plus important de Juifs, de Tziganes et d'autres victimes de la haine raciale et ethnique. Pendant les années de guerre, les Allemands et leurs collaborateurs créèrent des ghettos, des camps de transit et des camps de travail forcé pour les Juifs afin de concentrer cette population, la contrôler et faciliter les futures déportations. Dans le Reich grand-allemand et dans les territoires occupés par l'Allemagne, les autorités allemandes établirent également de nombreux camps de travail forcé pour des non-Juifs dont les nazis cherchaient à exploiter le travail.

Après l'invasion de l'Union Soviétique en juin 1941, les Einsatzgruppen (unités mobiles d'extermination) puis des bataillons militarisés de policiers menèrent des opérations d'extermination de masse, derrière les lignes allemandes, contre des Juifs, des Tsiganes, des fonctionnaires soviétiques et des responsables du Parti communiste. Plus d'un million de Juifs (hommes, femmes et enfants) et des centaines de milliers d'autres victimes furent assassinés par des SS allemands et des policiers, avec l'aide des unités de la Wehrmacht et de la Waffen SS. Entre 1941 et 1944, les nazis déportèrent des millions de Juifs d'Allemagne, des territoires occupés et de beaucoup de pays alliés de l'Axe, dans des ghettos et des centres de mise à mort (souvent appelés camps de mise à mort) dans lesquels ils furent gazés dans des installations conçues spécialement.

La Fin de la Shoah

Pendant les derniers mois de la guerre, les gardiens SS tentèrent d'empêcher les Alliés de libérer un grand nombre de prisonniers des camps de concentration en les évacuant par train ou lors de marches forcées, souvent appelées marche de la mort.

Alors que les forces alliées pénétraient en Europe en lançant des offensives successives contre l'Allemagne, elles rencontrèrent et libérèrent les prisonniers des camps de concentration et ceux qui marchaient de force de camp en camp. Ces marches de la mort prirent fin le 7 mai 1945, jour où les forces armées allemandes se rendirent sans condition aux Alliés. Pour les alliés occidentaux, la seconde guerre mondiale prit officiellement fin en Europe le lendemain, soit le 8 mai (jour de la victoire en Europe), tandis que les forces soviétiques annoncèrent leur jour de la victoire le 9 mai 1945.

Après la Shoah, un grand nombre de survivants trouvèrent refuge dans des camps de personnes déplacées administrés par les puissances alliées. Entre 1948 et 1951, près de 700 000 Juifs émigrèrent en Israël dont 136 000 Juifs déplacés d'Europe. D'autres Juifs déplacés émigrèrent aux Etats-Unis et dans d'autres pays. Le dernier camp de personnes déplacées ferma en 1957. Les crimes commis pendant Shoah dévastèrent la plupart des communautés juives européennes et anéantirent des centaines de communautés juives d'Europe orientale occupée.

Viewing all 30791 articles
Browse latest View live




Latest Images