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Les égouts du paradis

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Les Égouts du paradis est un film français de José Giovanni sorti en salles en 1979. Il s'agit de l'adaptation du roman éponyme d'Albert Spaggiari, auteur du « casse du siècle ». Ce film, tiré d'une histoire vraie, raconte l'histoire du « casse du siècle » — celui du casse de la Société générale de Nice — commis par Albert Spaggiari, en 1976.  Le 10 mars 1977, Albert Spaggiari, l'homme qui défraya la chronique quelques mois plus tôt en réussissant le casse du siècle à Nice, saute par la fenêtre du palais de justice et s'échappe à moto... 

Les égouts du paradis de José GiovanniLes égouts du paradis de José Giovanni

Les égouts du paradis de José Giovanni

Fiche technique

  • Réalisation : José Giovanni
  • Scénario : José Giovanni, d'après le livre éponyme d'Albert Spaggiari
  • Dialogues : Michel Audiard
  • Assistans-Réalisateurs : Jean Couturier, Jean-Patrick Costantini
  • Directeur de la Photographie : Walter Bal
  • Décors de : Georges Petitot
  • Son : Jean-François Auger
  • Montage : Jacqueline Thiedot, Marie-Thérèse Boiche
  • Directeur de Production : Walter Spohr
  • Musique Originale : Jean-Pierre Doering
  • Scripte : Lucile Costa
  • Cadreurs : Claude Becognée, Pascal Genesseau
  • Assistants Camera : Pascal Marti, Georges Thiaville
  • Régie Générale : Clo d'Olban
  • Secrétaires de Production : Germaine Torta, Jacqueline Dormal
  • Assistant Son : Jacques Berger
  • Assistantes Monteuses : Anne Boissel, Juliette Fontanier, Marie-Rose Cecchi
  • Accessoiriste meuble : Guerin Spapperi
  • Producteurs Exécutifs : Jean-Pierre Rawson et Anne-Marie Toursky
  • Genre : Policier
  • Pays : Drapeau de la France France
  • Durée : 115 min
  • Année de tournage : 1978
  • Date de sortie en salles : 14 mars 1979 (France)

Distribution

  • Francis Huster : Albert Spaggiari
  • Jean-François Balmer : 68
  • Lila Kedrova : Charlotte
  • Bérangère Bonvoisin : Mireille
  • Gabriel Briand : Mike, la Baraka
  • Clément Harari : l'Égyptien
  • Michel Subor : Biki le Targuy
  • Mustapha Dali : Nazareth
  • Jean Franval : Le vieux Joseph
  • Michel Peyrelon : Pierre
  • André Pousse : Le chauve (Machin)
  • Jacques Richard : Bouche d'or
  • Serge Valletti : Le danseur
  • Alfred Strocchio : Un prince du chalumeau
  • Alain Caraglio : Un prince du chalumeau
  • Jean Luisi : Inspecteur
  • Bernard Spiegel : Le juge
  • Pierre Rousseau, Jean Vinci : Les commissaires

Johnny Guitare

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Johnny Guitare (Johnny Guitar) est un film américain réalisé par Nicholas Ray, sorti le 27 mai 1954. En 2008, le film est rentré dans le National Film Registry pour conservation à la Bibliothèque du Congrès aux États-Unis. Ce film, considéré par beaucoup comme un des plus beaux du cinéma américain, est un western étonnant dans la mesure où c'est l'un des rares, voire le seul, western féministe. Ce sont deux femmes qui en sont les protagonistes. Emma, riche propriétaire du village, est jalouse de la brune Vienna, tenancière d'un saloon, la belle étrangère et aventurière, fière et indépendante, qui vient de retrouver Johnny Guitar, son amant. Les passions du western - rivalité, haine, sont ici incarnées par ces deux femmes, jusqu'au duel habituel au revolver qu'elles se livreront. Le bien l'emportera.

Sterling Hayden incarne l'homme idéal pour femme indépendante : fort et tendre, il ne protège pas sa bien-aimée, la laisse vivre sa vie et courir les risques de son indépendance, mais est, tout simplement, à ses côtés. Ce western est tourné durant l'activité de la commission McCarthy. Nicholas Ray était soupçonné de sympathie pour les communistes mais Howard Hughes son producteur le protégeait efficacement des enquêtes en cours. Le scénario même du film, officiellement attribué à Philip Yordan mais qui serait en réalité l'œuvre du "blacklisté" Ben Maddow, met en présence deux femmes dont l'une ne rechigne pas à manipuler les lyncheurs pour faire avancer sa propre cause.

D'aucuns voient dans cette histoire, la transposition dans ce qu'il y a de plus américain comme sujet, de la chasse aux sorcières[réf. nécessaire]. Johnny Guitare est aussi une très curieuse parabole sur la situation politique de l’Amérique de l’époque. Si l'on regarde la distribution, Sterling Hayden (Johnny Guitar) est passé devant la commission où il a "craqué" et reconnu des activités que l'on qualifierait aujourd'hui de dérisoires. Ward Bond, le chef des lyncheurs était lui membre de "Motion Picture Alliance for the Preservation of American Ideals", et avait participé activement à la même chasse aux sorcières. Philip Yordan, le scénariste du film, déclara : « Nous avons joué un bon tour à Ward Bond, qui était, comme vous le savez, un des meneurs du parti fasciste à Hollywood. Nous lui avons fait jouer le rôle du chef de milice, un extrémiste fascinant faisant régner la terreur. Et lui croyait que son personnage était un héros, un bonhomme sympathique. Il n’avait rien compris ! » Cela avait surpris beaucoup de gens que Nicholas Ray le fasse tourner compte tenu du peu de valeurs qu'ils partageaient. Ce film se voudrait le pendant de Sur les quais d'Elia Kazan qui faisait lui l'apologie des dénonciateurs.

 

Johnny Guitare de Nicholas RayJohnny Guitare de Nicholas Ray

Johnny Guitare de Nicholas Ray

Fiche technique

  • Titre : Johnny Guitare
  • Titre original : Johnny Guitar
  • Réalisation : Nicholas Ray
  • Scénario : Philip Yordan, d'après le roman de Roy Chanslor
  • Musique : Victor Young
  • Photographie : Harry Stradling Sr.
  • Montage : R.L. Van Enger
  • Direction artistique : James W. Sullivan
  • Costumes : Sheila O'Brien
  • Production : Nicholas Ray
  • Société de production et de distribution : Republic Pictures
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Format : Couleurs (Trucolor) - Mono
  • Genre : Western
  • Durée : 110 minutes
  • Date de sortie : 27 mai 1954

Distribution

  • Sterling Hayden (VF : Raymond Loyer) : Johnny Guitare
  • Joan Crawford (VF : Lita Recio) : Vienna
  • Scott Brady (VF : Jacques Thébault) : Dancing Kid
  • Mercedes McCambridge (VF : Claire Guibert) : Emma
  • Ward Bond (VF : Pierre Morin) : John McIvers
  • John Carradine : Old Tom
  • Ernest Borgnine (VF : Jean Violette) : Bart Lonergan
  • Rhys Williams (VF : Pierre Leproux) : M. Andrews
  • Will Wright (VF : Georges Hubert) : Ned
  • Royal Dano (VF : Lucien Bryonne) : Corey
  • Frank Ferguson (VF : Claude Péran) : Marshal Williams
  • Paul Fix (VF : Robert Le Béal) : Eddie
  • Ian MacDonald : Pete
  • Ben Cooper (VF : Philippe Mareuil) : Turkey Ralston

À la poursuite d'Octobre rouge

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À la poursuite d'Octobre rouge (The Hunt for Red October) est un film américain réalisé par John McTiernan sorti en 1990, d'après le roman Octobre rouge de Tom Clancy paru en 1984. 1984. Équipé d'un nouveau système de propulsion silencieux appelé « la chenille » qui le rend indétectable, le sous-marin Octobre rouge est le fleuron de la marine soviétique. Les premiers essais sont confiés au commandant Marko Ramius, un vétéran aux états de service irréprochables. Mais ce dernier, qui a compris que cet engin est une arme de première frappe, désobéit aux ordres et met le cap sur les États-Unis, afin de passer à l'ouest. L'État-major soviétique est informé de ses intentions par une lettre que le commandant Ramius a postée avant son départ. Les Soviétiques font tout pour l'empêcher de livrer le sous-marin aux États-Unis, y compris annoncer aux Américains que Ramius, dans une crise de folie, veut les attaquer, pour les forcer à attaquer le sous-marin s'ils le détectent.

Du côté américain, l'analyste de la CIA Jack Ryan connait Marko, et arrive à la conclusion qu'il souhaite passer à l'Ouest. Les militaires ne sont pas convaincus, mais un dirigeant lui donne trois jours pour prouver sa théorie. Dans l'océan Atlantique, le sous-marin des États-Unis USS Dallas tente de suivre Octobre rouge. Un expert en détection sonar trouve un moyen de repérer le navire russe. Lorsque Jack l'apprend, il se fait héliporter jusqu'au sous-marin. À peine monté à bord, le commandant reçoit l'ordre de détruire Octobre rouge, mais Jack le persuade de tenter de communiquer avant. Ils obtiennent la confirmation que Marko souhaite passer à l'Ouest. Un stratagème est alors organisé pour laisser croire aux Soviétique qu’Octobre rouge est détruit, alors qu'il est récupéré par les États-Unis.

À la poursuite d'Octobre rouge de John McTiernanÀ la poursuite d'Octobre rouge de John McTiernan

À la poursuite d'Octobre rouge de John McTiernan

Fiche technique

  • Tire original : The Hunt for Red October
  • Titre français : À la poursuite d'Octobre rouge
  • Réalisation : John McTiernan
  • Scénario : Larry Ferguson et Donald E. Stewart, d'après le roman Octobre rouge de Tom Clancy
  • Directeur de la photographie : Jan de Bont
  • Montage : Dennis Virkler (en) et John Wright (en)
  • Musique : Basil Poledouris
  • Chef décorateur : Terence Marsh
  • Costumes : James W. Tyson
  • Production : Mace Neufeld
  • Producteurs délégués : Larry de Waay et Jerry Sherlock
  • Sociétés de production : Paramount Pictures, Mace Neufeld Productions et Nina Saxon Film Design
  • Distribution : États-Unis Paramount Pictures, France United International Pictures
  • Budget : 30 millions de dollars
  • Format : 35 mm - Ratio 2,35:1 - Technicolor
  • Genre : guerre, action, aventure
  • Dates de sortie : États-Unis : 2 mars 1990, France : 29 août 1990

Distribution

  • Sean Connery (VF : Jean-Claude Michel3) : le commandant Marko Ramius
  • Alec Baldwin (VF : Hervé Jolly) : Jack Ryan
  • Scott Glenn (VF : Jean Barney) : le commandant Bart Mancuso
  • Sam Neill (VF : Michel Derain) : le commandant Vassili Borodine
  • James Earl Jones (VF : Benoît Allemane) : l'amiral de la CIA James Greer
  • Joss Ackland (VF : Michel Beaune) : l'ambassadeur Andreï Lysenko
  • Richard Jordan (VF : Claude Giraud) : le conseiller présidentiel Jeffrey Pelt
  • Tim Curry (VF : José Luccioni) : le docteur Yevgueni Petrov
  • Ronald Guttman (VF : Benoît Allemane) : lieutenant Melekhin,
  • Peter Firth (VF : Jean-Luc Kayser) : le commissaire politique Ivan Poutine
  • Courtney B. Vance (VF : Luc Bernard) : l'opérateur sonar Ronald Jones
  • Ned Vaughn : Opérateur sonar en second Beaumont
  • Stellan Skarsgård : le commandant Viktor Tupolev
  • Jeffrey Jones (VF : Daniel Beretta) : l'ingénieur naval Skip Tyler
  • Timothy Carhart (VF : Mark Lesser) : le lieutenant Bill Steiner
  • Anthony Peck (VF : Bernard Tixier) : le lieutenant Thompson
  • Larry Ferguson (VF : Yves Barsacq) : Watson
  • Fred Dalton Thompson (VF : William Sabatier) : l'amiral Joshua Painter
  • Daniel Davis (VF : Joël Martineau) : le commandant Charlie Davenport
  • Artur Cybulski (VF : Jacques Bonnaffé) : Yuri
  • Michael Welden (VF : Lionel Henry) : le lieutenant-capitaine Grigoriy Kamarov
  • Gates McFadden : Caroline Ryan

Jeux de guerre

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Jeux de guerre (Patriot Games) est un film américain réalisé par Phillip Noyce en 1992, basé sur le techno-thriller éponyme de Tom Clancy paru en 1987. C'est la seconde apparition du personnage Jack Ryan au cinéma, après À la poursuite d'Octobre rouge en 1990. Harrison Ford reprend le rôle tenu auparavant par Alec Baldwin. Un ancien de la CIA, Jack Ryan, est désormais professeur. À Londres où il devait faire une conférence, il assiste à une tentative d'assassinat de Lord Holmes, cousin de la Reine du Royaume-Uni, par des terroristes irlandais. Jack Ryan parvient à tuer l'un d'eux, permet l'arrestation du frère de ce dernier Sean Miller et parvient à sauver Holmes. Kevin O'Donnell, le chef du commando, réussit ensuite à faire évader Sean pendant son transfert à une prison de l'Île de Wight. Réfugiés dans un camp d'entraînement terroriste en Libye, Kevin et sa complice Annette organisent un nouvel attentat. De son côté, Sean veut venger la mort de son frère...

Jeux de guerreJeux de guerre

Fiche technique

  • Titre français : Jeux de guerre
  • Titre original : Patriot Games
  • Réalisateur : Phillip Noyce
  • Scénario : W. Peter Iliff et Donald Stewart, d'après le roman Jeux de guerre de Tom Clancy (1987)
  • Musique originale : James Horner
  • Photographie : Donald McAlpine
  • Montage : William Hoy
  • Chef décorateur : Joseph C. Nemec III
  • Costumes : Norma Moriceau
  • Production : Charles H. Maguire, Mace Neufeld, Robert Rehme
  • Sociétés de production : Paramount Pictures et Mace Neufeld Productions
  • Distribution : Drapeau des États-Unis Paramount Pictures, Drapeau de la France United International Pictures
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue originale : anglais
  • Format : Couleur (Technicolor) - Son : 70 mm 6-Track (70 mm prints) / Dolby SR (35 mm prints)
  • Genre : thriller, film politique
  • Durée : 117 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 5 juin 1992, France : 21 octobre 1992
  • Déconseillé aux moins de 10 ans

Distribution

  • Harrison Ford (VF : Richard Darbois) : Jack Ryan
  • Anne Archer (VF : Frédérique Tirmont) : Dr. Caroline "Cathy" Ryan
  • Patrick Bergin (VF : Jacques Frantz) : Kevin O'Donnell
  • Sean Bean (VF : Maurice Decoster) : Sean Miller
  • Thora Birch (VF : Dorothée Pousséo) : Sally Ryan
  • James Fox (VF : Roland Ménard) : Lord Holmes
  • Samuel L. Jackson (VF : Tola Koukoui) : Lieutenant Commander Robby Jackson
  • Polly Walker (VF : Isabelle Ganz) : Annette
  • J.E. Freeman (VF : Bernard Tixier) : Marty Cantor
  • James Earl Jones (VF : Henry Djanik) : Amiral James Greer
  • Richard Harris (VF : William Sabatier) : Paddy O'Neil
  • Alex Norton (VF : Michel Prudhomme) : Dennis Cooley
  • Hugh Fraser (VF : Jean-Luc Kayser) : Geoffrey Watkins
  • David Threlfall (VF : Yves Beneyton): Inspecteur Highland
  • Alun Armstrong (VF : Patrick Poivey) : Owens
  • P.H. Moriarty : garde de la Court
  • Rebecca Mayhook : une écolière
  • Roger Blake : agent de police
  • Martin Cochrane : agent de police
  • Tim Dutton : agent de police
  • Ellen Geer : Rose
  • Bob Gunton : intervieweur
  • Ivan Kane : un reporter TV
  • Kim Delgado : un reporter TV
  • Keith Campbell : Ned Clark
  • Jeff Gardner : un aspirant de la marine

MacArthur le général rebelle

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MacArthur, le général rebelle (MacArthur) est un film américain réalisé par Joseph Sargent en 1977. Le film retrace l'étonnante carrière du général américain Douglas MacArthur. En 1942, les attaques japonaises détruisent plus de la moitié de la flotte aérienne du secteur Est. Ses positions aux Philippines sont anéanties, MacArthur part mais promet de revenir. Avec de fascinantes victoires dans le Pacifique et une habile mainmise sur la démocratisation du Japon, il est de retour. Il aspire aussi à la présidence. En 1951, alors qu'il sert durant la Guerre de Corée, son ego démesuré et son indiscipline poussent le président Truman à le limoger.

MacArthur le général rebelle de Joseph SargentMacArthur le général rebelle de Joseph Sargent

MacArthur le général rebelle de Joseph Sargent

Fiche technique

  • Titre : MacArthur, le général rebelle
  • Titre original : MacArthur
  • Réalisation : Joseph Sargent
  • Scénario : Hal Barwood et Matthew Robbins
  • Producteur : Frank McCarthy
  • Producteur exécutif : David Brown et Richard D. Zanuck
  • Musique : Jerry Goldsmith
  • Photographie : Mario Tosi, A.S.C.
  • Montage : George Jay Nicholson, A.C.E.
  • Concepteurs des décors : John J. Lloyd
  • Décors : Larry Gausman
  • Costumes : Larry Harnell
  • Budget : 9 000 000 $
  • Recettes : 16 320 000 $
  • Société de production : Universal Pictures
  • Société de distribution : Universal Pictures. An MCA Company
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : Anglais
  • Formats : 1,85 : 1 | Couleur Technicolor | 35 mm
  • Son : Stereo
  • Genre : Historique
  • Durée : 122 minutes
  • Date de sortie : États-Unis15 juillet et France 1977 18 janvier 1978

Distribution

  • Gregory Peck : général Douglas MacArthur
  • Ed Flanders : président Harry S. Truman
  • Dan O'Herlihy : president Franklin D. Roosevelt
  • Ivan Bonar : lieutenant général Richard K. Sutherland
  • Ward Costello : général George C. Marshall
  • Nicolas Coster : colonel Sidney Huff
  • Marj Dusay : Mrs. Jean MacArthur
  • Art Fleming as William Averell Harriman
  • Russell Johnson : amiral Ernest J. King
  • Sandy Kenyon : lieutenant général Jonathan M. Wainwright
  • Robert Mandan : Martin
  • Allan Miller : colonel LeGrande A. Diller
  • Dick O'Neill : colonel Whitney
  • Addison Powell : amiral Chester W. Nimitz

Le Parrain

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En 1945, à New York, les Corleone sont une des cinq familles de la mafia. Don Vito Corleone, "parrain" de cette famille, marie sa fille à un bookmaker. Sollozzo, " parrain " de la famille Tattaglia, propose à Don Vito une association dans le trafic de drogue, mais celui-ci refuse. Sonny, un de ses fils, y est quant à lui favorable. Afin de traiter avec Sonny, Sollozzo tente de faire tuer Don Vito, mais celui-ci en réchappe. Michael, le frère cadet de Sonny, recherche alors les commanditaires de l'attentat et tue Sollozzo et le chef de la police, en représailles. Michael part alors en Sicile, où il épouse Apollonia, mais celle-ci est assassinée à sa place. De retour à New York, Michael épouse Kay Adams et se prépare à devenir le successeur de son père...

 "Le Parrain" bénéficie d'une réalisation très soignée et méticuleuse, d'un scénario très solide, de scènes cultes comme s'il en pleuvait et d'acteurs à ce point excellents qu'il est quasiment impossible d'en préférer un à un autre. Marlon Brando trouve en Don Vito Corleone un de ses tous meilleurs rôles. Il faut dire qu'il s'est investi corps et âme dans ce projet. Al Pacino est l'acteur « fil rouge » de la trilogie. Le rôle de Michael Corleone va lui apporter une reconnaissance internationale. Il est parfait dans le rôle de ce fils un peu effacé au début, mais qui va petit à petit prendre une toute autre dimension. Robert Duvall et James Caan sont eux aussi formidables. Et que dire de l'inoubliable musique de Nino Rota ? On peut donc dire sans hésiter que "Le Parrain" de Francis Ford Coppola est un chef-d'oeuvre absolu du cinéma. 

Le Parrain de Francis Ford CoppolaLe Parrain de Francis Ford Coppola

Le Parrain de Francis Ford Coppola

Fiche technique

  • Titre : Le Parrain
  • Titre original complet : Mario Puzo's The Godfather
  • Réalisation : Francis Ford Coppola
  • Scénario : Mario Puzo et Francis Ford Coppola, d'après le roman éponyme de Mario Puzo
  • Production : Albert S. Ruddy et Gray Frederickson
  • Société de production : Paramount Pictures-Alfran Productions
  • Musique : Nino Rota (additionnel : Carmine Coppola pour la scène du mariage), Jean Sébastien Bach Prélude et fugue en Ré majeur (BWV 532) (scène de la série de règlements de comptes concomitante au baptême du neveu de Michael Corleone)
  • Direction artistique : Dean Tavoularis
  • Costumes : Anna Hill Johnstone (en)
  • Photographie : Gordon Willis
  • Montage : William Reynolds et Peter Zinner
  • Budget : 6 500 000 $
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langues : anglais, italien, sicilien4, latin
  • Format : Couleurs (Technicolor) - 1,85:1 - Son mono - Format 35 mm
  • Genre : drame, gangster
  • Durée : 175 minutes (2 h 55)5,6
  • Dates de sortie : États-Unis : 15 mars 1972 (première à New York), 22 mars 1972 (première à Los Angeles), 24 mars 1972 (sur le reste du territoire), 21 mars 1997 (ressortie), France : 18 octobre 1972
  • Le film fut interdit aux moins de 12 ans lors de sa sortie en salles. Filmé à New York et en Sicile en Italie.

Distribution

  • Marlon Brando (VF : Michel Duchaussoy / José Luccioni) : Don Vito Corleone - La tête (le « Don ») de la famille Corleone. Il est le père de Sonny, Fredo, Michael et Connie et le père adoptif de Tom Hagen.
  • Al Pacino (VF : Sylvain Joubert / Alexis Victor) : Michael Corleone - Le plus jeune fils du Don. Il est de retour des Marines pour se remettre de blessures. Dans un premier temps, il ne veut rien savoir des affaires de la famille Corleone.
  • James Caan (VF : Bernard Tiphaine / Axel Kiener) : Santino « Sonny » Corleone - La tête brûlée et le nerveux; il est prévu pour reprendre les affaires de la famille quand Vito Corleone prendra sa retraite. Il est l'ainé de la famille.
  • Richard S. Castellano (VF : Roger Lumont / idem) : Peter Clemenza - Ami de longue date de Vito, il est un caporegime de la famille Corleone.
  • Robert Duvall (VF : Pierre Vaneck / Guy Chapellier) : Tom Hagen - Un fils simplement adopté par Vito Corleone, il est aussi l’avocat de la famille et va en toute probabilité devenir le nouveau consigliere (le conseiller).
  • Diane Keaton (VF : Brigitte Fossey / Rafaèle Moutier) : Kay Adams - La petite amie de Michael qui deviendra sa deuxième épouse.
  • Talia Shire (VF : Colette Bergé / Anne Rondeleux) : Constanza « Connie » Corleone-Rizzi - La seule fille de Vito Corleone. Elle est mariée à Carlo Rizzi.
  • Sterling Hayden (VF : Julien Guiomar / Patrick Floersheim) : capitaine McCluskey - Un capitaine de police corrompu sur la paie de la famille Tattaglia.
  • John Marley (VF : Claude Dauphin / René Morard) : Jack Woltz - Un puissant producteur d'Hollywood. Il refuse d'engager Johnny Fontane dans son nouveau film à cause d'une rancune personnelle. Il changera d'avis après avoir retrouvé la tête de son étalon fétiche sous les draps de son lit.
  • Richard Conte (VF : François Maistre / Jean Barney) : Don Emilio Barzini - le Don de la famille Barzini, tué par Al Neri. Il tire les ficelles des 5 familles.
  • Al Lettieri (VF : Marcel Bozzuffi / Pascal Massix) : Virgil « Le Turc » Sollozzo - Un trafiquant d'héroïne relié à la famille Tattaglia.
  • Abe Vigoda (VF : Sady Rebbot / Paul Borne) : Salvatore « Sally » Tessio - Un caporegime de la famille Corleone. Il fonde avec Vito et Clemenza la Genco Olive Oil Company qui lancera la famille Corleone.
  • Gianni Russo (VF : Maurice Decoster) : Carlo Rizzi - Ami de Santino, il se marie à Connie Corleone.
  • John Cazale (VF : Francis Lax / Arnaud Arbessier) : Frederico « Fredo » Corleone - Le deuxième fils de Vito. Il est un peu simple et faible. Il sera tué par Al Neri, sur ordre de Michael qui lui reproche de l'avoir trahi. On aura attendu la mort de leur mère pour cela.
  • Rudy Bond : Ottilio Cuneo
  • Al Martino (VF : Denis Manuel / Jean-Louis Faure) : Johnny Fontane - Un chanteur populaire et filleul de Vito Corleone. Il demandera à ce dernier d'intervenir pour qu'il soit engagé pour un rôle au cinéma auprès du producteur Jack Woltz. Cela coûtera la tête d'un cheval…
  • Morgana King : Carmela Corleone - Femme de Vito et mère de Sonny, Fredo, Michael et Connie.
  • Lenny Montana (VF : Pierre Tornade / Jean-Jacques Nervest) : Luca Brasi - Un homme de main utilisé par Vito Corleone.
  • John Martino (en) (VF : Adrien Antoine) : Paulie Gatto - Chauffeur de Vito.
  • Salvatore Corsitto (VF : Gérard Rinaldi) : Amerigo Bonasera - Croque-mort et redevable envers Don Corleone.
  • Alex Rocco (VF : Daniel Ceccaldi / Emmanuel Jacomy) : Moe Greene - Il a créé la ville de Las Vegas, capitale du jeu à partir d'une halte de désert pour les soldats. Personnage inspiré de Bugsy Siegel
  • Tony Giorgio : Bruno Tattaglia - Fils de Philip Tattaglia, il se fait tuer par Sonny pour le meurtre de Luca Brasi.
  • Vito Scotti (VF : Gérard Hernandez) : Nazorine - Pâtissier à la noce de Connie.
  • Tere Livrano : Theresa Hagen
  • Victor Rendina (VF : Jacques Hilling / Antoine Tomé) : Philip Tattaglia - Don de la famille Tattaglia, tué par Rocco Lampone.
  • Jeannie Linero : Lucy Mancini, la maîtresse de Sonny
  • Julie Gregg : Sandra Corleone
  • Alexis Bastide (VF : Daniel Beretta) : Le serveur assistant au double homicide de Michael Corleone.
  • Ardell Sheridan : Madame Clemenza
  • Simonetta Stefanelli : Apollonia - Femme secrète de Michael Corleone en Sicile. Sera tuée dans une explosion de voiture destinée à Michael.
  • Angelo Infanti : Fabrizio - Garde du corps de Michael en Sicile. Il est responsable de l'explosion de la voiture qui tuera Apollonia, la femme de Michael. Sera retrouvé aux États-Unis et tué par vengeance.
  • Corrado Gaipa : Don Tommasino en Sicile, associé de Vito Corleone en Sicile pour son entreprise d'huile d'olive. Michael est sous sa protection en Sicile.
  • Franco Citti : Calo - Garde du corps de Michael en Sicile.
  • Saro Urzì : Vitelli - Père de Apollonia et tenancier de café en Sicile.
  • Richard Bright : Al Neri - Il deviendra le bras droit et l'exécuteur des basses œuvres de Michael.
  • Joe Spinell (VF : David Kruger) : Willi Cicci (non crédité), un homme de main de Michael Corleone - il coince Carmine Cuneo dans une porte tournante pour le descendre ensuite.

La Légion noire

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La Légion noire (Black Legion) est un film américain réalisé par Archie Mayo et Michael Curtiz (non crédité), sorti en 1937.  Frank, un ouvrier travaillant dur, perd son travail au profit d'un ouvrier d'origine polonaise. Il rejoint alors une organisation secrète, la Légion Noire, qui commet des actes de violence contre les étrangers. 

La Légion noire de Archie Mayo et Michael Curtiz La Légion noire de Archie Mayo et Michael Curtiz La Légion noire de Archie Mayo et Michael Curtiz

La Légion noire de Archie Mayo et Michael Curtiz

Fiche technique

  • Titre français : La Légion noire
  • Titre original : Black Legion
  • Réalisation : Archie Mayo, Michael Curtiz (non crédité)
  • Scénario : Abem Finkel, William Wister Haines d'après une histoire de Robert Lord
  • Direction artistique : Robert M. Haas
  • Costumes : Milo Anderson
  • Photographie : George Barnes
  • Montage : Owen Marks
  • Musique : W. Franke Harling, Howard Jackson et Bernhard Kaun (non crédités)
  • Production : Robert Lord, Hal B. Wallis producteur exécutif et Jack L. Warner producteur exécutif (non crédités)
  • Société de production et de distribution : Warner Bros. Pictures
  • Pays : américain
  • Langue : anglais
  • Genre : Drame
  • Format : Noir et blanc - 35 mm - 1,37:1 - Son : mono
  • Durée : 83 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 17 janvier 1937 (New York), 30 janvier 1937 (sortie nationale) ; France : 22 septembre 1937

Distribution

  • Humphrey Bogart : Frank Taylor
  • Dick Foran : Ed Jackson
  • Erin O'Brien-Moore : Ruth Taylor
  • Ann Sheridan : Betty Grogan
  • Helen Flint : Pearl Danvers
  • Joe Sawyer : Cliff Summers
  • Clifford Soubier : Mike Grogan
  • Alonzo Price : Alf Hargrave
  • Paul Harvey : Billings
  • Dickie Jones : Buddy Taylor
  • Samuel S. Hinds : Juge
  • Addison Richards : Procureur de la république
  • Eddie Acuff : Metcalf
  • Dorothy Vaughan : Mme Grogan
  • John Litel : Tommy Smith
  • Henry Brandon : Joe Dombrowski
  • Charles Halton : Osgood
  • Pat C. Flick : Nick Strumpas
  • Francis Sayles : Charlie
  • Paul Stanton : Barham
  • Harry Hayden : Jones
  • Egon Brecher : Vieux Dombrowski
  • Robert Barrat : Brown

Jeux interdits

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Jeux interdits est un film français de René Clément, écrit par Pierre Bost et Jean Aurenche, sorti en 1952. Le film est basé sur un roman de François Boyer intitulé Les Jeux inconnus. Au cours de l'exode de 1940 en France, un convoi de civils est mitraillé. Paulette, 5 ans, perd ses parents et se met à errer dans la campagne, serrant dans ses bras le cadavre de son chien. Dans les bois, elle rencontre Michel, un garçon de 10 ans, qui l'emmène vivre dans la ferme de ses parents. Réticent au début, le père de Michel accepte l'arrivée de Paulette, plus par peur que les voisins (les Gouard, ennemis jurés) ne le fassent et en tirent une quelconque gloire, que par charité. Paulette enterre discrètement le petit chien, mais Michel devine rapidement son geste, et à deux ils se mettent à créer des sépultures pour tous les animaux morts qu'ils découvrent  : rats, crapauds, poussins, etc. Michel ne trouve pas très réussies les croix qu'il fabrique et les deux enfants entreprennent de voler les crucifix qu'ils trouvent : sur le corbillard, à l'église, au cimetière.

Jeux interdits de René ClémentJeux interdits de René Clément

Jeux interdits de René Clément

Fiche technique

  • Titre : Jeux interdits
  • Réalisation : René Clément
  • Assistance réalisation : Léonard Keigel, Claude Clément, Pierre Kast, René Albouze, Robert Turlure
  • Scénario : Jean Aurenche, Pierre Bost et René Clément, d'après le roman Les Jeux inconnus de François Boyer
  • Montage : Roger Dwyre
  • Musique : pièces de Robert de Visée, Napoléon Coste, Jean-Philippe Rameau, etc. arrangées et interprétées à la guitare par Narciso Yepes
  • Photographie : Robert Juillard
  • Son : Jacques Lebreton
  • Affichiste : Clément Hurel
  • Production : Robert Dorfmann
  • Société de production : Silver Films
  • Pays d'origine : Drapeau de la France France
  • Format : noir et blanc - 1,37:1 - son monophonique
  • Genre : drame, guerre
  • Durée : 86 minutes
  • Date de sortie : 9 mai 1952

Distribution

  • Georges Poujouly : Michel Dollé
  • Brigitte Fossey : Paulette
  • Lucien Hubert : Joseph Dollé, le père
  • Laurence Badie : Berthe Dollé
  • Amédée : Francis Gouard, le fils des voisins, aimé de Berthe
  • Suzanne Courtal : madame Dollé, la mère
  • Jacques Marin : Georges Dollé, le fils aîné
  • Marcel Merovée (crédité Pierre Merovée) : Raymond Dollé, le fils réformé
  • Louis Saintève : le prêtre
  • André Wasley : monsieur Gouard, le voisin
  • Madeleine Barbulée : soeur à la Croix-Rouge
  • Violette Monnier : Renée Dollé, la fille cadette
  • Denise Perronne : Jeanne Gouard
  • Fernande Roy : la fille Gouard
  • Acteurs non crédités :
  • André Enard : le premier gendarme
  • Madame Fossey : la mère de Paulette
  • Monsieur Fossey : le père de Paulette
  • Louis Herbert
  • Bernard Musson : le deuxième gendarme
  • Annie Ravel : une cousine de Georges en deuil
  • Georges Sauval : le conducteur de la charrette
  • Maud Slover : une dame au centre des réfugiés
  • Janine Zorelli : vieille dame dans la charrette
  • Marie-Pierre Casey : Une sœur à la fin

Distinctions

  • Oscar du meilleur film étranger en 1952
  • Lion d'or à la Mostra de Venise 1952
  • BAFTA du meilleur film (1954)
  • Grand Prix Indépendant Festival de Cannes 1952
  • Prix Femina 1952
  • Meilleur film français et étranger Critique Américaine 1952
  • Prix de la critique japonaise Tokyo 1953
  • Meilleur film mondial Critique Anglaise Londres 1953

Le Grand Alibi

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Le Grand Alibi (Stage Fright) est un film britannique réalisé par Alfred Hitchcock, sorti en 1950. Jonathan Cooper, épris d'une comédienne et chanteuse, Charlotte Inwood, est soupçonné d'être l'assassin de son mari. Il réussit à convaincre son amie Eve de son innocence. Elle décide de l'aider.

Le Grand Alibi d'Alfred HitchcockLe Grand Alibi d'Alfred Hitchcock

Le Grand Alibi d'Alfred Hitchcock

Fiche technique

  • Titre : Le Grand Alibi
  • Titre original : Stage Fright
  • Réalisation : Alfred Hitchcock
  • Scénario : Whitfield Cook, Ranald MacDougall, Alma Reville d'après l'œuvre de Selwyn Jepson
  • Photographie : Wilkie Cooper
  • Costume : Milo Anderson et Christian Dior (non crédités)
  • Musique : Leighton Lucas
  • Production : Alfred Hitchcock (non crédité)
  • Société de distribution : Warner Bros. Entertainment
  • Pays d'origine : Royaume-Uni
  • Langue : anglais
  • Format : Noir et blanc - 1,37:1 - son mono - 35mm
  • Genre : Policier, Thriller
  • Durée : 110 minutes

Distribution

  • Jane Wyman : Eve Gill
  • Marlène Dietrich (VF : Lita Recio) : Charlotte Inwood
  • Michael Wilding (VF : Jean Davy) : inspecteur Wilfred Smith
  • Richard Todd (VF : Roger Rudel) : Jonathan Cooper
  • Alastair Sim : Commodore Gill
  • Sybil Thorndike : Mme Gill
  • Kay Walsh : Nellie Goode
  • Miles Malleson : Mr Fortesque
  • Hector MacGregor : Freddie Williams
  • Joyce Grenfell : Lovely Ducks
  • André Morell : inspecteur Byard
  • Patricia Hitchcock : Chubby Bannister
  • Ballard Berkeley : sergent Mellish

Le Temps du châtiment

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Le Temps du châtiment (The Young Savages) est un film américain réalisé par John Frankenheimer, sorti en 1961.  Hank Bell, un procureur d'origine italienne, enquête sur le meurtre d'un jeune aveugle porto-ricain. Les principaux suspects sont trois adolescents italiens appartenant à une bande rivale. Mais Hank fut autrefois amoureux de la mère d'un des délinquants, ce qui va compliquer les choses... 

Le Temps du châtiment de John FrankenheimerLe Temps du châtiment de John Frankenheimer

Le Temps du châtiment de John Frankenheimer

Fiche technique

  • Titre : Le Temps du châtiment
  • Titre original : The Young Savages
  • Réalisation : John Frankenheimer
  • Scénario : Edward Anhalt et J.P. Miller (James Pinckney Miller) d'après le roman A Matter of Conviction d'Evan Hunter
  • Production : Pat Duggan et Harold Hecht
  • Musique : David Amram
  • Photographie : Lionel Lindon
  • Montage : Eda Warren
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Format : Noir et blanc - Mono
  • Genre : Drame
  • Durée : 103 minutes
  • Date de sortie : 1961

Distribution

  • Burt Lancaster (VF : Claude Bertrand) : Hank Bell
  • Dina Merrill (VF : Nelly Benedetti) : Karin Bell
  • Edward Andrews (VF : Jean-Henri Chambois) : R. Daniel 'Dan' Cole
  • Vivian Nathan (VF : Lita Recio) : Mme Escalante
  • Shelley Winters : Mary di Pace
  • Larry Gates (VF : Jacques Berthier) : Randolph
  • Telly Savalas (VF : Jean Violette) : Lieutenant de police Gunderson
  • Pilar Seurat : Luisa Escalante
  • Robert Burton (VF : Pierre Morin) : Juge
  • John Davis Chandler : Arthur Reardon
  • Jody Fair : Angela Rugiello
  • Roberta Shore : Jenny Bell
  • Milton Selzer (VF : Michel Gudin) : Dr Walsh
  • Stanley Kristien (VF : Jacques Muller) : Danny Di Pace
  • Luis Arroyo (VF : Jacques Thébault) : Zorro
  • David J. Stewart (VF : Henry Djanik) : Barton, le reporter

Acteurs non crédités 

  • Stanley Adams (VF : Pierre Collet) : Lieutenant de police Hardy
  • Leonardo Cimino : M. Rugiello
  • Joel Fluellen : Employé du tribunal
  • Harry Holcombe (VF : Gabriel Sardet) : le docteur au chevet de Hank Bell
  • Clegg Hoyt (VF : Pierre Collet) : Whitey
  • Rafel López (VF : Patrick Maurin) : José
  • Lester Mathews (VF : Gabriel Sardet) : Dr Androtti (prononcé « Andrade » en VF)
  • Bill Quinn (VF : Jean Berton) : Capitaine de police Larsen

Strategic Air Command

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Strategic Air Command est un film américain réalisé par Anthony Mann, sorti en salles en 1955. Le rôle principal est tenu par James Stewart grande vedette hollywoodienne (oscar en 1940) et néanmoins authentique pilote de l'Us Air Force qui atteint le grade de général de réserve. Robert "Dutch" Holland, champion de baseball et ancien pilote de bombardier est rappelé par l'Armée de l'air pour servir au sein du Strategic Air Command.

Strategic Air Command d'Anthony MannStrategic Air Command d'Anthony Mann

Strategic Air Command d'Anthony Mann

Fiche technique

  • Titre original : Strategic Air Command
  • Réalisation : Anthony Mann
  • Scénario : Valentine Davies, Beirne Lay Jr.
  • Direction artistique : A. Earl Hedrick (en), Hal Pereira
  • Décors : Sam Comer, Frank R. McKelvy
  • Costumes : Edith Head
  • Photographie : William Daniels
  • Son : Gene Garvin, Harry Lindgren
  • Montage : Eda Warren
  • Musique : Victor Young
  • Production : Samuel J. Briskin
  • Société de production : Paramount Pictures
  • Société de distribution : Paramount Pictures
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue originale : anglais
  • Format : couleur (Technicolor) — 35 mm — 1,66:1 (VistaVision) — son Mono (Perspecta Sound encoding) (Western Electric Recording)
  • Genre : Drame
  • Durée : 112 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 20 avril 1955 (première à New York), France : 7 octobre 1955

Distribution

  • James Stewart (VF : Roger Treville) : Lieutenant colonel Robert "Dutch" Holland (en)
  • June Allyson (VF : Claire Guibert) : Sally Holland
  • Frank Lovejoy (VF : Marc Valbel) : Général Ennis C. Hawkes
  • Barry Sullivan : Lieutenant colonel Rocky Samford
  • Alex Nicol : Ike Knowland
  • Bruce Bennett : Général Espy
  • Jay C. Flippen (VF : Raymond Rognoni) : Tom Doyle
  • James Millican (VF : Abel Jacquin) : Maj. Gen. 'Rusty' Castle
  • James Bell (VF : Paul Ville) : Révérend Thorne
  • Rosemary De Camp (VF : Marie Francey) : Mme Thorne
  • Richard Shannon : Pilote instructeur de vol
  • John McKee : Capitaine Symington
  • Harry Morgan : Sergent Bible (ingénieur de vol)

Acteurs non crédités 

  • Bess Flowers : Invité à la fête
  • Strother Martin : Aviateur
  • Harlan Warde : Agent de service

La Cité disparue

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La Cité disparue (Legend of the Lost) est un film d'aventure américano-italien réalisé par Henry Hathaway et sorti en 1957. Le Français Paul Bonnard part à la recherche d’une mystérieuse cité en ruines naguère découverte par son père dans le Sahara. Elle recèlerait un trésor que Paul promet de partager avec Joe January, un aventurier américain qu’il a recruté comme guide à Tombouctou. Dita, une prostituée en quête de rédemption, se joint à eux. Ils trouvent la cité au terme de leur épuisante route. Mais lorsque Paul découvre les restes de son père vénéré apparemment victime d’une rivalité amoureuse, il perd la raison et s’enfuit avec le trésor. Quand Joe et Dita retrouvent sa trace au milieu du désert, Paul, en plein délire, se précipite sur Joe pour le poignarder, mais il est abattu par Dita. Les deux survivants regagneront la civilisation sans le trésor que Paul a enfoui quelque part dans les dunes, mais avec l’amour qui les a réunis dans cette aventure.

La Cité disparue d'Henry HathawayLa Cité disparue d'Henry Hathaway

La Cité disparue d'Henry Hathaway

Fiche technique

  • Titre : La Cité disparue
  • Titre original : Legend of the Lost
  • Réalisation : Henry Hathaway
  • Scénario : Ben Hecht, Robert Presnell Jr.
  • Musique : Angelo Francesco Lavagnino
  • Direction de la photographie : Jack Cardiff
  • Son : John Kean, W.H. Milner
  • Décors : Alfred Ybarra
  • Costumes : Gaia Romanini
  • Cascadeurs : Chuck Hayward, Terry Wilson
  • Montage : Bert Battes
  • Pays d'origine : États-Unis, Drapeau de l'Italie Italie
  • Langue de tournage : anglais
  • Période de tournage : 2 janvier 1957 au 10 avril 1957
  • Studios : Cinecittà (Italie)
  • Producteurs : Henry Hathaway, John Wayne
  • Sociétés de production : United Artists (États-Unis), Batjac Productions (États-Unis), Dear Film Produzione (Italie)
  • Société de distribution : United Artists
  • Budget : 1,750 million $ (estimation)
  • Format : couleur par Technicolor — 2.35:1 (Technirama) — son monophonique (RCA Sound Recording) — 35 mm
  • Genre : film d'aventure
  • Durée : 109 minutes
  • Date de sortie : 17 décembre 1957 aux États-Unis

Distribution

  • John Wayne (V.F : Claude Bertrand) : Joe January
  • Sophia Loren (V.F : Jacqueline Ferriere) : Dita
  • Rossano Brazzi (V.F : Roland Menard) : Paul Bonnard
  • Kurt Kasznar : le préfet Dukas
  • Sonia Moser : une fille
  • Angela Portaluri : une fille
  • Ibrahim El Hadish : Galli Galli
  • Marsha Hunt (non créditée, petit rôle indéterminé)

Les Chasseurs de scalps

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Les Chasseurs de scalps (The Scalphunters) est un film américain réalisé par Sydney Pollack en 1968. En 1850, dans les Montagnes Rocheuses. Un trappeur, Joe bass, rencontre des Indiens Kiowas, qui lui proposent d'échanger ses fourrures contre un esclave noir. Joe est obligé d'accepter. Plus tard, il retrouve les Indiens scalpés. Il décide de retrouver ces chasseurs, payés par l'État, afin de reprendre ses fourrures.

Les Chasseurs de scalps de Sydney PollackLes Chasseurs de scalps de Sydney Pollack

Les Chasseurs de scalps de Sydney Pollack

Fiche technique

  • Titre original : The Scalphunters
  • Titre français : Les Chasseurs de scalps
  • Réalisation : Sydney Pollack
  • Scénario : William W. Norton
  • Production : Arthur Gardner, Arnold Laven et Jules V. Levy
  • Société de production : Bristol Films et Norlan Productions
  • Société de distribution : United Artists
  • Musique : Elmer Bernstein
  • Photographie : Duke Callaghan et Richard Moore
  • Montage : John Woodcock
  • Costumes : Joe Drury
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Format : couleurs - 35 mm - 2,35:1 - Son : mono (Westrex Recording System)
  • Genre : Western
  • Durée : 102 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 2 avril 1968, France : 1er février 19691

Distribution

  • Burt Lancaster : Joe Bass
  • Shelley Winters : Kate
  • Telly Savalas : Jim Howie
  • Ossie Davis : Joseph Lee
  • Dabney Coleman : Jed
  • Paul Picerni : Frank
  • Dan Vadis : Yuma
  • Nick Cravat : Yancy
  • Armando Silvestre : Two Crows

L'Amant de cinq jours

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Madeleine et Claire sont deux amies intimes, très "parisiennes". Madeleine dirige une maison de haute couture très réputée, tandis que Claire vit avec son mari, Georges, et ses deux enfants - dans un hôtel particulier du Marais. Lors d'une présentation de mode chez Madeleine, Claire rencontre un jeune homme charmant et charmeur Antoine. Dès le lendemain, la jeune femme retrouve Antoine dans sa jolie garçonnière, et une liaison très amoureuse commence... Ce que Claire ignore, c'est que l'élégant confort dont jouit Antoine - il dispose même d'une Cadillac avec chauffeur ! est dû entièrement aux libéralités de Madeleine qui, en un mot, l'entretient. De son côté, Antoine ignore que Claire et Madeleine sont à ce point liées...

Supportant mal que son cher Antoine la délaisse, Madeleine commence à tirer les ficelles dans la coulisse et imagine une petite vengeance : elle organise une grande soirée chez elle et y convie non seulement Antoine, mais aussi Claire et son mari. La confrontation est radicale : Antoine découvre un autre aspect de Claire l'épouse bourgeoise affublée d'un mari peu brillant en société. Claire voit pour la première fois en Antoine le garçon entretenu par Madeleine... Bref, le charme de la première heure tombe complètement, et la liaison Claire/Antoine n'y résistera pas. Au bout de cette "aventure" de quelques jours, Antoine reviendra probablement à Madeleine; Georges s'estimera toujours le plus heureux des époux, tandis que Claire repartira vers d'autres rencontres imprévues...

 

L'Amant de cinq jours de Philippe de BrocaL'Amant de cinq jours de Philippe de Broca

L'Amant de cinq jours de Philippe de Broca

Fiche technique

  • Titre original : L'Amant de cinq jours
  • Réalisation : Philippe de Broca
  • Scénario : Daniel Boulanger et Philippe de Broca, d'après le roman éponyme de Françoise Parturier
  • Décors : Bernard Evein
  • Photographie : Jean Penzer
  • Son : Jean Labussière
  • Montage : Laurence Méry-Clark
  • Musique : Georges Delerue
  • Directeur de production : Louis Manella
  • Sociétés de production :
  • Drapeau : France Filmsonor Marceau, Mondex et Cie, Les Films Ariane
  • Drapeau : Italie Cineriz
  • Affiche : Yves THOS
  • Pays d’origine : France, Italie
  • Langue originale : français
  • Format : noir et blanc — 35 mm — 1,66:1 — son Mono
  • Genre : Comédie dramatique
  • Durée : 95 minutes
  • Date de sortie : France : 24 février 1961

Distribution

  • Jean Seberg : Claire
  • Micheline Presle : Madeleine
  • Jean-Pierre Cassel : Antoine
  • François Périer : Georges
  • Carlo Croccolo : Marius
  • Claude Mansard : Un invité
  • Albert Michel : Blanchet
  • Albert Mouton : Halavoine
  • Marcella Rovena : Madame Chanut
  • Sylvain : Le maître d'hôtel
  • Pierre Repp : Pépère
  • Gib Grossac : Chauffeur de taxi

La Chasse à l'homme

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La Chasse à l'homme est un film français réalisé par Édouard Molinaro, sorti en 1964. Dans un milieu bourgeois parisien, Antoine Monteil, jeune maquettiste en publicité, va épouser la fantasque Gisèle, une très jolie jeune femme du monde. Le meilleur ami du futur marié, Julien Brenot, statisticien, célibataire endurci et divorcé, tente obstinément de l'en dissuader lors de sa dernière soirée d'homme libre. Tous les arguments sont bons pour évoquer ses exploits et expériences malheureuses de couple et les péripéties de son aventure avec Denise Heurtin, 17 ans, secrétaire et vierge professionnelle. 

Juste avant le mariage, ils prennent un verre au bistrot de Fernand, ancien truand et maquereau, mari de Sophie, fille d'un patron de café. Quand Fernand lui décrit les avanies de la vie maritale, Antoine convaincu s'enfuit. Il part en solitaire faire la croisière grecque prévue pour le voyage de noce. Sur le bateau il rencontre la séduisante Françoise Bricart, alias Sandra Sadon, arnaqueuse professionnelle, qui le charme et finit par le dévaliser ; mais qu'il décide d'épouser. Avant le mariage, il croise Fernand qui vit désormais avec la très riche et plus très jeune Mme Armande. Quant à Julien, à peine entré dans la mairie, il est frappé par un irrésistible coup de foudre pour une jolie brune au doux regard.

La Chasse à l'homme d'Édouard MolinaroLa Chasse à l'homme d'Édouard Molinaro

La Chasse à l'homme d'Édouard Molinaro

Fiche technique

  • Titre : La Chasse à l'homme
  • Réalisation : Édouard Molinaro
  • Scénario : Michel Audiard et France Roche
  • Photographie : Andréas Winding
  • Son : Jean Rieul
  • Décors : François de Lamothe
  • Musique : Michel Magne et Giorgos Zambetas (en)
  • Montage : Monique Isnardon et Robert Isnardon
  • Production : Robert Amon
  • Sociétés de production : Filmsonor, Procinex, Mondex Films, Euro International Film (EIA)
  • Directeur de production : Marc Maurette
  • Pays d'origine : France, Italie
  • Format : Noir et blanc - 1,33:1 - Mono - 35 mm
  • Genre : Comédie
  • Durée : 100 minutes
  • Dates de sortie : 18 septembre 1964 (Italie), 29 septembre 1964 (France)

Distribution

  • Jean-Claude Brialy : Antoine Monteil
  • Françoise Dorléac : Françoise Bricart alias Sandra Sadon
  • Marie Laforêt : Gisèle, fiancée d'Antoine
  • Claude Rich : Julien Brenot
  • Jean-Paul Belmondo : Fernand
  • Catherine Deneuve : Denise Heurtin
  • Marie Dubois : Sophie
  • Hélène Duc : Mme Armande
  • Bernadette Lafont : Flora
  • Jacques Dynam : un truand
  • Tanya Lopert : Mauricette
  • Jacqueline Mille : Odette, sœur de Gisèle
  • Francis Blanche : Kino Papatakis
  • Bernard Blier : M. Heurtin
  • Mireille Darc : Georgina, une prostituée
  • Micheline Presle : Isabelle Lartois, maîtresse de Julien
  • Michel Serrault : Gaston Lartois
  • Noël Roquevert : le beau-père
  • Yvon Sarray : le père de Sophie
  • Patrick Thévenon : Hubert
  • Henri Attal : un truand
  • Dominique Zardi : un truand
  • Bernard Meunier : le copain de Sophie
  • Maurice Auzel : le barman
  • Adrien Cayla-Legrand : l'invité chez Walter

Le danseur du dessus

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Le Danseur du dessus (Top Hat) est un film musical américain de Mark Sandrich sorti en 1935. Horace Hardwick (Edward Everett Horton) est sur le point de produire un nouveau spectacle musical avec pour vedette le danseur américain Jerry Travers (Fred Astaire). Celui-ci se livre à un petit numéro de claquettes dans sa chambre d’hôtel et réveille la belle Dale Tremont (Ginger Rogers). Furieuse, elle vient frapper à sa porte bien décidée à faire cesser ce tapage nocturne, mais ils tombent sous le charme l’un de l’autre. Après l’accueil triomphal de la première, les principaux participants s’envolent pour Venise. S’ensuit toute une série de quiproquos amoureux ponctués çà et là par des numéros de danse jusqu’à la scène finale explicative où se retrouvent les danseurs pour un dernier ballet.

Le scénario est construit sur le schéma de La Joyeuse Divorcée (The Gay Divorcee), et renvoie à un monde raffiné fait de happy few. Le film demeure célèbre par son décor avec, notamment, la reconstitution de Venise en carton pâte. En effet les décors sont stylisés à l’extrême, avec de somptueux appartements tout en satin blanc, noir et blanc brillant et contrasté, tout concourt à célébrer Venise et son atmosphère de rêve.

Dans ce film, Fred Astaire perfectionne son personnage de danseur aérien que rien ne semble pouvoir arrêter, grâce aux chorégraphies de Hermes Pan permettant de passer de l’action aux numéros dansés sans aucune rupture de rythme. Irving Berlin composa une mélodie adaptée aux pas du couple Astaire/Rogers, au fur et à mesure de l’écriture du scénario. Un extrait de ce film est projeté au personnage John Coffey dans le film La Ligne verte.

Le danseur du dessus de Sandrich MarkLe danseur du dessus de Sandrich Mark

Le danseur du dessus de Sandrich Mark

Fiche technique

  • Titre : Le Danseur du dessus
  • Titre original : Top Hat
  • Réalisation : Mark Sandrich
  • Scénario : Dwight Taylor et Allan Scott
  • Production : Pandro S. Berman
  • Société de distribution : RKO Pictures
  • Budget : 609 000 $
  • Directeur de la photographie : David Abel
  • Direction artistique : Van Nest Polglase et Carroll Clark (associé)
  • Décors : Thomas K. Little
  • Costumes : Bernard Newman (robes)
  • Chorégraphie : Hermes Pan
  • Musique : Irving Berlin, Max Steiner
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Genre : film musical
  • Studio : RKO
  • Tourné en : noir et blanc 1.37:1
  • Durée : 101 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 30 août 1935 (première à New York), 6 septembre 1935 (sortie nationale), France : 4 mars 1936

Distribution

  • Fred Astaire : Jerry Travers
  • Ginger Rogers : Dale Tremont
  • Edward Everett Horton : Horace Hardwick
  • Helen Broderick : Madge Hardwick
  • Erik Rhodes : Alberto Beddini
  • Eric Blore : Bates
  • Tom Ricketts : le serveur du club Thackeray
  • Lucille Ball : la fleuriste
  • Gino Corrado (non crédité) : Le directeur de l'hôtel à Venise

Nominations et récompenses

  • 4 nominations aux Oscars : meilleur film, meilleurs décors, meilleure chanson (Cheek to Cheek), meilleure chorégraphie.
  • En 2004, la chanson "Cheek to Cheek" a été classée à la 15e place du classement AFI's 100 Years... 100 Songs des 100 meilleures chansons de films.

 

Les tontons farceurs

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Les Tontons farceurs (The Family Jewels) est un film américain de Jerry Lewis, sorti en 1965. Devenue orpheline, Donna, une petite fille riche et héritière, doit choisir parmi ses oncles celui qui deviendra son tuteur. Il importe de préciser que Donna va disposer d'un important héritage qui peut exercer une certaine attirance sur ses oncles, accompagné de son chauffeur Willar elle visitera chacun de ses oncles mais parfois les gens les plus proches peuvent être ceux sur qui on peut compter.

Les tontons farceurs de Jerry LewisLes tontons farceurs de Jerry Lewis

Les tontons farceurs de Jerry Lewis

Fiche technique

Titre : Les Tontons farceurs
Titre original : The Family Jewels
Réalisation : Jerry Lewis
Scénario : Jerry Lewis, Bill Richmond
Image : W. Wallace Kelley
Montage : John Woodcock
Musique : Pete King
Producteur : Jerry Lewis
Sociétés de production : Paramount Pictures, Jerry Lewis Productions
Distribution : Paramount Pictures
Langue : anglais
Pays d'origine : États-Unis
Genre : comédie
Durée : 99 minutes (1h 39)
Date de sortie : États-Unis 1er juillet 1965 - France 24 novembre 1965

Distribution

  • Jerry Lewis : Willard Woodward / James / Everet / Eddie / Julius / Skylock / Bugsy
  • Donna Butterworth : Donna Peyton
  • Sebastian Cabot : Dr. Matson
  • Neil Hamilton : L'avocat

Dannecker Theodor

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(1913--1945), SS officer who helped organize the deportation of Jews from Nazi-occupied Europe.

Abtransport jüdischer Männer ins Internierungslager der französischen Üplizei, Gare d'Austeritz, Paris, 15. Mai 1941, li. Theodor Dannecker, "Judenreferent" des Reichssischerungshauptamtes

Abtransport jüdischer Männer ins Internierungslager der französischen Üplizei, Gare d'Austeritz, Paris, 15. Mai 1941, li. Theodor Dannecker, "Judenreferent" des Reichssischerungshauptamtes

Born in Tubingen, Dannecker was trained as a lawyer. In 1937 he joined the staff of SS officer Adolf Eichmann, who ran the Jewish affairs department of the Reich Security Main Office (Reichssicherheitshauptamt, RSHA). In 1940 Dannecker was sent to Paris as Eichmann's representative advisor on Jewish affairs. In this position, he oversaw the amassing of names of French Jews who were then arrested in May and August 1941. In 1942 Dannecker came up with a set of regulations regarding the deportation of both native-born French Jews and Jewish immigrants, referring to the latter as "stateless" Jews. 

An extreme antisemite, Dannecker also strenuously encouraged the Vichy authorities to step up their deportation of Jews to the east. At the end of 1942 Eichmann called Dannecker back to the Berlin office as a punishment for Dannecker's abuses of power. He was quickly transferred to Bulgaria, where he arranged for the deportation of 11,000 Jews from Macedonia and Thrace. In October 1944 Dannecker was appointed by Eichmann as Jewish Commissioner in Italy. He stayed in Italy until the end of the war. In December 1945 Dannecker took his own life in an American prison camp. (For more on Vichy, see also France.) 

Trial of a monster: How justice caught up with evil Nazi mastermind behind holocaust

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THE past finally caught up with the man calling himself Ricardo Klement as he stepped off a bus in a nondescript suburb of Buenos Aires.

Adolf Eichmann on trial in 1961

Adolf Eichmann on trial in 1961

His protests that he was a foreman at a nearby Mercedes-Benz factory were ignored by the Mossad agents who had spent 15 years following a trail from the ruins of Nazi Germany. Eventually Klement admitted his real name was Adolf Eichmann.

The hunt for one of the masterminds of the Final Solution – Hitler’s attempt to exterminate the Jewish people – was over.

Eichmann had slipped away in the chaos at the end of the Second World War, hiding in Austria under a series of aliases before escaping with his family to Argentina.

Here Eichmann assumed he was safe but did not count on the determination of Israel’s intelligence service and Nazi hunter Simon Wiesenthal to bring the perpetrators of the Holocaust to justice.

Sedated and disguised as a flight attendant, Eichmann was smuggled to Israel. On May 23, 1960, prime minister David Ben-Gurion announced his arrest to the world.

The prosecution of Eichmann for genocide and other crimes the following year in Jerusalem was described as “the trial of the century”.

It was broadcast worldwide, including to the UK and Germany, becoming the first global TV event.

The gripping trial gave Holocaust survivors a voice and opened the eyes of the world to the horrors of concentration camps such as Auschwitz

At the time many people still did not believe the extent of Nazi crimes or thought first-hand accounts exaggerated.

The remarkable story is told next week in a BBC drama documentary that uses original footage from the period, including Eichmann behind a bullet-proof glass screen.

The trial began on April 11, 1961, with the haunting words of chief prosecutor Gideon Hausner. 

He said: “Here with me at this moment stand six million prosecutors but alas they cannot rise to level the finger of accusation in the direction of the glass dock and cry out ‘j’accuse’ against the man who sits there, because their ashes have been piled up in the mounds of Auschwitz. Their blood cries to heaven but their voices cannot be heard.”

Eichmann in his days as an SS officer

Eichmann in his days as an SS officer

Balding and bespectacled, Eichmann revealed no emotion as his crimes were outlined. “Not guilty,” he replied to every indictment. 

Behind the broadcasts were US producer Milton Fruchtman and veteran director Leo Hurwitz, played by Martin Freeman and Anthony LaPaglia. 

Each day reels of highlights were rushed to Jerusalem airport and dispatched to 37 countries for transmission.

The pair wanted to shed light on how an ordinary man such as Eichmann, who left school with no qualifications and sold petrol before the war, could order such monstrous acts. 

In 1944 after Germany invaded Hungary he travelled to Budapest with a special task force and personally directed the deportation of more than 425,000 Jewish people in the space of eight weeks, most of whom were murdered on arrival in Auschwitz.

However with its three-day opening address the trial got off to a slow start and the filming team worried it would be overshadowed on TV by the unfolding story of the US’s botched Bay of Pigs invasion of Cuba and Yuri Gagarin becoming the first man in space.

Audiences had dwindled after the novelty wore off of seeing Eichmann, who had gradually risen through the ranks of the Nazi party after joining in 1932, in the dock.

All that changed when the 112 witnesses began to give evidence. One described how he was forced to dig graves for the victims of gas chambers. He heard the screams of the dying, followed by silence. 

Later the dead were laid out beside trenches. One day he recognised people from his own town, including the bodies of his family. 

“I lay near my wife and two children and I wanted to be shot,” he said.

A female witness told how she watched her father beaten and shot dead. Then her child was taken from her arms and killed. 

Le fantôme de la rue morgue

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Le Fantôme de la rue Morgue (Phantom of the Rue Morgue) est un film américain réalisé par Roy Del Ruth, sorti en 1954 d'après la nouvelle Double assassinat dans la rue Morgue, écrite par Edgar Allan Poe en 1841. Un premier meurtre sanglant dont la victime est une jeune fille est commis Rue Morgue à Paris. D'autres crimes sont perpétrés dans la foulée (toujours de belles jeunes filles). Le commissaire Bonard chargé de l'enquête se perd en conjoncture et finit par accuser Georges, l'assistant de Marais, un biologiste de renom. Toutes les preuves semblent accabler le jeune homme, mais alors que ce dernier est incarcéré, un nouveau meurtre est commis…

Le fantôme de la rue morgueLe fantôme de la rue morgue

Fiche technique

  • Titre : Le Fantôme de la rue Morgue
  • Titre original : Phantom of the Rue Morgue
  • Réalisation : Roy Del Ruth
  • Scénario : Harold Medford et James R. Webb d'après Double Assassinat dans la rue Morgue d'Edgar Allan Poe
  • Production : Henry Blanke
  • Société de production : Warner Bros. Pictures
  • Musique : David Buttolph
  • Photographie : J. Peverell Marley
  • Costumes : Moss Mabry
  • Montage : James Moore
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Format : Couleurs - Mono
  • Genre : Fantastique
  • Durée : 83 minutes
  • Date de sortie : 19 mars 1954

Distribution

  • Karl Malden (V.F : Robert Dalban) : Dr Marais
  • Claude Dauphin : (V.F : Pierre Leproux) : Inspecteur Bonnard
  • Patricia Medina : (V.F : Nelly Benedetti) : Jeanette
  • Steve Forrest : (V.F : Roland Ménard) : Professeur Paul Dupin
  • Allyn Ann McLerie : Yvonne
  • Anthony Caruso : (V.F : Jean Clarieux) : Jacques
  • Merv Griffin : (V.F : Jean-Henri Chambois) : Georges Brevert
  • Paul Richards : (V.F : Raymond Loyer) : René, le lanceur de couteaux
  • Erin O'Brien-Moore : L'habilleuse
  • Rolphe Sedan : (V.F : Pierre Michau) : LeBon
  • Charles Gemora (non crédité) : Sultan, le gorille
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