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Rivers Joan

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Joan Alexandra Molinsky, plus connue sous le nom de Joan Rivers, est une actrice et animatrice de télévision américaine, née le 8 juin 1933 à New York et morte le 4 septembre 2014 dans la même ville.

Rivers Joan

Elle a tourné des films et participé à des débats télévisés. Elle a aussi une longue carrière en tant que comédienne à Broadway et a été nommée aux Tony Awards. Joan Alexandra Molinsky naît dans l'arrondissement new-yorkais de Brooklyn. Ses parents s'installent ensuite à Larchmont. Elle intègre Connecticut College, une université d'arts libéraux, puis poursuit ses études au Barnard College. Membre du club estudiantin Phi Beta Kappa, elle obtient en 1954 un Bachelor of Arts en littérature anglaise. Elle est employée au département publicité de la chaîne de grands magasins Lord & Taylor, puis travaille pour Bond Clothing Stores (en). Elle épouse James Sanger, le fils d'un collaborateur du fabricant de vêtements, mais le couple divorce six mois plus tard.

Contre l'avis de ses parents, elle décide d'entreprendre une carrière d'actrice. Elle tient de petits rôles dans des productions Off-Broadway. Pour subvenir à ses besoins, elle travaille comme intérimaire et écrit un spectacle de stand-up, qu'elle joue dans les clubs à la fin des années 1950. Elle adopte alors le nom de scène « Joan Rivers ». En 1965, Joan Rivers est invitée à se produire dans The Tonight Show, le talk-show de fin de soirée animé par Johnny Carson et diffusé sur le réseau NBC. Elle se fait connaître du grand public grâce à l'émission, qui la réinvite à plusieurs reprises. Au cours des années 1980, elle remplace régulièrement l'animateur lorsque celui-ci s'absente de l'antenne. En 1986, Rivers obtient son propre talk-show, The Late Show, diffusé par Fox Network au même horaire que The Tonight Show, ce qui irrite Johnny Carson. L'animateur coupe les ponts avec Joan Rivers, et ne la réinvitera jamais plus dans son émission.

Joan Rivers et sa fille Melissa réalisent des interviews de célébrités lors des cérémonies de remise de prix, notamment les Emmy Awards. Leur émission est diffusée par la chaîne E! à partir de 1996 et attire 1,6 million de téléspectateurs lors de sa dernière diffusion en 2003. L'année suivante, Rivers et sa fille signent un contrat de 8 millions de dollars et sont recrutées par TV Guide Channel pour animer une émission similaire. En 2006, Joan Rivers conduit sa 1 000e interview avant la 58e cérémonie des Primetime Emmy Awards. À partir de septembre 2010, elle coanime l'émission hebdomadaire Fashion Police sur la chaîne E!, filiale de NBCUniversal. En compagnie de Giuliana Rancic, Kelly Osbourne et George Kotsiopoulos, elle critique les tenues vestimentaires des stars.

En 2008, Ricki Stern et Annie Sundberg la suivent durant plusieurs mois afin de réaliser un film documentaire à son sujet. Intitulé Joan Rivers: A Piece of Work, il voit le jour deux ans plus tard. Pendant plus de vingt ans, Joan Rivers soutient l'organisation caritative God's Love We Deliver, qui fournit des repas gratuits aux résidents de New York atteints de maladies graves. Membre du conseil d'administration, elle a aidé à collecter les fonds nécessaires à la rénovation du siège de l'association. L'actrice distribue des repas avec des membres de sa famille, notamment à l'occasion de Thanksgiving. Les grands parents de Joan Rivers se sont installés aux États-Unis afin de fuir la révolution russe.

Sa première opération de chirurgie esthétique a lieu en 1965, alors qu'elle est âgée de 32 ans. Son nez est aminci en 1983. Rivers soutient le recours à la chirurgie esthétique pour les personnes âgées. Elle s'injectait souvent du botox et du collagène. Le 28 août 2014, elle est opérée des cordes vocales par un médecin de l'Upper East Side. Durant l'intervention, elle est victime d'un arrêt cardiaque. L'actrice est transportée au Mount Sinai Hospital, où les médecins la plongent dans un coma artificiel. Le State Health Department lance une enquête à la suite de sa mort, déclarée le 4 septembre 2014. Une étoile est dédiée à Joan Rivers sur le Walk of Fame d'Hollywood.

Filmographie

  • 1965 : Once Upon a Coffee House ;
  • 1968 : The Swimmer ;
  • 1984 : Les Muppets à Manhattan de Frank Oz : Eileen ;
  • 1987 : La Folle Histoire de l'espace : Dot Matrix (voix) ;
  • 2000 : Dans les griffes de la mode ;
  • 2004 - 2005 : Nip/Tuck : jouant son propre rôle ;
  • 2011 : elle apparait dans la saison 2 de Louie, jouant son propre rôle ;
  • 2011 : elle apparaît dans Les Schtroumpfs.
  • 2012 : Drop Dead Diva : elle-même (#4.9)
  • 2013 : elle apparaît dans Iron Man 3, jouant son propre rôle dans son émission.

Dîner de gala aux ambassadeurs

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Dîner de gala aux ambassadeurs est un court métrage français réalisé par Sacha Guitry en 1934. Trois sketches successifs : appels téléphoniques de Sacha Guitry pour inviter au dîner de gala des Ambassadeurs : Pauline Carton : Gaston Severin : Pauley.

Dîner de gala aux ambassadeurs

Fiche technique

  • Réalisation : Sacha Guitry
  • Scénario et Dialogue : Sacha Guitry
  • Pellicule 35 mm, noir et blanc
  • Durée : 5 minutes pour un métrage de 145 m

Distribution

  • Sacha Guitry : lui-même téléphonant
  • Pauline Carton : elle-même
  • Paul Pauley : lui-même
  • Gaston Séverin : lui-même
  • Colette Mars

La Loi du 21 juin 1907

Ledoux Fernand

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Fernand Ledoux est un acteur de théâtre et de cinéma d'origine belge, né à Tirlemont, en Belgique le 24 janvier 1897, mort à Villerville (Calvados), le 21 septembre 1993. 

Ledoux Fernand

Fernand Ledoux, était le fils d'un grossiste en vins et d'une fille de dentellière. Il fait ses études au collège de Tirlemont, puis au séminaire de Saint-Trond. Après la Première Guerre mondiale, en 1919, il arrive à Paris et commence à suivre les cours de Raphaël Duflos au Conservatoire national d'art dramatique. Il y obtient un deuxième prix de comédie. Il débute ensuite dans de petits rôles, en particulier à la Comédie-Française. Bien que ce soit le cinéma qui l'ait rendu populaire, avec près de 80 films tournés, il est avant tout homme de théâtre.

Jacques Feyder, qui l'a remarqué au Conservatoire, lui offre son premier rôle au cinéma dans La Faute d'orthographe en 1919. Il l'engage à nouveau dans L'Atlantide en 1921. Ledoux prend à 23 ans la nationalité française. De 1931 à 1942, il est sociétaire de la Comédie-Française. On le remarque particulièrement dans La Bête humaine de Jean Renoir en 1938, et en 1941 Maurice Tourneur lui donne un très beau rôle de personnage ombrageux dans Volpone. En 1938, Pierre Dux, Fernand Ledoux et Alfred Adam ouvrent un cours de théâtre dans un studio au dernier étage du Théâtre Pigalle. En 1942, il cesse ses activités à la Comédie-Française pour éviter de jouer devant l'occupant, et se consacre exclusivement au cinéma. Cette même année, il est remarquable dans Goupi Mains Rouges de Jacques Becker et dans Les Visiteurs du soir de Marcel Carné.

En 1956, il joue un rôle de Français moyen bougon, dans le film Papa, maman, ma femme et moi, avec Robert Lamoureux. De 1958 à 1967, il donne des cours de dramaturgie au Conservatoire national d'art dramatique. Il a notamment comme élèves Suzanne Flon, Claude Brosset, Guy Tréjan, Élisabeth Alain, Jacques Lassalle et Michel Duchaussoy. Il joue également dans quelques productions américaines, comme Le Jour le plus long en 1961, et Le Jour d'après de Robert Parrish en 1964. Il tourne avec de grands réalisateurs comme, Orson Welles, Jacques Demy, Claude Chabrol, et se retire des écrans après Mille milliards de dollars d'Henri Verneuil, en 1981. On le voit aussi dans de nombreux téléfilms. Fernand Ledoux était marié à Fernande Thabuy, morte en 1997, avec laquelle il eut quatre enfants. Grand amateur de la côte normande, qu'il aimait peindre, il vécut à Pennedepie, puis à Villerville où il est mort à 96 ans. Il repose dans cette ville.

Filmographie

  •  1918 : La Faute d'orthographe (Court métrage) de Jacques Feyder
  •  1919 : Le Carnaval des vérités de Marcel L'Herbier
  •  1919 : Le Fils de monsieur Ledoux d'Henry Krauss
  •  1920 : Villa destin de Marcel L'Herbier
  •  1920 : L'Atlantide de Jacques Feyder
  •  1922 : Molière, sa vie, son oeuvre de Jacques de Féraudy (Extraits de pièces de Molière)
  •  1932 : L'Homme à la barbiche (Court métrage) de Louis Valray : L'assistant du détective
  •  1934 : Le Train de huit heures quarante-sept d'Henry Wulschleger : L'adjudant Flick
  •  1935 : Les Souliers (Court métrage) de Maurice Cloche
  •  1935 : Folies-Bergère de Marcel Achard et Roy Del Ruth (version française de Folies Bergère de Paris de Roy Del Ruth, 1935) : François
  •  1936 : Mayerling d'Anatole Litvak : Philippe de Cobourg
  •  1936 : Le Vagabond bien-aimé de Curtis Bernhardt : Major Walters
  •  1936 : Tarass Boulba d'Alexis Granowsky : Tovkatch, l'ivrogne
  •  1938 : La Bête humaine de Jean Renoir : Roubaud, le sous-chef de gare et mari de Séverine
  •  1938 : Alerte en Méditerranée de Léo Joannon : Martin
  •  1938 : Altitude 3,200 de Jean Benoît-Lévy et Marie Epstein : Le docteur
  •  1941 : Volpone de Maurice Tourneur : Corvino
  •  1941 : Premier Rendez-vous d'Henri Decoin : Nicolas Rougemont
  •  1941 : Remorques de Jean Grémillon : Kerlo, le bosco
  •  1941 : L'Assassinat du Père Noël de Christian-Jaque : Noirgoutte, le maire
  •  1941 : Premier Bal de Christian-Jaque : Michel Noblet
  •  1942 : Le Lit à colonnes de Roland Tual : Porey-Cave
  •  1942 : La Loi du 21 juin 1907 (Court métrage) de Sacha Guitry : Maître Blanc-Bec
  •  1942 : Les Visiteurs du soir de Marcel Carné : Le baron Hugues
  •  1943 : Untel Père et Fils de Julien Duvivier : Le maire
  •  1943 : La Grande Marnière de Jean de Marguenat : Carvajan, le vieil usurier
  •  1943 : Goupi Mains Rouges de Jacques Becker : Léopold Goupi dit Goupi-Mains-Rouges
  •  1943 : Des jeunes filles dans la nuit de René Le Hénaff : Auguste
  •  1943 : Etoiles de demain (Court métrage) de René Guy-Grand : Un professeur d'art dramatique
  •  1943 : L'Homme de Londres d'Henri Decoin : Maloin, l'aiguilleur
  •  1944 : Béatrice devant le désir de Jean de Marguenat : Le docteur Mauléon
  •  1945 : La Fille aux yeux gris de Jean Faurez : Le père Christophe
  •  1945 : Sortilèges de Christian-Jaque : Fabret, le lièvre
  •  1946 : La Fille du diable de Henri Decoin : Le docteur
  •  1946 : La Rose de la mer de Jacques de Baroncelli : Romain Jardehu, le capitaine
  •  1947 : Danger de mort de Gilles Grangier : Loiseau, le pharmacien
  •  1948 : Éternel conflit de Georges Lampin : Le professeur Janvier
  •  1948 : L'Ombre d'André Berthomieu : Firmin Blache, le crémier
  •  1949 : Pattes blanches de Jean Grémillon : Jock Le Guen, le cabaretier
  •  1949 : Le Mystère Barton de Charles Spaak : Beverley, le financier
  •  1949 : Monseigneur de Roger Richebé : Piétrefond, historien archiviste
  •  1949 : Histoires extraordinaires de Jean Faurez : Montrésor
  •  1949 : Symphonie d'un destin (Court métrage) de Georges Ferry
  •  1952 : Les loups chassent la nuit (La ragazza di Triestre) de Bernard Borderie : Thomas Mollert, journaliste et chef de réseau
  •  1953 : Un acte d'amour (Act of love) d'Anatole Litvak : Fernand Lacaud
  •  1953 : On ne badine pas avec l'amour (Court métrage) de Jean Desailly
  •  1953 : Moïse (Documentaire) de Bernard de Pré : Le narrateur
  •  1953 : Masques et visages de James Ensor (Documentaire) de Paul Haesaerts : Le narrateur
  •  1954 : Papa, maman, la bonne et moi de Jean-Paul Le Chanois : Fernand Langlois, professeur dans un institut public
  •  1954 : Napoléon de Sacha Guitry : Lazare Carnot (scène coupée au montage)
  •  1954 : La Barrique d'Amontillado (Court métrage) issu du film Histoires extraordinaires de Jean Faurez
  •  1955 : Fortune carrée de Bernard Borderie : Le Cadi
  •  1955 : Les Hommes en blanc, de Ralph Habib : Dr. Delpuech
  •  1956 : Papa, maman, ma femme et moi de Jean-Paul Le Chanois : Fernand Langlois, professeur dans un institut public
  •  1956 : La Loi des rues de Ralph Habib : Père Blain, le patron du bistrot
  •  1956 : Les Aventures de Till l'espiègle de Gérard Philipe et Joris Ivens : Mr Claes, le père de Till
  •  1957 : Celui qui doit mourir de Jules Dassin : Grigoris, le pope
  •  1957 : Les Violents d'Henri Calef : Pierre Tiercelin, l'éclusier
  •  1958 : Les Misérables de Jean-Paul Le Chanois : Monseigneur Myriel (dans la première époque)
  •  1958 : Christine de Pierre Gaspard-Huit : Weiring, le père de Christine
  •  1959 : J'irai cracher sur vos tombes de Michel Gast : Horace Chandley
  •  1960 : Carthage en flammes (Cartagine in flamme) de Carmine Gallone
  •  1960 : Recours en grâce de László Benedek : Le curé
  •  1960 : La Vérité d'Henri-Georges Clouzot : Le médecin légiste
  •  1961 : Le Grand Risque (The big gamble) de Richard Fleischer et Elmo Williams : Le douanier
  •  1962 : Le Jour le plus long (The Longest Day) de Ken Annakin, Andrew Marton, Bernhard Wicki et Darryl Zanuck : Louis
  •  1962 : Freud, passions secrètes (Freud, the Secret Passion) de John Huston : Dr. Charcot
  •  1962 : Le Procès (The Trial) d'Orson Welles : Le procureur de la cour de justice
  •  1963 : Le Glaive et la Balance d'André Cayatte : Le procureur
  •  1965 : Le Jour d'après (Up from the beach) de Robert Parrish : Barrelmaker
  •  1965 : La Communale de Jean L'Hôte : L'inspecteur
  •  1968 : Sous le signe du taureau de Gilles Grangier : Le juge
  •  1970 : Peau d'Âne de Jacques Demy : Le roi rouge
  •  1973 : Moi y'en a vouloir des sous de Jean Yanne : Sauveur Chouras
  •  1973 : Bel Ordure de Jean Marbœuf : Le gardien de prison
  •  1973 : Les Granges brûlées de Jean Chapot : Le doyen des juges
  •  1974 : Les Chinois à Paris de Jean Yanne : Frugebelle
  •  1977 : Alice ou la Dernière Fugue de Claude Chabrol : Le docteur
  •  1977 : À chacun son enfer d'André Cayatte : Le père de Bernard
  •  1982 : Mille milliards de dollars d'Henri Verneuil : Guérande
  •  1982 : Les Misérables de Robert Hossein : Gillenormand

 

Gravey Fernand

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Fernand Gravey (Fernand Maurice Noël Martens de son vrai nom) est un acteur belge né à Ixelles (Bruxelles) le 25 décembre 1905. Il décède le 2 novembre 1970 à Paris. 

Gravey Fernand

Fernand Gravey nait à Ixelles (Belgique) le 25 décembre 1905. Ses parents, Fernande Dépernay et Georges Mertens (qui fut d'abord régisseur au théâtre des Galeries, à Bruxelles) sont comédiens. Enfant, il joue dans cinq films belges du cinéaste Alfred Machin : Saïda a enlevé Manneken-Pis ; Un épisode de Waterloo ; Monsieur Beulemeester, garde civique ; Trente ans ou la vie d’un joueur en 1913 et La Fille de Delft en 1914.

Pendant la Première Guerre mondiale, il séjourne en Angleterre. Adolescent, il s'oriente vers le théâtre. Il s'installe à Paris à la fin des années 1920 où il se fait connaître sous le nom de Fernand Gravey. Il paraît dans des petites revues parisiennes et charmantes auprès d'Arletty, Jeanne Renouardt, qu'il épousera en 1928, et Cora Lynn, future Edwige Feuillères. Il est embauché par la Paramount qui vient de construire des studios près de la capitale française.

EVDG (Engagé volontaire pour la durée de la guerre) à la Légion étrangère de 1944 à 1945, sous son nom véritable de Mertens, il est affecté au régiment de marche de la Légion étrangère. Il fait campagne en France et en Allemagne. De retour dans ses foyers, avec le grade de lieutenant de réserve, il poursuit sa carrière de comédien. Il obtient la nationalité française. Il sera nommé première classe d'honneur de la Légion étrangère sous le matricule 95.454 en 1952. Fernand Gravey joue de très nombreux rôles au théâtre, au cinéma et à la télévision. Le plus important est celui de Charles Breitkopf, l’époux d'Emma jouée par Danielle Darrieux dans La ronde (1950) de Max Ophüls.

On le voit également jouer un rôle dans Le facteur sonne toujours deux fois ou dans le rôle de Pierre Leblanc dans Paradis perdu d'Abel Gance. Après avoir joué avec des réalisateurs prestigieux comme Sacha Guitry, Abel Gance et Henri Verneuil, il s'investit pendant ses dernières années davantage pour des pièces de boulevard au théâtre. Fernand Gravey s'éteint le 2 novembre 1970 suite à un infarctus du myocarde. Il est inhumé au cimetière de Saint-Cloud (Hauts de Seine).

Filmographie

  • 1930 : L'Amour chante de Robert Florey : (Armand Petitjean)
  • 1930 : Chérie de Louis Mercanton : (Burton)
  • 1930 : Our Blushing Brides d'Harry Beaumont
  • 1931 : Marions-nous (Sa nuit de noces) de Louis Mercanton : (Francis Latour)
  • 1931 : Tu sera duchesse de René Guissart : (Le marquis André de La-Cour)
  • 1931 : Un homme en habit de René Guissart : (André de Lussanges)
  • 1931 : Coiffeur pour dames de René Guissart : (Mario)
  • 1932 : Le Fils improvisé de René Guissart
  • 1932 : Passionnément de René Guissart : (Robert Perceval)
  • 1932 : À moi le jour, à toi la nuit de Ludwig Berger et Claude Heymann : (Albert)
  • 1932 : Early to bed de Ludwig Berger (version anglaise d' À moi le jour, à toi la nuit) : (Carl)
  • 1932 : Une étoile disparaît de Robert Villiers : (Lui-même)
  • 1933 : Le Père prématuré de René Guissart : (Edouard et Fred)
  • 1933 : C'était un musicien de Frédéric Zelnik et Maurice Gleize : (Jean)
  • 1933 : La Guerre des valses de Ludwig Berger : (Franz)
  • 1933 : Bitter Sweet d'Herbert Wilcox : (Carl Linden)
  • 1934 : La Reine - (The Queen's Affair) d'Herbert Wilcox : (Carl)
  • 1934 : Antonia, romance hongroise de Max Neufeld et Jean Boyer : (Le capitaine Douglas parker)
  • 1934 : Si j'étais le patron de Richard Pottier : (Henri Janvier)
  • 1934 : Nuit de mai de Gustav Ucicky et Henri Chaumette : (Le baron Neuhaus)
  • 1935 : Monsieur Sans-Gêne de Karl Anton : (Fernand Martin)
  • 1935 : Variétés, de Nicolas Farkas
  • 1935 : Touche à tout de Jean Dréville : (Georges Martin dit Touche à tout)
  • 1935 : Fanfare d'amour de Jean Dréville : (Jean)
  • 1936 : Sept hommes, une femme d'Yves Mirande : (Brémontier)
  • 1936 : Mister Flow (Les Amants traqués) de Robert Siodmak : (Antonin Rose)
  • 1936 : Le Grand refrain ou Symphonie d'amour d'Yves Mirande et Robert Siodmak : (Charles Panard, compositeur de talent)
  • 1937 : Le Mensonge de Nina Petrovna de Victor Tourjansky : (Le lieutenant Franz Korff)
  • 1937 : Le Roi et la figurante - (The King and the Chorus Girl) de Mervyn LeRoy : (Alfred Bruger VII)
  • 1938 : Toute la ville danse (The Great Waltz) de Julien Duvivier : (Johann Strauss)
  • 1938 : La Peur du scandale - (Fools for Scandal) de Mervyn LeRoy : (René Viladel)
  • 1939 : Le Dernier Tournant de Pierre Chenal : (Franck)
  • 1940 : Paradis perdu d'Abel Gance : (Pierre Leblanc)
  • 1941 : Histoire de rire de Marcel L'Herbier : (Gérard Barbier)
  • 1942 : La Nuit fantastique de Marcel L'Herbier : (Denis)
  • 1942 : Romance à trois de Roger Richebé : (Charles)
  • 1943 : Le Capitaine Fracasse d'Abel Gance d'après Théophile Gautier : (Le baron de Cigognac)
  • 1943 : La Rabouilleuse de Fernand Rivers d'après Honoré de Balzac : (Le colonel Philippe Brideau)
  • 1943 : Domino de Roger Richebé : (Dominique)
  • 1944 : Pamela de Pierre de Hérain : (Barras)
  • 1946 : Il suffit d'une fois de Andrée Feix : (Jacques Revel)
  • 1947 : Capitaine Blomet d'Andrée Feix : (Le capitaine Blomet)
  • 1948 : Du Guesclin de Bernard de La Tour : (Bertrand du Guesclin, petit noble qui deviendra Grand Connétable de France)
  • 1950 : La Ronde de Max Ophüls : (Charles Breitkopf, le mari)
  • 1950 : Le Traqué (Gunman in the Streets) de Frank Tuttle : (Le commissaire Dufresne)
  • 1950 : Le Traqué (version anglaise) de Boris Lewin : (Le commissaire Dufresne)
  • 1950 : Mademoiselle Josette, ma femme de André Berthomieu : (André Ternaz)
  • 1951 : Ma femme est formidable d'André Hunebelle : (Raymond Corbier, sculpteur)
  • 1952 : Le Plus heureux des hommes d'Yves Ciampi (également scénariste) : (Armand Dupuis-Martin)
  • 1952 : Mon mari est merveilleux d'André Hunebelle : (Claude Chatel)
  • 1953 : L'Âge de l'amour - (L'Eta dell'amore) de Lionello de Felice : (Le père d'Andréa, président du tribunal)
  • 1954 : Si Versailles m'était conté de Sacha Guitry : (Molière)
  • 1955 : Treize à table d'André Hunebelle, d'après Marc-Gilbert Sauvajon : (Antoine Villardier)
  • 1956 : Courte tête de Norbert Carbonnaux : : (Un escroc notoire, alias : Olivier Parker, faux entraîneur hippique)
  • 1956 : Mitsou de Jacqueline Audry : (Pierre Duroy-Lelong)
  • 1957 : La Garçonne de Jacqueline Audry : (Georges Sauvage)
  • 1958 : L'École des cocottes de Jacqueline Audry : (Stanislas de La Ferronnière)
  • 1958 : Le Temps des œufs durs de Norbert Carbonnaux : (Raoul Grandvivier, peintre râté)
  • 1958 : Parisien malgré lui ou Toto à Paris - (Tot a Parigi)de Camillo Mastrocinque : (Le docteur Duclos)
  • 1961 : Les Croûlants se portent bien de Jean Boyer : (M. Legrand)
  • 1962 : Les Petits Matins (Mademoiselle Stop) de Jacqueline Audry : (L'homme à la cadillac)
  • 1966 : Aventure à Beyrouth - (La Dama de Beirut) de Ladislao Vajda : (Le docteur Costello)
  • 1966 : Comment voler un million de dollars - (How to steal a Million) de William Wyler : (M. Grammont)
  • 1968 : La Bataille de San Sebastian d'Henri Verneuil : (Le gouverneur)
  • 1969 : La Folle de Chaillot (The Madwoman of Chaillot) de Bryan Forbes d'après Jean Giraudoux : (L'officier de police)
  • 1970 : Les Caprices de Marie de Philippe de Broca : (Le capitaine Ragot)
  • 1970 : La Promesse de l'aube de Jules Dassin d'après Romain Gary : (Jean-Michel Sérusier)
  • 1971 : L'Explosion de Marc Simenon : (M. Labize)

 

Cœurs impatients

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Cœurs impatients

Cœurs impatients (Our Blushing Brides) est un film américain réalisé par Harry Beaumont, sorti en 1930.

Fiche technique

  • Titre français : Cœurs impatients
  • Titre original : Our Blushing Brides
  • Réalisation : Harry Beaumont
  • Scénario : Bess Meredyth et John Howard Lawson d'après une histoire de Bess Meredyth
  • Dialogues : Bess Meredyth (en), John Howard Lawson et Edwin Justus Mayer
  • Production : Harry Beaumont
  • Société de production et de distribution : Metro-Goldwyn-Mayer
  • Photographie : Merritt B. Gerstad
  • Montage : George Hively et Harold Palmer (non crédité)
  • Direction artistique : Cedric Gibbons
  • Costumes : Adrian
  • Chorégraphie : Albertina Rasch
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : Anglais
  • Format : Noir et blanc - Son : Mono (Western Electric Sound System)
  • Genre : Drame
  • Durée : 102 minutes
  • Date de sortie : États-Unis 19 juillet 1930

Distribution

  • Joan Crawford : Geraldine 'Gerry' March
  • Anita Page : Connie Blair
  • Dorothy Sebastian : Francine 'Franky' Daniels
  • Robert Montgomery : Tony Jardine
  • Raymond Hackett : David 'Davey' Jardine
  • John Miljan : Martin W. 'Marty' Sanderson
  • Hedda Hopper : Mrs. Lansing Ross-Weaver
  • Albert Conti : Monsieur Pantoise
  • Edward Brophy : Joseph Aloysius 'Joe' Munsey
  • Robert Emmett O'Connor : The Detective (as Robert O'Connor)
  • Martha Sleeper : Evelyn Woodforth
  • Gwen Lee : Miss Dardinelle, un mannequin
  • Mary Doran : Eloise, un mannequin
  • Catherine Moylan : Un mannequin
  • Norma Drew : Un mannequin
  • Claire Dodd : Un mannequin
  • Wilda Mansfield : Un mannequin

Marions-nous

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Marions-nousMarions-nous est un film français réalisé par Louis Mercanton, sorti en 1931. Un gai luron, amoureux d'une sympathique jeune fille, se retrouve marie a une mignonne actrice, en voulant rendre service a un ami volage. Le film a été tourné simultanément en plusieurs versions, française (Louis Mercanton), allemande (E.W. Emo), espagnole (Louis Mercanton et Florian Rey) et portugaise (E.W. Emo). Une version américaine, Her Wedding Night, a été réalisée en 1930 par Frank Tuttle avec Clara Bow. En 1931, le film a été tourné en plusieurs langues, notamment une version espagnole par Louis Mercanton, Su noche de bodas, avec Imperio Argentina.

 

Fiche technique

  • Titre : Marions-nous
  • Premier titre : Sa nuit de noces
  • Réalisation : Louis Mercanton
  • Scénario et dialogues : Saint-Granier, d'après l'œuvre de Avery Hopwood et Henry Meyers
  • Musique : Charles Borel-Clerc, Richard A. Whiting et Saint-Granier
  • Photographie : René Guissart
  • Société de production : Paramount Pictures
  • Lieux du tournage : Les Studios Paramount, Joinville-le-Pont
  • Pays d'origine : France
  • Format : Noir et blanc - 1.20 : 1 - Mono - 35 mm
  • Genre : Comédie dramatique
  • Durée : 94 minutes
  • Date de sortie : 1931

Distribution

  • Alice Cocéa : Gisèle Landry
  • Fernand Gravey : Francis Latour
  • Marguerite Moreno : Mme Marshall
  • Robert Burnier : Claude Mallet
  • Pierre Etchepare : Adolphe
  • Jacqueline Delubac : Simone
  • Hélène d'Algy : Lolita
  • Véra Flory : Maroussia
  • Marcelle Lucas
  • Marcel Carpentier
  • André Siméon
  • Jean Mercanton
  • Handrey Bodson
  • Jean Granier
  • Lucien Gallas
  • M. Fretel
  • Loutte Isnard
  • Odette Laigre
  • Lise Hestia
  • Janine Mirande

Un homme en habit

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Un homme en habit est un film français réalisé par René Guissart, sorti en 1931. Complètement ruiné, André n'a plus pour toute fortune que l'habit de soirée dont il est revêtu. Il est engagé comme contrôleur dans un petit théâtre et y rencontre sa femme avec laquelle il est en instance de divorce. Elle lui annonce qu'il vient d'hériter et qu'elle l'aime toujours.


 

Un homme en habit

Fiche technique

  • Titre : Un homme en habit
  • Réalisation : René Guissart, assisté de Robert Bossis
  • Scénario : John McDermott, d'après la pièce L'Homme en habit1 d'Yves Mirande et André Picard, créée en 1920
  • Adaptation et dialogues : Saint-Granier
  • Société de production : Les Studios Paramount
  • Musique : Charles Borel-Clerc, Lionel Cazaux et Casimir Oberfeld
  • Photographie : Ted Pahle
  • Pays d'origine : France - États-Unis
  • Format : Noir et blanc - 1,20 : 1 - Mono - 35 mm
  • Genre : Comédie dramatique
  • Durée : 88 minutes
  • Date de sortie : 26 juin 1931

Distribution

  • Fernand Gravey : André de Lussanges
  • Diana : Gaby
  • Suzy Vernon : Germaine de Lussanges
  • Pola Illéry : Totoche
  • Pierre Etchepare : Pierre d'Allouville
  • Louis Baron fils : L'huissier Buffetaut
  • Jany Holt : Ninette
  • Paul Pauley : Le valet de chambre
  • Jeanne Fusier-Gir
  • Alexandre Dréan
  • Marc-Hély
  • Pierrette Caillol
  • Marcel Carpentier
  • Georges Bever
  • Henri Prestat
  • Georges Cahuzac
  • Charlotte Martens
  • Henri Vilbert
  • Christian Argentin
  • Francis Mérey
  • Poussard
  • Henry Trévoux
  • André Pollack
  • Henri Jullien
  • Henri de Livry
 

La Guerre des valses

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La Guerre des valses (Walzerkrieg) est un film allemand réalisé par Ludwig Berger, sorti en 1933. Il a été tourné en deux versions simultanées (avec des distributions différentes), l'une allemande, l'autre française — présentée ici — coréalisée par Raoul Ploquin. Johan Strauss joue comme premier violon dans un orchestre viennois, dirigé par le compositeur lanner. Mais Strauss compose lui-même et Lanner est jalous. Strauss fonde son propre orchestre et la ville se sépare en deux camps. Après une petite guerre plein de rebondissements, les deux maîtres se réconcilient.

Fiche technique

  • Réalisateur : Ludwig Berger
  • Coréalisateur (et directeur de production) de la version française : Raoul Ploquin
  • Scénaristes : Robert Liebmann, Hans Müller
  • Durée : 85 minutes
  • Long-métrage
  • Genre(s) : Fiction
  • EOF : Inconnu
  • Année de production : 1933
  • Sortie en France : 12/12/1933
  • Durée : 1 h 25 min
  • Etat d'avancement : Sorti
  • Formats de production : 35 mm
  • Type de couleur(s) : Noir & blanc
  • Cadre : 1,37
  • Format son : Mono

Distribution

  • Fernand Gravey : Franz
  • Armand Dranem : Le juge
  • Madeleine Ozeray : Queen Victoria
  • Fernand Charpin : Joseph Lanner
  • Pierre Mingand : Johann Strauss
  • Janine Crispin : Katie
  • Paul Ollivier : Le chambellan
  • François Rozet : Prince Albert
  • Arletty : La chocolatière
  • Maximilienne : Une dame d'honneur
  • Eric Roiné
  • Nane Germon
  • Jane Marken
  • Willy Rozier

Nuit de mai

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Nuit de mai est un film franco-allemand réalisé par Gustav Ucicky et Henri Chomette, et sorti en 1934. Gustav Ucicky en fera une version allemande : Der junge Baron Neuhaus, avec d'autres acteurs, mais toujours avec Käthe von Nagy dans le rôle de la comtesse Christel. Le baron Neuhaus obtient la responsabilité de la police à la cour de Marie-Thérèse. Il est chargé de rechercher un homme qui s'est introduit clandestinement chez la comtesse Christel. Mais il s'agit en fait de lui-même, qui venait remercier la femme de chambre de la comtesse.

Nuit de mai

Fiche technique

  • Titre anglais : Night in May
  • Réalisation : Gustav Ucicky et Henri Chomette
  • Superviseur : Raoul Ploquin
  • Scénario : Jacques Bousquet, Henri Chomette et Gerhard Menzel d'après la comédie de Stefan von Kamare
  • Producteur : Günther Stapenhorst
  • Date de sortie : 12 octobre 1934 (Drapeau de la France France)
  • Durée : 80 minutes1 ou 85 minutes
  • Musique : Alois Melichar

Distribution

  • Käthe von Nagy : La comtesse Christel Palm
  • Fernand Gravey : Le baron Neuhaus
  • Annie Ducaux : L'impératrice Marie-Thérèse
  • Monette Dinay : Toni
  • Lucien Baroux : Monsieur Stockel
  • Marguerite Templey : Madame Stockel
  • Katia Lova : Josefa
  • Alexandre Rignault : Gaysberger
  • Lucien Dayle : Leiner
  • Georges Morton : Le juge
  • Raoul Marco : Le sergent
  • Raymond Aimos : Stumm
  • Jean Bara
  • Henri Chomette
  • Philippe Richard

Variétés

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Variétés

Variétés est un film franco-allemand réalisé par Nicolas Farkas tourné et sorti en 1935. Deux acrobates, Georges et Pierre aiment leur partenaire Anne. Anne aime Pierre et Georges est jaloux. Un soir, elle s'évanouit sur son trapèze et Pierre la sauve. Le trio est dissous. Anne et Pierre continuent à travailler ensemble tandis que Georges abandonne le cirque.

 

Fiche technique

  • Réalisation : Nicolas Farkas
  • Scénario : d'après le roman Der Eid des Stefan Huller de Felix Hollaender
  • Adaptation : Nicolas Farkas, Rolf E.Vanloo
  • Dialogue : André-Paul Antoine
  • Images : Victor Arménise
  • Décors : Serge Pimenoff
  • Musique : Hans Carste
  • Montage : Roger Spiri-Mercanton
  • Production : Bavaria Films - Les Films E.F - Vandor Films
  • Directeur de production : Ernest Franzos
  • Distribution : Pathé Consortium Cinéma
  • Durée : 100 min
  • Dates de sortie : 5 octobre 1935

Distribution

  • Jean Gabin : Georges, trapéziste
  • Annabella : Jeanne, la trapéziste
  • Fernand Gravey : Pierre, le trapéziste
  • Nicolas Koline : Le vieux clown
  • Jean Sinoël : Max, le manager des trapézistes
  • Camille Bert : Le directeur
  • Germaine Reuver : L'amie
  • Marcel Pérès : L'homme de piste
  • Georges Saillard
  • Teddy Michaud
  • André Lannes

Sept hommes, une femme

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Sept hommes, une femme

Sept hommes, une femme est un film français, une comédie de mœurs écrite et réalisée par Yves Mirande, sortie en 1936. La comtesse Lucie de Kéradec, veuve et désireuse de se remarier, invite dans son château ses sept soupirants, en se disant ruinée. « ...M. Yves Mirande nous conte ici sans avoir l'air d'y toucher, l'aventure d'une veuve qui invite ses sept soupirants dans son château. Là, elle les verra vivre et choisira le plus digne. Sur ce thème, M. Mirande a écrit un film qui nous fait passer une excellente soirée. Bien construit, farci de répliques amusantes et cocasses, ce film constitue un divertissement charmant. Le pessimisme boulevardier, parigot et goguenard de Mirande vaut bien l'humour des comédies qu'on nous adresse d'Hollywood (...). Fernand Gravey, Pierre Larquey et Saturnin Fabre servent fort bien le film dans lequel Mlle Véra Korène va et vient. » — Henri Jeanson, Le Canard enchainé, 2 septembre 1936, cité dans Jeanson par Jeanson, la Mémoire du Cinéma français, Éditions René Château, 2000.

Fiche technique

  • Réalisation : Yves Mirande
  • Scénario : Yves Mirande
  • Chef-opérateur : Charlie Bauer
  • Décors : René Renoux
  • Musique : Armand Bernard
  • Superviseur : René Guissart
  • Durée : 100 min
  • Date de sortie : France 1936

Distribution

  • Fernand Gravey : Brémontier
  • Saturnin Fabre : Derain
  • Pierre Larquey : Langlois
  • Vera Korène : Lucie de Kéradec
  • Jeanne Lory : la mère de Lucie
  • Roger Duchesne : de Villiers
  • Maurice Escande
  • Félix Oudart
  • Doumel
  • Charles Lemontier
  • Georges Bever

Mister Flow

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Mister Flow est un film français réalisé par Robert Siodmak en 1936. Mister Flow est un malfaiteur qui emprisonné pour une peccadille, réussit à engager son avocat, Antonin Roze, dans la plus folle des aventures qui l'amène à s'éprendre de Lady Scarlett, la maîtresse du malfaiteur. Lady Scarlett séduite, s'enfuit avec lui après avoir essayé de le compromettre dans des cambriolages.

Mister Flow

Fiche technique

  • Réalisation : Robert Siodmak
  • Scénario : d'après le roman de Gaston Leroux
  • Adaptation : Henri Jeanson, Charles Noti
  • Dialogue : Henri Jeanson
  • Assistant réalisateur : Alain Antik
  • Images : René Gaveau, Armand Thirard
  • Opérateur : Jean Bachelet, assisté d'André Thomas
  • Son : Joseph de Bretagne
  • Musique : Michel Lévine, dirigée par Pierre Chagnon
  • Montage : Jean Mamy
  • Décors : Robert Gys, Léon Barsacq
  • Pellicule 35 mm - noir et blanc
  • Durée : 100 min
  • Production : Vondas Films (France)
  • Directeur de production : Constantin Geftman, Roger Le Bon
  • Chef de production : Fernand Rivers
  • Première présentation le 31/10/1936
  • Genre : comédie dramatique

Distribution

  • Louis Jouvet : Achille Durin, valet de Lord Scarlett alias Mister Flow
  • Edwige Feuillère : Lady Héléna Scarlett
  • Mila Parély : Marceline
  • Marguerite de Morlaye : une dame au casino
  • Fernand Gravey : Antonin Roze, avocat sans le sou
  • Vladimir Sokoloff : Merlow
  • Jean Périer : Lord Philipp Scarlett
  • Jim Gérald : Benett
  • Jean Wall : Robert
  • Victor Vina : Gerber
  • Philippe Richard : le procureur
  • Tsjundo Maki : Maki
  • Yves Gladine : Un inspecteur
  • Léon Arvel : le président
  • Louis Vonelly : le directeur de l'hôtel
  • Paul Marcel : un joueur
  • Enrico Glori : l'interprète
  • Albert Brouett : l'avocat
  • Georges Cahuzac
  • Myno Burney
  • Irène Lud
  • Agnès Duval

Le Grand Refrain

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Le Grand Refrain

Le grand refrain est un film musical français réalisé en 1936 par Yves Mirande et supervisé par Robert Siodmak. Panard, un compositeur de talent qui se trouve dans la misère, ne parvient pas a s'imposer malgré des efforts assidus. Il finit par se retrouver sans la moindre ressource. Sa petite amie parvient a faire commanditer son opérette en lançant le bruit qu'il s'est suicide. Il remportera un succès triomphal avec son opérette.

Fiche Technique

  • Long-métrage
  • Genre(s) : Fiction
  • Sous-genres : Comédie dramatique
  • Thèmes : Guerre
  • Langue de tournage : Français
  • EOF : Inconnu
  • Nationalité : 100% français
  • Année de production : 1936
  • Sortie en France : 18/09/1936
  • Durée : 1 h 38 min
  • Etat d'avancement : Sorti
  • Numéro de visa : 1653
  • Visa délivré le : 01/04/1944
  • Formats de production : 35 mm
  • Type de couleur(s) : Noir & blanc
  • Cadre : 1,37
  • Format son : Mono

Distribution

  • Fernand Gravey : Charles Panard, un compositeur de talent qui ne parvient pas à se faire connaître
  • Jacqueline Francell : Yvette Leclerc, sa petite amie qui parvient enfin à faire commanditer son opérette en faisant courir le bruit qu'il s'est suicidé
  • André Alerme : André Davin, un éditeur de musique
  • Gabriel Signoret : le marquis de Barfleur, qu'Yvette parvient à persuader de commanditer l'opérette de Charles
  • Jean Tissier : le metteur en scène
  • Raymond Aimos : le clochard
  • Cécile Lemaire : la capitaine des girls
  • Jeanne Aubert : Léone de Vinci
  • Maurice de Canonge
  • Thomas Alcaïde : le ténor
  • Jacques Beauvais : un spectateur
  • Georges Bever : l'assistant au studio
  • Lucien Callamand : le barman

Le Mensonge de Nina Petrovna

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Le Mensonge de Nina Petrovna

Le Mensonge de Nina Petrovna est un film français réalisé par Victor Tourjansky et sorti en 1937, d'après l'œuvre de Hans Szekely. C'est le dernier long-métrage de Tourjansky avant son retour en Allemagne. Une belle jeune fille russe vient à Vienne en tant que maitresse du Baron Engrem. Elle y rencontre un jeune officier dont elle tombe amoureuse. Pour éviter que son protecteur ne tue son amant en duel, elle va lui faire croire qu'elle ne l'aime plus, mais se rend compte qu'elle est incapable de vivre sans lui.

Fiche technique

  • Réalisation : Victor Tourjansky
  • Scénario : T.H. Robert, Henri Jeanson (dialogues), d'après Hans Szekely
  • Société de production : Solar Films
  • Musique : Joe Hajos et Michel Levine
  • Directeur de la photo : Charlie Bauer
  • Montage : Boris de Fast
  • Format : Son mono - 35 mm - Noir et blanc - 1,37:1
  • Genre : Film dramatique
  • Durée : 81 minutes
  • Date de sortie : 7 septembre 1937

Distribution

  • Isa Miranda : Nina Petrovna
  • Fernand Gravey : Lieutenant Franz Korff
  • Aimé Clariond : Baron Engern
  • Annie Vernay : Lisl
  • Gabrielle Dorziat : Barone Engern
  • Paulette Dubost : Lotte
  • Roland Toutain : Tony
  • Raymond Galle : L'avocat
  • Paul Ollivier : Le général russe
  • Raymond Aimos : Le berger
  • René Dary
  • Paul Demange

Toute la ville danse

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Toute la ville danse

Toute la ville danse (The Great Waltz) est un film réalisé par Julien Duvivier en 1938. En 1844, à Vienne, le jeune Johann Strauss compose des valses et, grâce à la chanteuse Carla Donner, il est vite célèbre. Strauss épouse Poldi et paraît avoir trouvé le bonheur. Mais la reconnaissance qu'il a vouée à Carla Donner se change bientôt en un sentiment plus tendre.

Fiche technique

  • Réalisation : Julien Duvivier
  • Coréalisateurs : Victor Fleming et Josef von Sternberg (non crédités au générique)
  • Scénaristes : Gottfried Reinhardt (d'après son histoire), Samuel Hoffenstein, Walter Reisch et Vicki Baum (contribution, non créditée au générique)
  • Photographie : Joseph Ruttenberg
  • Musique : Johann Strauss II - Arrangements : Dimitri Tiomkin
  • Directeur musical : Artur Guttmann
  • Montage : Tom Held
  • Direction artistique : Cedric Gibbons, Paul Groesse, Edwin B. Willis
  • Costumes : Adrian
  • Producteur : Bernard H. Hyman (non crédité au générique)
  • Durée : 104 minutes
  • Format : Noir et Blanc
  • Pays : Drapeau des États-Unis États-Unis
  • Genre : Biographie / Drame
  • Année : 1938
  • Première présentation le 4 novembre 1938 (États-Unis)

Distribution

  • Luise Rainer : Poldi Vogelhuber
  • Fernand Gravet : Johann 'Schani' Strauss II
  • Miliza Korjus : Carla Donner
  • Hugh Herbert : Julius Hofbauer, éditeur de musique
  • Lionel Atwill : Comte Anton 'Tony' Hohenfried
  • Curt Bois : Kienzl
  • Leonid Kinskey : Dudelman
  • Al Shean : Le violoncelliste
  • Minna Gombell : Mme Hofbauer
  • George Houston : Fritz Schiller
  • Bert Roach : Vogelhuber
  • Greta Meyer : Mme Vogelhuber
  • Herman Bing : Otto Dommayer
  • Alma Kruger : Mme Strauss
  • Henry Hull : Empereur François-Joseph
  • Sig Rumann : Wertheimer, le banquier
  • Christian Rub : Le cocher
  • Walter Sande (non-crédité) : Un révolutionnaire

La Peur du scandale

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La Peur du scandale

La Peur du scandale (titre original : Fools for Scandal) est un filmaméricain réalisé par Mervyn LeRoy et Bobby Connolly, sorti en 1938.

Fiche technique

  • Titre : La Peur du scandale
  • Titre original : Fools for Scandal
  • Réalisation : Mervyn LeRoy et Bobby Connolly (en)
  • Scénario : Herbert Fields et Joseph Fields d'après la pièce Return Engagement de Nancy Hamilton, James L. Shute et Rosemary Casey
  • Production : Mervyn LeRoy et Jack L. Warner
  • Société de production : Warner Bros. Pictures
  • Photographie : Ted Tetzlaff
  • Musique : Lorenz Hart
  • Direction artistique : Anton Grot
  • Costumes : Milo Anderson et Travis Banton
  • Montage : William Holmes
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Format : Noir et blanc - Son : Mono
  • Genre : Comédie
  • Durée : 80 minutes
  • Date de sortie : 16 avril 1938

Distribution

  • Carole Lombard : Kay Winters/Kay Summers
  • Fernand Gravey : Rene Viladel
  • Ralph Bellamy : Phillip 'Phil' Chester
  • Allen Jenkins : Dewey 'Dew' Gibson
  • Isabel Jeans : Lady Paula Augusta Malverton
  • Marie Wilson : Myrtle
  • Marcia Ralston : Jill
  • Ottola Nesmith : Agnes
  • Heather Thatcher : Sylvia Potter-Porter
  • Jacques Lory : Papa Joli-Cœur

Ahmed Sharif Sheikh

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Sharif Sheikh Ahmed (somali : Shariif Sheekh Axmed), né le 25 juillet 1964 dans la région de Chabila, en Somalie, est un homme politique somalien, président de la République de 2009 à 2012.

Ahmed Sharif Sheikh

Islamiste modéré, représentant l'Alliance pour la relibération de la Somalie, Shariif Sheekh Axmed a exercé les fonctions de président de la République d'une Somalie en pleine guerre civile. Sharif Sheikh Ahmed étudie la géographie et la langue arabe à l'Université Kurdufan à Dalanji, au Soudan, dans les années 1980. Il devient par la suite enseignant au collège Jubba, à Mogadiscio, en Somalie. En 2003, l'un de ses élèves, âgé de 12 ans, est enlevé contre rançon par des « seigneurs de guerre ». Sharif Sheikh Ahmed décide alors de s'opposer à eux. Il participe à la fondation de l'Union des tribunaux islamiques (UTI), dont il est élu président. L'Union prit le contrôle de la capitale somalienne, Mogadiscio, ainsi que du sud et du centre du pays.

L'Union obtient la libération du garçon enlevé, ainsi que de plusieurs autres victimes d'enlèvements. Au cours de l'année 2006, elle est scindée entre « modérés » et « radicaux », Sharif Sheikh Ahmed apparaissant comme le dirigeant des modérés. Il participe aux combats contre les forces somaliennes et éthiopiennes qui chassèrent l'UTI de Mogadiscio fin 2006. En décembre 2008, le président Abdullahi Yusuf Ahmed démissionne, provoquant une élection présidentielle. Le président somalien est élu par le Parlement qui se réunit à Djibouti, en raison de la guerre civile en Somalie.

Sharif Sheikh Ahmed arrive en tête au premier tour, avec 219 voix sur 430, contre 60 pour Maslah Mohamed Siyaad Barre, fils de l'ancien président Siyaad Barre, et 59 pour le Premier ministre sortant Nour Hassan Hussein1. Au second tour, il fut élu avec 293 voix contre 126 pour Maslah Mohamed Siyaad Barre, Nour Hassan Hussein s'étant retiré. Le 19 mars 2009, le chef d'Al-Qaida, Oussama Ben Laden, appelle les radicaux islamistes en Somalie à renverser Sharif Sheikh Ahmed dans un enregistrement sonore. Le 10 septembre 2012, il est battu par Hassan Sheikh Mohamoud au 2e tour de l'élection présidentielle par 190 voix contre 79.

Faymann Werner

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Werner Faymann, né à Vienne le 4 mai 1960, est un homme politique autrichien membre du Parti social-démocrate d'Autriche (SPÖ) qu'il préside.

Faymann Werner

Président des Jeunes socialistes de Vienne de 1981 à 1987, il est nommé membre de l'exécutif de la capitale fédérale autrichienne en 1994, chargé du Logement et de la Rénovation urbaine. Il renonce à ce poste en 2007, lorsqu'il devient ministre fédéral des Transports dans la grande coalition d'Alfred Gusenbauer. En juin 2008, il prend la tête du SPÖ à titre provisoire, situation confirmée en août lors d'un congrès fédéral, et signe peu après avec Gusenbauer une tribune considérée par les conservateurs comme une remise en cause de la politique européenne du pays, ce qui conduit à la dissolution de l'alliance. Il conduit alors son parti à la victoire, malgré de lourdes pertes, aux élections anticipées de 2008, et forme une nouvelle coalition avec le Parti populaire autrichien (ÖVP) de Josef Pröll, ce qui lui permet de devenir chancelier fédéral le 2 décembre. Il est reconduit dans ses fonctions cinq ans plus tard, toujours à la tête d'une grande coalition.

Après avoir obtenu son Matura à Vienne, il a accompli son service militaire, achevé en 1981. Quatre ans plus tard, il a entrepris des études supérieures de droit tout en devenant consultant pour la banque Zentralparkasse. Il met fin à son emploi et ses études en 1988, et ne détient donc aucun diplôme universitaire. Il obtient alors le poste de directeur général et président régional de l'association des locataires autrichiens et l'occupe durant six ans. Il vit aujourd'hui dans l'arrondissement de Liesing à Vienne, en compagnie de sa seconde épouse, depuis 2001, Martina Ludwig-Faymann, députée fédérale, et de ses deux filles. En 1981, il est élu président des Jeunes socialistes de Vienne. Deux ans plus tard, il organise d'ailleurs une manifestation contre la venue du pape Jean-Paul II. Il renonce à ce poste en 1987. Désigné président fédéral par intérim du Parti social-démocrate d'Autriche (SPÖ) en juin 2008, Werner Faymann est officiellement élu à ce poste le 8 août par 98,36 % des voix, lors du 40e congrès du parti. Il prend alors la succession d'Alfred Gusenbauer.

Il entre au Landtag de Vienne, qui fait également office de conseil municipal, en 1985, et y siège jusqu'à sa nomination comme membre de l'exécutif chargé du Logement et de la Rénovation urbaine le 7 novembre 1994. Il cumule ce poste avec la présidence de diverses organismes publics. Il fait son entrée en politique fédérale le 11 janvier 2007, lorsqu'il devient ministre fédéral des Transports, de l'Innovation et de la Technologie dans la grande coalition conduite par le président du SPÖ, Alfred Gusenbauer. Le 26 juin 2008, les deux hommes signent une tribune dans le Kronen Zeitung, dans laquelle ils appellent à ce que toute modification d'un traité européen qui toucherait aux intérêts de l'Autriche soit soumise à référendum. Cette prise de position provoque l'éclatement de la coalition et la convocation d'élections anticipées le 28 septembre, pour lesquelles il est désigné tête de liste du SPÖ.

Le jour du scrutin, son parti arrive en tête avec 29,7 % des voix, soit cinq points de moins qu'au scrutin de 2006, et 58 sièges sur 183, soit une perte de dix élus. Le 9 octobre, Werner Faymann se voit chargé de former un nouveau gouvernement par le président fédéral Heinz Fischer. Il finit par reformer une grande coalition avec le Parti populaire autrichien (ÖVP) de Josef Pröll le 23 novembre. Le nouvel exécutif fédéral prête serment neuf jours plus tard, le 2 décembre 2008. Werner Faymann est soupçonné d'avoir rétribué des tabloids autrichiens de manière indirecte, leur assurant de bonnes rentrées publictaires, afin de s'assurer une couverture avantageuse de leur part.

Lors des élections législatives fédérales du 29 septembre 2013, le SPÖ remporte 26,9 % des suffrages et 52 députés sur 183. Il entame aussitôt des négociations avec l'ÖVP, désormais dirigé par Michael Spindelegger et disposant de 47 parlementaires. Celles-ci aboutissent au bout de deux mois et demi, et Faymann forme son second gouvernement fédéral le 16 décembre. Il est alors le premier social-démocrate depuis Franz Vranitzky, au pouvoir entre 1986 et 1997, à exercer un deuxième mandat.

Al Khalifa Hamed ben Issa

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Hamed ben Issa al-Khalifa, né le 28 janvier 1950, émir en 1999, devenu roi en 2002, est le 12e souverain de Bahreïn.

Al Khalifa Hamed ben Issa

Il est le fils aîné de l'émir Issa ben Salmane Al Khalifa. Il fait des études à The Leys School à Cambridge ainsi que dans des collèges militaires au Royaume-Uni et aux États-Unis. En 2003, il s'oppose à l'action militaire américano-britannique contre l'Irak. À partir de 2011, il est confronté au Printemps Arabe où son autorité est contestée par le peuple dont la grande majorité chiite s'estime victime de discrimination de la part de la monarchie sunnite du royaume de Bahreïn.

Il a épousé le 9 octobre 1968 sa cousine (ils sont les petits-enfants de Salmane II, Hakim de Bahreïn de 1942 à 1961), la princesse Sabika Al Khalifa (née en 1948), dont il a 4 enfants :

  • Salmane ben Hamed Al Khalifa (21 octobre 1969), prince héritier
  • Abdallah ben Hamed Al Khalifa (30 juin 1975)
  • Khalifa ben Hamed Al Khalifa (4 juin 1977)
  • Najla bint Hamed Al Khalifa (20 mai 1981)

Il a deux fils d'une deuxième mariage avec la koweïtienne Sheikha Sheia bint Hassan Al-Khrayyesh Al-Ajmi :

  • Nasser ben Hamed Al Khalifa (8 mai 1987)
  • Khalid ben Hamed Al Khalifa

D'un troisième mariage avec une qatarie, il a deux fils et quatre filles :

  • Faisal ben Hamed Al Khalifa (1992-2006)
  • Nura bint Hamed Al Khalifa
  • Munira bint Hamed Al Khalifa
  • Hessa bint Hamed Al Khalifa
  • Sultan ben Hamed Al Khalifa
  • Reema bint Hamed Al Khalifa

Il a donné son nom au « prix UNESCO-Roi Hamed ben Issa el-Khalifa pour l'utilisation des technologies de l'information et de la communication (TIC) dans l'éducation ».

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