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Medina Patricia

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Patricia Medina est une actrice anglaise, née à Liverpool, (Merseyside), le 19 juillet 1919 et morte à Los Angeles, (Californie), le 28 avril 2012.

Medina PatriciaMedina PatriciaMedina Patricia

Patricia Medina a épousé l'acteur britannique Richard Greene en 1941 à Londres. Ils ont divorcé en 1951. En 1960, à Beverly Hills, elle épouse l'acteur américain Joseph Cotten, décédé en 1994.

Filmographie 

  • 1937 : Dîner au Ritz (Dinner at the Ritz) d'Harold D. Schuster
  • 1938 : Simply terrific de Roy William Neill
  • 1938 : Double or quits de ((Roy William Neill))
  • 1942 : Riposte à Narvick (The day will dawn) d'Harold French
  • 1942 : Spitfire (The first of the few) de Leslie Howard
  • 1943 : Contre-espionnage (They met in the dark) de Carl Lamac et Norman G. Arnold
  • 1944 : Don't take it to heart de Jeffrey Dell (en)
  • 1944 : Hotel reserve de Lance Comfort, Victor Hainbury et Mutz Greenbaum
  • 1944 : Kiss the bride goodbye de Paul L. Stein
  • 1945 : Waltz time de Paul L. Stein
  • 1946 : Cœur secret (The Secret Heart) de Robert Z. Leonard : Kay Burns
  • 1947 : Au carrefour du siècle (The beginning or the end) de Norman Taurog
  • 1947 : La Fière Créole (The Foxes of Harrow) de John M. Stahl : Desiree
  • 1947 : La Rose du crime (Moss Rose) de Gregory Ratoff : Audrey Ashton
  • 1948 : Les Trois Mousquetaires (The Three Musketeers) de George Sidney : Kitty
  • 1948 : Aventure en Irlande (The fighting O'Flynn) d'Arthur Pierson
  • 1949 : Children of Chance de Luigi Zampa
  • 1949 : Francis (Francis the talking mule) d'Arthur Lubin
  • 1950 : Deux nigauds légionnaires (Abbott and Costello in the Foreign Legion) de Charles Lamont : Nicole Dupre
  • 1950 : Les Nouvelles Aventures du capitaine Blood (Fortunes of Captain Blood) de Gordon Douglas : Isabelita Sotomayor
  • 1950 : Gare au percepteur (The Jackpot) de Walter Lang : Hilda Jones
  • 1951 : Rudolph Valentino, le grand séducteur (Valentino) de Lewis Allen
  • 1951 : ''Dick Turpin, Bandit gentilhomme (The lady and the bandit) de Ralph Murphy
  • 1951 : L'Aigle rouge de Bagdad (The Magic Carpet) : Princess Narah
  • 1952 : Aladdin and his lamp de Lew Landers
  • 1952 : La Femme au masque de fer (Lady in the iron mask) de Ralph Murphy
  • 1952 : Les Évasions du Capitaine Blood (Captain Pirate ) de Ralph Murphy
  • 1952 : Quatre jours d'angoisse (Desperate search) de Joseph H. Lewis
  • 1953 : Les Bagnards de Botany Bay (Botany Bay) de John Farrow
  • 1953 : La Sirène de Bagdad (Siren of Bagdad) de Richard Quine
  • 1953 : Sangaree d'Edward Ludwig
  • 1953 : Les Pillards de Mexico (Plunder of the Sun) de John Farrow : Anna Luz
  • 1954 : Le Fantôme de la rue Morgue (Phantom of the Rue Morgue) de Roy Del Ruth : Jeanette
  • 1954 : Intrigues sous les tropiques (Drums of Tahiti) de William Castle
  • 1954 : Le Serment du chevalier noir (The black knight) de Tay Garnett
  • 1954 : Screen snapshot : Hula from Hollywood de Ralph Staub (court-métrage)
  • 1955 : Pirates of Tripoli de Felix E. Feist
  • 1955 : Duel sur le Mississippi (Duel on the Mississippi) de William Castle
  • 1955 : Dossier secret (Mr. Arkadin) d'Orson Welles : Mily
  • 1955 : Les Révoltés (Il mantello rosso) de Giuseppe Maria Scotese
  • 1956 : Uranium Boom de William Castle
  • 1956 : L'Inconnu du ranch (Stranger at my door) de William Witney
  • 1956 : La Montagne mystérieuse (Beast of Hollow Mountain) de Edward Nassour et Ismael Rodríguez
  • 1956 : Meurtres à Miami (Miami expose) de Fred S. Sears
  • 1957 : The buckskin lady de Carl K. Hittleman
  • 1958 : La Bataille des V1 (Battle of the V-1) de Vernon Sewell
  • 1959 : J'ai épousé un Français (Count Your Blessings) de Jean Negulesco
  • 1960 : Thriller (série télévisée)
  • 1961 : Snow White and the three Stooges de Walter Lang
  • 1968 : Faut-il tuer Sister George ? (The killing of sister George) de Robert Aldrich : Betty Thaxter
  • 1969 : Latitude zéro (Ido zero daisakusen) de Ishirō Honda
  • 1972 : Timber tramps de Tay Garnett et Chuck D. Kern
  • 1978 : El llanto de los pobres de Rubén Galindo

Malden Karl

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Karl Malden (de son vrai nom Mladen George Sekulovich), né le 22 mars 1912 à Chicago et mort le 1er juillet 2009 à Los Angeles, est un acteur et réalisateur américain. « Gueule » mémorable du cinéma américain, incarnant tout autant des rôles de brutes que de personnages sympathiques, Karl Malden mena aussi une belle carrière au théâtre et à la télévision.

Malden KarlMalden KarlMalden Karl

Né à Chicago d'une mère tchèque et d'un père serbe du Monténégro, Karl Malden exerce divers métiers après ses études mais s'engage dès 1934 vers une carrière d'acteur. Il s'inscrit au Goodman Theater puis part tenter sa chance à New York en 1937 et se produit dès lors régulièrement sur les scènes de Broadway. Mobilisé pendant la guerre, il doit interrompre ses activités (il apparaît toutefois, crédité avec son grade de caporal, dans le film de propagande américaine Winged Victory de George Cukor), puis revient sur les planches, travaillant sous la direction du metteur en scène Elia Kazan pour All My Sons d'Arthur Miller et Un tramway nommé Désir de Tennessee Williams.

Après quelques apparitions au cinéma, Karl Malden participe tout naturellement à la version cinématographique signée Elia Kazan d'Un tramway nommé Désir en 1951 aux côtés de Marlon Brando et Vivien Leigh. Il remporte l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour le rôle de Mitch et voit véritablement sa carrière démarrer sur le grand écran. Il trouve d'autres personnages mémorables sous la direction de Kazan, en prêtre dans Sur les quais en 1954 (qui lui vaut une nomination à l'Oscar) et en mari de Carroll Baker dans Baby Doll en 1956. S'il tient le premier rôle du film Le Fantôme de la rue Morgue (1954), Karl Malden impose surtout son talent dans des rôles secondaires, mais sa présence rehausse l'intérêt du film dans lequel il apparaît, qu'il soit policier dans La Loi du silence d'Alfred Hitchcock (1953), hors-la-loi devenu shérif après avoir trahi Marlon Brando dans La Vengeance aux deux visages (1961), directeur de prison dans Le Prisonnier d'Alcatraz avec Burt Lancaster (1962) ou général dans Patton (1970), entre autres.

Après être apparu régulièrement au cinéma pendant une vingtaine d'années (il a aussi réalisé un film de guerre avec Richard Widmark : La Chute des héros en 1957), Karl Malden entreprend une carrière à la télévision en 1972 en tenant l'un des deux rôles principaux (celui du sympathique et intègre lieutenant Mike Stone) dans la célèbre série télévisée Les Rues de San Francisco aux côtés de Michael Douglas (puis de Richard Hatch dans la cinquième saison). La série s'arrête en 1977 après cent-vingt épisodes. Karl Malden revient alors brièvement au cinéma et tourne une douzaine de téléfilms ainsi qu'une autre série, très éphémère celle-ci, Skag (en) en 1980. À noter qu'il reprendra le rôle de Mike Stone en 1992 le temps d'un téléfilm. Il apparaît également dans de nombreux spots publicitaires aux États-Unis pour la carte American Express.

Karl Malden, qui n'a plus tourné depuis 1993 hormis une apparition dans un épisode de la première saison de À la Maison-Blanche en 2000, publie ses mémoires intitulés When Do I Start en 1997. Il s'était marié en 1938 avec Mona Greenberg : il s'agit de l'un des mariages les plus longs de l'histoire d'Hollywood. Karl Malden était, dans sa jeunesse, un ami proche d'Issur Danielovitch Demski, futur Kirk Douglas. Ils ont travaillé ensemble dans la même usine. C'est la femme de Malden, Mona, qui leur a suggéré leurs pseudonymes respectifs. Karl Malden, quant à lui, avait toujours déploré avoir dû changer de nom pour sa carrière et il insista (en vain) pour que son personnage dans Sur les quais porte le nom de Sekulovich. Il décède le 1er juillet 2009 de mort naturelle à son domicile de Brentwood (un quartier de Los Angeles).

Filmographie

  • 1936 : Charlie Chan à l'Opéra (Charlie Chan at the Opera) de H. Bruce Humberstone (non crédiré)
  • 1940 : They Knew What They Wanted de Garson Kanin : Red
  • 1944 : Winged Victory de George Cukor : Adams
  • 1947 : 13 Rue Madeleine de Henry Hathaway : Jump Master (non crédité au générique)
  • 1947 : Boomerang ! (Boomerang!) d'Elia Kazan : Det. Lt. White (non crédité au générique)
  • 1947 : Le Carrefour de la mort (Kiss of Death) de Henry Hathaway : Sgt. William Cullen
  • 1950 : La Cible humaine (The Gunfighter) de Henry King : Mac
  • 1950 : Mark Dixon, détective (Where the Sidewalk Ends) d'Otto Preminger : Det. Lt. Thomas
  • 1950 : Okinawa (Halls of Montezuma) de Lewis Milestone : PHM2 C.E. 'Doc' Jones
  • 1951 : Un tramway nommé Désir (A Streetcar Named Desire) d'Elia Kazan : Harold 'Mitch' Mitchell
  • 1952 : The Sellout de Gerald Mayer : Capt. Buck Maxwell
  • 1952 : Courrier diplomatique (Diplomatic Courier) de Henry Hathaway : Ernie
  • 1952 : Operation Secret (it) de Lewis Seiler : Maj. Latrec
  • 1953 : La Furie du désir (Ruby Gentry) de King Vidor : Jim Gentry
  • 1953 : La Loi du silence (I Confess) d'Alfred Hitchcock : Inspecteur Larrue
  • 1953 : Sergent la Terreur (Take the High Ground!) de Richard Brooks : Sgt. Laverne Holt
  • 1954 : Le Fantôme de la rue Morgue (Phantom of the Rue Morgue) de Roy Del Ruth : Dr. Marais
  • 1954 : Sur les quais (On the Waterfront) d'Elia Kazan : Père Barry
  • 1956 : Baby Doll (Baby Doll) d'Elia Kazan : Archie Lee Meighan
  • 1957 : Prisonnier de la peur (Fear Strikes Out) de Robert Mulligan : John Piersall
  • 1957 : Bombardier B-52 (Bombers B-52) de Gordon Douglas : Master Sergeant Chuck V. Brennan, Line Chief
  • 1959 : La Colline des potences (The Hanging Tree) de Delmer Daves : Frenchy Plante
  • 1960 : Pollyanna de David Swift : Reverend Ford
  • 1961 : Le Roi des imposteurs (The Great Impostor) de Robert Mulligan : Père Devlin
  • 1961 : La Vengeance aux deux visages (One-Eyed Jacks) de Marlon Brando : Sheriff Dad Longworth
  • 1961 : La Soif de la jeunesse (Parrish) de Delmer Daves : Judd Raike
  • 1962 : L'Ange de la violence (All Fall Down) de John Frankenheimer : Ralph Willart
  • 1962 : Le Prisonnier d'Alcatraz (Birdman of Alcatraz) de John Frankenheimer : Harvey Shoemaker
  • 1962 : Gypsy, vénus de Broadway (Gypsy) de Mervyn LeRoy : Herbie Sommers
  • 1962 : La Conquête de l'Ouest (How the West Was Won) de John Ford, Henry Hathaway et George Marshall : Zebulon Prescott
  • 1963 : Come Fly with Me (en) de Henry Levin : Walter Lucas
  • 1964 : La Mort frappe trois fois (Dead Ringer) de Paul Henreid : Sergent Jim Hobbson
  • 1964 : Les Cheyennes (Cheyenne Autumn) de John Ford : Capt. Oskar Wessels
  • 1965 : Le Kid de Cincinnati (The Cincinnati Kid) de Norman Jewison : Shooter
  • 1966 : Nevada Smith de Henry Hathaway : Tom Fitch
  • 1966 : Bien joué Matt Helm (Murderers' Row) de Henry Levin : Julian Wall
  • 1967 : Hotel de Richard Quine : Keycase
  • 1967 : L'Honorable Griffin (The Adventures of Bullwhip Griffin) de James Neilson : Juge Higgins
  • 1967 : Un cerveau d'un milliard de dollars (Billion Dollar Brain) de Ken Russell : Leo Newbigen
  • 1968 : Blue de Silvio Narizzano : Doc Morton
  • 1968 : Chauds, les millions (Hot Millions) d'Eric Till : Carlton J. Klemper
  • 1970 : Patton de Franklin J. Schaffner : Gen. Omar N. Bradley
  • 1971 : Le Chat à neuf queues (Il Gatto a nove code) de Dario Argento : Franco Arno
  • 1971 : Deux hommes dans l'Ouest (Wild Rovers) de Blake Edwards : Walter Buckman
  • 1972 : Meurtres au soleil (en) (Un Verano para matar) d'Antonio Isasi-Isasmendi : Capitaine John Kiley
  • 1972 : Les Rues de San Francisco (The Streets of San Francisco) (série TV) : Lt. Mike Stone
  • 1977 : Capitaine courageux (Captains Courageous) (TV) de Harvey Hart : Disko Troop
  • 1979 : Le Dernier Secret du Poseidon (Beyond the Poseidon Adventure) de Irwin Allen : Wilbur Hubbard
  • 1979 : Meteor de Ronald Neame : Harry Sherwood, NASA
  • 1980 : Skag (en) (TV) : Pete 'Skag' Skagska
  • 1981 : Word of Honor (en) (TV) : Mike McNeill
  • 1981 : Miracle on Ice (TV) : Herb Brooks
  • 1982 : Twilight Time : Marko Sekulovic
  • 1983 : L'Arnaque 2 (The Sting II) : Gus Macalinski
  • 1984 : With Intent to Kill (TV) : Thomas E. Nolan
  • 1984 : Fatal Vision (TV) : Freddy Kassab
  • 1985 : Alice au pays des merveilles (en) (Alice in Wonderland) (TV) : Walrus
  • 1986 : Billy Galvin (en) : Jack Galvin
  • 1987 : Cinglée (Nuts) : Arthur Kirk
  • 1988 : La Mort à retardement (My Father, My Son) (TV) : Elmo Zumwalt Jr.
  • 1989 : The Hijacking of the Achille Lauro (TV) : Leon Klinghoffer
  • 1990 : Call Me Anna (TV) : Doctor Harold Arlen
  • 1991 : Absolute Strangers (en) (TV) : Fred Zusselman
  • 1992 : Retour dans les rues de San Francisco (en) (Back To the Streets of San Francisco) (TV) : Mike Stone
  • 1993 : They've Taken Our Children: The Chowchilla Kidnapping (TV) : Ed Ray
  • 2000 : « À la Maison-Blanche » (saison 1, épisode 14 : Observe le jour du Sabbat) (TV) : Père Thomas Cavanaugh

comme réalisateur

  • 1957 : La Chute des héros (Time Limit)

Dauphin Claude

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Claude Marie Eugène Legrand, dit Claude Dauphin, né le 19 août 1903 à Corbeil-Essonnes, mort le 16 novembre 1978 à Paris, est un acteur français. 

Dauphin ClaudeDauphin ClaudeDauphin Claude

Père du comédien Jean-Claude Dauphin et fils du poète Franc-Nohain, il est aussi le frère de l'homme de radio et de télévision Jean Nohain (1900-1981). Il a eu pour femme l'actrice Maria Mauban. Le lendemain de la fin du tournage de La Belle aventure, en 1942, il embarque à Nice, à l'aube, à bord d'un sous-marin britannique à destination de l'Angleterre. Il est l'auteur de Les Derniers Trombones qui relate des anecdotes croustillantes sur les derniers monstres sacrés.

Filmographie

  • 1932 : Aux urnes, citoyens ! de Jean Hémard
  • 1933 : D'amour et d'eau fraiche de Félix Gandera
  • 1935 : Dédé de René Guissart
  • 1936 : Faisons un rêve de Sacha Guitry
  • 1938 : Entrée des artistes de Marc Allégret
  • 1940 : Cavalcade d'amour de Raymond Bernard
  • 1940 : Battement de cœur d'Henri Decoin
  • 1942 : Promesse à l'inconnue d'André Berthomieu
  • 1942 : Les Hommes sans peur d'Yvan Noé
  • 1942 : La Belle Aventure de Marc Allégret
  • 1944 : Salut à la France de Jean Renoir
  • 1945 : Félicie Nanteuil de Marc Allégret
  • 1945 : Cyrano de Bergerac de Fernand Rivers
  • 1946 : Tombé du ciel d'Emil-Edwin Reinert
  • 1947 : L'Éventail d'Emil-Edwin Reinert
  • 1948 : Route sans issue de Jean Stelli
  • 1948 : Croisière pour l'inconnu de Pierre Montazel
  • 1948 : Parade du rire de Roger Verdier
  • 1949 : Jean de la Lune de Marcel Achard
  • 1949 : Le Bal des pompiers d'André Berthomieu
  • 1949 : Ainsi finit la nuit d'Emil-Edwin Reinert
  • 1950 : La Petite Chocalatière d'André Berthomieu
  • 1951 : Casque d'or de Jacques Becker : Leca, le chef de bande
  • 1952 : Le Duel à travers les âges (Court-métrage) de Pierre Foucaud
  • 1952 : Avril à Paris (April in Paris) de David Butler : Philippe Fouquet
  • 1953 : Les Trois Mousquetaires d'André Hunebelle : Le narrateur
  • 1955 : Les Mauvaises Rencontres d'Alexandre Astruc : le docteur Daniéli
  • 1958 : Un Américain bien tranquille de Joseph L. Mankiewicz : l'enquêteur Vigot
  • 1958 : Mon coquin de père de Georges Lacombe
  • 1960 : The Full Treatment de Val Guest
  • 1962 : Le Diable et les Dix Commandements de Julien Duvivier
  • 1964 : La Bonne Soupe de Robert Thomas
  • 1965 : Lady L de Peter Ustinov
  • 1965 : Paris brûle-t-il ? de René Clément
  • 1966 : Grand Prix de John Frankenheimer
  • 1967 : Voyage à deux (Two for the Road) de Stanley Donen
  • 1967 : Lamiel de Jean Aurel
  • 1968 : Barbarella de Roger Vadim
  • 1969 : La Folle de Chaillot (The Madwoman of Chaillot) de Bryan Forbes : le docteur Jadin
  • 1972 : Églantine de Jean-Claude Brialy
  • 1972 : La Plus Belle Soirée de ma vie d'Ettore Scola
  • 1974 : L'important c'est d'aimer d'Andrzej Żuławski : Mazelli
  • 1975 : Rosebud d'Otto Preminger
  • 1975 : La Course à l'échalote de Claude Zidi
  • 1976 : Le Locataire de Roman Polanski
  • 1976 : Mado de Claude Sautet
  • 1977 : Le Point de mire de Jean-Claude Tramont
  • 1977 : La Vie devant soi de Moshé Mizrahi
  • 1978 : Le Pion de Christian Gion

Télévision 

  • 1978 : Les Misérables (Les Miserables) de Glenn Jordan
  • 1978 : Messieurs les ronds-de-cuir de Daniel Ceccaldi

Théâtre 

  • 1934 : Espoir d'Henry Bernstein, Théâtre du Gymnase, avec Victor Francen, Gabrielle Dorziat et Renée Devillers
  • 1936 : Le Cœur d'Henry Bernstein, Théâtre du Gymnase
  • 1937 : Le Voyage d'Henry Bataille, mise en scène Henry Bernstein, Théâtre du Gymnase
  • 1944 : Une grande fille toute simple d'André Roussin, mise en scène Louis Ducreux, Théâtre des Ambassadeurs
  • 1946 : No exit de Jean-Paul Sartre, adaptation Paul Bowles, New York
  • 1946 : Le Bal des pompiers de Jean Nohain, mise en scène Pierre-Louis, Théâtre des Célestins
  • 1947 : L'amour vient en jouant de Jean Bernard-Luc, mise en scène Pierre-Louis, Théâtre Édouard VII
  • 1947 : Homard à l'américaine de Robert Vattier et Albert Rieux, Théâtre de l'Œuvre
  • 1951 : Le Rayon des jouets de Jacques Deval, mise en scène de l'auteur, Théâtre de la Madeleine
  • 1953 : Le Rayon des jouets de Jacques Deval, mise en scène de l'auteur, Théâtre des Célestins
  • 1954 : Souviens-toi mon amour d'André Birabeau, mise en scène Pierre Dux, Théâtre Edouard VII
  • 1959 : Ange le Bienheureux de Jean-Pierre Aumont, mise en scène Jacques Charon, Théâtre des Célestins
  • 1959 : La Folie de et mise en scène Louis Ducreux, Théâtre de la Madeleine
  • 1962 : Hedda Gabler d'Henrik Ibsen, mise en scène Raymond Rouleau, Théâtre ontparnasse
  • 1962 : Adorable Julia de Marc-Gilbert Sauvajon et Guy Bolton d'après Somerset Maugham, Théâtre Sarah Bernhardt
  • 1964 : Mon Faust de Paul Valéry, mise en scène Pierre Franck, Théâtre des Célestins
  • 1965 : Les Séquestrés d'Altona de Jean-Paul Sartre, mise en scène François Périer, Théâtre de l'Athénée
  • 1966 : La Bouteille à l'encre d'Albert Husson, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Saint-Georges
  • 1968 : L'Amante anglaise de Marguerite Duras, mise en scène Claude Régy, TNP Théâtre de Chaillot
  • 1969 : Le Prix d'Arthur Miller, mise en scène Raymond Rouleau, Théâtre Montparnasse
  • 1970 : Le Marchand de Venise de William Shakespeare, mise en scène Marcelle Tassencourt, Théâtre Edouard VII
  • 1971 : Vétir ceux qui sont nus de Luigi Pirandello, mise en scène René Dupuy, Théâtre de l'Athénée-Louis-Jouvet
  • 1974 : Dreyfus de Jean-Claude Grumberg, mise en scène Jacques Rosner, Théâtre de l'Odéon, Théâtre de Paris
  • 1974 : La Création du monde et autres bisness d'Arthur Miller, mise en scène Jean Mercure, Théâtre de la Ville
  • 1975 : L'Arrestation de Jean Anouilh, mise en scène Jean Anouilh et Roland Piétri, Théâtre de l'Athénée
  • 1976 : Le Séquoïa de George Furth, mise en scène Jacques Mauclair, Théâtre de l'Athénée
  • 1976 : L'Amante anglaise de Marguerite Duras, mise en scène Claude Régy, Théâtre d'Orsay
  • 1977 : Le Météore de Friedrich Dürrenmatt, mise en scène Gabriel Garran, Théâtre de la Commune
  • 1978 : Le Pavillon Balthazar de Reine Bartève, mise en scène Gabriel Garran, Petit Odéon
  • 1978 : L'Avocat du diable de Dore Schary, mise en scène Marcelle Tassencourt, Théâtre Montansier
  • 1979 : L'Avocat du diable de Dore Schary, mise en scène Marcelle Tassencourt, Théâtre Tristan Bernard

Charlie Chan à l'Opéra

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Charlie Chan à l'Opéra (Charlie Chan at the Opera) est un film américain réalisé par H. Bruce Humberstone, sorti en 1936. Après avoir vu la photo d'une femme sur un journal, Gravelle (Boris Karloff) s'évade de l'asile d'aliénés où, amnésique, il est interné depuis sept ans. Recherché en vain par la police, il découvre une affiche représentant la femme de la photo, la cantatrice Lilli Rochelle, et s'introduit dans le théâtre où elle se produit. Peu après, Lilli Rochelle informe la police qu'elle a reçu une menace de mort, et les inspecteurs ainsi que le détective Charlie Chan (Warner Oland) se rendent au théâtre pour enquêter. 

Dans le théâtre, Gravelle retrouve peu à peu la mémoire ; il se souvient qu'il était un célèbre chanteur d'opéra, et que sa femme Lilli et son amant avaient tenté de l'assassiner. Grâce au costume qui dissimule en partie son visage, il prend sur scène la place d'un chanteur et, comme le veut le rôle, il poignarde Lilli, sa partenaire. Celle-ci s'effondre, on la transporte sur un canapé et quelque temps plus tard, sa mort est constatée. Caché dans les coulisses du théâtre, Gravelle réussit à échapper aux recherches. Charlie Chan parviendra à découvrir le véritable assassin.

Charlie Chan à l'Opéra de H. Bruce HumberstoneCharlie Chan à l'Opéra de H. Bruce Humberstone

Charlie Chan à l'Opéra de H. Bruce Humberstone

Fiche technique

  • Titre original : Charlie Chan at the Opera
  • Titre français : Charlie Chan à l'Opéra
  • Réalisation : H. Bruce Humberstone
  • Scénario : Scott Darling, Charles Belden et Bess Meredyth, d'après l'œuvre d'Earl Derr Biggers
  • Photographie : Lucien Andriot
  • Montage : Alex Troffey
  • Musique : Charles Maxwell (non crédité)
  • Société de production : 20th Century Fox
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Format : Noir et blanc - 35 mm - 1,37:1 - Mono
  • Genre : policier
  • Durée : 68 minutes
  • Date de sortie : États-Unis : 5 décembre 1936, France : 6 août 1937

Distribution

  • Warner Oland : Charlie Chan
  • Boris Karloff : Gravelle
  • Keye Luke : Lee Chan
  • Charlotte Henry : Kitty Gravelle
  • Thomas Beck : Phil Childers
  • Margaret Irving : Lilli Rochelle
  • Gregory Gaye : Enrico Barelli
  • Nedda Harrigan : Anita Barelli
  • Frank Conroy : Mr. Whitely
  • Guy Usher : Inspecteur Regan
  • William Demarest : Sergent Kelly
  • Maurice Cass : Mr. Arnold
  • Tom McGuire : Morris

Parmi les acteurs non crédités

  • Karl Malden
  • Tudor Williams : voix de Gravelle (chant)

Boomerang !

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Boomerang ! est un film américain réalisé par Elia Kazan, sorti en 1947. Un meurtre étrange d'un curé au coin d'une rue horrifie les habitants d'une petite ville tranquille. De nombreux témoins désigne John Waldron comme étant le coupable de ce crime affreux.

Boomerang ! d'Elia KazanBoomerang ! d'Elia Kazan

Boomerang ! d'Elia Kazan

Fiche technique

  • Titre original: Boomerang!
  • Réalisation : Elia Kazan
  • Scénario : Richard Murphy et Fulton Oursler
  • Direction artistique : Richard Day et Chester Gore
  • Musique : David Buttolph
  • Décors : Thomas Little
  • Costumes : Kay Nelson
  • Photographie : Norbert Brodine
  • Son : W.D. Flick et Roger Heman
  • Montage : Harmon Jones
  • Production : Louis De Rochemont et Darryl F. Zanuck
  • Société de production : Twentieth Century Fox, États-Unis : Twentieth Century Fox
  • Pays : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Format : noir et blanc – 35 mm – 1,37:1 – mono (Western Electric Recording)
  • Genre : film noir
  • Durée : 88 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 5 mars 1947, France : 10 décembre 1947

Distribution

  • Dana Andrews : Henry L. Harvey (avocat de l'État)
  • Jane Wyatt : Madge Harvey
  • Lee J. Cobb : Chef Harold F. 'Robbie' Robinson
  • Cara Williams : Irène Nelson (serveuse au 'Coney Island Cafe')
  • Arthur Kennedy : John Waldron
  • Sam Levene : Dave Woods (journaliste au 'Morning Record')
  • Taylor Holmes : T.M. Wade
  • Robert Keith : Mac McCreery
  • Ed Begley : Paul Harris
  • Philip Coolidge : Jim Crossman (tueur)

Acteurs non crédités

  • Karl Malden : Det. Lt. White (policier)
  • Richard Garrick : Graham Rogers (commerçant)
  • Reed Hadley : Le narrateur (voix)
  • Barry Kelley : Sergent Dugan
  • Edgar Stehli : Ryan (médecin légiste)
  • Frank Overton (figurant)

La Cible humaine

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La Cible humaine (The Gunfighter) est un film américain réalisé par Henry King, sorti en 1950. Fameux tireur au pistolet Jimmy Ringo (Gregory Peck) tente, à 35 ans, d'échapper aux problèmes qui vont avec sa réputation de plus rapide tireur de l'ouest. Cependant, quand l'outrecuidant jeune Eddie (Richard Jaeckel) crée délibérément un incident et lui tire dessus, Ringo n'a pas d'autre choix que le tuer. Ringo est avisé de quitter la ville car le mort a trois frères qui à coup sûr chercheront à se venger. Les frères le poursuivent mais il les prend par surprise, les désarme et fait fuir leurs chevaux.

Ringo s'arrête pour se reposer dans la proche cité de Cayenne, où il se tiendra dans un angle du salon, généralement presque vide, la majeure partie du reste du film. On apprendra plus tard qu'il espère une occasion de voir sa femme et son jeune fils, qu'il n'a pas revus depuis huit ans. Le barman, Mac (Karl Malden), se souvient de l'avoir vu dans une autre ville et alerte le Shérif Mark Strett (Millard Mitchell), un vieil ami de Ringo. Strett connaît l'épouse de Ringo, Peggy (Helen Westcott), et apprend à celui-ci qu'elle a changé son nom de famille pour cacher leur passé commun. Pressant Ringo de quitter la ville le plus tôt possible, Strett accepte cependant de demander à Peggy de venir voir Ringo. Elle refuse, craignant la nature de tête brûlée notoire dont Ringo faisait preuve dans leurs jeunes années, durant leur vie commune.

Pendant son attente, Ringo doit négocier avec Hunt Bromley (Skip Homeier), jeune aspirant flingueur acharné à se faire un nom, et Jerry Marlowe (Cliff Clark, non crédité), un homme à demi-retiré qui croit faussement que Ringo tua son fils plusieurs années auparavant. Ringo rencontre une autre amie de son passé, une fille de bar nommée Molly (Jean Parker), qui convaincra plus tard Peggy de parler à son mari. La rencontrant enfin, Ringo dit à sa femme qu'il a change, qu'il veut s'installer en un lieu où personne ne le connaît, probablement en Californie, et lui demande de partir avec lui. Elle refuse, mais accepte de reconsidérer sa réponse un an plus tard s'il se révèle fidèle à ses propos. Ringo rencontre son fils, mais ne lui dit rien de leurs rapports.

Malheureusement, Ringo est resté trop longtemps dans la ville. Les trois frères qui le poursuivent arrivent mais sont capturés par Strett et ses adjoints avant qu'ils ne puissent tendre une embuscade à Ringo. Pendant que Ringo fait ses derniers préparatifs de dépar, Bromley saisit sa chance en lui tirant dans le dos, le blessant mortellement. Le bruit court rapidement dans la ville que Bromley a tué Ringo. Tandis qu'il gît agonisant, Ringo dit au Shérif Strett d'affirmer que c'est lui, plutôt que Bromley, qui a tiré le premier. Quand Bromley commence à dire qu'il ne veut pas de son aide, Ringo rejette ses paroles, informant son assassin qu'il saura très bientôt à son tour comment on se sent quand on a tout les champions de la gâchette après soi. Plein de colère, Strett dit à Bromley de quitter la ville immédiatement, ponctuant son ordre d'une raclée, dont il le prévient que ce n'est « que le début » de ce que Bromley subira pour avoir tué Ringo. Bromley deviendra un aimant pour la bagarre : il découvrira bientôt, comme Ringo l'a dit, que sa notoriété comme roi de la gâchette est une malédiction qui le suivra partout, faisant de lui un paria et une cible pour le restant de ses jours.

Le film s'achève sur une séquence où Peggy Walsh se rend aux funérailles de Jimmy Ringo, traçant sa route au milieu de la foule à la porte de l'église avec son fils et révélant avec sérénité et fierté ce que ses concitoyens n'ont jamais su, qu'elle est Mrs Jimmy Ringo. Ainsi, au-delà de sa mort le pistolero réussit ce qu'il souhaitait en venant à Cayenne, le pardon de sa femme et sa réconciliation avec lui.

 

La Cible humaine d'Henry KingLa Cible humaine d'Henry King

La Cible humaine d'Henry King

Fiche technique

  • Titre : La Cible humaine ou L'Homme aux abois
  • Titre original : The Gunfighter
  • Réalisation : Henry King
  • Scénario : William Bowers - André de Toth
  • Production : Nunnally Johnson
  • Société de production : Twentieth Century-Fox Corporation
  • Photographie : Arthur C. Miller
  • Montage : Barbara McLean
  • Musique : Alfred Newman
  • Décors :
  • Costumes : Travilla et Charles Le Maire
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Format : Noir et blanc
  • Genre : Western
  • Durée : 85 minutes
  • Date de sortie : 21 août 1950

Distribution

  • Gregory Peck : Jimmy Ringo
  • Helen Westcott : Peggy Walsh
  • Karl Malden : Mac
  • Jean Parker : Molly
  • Millard Mitchell : Marshall Mark Strett
  • Richard Jaeckel : Eddie
  • Skip Homeier : Hunt Bromley
  • Anthony Ross : Deputy Charlie Norris
  • Verna Felton : Mrs August Pennyfeather
  • Ellen Corby : Mrs Devlin

Et, parmi les acteurs non crédités 

  • Alberto Morin : Pablo
  • Harry Shannon : Chuck

Felton Verna

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Verna Felton est une actrice américaine née le 20 juillet 1890 à Salinas en Californie aux États-Unis, décédée le 14 décembre 1966 à North Hollywood.

Felton Verna Felton Verna Felton Verna

Filmographie

  • 1917 : The Chosen Prince, or The Friendship of David and Jonathan : Michal
  • 1939 : Joe and Ethel Turp Call on the President (it) de Robert B. Sinclair : Une voisine
  • 1940 : Le Grand Passage (Northwest Passage), de King Vidor : Mrs. Towne
  • 1940 : If I Had My Way : Mrs. DeLacey
  • 1941 : Dumbo de Ben Sharpsteen : Matriarch (Elephant) (voix)
  • 1945 : Girls of the Big House : Agnes
  • 1946 : She Wrote the Book : Mrs. Kilgour
  • 1948 : The Fuller Brush Man : Mère de Junior
  • 1950 : Cendrillon (Cinderella) : Fairy Godmother (voix)
  • 1950 : La Fille des boucaniers (Buccaneer's Girl) : Dowager
  • 1950 : La Cible humaine (The Gunfighter) : Mrs. August Pennyfeather
  • 1951 : New Mexico : Mrs. Fenway
  • 1951 : Alice au pays des merveilles (Alice in Wonderland) : Queen of Hearts (voix)
  • 1951 : Little Egypt : Mrs. Doanne
  • 1952 : Six filles cherchent un mari (Belles on Their Toes) de Henry Levin : Cousine Leora
  • 1952 : Troublez-moi ce soir (Don't Bother to Knock) de Roy Baker : Mrs. Emma Ballew
  • 1951 : The Ezio Pinza Show (série TV) : Mrs. Day (1952-1954)
  • 1954 : December Bride (série TV) : Hilda Crocker
  • 1955 : La Belle et le Clochard (Lady and the Tramp) : Tante Sarah (voix)
  • 1955 : Picnic : Helen Potts
  • 1957 : The Oklahoman : Mrs. Waynebrooke
  • 1957 : Taming Sutton's Gal : Tati Sutton
  • 1959 : La Belle au bois dormant (Sleeping Beauty) : Flora (voix)
  • 1960 : Tonnerre sur Timberland (en) (Guns of the Timberland) de Robert D. Webb : Tante Sarah
  • 1960 : Pete and Gladys (série TV) : Hilda Crocker (1960-1961)
  • 1965 : The Man from Button Willow (en) (voix)
  • 1967 : Le Livre de la jungle (The Jungle Book) : Winifred (voix)

Westcott Helen

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Helen Westcott est une actrice américaine, née le 1er janvier 1928 à Los Angeles (Californie), morte d'un cancer le 17 mars 1998 à Edmonds (État de Washington).

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Helen Westcott apparaît au cinéma dès 1934 (à six ans) et contribue en tout à quarante-trois films américains, principalement de 1948 à 1960, avant deux derniers films sortis en 1970. Elle tourne notamment plusieurs westerns, l'un de ses plus connus étant La Cible humaine en 1950, aux côtés de Gregory Peck. À la télévision, elle contribue à trente-quatre séries (dont des séries-westerns), entre 1954 et 1977, et à un téléfilm en 1958.

Filmographie 

  • 1934 : Thunder over Texas d'Edgar George Ulmer
  • 1935 : Le Songe d'une nuit d'été (A Midsummer Night's Dream) de William Dieterle et Max Reinhardt
  • 1948 : Les Aventures de Don Juan (Adventures of Don Juan) de Vincent Sherman
  • 1948 : 13 Lead Soldiers de Frank McDonald
  • 1948 : Smart Girls don't talk de Richard L. Bare
  • 1949 : One Last Fling de Peter Godfrey
  • 1949 : Flaxy Martin de Richard L. Bare
  • 1949 : Le Mystérieux docteur Korvo (Whirpool) d'Otto Preminger
  • 1949 : Vénus devant ses juges (The Girl from Jones Beach) de Peter Godfrey
  • 1950 : La Cible humaine (The Gunfighter) d'Henry King
  • 1950 : Captives à Bornéo (Three Came Home) de Jean Negulesco
  • 1950 : Du sang sur le tapis vert (Backfire) de Vincent Sherman
  • 1951 : L'Énigme du lac noir (The Secret of Convict Lake), de Michael Gordon
  • 1952 : Appel d'un inconnu (Phone Call from a Stranger) de Jean Negulesco
  • 1952 : Return of the Texan de Delmer Daves
  • 1952 : Un refrain dans mon cœur (With a Song in my Heart) de Walter Lang
  • 1953 : La Charge sur la rivière rouge (The Charge at Feather River) de Gordon Douglas
  • 1953 : Tempête sur le Texas (Gun Belt) de Ray Nazarro
  • 1953 : Deux nigauds contre le Dr Jekyll et Mr Hyde (Abbott and Costello meet Dr Jekyll and Mr. Hyde) de Charles Lamont
  • 1956 : L'Ardente Gitane (Hot Blood) de Nicholas Ray
  • 1958 : Le Petit Arpent du bon Dieu (God's Little Acre) d'Anthony Mann
  • 1958 : La Dernière Fanfare (The Last Hurrah) de John Ford
  • 1958 : Ombres sur Bourbon Street (The Invisible Avenger) de James Wong Howe, Ben Parker et John Sledge
  • 1958 : Le Monstre des abîmes (Monster on the Campus) de Jack Arnold
  • 1959 : La Chevauchée des bannis (Day of the Outlaw) d'André De Toth
  • 1960 : La Ruée vers l'Ouest (Cimarron) d'Anthony Mann
  • 1960 : Studs Lonigan d'Irving Lerner
  • 1970 : Pieces of Dreams de Daniel Haller
  • 1970 : Une certaine façon d'aimer (I love my Wife) de Mel Stuart

Télévision

  • 1958 : Première série Perry Mason Saison 1, épisode 19 The Case of the Haunted Husband de Lewis Allen
  • 1958 : Première série Mike Hammer Saison 1, épisode 28 It's an Art de Boris Sagal
  • 1958 : Tales of Frankenstein, téléfilm de Curt Siodmak
  • 1959 : Rawhide Saison 2, épisode 1 Incident of the Day of the Dead de Stuart Heisler
  • 1960 : Au nom de la loi (Wanted : Dead or Alive) Saison 2, épisode 24 Affaire de famille (A House divided) de George Blair
  • 1960-1963 : Bonanza Saison 1, épisode 20 The Fear Merchants (1960) de Lewis Allen, Saison 4, épisode 15 The Colonel (1963) de Lewis Allen
  • 1963 : Suspicion (The Alfred Hitchcock Hour) Saison 1, épisode 22 Diagnosis : Danger de Sydney Pollack
  • 1964 : La Quatrième Dimension (The Twilight Zone) Saison 5, épisode 14 Prends le volant (You drive) de John Brahm
  • 1970 : Mannix Saison 3, épisode 15 Walk with a Dead Man d'Harvey Hart
  • 1977 : Switch Saison 2, épisode 18 The Four Horsemen

Le cavalier du désert

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Le Cavalier du désert (The Westerner) est un film américain réalisé par William Wyler en 1940.  Cole Hardin est arrêté pour un vol de chevaux qu'il n'a pas commis. Au terme d'un procès expéditif, il est condamné à mort par le juge Roy Bean. Il échappe au moins temporairement à la pendaison, en lui promettant de lui amener une mèche de cheveux de la belle Lily Langtry, qu'il prétend connaître et dont le juge est éperdument amoureux... 

Le cavalier du désert de William WylerLe cavalier du désert de William Wyler

Le cavalier du désert de William Wyler

Fiche technique

  • Titre : Le Cavalier du désert
  • Titre original : The Westerner
  • Réalisation : William Wyler
  • Scénario : Jo Swerling, Niven Busch, W. R. Burnett (non crédité), Lillian Hellman (non créditée) et Oliver La Farge (non crédité), d'après une histoire de Stuart N. Lake
  • Photographie : Gregg Toland
  • Musique : Alfred Newman et Dimitri Tiomkin (non crédités)
  • Décors : Julia Heron
  • Montage : Daniel Mandell
  • Direction artistique : James Basevi
  • Production Samuel Goldwyn
  • Société de distribution : United Artists
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Format : noir et blanc - Son : Mono (Western Electric Mirrophonic Recording)
  • Genre : Western
  • Durée : 100 minutes
  • Date de sortie : États-Unis 18 septembre 1940 première, États-Unis 20 septembre 1940, France 21 août 1946

Distribution

  • Gary Cooper : Cole Hardin
  • Walter Brennan : Le juge Roy Bean
  • Doris Davenport : Jane-Ellen Mathews
  • Fred Stone : Caliphet Mathews
  • Paul Hurst : Chickenfoot
  • Chill Wills : Southeast
  • Charles Halton : Mort Borrow
  • Forrest Tucker : Wade Harper
  • Tom Tyler : King Evans
  • Lupita Tovar : Teresita
  • Lilian Bond : Lily Langtry
  • Dana Andrews : Bart Cobble
  • Charles Coleman (non crédité) : Le manager de Lily Langtry

Davenport Doris

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Doris Davenport, also known as Doris Jordan (January 1, 1917 - June 18, 1980) was an American film actress during the 1930s and early 1940s.

Davenport DorisDavenport DorisDavenport Doris

Davenport was born in Moline, Illinois, but raised in Hollywood, California. She started auditioning for acting roles, and performed in her first film in 1934, titled Kids Millions. From 1934 to 1939, she would appear in only five films, supporting herself by working in New York City as a fashion model between films. However, when she auditioned under the screen name "Doris Jordan" for the role of "Scarlett O'Hara", the lead role in the now classic Gone with the Wind, she did well enough to become one of the finalists for the role, but lost out to actress Vivien Leigh.

Despite not winning that major role, Davenport impressed MGM executive Samuel Goldwyn. In 1940, he gave a lead role to Davenport in the film The Westerner, starring opposite Gary Cooper and Walter Brennan. That same year she starred in the film Behind the News opposite Lloyd Nolan. It would be her last role. With no other offers following that film, she soon retired from acting. She eventually settled in Santa Cruz, California, where she lived until her death on June 18, 1980, aged 63.

Filmographie

  • 1940 Behind the News Barbara Shaw
  • 1940 Le cavalier du désert Jane Ellen Mathews
  • 1939 Sorority House Neva Simpson (as Doris Jordan)
  • 1937 Thin Ice Member of Girls Band (uncredited)
  • 1935 The Girl Friend Chorus Girl in Play (uncredited)
  • 1935 George White's Scandals Chorine (uncredited)
  • 1935 His Old Flame (Short) 
  • 1934 Kid Millions Nora aka 'Toots'

 

Les professionnels

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Les Professionnels (The Professionals) est un film américain réalisé par Richard Brooks en 1966. 1917. Ancien soldat de Théodore Roosevelt et de Pancho Villa, Henry 'Rico' Fardan est engagé par Grant, un magnat texan du pétrole, pour retrouver sa femme Maria, prétendument enlevée par des révolutionnaires mexicains conduits par Jesus Raza. En échange, Grant offre une récompense de 100 000 $. Fardan est épaulé dans sa mission par trois autres 'spécialistes' : Hans Ehrengard, ancien cavalier et éleveur de chevaux, Jacob 'Jake' Sharp passé maître dans l'art de manier n'importe quelle arme et enfin Bill Dolworth, spécialiste en explosifs et ami de Fardan avec qui il a opéré nombre de coups de main au Mexique deux ans auparavant... mais pour le compte de Raza. Les quatre hommes s'enfoncent dans le désert mexicain, se heurtent plusieurs fois à des groupes de bandits. Ils réussissent à localiser le repaire de Raza ainsi que Maria Grant. En "libérant" celle-ci, ils découvrent qu'elle n'a jamais été kidnappée -ce qui confirme les doutes déjà exprimés par Bill Dolworth quant au bien-fondé de l'accusation- qu'elle a rejoint les rangs des révolutionnaires de son plein gré, et qu'elle est de surcroît l'amante de Raza. S'engage alors pour Fardan et ses acolytes une course vers le chemin du retour avec Raza et ses hommes à leurs trousses.

Les Professionnels est considéré comme le meilleur western de Richard Brooks. On peut à juste titre le comparer avec Vera Cruz de Robert Aldrich (où figurait d'ailleurs Burt Lancaster) et "La Horde sauvage" de Sam Peckinpah. En effet, bien loin de l'aspect héroïque des hommes de l'ouest et des valeurs qui ont forgé l'ouest américain, les personnages principaux semblent avoir aussi fait leur temps, se battent pour l'argent, sont amateurs de femmes, en particulier Burt Lancaster et Jack Palance, et sont désabusés par leur idéal. Y compris Raza qui dit qu'"au départ la Révolution semble être une déesse, mais elle n'est qu'une putain. Ni mauvaise, ni parfaite". D'autre part, comme chez Sam Peckinpah, les femmes portent le fusil et semblent vouloir attirer les hommes. Seule touche de romantisme, l'idylle entre Raza et Maria Grant. Robert Ryan, dont le regard mélancolique semble se perdre au loin, est sans doute le personnage le plus sensible de par le soin qu'il apporte à ses chevaux et la répugnance qu'il porte au fait de les maltraiter ou de les achever. 

Mais l'essentiel westernien est ailleurs : les quatre héros ont été manipulés par "un salaud" aux dires mêmes de Fardan, pour anéantir un mouvement révolutionnaire, détruire un village mexicain en fête sur la base d'une accusation calomnieuse ; à la sortie du film les critiques français, Roger Tailleur et Jean A. Gilli ont perçu en Fardan et Dolworth, anciens amis de Razan, une critique du dévoiement de la politique étrangère américaine, libératrice de 1936 à 1945 (Madrid, Berlin, Tokyo) impérialiste, étriquée depuis 1961 (Baie-Des Cochons, Saint-Domingue, Viet-nam). Pour Les Professionnels, Richard Brooks a été nommé aux Oscars pour la meilleure mise en scène et adaptation d'après un scénario. Nommé aussi, Conrad Hall, directeur de la photographie. Remarque: À 25 min 50s du début, Woody Strode observe furtivement la Vallée de la Mort à la jumelle mais en les tenant à l'envers.

Les professionnels de Richard BrooksLes professionnels de Richard Brooks

Les professionnels de Richard Brooks

Fiche technique

  • Titre original : The Professionals
  • Titre français : Les Professionnels
  • Année : 1966
  • Production : Columbia Pictures
  • Réalisation : Richard Brooks
  • Scénario : Richard Brooks d'après une histoire originale de Frank O'Rourke
  • Directeur de la photographie : Conrad Hall
  • Directeur artistique : Edward S. Haworth
  • Décors de plateau : Frank Tuttle
  • Musique : Maurice Jarre

Distribution

  • Burt Lancaster (VF : André Valmy) : Bill Dolworth
  • Lee Marvin (VF : Jean Davy) : Henry "Rico" Fardan
  • Robert Ryan (VF : Roger Tréville) : Hans Ehrengard
  • Jack Palance (VF : Georges Aminel) : Jesus Raza
  • Woody Strode : Jacob "Jake" Sharp
  • Claudia Cardinale : Maria Grant
  • Ralph Bellamy : Mr Grant
  • Marie Gomez : Chiquita

Histoires extraordinaires

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Histoires extraordinaires est un film franco-italien inspiré de nouvelles d'Edgar Allan Poe et sorti en 1968 au cinéma. Il est coréalisé par : Roger Vadim — 1er sketch : Metzengerstein, Louis Malle — 2e sketch : William Wilson, Federico Fellini — 3e sketch : Toby Dammit ou Il ne faut jamais parier sa tête avec le diable.

1er sketch : Metzengerstein

Les étranges rapports d'amour que la comtesse Frederica, débauchée notoire, mais cavalière émérite, entretient avec un superbe étalon noir en qui elle voit la réincarnation de son vertueux cousin Wilhelm qui l'a dédaignée et dont elle se culpabilise de la disparition dans l'incendie de son écurie qu'elle a commandité par vengeance…

2e sketch : William Wilson

William Wilson, un officier autrichien despotique, hanté par son double qui vient s'interposer chaque fois qu'il s'apprête à passer aux extrêmes, entame une partie de cartes avec la belle Giuseppina, partie qui dévoile aux yeux de tous son sadisme et sa malhonnêteté…

3e sketch : Toby Dammit ou Il ne faut jamais parier sa tête avec le diable

L'acteur britannique Toby Dammit vient à Rome pour un projet de film, le « premier western catholique ». Une soirée médiatique est organisée pour fêter cet évènement. L'attention de Toby, déjà passablement altérée par la drogue et l'alcool, plus que par la bizarre cérémonie romaine où défilent prêtre, acteurs et journalistes, est surtout attirée par la belle Ferrari qu'on lui fait miroiter pour le séduire et aussi par une étrange fillette qui joue avec une sorte de balle blanche, incarnation, selon ses déclarations à la télévision, du Diable en lequel il croit et décrit comme « sympathique, joyeux, c'est une petite fille ». Hallucination ou réalité ?

Histoires extraordinaires de Roger Vadim - Louis Malle - Federico FelliniHistoires extraordinaires de Roger Vadim - Louis Malle - Federico FelliniHistoires extraordinaires de Roger Vadim - Louis Malle - Federico Fellini

Histoires extraordinaires de Roger Vadim - Louis Malle - Federico Fellini

Fiche technique

  • Titre original : Histoires extraordinaires
  • Titre italien : Tre Passi nel delirio
  • Adaptations de trois nouvelles d'Edgar Allan Poe
  • Pays d'origine : Drapeau de la France France, Drapeau de l'Italie Italie
  • Langues de tournage : anglais, français, italien
  • Directeurs de production : Ludmilla Goulian, André Gillet, Tomaso Sagone
  • Sociétés de production : Les Films Marceau (France), PEA (Italie)
  • Sociétés de distribution : Cocinor (distributeur d'origine), Les Acacias (France), Tamasa Distribution (France)
  • Format : couleur par Eastmancolor — 35 mm — 1.85:1 — son monophonique (Westrex Recording System)
  • Genre : fantastique
  • Durée : 121 minutes
  • Dates de sortie : France 17 mai 1968 au Festival de Cannes, 12 juin 1968 sortie dans les salles, Italie 14 août 1968, États-Unis 23 juillet 1969
  • (fr) Classifications CNC : tous publics, Art et Essai (visa d'exploitation no 33724 délivré le 1er mars 1990)

1er sketch : Metzengerstein

  • Réalisation : Roger Vadim
  • Scénario : Roger Vadim, Pascal Cousin, d'après la nouvelle éponyme
  • Assistants-réalisation : Michel Clément, Jean-Michel Lacor, Serge Vallin
  • Décors : Jean André
  • Costumes : Jacques Fonteray
  • Coiffure : Carita pour Jane Fonda
  • Photographie : Claude Renoir
  • Montage : Hélène Plamiannikov
  • Scripte : Suzanne Durrenberger
  • Musique : Jean Prodomidès

2e sketch : William Wilson

  • Réalisation : Louis Malle
  • Scénario : Louis Malle et Daniel Boulanger, d'après la nouvelle éponyme
  • Dialogues : Daniel Boulanger
  • Assistant-réalisation : Michel Clément
  • Décors : Ghislain Uhry
  • Photographie : Tonino Delli Colli
  • Montage : Franco Arcalli, Suzanne Baron
  • Effets spéciaux : Joseph Natanson
  • Scripte : Sheila Rubin
  • Musique : Diego Masson

3e sketch : Toby Dammit ou Il ne faut jamais parier sa tête avec le diable

  • Réalisation : Federico Fellini
  • Scénario : Federico Fellini et Bernardino Zapponi d'après la nouvelle Il ne faut jamais parier sa tête avec le diable (Never Bet the Devil Your Head — A Tale with a Morale)
  • Assistants-réalisation : Eschilo Tarquini, Francesco Aluigi, Liliana Betti
  • Direction artistique : Piero Tosi
  • Décors : Piero Gherardi
  • Costumes : Piero Tosi
  • Photographie : Giuseppe Rotunno
  • Montage : Ruggiero Mastroianni
  • Scripte : Norma Giacchero
  • Musique : Nino Rota
  • Chanson : Ruby, paroles de Mitchell Parish (en) et musique de Heinz Roemheld, interprétée par Ray Charles

Distribution

1er sketch : Metzengerstein

  • Jane Fonda : la comtesse Frederica
  • James Robertson Justice : le conseiller de la comtesse
  • Françoise Prévost : une amie de la comtesse
  • Peter Fonda : le baron Wilhelm
  • Philippe Lemaire : Philippe
  • Serge Marquand : Serge
  • Carla Marlier : Claude
  • Anny Duperey : la 1re invitée
  • Maurice Ronet (voix off VF) : le narrateur

2e sketch : William Wilson

  • Alain Delon : William Wilson
  • Brigitte Bardot : Giuseppina
  • Katia Christine : la jeune fille blonde
  • Umberto D'Orsi : Hans
  • Daniele Vargas : le professeur
  • Renzo Palmer : le prêtre

3e sketch : Toby Dammit ou Il ne faut jamais parier sa tête avec le diable

  • Terence Stamp : Toby Dammit
  • Salvo Randone : le prêtre
  • Milena Vukotic : l'intervieweuse TV
  • Polidor : le vieil acteur
  • Marina Yaru : la fillette/le diable
  • Anne Tonietti : la chroniqueuse TV
  • Antonia Pietrosi : l'actrice
  • Fabrizio Angeli : le premier directeur
  • Federico Boido : un invité
  • Ernesto Colli : le deuxième directeur
  • Paul Cooper : le deuxième interviewer
  • Irina Maleeva : la gitane
  • Mimmo Poli : un invité
  • Marisa Traversi : une invitée
  • Aleardo Ward : le premier interviewer

Bravados

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Bravados (The Bravados) est un film américain réalisé par Henry King et sorti en 1958. Le cow-boy Jim Douglass traque quatre hommes, de passage près de son ranch en son absence lorsque sa femme fut violée et assassinée. Il les retrouve alors qu’ils ont été emprisonnés par le shérif d’une petite ville. Sur le point d’être pendus, les bandits réussissent à s’échapper grâce à l’aide d’un complice (tué alors par le shériff). Les habitants et Jim se lancent à leur poursuite. Après en avoir abattu trois, Jim est neutralisé par le quatrième, se rend compte qu'ils n'étaient pas les assassins et qu'il s'est en réalité laissé manipuler par le vrai coupable.

Bravados d'Henry KingBravados d'Henry King

Bravados d'Henry King

Fiche technique

  • Titre original : The Bravados
  • Titre français : Bravados
  • Réalisation : Henry King
  • Scénario : Philip Yordan, d'après le roman de Frank O'Rourke, The Bravados (1957)
  • Décors : Mark-Lee Kirk, Lyle R. Wheeler
  • Costumes : Charles Le Maire
  • Photographie : Leon Shamroy
  • Son : Bernard Freericks, Harry Maleonard, Hal Lombard
  • Montage : William Mace
  • Musique : Lionel Newman et, non crédités, Hugo Friedhofer et Alfred Newman
  • Producteur : Herbert B. Swope Jr.
  • Société de production : Twentieth Century Fox (États-Unis)
  • Société de distribution : Twentieth Century Fox (États-Unis)
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue de tournage : anglais
  • Format : 35 mm — couleur par Deluxe — 2.35:1 CinemaScope — son 4 pistes stéréo (Westrex Recording System)
  • Genre : western
  • Durée : 98 minutes
  • Date de sortie : États-Unis 25 juin 1958

Distribution

  • Gregory Peck (VF : Marc Valbel) : Jim Douglass
  • Joan Collins (VF : Nadine Alari) : Josefa Velarde
  • Stephen Boyd (VF : Lucien Bryonne) : Bill Zachary
  • Albert Salmi (VF : Claude Bertrand) : Ed Taylor
  • Henry Silva (VF : Michel Roux) : Lujan
  • Kathleen Gallant (VF : Arlette Thomas) : Emma Steimmetz
  • Barry Coe (VF : Serge Lhorca) : Tom
  • George Voskovec : Gus Steimmetz
  • Herbert Rudley (VF : Jean Violette) : le shérif Sanchez
  • Lee Van Cleef (VF : Jacques Beauchey) : Alfonso Parral
  • Andrew Duggan (VF : Georges Aminel) : le prêtre
  • Ken Scott (VF : Pierre Leproux) : Primo, l’adjoint du shérif
  • Gene Evans (VF : Jean Clarieux) : John Butler
  • Jack Mather (VF : Pierre Morin) : Quinn, le forgeron
  • Joe Derita (VF : Raymond Rognoni) : Simms, le faux bourreau
  • Jason Wingreen (VF : Maurice Dorleac) : l'employé de l'hôtel
  • Juan García (VF : Serge Lhorca) : le garde du passage
  • Robert Griffin (VF : Jean-Paul Moulinot) : le banquier Loomis
  • Et la chorale des Niños Cantores de Morelia

Duel dans le pacifique

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Duel dans le Pacifique (Hell in the Pacific) est un film de guerre américain réalisé par John Boorman, sorti en 1968.  Pendant la Seconde Guerre Mondiale, un soldat de l'aviation américaine se crashe sur une île déserte du Pacifique et il constate qu'il n'est pas le seul à avoir trouvé refuge ici. En effet, un marin japonais tente lui aussi de survivre et dès leur rencontre, les deux hommes tentent de s'approprier les lieux. Ils finissent par unir leurs forces et ils construisent un radeau. Ils parviennent à rejoindre la terre et ils trouvent des traces de la guerre entre leur deux pays... Leurs trouvailles sur place vont-elles rendre l'entente encore possible ? 

Duel dans le pacifiqueDuel dans le pacifique

Fiche technique

  • Titre : Duel dans le Pacifique
  • Titre original : Hell in the Pacific
  • Réalisation : John Boorman
  • Scénario : Alexander Jacobs et Eric Bercovici
  • Production : Reuben Bercovitch, Henry G. Saperstein et Selig J. Seligman
  • Musique : Lalo Schifrin
  • Photographie : Conrad L. Hall
  • Montage : Thomas Stanford
  • Direction artistique : Anthony Pratt et Masao Yamazaki
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Format : Couleurs - 2,35:1 - Mono - 35 mm
  • Genre : Guerre
  • Durée : 105 minutes
  • Date de sortie : 18 décembre 1968 (États-Unis)

Distribution

  • Lee Marvin (VF : René Arrieu) : Le pilote américain
  • Toshirō Mifune : Le marin japonais

Attaque !

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Attaque (Attack!) est un film américain, réalisé par Robert Aldrich, sorti en 1956. Durant la Seconde Guerre mondiale en 1944, le lieutenant Joe Costa se trouve sous les ordres du capitaine Erskine Cooney. Ce dernier, terrifié par le combat, fait tuer par sa lâcheté un groupe de la section commandée par Costa. Le lieutenant Harold Woodruff fait part au supérieur de Cooney, le lieutenant-colonel Clyde Bartlett, des problèmes de commandement et lui demande de relever le capitaine de ses fonctions, afin d'éviter qu'il ne mène à la mort d'autres soldats par son incompétence. Le colonel lui répond qu'il ne peut le faire sans Cooney et lui assure qu'en tout état de cause les hommes ne devraient pas repartir au front. La véritable raison qui pousse Bartlett à garder Cooney est que le père de ce dernier est juge, son appui pourrait s'avérer utile pour sa propre carrière politique. Woodruff rend compte de sa discussion avec le colonel au lieutenant Costa qui reste dubitatif. De fait, un ordre du Quartier général tombe : le régiment est mobilisé pour un assaut sur la ville de Nelle. Le capitaine présente à son état-major un plan en deux étapes : Costa doit partir avec sa section et faire une incursion pour voir si la ville n'est pas occupée, si elle ne l'est pas, il avertit Cooney et ce dernier arrive avec le reste de la compagnie pour prendre la ville. Ce plan est suicidaire si les renforts ne viennent pas. Costa, furieux d'un plan si dangereux pour lui et ses hommes, menace Cooney de le tuer si les renforts promis n'arrivent pas au moment voulu.

Une fois arrivés près de Nelle, Costa et ses hommes sont à découvert pendant près de 400 mètres pour rejoindre les premières maisons. La ville est calme et en voyant cela, Costa récite une phrase d'un western qu'il a vu : « Ça a l'air calme, par ici. Trop calme ». Et ce qui devait arriver, arrive. À proximité des maisons de Nelle, les Allemands ouvrent le feu. Ils sont plusieurs dizaines, armés de mitrailleuses et de mortiers. C'est un massacre, seule la moitié de la section passe, Costa donne l'ordre au reste de ne pas bouger et de retourner vers le capitaine. Finalement, plus d'une dizaine d'hommes meurent. Cinq survivants dont le lieutenant Costa se retrouvent coincés dans une ferme sous la pression du tir ennemi. Costa alerte le capitaine de la situation, mais ce dernier refuse de prendre la communication, comme si ce n'était pas important. Il se défile une nouvelle fois... L'appui promis fait défaut et les cinq hommes doivent se replier. Seuls trois d'entre eux parviennent à se tirer de la situation. Costa est porté manquant.

Fort de leur ascendant, les troupes ennemies poursuivent leur incursion. Des chars d'assaut menacent le poste de commandement de Cooney. Le colonel furieux ordonne au capitaine de tenir sa position jusqu'à l'arrivée des renforts. Le colonel parti, Cooney craque. Le lieutenant Woodruff doit organiser la défense. Surgit alors Costa, boîtant, mais bien décidé à tuer le capitaine. Woodruff parvient cependant à raisonner Costa et le convainc de s'occuper de leur déploiement. Les troupes allemandes ne tardent pas à encercler la compagnie. Cooney retrouve certains de ses hommes dans une cave et leur ordonne de se rendre. Ils refusent sachant très bien que les Allemands dans la ville ne sont pas de la Wehrmacht, mais des SS et ils sont connus pour ne pas faire de prisonniers... Alors que Conney monte les marches pour sortir de la cave et se rendre, surgit Costa, le bras en sang, écrasé par un char. Il délire, mais est tout de même déterminé à tuer le capitaine Cooney. Au moment fatidique, sa force l'abandonne et il lâche son pistolet lors de sa chute dans l'escalier. Il réunit le peu de forces qui lui restent et se traîne lamentablement pour ramasser son arme et abattre son supérieur, mais ce dernier prend un malin plaisir à repousser légèrement du pied le pistolet chaque fois que Costa est sur le point d'atteindre son arme. Ses derniers mots sont : « Mon Dieu. Donnez-moi juste la force... de faire ça. Je dois... Je vous en prie, Seigneur. Je prie... Seigneur, envoyez-moi en enfer... avant que... ». Cooney déclare que c'est triste d'avoir perdu Costa et remonte les marches pour se rendre, mais Woodruff menace de le tuer s'il continue à monter. Ignorant la menace, Cooney continue, Woodruff fait feu sur son capitaine.

Woodruff demande à ce qu'on l'arrête une fois de retour dans leurs lignes, mais tout le monde témoigne sa solidarité avec le lieutenant. La version officielle sera que Cooney est mort, tué par des Allemands alors qu'il montait les marches. Pour sceller ce mensonge, tout le monde tire une balle dans le cadavre du capitaine. Un sergent dit au lieutenant qu'il vaut mieux se taire, car ce qui s'est vraiment passé et ce qui se prononcera devant la cour martiale seront deux choses différentes. Et déclare même : « Je crois en la justice, mais l'armée ne m'inspire rien du tout ». Les Américains reprennent rapidement la ville, le Colonel Bartlett, informé de la mort de son capitaine, n'est pas pour autant dupe de l'histoire qui lui est présentée. Elle va cependant dans le sens de ses intérêts. Il déclare à Woodruff qu'il fera de lui le nouveau capitaine de la compagnie et que Cooney sera lui-même récompensé pour être mort en soldat (ce qui devrait faire plaisir au père de Cooney...). Woodruff a beaucoup de réticence à jouer le jeu de Bartlett, mais ce dernier lui dit que c'est quelqu'un d'intelligent et puis qu'il a « trop à perdre » pour dire la vérité au général Parsons. Une fois le colonel parti, Woodruff regarde le cadavre de Costa et décide de dire la vérité.

Attaque ! de Robert AldrichAttaque ! de Robert Aldrich

Attaque ! de Robert Aldrich

Fiche technique

  • Titre : Attaque
  • Titre original : Attack!
  • Réalisation : Robert Aldrich
  • Scénario : James Poe, d'après la pièce "Fragile Fox" de Norman Brooks
  • Direction artistique : William Glasgow
  • Décors : Glen L. Daniels
  • Photographie : Joseph Biroc
  • Son : Jack Solomon (en)
  • Montage : Michael Luciano
  • Musique : Frank De Vol
  • Production : Robert Aldrich
  • Production associée : Walter Blake
  • Société de production : The Associates & Aldrich Company
  • Société de distribution : United Artists
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue originale : anglais
  • Format : Noir et blanc - 35 mm — 1,37:1- Mono (Glen Glenn Sound Company Recording)
  • Genre : drame, film de guerre
  • Durée : 107 minutes
  • Date de sortie : États-Unis : 19 septembre 1956 (New York) ; France : 5 octobre 1956

Distribution

  • Jack Palance (VF : Jean Claudio) : Lieutenant Joe Costa
  • Eddie Albert (VF : Serge Nadaud) : Capitaine Erskine Cooney
  • Lee Marvin (VF : Jean Martinelli) : Lieutenant-colonel Clyde Bartlett
  • William Smithers (VF : Roger Rudel) : Lieutenant Harold Woodruff
  • Robert Strauss (VF : Stéphane Audel) : Bernstein
  • Richard Jaeckel (VF : Jacques Muller) : soldat Snowden
  • Buddy Ebsen (VF : Robert Dalban) : Tolliver
  • Jon Shepodd : John Jackson
  • Peter van Eyck (VF : Howard Vernon) : Capitaine SS
  • James Goodwin : Ricks
  • Steven Geray : Otto (soldat allemand)
  • Jud Taylor (VF : Hubert Noël) : soldat Jacob R. Abramowitz
  • Louis Mercier : Brouise
  • Leonard Bremen (VF : Jean Violette) : le sergent remplissant le bidon
  • Strother Martin (VF : Jean Daurand) : Sergent Ingersol

Strauss Robert

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Robert Strauss est un acteur américain né le 8 novembre 1913 à New York et décédé le 20 février 1975.

Strauss RobertStrauss RobertStrauss Robert

Filmographie

  • 1942 : Native Land : Frank Mason, grocer
  • 1949 : Hold That Baby! : Two $10's for a Five
  • 1950 : The Sleeping City : Lt. Barney Miller
  • 1952 : La Polka des marins (Sailor Beware) : CPO Lardoski
  • 1952 : Parachutiste malgré lui (Jumping Jacks) : Sgt. McClusky
  • 1953 : La Belle rousse du Wyoming (The Redhead from Wyoming) : 'Knuckles' Hogan
  • 1953 : Stalag 17 : Stanislas Kasava
  • 1953 : Here Come the Girls : Jack the Slasher
  • 1953 : Un acte d'amour (Act of Love) : Sgt. Johnny Blackwood
  • 1953 : Un galop du diable (Money from Home) : Seldom Seen Kid
  • 1954 : The Atomic Kid : Stan Cooper
  • 1954 : Les Ponts de Toko-Ri (The Bridges at Toko-Ri) : Beer Barrel
  • 1955 : Sept Ans de réflexion (The Seven Year Itch) : Mr. Kruhulik
  • 1955 : L'Homme au bras d'or (The Man with the Golden Arm) : Schwiefka
  • 1956 : Attaque (Attack) : Pfc. Bernstein
  • 1958 : I Mobster : Black Frankie Udino
  • 1958 : Frontier Gun : Yubo
  • 1959 : Inside the Mafia : Sam Galey
  • 1959 : 4D Man : Roy Parker
  • 1959 : Li'l Abner : Romeo Scragg
  • 1960 : Wake Me When It's Over : Sgt. Sam Weiscoff
  • 1960 : September Storm : Ernie Williams
  • 1961 : Dondi : Sammy Boy
  • 1961 : The Last Time I Saw Archie : MSgt. Stanley Erlenheim
  • 1961 : Twenty Plus Two : Jimmy Honsinger
  • 1961 : The George Raft Story (en) de Joseph M. Newman : Frenchie
  • 1962 : Des filles... encore des filles (Girls! Girls! Girls!), de Norman Taurog : Sam
  • 1963 : The Thrill of It All : Chief truck driver
  • 1963 : The Wheeler Dealers (en) d'Arthur Hiller : Feinberg, Taxi Driver
  • 1964 : Stage to Thunder Rock : Bob Acres
  • 1965 : Harlow : Hamk
  • 1965 : The Family Jewels : Pool Hall Owner
  • 1965 : That Funny Feeling : Bartender
  • 1966 : Movie Star, American Style or; LSD, I Hate You : Joe Horner, Producteur
  • 1966 : Frankie and Johnny : Blackie
  • 1967 : Fort Utah : Ben Stokes
  • 1971 : Dagmars Heta Trosor : John Blackstone
  • 1975 : The Noah : Noah

Bonnie and Clyde

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Bonnie et Clyde (Bonnie and Clyde) est un film américain réalisé par Arthur Penn en 1967 basé sur la vie de Bonnie et Clyde. Bonnie et Clyde est considéré comme un film culte et l'un des premiers succès du Nouvel Hollywood qui brisa plusieurs tabous cinématographiques. Le succès du film encouragea d'autres réalisateurs à faire des films où sont représentées des scènes de violences ou de sexe. La scène finale est iconique car, à l'époque, elle était « une des scènes de mort les plus sanglantes de toute l'histoire du cinéma ». Bonnie and Clyde a été sélectionné par le National Film Registry pour être conservé à la Bibliothèque du Congrès aux États-Unis pour son « importance culturelle, historique ou esthétique » en 1992. Au cœur des petites bourgades de l'Amérique des années 1930, ravagée par la Grande Dépression, sévit le gang formé par Bonnie Parker (Faye Dunaway) et Clyde Barrow (Warren Beatty) spécialisé dans le braquage de banque. Ils se sont rencontrés lorsque Clyde braque la voiture de la mère de Bonnie.

Bonnie, qui s'ennuie dans son travail de serveuse, est intriguée par Clyde, elle décide de le suivre et de devenir son associée. Ils vont de braquage en braquage, qui, malgré l'excitation procurée, ne sont pas très lucratifs. Bravant aveuglément la loi, le couple et leurs complices doivent bientôt faire face à leur destinée tragique. Le duo de criminels passe à la vitesse supérieure lorsqu'ils recrutent un préposé de station service stupide, CW Moss (Michael J. Pollard), ainsi que le frère ainé de Clyde, Buck (Gene Hackman), et son épouse, Blanche (Estelle Parsons), la fille d'un prédicateur. Les femmes se détestent dès le premier regard et leur rivalité ne va cesser d'augmenter à partir de là. Blanche n'a que du mépris pour Bonnie, Clyde et CW. Bonnie, elle, voit en Blanche un danger pour l'harmonie du groupe.

Bonnie et Clyde se tournent vers des braquages ​​à la petite semaine pour voler les banques. Leurs exploits deviennent plus violents. Lorsque CW bâcle un vol de banque en stationnant en parallèle de la voiture de fuite, Clyde tire sur le directeur de la banque en plein visage pour ensuite sauter sur le marchepied de la voiture qui s'enfuit lentement. Le gang est poursuivi par les forces de l'ordre, y compris le Texas Ranger Frank Hamer (Denver Pyle). Ce dernier est capturé et humilié par les bandits, puis remis en liberté. Plus tard, un raid de la police attire le gang dans un piège. Les bandits sont alors pris au dépourvu, Buck est mortellement blessé par un tir à la tête, et Blanche est blessée à l’œil. Bonnie, Clyde et CW s'échappent de justesse. Blanche, qui est devenue aveugle, est en garde à vue. Hamer l'interroge et la femme de Buck lui révèle le nom de CW, qui n'était jusqu'à présent encore qu'un "suspect non identifié."

Hamer localise Bonnie, Clyde et CW qui se cachent dans la maison du père de CW, Ivan Moss (Dub Taylor). Ce dernier pense que le couple et un tatouage ornemental ont corrompu son fils. Il fait un marché avec Hamer : en échange de la clémence pour son fils, il aide la police à établir un piège pour les arrêter. Lorsque Bonnie et Clyde s'arrêtent sur ​​le bord de la route pour aider M. Moss à changer un pneu à plat, la police, qui se trouve dans les buissons et dans un véhicule, ouvrent le feu et les mitraillent violemment. Hamer et sa bande sortent alors de leurs cachettes et contemplent d'un air pensif les corps du couple criblés de balles.

Bonnie et Clyde d'Arthur PennBonnie et Clyde d'Arthur Penn

Bonnie et Clyde d'Arthur Penn

Fiche technique

  • Réalisation : Arthur Penn
  • Scénario : Robert Benton et David Newman
  • Musique : Charles Strouse
  • Chanson générique : Rudy Vallée "Deep night" Rudy Vallée and his Connecticut yankees 2/06/1929
  • Montage : Dede Allen
  • Chef décorateur : Dean Tavoularis
  • Photographie : Burnett Guffey
  • Producteur : Warren Beatty
  • Sociétés de production : Tatira-Hiller Productions et Warner Bros.-Seven Arts
  • Budget : 2,5 millions de $
  • Box Office US : 50 millions de $
  • Box Office mondial : 70 millions de $
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Format : Couleur
  • Format du son : Mono
  • Format de projection : 1.85 : 1
  • Format de production : 35 mm
  • Genre : Drame et Policier
  • Durée : 1 h 51
  • Dates de sortie : États-Unis : 13 août 1967, France : 8 novembre 1967
  • Box office en France : 1 874 647 entrées

Distribution

  • Warren Beatty (VF : Marc Cassot) : Clyde Barrow
  • Faye Dunaway (VF : Jeanine Freson) : Bonnie Parker
  • Gene Hackman (VF : André Valmy) : Buck Barrow
  • Estelle Parsons (VF : Laurence Badie) : Blanche
  • Michael J. Pollard (VF : Eddy Rasimi) : C. W. Moss
  • Denver Pyle (VF : Jean Martinelli) : Frank Hamer
  • Dub Taylor (VF : Serge Nadaud) : Ivan Moss
  • Evans Evans : Velma Davis
  • Gene Wilder (VF : Serge Lhorca) : Eugene Grizzard
  • Mabel Cavitt : Mrs Parker

Hombre

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Hombre est un western américain de Martin Ritt, sorti en 1967. Arizona, 1884. John Russel (Hombre, "Homme" en espagnol) est un jeune blanc élevé depuis l'enfance par les Apaches comme un des leurs, puis recueilli et adopté par le propriétaire de l'hôtel d'une petite ville. Adulte, Hombre a cependant choisi de retourner vivre avec les Apaches, dans leur réserve. À la mort de son père adoptif, Hombre hérite de l'hôtel. Il décide de le vendre pour acheter des chevaux, ce qui l'oblige à licencier la gérante, Jessie, une fille au grand cœur qui a roulé sa bosse. Le lendemain Hombre prend la diligence afin de gagner la ville. Voyagent en sa compagnie son ami Enrique Mendez, le cocher ; Jessie ; le Professeur Alexander Favor agent des affaires indiennes, et son épouse, Audra ; un jeune couple anodin (Lee et Doris Blake); et un baroudeur vulgaire et arrogant, Cicero Grimes. 

Pendant le voyage, les voyageurs serrés les uns contre les autres et secoués par les cahots bavardent. La conversation tombe sur les indiens, et Hombre prend leur défense : ils ont, dit-il, été trompés par le gouvernement qui les a parqués dans des zones arides sans ressources, les affamant, notamment par les malversations des directeurs des Bureaux des Affaires Indiennes, ces derniers détournant sans scrupules leur pourtant famélique pécule, par des malversations comptables, pour s'enrichir à leur dépens, allant jusqu'à critiquer la rudesse liée à leur dénuement. Les voyageurs (Mrs. Favor en tête) ne supportent pas la présence d'un injuns-lover ("amoureux des indiens") à leurs côtés, l'expulsent de la diligence et le contraignent à faire le voyage sur le siège avant, à côté du cocher.

Le matin du deuxième jour, quatre bandits à la solde de Grimes arrêtent l'attelage, dévalisent les voyageurs, prennent en otage la femme du professeur et s'éloignent en les laissant pratiquement sans eau. Hombre, en mettant la main sur sa carabine Marlin cachée sur le toit de la diligence, réussit à abattre deux des bandits qui s'étaient attardés, justement ceux qui portaient le butin. Puis il entraîne dans le maquis la troupe des voyageurs désemparés. Les bandits, aidés par un desperado fine gâchette, vont se lancer à leur poursuite. D'un côté quatre bandits décidés et sans scrupules, munis d'une otage et de l'autre, deux femmes, un gamin sans grande jugeote, un vieillard aussi lâche que cupide et égoïste, un travailleur mexicain trop scrupuleux, et un "marginal" entre deux mondes, ayant pour atouts son expérience de la survie dans les bad-lands - et comme handicap son appartenance psychologique et culturelle au peuple indien faisant de lui un être infréquentable pour les blancs..

Hombre de Martin RittHombre de Martin Ritt

Hombre de Martin Ritt

Fiche technique

  • Titre original : Hombre
  • Réalisation : Martin Ritt
  • Scénario : Irving Ravetch, Harriet Frank Jr, d'après le roman éponyme de Elmore Leonard
  • Photographie : James Wong Howe
  • Montage : Frank Bracht
  • Musique : David Rose
  • Production : Irving Ravetch et Martin Ritt
  • Société de production : 20th Century Fox et Hombre Productions
  • Distribution : 20th Century Fox et ABC (Drapeau des États-Unis États-Unis)
  • Éditeur DVD : Fox Pathé Europa
  • Langue : anglais américain
  • Genre : Western
  • Durée : 111 minutes
  • Pays : États-Unis
  • Format : Couleurs - 2,35:1 - Mono - 35 mm
  • Lieux de tournage1 :
  • Bell Ranch, Santa Susana (en), Californie, États-Unis
  • Forêt nationale de Coronado, Arizona, États-Unis
  • Helvetia Mine, Comté de Pima, Arizona, États-Unis
  • Old Tucson - 201 S. Kinney Road, Tucson, Arizona, États-Unis
  • Dates de sortie : États-Unis : 21 mars 1967, France : 26 mai 1967

Distribution

  • Paul Newman John Russell
  • Fredric March Dr Alex Favor
  • Richard Boone Cicero Grimes
  • Diane Cilento Jessie
  • Cameron Mitchell Frank Braden
  • Barbara Rush Audra Favor
  • Peter Lazer Billy Lee Blake
  • Margaret Blye (en) Doris Blake
  • Martin Balsam Henry Mendez
  • Skip Ward Steve Early
  • Frank Silvera (en) bandit mexicain
  • David Canary Lamar Dean
  • Val Avery Delgado
  • Larry Ward soldat sans arme

Cilento Diane

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Diane Cilento est une actrice australienne née le 5 octobre 1933 à Brisbane et décédée à Cairns le 6 octobre 2011.

Cilento DianeCilento DianeCilento Diane

Elle a été désignée aux Tony Awards de Broadway en 1956 comme Best Supporting or Featured Actress (Dramatic) pour le rôle d'Hélène de Troie dans La guerre de Troie n'aura pas lieu de Jean Giraudoux. Elle dirige un théâtre en plein air nommé Karnak, situé à Mossman, dans le Queensland au milieu d'une forêt. De ce fait, elle a peu joué depuis les années 1980. Mariée: (1956 - ?) à Andrea Volpe, dont elle divorce, après avoir eu un enfant, Giovanna Volpe ; (6 décembre 1962 - 6 septembre 1973), à Sean Connery, dont elle divorce après avoir eu un enfant, Jason Connery (ce qui fait d'elle la belle-mère de Mia Sara) ; (1985 - 6 novembre 2001, date de mort du mari), à Anthony Shaffer, ce qui fait d'elle la belle-sœur de Peter Shaffer.

 

Filmographie

  • 1951 : Capitaine sans peur (Captain Horatio Hornblower R.N.) de Raoul Walsh : Voice of Maria Hornblower
  • 1952 : All Hallowe'en de Michael Gordon : Harriet
  • 1952 : Wings of Danger (en) de Terence Fisher : Jeannette
  • 1952 : Moulin rouge de John Huston
  • 1953 : Meet Mr. Lucifer (en) d'Anthony Pelissier
  • 1954 : Passing Stranger (en) de John Arnold : Jill
  • 1954 : The Angel Who Pawned Her Harp (en) d'Alan Bromly : The Angel
  • 1955 : The Woman for Joe (en) : Mary
  • 1955 : Passage Home (en) de Roy Ward Baker : Ruth Elton
  • 1957 : The Passionate Stranger (en)
  • 1957 : Anna Christie (TV)
  • 1957 : The Truth About Women (en) : Ambrosine Viney
  • 1957 : The Admirable Crichton (en) : Tweeny
  • 1959 : Jet Storm : Agelica Como
  • 1961 : The Full Treatment (en) : Denise Colby
  • 1961 : La Lame nue (The Nacked edge) : Mrs. Heath
  • 1962 : Choc en retour (I Thank a Fool) : Liane Dane
  • 1963 : Tom Jones: de l'alcôve à la potence (Tom Jones) : Molly Seagrim
  • 1964 : Le Secret du docteur Whitset (The Third Secret) de Charles Crichton : Anne Tanner
  • 1964 : Rattle of a Simple Man : Cyrenne
  • 1965 : Once Upon a Tractor
  • 1965 : L'Extase et l'Agonie (The Agony and the Ecstasy) : Contessina de Medici
  • 1967 : Hombre : Jessie
  • 1967 : Dial M for Murder (TV) : Margo Wendice
  • 1968 : Rogues' Gallery (en) (série TV) : Lady Sarah Bellasize
  • 1968 : Negatives (en) : Reingard
  • 1972 : Z.P.G. (en) : Edna Borden
  • 1972 : Amicalement vôtre (Regrets Eternels) : Kate Sinclair
  • 1973 : Le Dieu d'osier (The Wicker Man), de Robin Hardy  : Miss Rose
  • 1973 : Les Dix Derniers Jours d'Hitler (Hitler: The Last Ten Days) : Hanna Reitsch
  • 1973 : Spell of Evil (TV) : Clara
  • 1978 : Tycoon (série TV) : Diana Clark
  • 1980 : Big Toys (TV) : Mag
  • 1982 : Duet for Four (en) : Margot Mason
  • 1983 : For the Term of His Natural Life (TV)
  • 1984 : The Boy Who Had Everything (en) : Mother
  • 1994 : À mi-galaxie, tournez à gauche ("Halfway Across the Galaxy and Turn Left") (série TV) : Authoritax / principa

Quo Vadis

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Quo vadis est un film américain (péplum) réalisé par Mervyn LeRoy, sorti en 1951. Il est adapté du roman d'Henryk Sienkiewicz Quo vadis ?, qui avait valu à son auteur un prix Nobel de littérature en 1905. Cette œuvre, longue de près de trois heures, décrit l'émergence de la chrétienté à Rome sous Néron, à travers une histoire d'amour entre un officier romain, Vinicius, neveu du mécène épicurien Pétrone, et Lygie, une jeune otage chrétienne, fille adoptive d'un général retraité, qu'il prendra comme épouse après avoir échappé au massacre des chrétiens dans les arènes impériales.

Quo Vadis de Mervyn LeRoyQuo Vadis de Mervyn LeRoy

Quo Vadis de Mervyn LeRoy

Fiche technique

  • Titre original : Quo vadis
  • Titre français : Quo vadis
  • Réalisation : Mervyn LeRoy
  • Réalisation seconde équipe : Anthony Mann
  • Scénario : S. N. Behrman, Sonya Levien, John Lee Mahin, d'après le roman-éponyme de Henryk Sienkiewicz
  • Direction artistique : William A. Horning, Cedric Gibbons et Edward C. Carfagno
  • Décors : Hugh Hunt
  • Costumes : Herschel McCoy
  • Photographie : Robert Surtees et William V. Skall
  • Montage : Ralph E. Winters
  • Musique : Miklós Rózsa
  • Production : Sam Zimbalist
  • Société de production : Metro-Goldwyn-Mayer
  • Société de distribution : Metro-Goldwyn-Mayer
  • Budget : 7 000 000 $ (est.)
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Format : Couleurs (Technicolor) - 35 mm - 1,37:1 - son mono
  • Ressortie au ratio 1,75:1 en 1971 pour les 20 ans du film
  • Genre : péplum, Film historique
  • Durée : 171 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 8 novembre 1951, Royaume-Uni : 25 janvier 1952, France : 1er octobre 1953

Distribution

  • Robert Taylor (V.F : Jean Davy) : Marcus Vinicius
  • Deborah Kerr (VF : Jacqueline Porel) : Lygia
  • Leo Genn (VF : Jacques Dacqmine) : Pétrone
  • Peter Ustinov (VF : Jean Marchat) : Néron
  • Patricia Laffan (VF : Louise Conte) : Poppée
  • Buddy Baer (VF : Pierre Morin) : Ursus
  • Finlay Currie (VF : Fernand Fabre) : Pierre
  • Abraham Sofaer : Paul
  • Nora Swinburne (VF : Hélène Tossy) : Pomponia
  • Felix Aylmer (VF : Jean d'Yd) : Plautius
  • Marina Berti : Eunice
  • Ralph Truman (VF : Louis Arbessier) : Tigellin
  • Norman Wooland (VF : Marc Cassot) : Nerva
  • Nicholas Hannen (en) (VF : Paul Villé) : Sénèque
  • Rosalie Crutchley (VF : Claire Guibert) : Acté
  • Arthur Walge (VF : René Arrieu) : Croton
  • D. A. Clarke-Smith (en) : Phaon
  • Peter Miles : Nazarius

Et, parmi les acteurs non crédités 

  • Adrienne Corri : une jeune fille chrétienne
  • Richard Garrick : un esclave
  • Sophia Loren : une fille qui applaudit Vinicius
  • Walter Pidgeon : le narrateur (voix)
  • Bud Spencer : un garde impérial
  • Elizabeth Taylor : une prisonnière chrétienne dans l'arène

Récompenses et distinctions

  • Golden Globes 1952 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Peter Ustinov

Nominations - Oscars 1952 

  • Meilleur film
  • Meilleur acteur dans un second rôle pour Leo Genn et Peter Ustinov
  • Meilleure photographie (couleur) pour Robert Surtees et William V. Skall
  • Meilleurs décors (couleur) pour William A. Horning (en), Cedric Gibbons, Edward C. Carfagno et Hugh Hunt
  • Meilleure création de costumes (couleur) pour Herschel McCoy (en)
  • Meilleur montage pour Ralph E. Winters
  • Meilleure musique pour un film dramatique ou une comédie pour Miklós Rózsa
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