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Patch Alexander

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Alexander Patch, de son vrai nom Alexander McCarrell « Sandy » Patch, né en 1889, mort en 1945 était un général de l'US Army lors de la Seconde Guerre mondiale. Il est principalement connu pour sa participation à la bataille de Guadalcanal dans le Pacifique puis au Débarquement de Provence et aux campagnes qui suivirent jusqu'à la capitulation allemande.

Patch AlexanderPatch Alexander

Patch est né le 23 novembre 1889 à Fort Huachuca, un poste militaire dans l'Arizona, où son père commandait un détachement. Il n'a jamais envisagé une carrière autre que l'armée, et fut reçu à l'Académie militaire de West Point, à New York, en 1909. Il avait voulu suivre son père au sein de la cavalerie, mais se rendit compte qu'elle devenait obsolète et choisit donc plutôt l'infanterie, où il fut engagé en 1913. Durant la Première Guerre mondiale, Patch a servi comme officier d'infanterie et comme instructeur à l'école de l'armée des mitrailleuses. Alors qu'il était commandant des troupes sur la ligne de front en France, sa conduite au combat le fit remarquer de George C. Marshall alors officier dans l'état-major du général John Pershing.

Pendant la montée le renforcement des forces américains avant que les États-Unis n'entrent dans la Seconde Guerre mondiale, Marshall est nommé chef d'état-major de l'armée des États-Unis. Il promut Patch au grade de brigadier général et l'envoya à Fort Bragg, en Caroline du Nord, pour superviser la formation de nouveaux soldats. Patch fut promu major-général le 10 mars 1942. Cette année-là, il est envoyé sur dans le Pacifique afin d'organiser le renforcement et la défense de la Nouvelle-Calédonie. Il prend le commandement de l'American New Caledonian Division. Cette division se bat durant la bataille de Guadalcanal en octobre 1942, où elle soulagea la division de Marines qui était sur place. En décembre 1942, Patch prit le commandement du Corps XIV, et fut chargé de l'offensive à Guadalcanal. Sous sa direction, en février 1943, les Japonais furent chassés de l'île.

Impressionné par la performance de Patch à Guadalcanal, le général Marshall l'envoie sur le front en Europe, où il prend le commandement de la 7e Armée précédemment commandé par le général Mark Wayne Clark. Il débarqua en Provence le 15 août 1944. Patch est promu au grade de lieutenant général le 18 août 1944, et conduit la 7e armée dans une offensive rapide jusqu'à la vallée du Rhône. Le 9 septembre 1944, près de Dijon, il fait la jonction avec l'armée du lieutenant-général George S. Patton qui avait débarqué sur les plages de Normandie. Patch connut une tragédie personnelle lorsque son fils, le capitaine Alexander M. Patch III, fut tué au combat le 22 octobre 1944, alors qu'il commandait une compagnie d'infanterie de la 79e division d'infanterie.

Au printemps 1945, le commandant suprême allié, le général Eisenhower offrit à Patch l'usage d'un B-25 Mitchell attitré, mais Patch refuse l'offre parce qu'il voulait rester en contact avec ses subordonnés. Patch échappa de peu à la mort, le 18 avril 1945, quand un chasseur allemand, un Messerschmitt Bf 109, attaqua l'avion qui le conduisait de Kitzingen à Öhringen, en Allemagne. Patch coordonna les opérations au cours de la bataille de Nuremberg. Patch conserva le commandement de la 7e armée jusqu'à la fin de la guerre en Europe en mai 1945, traversant le Rhin, attaquant la ligne Siegfried, puis se déplaçant vers le sud de l'Allemagne. En août 1945, Patch retourna aux États-Unis pour prendre le commandement de la 4e armée mais il fut rapidement hospitalisé pour des problèmes de reins. Il mourut de pneumonie le 21 novembre 1945 au Brooke General Hospital à Fort Sam Houston à Houston au Texas. Il est enterré au cimetière de West Point.


Plagge Karl

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Le commandant Karl Plagge (né le 10 juillet 1897 à Darmstadt; décédé en juillet 1957 à Darmstadt) est un officier allemand, membre du parti nazi. Il employa pendant la Seconde Guerre mondiale 1200 Juifs dont 500 hommes et le reste des femmes et des enfants, pour du travail forcé, leur assurant ainsi une plus grande chance de survivre à l'extermination quasi-totale des Juifs de Lituanie qui se déroula de 1941 à 1943.

Plagge KarlPlagge Karl

Plagge, un vétéran de la Première Guerre mondiale est tout d'abord attiré pendant les années difficiles suivant la signature du traité de Versailles par les promesses d'Adolf Hitler et du parti nazi de reconstruire l'économie allemande et la fierté nationale. Il adhère en 1931 au parti nazi et travaille dans un but de renaissance nationale. Cependant, il entre assez rapidement en conflit avec les autorités locales du parti en refusant d'enseigner les théories raciales nazies, qu'en tant que scientifique, il ne peut pas admettre. Son refus continu d'épouser les thèses racistes le fait accuser en 1935 d'être l"ami des Juifs et des francs-maçons", et il est démis de toutes ses fonctions dans l'appareil local du parti. Plagge sort de l'Université Technique de Darmstadt en 1924 avec un diplôme d'ingénieur. Quand il est incorporé dans la Wehrmacht au début de la Seconde Guerre mondiale, il est nommé commandant d'une unité technique, le HKP-562, dont le travail consiste à réparer les véhicules militaires endommagés sur le front de l'Est. Plagge et son unité arrive à Vilnius en juillet 1941 et est bientôt témoin du génocide qui se pratique contre les Juifs de cette région. Plagge, en raison de son support apporté au parti nazi aux début des années 1930 se sent responsable des horreurs dont il est le témoin, et décide alors d'essayer de sauver le plus de Juifs possible de la machine génocidaire nazie.

Afin de sauver quelques Juifs assiégés dans Vilnius, il leur procure des certificats de travail, certifiant qu'ils sont des ouvriers spécialisés indispensables, indépendamment de leur bagage technique réel. Ce type de permis de travail protège l'ouvrier, sa femme et deux de ses enfants et lui permet d'échapper aux rafles effectuées par les SS dans le ghetto de Vilnius où les Juifs sans permis de travail sont conduits et exécutés dans les bois de Paneriai. Plagge fournit 250 de ces permis à des hommes, ce qui permit de protéger environ 1000 personnes en incluant les femmes et les enfants de 1941 à la mi-1944. En septembre 1943 il devient évident à Plagge que le ghetto de Vilnius va être liquidé et que tous les Juifs restant, avec ou sans permis de travail, seront exécutés par les SS. Pendant cette période cruciale, Plagge effectue des efforts bureaucratiques énormes pour créer un camp de travail indépendant, le camp HKP-562, dans les environs de Vilnius, malgré la résistance considérable de la SS.

Le 16 septembre 1943, Plagge transporte ses travailleurs juifs et leur famille, soit plus de 1000 personnes, du ghetto de Vilnius au camp HKP nouvellement érigé rue Subocz où ils seront relativement en sécurité quand le ghetto de Vilnius sera liquidé dix jours plus tard par les SS. Les conditions dans le camp sont relativement correctes, avec un travail décent, de la nourriture adéquate et grâce aux ordres de Plagge de traiter les civils avec respect, presque sans brutalités de la part des soldats allemands. Malgré la bienveillance de Plagge et de ses hommes, le sort des Juifs du camp reste au final entre les mains des SS, qui pénètrent à deux occasions dans le camp afin de commettre leurs atrocités. En novembre 1943, un prisonnier juif appelé David Zalkind, sa femme et son enfant tentent de s'échapper du camp et sont capturés par la Gestapo. Ils sont exécutés en public dans la cour du camp en face de tous les prisonniers réunis. Pire, le 27 mars 1944, alors que Plagge est en permission en Allemagne, les SS entrent dans le camp et effectuent une “Kinder Aktion”, la rafle des enfants dans laquelle la grande majorité des 250 enfants du camp sont capturés et envoyés à la mort.

A l'approche de l'été 1944, l'Armée rouge avance dans les faubourgs de Vilnius et il est clair que très bientôt, toute la région sera entre leurs mains. Cette période est pleine de danger pour les Juifs du camp HKP, car ils comprennent qu'avant la retraite allemande, les SS auront certainement pour mission de tous les liquider. De nombreux Juifs se sont préparés à cette éventualité en créant des caches où se réfugier, dans les cloisons des murs ou dans les combles. Le problème est de savoir quand les escadrons SS viendront afin de se préparer à se cacher ou à fuir. Le 1er juillet 1944, le commandant Plagge entre dans le camp et réunit les prisonniers pour un discours informel. En présence d'un officier SS, il leur annonce que lui et ses hommes vont être transférés vers l'ouest, et que malgré sa demande, il n'a pas obtenu la permission d'emmener ses ouvriers spécialisés. Le lundi 3 juillet, ils seront transférés dans un autre camp escortés par la SS, qui comme ils le savent est "une organisation chargée des réfugiés". Après cet avertissement à peine voilé, la moitié des prisonniers se cachent avant l'arrivée des escadrons SS. Les 500 prisonniers qui répondent présents à l'appel le 3 juillet 1944 sont conduits dans la forêt de Paneriai et exécutés. Les trois jours suivants, les SS fouillent le camp et les environs et retrouvent environ la moitié des prisonniers manquants qui sont immédiatement exécutés dans la cour du camp.

Quand l'Armée rouge capture Vilnius quelques jours plus tard, environ 250 Juifs du camp émergent de leur cachette. Les exécutions des Juifs de Vilnius et des environs ont eu lieu principalement à Paneriai (Ponary), site d'exécution de masse, où 100.000 personnes furent assassinées, en général d'un coup de pistolet dans la tête, et leur corps jeté dans une fosse. Environ 90 pourcents étaient des Juifs lithuaniens ou d'autres nationalités. D'autres Juifs de Vilnius furent déportés dans des camps d'extermination. En recrutant intentionnellement des Juifs plutôt que des Polonais, Plagge a essayé de sauver autant de Juifs qu'il pouvait. Le résultat est cependant partiel. Son unité a été obligée d'évacuer et de laisser la place à la SS. Ceux-ci ont tués plus de 1000 personnes du camp dans les derniers trois jours d'occupation allemande de la Lituanie.

L'efficacité des efforts de Plagge pour sauver des Juifs en les utilisant comme travailleurs forcés a permis de sauver environ 20 pourcents de ces travailleurs, comparé aux 3 à 5 pourcents des Juifs lithuaniens qui ont pu être sauvés en se réfugiant dans les forêts ou chez des amis. Les Juifs du camp HKP représentent le groupe le plus important de survivants du génocide en Lituanie. Les efforts de Plagge sont corroborés par les témoignages de survivants et par l'explication donnée par Plagge lui-même et empruntée au livre la Peste d'Albert Camus. Dans une longue lettre écrite un an avant sa mort, il le fait au travers du personnage du Dr. Rieux et de son combat sans espoir contre l'épidémie. Après la guerre, Karl Plagge retourne à Darmstadt, où il est jugé en 1947 dans le cadre du processus de dénazification.

L'issue de son procès est influencée par les témoignages positifs de certains de ses anciens prisonniers. Après le procès, Plagge vécut ses dernières années paisiblement à Darmstadt, avant de mourir en juillet 1957 d'une tumeur au cerveau. En 2005 le Mémorial de Yad Vashem lui confère le titre de Juste parmi les Nations. En février 2006 l'ancienne caserne Frankenstein de la Bundeswehr à Pfungstadt en Allemagne, est renommée Caserne Karl-Plagge.

Boeselager Georg von

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Le baron Georg von Bœselager né à Kassel, Royaume de Prusse le 25 août 1915 - mort à Łomża le 29 août 1944 était un colonel de Cavalerie allemand (Oberst der Kavallerie) au sein de la Heer dans la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale. Il fut un opposant au régime nazi.

 

Boeselager Georg von

Il naquit le 25 août 1915 près de Bonn en Allemagne, et était le frère ainé de Philipp von Boeselager. En 1943, il est envoyé en Roumanie, alliée de l'Allemagne, pour former l'armée, avant d'être rappelé sur le front russe, sous le commandement du maréchal von Kluge. Il faisait partie du groupe Tesckow, qui tenta à plusieurs reprises d'assassiner Hitler. Lui-même avait proposé de prendre la Tanière du loup d'assaut, mais l'idée fut abandonnée à cause des trop nombreuses victimes collatérales que cette action aurait entraînée.

Il fut tué le 29 août 1944 à la frontière de la Prusse orientale, sur la rivière Bug, lorsque sa voiture fut la cible d'un mortier ennemi, sans que sa participation au complot ne soit découverte. Près de 2 mois après sa mort, le 28 novembre 1944, il fut décoré de la Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne et glaives. Seuls 154 soldats se sont vu remettre cette décoration. Il fut le 114e d'entre eux.

Décorations

  • Médaille de service de longue durée de la Wehrmacht 4e Classe
  • Insigne de combat général
  • Insigne des blessés en Argent
  • Croix de fer (1939), 2e Classe, 1re Classe
  • Médaille du Front de l'Est
  • Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne et épées
  • Croix de chevalier le 18 janvier 1941 en tant que Oberleutnant et chef de la 1.(reit)/Divisions-Aufklärungs-Abteilung 6, 53e feuilles de chêne le 31 décembre 1941 en tant que Rittmeister et chef de la 1./Divisions-Aufklärungs-Abteilung 6, 114e épées le 28 novembre 1944 (à titre posthume) en tant que Oberstleutnant et leader de la 3. Kavallerie-Brigade
  • Mentionné par 2 fois dans le bulletin radiophonique quotidien Wehrmachtbericht.

Hube Hans-Valentin

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Hans-Valentin Hube, né le 29 octobre 1890 à Naumbourg et mort le 21 avril 1944 près d'Obersalzberg) dans un accident d'avion, surnommé « Papa Hube » par ses hommes ou aussi « der Mensch » (l'homme), était un général allemand durant la Seconde Guerre mondiale, qualifié de « brillant et lucide ».

Hube Hans-ValentinHube Hans-Valentin

Lors de la première guerre mondiale il perd l'un de ses bras. Il est connu pour avoir commandé le XIV. Panzer-Korps lors de la bataille de Stalingrad. Auparavant il avait commandé la 16. Infanterie-Division lors de la campagne de France en 1940, qui s'est notamment battu à Stonne. En novembre 1940, cette division est scindée en deux division, une d'infanterie, et une blindée : la 16. Panzer-Division, dont Hube prend la tête. La division participe à l'invasion de l'URSS en 1941. En 1942 il s'illustre avec elle lors de la bataille de Kharkov - Izioum et de l'opération Fall Blau. 

En particulier, son unité passe du Don à la Volga en une seule journée, étant la première à atteindre le fleuve, au nord de Stalingrad. Hube prend ensuite le tête du XIV. Panzer-Korps dont fait partie la division. Encerclé lors de la bataille de Stalingrad, il va exposer la situation des assiégés à Hitler au début de l'année 1943, passe voir Erich von Manstein le commandant de la Heeresgruppe Don dont dépend son unité, puis retourne dans la poche de Stalingrad. Il est définitivement évacué de celle-ci pour s'occuper du ravitaillement des troupes encerclés. Il prend la tête de la 1. Panzer-Armee le 29 octobre 1943, combattant alors sur le Dniepr où elle obtient des succès défensifs. Début janvier 1944 Erich von Manstein l'envoie combler une brèche au centre de l'Ukraine. Une partie de son armée est encerclée dans la poche de Korsoun-Tcherkassy fin janvier 1944 et passe sous contrôle de la Gruppe Stemmermann. 

Fin mars, la 1. Panzer-Armee est encerclée dans la poche de Kamianets-Podilskyï. Selon von Manstein, Hube aurait voulu l'évacuer par le sud, mais pour von Manstein l'avancée des Soviétiques vers le Dniestr aurait condamné cette option, en outre il a besoin de son unité pour établir une ligne de défense à l'ouest, aussi ordonne t-il contre l'avis de Hube de percer vers l'ouest, avec l'aide de la 4. Panzer-Armee qui poussera vers l'est. La percée réussit au cours du mois d'avril avec l'arrivée de renforts à la 4. Panzer-Armee. Il est mort dans un accident d'avion le 21 avril 1944. Hube était surnommé der Mensch (littéralement "l'homme") par ses troupes durant la Seconde Guerre mondiale.

Décorations

  • Croix de fer (1914), 2e Classe, 1re Classe
  • Croix de chevalier de l'Ordre de Hohenzollern avec épées
  • Croix de Frédéric (1918)
  • Insigne des blessés (1918), en Noir
  • Croix d'honneur
  • Médaille de service de longue durée de la Wehrmacht 4e à 1re classe
  • Agrafe de la Croix de fer (1939), 2e Classe, 1re Classe
  • Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne, épées et diamants, Croix de chevalier le 1er août 1941 en tant que Generalmajor et commandant de la 16. Panzer-Division, 62e feuilles de chêne le 16 janvier 1942 en tant que Generalmajor et commandant de la 16. Panzer-Division, 22e épées le 21 décembre 1942 en tant que Generalleutnant et commandant général du XIV. Panzerkorps
  • 13e diamants le 20 avril 1944 en tant que General der Panzertruppe et commandant en chef de la 1. Panzer-Armee
  • Médaille du Front de l'Est
  • Insigne de combat des blindés en Or
  • Ordre militaire de Savoie, Commandeur
  • Mentionné 3 fois dans la revue Wehrmachtbericht (17 août 1943, 31 janvier 1944 et 9 avril 1944

Albrecht Achilles

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Albrecht Achilles (25 janvier 1914 – 27 septembre 1943) était un commandant de U-boot. Il démarre sa carrière dans la marine en avril 1934.

Albrecht AchillesAlbrecht Achilles

Il sert à bord du navire-école Schleswig-Holstein et à bord du croiseur de bataille GneisenauIl est transféré dans les U-boots en avril 1940. Après avoir suivi la formation des sous-mariniers, il effectue 3 patrouilles au sein du U-66 sous les ordres du capitaine de corvette Richard Zapp. Il prend le commandement du U-161 en janvier 1942 avec lequel il effectue 6 patrouilles essentiellement dans les caraïbes, les eaux africaines et brésiliennes. Il disparaît le 27 septembre 1943 dans l'Atlantique sud au large de Bahia au Brésil avec l'ensemble du l'équipage du U-161, lorsque celui-ci est coulé par des charges de profondeur lancées par un hydravion américain Martin PBM Mariner de l'escadron USN VP-74/P-2.

Promotions

  • Seekadett le 26 septembre 1934
  • Obermatrose le 1er octobre 1934
  • Oberstabsmatrose le 1er janvier 1935
  • Fähnrich zur See le 1er juillet 1935
  • Oberfähnrich zur See le 1er janvier 1937
  • Leutnant zur See le 16 avril 1937
  • Oberleutnant zur See le 13 avril 1939
  • Kapitänleutnant le 14 août 1941
  • Korvettenkapitän le 5 avril 1945 (à titre posthume)

Décorations

  • Médaille de service de longue durée de la Wehrmacht, 4e Classe (8 avril 1938)1
  • Croix de fer (1939), 2e Classe (7 août 1941), 1re Classe (5 avril 1942)
  • Insigne de combat des U-Boote (1939) (7 août 1941)
  • Croix de chevalier de la Croix de fer (16 janvier 1943) en tant que Kapitänleutnant et commandant du U-1613
  • Mentionné dans le bulletin radiophonique des Armées Wehrmachtbericht le 12 mars 1942

Dostler Anton

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Anton Dostler (né le 10 mai 1891 à Munich - fusillé le 1er décembre 1945 à Aversa en Campanie) était un General de l'Infanterie allemande de la Wehrmacht lors de la Seconde Guerre mondiale.

Anton Dostler lors de son procès et avant son exécutionAnton Dostler lors de son procès et avant son exécution

Anton Dostler lors de son procès et avant son exécution

Anton Dostler rejoint l'armée impériale allemande en 1910 et sert comme officier subalterne pendant la Première Guerre mondiale. Au début de la Seconde Guerre mondiale, en 1940, il est chef d'état-major de la 7e armée. Par la suite, il commande la 57e division d'infanterie (1941-1942), la 163e division d'infanterie (1942) et le 42e corps d'armée (1943-1944). Il est nommé commandant du 75e corps d'armée de janvier à juillet 1944, puis du 73e corps d’armée de novembre 1944 jusqu’à la fin de la guerre.

Dostler est fait prisonnier par les Américains le 8 mai 1945 et placé le 8 octobre 1945 devant un tribunal militaire au siège du Commandement suprême des forces alliées, le palais de Caserte. Anton Dostler est accusé d'avoir donné au colonel Almers un ordre d’exécution de 15 prisonniers américains, illégal selon la Convention de Genève de 1929. Dostler soutient qu’il n'a pas donné cet ordre, mais seulement transmis l’ordre de son supérieur le général Albert Kesselring, commandant des forces allemandes du Sud-Est de l’Europe. Jugé pour crime de guerre lors de ce premier procès d’après-guerre organisé par les alliés, le tribunal le condamne à la peine de mort. Son exécution a lieu le 1er décembre 1945 à Aversa, où il est fusillé par un peloton d'exécution ; celle-ci a été photographiée en noir et blanc et filmée.

Le 22 mars 1944, un commando de 15 agents secrets militaires américains (membre de l'OSS, ancêtre de la CIA) (incluant deux officiers) a débarqué sur les côtes italiennes, à l'arrière du front, avec pour mission de détruire un tunnel ferroviaire entre La Spezia et Gênes. Les membres de ce commando étaient habillés en costume civil et donnaient l'impression d'être Italiens. Deux jours après, le commando est arrêté par des soldats italiens et allemands dépendant du commandement du général (Brigadier General) Almers. Celui-ci reporte à son commandant du quartier général local le général Dostler. Ce dernier considère que ce sont des saboteurs italiens ce qui le conduit, en tant que commandant de la zone militaire, à ordonner l'exécution des 15 saboteurs.

Les membres du commando sont enfermés près de La Spezia et interrogés. L'un des deux officiers américains avoue leur nature de militaires américains et la raison de leur présence. L'information, confirmée par une unité des services de renseignements allemands, est transmise à Anton Dostler qui ordonne la suspension de l'exécution des 15 soldats américains désormais reconnus comme tels. Il informe alors son supérieur, le général Albert Kesselring, dont il reçoit la réponse par l'intermédiaire de son Adjudant-Général (au sens où on l'employait pendant la Révolution et l'Empire) : Kesselring ordonne l'exécution des militaires américains. Dostler indique à son Adjudant-Général de transmettre l'ordre de Kesselring à son subordonné, le général Almers. Les membres du commando seront tous exécutés le 26 mars 1944.

Décorations

  • Croix de fer (1914), 2e Classe, 1re Classe
  • Ordre du Mérite militaire (Bavière) 4e Classe avec gliaves
  • Médaille de service de la Wehrmacht 4e à 1re Classe
  • Médaille de l'Anschluss
  • Médaille des Sudètes avec barrette du château de Prague
  • Agrafe de la Croix de fer (1939), 2e Classe, 1re Classe
  • Médaille du Front de l'Est

 

Les Nerfs à vif

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Les Nerfs à vif (Cape Fear) est un film réalisé par J. Lee Thompson en 1962. Max Cady sort de prison après une peine de huit ans purgée pour agression sexuelle. Il est bien décidé à se venger de celui qu'il considère comme responsable de sa condamnation : l'avocat Sam Bowden. Le film a fait l'objet en 1991 d'un remake : Les Nerfs à vif réalisé par Martin Scorsese avec Robert De Niro, Nick Nolte et Jessica Lange, dans lequel les acteurs originaux des trois premiers rôles masculins ont refait des apparitions dans des rôles secondaires.

Les Nerfs à vif de J. Lee ThompsonLes Nerfs à vif de J. Lee Thompson

Les Nerfs à vif de J. Lee Thompson

Fiche technique

  • Titre : Les Nerfs à vif
  • Titre original : Cape fear
  • Réalisation : J. Lee Thompson
  • Scénario : James R. Webb, d'après le roman Un monstre à abattre (The executioners) de John D. MacDonald
  • Musique : Bernard Herrmann
  • Direction artistique : Alexander Golitzen et Robert Boyle
  • Décors : Oliver Emert
  • Costumes : Mary Wills
  • Maquillage : Frank Prehoda et Thomas Tuttle
  • Coiffures : Virginia D'Arcy
  • Photographie : Sam Leavitt
  • Ingénieurs du son : Waldon O. Watson et Corson Jowett
  • Montage : George Tomasini
  • Société de production : Melville-Talbot Productions
  • Producteur : Sy Bartlett
  • Distributeur : Universal International
  • Pays d'origine : Drapeau des États-Unis États-Unis
  • Langue : anglais
  • Format : Noir et blanc - 1,85:1 - Mono (Westrex Recording System) - 35mm
  • Genre : thriller
  • Durée : 1h42
  • Dates de sortie : États-Unis : 12 avril 1962 (première) et 18 avril 1962, France : 31 octobre 1962

Distribution

  • Gregory Peck (VF : Jean-Claude Michel) : Sam Bowden
  • Robert Mitchum (VF : Raymond Loyer) : Max Cady
  • Polly Bergen (VF : Marcelle Lajeunesse) : Peggy Bowden
  • Lori Martin (VF : Jacqueline Mono) : Nancy Bowden
  • Martin Balsam (VF : Michel Gudin) : l'inspecteur Mark Dutton
  • Jack Kruschen (VF : Georges Hubert) : Dave Grafton
  • Telly Savalas (VF : Henry Djanik) : Charles Sievers
  • Barrie Chase : Diane Taylor
  • Paul Comi : George Garner
  • Edward Platt : le juge

Ailleurs l'herbe est plus verte

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Ailleurs l'herbe est plus verte (The Grass Is Greener) est un film britannique réalisé par Stanley Donen, sorti en 1960. Lord et Lady Rhyall ont dû ouvrir au public leur manoir anglais pour arrondir les fins de mois. Ils vivent avec leurs deux enfants dans quelques pièces du château, pendant que les touristes se bousculent dans le reste de l'immense demeure. Lady Rhyall cultive des champignons qu'elle vend au village, et le majordome supplie qu'on le renvoie pour faire des économies.

Un jour, un millionnaire américain, Charles Delacro, pousse la porte marquée "privé" et tombe sous le charme de Lady Rhyall. Elle part à Londres, sous couvert d'habiter chez son amie Hattie et vit quelques jours de rêve avec l'Américain. Lord Rhyall n'est pas dupe, mais tient à garder sa femme sans se montrer jaloux. Il organise un week-end au manoir où les quatre protagonistes vont redistribuer les cartes.

Ailleurs l'herbe est plus verte de Stanley DonenAilleurs l'herbe est plus verte de Stanley Donen

Ailleurs l'herbe est plus verte de Stanley Donen

Fiche technique

  • Titre : Ailleurs l'herbe est plus verte
  • Titre original : The Grass Is Greener
  • Réalisation : Stanley Donen
  • Scénario : Hugh Williams et Margaret Vyner d'après leur pièce de théâtre
  • Production : Stanley Donen
  • Société de production : Grandon Productions Ltd
  • Société de distribution : Universal Pictures
  • Musique : Noel Coward
  • Photographie : Christopher Challis
  • Montage : Jim Clark
  • Direction artistique : Paul Sheriff
  • Costumes : Hardy Amies et Christian Dior
  • Pays d'origine : Royaume-Uni
  • Format : Couleur (Technicolor) - 35 mm - 2,35:1 - Son : Mono (Westrex Recording System)
  • Genre : Comédie
  • Durée : 104 minutes
  • Date de sortie : États-Unis : 23 décembre 1960 (New York)

Distribution

  • Cary Grant (VF : Maurice Dorléac) : Lord Victor Rhyall
  • Deborah Kerr : Lady Hilary Rhyall
  • Robert Mitchum : Charles Delacro
  • Jean Simmons : Hattie Durant
  • Moray Watson : Trevor Sellers, le majordome

Flammes sur l'Asie

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Flammes sur l'Asie (The Hunters) est un film américain réalisé par Dick Powell en 1958. Le major Saville est affecté en Corée, où il rencontre un lieutenant et sa charmante épouse, Kristina, dont il tombe amoureux. Cela va compliquer les relations professionnelles des deux hommes. Les combats aériens mettent en scène 2 types d'avions : les North American F-86 Sabre contre des Republic F-84 Thunderstreak maquillés en MiG-15.

Flammes sur l'Asie de Dick PowellFlammes sur l'Asie de Dick Powell

Flammes sur l'Asie de Dick Powell

Fiche technique

  • Titre : Flammes sur l'Asie
  • Titre original : The Hunters
  • Directeur de la photographie : Charles G. Clarke
  • Réalisation : Dick Powell
  • Scénario : d'après le roman de James Salter sur les F-86 Sabre pendant la guerre de Corée
  • Production : Twentieth Century-Fox Film Corporation
  • Durée : 108 min (Royaume-Uni : 105 min)
  • Pays : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Couleur : DeLuxe
  • Aspect Ratio : 2.35 : 1
  • Son : 4-Track Stereo (Westrex Recording System) (magnetic prints) / Mono (optical prints)
  • Classification : USA : Approved (certificat #19007)

Distribution

  • Robert Mitchum (VF : Roger Tréville) : Major Cleve Saville
  • Robert Wagner (VF : Michel François) : Lt. Ed Pell
  • Richard Egan (VF : Claude Bertrand) : Colonel Dutch Imil, CO 54th Fighter Group
  • May Britt (VF : Claire Guibert) : Kristina 'Kris' Abbott
  • Lee Philips (VF : Michel Gudin) : 1stLt. Carl Abbott
  • John Gabriel : 1stLt. Corona
  • Stacy Harris : Col. Monk Moncavage
  • Victor Sen Yung : fermier coréen

La Nuit du chasseur

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La Nuit du chasseur (The Night of the Hunter) est un film américain réalisé par Charles Laughton en 1955. Il est tiré du roman homonyme de Davis Grubb publié en 1953 et qui s'inspire du tueur en série Harry Powers qui a sévi dans la ville de Grubb. En 1992, le film est sélectionné par Le National Film Registry pour être conservé à la Bibliothèque du Congrès aux États-Unis pour son « importance culturelle, historique ou esthétique » Dans les années 1930, lors d'un court séjour en prison, le pasteur Harry Powell a comme compagnon de cellule Ben Harper, un homme désespéré qui, pour sauver sa famille, a commis un hold-up et assassiné deux hommes. Powell cherche à faire dire à Harper où se trouvent les 10 000 dollars dérobés, mais celui-ci ne cède pas. Le prêcheur fanatique se rend chez la veuve de Harper, qui a été pendu. Willa Harper ne tarde pas à épouser l'homme d'Église, ne voulant pas voir que ce dernier ne désire qu'une chose : faire avouer à ses enfants, John et Pearl, l'emplacement du magot.

C'est l'unique film réalisé, aux États-Unis, par l'acteur britannique Charles Laughton, monstre sacré de l'écran. À partir d'une situation construite sur les dichotomies (le bien-le mal, les adultes-les enfants, le jour-la nuit, le studio-l'extérieur, etc.), Laughton a réalisé une œuvre à part, complexe, inclassable, unique, empruntant aussi bien au western qu'au film noir ou au conte cauchemardesque pour enfant, dont le fantastique n'est jamais loin. L'échec commercial du film empêcha Laughton de réaliser d'autres films. L'affrontement eschatologique entre Rachel Cooper et Harry Powell est celui du bien exercé quotidiennement et sans bruit par une humble croyante et du mal absolu qui s'est glissé dans la robe du saint, opposition qui est symbolisée dans la scène où ils chantent ensemble la chanson Leaning on the Everlasting Arm, dont le révérend Powell oublie des mots.

La Nuit du chasseur de Charles LaughtonLa Nuit du chasseur de Charles Laughton

La Nuit du chasseur de Charles Laughton

Fiche technique

  • Titre : La Nuit du chasseur
  • Titre original : The Night of the Hunter
  • Réalisation : Charles Laughton
  • Scénario : James Agee et Charles Laughton (non crédité) d'après le roman éponyme de Davis Grubb (1953)
  • Musique : Walter Schumann
  • Photographie : Stanley Cortez
  • Son : Stanford Houghton
  • Montage : Robert Golden
  • Direction artistique : Hilyard M. Brown
  • Producteur : Paul Gregory
  • Société de production : Paul Gregory Productions
  • Sociétés de distribution : Columbia Pictures, United Artists
  • Budget : 795 000 $ (estimation)
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue de tournage : anglais
  • Format : noir et blanc — 35 mm — 1.66:1 — monophonique (Western Electric Recording)
  • Genre : drame
  • Durée : 93 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis 29 septembre 1955, France 11 mai 1956

Distribution

  • Robert Mitchum : le révérend Harry Powell
  • Shelley Winters : Willa Harper
  • Lillian Gish : Rachel Cooper
  • Billy Chapin : John Harper
  • Sally Jane Bruce : Pearl Harper
  • James Gleason : Birdie Steptoe
  • Peter Graves : Ben Harper
  • Don Beddoe : Walt Spoon
  • Evelyn Varden : Icey Spoon
  • Gloria Castillo : Ruby
  • James Griffith (non crédité) : le procureur général

Fini de rire

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Fini de rire (His Kind of Woman) est un film américain réalisé par John Farrow et Richard Fleischer, sorti en 1951. Le titre français, quelconque, n'est pas à la hauteur de ce film policier justement plein d'humour, joué en finesse par un trio d'acteur de grande qualité. Vincent Price est exceptionnel. Ferraro, un mafieux interdit de territoire tente de retourner aux États-Unis en prenant l'identité d'un loup solitaire Milner.

Fini de rire de John Farrow et Richard FleischerFini de rire de John Farrow et Richard FleischerFini de rire de John Farrow et Richard Fleischer

Fini de rire de John Farrow et Richard Fleischer

Fiche technique

  • Titre : Fini de rire
  • Titre original : His Kind of Woman
  • Réalisation : John Farrow et Richard Fleischer
  • Scénario : Frank Fenton et Jack Leonard d'après une histoire de Gerald Drayson Adams (non crédité)
  • Production : John Farrow, Robert Sparks et Robert Fellows (non crédité)
  • Producteur exécutif : Howard Hughes (non crédité)
  • Société de production : RKO
  • Musique : Leigh Harline
  • Image : Harry J. Wild
  • Montage : Frederic Knudtson et Eda Warren
  • Direction artistique : Albert S. D'Agostino
  • Décors : J. McMillan Johnson
  • Costumes : Howard Greer
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Format : Noir et blanc - 35 mm - 1,37:1 - Son : Mono (RCA Sound System)
  • Genre : Film noir
  • Durée : 120 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 29 août 1951 ; France : 20 mars 1953

Distribution

  • Robert Mitchum : Dan Milner
  • Jane Russell : Lenore Brent
  • Vincent Price : Mark Cardigan
  • Tim Holt : Bill Lusk
  • Charles McGraw : Thompson / Narrateur
  • Marjorie Reynolds : Helen Cardigan
  • Raymond Burr : Nick Ferraro
  • Leslie Banning : Jennie Stone
  • Jim Backus : Myron Winton
  • Philip Van Zandt : Jose Morro
  • John Mylong : Martin Krafft
  • Carleton G. Young : Gerald Hobson
  • Peter Brocco (non crédité) : Le premier complice de Thompson

Thunder Road

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Thunder Road (titre original) est un film dramatique américain réalisé en 1958 par Robert Mitchum et Arthur Ripley. Lucas Doolin, vétéran de la Guerre de Corée, revient dans ses montagnes et reprend une affaire familiale d’alcool de contrebande. Il doit se battre contre la bande de bandits de la ville (dirigée par le terrifiant Carl Kogan), qui essayent de s’imposer et, échapper aux policiers qui veulent le mettre en prison.

Thunder Road est le film le plus personnel de Robert Mitchum puisqu’il en est à la fois l’acteur principal, le producteur et l'auteur de l’histoire. Le rôle de Robin Doolin, le jeune frère de Lucas, était écrit à l’origine pour Elvis Presley mais son manager, le Colonel Tom Parker, intervint et exigea un cachet très élevé ce qui mit fin aux négociations. C’est finalement James, le fils de Robert Mitchum qui obtint le rôle.

Thunder Road d'Arthur RipleyThunder Road d'Arthur Ripley

Thunder Road d'Arthur Ripley

Fiche technique

  • Titre original : Thunder Road
  • Titre français : Thunder Road
  • Réalisateur : Arthur Ripley
  • Scénario : Robert Mitchum (histoire), James Atlee Philips et Walter Wise
  • Producteurs : Robert Mitchum et Arthur Ripley
  • Production : John Burch et Jack Lennan
  • Image : David Ettenson et Alan Stensvold
  • Montage : Harry Marker
  • Maquillage : Carlie Taylor
  • Musique originale : Jack Marshall
  • Durée : 88 min
  • Format : Noir et blanc 35 mm Spherical, 1,37 : 1
  • Dates de sortie : États-Unis : 10 mai 1958; France : inconnue

Distribution

  • Robert Mitchum : Lucas Doolin
  • Gene Barry : L’agent du Trésor, Troy Barrett
  • Jacques Aubuchon : Carl Kogan
  • Keely Smith : Francie Wymore
  • Trevor Bardette : Vernon Doolin
  • Sandra Knight : Roxanna Ledbetter
  • James Mitchum : Robin Doolin

Smith Keely

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Keely Smith, de son vrai nom Dorothy Jacqueline Keely, née le 9 mars 1932 à Norfolk, est une chanteuse américaine de jazz et de musique populaire des années 1950 et 1960. Elle a collaboré entre autres avec Louis Prima et Frank Sinatra.

Smith Keely Smith Keely

Née en 1932 à Norfolk (États-Unis) dans une famille d'origine cherokee et irlandaise, Keely Smith chante depuis son plus jeune âge. À 15 ans, elle est engagée dans le band de Earl Bennett. En 1948, Louis Prima, en tournée en Virginie, cherche une voix féminine pour ses concerts et, après l'avoir auditionnée, engage Keely Smith. Elle se marie avec Prima en 1953 et ils ont deux filles, Toni et Luanne. Ils enregistrent ensemble en 1958 chez Capitol Records la chanson That Old Black Magic, qui leur apporte un Grammy Award l’année suivante. Ils jouent plus tard dans le film Hey Boy! Hey Girl!.

En 1961, ils divorcent et elle commence à travailler avec Reprise Records. Après son remariage en 1963 avec Jimmy Bowen, Keely Smith se retire de la scène. Elle divorce à nouveau en 1969. Elle chante ensuite plusieurs succès comme I'm In Love Again (1985), Swing, Swing, Swing (2002), Keely sings Sinatra (2001, Keely Swings Count Basie Style with Strings (2002) et Vegas '58 - Today (2005). Le 10 février 2008, elle chante That Old Black Magic avec Kid Rock lors du 50e anniversaire des Grammy Awards.

Filmographie

L'Homme au fusil

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L'Homme au fusil (Man with the Gun) est un film américain réalisé par Richard Wilson, sorti en 1955. En 1870, dans l'Ouest américain, un professionnel est engagé pour nettoyer une ville terrorisée par des bandits.

L'Homme au fusil de Richard WilsonL'Homme au fusil de Richard Wilson

L'Homme au fusil de Richard Wilson

Fiche technique

  • Titre : L'Homme au fusil
  • Titre original : Man with the Gun
  • Réalisation : Richard Wilson
  • Scénario : Richard Wilson, N.B. Stone Jr.
  • Production : Samuel Goldwyn Jr.
  • Directeur de production : Frank Parmenter
  • Musique : Alex North
  • Directeur de la photographie : Lee Garmes
  • Montage : Gene Milford
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Format : Noir et blanc - Mono
  • Genre : Western, Film d'aventures
  • Durée : 83 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 5 novembre 1955, France : 2 mai 1956

Distribution

  • Robert Mitchum : Clint Tollinger
  • Jan Sterling : Nelly Bain
  • Karen Sharpe : Stella Atkins
  • Henry Hull : Marshal Lee Sims
  • Emile Meyer : Saul Atkins
  • John Lupton : Jeff Castle
  • Barbara Lawrence : Ann Wakefield
  • Ted DeCorsia : Frenchy Lescaux
  • Leo Gordon : Ed Pinchot
  • James Westerfield : Mr. Zender

Acteurs non crédités

  • Angie Dickinson : Kitty
  • Claude Akins : Jim Reedy
  • Stafford Repp : Arthur Jackson

Sharpe Karen

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Karen Sharpe est une actrice américaine née le 20 septembre 1934 à San Antonio, Texas (États-Unis).

Sharpe Karen

Filmographie

  • 1952 : L'Homme à l'affût (The Sniper) d'Edward Dmytryk : Millie
  • 1952 : Holiday for Sinners : Susan's younger sister (as Kay Sharpe)
  • 1952 : Strange Fascination : June
  • 1952 : Army Bound : Jane Harris
  • 1952 : Bomba and the Jungle Girl : Linda Ward
  • 1953 : The Vanquished : Lucy Colfax
  • 1953 : Mexican Manhunt : Linda Morgan
  • 1954 : Écrit dans le ciel (The High and the Mighty) de William A. Wellman : Nell Buck
  • 1955 : Mad at the World : Tess
  • 1955 : L'Homme au fusil (Man with the Gun) de Richard Wilson : Stella Atkins
  • 1956 : Man in the Vault : Betty Turner
  • 1958 : Tawara, tête de pont (Tarawa Beachhead) : Paula Nelson
  • 1959 : Johnny Ringo (série TV) : Laura Thomas (unknown episodes)
  • 1964 : Jerry chez les cinoques (The Disorderly Orderly) : Julie Blair
  • 1965 et 1966 : Les Mystères de l'Ouest (The Wild Wild West), de Michael Garrison (série TV)
  • La Nuit des Esprits de Feu (The Night of the Flaming Ghost), Saison 1 épisode 19, de Lee H. Katzin (1965) : Barbara Bosley
  • La Nuit du Cadavre (The Night of the Ready-Made Corpse), Saison 2 épisode 11, de Irving J. Moore (1966) : Rose Murphy
  • 1967 : Valley of Mystery (TV) : Connie Lane

Lawrence Barbara

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Barbara Lawrence est une actrice américaine, née Barbara Jo Lawrence le 24 février 1930 à Carnegie (Oklahoma) et morte le 13 novembre 2013 à Los Angeles (Californie).

Lawrence Barbara Lawrence Barbara

Barbara Lawrence mène une assez courte carrière à l'écran, participant pour le cinéma à seulement vingt-trois films américains, sortis entre 1945 et 1957. Mentionnons le film d'aventure Capitaine de Castille d'Henry King (1947, avec Tyrone Power et Jean Peters), la comédie dramatique Chaînes conjugales de Joseph L. Mankiewicz (1949, avec Jeanne Crain, Linda Darnell et Ann Sothern), le film musical Oklahoma ! de Fred Zinnemann (1955, avec Gordon MacRae et Gloria Grahame), ou encore le thriller Le Salaire du diable de Jack Arnold (son avant-dernier film, 1957, avec Jeff Chandler et Orson Welles). À la télévision, entre 1950 et 1962, Barbara Lawrence collabore à un téléfilm (1956) et vingt-et-une séries, dont la série-western Cheyenne (un épisode, 1956) et la première série policière Perry Mason (quatre épisodes, 1958-1962). Pour cette contribution au petit écran, une étoile lui est dédiée sur le Walk of Fame d'Hollywood Boulevard.

 

Filmographie

  • 1945 : Broadway en folie (Diamond Horseshoe), de George Seaton
  • 1946 : Margie, de Henry King
  • 1947 : Capitaine de Castille (Captain from Castile), de Henry King
  • 1948 : Choisie entre toutes (You Were Meant for Me), de Lloyd Bacon
  • 1948 : Infidèlement vôtre (Unfaithfully Yours), de Preston Sturges
  • 1948 : Broadway mon amour (Give Me Regards to Broadway), de Lloyd Bacon
  • 1948 : La Dernière Rafale (The Street with No Name), de William Keighley
  • 1949 : Les Bas-fonds de Frisco (Thieves' Highway), de Jules Dassin
  • 1949 : Chaînes conjugales (A Letter to Three Wives), de Joseph L. Mankiewicz
  • 1949 : Maman est étudiante (Mother is a Freshman), de Lloyd Bacon
  • 1950 : Peggy, de Frederick De Cordova
  • 1951 : Les Coulisses de Broadway (Two Tickets to Broadway), de James V. Kern
  • 1952 : La Star (The Star), de Stuart Heisler
  • 1952 : Here Come the Nelsons de Frederick De Cordova
  • 1953 : Arena, de Richard Fleischer
  • 1953 : Paris Model, d'Alfred E. Green
  • 1954 : Les Fils de Mademoiselle (Her Twelve Men), de Robert Z. Leonard
  • 1954 : Jesse James contre les Dalton (Jesse James vs. the Daltons), de William Castle
  • 1955 : Oklahoma !, de Fred Zinnemann
  • 1955 : L'Homme au fusil (Man with the Gun), de Richard Wilson
  • 1957 : Le Conquérant de l'Univers (Kronos), de Kurt Neumann
  • 1957 : Le Salaire du diable (Man in the Shadow), de Jack Arnold
  • 1957 : Joe Dakota, de Richard Bartlett

Télévision 

  • 1956 : Cheyenne, Saison 1, épisode 15 The Last Train West de Richard L. Bare
  • 1956 : Have Camera Will Travel, téléfilm de William A. Seiter
  • 1958 : Trackdown, Saison 2, épisode 9 The Avenger
  • 1960 : Bat Masterson, Saison 3, épisode 2 Law of the Land d'Herman Hoffman
  • 1960 : Bonanza, Saison 2, épisode 8 The Abduction de Charles F. Haas
  • 1958-1962 : Perry Mason, première série, Saison 1, épisode 26 The Case of the Half-Wakened Wife (1958), Saison 2, épisode 8 The Case of the Jilted Jockey (1958) de William D. Russell, Saison 4, épisode 13 The Case of the Envious Editor (1961) de László Benedek, Saison 5, épisode 16 The Case of the Shapely Shadow (1962) de Christian Nyby

Barbara Lawrence

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Actress - Born Barbara Jo Lawrence on Feb. 24, 1930 in Carnegie, Okla.

Barbara LawrenceBarbara Lawrence

Barbara Lawrence appeared in her first film, 1945's "Diamond Horseshoe," at just 15. The experience sparked her interest in Hollywood, and Lawrence chose to attend UCLA, where she caught the eye of talent scouts from 20th Century Fox and ultimately signed a contract.

Lawrence had roles in "A Letter to Three Wives," "The Street With No Name," "Thieves' Highway" and "Here Come the Nelsons." After her Fox contract expired, Lawrence signed with MGM. She appeared in "Arena," a 3-D movie, a technical feat at the time.

In 1951, Lawrence married Johnny Murphy. The couple had two children together, and Lawrence enjoyed the peak of her acting career during their marriage. Her most notable role was Gertie Cummings, a flirtatious girl with a memorably grating laugh, in the film version of "Oklahoma!" in 1955. Two years later, Lawrence divorced Murphy.

After "Oklahoma!" Lawrence appeared in only four more films. She turned her focus to television, making guest appearances on "Four Star Playhouse," "Riverboat," "The Man From Blackhawk" and "Perry Mason."

Lawrence married Lester R. Nelson in 1961 and spent some time living in South America. The marriage produced two more children. Her 1962 role as Sadie Wren in an episode of "The Tall Man" was Lawrence's last acting job. She retired that year, instead getting her real estate license and beginning to practice her trade in Beverly Hills. She also wrote a novel, "Welcome to the Jungle," a fictitious tale inspired by her experience in South America.

Barbara Lawrence made her first appearance onscreen in George Seaton's "Diamond Horseshoe." The 1945 film starred Betty Grable, Dick Haymes and Phil Silvers.

— Carina MacKenzie for the Los Angeles Times June 23, 2010

Belle mais dangereuse

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Belle mais dangereuse (She Couldn't Say No) est un film américain réalisé par Lloyd Bacon et sorti en 1954. Corby Lane revient dans une petite ville d'Arkansas. Sur place, elle fait la connaissance du docteur Sellers, un bon vivant qui aime la pêche et sa tranquillité. Toute le charme du couple Jean Simmons-Robert Mitchum.

 

Belle mais dangereuse de Lloyd BaconBelle mais dangereuse de Lloyd Bacon

Belle mais dangereuse de Lloyd Bacon

Fiche technique

  • Titre : Belle mais dangereuse
  • Titre original : She Couldn't Say No
  • Réalisation : Lloyd Bacon
  • Scénario : D. D. Beauchamp, William Bowers et Richard Flournoy, d'après une histoire de D. D. Beauchamp
  • Musique : Roy Webb
  • Directeur de la photographie : Harry J. Wild
  • Montage : George Amy
  • Direction artistique : Carroll Clark et Albert S. D'Agostino
  • Décorateur de plateau : Harley Miller et Darrell Silvera
  • Costumes : Michael Woulfe
  • Producteur : Robert Sparks
  • Société de production : RKO Radio Pictures
  • Société de distribution : RKO Radio Pictures
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Format : Noir et blanc - Son : Mono (RCA Sound System)
  • Genre : comédie dramatique
  • Durée : 89 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 15 février 1954

Distribution

  • Robert Mitchum : Docteur Robert Sellers
  • Jean Simmons : Corby Lane
  • Arthur Hunnicutt : Odie Chalmers
  • Edgar Buchanan : Ed Meeker
  • Wallace Ford : Joe Wheelen
  • Raymond Walburn : Juge Hobart
  • Jimmy Hunt : Digger
  • Ralph Dumke : Shérif
  • Hope Landin : MISS McMurtry
  • Gus Schilling : Ed Gruman
  • Eleanor Todd : Sally Watson
  • Pinky Tomlin : Elmer Wooley

Bandido caballero

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Bandido caballero (Bandido) est un film américain réalisé par Richard Fleischer, sorti en 1956. Au Mexique, en 1916 la Révolution bat son plein, alors que l'issu des combats reste incertain par manque d'armes, un aventurier américain nommé Kennedy vient en proposer un chargement aux troupes gouvernementales. Pendant les transactions avec le général Brucero, il s'installe avec sa femme dans un hôtel où se trouve déjà Wilson, un de ses compatriotes. Wilson est un aventurier bien renseigné qui semble avoir épousé la cause d'Escobar le chef des rebelles, mais ceux-ci l'ignorent.

Alors il se rend sur la zone des combats et avec quelques grenades bien placées retourne la situation à l'avantage des rebelles qui le surnomment "Le Scorpion". Pour résoudre le problème des armes Wilson propose à Escobar de voler celles que Kennedy destine à l'armée. L'affaire est conclue, il ne reste plus qu'à trouver où est caché le chargement et de se l'approprier les premiers. Pour Wilson il y a un bonus: la femme de Kennedy la belle Lisa.

 

Bandido caballero de Richard FleischerBandido caballero de Richard Fleischer

Bandido caballero de Richard Fleischer

Fiche technique

  • Titre français :Bandido Caballero
  • Titre original :Bandido
  • Réalisation : Richard Fleischer
  • Scénario : Earl Felton
  • Production : Bandido Productions, D.R.M. Productions, Unidad-Mexico
  • Musique : Max Steiner
  • Image : Ernest Laszlo
  • Montage : Robert Golden
  • Type : Western
  • Durée : 88 minutes, couleur

Distribution

  • Robert Mitchum (VF : Roger Tréville) : Richard Wilson
  • Ursula Thiess (VF : Jacqueline Ferriere) : Lisa Kennedy
  • Gilbert Roland (VF : Serge Nadaud) : le colonel Escobar
  • Zachary Scott (VF : Jean Martinelli) : Kennedy
  • Rodolfo Acosta (VF : Jean-Henri Chambois) : Sebastian
  • José Torvay : Gonzalez
  • Henry Brandon (VF : André Valmy) : Gunther
  • Douglas Fowley : McGhee
  • Miguel Inclán : le prêtre

Pour que vivent les hommes

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Pour que vivent les hommes (Not as a Stranger) est un film américain réalisé par Stanley Kramer et sorti en 1955. Lucas Marsh peine à terminer son doctorat en médecine. Il épouse, par intérêt, une femme plus âgée, la très dévouée Kristina, sachant qu’elle sera un tremplin pour sa carrière. Ainsi, elle contribue largement à la renommée de son mari et ils s’établissent dans une petite ville. Lucas devient l’amant d'Harriet, la vamp locale, ce qui mine le couple. Kristina demande le divorce et, sur ces entrefaits, Lucas se voit contraint d’opérer en urgence le docteur Runkleman, victime d’une crise cardiaque. Son intervention se solde par le décès du patient…

Pour que vivent les hommes de Stanley KramerPour que vivent les hommes de Stanley Kramer

Pour que vivent les hommes de Stanley Kramer

Fiche technique

  • Titre français : Pour que vivent les hommes
  • Titre d'origine : Not as a Stranger
  • Réalisation : Stanley Kramer
  • Scénario : Edna Anhalt et Edward Anhalt d'après le roman éponyme de Morton Thompson
  • Production : Stanley Kramer
  • Société de production : Stanley Kramer Productions
  • Société de distribution : United Artists
  • Musique : George Antheil
  • Photographie : Franz Planer
  • Montage : Frederic Knudtson
  • Direction artistique : Howard Richmond et Rudolph Sternad
  • Décors de plateau : Victor Gangelin
  • Costumes : Don Loper
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Format : noir et blanc — 1.85:1 — son monophonique (RCA Sound Recording) — 35 mm
  • Genre : drame
  • Durée : 135 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 28 juin 1955 (New York) ; France : 14 mars 1956 (Paris)

Distribution

  • Olivia de Havilland : Kristina Hedvigson
  • Robert Mitchum : Lucas Marsh
  • Frank Sinatra : Alfred Boone
  • Gloria Grahame : Harriet Lang
  • Broderick Crawford : Dr. Aarons
  • Charles Bickford : Dr. Dave W. Runkleman
  • Myron McCormick : Dr. Snider
  • Lon Chaney Jr. : Job Marsh
  • Jesse White : Ben Cosgrove
  • Harry Morgan : Oley
  • Lee Marvin : Brundage
  • Virginia Christine : Bruni
  • Whit Bissell : Dr. Dietrich
  • Jack Raine : Dr. Lettering
  • Mae Clarke : Nurse Odell
  • Juanita Moore (non créditée) : Mme Clara Bassett (non crédité)
  • Jerry Paris (non crédité) : Thompson
  • Harry Shannon (non crédité) : Ed, un patient âgé
  • Carl 'Alfalfa' Switzer (non crédité) : Père Inattendu
  • Will Wright (non crédité) : M. Roberts
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