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Track of the Cat

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Track of the Cat est un western américain réalisé par William A. Wellman et sorti en 1954. Dans un ranch isolé de montagne, une nuit un fauve attaque le troupeau. Une légende parle d'une panthère noire revenant tous les ans aux premières neiges. Curt et son frère Art partent voir ce qu'il en est, et trouvent 3 bêtes tuées. Ils décident de chasser le fauve, mais n'ayant pas prévu de vivres, Curt retourne au ranch pendant qu'Art suit la piste de la panthère. À son retour Curt trouve Art tué par le fauve, et le renvoie au ranch sur son propre cheval. Curt continue à pied et finit par se perdre. Curt tardant à rentrer, Ma Bridges demande à Harold, le 3e frère d'allumer un feu pour guider Curt. Curt qui commençait à paniquer aperçoit le feu et dans sa précipitation tombe dans une crevasse. Harold part à la recherche de Curt, le retrouve et tue la panthère.

Track of the Cat de William A. WellmanTrack of the Cat de William A. Wellman

Track of the Cat de William A. Wellman

Fiche technique

  • Titre : Track of the Cat
  • Réalisateur : William A. Wellman
  • Scénario : A.I. Bezzerides
  • Photographie : William H. Clothier
  • Musique : Roy Webb
  • Montage : Fred MacDowell
  • Producteurs : John Wayne et Robert Fellows
  • Assistant réalisateur : Andrew V. McLaglen
  • Pays : États-Unis
  • Durée : 102 minutes
  • Genre : Western
  • Date de sortie : 01/01/1954

Distribution

  • Robert Mitchum : Curt Bridges
  • Diana Lynn : Gwen Williams
  • Teresa Wright : Grace Bridges
  • Tab Hunter : Harold Bridges
  • Beulah Bondi : Ma Bridges
  • Philip Tonge : Pa Bridges
  • William Hopper : Arthur Bridges
  • Carl Switzer : Joe Sam

Lynn Diana

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Diana Lynn (7 octobre 1926 – 18 décembre 1971) était une actrice américaine.

Lynn Diana

Née Dolores Marie Loehr à Los Angeles en Californie, Lynn était considérée comme un enfant prodige pour ses capacités exceptionnelles à jouer du piano dès son plus jeune âge. À 12 ans, elle jouait avec le Los Angeles Junior Symphony Orchestra.

 

Filmographie

  • 1939 : Mélodie de la jeunesse (They Shall Have Music)
  • 1941 : Magie musicale (There's Magic in Music)
  • 1942 : Uniformes et jupons courts (The Major and the Minor) de Billy Wilder
  • 1942 : Au pays du rythme (Star Spangled Rhythm)
  • 1942 : Henry Aldrich Gets Glamour
  • 1944 : Henry Aldrich Plays Cupid
  • 1944 : Miracle au village (The Miracle of Morgan's Creek), de Preston Sturges
  • 1944 : Our Hearts Were Young and Gay
  • 1944 : Quatre flirts et un cœur (And the Angels Sing)
  • 1945 : Un cœur aux enchères (Out of This World)
  • 1945 : Duffy's Tavern
  • 1946 : Amazone moderne (The Bride Wore Boots)
  • 1946 : Our Hearts Were Growing Up
  • 1947 : Hollywood en folie (Variety girl)
  • 1947 : Easy Come, Easy Go
  • 1948 : L'Impitoyable (Ruthless)
  • 1948 : L'Archange de Brooklyn (Texas, Brooklyn and Heaven)
  • 1948 : La Course aux maris (Every Girl Should Be Married), de Don Hartman
  • 1949 : Ma bonne amie Irma (My Friend Irma)
  • 1950 : La rue de traverse (Paid in Full)
  • 1950 : Peggy
  • 1950 : Irma à Hollywood / L'amour est du voyage (My Friend Irma Goes West)
  • 1950 : La Revanche des Gueux (Rogues of Sherwood Forest)
  • 1951 : Le Peuple accuse O'Hara (The People Against O'Hara)
  • 1951 : Les Aventures de Bonzo (Bedtime for Bonzo)
  • 1952 : Le Joyeux Charlatan (Meet Me at the Fair)
  • 1953 : Les Pillards de Mexico (Plunder of the Sun)
  • 1954 : Track of the Cat
  • 1955 : An Annapolis Story
  • 1955 : Un pitre au pensionnat (You're Never Too Young)
  • 1955 : L'Homme du Kentucky (The Kentuckian)
  • 1970 : Les Meurtriers (Company of Killers)

Wright Teresa

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Teresa Wright, née le 27 octobre 1918 à Manhattan (New York) aux États-Unis et décédée le 6 mars 2005 à New Haven (Connecticut) d'une crise cardiaque, était une actrice américaine. Elle décroche l'Oscar du meilleur second rôle féminin en 1942 pour Madame Miniver.

Wright Teresa

Filmographie

  • 1941 : La Vipère (The Little Foxes) de William Wyler
  • 1942 : Madame Miniver (Mrs Miniver) de William Wyler
  • 1942 : Vainqueur du destin (The Pride of the Yankees) de Sam Wood
  • 1943 : L'Ombre d'un doute (Shadow of a Doubt) de Alfred Hitchcock
  • 1944 : Casanova le petit (Casanova Brown) de Sam Wood
  • 1946 : Les Plus Belles Années de notre vie (The Best Years of Our Lives) de William Wyler
  • 1947 : La Vallée de la peur (Pursued) de Raoul Walsh
  • 1947 : The Trouble with Women de Sidney Lanfield
  • 1947 : The Imperfect Lady de Lewis Allen
  • 1948 : Vous qui avez vingt ans (Enchantment) d'Irving Reis
  • 1950 : La Capture (The Capture) de John Sturges
  • 1950 : C'étaient des hommes (The men) de Fred Zinnemann
  • 1952 : L'Ivresse et l'Amour (Something to Live For) de George Stevens
  • 1952 : The Steel Trap d'Andrew L. Stone
  • 1952 : Californie en flammes (California conquest)) de Lew Landers
  • 1953 : The Actress de George Cukor
  • 1953 : Count the Hours de Don Siegel
  • 1954 : Track of the Cat de William Wellman
  • 1956 : The Search of Bridey Murphy de Noel Langley
  • 1957 : Escapade au Japon (Escapade in Japan) d'Arthur Lubin : Mary Saunders
  • 1958 : The Restless Years d'Helmut Käutner
  • 1969 : The Happy Ending de Richard Brooks : Mme Spencer
  • 1969 : Hail, Hero! de David Miller : Santha Dixon
  • 1977 : Roseland de James Ivory : May (The Waltz)
  • 1980 : Quelque part dans le temps (Somewhere in time) de Jeannot Szwarc : Laura Roberts
  • 1988 : Le Prix de la passion (The good mother) de Leonard Nimoy
  • 1993 : The Red Coat de Robin Swicord
  • 1997 : L'Idéaliste (The Rainmaker) de Francis Ford Coppola : Colleen Birdsong, « Miss Birdie »

Berthold Rudolf

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Rudolf Berthold (né le 24 mars 1891 et mort le 15 mars 1920 à Hambourg) est un As de l'aviation allemand de la Première Guerre mondiale
Berthold RudolfBerthold Rudolf

Il s'engage dans l'infanterie en 1910 et apprend à piloter à la fin de 1913. Deux ans et demi plus tard il est pilote de chasse et décroche d'emblée 5 victoires sur Pfalz E.IV. Souvent blessé pendant la guerre, Berthold avait pris l'habitude de reprendre le chemin du front avant même d'être totalement rétabli. Au mois d'août 1916, il dirige la Jasta 14 avant de céder le relais à Hans Buddecke, un poulain de Manfred von Richthofen. Berthold se voyant confier pour sa part le commandement du Jasta 18, fonction qu'il occupera jusqu'au 14 mai 1917. À cette date son Pfalz D.III est abattu et il s'en tire avec un nez cassé, une fracture du crâne, une autre du bassin et encore une blessure à la cuisse.

Berthold, désormais baptisé "le chevalier de fer" reprend du service au mois d'août avec la Jasta 18. Le 10 octobre, son bras droit est perforé par une balle lors d'un combat aérien, et il est à nouveau contrait au repos forcé. Au mois de janvier 1918, il obtient ses galons de capitaine et surtout se voit confier le Jagdgeschwader 2. Le 10 août, il élimine un D.H.4, sa 44e victime, mais son Fokker D.VII peint en bleu est aussi touché dans l'aventure et s'écrase après une collision avec une autre machine ennemie. Grièvement blessé, il quitte définitivement les combats.

Après la guerre, il fonde et dirige un corps franc nationaliste pour mater la rébellion des travailleurs démocrates et communistes qui étaient parti en grève contre le gouvernement tenu pour responsable des milliers de morts de la Grande Guerre ainsi que des problèmes socio-économiques qui minaient à l'époque le pays. Le 15 mars 1920 à Hambourg, à l'issue d'une bataille rangée entre ses hommes et des spartakistes, Rudolph Berthold est assassiné par un émeutier. Il aurait été étranglé avec le ruban de sa médaille "Pour le mérite".

Décorations

  • Prussian military pilot badge on 18 January 1915
  • Pour le Merite (Prussia, 12 October 1917)
  • Knight's Cross with Swords of the House Order of Hohenzollern (Prussia, 27 August 1916)
  • Prussian Iron Cross (1914), 1st (13 September 1914) and 2nd (4 October 1914) class
  • Military Merit Order, 4th class (Bayerisch Kriegsverdeinst-Orden) (Bavaria, 29 February 1916)
  • Knight's Cross of the Military Order of Saint Henry (Kingdom of Saxony, 8 April 1916)

 

Birkner Hans-Joachim

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Joachim Kirschner, né le 22 octobre 1921 à Schönwalde et mort le 14 décembre 1944 à Cracovie.

Birkner Hans-JoachimBirkner Hans-Joachim

Il était un as allemand de la Jagdgeschwader 52 de la Luftwaffe pendant la Seconde Guerre mondiale, connu pour ses 117 victoires revendiquées en 284 missions. Il vola souvent comme ailier d'Erich Hartmann. Il est mort lors d'un incident de moteur au décollage.

Décorations

  • Iron Cross (1939) 2nd and 1st Class
  • Ehrenpokal der Luftwaffe on 24 April 1944 as Fahnenjunker-Feldwebel and pilot
  • German Cross in Gold on 20 March 1944 as Fahnenjunker-Feldwebel in the 9./JG 52
  • Knight's Cross of the Iron Cross on 27 July 1944 as Fahnenjunker-Feldwebel and pilot in the 9./JG 52

 

Boelcke Oswald

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Oswald Boelcke était un pilote allemand, as de la Première Guerre mondiale (né le 19 mai 1891 à Giebichstein près de Halle, Allemagne - mort le 28 octobre 1916 près de Bapaume, France).

Boelcke OswaldBoelcke Oswald

Oswald Boelcke s'engage en 1911 comme élève officier (Fahnenjunker) au bataillon de télégraphie n°3 de Coblence. Il reçoit son baptême de l’air en juin 1913, à l'occasion d'une visite à l'aérodrome de Metz-Frescaty. Enthousiasmé par cette première expérience, il passe en mai 1914 dans l'unité de combat aérien de l'armée de Terre allemande (Fliegertruppe des Heeres), après avoir suivi une formation de pilote dans l'école de Halberstadt. Il vole d'abord comme observateur sur la ligne de front dans le groupe aérien (Fliegerabteilung) 13. Après diverses mutations, il est nommé en été 1915 à Douai où il fait la connaissance de Max Immelmann. Il remporte sa première victoire en combat aérien le 4 juillet 1915 contre un Morane Bullet.

À sa huitième victoire remportée avec Immelmann, l'empereur Guillaume II leur décerne la plus haute distinction prussienne pour courage face à l'ennemi (médaille Pour le Mérite, surnommée Blauer Max/Max Bleu en raison de sa couleur et en hommage à Max Immelmann). En mars 1916, au début de la bataille de Verdun, est créée le Kampf Einsitzer Kommando (KEK, groupe de combat sur monoplace) Sivry, embryon des futurs Jagdstaffel (Jasta), Jagdgeschwader et cirque volant. Elle était composée de cinq pilotes de combat et placée sous son commandement. Dans les semaines qui précédent la bataille de la Somme en 1916, l'état-major allemand se rend compte qu'il perd la supériorité aérienne face aux avions Nieuport et qu'une réorganisation des forces aériennes s'impose. Boelcke se voit confier cette tâche et est alors rappelé d'urgence d'une mission dans les Balkans pour laquelle il était parti suite à la mort d'Immelmann.

Son idée consiste à reformer les unités alors composées d'éléments mixtes. Chaque escadrille comprenait 12 avions répartis en deux groupes de six, subdivisés eux-mêmes en deux sous-groupes de trois. Leur tâche était d'abattre les avions de reconnaissance ennemis. Promu au grade de capitaine, il est autorisé à choisir les pilotes de sa première escadrille. La Jasta 2 est créée officiellement le 10 août 1916. Il est responsable non seulement du choix des pilotes mais aussi de leur formation et du matériel utilisé. Le 17 septembre 1916 est considéré comme la date officielle de la création de l'escadrille royale de Prusse. Pendant la formation des nouveaux pilotes, il était le seul à pouvoir voler. On raconte qu'il décollait au petit matin, le soleil dans le dos, pour pouvoir abattre un avion ennemi en profitant de l'aveuglement des pilotes adverses venant de l'ouest. Lorsqu'il revenait le menton noirci par la poudre, on savait qu'il avait été victorieux.

Il perfectionna la technique d'attaque frontale, volant face à l'adversaire jusqu'à ce que celui-ci effectue un dégagement par une manœuvre en évasive et se présente à lui sous son côté le plus vulnérable. Boelcke finit par être très vite connu de l'adversaire et les Britanniques savaient où le trouver. Ils bombardèrent plusieurs fois son aérodrome près de Lagicourt. Le 28 octobre 1916, il avait déjà effectué cinq missions avec son escadrille lorsqu'un nouvel appel du front parvint à 16 h 30. Dix minutes plus tard, lui et cinq autres pilotes décollaient avec leurs Albatros D.II. Ils engagèrent un combat aérien avec deux Airco DH.2 de la 24e escadrille pilotés par les lieutenants Knight et McKay.

Boelcke attaqua un avion sans remarquer que son ami le sous-lieutenant Erwin Böhme avait choisi la même cible. La partie inférieure du fuselage de son avion touche l'aile supérieure gauche de l'avion de Boelcke et tous deux s'écrasent au sol. Böhme survit à l'accident tandis que Boelcke meurt sur le coup. Dans sa hâte, il avait omis d'attacher sa ceinture, ce qui aurait pu lui sauver la vie. Les Britanniques larguèrent par la suite au-dessus du front une gerbe en son honneur. Sa tombe se trouve à Dessau-Roßlau. Boelcke a édicté plusieurs règles fondamentales du combat aérien : le Dicta Boelcke. Certaines sont toujours applicables de nos jours.

Décorations

Prussian / Imperial German

  • Pour le Mérite, 12 January 1916, after his eighth victory
  • Iron Cross, First Class, January 27, 1915, Second Class, December 10, 1914
  • Royal House Order of Hohenzollern, Knight’s Cross with Swords, 1 November 1916, after his sixth victory 
  • Lifesaving Medal, (12 December 1915), for saving Albert DePlace from drowning in the canal, 29 August 1915 
  • Naming of Boelcke Barracks in Koblenz
  • Honour cup for the winner in a dogfight (24 December 1915)

Duchy of Anhalt

  • House Order of Albert the Bear, Knight’s Cross, 1st and 2nd class
  • Friedrich Cross, 2nd class (31 January 1915)

Kingdom of Bavaria

  • Military Merit Order, 4th class with Swords (13 November 1915)

Other

  • Order of Bravery, 3rd class (Kingdom of Bulgaria, 9 August 1916) 
  • Turkish War Medal of 1915 (Ottoman Empire), awarded personally by Enver Pascha, 15 July 1916 
  • Imtiyaz Medal (Ottoman Empire)
  • Gallipoli Star (Ottoman Empire) ("Iron Crescent", 23 July 1916)
  • Saxe-Ernestine House Order, Knights Cross 1st class with Swords (31 July 1916)
  • Order of the Iron Crown, 3rd class with war decoration (Austria, 29 October 1916)
  • Knight of the Military Merit Order (Württemberg)

 

Le Paradis des mauvais garçons

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Le Paradis des mauvais garçons (Macao) est un film américain réalisé par Josef von Sternberg, sorti en 1952. Sur le bateau reliant Hong Kong à Macao, capitale du jeux et du crime, Lawrence Trumble, un policier sous couverture, Julie Benton, une chanteuse de cabaret et un ancien GI en cavale, Nick Cochran, font connaissance. Ils se retrouveront au Cabaret dirigé par Vincent Halloran, le parrain de la pègre local, où chante Julie. Cochran décide d'aider Trumble à arrêter Halloran, "un gros bonnet", propriétaire de nombreux établissements de jeux.

Josef von Sternberg fut contraint d'accepter de tourner ce film et son manque d'enthousiasme peut se percevoir dans le film. Il ne participe pas à l'écriture du scénario comme à son habitude. Macao, Le paradis des mauvais garçons peut être considéré comme un film de producteur, en l'occurrence Howard Hugues. Ce dernier en impose les deux vedettes : Robert Mitchum et Jane Russell, sa création, actrice qui le fascinait, contre l'avis de Von Sternberg. Gloria Grahame ne voulait pas tourner dans le film et elle fut forcée par Hugues

Vu le climat de plus en plus délétère entre Hugues et Von Sternberg, ce dernier est remercié et remplacé aux deux tiers du film par Nicholas Ray. Il termine et assure le montage du film mais ne sera pas mentionné au générique comme cela en était l'usage à l'époque. Comme ordonné par le producteur, Hugues, le film met très bien en valeur Jane Russell, scènes de chant dans le cabaret, sans toutefois exploiter son personnage.

Le Paradis des mauvais garçons de Josef von SternbergLe Paradis des mauvais garçons de Josef von Sternberg

Le Paradis des mauvais garçons de Josef von Sternberg

Fiche technique

  • Titre : Le Paradis des mauvais garçons
  • Titre original : Macao
  • Réalisation : Josef von Sternberg
  • Scénario : Stanley Rubin et Bernard C. Schoenfeld d'après un roman de Robert Creighton Williams
  • Production : Alex Gottlieb
  • Producteur exécutif : Samuel Bischoff et Howard Hughes
  • Société de production : RKO
  • Musique : Anthony Collins
  • Image : Harry J. Wild
  • Montage : Samuel E. Beetley (de) et Robert Golden
  • Direction artistique : Ralph Berger et Albert S. D'Agostino
  • Décors de plateau : Harley Miller et Darrell Silvera
  • Costumes : Michael Woulfe
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Format : Noir et blanc
  • Genre : Film noir
  • Durée : 81 minutes
  • Date de sortie : 30 avril 1952 (États-Unis)

Distribution

  • Robert Mitchum (VF : Roger Tréville) : Nick Cochran
  • Jane Russell (VF : Jacqueline Ferrière) : Julie Benson
  • William Bendix (VF : Fernand Rauzena) : Lawrence C. Trumble
  • Thomas Gomez (VF : Georges Hubert) : Lieutenant Sebastian
  • Gloria Grahame (VF : Gisèle Franck) : Margie
  • Brad Dexter (VF : Jacques Beauchey) : Vincent Halloran
  • Edward Ashley (VF : Maurice Dorléac) : Martin Stewart
  • Philip Ahn : Itzumi
  • Vladimir Sokoloff (VF : Albert Montigny) : Kwan Sum Tang
  • Michael Visaroff (non crédité) : Portier russe
  • Truman Bradley (VF : Jean-Claude Michel) : le narrateur

La Femme de l'autre

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La Femme de l'autre (titre original : Desire Me) est un film américain réalisé par George Cukor, puis par Mervyn LeRoy, sorti en 1947. L’histoire est inspirée d’un roman de Leonhard Frank, Karl et Anna. Marise Aubert aime son mari, Paul (Robert Mitchum), mais souffre d'un sentiment de culpabilité qu’elle confie au Dr Leclair (Cecil Humphreys), psychiatre. L’annonce de la mort de son mari, tué par les Allemands la bouleverse. Jean (Richard Hart), un ami de Paul, aide marie Marise Aubert à surmonter sa peine et finit par la séduire. Mais un jour, Paul réapparaît... Désavoué par ses deux réalisateurs, ce film est l'un des rares à ne pas faire mention de cette information au générique.

La Femme de l'autre de George Cukor, Mervyn LeRoy, Jack Conway et Victor SavilleLa Femme de l'autre de George Cukor, Mervyn LeRoy, Jack Conway et Victor Saville
La Femme de l'autre de George Cukor, Mervyn LeRoy, Jack Conway et Victor SavilleLa Femme de l'autre de George Cukor, Mervyn LeRoy, Jack Conway et Victor Saville

La Femme de l'autre de George Cukor, Mervyn LeRoy, Jack Conway et Victor Saville

Fiche technique

  • Titre : La Femme de l'autre
  • Titre original : Desire Me
  • Réalisation : George Cukor, Mervyn LeRoy, Jack Conway et Victor Saville (non crédités)
  • Scénario : Zoe Akins et Marguerite Roberts d'après la pièce Karl and Anna de Leonhard Frank
  • Adaptation : Casey Robinson
  • Production : Arthur Hornblow Jr.
  • Société de production et de distribution : MGM
  • Décorateurs de plateau : Paul Huldschinsky et Edwin B. Willis
  • Photographie : Joseph Ruttenberg
  • Musique : Herbert Stothart
  • Direction artistique : Cedric Gibbons et Urie McCleary
  • Costumes : Irene et Valles
  • Montage : Joseph Dervin
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Format : Noir et blanc – 35 mm – 1,37:1 – Mono (Western Electric Sound System)
  • Genre : drame
  • Durée : 91 minutes
  • Date de sortie : États-Unis : 31 octobre 1947, France : 14 septembre 1948 (Paris)

Distribution

  • Greer Garson in Desire Me.JPG
  • Greer Garson : Marise Aubert
  • Robert Mitchum : Paul Aubert
  • Richard Hart : Jean Renaud
  • Morris Ankrum : Hector Martin
  • George Zucco : Père Donnard
  • Cecil Humphreys : Dr André Leclair
  • David Hoffman : Alex

Pendez-moi haut et court

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Jeff Markham, détective privé, chargé par le truand Whit Sterling de lui ramener sa maîtresse enfuie avec un magot de 40 000 dollars, tombe amoureux d'elle. Mais pris dans un imbroglio, Jeff Markham doit finalement se terrer dans une petite ville. Après plusieurs années, Jeff, devenu pompiste, est retrouvé par Whit, bien décidé à se faire payer sa dette. Jeff Markham est pompiste dans une petite ville. Il est abordé par un homme qui se révèle une des ses anciennes connaissances. L'homme déclare à Jeff que Whit Sterling, un ancien employeur, a retrouvé sa trace et entend bien se faire payer une dette que Jeff a envers lui. Jeff accepte de le revoir. Le soir venu, Jeff retrouve sa petite amie et lui révèle son passé. Le film entre alors dans un long flash-back : alors qu'il était détective privé, Jeff avait été chargé par le truand Whit Sterling de lui ramener sa maîtresse, Kathie Moffett, enfuie avec un magot de 40 000 dollars.

Il avait retrouvé la trace de Kathie au Mexique ; elle lui avait déclaré n'avoir jamais pris les 40 000 dollars mais avoir fui Whit Sterling qui la terrorisait. Amoureux, Jeff et Kathie s'étaient enfui mais l'ancien associé de Jeff les avait retrouvés et tenté de les faire chanter : la dénonciation à Whit Sterling ou les 40 000 dollars. Une bagarre s'en était suivi où l'ex-associé avait été abattu d'un coup de revolver par Kathie. Jeff, consterné, avait cherché à faire disparaître le corps quand il avait entendu la porte claquer : Kathie s'était enfuie, le laissant seul. Ayant regardé dans les affaires de la jeune femme, Jeff y avait retrouvé un reçu bancaire de 40 000 dollars. Le flash-back se termine. Jeff est donc reçu par Whit Sterling qui lui propose d'effacer sa dette contre un service : reprendre des documents compromettants pour lui.

Selon des documents de RKO conservés dans les collections de l'UCLA, Pat O'Brien avait été envisagé pour jouer le premier rôle puis, en octobre 1945, John Garfield fut engagé dans le cadre d'un contrat avec le studio portant sur un film par an et le scénario fut réécrit en conséquence. Deux mois plus tard, Dick Powell fut annoncé comme la vedette du film, avec Edward Dmytryk comme réalisateur. À la suite d'un problème de planning avec la coproduction So Well Remembered , Dmytryk fut remplacé par Jacques Tourneur lors de l'été 1946.

Pendez-moi haut et court de Jacques TourneurPendez-moi haut et court de Jacques Tourneur

Pendez-moi haut et court de Jacques Tourneur

Fiche technique

  • Titre original : Out of the Past (littéralement : surgi du passé)
  • Titre français : Pendez-moi haut et court / La Griffe du passé
  • Réalisateur : Jacques Tourneur
  • Scénario : Daniel Mainwaring, James Cain et Frank Fenton, adapté de Build My Gallows High, roman écrit en 1946 par Geoffrey Homes qui participe à l'élaboration du script sous son vrai nom (Daniel Mainwaring).
  • Direction artistique : Albert S. D'Agostino et Jack Okey
  • Décors : Darrell Silvera
  • Costumes : Edward Stevenson
  • Photographie : Nicholas Musuraca
  • Son : Francis M. Sarver, Clem Portman
  • Musique : Roy Webb
  • Montage : Samuel E. Beetley (de)
  • Production : Warren Duff
  • Production exécutive : Robert Sparks
  • Société de production : RKO Pictures
  • Société de distribution : RKO Pictures
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue originale : anglais
  • Format : noir et blanc – 35 mm – 1,37:1 – mono (RCA Sound System)
  • Durée : 97 minutes
  • Genre : film noir
  • Dates de sortie : États-Unis : 13 novembre 1947, France : 30 mars 1949

Distribution

  • Robert Mitchum : Jeff Bailey / Jeff Markham
  • Jane Greer : Kathie Moffett
  • Kirk Douglas : Whit Sterling
  • Rhonda Fleming : Meta Carson
  • Richard Webb : Jim Caldwell
  • Steve Brodie : Jack Fisher
  • Virginia Huston : Ann Miller
  • Dickie Moore : Le Kid
  • Paul Valentine : Joe Stefanos
  • Ken Niles : Leonard Eels
  • Theresa Harris (non créditée) : Eunice Leonard

Le Dernier de la liste

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Le Dernier de la liste (Titre original : The List of Adrian Messenger) est un film américain réalisé par John Huston en 1963, produit par Universal Pictures. Adrian Messenger remet à son ami Anthony Gethryn, ancien des Services Secrets britanniques, une mystérieuse liste de noms. Peu après, il meurt dans un "accident" d'avion. Gethryn mène l'enquête... L'intrigue est aussi complexe que celle du Faucon maltais, mais le film est plus une curiosité qu'un chef-d'œuvre dans l'abondante filmographie de John Huston. Celui-ci s'est manifestement beaucoup amusé en tournant Le Dernier de la liste (où l'aspect criminel côtoie l'humour), de même que les quatre acteurs de prestige rendus méconnaissables dans des rôles - secondaires ! - grimés (qui tombent les masques dans la séquence finale), sans oublier Kirk Douglas dans quatre rôles différents, dont certains également grimés.

Le Dernier de la liste de John HustonLe Dernier de la liste de John Huston

Le Dernier de la liste de John Huston

Fiche technique

  • Titre : Le Dernier de la liste
  • Titre original : The List of Adrian Messenger
  • Réalisateur : John Huston
  • Scénario : Anthony Veiller, d'après le roman homonyme de Philip MacDonald
  • Photographie : Joe Mac Donald et Ted Scaife
  • Direction artistique : Alexander Golitzen
  • Décors : Oliver Emert
  • Musique : Jerry Goldsmith
  • Montage : Terry O. Morse
  • Production : Edward Lewis
  • Genre : Film policier
  • Format : noir et blanc
  • Durée : 94 minutes
  • Date de sortie : États-Unis : 29 mai 1963

Distribution

  • George C. Scott : Anthony Gethryn
  • Dana Wynter : Lady Jocelyn Bruttenholm
  • Clive Brook : Le Marquis de Gleneyre
  • Herbert Marshall : Sir Wilfred Lucas
  • Kirk Douglas : Le vicaire Atlee/George Brougham/Mr Pythian/Arthur Henderson
  • John Merivale : Adrian Messenger
  • Marcel Dalio : Max Karoudjian
  • Gladys Cooper : Mrs Karoudjian
  • Bernard Archard : L'inspecteur Pike
  • Jacques Roux : Raoul Le Borg
  • Tony Huston (crédité Walter Anthony Huston) : Derek Bruttenholm
  • Noel Purcell (non crédité) : Un campagnard
  • Et (méconnaissables car grimés) : Tony Curtis, Burt Lancaster, Robert Mitchum, Frank Sinatra

Rivière sans retour

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Rivière sans retour1 (River of No Return) est un film américain réalisé par Otto Preminger, sorti en 1954. Après une absence de plusieurs années, Matthew Calder arrive dans un camp de chercheurs d'or pour retrouver son fils, Mark, qui y erre depuis la mort de sa mère. Là, le garçon de 9 ans vit sous l'aile d'une chanteuse de bar : Kay. Le père promet à son fils une vie de chasse et de pêche, loin de la fièvre de l'or. Tous deux quittent le village et partent s'installer dans la vallée. Kay et son fiancé, Harry Weston, un joueur de cartes, rêvent eux aussi d'une vie meilleure. Celui-ci voit sa chance surgir lorsqu'il gagne une propriété minière au poker. C'est l'occasion pour lui d'enfin devenir riche. Le couple part alors à Council City pour y enregistrer le bien. Ils construisent pour cela un radeau de fortune qui leur permettra de descendre la rivière jusqu'à la ville.

Les deux amants se retrouvent pris dans des rapides et perdent le contrôle de leur embarcation. Heureusement, le cours d'eau passe juste à côté de la ferme isolée que Matt et son fils ont démarrée. Ceux-ci parviennent à sauver le couple de la noyade. Matt apprend à Harry qu'il ne peut pas atteindre la ville en passant par l'eau, car les rapides et cascades sont trop dangereux. Harry assomme alors son sauveur, lui vole son fusil et son cheval, et continue son chemin par les terres. Kay décide de ne pas l'accompagner mais de l'attendre à la ferme pour s'occuper de Matt qu'il a blessé. Les trois protagonistes se retrouvent seuls dans la vallée. Sans arme et sans cheval, ils sont sous la menace des indiens qui rôdent dans la région. Ceux-ci ne tardent pas à les attaquer. Ils n'ont qu'une solution : fuir par la rivière en reprenant le radeau. Tandis qu'ils s'éloignent, les indiens brûlent la ferme. Matt décide de se rendre à Council City pour y retrouver son agresseur.

Alors qu'ils sont arrêtés sur la rive pour passer la nuit, Kay tente de convaincre Matt que Harry n'est pas un mauvais homme. Elle révèle que Matt a passé des années en prison pour avoir tué un homme dans le dos. Mark surprend la conversation et apprend ainsi pourquoi son père est resté absent si longtemps. L'homme explique alors à son fils qu'il a été contraint de commettre cet acte pour sauver la vie d'un ami. Lors d'un nouvel accostage, les trois voyageurs rencontrent Dave Colby et Sam Benson. C'est à l'un d'eux que Harry a pris la propriété aurifère. Ils sont dès lors eux aussi à sa poursuite. Alors qu'ils tentent de kidnapper Kay, Matt les désarme et les oblige à fuir. Il garde un de leurs fusils afin de pouvoir se protéger le reste du trajet. Il en trouve l'utilité rapidement puisque, alors qu'ils naviguent tous les trois sur la rivière, des indiens les attaquent à nouveau depuis les rives.

Après avoir vaincu les nombreux obstacles, ils arrivent à Council City. Là, Matt accepte de laisser à Kay le temps de parler à Harry avant que les deux hommes ne se confrontent. Elle tente de calmer son fiancé mais celui-ci ne l'écoute pas et dégaine dès qu'il aperçoit Matt. Alors qu'il est sur le point de le tuer, c'est Mark qui abat le gredin d'une balle dans le dos. Le garçon sauve la vie de son père de la même manière que son père a été envoyé en prison. Ce film marque la rencontre de deux des plus grandes stars d'Hollywood : Robert Mitchum et Marilyn Monroe. Unique western réalisé par Otto Preminger, ce film est tourné dans les décors naturels des parcs nationaux de Banff et de Jasper au Canada. C'est surtout un des tout premiers films à être tourné en CinemaScope, avec un ratio de 2,55:1. Il s'agissait alors pour le cinéma américain d'enrayer la montée en puissance de la télévision en procurant au spectateur des sensations visuelles que la télévision ne pouvait lui offrir. Les chansons qui émaillent le film, River of No Return, I'm Gonna File My Claim, One Silver Dollar et Down in the Meadow sont interprétées par Marilyn Monroe.

Rivière sans retour d'Otto PremingerRivière sans retour d'Otto Preminger

Rivière sans retour d'Otto Preminger

Fiche technique

  • Titre original : River of no Return
  • Titre français : Rivière sans retour
  • Réalisation : Otto Preminger
  • Montage : Louis R. Loeffler
  • Scénario : Frank Fenton, Louis Lantz
  • Musique : Cyril J. Mockridge, Lionel Newman
  • Directeur de la photographie : Joseph LaShelle
  • Costumes : Travilla et Charles Le Maire
  • Production : Stanley Rubin
  • Distribution : 20th Century Fox
  • Date de sortie : 30 avril 1954
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Genre : Western
  • Format : Couleurs Technicolor - 2,55:1 (CinémaScope)
  • Durée : 91 minutes

Distribution

  • Robert Mitchum (VF : Roger Tréville) : Matt Calder
  • Marilyn Monroe (VF : Claire Guibert) : Kay Weston
  • Rory Calhoun (VF : Lucien Bryonne) : Harry Weston
  • Tommy Rettig (VF : Linette Lemercier) : Mark Calder
  • Murvyn Vye : Dave Colby
  • Douglas Spencer : Sam Benson
  • Don Beddoe (VF : Paul Ville) : Ben
  • Will Wright : Un Commerçant (non crédité)
  • Barbara Nichols : Une danseuse (non créditée)

La Sorcière blanche

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La Sorcière blanche (White Witch Doctor) est un film américain d'Henry Hathaway sorti en 1953. L'infirmière Ellen Burton arrive au Congo belge, mais elle ne plaît guère à John "Lonni" Douglas, qui capture des animaux pour le compte des zoos. Il lui déconseille le voyage qu'elle souhaite entreprendre en remontant le fleuve pour se joindre à une médecin qui y travaille avec une tribu locale. Alors que Lonni manque d'argent, son partenaire Huysman lui apprend qu'il y a probablement un gisement d'or dans la région où Ellen s'apprête à se rendre. Lonni change donc d'attitude se porte volontaire pour se joindre à elle. Ils sont accompagnés par Jacques, un bon tireur qui peut aider à assurer leur sécurité.

Ellen est veuve. Dans le passé, son mari, qui était médecin, rêvait de venir en Afrique pour y prodiguer ses soins, mais elle l'en avait découragé. Elle rencontre une femme pratiquant la médecine traditionnelle et la sorcellerie et la persuade de ne pas tuer une femme qui a un abcès à une dent. La sorcière, en colère contre Ellen, place une tarentule à la piquûre mortelle dans sa tente. Le médecin qu'Ellen devait aider est mort de fièvre. Lonni sauve le fils du roi d'un lion et Ellen soigne ses blessures, ce qui les met dans les bonnes grâces du roi. Mais celui-ci prend Ellen en otage lorsque Huysman, lourdement armé, arrive en quête du gisement d'or. Les hommes de Huysman assomment et enferment Lonni et le ligotent, mais Jacques se sacrifie pour sauver la vie de Lonni, qui revient se joindre à Ellen pour de bon.

La Sorcière blanche d'Henry HathawayLa Sorcière blanche d'Henry Hathaway

La Sorcière blanche d'Henry Hathaway

Fiche technique

  • Titre : La Sorcière blanche
  • Titre original : White Witch Doctor
  • Réalisation : Henry Hathaway
  • Producteur : Otto Lang
  • Société de production : 20th Century Fox
  • Scénario : Ivan Goff et Ben Roberts d'après le roman de Louise A. Stinetorf
  • Photographie : Leon Shamroy
  • Musique : Bernard Herrmann
  • Direction artistique : Mark-Lee Kirk et Lyle R. Wheeler
  • Costumes : Dorothy Jeakins et Charles Le Maire
  • Montage : James B. Clark
  • Pays : États-Unis
  • Format : Technicolor - Son : Mono (Western Electric Recording)
  • Durée : 96 minutes
  • Genre : Aventures
  • Date de sortie : 1er juillet 1953 (USA)

Distribution

  • Susan Hayward : Ellen Burton
  • Robert Mitchum : John 'Lonni' Douglas
  • Walter Slezak : Huysman
  • Mashood Ajala : Jacques
  • Joseph C. Narcisse : Utembo
  • Elzie Emanuel : Kapuka
  • Timothy Carey : Jarrett
  • Otis Greene : Bakuba boy
  • Michael Ansara (non crédité) : De Gama
  • Charles Gemora (non crédité) : le gorille

Un si doux visage

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Un si doux visage (Titre original : Angel Face) est un film américain réalisé par Otto Preminger, sorti en 1952. Un ambulancier est contacté par la famille Tremayne à la suite de « l'accident » dont est victime la maîtresse de maison. Engagé comme chauffeur, il tombe sous le charme de la belle-fille de Mme Tremayne, Diane, dont le visage angélique semble cacher de noirs desseins. « Un sujet de style Série blême dont la mode faisait fureur dans les années 50. Un personnage de femme maléfique qui se rattache à la misogynie hollywoodienne de la même époque. Sur ces schémas de genre, Otto Preminger a construit un récit d’une admirable rigueur et donné une grande ambigüité à ses personnages qui échappent ainsi aux définitions toutes faites. Jean Simmons et Robert Mitchum ne se laissent pas oublier. »— Jacques Siclier, Télérama, 23 juillet 1967

 

Un si doux visage d'Otto PremingerUn si doux visage d'Otto Preminger

Un si doux visage d'Otto Preminger

Fiche technique

  • Titre : Un si doux visage
  • Titre original : Angel Face
  • Réalisateur : Otto Preminger
  • Scénariste : Oscar Millard (en), Frank Nugent et Ben Hecht (non crédité) d'après une histoire originale de Chester Erskine
  • Musique originale : Dimitri Tiomkin
  • Directeur de la photographie : Harry Stradling Sr.
  • Montage : Frederic Knudtson
  • Direction artistique : Carroll Clark et Albert S. D'Agostino
  • Décors de plateau : Jack Mills et Darrell Silvera
  • Costumes : Michael Woulfe
  • Producteur : Otto Preminger
  • Société de production : RKO Pictures
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Format : Noir et blanc - Son : Mono (RCA Sound System)
  • Genre : Film noir
  • Durée : 91 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 11 décembre 1952, France : 27 mars 1953

Distribution

  • Robert Mitchum : Frank Jessup
  • Jean Simmons : Diane Tremayne
  • Mona Freeman : Mary Wilton
  • Herbert Marshall : M. Charles Tremayne
  • Leon Ames : Fred Barrett
  • Barbara O'Neil : Mme Catherine Tremayne
  • Kenneth Tobey : Bill Crompton
  • Raymond Greenleaf : Arthur Vance
  • Griff Barnett : Le juge
  • Robert Gist : Miller
  • Morgan Farley : Juré
  • Jim Backus : Judson, le procureur général

Acteurs non crédités

  • Theresa Harris : Theresa, l'infirmière
  • Buck Young

O'Neil Barbara

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Barbara O'Neil (parfois créditée Barbara O'Neill) est une actrice américaine, née à Saint-Louis (Missouri) le 17 juillet 1910, décédée à Cos Cob (Greenwich, Connecticut) le 3 septembre 1980.

O'Neil Barbara

Au cinéma, Barbara O'Neil tourne 17 films (américains, sauf le dernier, italien) entre 1937 et 1971. Elle obtient notamment le rôle d’Ellen O'Hara, mère (à 28 ans !) de Scarlett O'Hara dans Autant en emporte le vent (1939). À la télévision, elle participe à quelques séries de 1954 à 1957. Au théâtre, elle joue dans des pièces à Broadway entre 1932 et 1960.

 

Filmographie

  • 1937 : Stella Dallas de King Vidor
  • 1938 : Love, Honor and Behave de Stanley Logan
  • 1938 : I Am the Law d'Alexander Hall
  • 1938 : Frou-Frou (The Toy Wife) de Richard Thorpe
  • 1939 : Autant en emporte le vent (Gone with the Wind) de Victor Fleming, George Cukor et Sam Wood
  • 1939 : La Tour de Londres (Tower of London) de Rowland V. Lee
  • 1939 : Veillée d’amour (When tomorrow comes) de John M. Stahl
  • 1939 : The Sun Never Sets de Rowland V. Lee
  • 1940 : L'Étrangère (All this, and Heaven too) d'Anatole Litvak
  • 1941 : Shining Victory d'Irving Rapper
  • 1948 : Tendresse (I remember Mama) de George Stevens
  • 1948 : Le Secret derrière la porte (Secret beyond the Door) de Fritz Lang
  • 1949 : Le Mystérieux docteur Korvo (Whirpool) d'Otto Preminger
  • 1952 : Un si doux visage (Angel Face) d'Otto Preminger
  • 1956 : La Femme du hasard (Flame of the Island) d'Edward Ludwig
  • 1959 : Au risque de se perdre (The Nun's Story) de Fred Zinnemann
  • 1971 : Leoni di Petersburgo de Mario Siciliano

Théâtre (pièces à Broadway)

  • 1932 : Carry Nation de Frank McGrath, mise en scène de Blanche Yurka, avec Esther Dale, Joshua Logan, Mildred Natwick, James Stewart
  • 1933 : Forsaking all Brothers d'Edward Roberts et Frank Cavett, mise en scène par Thomas Mitchell, avec Tallulah Bankhead, Cora Witherspoon
  • 1934 : Mother Lode de Dan Totheroh et George O'Neil, avec Thomas Chalmers, Melvyn Douglas (également metteur en scène), Beulah Bondi, Tex Ritter
  • 1935 : Reprise de W.D. Bristol
  • 1936 : Ten Million Ghosts de Sidney S. Kingsley, avec George Coulouris, Orson Welles
  • 1942-1943 : The Willow and I de John Patrick, avec Gregory Peck, Martha Scott, Cora Witherspoon
  • 1943 : Counterattack de Janet et Philip Stevenson, d'après Ilyia Vershinin et Mikhaïl Ruderman, avec Richard Basehart, Karl Malden
  • 1944-1945 : The Searching Wind de Lillian Hellman, avec Montgomery Clift
  • 1945-1946 : Deep are the Roots d'Arnaud D'Usseau et James Gow, mise en scène par Elia Kazan, avec Barbara Bel Geddes, Lloyd Gough, Charles Waldron
  • 1950-1952 : Affairs of State de (et mise en scène par) Louis Verneuil, avec Celeste Holm, Reginald Owen
  • 1954 : Portrait de femme (The Portrait of a Lady), adaptation par William Archibald du roman éponyme d'Henry James, mise en scène par José Quintero, avec Jennifer Jones, Cathleen Nesbitt, Robert Flemyng
  • 1960 : Little Moon of Alban de James Costigan, avec Julie Harris, Robert Redford

Passion sous les tropiques

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Passion sous les tropiques (Second Chance) est un film américain réalisé par Rudolph Maté, sorti en 1953. Ce film a donné un fait divers qui s'est produit lors du tournage. Les deux acteurs, Robert Mitchum et Jack Palance, sont dans un bar mexicain à discuter à haute voix et à se moquer allègrement des soldats du lieu. Des militaires sont présents dans le bar. L'un d'eux, par malheur, comprend parfaitement l'américain. Il saisit son fusil et menace de faire sauter la tête des Etrangers. Les deux acteurs ne devront leur salut qu'à une fuite précipitée... Toutefois, l'équipe de tournage continue de travailler dans une ambiance assez houleuse et hostile de la part des autochtones.

Passion sous les tropiques de Rudolph MatéPassion sous les tropiques de Rudolph Maté

Passion sous les tropiques de Rudolph Maté

Fiche technique

  • Titre : Passion sous les tropiques
  • Titre original : Second Chance
  • Réalisation : Rudolph Maté
  • Producteurs : Sam Wiesenthal et Howard Hughes
  • Producteur exécutif : Edmund Grainger
  • Société de production : RKO
  • Distribution : RKO
  • Scénario : Oscar Millard, Robert Presnell Sr. et Sydney Boehm d'après le roman de D.M. Marshman Jr.
  • Musique : Roy Webb
  • Photographie : William E. Snyder
  • Montage : Robert Ford et Albrecht Joseph (non crédité)
  • Direction artistique : Carroll Clark et Albert S. D'Agostino
  • Décors de plateau : F. Keogh Gleason et Darrell Silvera
  • Costumes: Michael Woulfe
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Format : Couleur (Technicolor) - Son : 3 Channel Stereo (RCA Sound System)
  • Genre : Thriller
  • Durée : 82 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 18 juillet 1953 ; France : 12 février 1954

Distribution

  • Robert Mitchum (VF : Roger Tréville) : Russ Lambert
  • Linda Darnell (VF : Claire Guibert) : Clare Shepperd
  • Jack Palance (VF : Marc Valbel) : Cappy Gordon
  • Roy Roberts (VF : Jacques Berlioz) : Charley Malloy
  • Dan Seymour (VF : Jean-Henri Chambois) : Felipe
  • Fortunio Bonanova : Mandy
  • Sandro Giglio : Le Conducteur
  • Reginald Sheffield (VF : Lucien Bryonne) : Mr Woburn
  • Margaret Brewster : Mme Woburn
  • Rodolfo Hoyos Jr (VF : Albert Augier) : Vasco
  • Martin Garralaga (VF : Gérard Férat) : don Pascual
  • George Chakiris : Le Villageois (non crédité)

Ça commence à Vera Cruz

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Ça commence à Vera Cruz (The Big Steal) est un film américain de Don Siegel, sorti en 1949. Poursuivi par le capitaine Blake (William Bendix), le lieutenant Duke Halliday (Robert Mitchum) débarque à Vera Cruz. Ce dernier, accusé d'avoir volé de l'argent à l'armée, doit prouver son innocence au plus vite. La charmante Jane (Jane Greer) lui vient en aide. "Nous avons fait (ce film) uniquement parce que Robert Mitchum était en prison pour usage de stupéfiants, et que le studio devait prouver qu’il l’employait légitimement. Toutes les fins de scène étaient tournées avec William Bendix sans feuilles aux arbres, parce que Mitchum était absent et que c’était l’hiver. Tous les débuts de scène furent filmés à son retour et sous de denses frondaisons. On a attendu Bob avec impatience, mais quand il s’est montré, ce fut en toute beauté. Nous étions là, au Mexique, dans le pays de la marijuana, mais lui, par un étrange esprit de contradiction, est arrivé complètement saoul de tequila, et il est tombé comme une masse, ivre mort. Il a fallu attendre qu’il se dessoûle pour commencer. Vous ne devez pas juger ce film à un très haut niveau. Son standard est modeste. Nous sommes allés au Mexique, et on s’y est amusé, un point c’est tout" (Don Siegel)

 

Ça commence à Vera Cruz de Don SiegelÇa commence à Vera Cruz de Don Siegel

Ça commence à Vera Cruz de Don Siegel

Fiche technique

  • Titre : Ça commence à Vera Cruz
  • Titre original : The Big Steal
  • Réalisation : Don Siegel
  • Production : Jack J. Gross
  • Scénario : Geoffrey Homes, Gerald Drayson Adams
  • Production exécutive : Sid Rogell
  • Photographie : Harry J. Wild
  • Décors : Darrell Silvera, Harley Miller
  • Direction artistique : Albert S. D'Agostino, Ralph Berger
  • Costumes : Edward Stevenson (non crédité)
  • Musique : Leigh Harline
  • Direction musicale : C. Bakaleinikoff
  • Montage : Samuel E. Beetley (de)
  • Son : Phil Brigandi, Clem Portman
  • Maquillage : Gordon Bau
  • Conseiller technique : Salvador Baguez
  • Pays : États-Unis
  • Format : noir et blanc, son mono
  • Genre : film noir
  • Durée : 71 minutes

Distribution

  • Robert Mitchum : Lieutenant Duke Halliday
  • Jane Greer : Jane Fiske
  • William Bendix : Capitaine Blake
  • Patric Knowles : Jim Fiske
  • Ramón Novarro
  • Don Alvarado
  • John Qualen
  • Pascual Garcia Pena

Trahison à Athènes

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Trahison à Athènes (The Angry Hills) est un film en coproduction américano-britannique réalisé par Robert Aldrich et sorti en 1959. Mike Morrisson, correspondant de guerre, reçoit la visite du docteur Stergiou qui lui demande de faire parvenir au gouvernement britannique la liste des responsables de la résistance grecque. Mike refuse tout d'abord, mais, apprenant la mort de Stergiou, il accepte la mission. Tassos, un grec qui travaille pour les Nazis, essaie par tous les moyens de s'approprier les renseignements détenus par Mike...

 

Trahison à Athènes de Robert AldrichTrahison à Athènes de Robert Aldrich

Trahison à Athènes de Robert Aldrich

Fiche technique

  • Titre : Trahison à Athènes
  • Titre original : The Angry Hills
  • Réalisation : Robert Aldrich
  • Scénario : A.I. Bezzerides, d'après le roman "The Angry Hills" de Leon Uris
  • Direction artistique : Ken Adam
  • Décors : Ken Adam
  • Costumes : John Apperson
  • Photographie : Stephen Dade
  • Son : A. W. Watkins
  • Montage : Peter Tanner
  • Musique : Richard Rodney Bennett
  • Production : Raymond Stross
  • Production associée : Victor Lyndon
  • Sociétés de production : Metro-Goldwyn-Mayer, Raymond Productions
  • Société de distribution : Loew's Inc.
  • Pays d’origine : États-Unis, Royaume-Uni
  • Langue originale : anglais
  • Format : Noir et blanc — 35 mm — 2,35:1 (CinemaScope) — son Mono (Western Electric Recording System)
  • Genre : Film d'espionnage
  • Durée : 105 minutes
  • Date de sortie : États-Unis : 15 juillet 1959 à New York ; France : 30 décembre 1959

Distribution

  • Robert Mitchum : Mike Morrison
  • Stanley Baker : Conrad Heisler
  • Elisabeth Müller : Lisa Kyriakides
  • Gia Scala : Eleftheria
  • Theodore Bikel : Dimitrios Tassos
  • Sebastian Cabot : Chesney
  • Peter Illing : Leonides
  • Leslie Phillips : Ray Taylor
  • Donald Wolfit : Docteur Stergiou
  • Marius Goring : Commandant Elrick Oberg
  • Jocelyn Lane : Maria Tassos
  • Kieron Moore : Andreas
  • George Pastell : Papa Panos
  • Patrick Jordan : Bluey Bluey Ferguson
  • Marita Constantinou : Kleopatra
  • Alec Mango : Phillibos
  • Stanley Van Beers : le patron de la taverne

L'Aventurier du Rio Grande

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L'Aventurier du Rio Grande (The Wonderful Country) est un film américain réalisé par Robert Parrish, sorti en 1959. Martin Brady, qui a abattu l'assassin de son père, a fui le Texas pour le Mexique, où il est devenu le "pistolero" des frères Castro, dont l'un d'eux, Cipriano, devient le gouverneur de la province qui jouxte le Rio Grande. Alors qu'il achemine des armes vers l'autre Castro, le général Marcos, le cheval de Brady fait une embardée et retombe sur lui. La jambe fracturée, Brady est immobilisé durant deux mois dans un fort de l'armée fédérale américaine. Là, il lie connaissance avec la belle Ellen Colton, l'épouse du commandant.

Ce dernier voudrait l'employer à son service afin d'obtenir des renseignements sur la position des Apaches dans la région et sur les intentions des frères Castro. Mais, alors que Brady songe à s'installer au Texas, il commet un meurtre en état de légitime défense. Revenu au Mexique, Brady, las de la violence des armes, refuse d'assumer une nouvelle mission : celle d'abattre l'ambitieux général Marcos qui cherche à renverser son frère. À nouveau en fuite, Brady accompagne le détachement du commandant Colton en lutte contre un groupe d'Apaches. Or, Colton est grièvement blessé et meurt. Brady se prépare alors à retraverser le Rio Grande où il retrouvera, sans doute, Ellen…

L'Aventurier du Rio Grande de Robert ParrishL'Aventurier du Rio Grande de Robert Parrish

L'Aventurier du Rio Grande de Robert Parrish

Fiche technique

  • Titre : L'Aventurier du Rio Grande
  • Titre original : The Wonderful Country
  • Réalisation : Robert Parrish
  • Scénario : Robert Ardrey d'après le roman de Tom Lea
  • Photographie : Floyd Crosby et Alex Phillips
  • Musique : Alex North
  • Montage : Michael Luciano
  • Effets spéciaux : Lester Swartz
  • Production : Robert Mitchum et Chester Erskine
  • Distribution : United Artists
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Format : Couleurs - Mono - 35 mm
  • Genre : Western
  • Durée : 98 minutes
  • Date de sortie américaine : 8 octobre 1960

Distribution

  • Robert Mitchum (VF : Roger Tréville) : Martin Brady
  • Julie London (VF : Paule Emanuele) : Ellen Colton
  • Gary Merrill (VF : Claude Péran) : Major Stark Colton
  • Albert Dekker (VF : Paul Bonifas) : Le capitaine Rucker
  • Jack Oakie (VF : Richard Francœur) : Travis Hyte
  • Charles McGraw (VF : Claude Bertrand) : Le docteur Stovall
  • Satchel Paige : Tobe Sutton
  • Anthony Caruso (VF : Pierre Morin) : Santiago Santos
  • Mike Kellin (VF : Marcel Bozzuffi) : Pancho Gil
  • Pedro Armendariz (VF : Jean-Henri Chambois) : Cipriano Castro
  • Victor Mendoza (VF : Jean Violette) : Le général Castro
  • Tom Lea (VF : Pierre Michau) : Peebles
  • Jay Novello (VF : Jean Daurand) : Diego Casas
  • John Banner (VF : Jacques Berlioz) : Ben Sterner
  • Max Slaten (VF : Jacques Ferrière) : Chico Sterner
  • Margarito Luna : Marguerito Luna
  • Joe Haworth (VF : Jacques Deschamps) : Stoker
  • Chuck Roberson (VF : Serge Sauvion) : Barton
  • Claudio Brook : Ruelle (non crédité)

Horizons sans frontières

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Horizons sans frontières (The Sundowners) est un film américano-australo-britannique réalisé par Fred Zinnemann, sorti en 1960. La vie quotidienne dans l'Australie des années 1920 de la famille Carmody. Le père Paddy, la mère Ida et leur fils Sean se déplacent en caravane au gré des missions de convoyage de bétail qui leur sont confiées.

Horizons sans frontières de Fred ZinnemannHorizons sans frontières de Fred Zinnemann

Horizons sans frontières de Fred Zinnemann

Fiche technique

  • Titre : Horizons sans frontières
  • Titre original : The Sundowners
  • Réalisation : Fred Zinnemann
  • Scénario : Isobel Lennart, d'après le roman de Jon Cleary
  • Musique : Dimitri Tiomkin
  • Photographie : Jack Hildyard
  • Montage : Jack Harris
  • Direction artistique : Michael Stringer
  • Costumes : Elizabeth Haffenden et Joan Bridge
  • Pays d'origine : États-Unis / Australie / Royaume-Uni
  • Langue de tournage : anglais
  • Tournage :
  • Intérieurs : Studios d'Elstree (Royaume-Uni)
  • Extérieurs en Australie : Carriewerloo Station, Chaîne de Flinders, Cooma, Corrabera Station, Hawker, Iron Knob, Nimmitabel, Port Augusta, Quom, Saltia Creek, Snowy Mountains, Whyalla
  • Producteur : Gerry Blattner
  • Société de production : Warner Bros. Pictures
  • Société de distribution : Warner Bros. Pictures
  • Format : couleur par Technicolor — 35 mm — 1,85:1 — son monophonique (RCA Sound Recording)
  • Genre : film d'aventure
  • Durée : 133 minutes
  • Date de sortie : 8 décembre 1960 aux Drapeau des États-Unis États-Unis (première à New York)

Distribution

  • Deborah Kerr (V.F : Jacqueline Porel) : Ida Carmody/Anna
  • Robert Mitchum (V.F : Claude Bertrand)  : Paddy Carmody
  • Peter Ustinov (V.F : Pierre Leproux) : Rupert Venneker/Robert
  • Michael Anderson Jr. : Sean Carmody/Charles
  • Glynis Johns (V.F : Lita Recio) : Gertrude Firth
  • Dina Merrill (V.F : Nadine Alari) : Jean Halstead
  • Chips Rafferty (V.F : William Sabatier)  : Quinlan
  • Lola Brooks : Liz Brown
  • Wylie Watson (V.F : Serge Nadaud) : Herbert Johnson
  • John Meillon (V.F : Roger Rudel) : Bluey brown
  • Ronald Fraser (V.F : Robert Dalban) : Ocker
  • Ewen Solon (V.F : Rene Arrieu) : Halstead
  • Bryan Pringle (V.F : Henri Djanik) : PC Thomas
  • Colin Tapley : Palmer

Merrill Dina

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Dina Merrill est une actrice et productrice américaine née le 9 décembre 19251 à New York dans l'État de New York aux États-Unis.

Merrill Dina Merrill Dina

Née Nedenia Marjorie Hutton à New York, elle est le seul enfant du financier Edward Francis Hutton et de l'héritière Marjorie Merriweather Post. Elle est aussi la cousine de l'héritière Barbara Hutton (1912-1979).

 

Filmographie

  • 1957 : Une Femme de tête (The Desk set) : Sylvia Blair
  • 1958 : A Nice Little Bank That Should Be Robbed : Margie Solitaire
  • 1959 : Catch Me If You Can
  • 1959 : Don't Give Up the Ship (en) de Norman Taurog : Ens. Rita J. Benson
  • 1959 : Opération jupons (Operation Petticoat) : Lt. Barbara Duran, RN
  • 1960 : Vénus au vison (BUtterfield 8) : Emily Liggett
  • 1960 : Horizons sans frontières (The Sundowners) : Jean Halstead
  • 1961 : Le Temps du châtiment (The Young Savages) : Karin Bell
  • 1961 : Twenty Plus Two : Nicki Kovacs / Doris Delaney
  • 1961 : Westinghouse Presents: The Dispossessed (TV) : Annette DeGrande
  • 1962 : The Expendables (TV)
  • 1963 : Il faut marier papa (The Courtship of Eddie's Father) : Rita Behrens
  • 1965 : I'll Take Sweden : Karin Granstedt Martoni
  • 1968 : Dernière mission à l'Est (The Sunshine Patriot) (TV) : Brancie Hagen
  • 1969 : Seven in Darkness (TV) : Emily Garth Pleasent
  • 1969 : The Lonely Profession (TV) : Beatrice Savarona
  • 1970 : Aru heishi no kake : Kelly Allen
  • 1971 : Mr. and Mrs. Bo Jo Jones (TV) : Mrs. Greher
  • 1972 : Family Flight (TV) : Florence Carlyle
  • 1973 : The Letters (TV) : Penelope Parkington (The Parkingtons Episode)
  • 1973 : Running Wild : Whit Colby
  • 1974 : Throw Out the Anchor : Lindy Baker
  • 1975 : The Meal
  • 1976 : Kingston (TV) : Helen Martinson
  • 1977 : The Greatest : Velvet Green
  • 1978 : Un mariage (A Wedding) : Antoinette 'Toni' Sloan Goddard
  • 1979 : Racines 2 ("Roots: The Next Generations") (feuilleton TV) : Mrs. Hickinger
  • 1979 : The Tenth Month (TV) : Cele
  • 1980 : Just Tell Me What You Want (en) : Connie Herschel
  • 1983 : The Brass Ring (TV) : Mother
  • 1983 : Anna to the Infinite Power : Sarah Hart
  • 1984 : Hot Pursuit (TV) : Estelle Modrian
  • 1984 : Hot Pursuit (série TV) : Estelle Modrian (1984)
  • 1986 : Twisted : Nell Kempler
  • 1988 : Caddyshack II : Cynthia Young
  • 1989 : Ascenseur pour le passé (Turn Back the Clock) (TV) : Maureen Dowd
  • 1990 : Visions en direct (Fear) de Rockne S. O'Bannon Catherine Tarr
  • 1991 : True Colors : Joan Stiles
  • 1992 : The Player : Celia
  • 1993 : Le Fracas du silence (Not in My Family) (TV) : Clair Worth
  • 1993 : Suture : Alice Jameson
  • 1995 : Point of Betrayal
  • 1995 : Open Season : Doris Hays-Britton
  • 1996 : Milk & Money : Ellen, David's Mother
  • 1997 : L'Amour en prime (Something Borrowed, Something Blue) (TV) : Lydia D'Arcy, Monique's Mother
  • 1998 : Les Flocons de l'amour (A Chance of Snow) (TV) : Merilee Parker
  • 1998 : Mon ami Joe (Mighty Joe Young) : Society Woman
  • 1999 : L'Autre sœur (The Other Sister) : Pucky
  • 2002 : La Splendeur des Amberson (The Magnificent Ambersons) (TV) : Mrs. Johnson
  • 2002 : Éternelle jeunesse (The Glow) (TV) : Phoebe
  • 2003 : Les Maîtres du jeu (Shade) : Dina

comme productrice

  • 1996 : Milk & Money
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