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Abraham Erich

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Erich Abraham, né le 27 mars 1895 à Marienburg, en Prusse-Occidentale, et décédé le 7 mars 1971 à Wiesbaden, était un général d'infanterie allemand durant la Seconde Guerre mondiale

Abraham ErichAbraham Erich

Erich Abraham est entré dans l'armée en tant que volontaire le 4 août 1914 et devint sous-lieutenant de réserve le 11 juillet 1915 au sein du 341e régiment d'infanterie. Lorsqu'il quitta l'armée le 20 mai 1920, il avait le grade de lieutenant. Il entra alors dans la police et devint sous-lieutenant de la police de sûreté. Le 15 octobre 1935 il fut à nouveau transféré à l'armée où il prit les fonctions de commandant de compagnie avec le grade de Major (commandant) au sein du 18e régiment d'infanterie. Le 1er octobre 1938 il fut nommé au grade de Oberstleutnant (lieutenant-colonel). Entre le 1er avril 1940 et le 31 mars 1942, ainsi qu'entre le 6 juin et le 6 novembre 1942, il commanda le 230e régiment d'infanterie.

Durant cette période il fut nommé 'Oberst (colonel) le 1er septembre 1941. Abraham fut distingué le 13 novembre 1942 avec la croix de chevalier de la croix de fer et de l'insigne d'assaut d'infanterie pour le rôle joué par son régiment lors du verrouillage du nord de Stalingrad. A partir du 15 janvier 1943 il prit le commandement de l'école d'élèves officiers Kommandeurs-Schule II et le 1er avril 1943 il prit le commandement de la 76e division d'infanterie. Le 26 juin 1944 il reçut les feuilles de chêne pour sa croix de chevalier de la croix de fer car sa division avait réussi, sous son commandement, à former une tête de pont sur la Latka, au nord-ouest d'Odessa pour permettre aux troupes allemandes battant en retraite à rejoindre les lignes amies.

Le 1er août 1944 on lui confia le commandement du 6e corps d'armée roumain. A partir 24 août il suivit une formation pour officiers généraux pour prendre, le 14 septembre 1944, le commandement du "Groupe Abraham", composé de la 76e division d'infanterie allemande et de la 2e division de réserve hongroise. Le 21 octobre 1944 il fut muté dans la réserve du Führer et le 13 décembre de la même année, il prit le commandement par intérim du 63e corps d'armées (LXIII. Armeekorps) avant de finalement devenir le général commandant ce corps d'armées le 1er mars 1945. A la fin de la guerre Abraham fut fait prisonnier. Il a été libéré le 17 août 1947.

Décorations

  • Croix de fer (1914), 2e classe (2 septembre 1915), 1re classe (27 juin 1917)
  • Agrafe de la Croix de fer (1939), 2e classe (10 mars 1940), 1re classe (21 juin 1940)
  • Croix allemande en Or le 7 mars 1942 en tant que Oberst et commandant du Infanterie-Regiment 230
  • Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne, Croix de chevalier le 13 novembre 1942 en tant que Oberst et commandant du Infanterie-Regiment 230, 516e feuilles de chêne le 26 juin 1944 en tant que Generalleutnant et commandant de la 76. Infanterie-Division
  • Insigne de combat d'infanterie (3 juin 1943)
  • Ordre de la Couronne (Roumanie), classe Commandeur (22 juin 1942)

 


Auleb Helge

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Helge Arthur Auleb (24 mars 1887 à Gehren – 14 mars 1964 à Düsseldorf) est un General der Infanterie de la Heer dans la Wehrmacht durant la Seconde Guerre mondiale

Auleb HelgeAuleb Helge

Auleb commande la 6.Infanterie-Division comme partie intégrante du VI. Armeekorps durant l'Opération Typhoon en octobre 1941. Il reçoit la Croix allemande en Or le 26 décembre 1941.

Promotions

  • Fahnenjunker : 1er mars 1907
  • Fahnenjunker-Unteroffizier : 2 juillet 1907
  • Fähnrich : 18 octobre 1907
  • Leutnant : 18 août 1908
  • Oberleutnant : 28 novembre 1914
  • Hauptmann : 18 avril 1916
  • Major : 1er février 1929
  • Oberstleutnant : 1er juillet 1933
  • Oberst : 1er juin 1935
  • Generalmajor : 1er février 1939
  • Generalleutnant : 1er décembre 1940
  • General der Infanterie : 1er décembre 1943

Décorations

  • Croix d'honneur (1934)
  • Médaille de service de la Wehrmacht
  • Croix de fer (1914), 2e Classe, 1re classe
  • Croix du Mérite militaire de la Principauté de Lippe (Première guerre mondiale)
  • Médaille de Hesse pour Bravoure (Première guerre mondiale)
  • Croix d'honneur de Schwarzburgs 3e Classe avec glaives (Première guerre mondiale)
  • Agrafe de la Croix de fer (1939), 2e Classe, 1re classe
  • Croix allemande en Or le 26 décembre 1941

Bieler Bruno

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Bruno Bieler (18 juin 1888 à Gumbinnen – 22 mars 1966 à Dorfmark) est un General der Infanterie allemand qui a servi dans la Heer au sein de la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale.

Bieler BrunoBieler Bruno

Il a été récipiendaire de la croix de chevalier de la Croix de fer. La croix de chevalier de la Croix de fer est attribuée pour récompenser un acte d'une extrême bravoure sur le champ de bataille ou un commandement militaire avec succès. Bieler est affecté le 14 mars 1907 comme enseigne au 33e Régiment de fusiliers de Prusse-Orientale Graf Roon, et complète sa formation d'officier à l’École de guerre d'Anklam. Il en sort le 18 août 1908 avec le grade de lieutenant. Le 1er octobre 1912, Bieler est affecté comme aide de camp et officier-enquêteur du Ier bataillon, puis le 25 février 1913 comme premier lieutenant.

Au début de la Première Guerre mondiale, Bieler et son régiment partent pour le front ; le 21 décembre 1914 il est promu adjoint au chef de régiment. Il conserve cette fonction jusqu'à son affectation le 31 juillet 1916 auprès du quartier-général du Ier corps d'armée. Le 5 août 1916 il est nommé officier d'ordonnance, et muté quatre mois plus tard au quartier-général du XXVe corps de Réserve. Du 6 mars au 15 juin 1917, Bieler est affecté à la 5e division de cavalerie puis, à partir du 6 décembre 1917 au quartier-général de la 87e Division.

Du 10 au 27 juillet, il commande au front comme chef de compagnie du 345e Régiment d'infanterie ; du 10 au 24 août il est commandant de batterie au 87e régiment d’artillerie de campagne. Promu capitaine (28 novembre 1917), il est versé le 7 décembre 1917 au quartier-général du Front Est. Du 10 janvier au 8 février 1918, il suit les cours de l'Ecole d'officier de Sedan. Au terme de sa permission, il rejoint son poste du GQG Est le 27 février 1918.

Décorations

  • Croix de fer (1914), 2e Classe (17 septembre 1914), 1re Classe (15 décembre 1914)
  • Croix hanséatique de Hambourg (23 février 1918)
  • Croix d'honneur pour combattants 1914-1918 (14 janvier 1935)
  • Agrafe de la Croix de fer (1939), 2e Classe (12 septembre 1939), 1re Classe (30 septembre 1939)
  • Médaille du Front de l'Est (15 juillet 1942)
  • Insigne de Crimée (23 août 1942)
  • Croix allemande en Or (20 novembre 1942)
  • Croix de chevalier de la Croix de fer, Croix de chevalier le 5 décembre 1943 en tant que Generalleutnant et commandant de la 73. Infanterie Division

Beyer Franz

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Dr. jur. Franz Beyer (27 mai 1892 à Bautzen - 15 octobre 1968 à Bad Wiessee) est un General der Artillerie allemand au sein de la Heer dans la Wehrmacht au cours de la Seconde Guerre mondiale

Beyer FranzBeyer Franz

Il a été récipiendaire de la Croix de chevalier de la Croix de fer. Cette décoration est attribuée pour récompenser un acte d'une extrême bravoure sur le champ de bataille ou un commandement militaire avec succès. Franz Beyer est capturé en 1945 et est libéré en 1947. En 1956, il est le co-fondateur du journal politique Blätter für deutsche und internationale Politik (articles sur les hommes politiques allemands et internationaux). Croix de chevalier de la Croix de fer, Croix de chevalier le 12 septembre 1941 en tant que Oberst et commandant du Infanterie-Regiment 131.

Décorations

  • Croix de fer (1914), 2e classe (10 octobre 1915), 1re classe (16 juin 1918)
  • Insigne des blessés (1914) en noir
  • Croix d'honneur (1er novembre 1934)
  • Agrafe de la Croix de fer (1939), 2e classe (13 septembre 1939), 1re classe (1er octobre 1939)
  • Médaille du Front de l'Est
  • Insigne de combat d'infanterie
  • Croix de chevalier de la Croix de fer, Croix de chevalier le 12 septembre 1941 en tant que Oberst et commandant du Infanterie-Regiment 131

Block Johannes

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Johannes Block (17 novembre 1894 à Büschdorf – 26 janvier 1945 à Kielce) est un General der Infanterie allemand qui a servi dans la Heer au sein de la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale

Block JohannesBlock Johannes

Il a été récipiendaire de la Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne. La Croix de chevalier de la Croix de fer avec son grade supérieur: les feuilles de chêne sont attribués pour récompenser un acte d'une extrême bravoure sur le champs de bataille ou un commandement militaire avec succès. Johannes Block est tué le 26 janvier 1945 près de Kielce en Pologne durant l'Offensive Vistule-Oder.​

Décorations

  • Croix de fer (1914), 2e classe (5 juillet 1916), 1re classe (22 août 1918)
  • Insigne des blessés (1914) en Noir
  • Croix d'honneur (30 décembre 1934)
  • Ordre du sang
  • Agrafe de la Croix de fer (1939), 2e Classe (8 septembre 1939), 1re Classe (10 septembre 1939)
  • Médaille du Front de l'Est (15 janvier 1943)
  • Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne, Croix de chevalier le 22 décembre 1941 en tant que Oberst et commandant du Infanterie-Regiment 202, 331e feuilles de chêne le 22 novembre 1943 en tant que Generalleutnant et commandant de la 294. Infanterie-Division
  • Mentionné dans le bulletin radiophonique Wehrmachtbericht (6 février 1943)

Boeckmann Herbert von

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Herbert von Boeckmann (24 juillet 1886 à Brême - 3 mars 1974 à Baden-Baden) est un General der Infanterie allemand qui a servi au sein de la Heer dans la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale

Boeckmann Herbert von

Il a été récipiendaire de la Croix de chevalier de la Croix de fer. Cette décoration est attribuée pour récompenser un acte d'une extrême bravoure sur le champ de bataille ou un commandement militaire avec succès. Herbert von Böckmann est retiré du service militaire le 31 mars 1943 à cause de son âge.

Promotions

  • Charakter als Fähnrich 14 mars 1905
  • Fähnrich 18 novembre 1905
  • Leutnant 18 août 1906
  • Oberleutnant 28 novembre 1914
  • Hauptmann 22 mars 1916
  • Major 1er février 1929
  • Oberstleutnant 1er juin 1933
  • Oberst 1er juin 1935
  • Generalmajor 31 décembre 1938
  • Generalleutnant 1er août 1940
  • General der Infanterie 12 avril 1942

Décorations

  • Croix de fer (1914), 2e classe, 1re classe
  • Croix de chevalier 2e classe de l'ordre du Lion de Zähringer avec glaives
  • Croix d'honneur
  • Médaille de Memel
  • Agrafe de la Croix de fer (1939), 2e classe (15 septembre 1939), 1re classe (4 octobre 1939)
  • Médaille de service de la Wehrmacht 1re classe
  • Médaille du Front de l'Est
  • Croix de chevalier de la Croix de fer, Croix de chevalier le 4 décembre 1941 en tant que Generalleutnant et commandant de la 11e division d'infanterie

Boege Ehrenfried-Oskar

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Ehrenfried-Oskar boege (11 Novembre 1889 – 31 décembre 1965) général allemand qui a tenu plusieurs commandemand de Corps d'armées au cours de la Seconde Guerre mondiale

Boege Ehrenfried-OskarBoege Ehrenfried-Oskar
Ehrenfried-Oskar Boege fut capturé par les troupes soviétiques en mai 1945 dans la Poche de Courlande. Il a été détenu jusqu'en 1955. Décoré de la Croix de la Croix Chevalier de fer avec feuilles de chêne. Croix de chevalier le 22 décembre 1941 comme Oberst et commandant du régiment de l'Infanterie 7. Les feuilles de chêne  le 21 septembre 1944 comme General der infanterie et commandant des Corps d'Armées.

Décorations

  • Croix de fer (1914), 2e Classe (30 septembre 1914) , 1re Classe (6 février 1917)
  • Croix d'honneur in 1934
  • Croix de fer (1939), 2e Classe (16 juin 1940), 1re Classe (16 juin 1940)
  • Insigne de combat d'infanterie en Argent (18 octobre 1941)
  • Médaille du Front de l'Est (6 août 1942)
  • Croix allemande en Or (13 janvier 1943)
  • Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne, Croix de chevalier le 22 décembre 1941 en tant que Oberst et commandant du Infanterie-Regiment 7, 594ème feuilles de chêne le 21 septembre 1944 en tant que General der Infanterie et commandant du XXXXIII.Armeekorps
  • Mentionné dans le bulletin quotidien radiophonique Wehrmachtbericht (11 octobre 1943)
  • Bande de bras (Ärmelband) “Kurland”

Both Kuno-Hans von

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Kuno-Hans von Both (9 avril 1884 à Saverne - 22 mai 1955 à Ehlen) est un General der Infanterie allemand qui a servi au sein de la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale

Both Kuno-Hans vonBoth Kuno-Hans von

Il a été récipiendaire de la Croix de chevalier de la Croix de fer. Cette décoration est attribuée pour récompenser un acte d'une extrême bravoure sur le champs de bataille ou un commandement militaire avec succès.

Décorations

  • Ordre de François-Joseph (27 janvier 1911)
  • Croix de fer (1914) 2e Classe (22 septembre 1914), 1re Classe (9 février 1915)
  • Insigne des blessés (1914) en Noir (10 mai 1918)
  • Croix du Mérite militaire de Mecklenburg-Schwerin, 2e Classe (18 septembre 1914), 1re Classe (25 novembre 1915)
  • Croix de chevalier de Saint-Jean (26 février 1917)
  • Croix de chevalier de l'Ordre royal de Hohenzollern 3e Classe avec glaives (23 décembre 1917)
  • Pour le Mérite (10 avril 1918)
  • Croix d'honneur (20 décembre 1934)
  • Ordre du sang
  • Agrafe de la Croix de fer (1939), 2e Classe (10 septembre 1939), 1re Classe (25 septembre 1939)
  • Médaille du Front de l'Est
  • Croix allemande en Or (9 septembre 1942)
  • Croix de chevalier de la Croix de fer, Croix de chevalier le 9 juillet 1941 en tant que General der Infanterie et commandant du I. Armeekorps

 


Albori Eugen von

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Eugen Freiherr von Albori ( 27. Dezember 1838 in Cattaro, Dalmatien ;  5. September 1915 in Wien) war ein österreichisch-ungarischer Offizier, zuletzt im Range eines Generals der Infanterie.

Albori Eugen von Albori Eugen von

Eugen von Albori ist in Cattaro zur Welt gekommen, wo sein Vater, der von einer alten venetianischen Familie abstammte, als Präsident des Landgerichts arbeitete. Nach Absolvierung der Theresianischen Militärakademie in Wiener Neustadt wurde er im September 1857 als Unterleutnant zum Tiroler Kaiserjägerregiment transferiert, wo er am 28. Mai 1859 zum Leutnant befördert wurde. Mit diesem Regiment nahm er auch an den militärischen Auseinandersetzungen in Norditalien im Rahmen des Sardinischen Krieges teil, wo er sich bei mehreren Gelegenheiten als Bataillonsadjutant profilieren konnte. Dies vor allem in der Schlacht bei Magenta, was ihm das Militärverdienstkreuz mit Kriegsdekoration einbrachte. Nach dem Besuch der k.u.k. Kriegsschule wurde er als Oberleutnant zum 18. Feldjäger-Bataillon transferiert, und gleichzeitig auch permanent dem Generalstab zugeteilt. Am 23. August 1864 wurde er zum Hauptmann 2. Klasse befördert, und am 4. Mai 1866 zum Hauptmann 1. Klasse. Während des Deutschen Krieges von 1866 hatte er den Posten eines Generalstabsoffiziers in Knin in Dalmatien inne, und erhielt eine Belobigung seines kommandierenden Generals Feldmarschall-Leutnant Eugen Philippovich von Philippsberg. Am 10. Oktober 1868 wurde er zur Theresianischen Militärakademie als ein Instrukteur der Taktik und der Geschichte des Führungsverhaltens transferiert, und schrieb zu beiden Themengebieten theoretische Abhandlungen. Im November 1872 erhielt er eine außertourliche Beförderung zum Major im Generalstab und wurde dem Generalstab der 4. Infanteriedivision in Brünn zugeteilt. Darauf folgenden Jahres im Mai erhielt er das Kommando über das 32. Feldjäger-Bataillon in Mauer bei Wien. Diese Einheit wurde oft für Paraden während der Weltausstellung in Wien benützt, wodurch Eugen von Albori als Kommandant viele ausländische Orden erhielt. Im Mai 1876 wurde er zum Oberstleutnant befördert und zum Chef des Generalstabs des kommandierenden Generals in Triest ernannt. Im September desselben Jahres war er der Leiter der österreichisch-ungarischen Delegation, welche die großen preußisch-sächsischen Manöver observieren sollte. Zwei Monate später wurde er zur internationalen Grenzkommission entsandt, die die Grenze zwischen Montenegro und dem Osmanischen Reich zu regulieren hatte. Während diesen schwierigen Verhandlungen konnte er sich als erfolgreicher Diplomat profilieren, was ihm weitere ausländische Orden einbrachte.

Während der Okkupation von Bosnien und der Herzegowina im Jahr 1878 bekleidete er den Posten des Chefs des Generalstabs der 7. Infanteriedivision unter dem General Herzog Wilhelm von Württemberg, und nahm am 5. August 1878 an der Schlacht bei Rogelje und Jaice teil. Im September des Jahres erhielt er die Stellung als Chef des Generalstabs des 13. Korps und nahm an der 3 Tage dauernden Schlacht um Ključ, wie auch an der Einkreisung und Bombardierung von Livno teil. Nach der Kapitulation der Stadt wurde Eugen von Albori am 1. November 1878 zum Oberst im Generalstab befördert. Als sich der Aufruhr in Bosnien dem Ende näherte, wurde er dem Herzog von Württemberg zugeteilt, an dessen Seite er die überaus schwierigen Verhandlungen während der Besetzung des Lim-Gebiets führte. Diese Konferenz wurde zwischen Österreich-Ungarn und dem Osmanischen Reich geführt, die in der Vereinbarung vom 21. April 1879 gipfelte, gefolgt von der Besetzung des Sandschak von Novi Pazar. Während des Okkupationsfeldzuges erhielt er wiederum mehrere Auszeichnungen, sowie die Erhebung in den Freiherrenstand am 29. März 1880. Darüber hinaus machte ihn die Stadt Sarajevo zum Ehrenbürger.

1881 war Eugen Mitglied der österreichisch-ungarischen Delegation des Generalstabs, welche die großen Manöver in Frankreich observierte. Nach seiner Rückkehr wurde er zum Chef des Büros für operative und besondere Generalstabsarbeiten ernannt, was ihn zur rechten Hand des Chefs des Generalstabes Feldzeugmeister Beck machte. Aus dieser Position heraus konnte er auch Einfluss auf die großen Armeereformen der 1880er Jahre nehmen. Er blieb auf diesem Posten – unterbrochen nur durch seinen Besuch der großen Deutschen Manöver bei Dresden und Breslau – bis Oktober 1884, als er das Kommando der 72. Infanteriebrigade in Agram übernahm. Für seine Leistungen im Generalstab erhielt er eine Belobigung von Kaiser Franz Joseph, was ihm später noch das Signum Laudis eintragen sollte. Im März 1887, in der Zwischenzeit schon zum Generalmajor avanciert, übernahm er das Kommando der 60. Infanteriebrigade. August 1889 erhielt er das Kommando über die 15. Infanteriedivision in Miskolc, kurz gefolgt von seiner Beförderung zum Feldmarschall-Leutnant am 1. November 1889. Am 12. Mai 1893 erhielt er den Posten des Kommandanten der 28. Infanteriedivision in Laibach und führte es erfolgreich in den großen Manövern bei Güns. Von dieser Position wurde er jedoch rasch abgelöst, und zum Ehrenkavalier des Königs von Rumänien während seines ausgedehnten Aufenthalts in Österreich-Ungarn ernannt. Nach dieser Aufgabe wurde er stellvertretender Kommandant des 2. Korps sowie Stellvertreter des kommandierenden Generals in Wien. Es dauerte eine Weile, bis wieder ein aktiver Posten für diesen hervorragenden General frei wurde, aber im September 1894 wurde er mit dem Kommando über das 1. Korps betraut, sowie zum kommandierenden General in Krakau ernannt. Während der nächsten neun Jahre avancierte er zum einen am 25. Oktober 1897 zum Feldzeugmeister, zum anderen wurde er im Juni 1895 zum Oberstinhaber des 89. Infanterieregiments ernannt, sowie 1894 auch zum Geheimen Rat; darüber hinaus wurde er wiederholt mit diversen in- und ausländischen Orden ausgezeichnet.

Am 3. Dezember 1903 übernahm Eugen von Albori das Kommando über das 15. Korps in Sarajevo, was ihn automatisch zum Leiter der Regierung in Bosnien und der Herzegowina machte – vermutlich war dies der bedeutendste politische Posten in der alten k.u.k. Armee. Da er keine eigenen Kinder hatte, übertrug er den Freiherrentitel und das Wappen an seinen Bruder Johann, der mit seiner Familie als Geschäftsmann und Grundbesitzer in Triest wohnte. Johann, der selbst schon 1893 nobilitiert wurde, konnte nun den Titel eines Freiherrn tragen. Im Juni 1907 wurde Eugen, nach einem Wechsel im Rang zum General der Infanterie, zum General-Truppen-Inspektor ernannt. Damit hatte er den höchst möglichen Rang in Friedenszeiten erlangt. Während der Annexionskrise von 1908 wurde vereinbart, dass er, und nicht einer der Erzherzöge, im Falle eines bewaffneten Konfliktes Oberbefehlshaber der gesamten Armee werden sollte. Am 1. September 1907 konnte Eugen bereits sein 50-jähriges Jubiläum im aktiven Offiziersdienst verzeichnen. Im Zuge dieses Ereignisses verlieh ihm der Kaiser das Militärverdienstkreuz mit Brillanten. Diese Dekoration wurde vom Kaiser persönlich und auf eigene Kosten an besonders verdiente Personen verliehen, wobei zwischen 1848 und 1918 nur 23 solcher Orden mit Brillanten zuerkannt wurden. Dieses besondere Stück – das zusätzlich noch des Kaisers Initialen sowie die Jahreszahlen 1857 und 1907 aufwies – landete übrigens nicht wie die meisten anderen in einem Museum, sondern wurde 1993 im Dorotheum versteigert. Im Alter von 72 Jahren fragte Eugen am 18. April 1910 um die Erlaubnis für seine Versetzung in den Ruhestand an, was jedoch nicht bewilligt wurde. Er wurde zwar von seinem Posten abgelöst, nicht jedoch in die Pensionierung geschickt. Er ließ sich in der Folge in Wien nieder, wo er seine einzigen Tätigkeiten noch für die Gesellschaft des Weißen Kreuzes erbrachte. Er wurde 1913 schließlich noch zu deren Präsidenten erkoren. General der Infanterie Eugen von Albori starb am 5. September 1915 in Wien.

Auszeichnungen

  • Militärverdienstkreuz 3. Klasse mit Kriegsdekoration, 3. Juli 1859
  • Sankt-Stanislaus-Orden 3. Klasse (Kommandeurkreuz), Datum unbekannt
  • Roter Adlerorden 2. Klasse, Datum unbekannt
  • Offizierskreuz des Sonnen- und Löwenordens, Datum unbekannt
  • Ritterorden der hl. Mauritius und Lazarus, Datum unbekannt
  • Takovo-Orden 2. Klasse, 1876
  • Kommandeurkreuz des Ordens Danilos I. für die Unabhängigkeit, 1876
  • Ritterkreuz des Leopold-Ordens mit Kriegsdekoration, 1878
  • Orden der Eisernen Krone 2. Klasse, 1880
  • Offizierskreuz der Ehrenlegion, Datum unbekannt
  • Kommandeurkreuz 2. Klasse des Albrechts-Orden, 6. Jänner 1883
  • Bronzene Militär-Verdienstmedaille „Signum Laudis, 1890
  • Großkreuz des Ordens der Krone von Rumänien, Datum unbekannt
  • Orden der Eisernen Krone 1. Klasse, 1. November 1898
  • Großkreuz des Leopold-Ordens mit Kriegsdekoration, 13. Oktober 1903
  • Großkreuz des Friedrichs-Orden, 13. April 1897
  • Großkreuz des Roten Adlerordens, 19. Jänner 1902
  • Großkreuz des Ordens der Württembergischen Krone, 18. April 1903
  • Brillanten zum Großkreuz des Roten Adlerordens, 24. Oktober 1903
  • Osmanje-Orden 1. Klasse, 8. April 1905
  • Militärverdienstkreuz mit Brillanten, 1907

Albrecht Viktor

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Viktor Albrecht ( 1. Oktober 1859 in Danzig ; 28. November 1930 in Weilburg) war ein deutscher Offizier, zuletzt General der Infanterie.

Albrecht Viktor Albrecht Viktor

Albrecht trat am 1. Oktober 1879 als Einjährig-Freiwilliger in das Kaiser Alexander Garde-Grenadier-Regiment Nr. 1 ein. Man übernahm ihn dann am 9. Mai 1880 als Fahnenjunker in das 2. Nassauische Infanterie-Regiment Nr. 88, ernannte ihn am 10. Juli 1880 zum Portepee-Fähnrich und beförderte ihn am 12. März 1881 zum Sekondeleutnant. Ab 1. Oktober 1885 fungierte Albrecht als Adjutant im Füsilier-Bataillon seines Regiments und wurde vom 1. Oktober 1888 bis 22. Juli 1891 zur Ausbildung an die Preußische Kriegsakademie kommandiert. Zwischenzeitlich erfolgte hier am 14. Dezember 1889 seine Beförderung zum Premierleutnant sowie am 16. Januar 1890 die Versetzung zum Danziger Infanterie-Regiment Nr. 128. Mit seiner Beförderung zum Hauptmann am 17. Juni 1893 setzte man Albrecht als Kompaniechef ein und diese Funktion hatte er dann auch nach seiner Versetzung vom 22. März 1897 bis 26. Januar 1900 im 9.

Westpreußischen Infanterie-Regiment Nr. 176 inne. Albrecht wurde am 27. Januar 1900 Major und als solcher in das Grenadier-Regiment „König Friedrich Wilhelm I.“ (2. Ostpreußisches) Nr. 3 nach Königsberg versetzt. Dort war er dann vom 18. April 1901 bis 14. November 1904 Kommandeur des II. Bataillons und übernahm im Anschluss bis 6. Juli 1909 das Jäger-Bataillon Fürst Bismarck (Pommersches) Nr. 2 in Kulm. In der Zwischenzeit hatte man Albrecht am 10. April 1906 zum Oberstleutnant sowie am 20. April 1909 zum Oberst befördert. Kurze Zeit darauf ernannte man ihn am 7. Juli 1909 zum Kommandeur des 5. Garde-Regiments zu Fuß. Dieses Kommando hatte Albrecht bis zu seiner Ernennung zum Inspekteur der Marine-Infanterie am 19. Dezember 1911 inne. Als solcher war er auch gleichzeitig Kommandant von Kiel. Es folgte am 1. Oktober 1912 die Beförderung zum Generalmajor und am 2. Juli 1913 übernahm Abrecht die 3. Garde-Infanterie-Brigade.

Während des Ersten Weltkriegs kommandierte er vom 2. August 1914 bis zum 24. Januar 1917 die 1. Garde-Reserve-Division an der Westfront. Am 18. April 1916 erfolgte die Beförderung zum Generalleutnant. Vom 24. Januar 1917 bis 27. August 1918 war er Kommandierender General des XVIII. Armeekorps. Im Juni 1917 verteidigten seine Truppen den Wyschaetebogen und waren zusammen mit dem IX. Reserve-Korps in der Schlacht von Messines involviert. Nach dem Höhepunkt der der Flandernschlacht wurde das XVIII. Armee-Korps zwischen 13. Oktober und 14. November 1917 als Gruppe Dixmude bezeichnet.

In Gruppe Lewarde unbenannt, beteiligten sich die Truppen des XVIII. Armee-Korps in der Schlacht von Cambrai Anfang Dezember 1917 zwischen Fontaine-les-Croisilles bis Bellicourt an der deutschen Gegenoffensive. Während der deutschen Frühjahrsoffensive im März 1918 war sein Korps der 17. Armee zugeteilt und beteiligte sich an der Durchbruchsschlacht von Monchy-Cambrai und am Vorstoß in Richtung auf Bapaume. Ab dem 2. Oktober 1918 bis Kriegsende übernahm General Albrecht noch die Führung das neugebildeten XX. Armee-Korps an der Ostfront.[1] Albrecht wurde am 29. September 1919 aus der Armee verabschiedet und erhielt am 29. Oktober 1919 den Charakter als General der Infanterie verliehen. Albrecht war seit 1879 Mitglied des Corps Rhenania Straßburg.

Auszeichnungen

  • Roter Adlerorden II. Klasse mit Eichenlaub
  • Kronenorden III. Klasse
  • Preußisches Dienstauszeichnungskreuz
  • Großoffizier des Ordens der Krone von Italien
  • Eisernes Kreuz (1914) II. und I. Klasse
  • Pour le Mérite am 9. April 1918

Alvensleben Constantin von

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Constantin von Alvensleben, né le 26 août 1809 et mort le 28 mars 1892, est un général de l’armée prussienne.

Alvensleben Constantin von Alvensleben Constantin von

Né à Eichenbarleben en Saxe, dans une très ancienne famille de la haute noblesse prussienne, Alvensleben entame dès l'âge de 18 ans une carrière militaire. Constantin von Alvensleben entre dans le corps des cadets de la Garde royale en 1827. Lieutenant en 1842, il devient capitaine en 1849, puis major au Grand état-major de l'armée allemande en 1853. Après sept ans, il est nommé au ministère de la Guerre ; il obtient ensuite le grade de colonel, et commande un régiment d’infanterie de la Garde jusqu’en 1864, date à laquelle il devient major-général lors de la guerre des Duchés.

Alvensleben commande une brigade de la Garde lors de la guerre austro-prussienne en 1866. Au combat de Soor (Burkersdorf) le 28 juin, il se distingue personnellement, et à la bataille de Königgrätz, son énergie et son esprit d’initiative à la tête des unités avancées de la Garde sont encore plus appréciées[réf. nécessaire]. Peu après, il succède à Wilhelm Hiller von Gärtringen, tombé lors de la bataille, à la tête de la division, avec le grade de lieutenant général. Il conserve ce commandement à la fin de la guerre, et reçoit la décoration Pour le Mérite.

En 1870, au commencement des hostilités de la guerre franco-allemande, Alvensleben remplace le prince Frédéric Charles au commandement du IIIe corps, au sein de la 2e armée. À la bataille de Spicheren, le 6 août, il rassemble les 12e, 48e et 52e régiments brandebourgeois pour une offensive lancée sur le Rothenberg : mais les canons à balles français brisent cette attaque imprudente dans laquelle meurt le général von François1. À la bataille de Mars-la-Tour, quelques jours plus tard, il ordonne à la brigade de cavalerie Bredow de lancer une charge de dégagement de l’infanterie brandebourgeoise. 

La brigade, comprenant les 3e hussards, 13e et 16e uhlans, fut anéantie au cours de la Totenritt (chevauchée de la mort). Ces mauvaises initiatives, au cours d’une campagne victorieuse, lui valent d’être le seul chef de corps de cette guerre à ne pas avoir de statue. Il remporte cependant quelques victoires, dont la prise d'Épernon le 4 octobre 1870. Finalement, il reçoit l’ordre de l'Aigle noir peu de temps avant sa mort, et le 52e régiment d’infanterie prussienne est nommé von Alvensleben en son honneur.

Alvensleben Gustav von

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Gustav von Alvensleben (30 September 1803 – 30 June 1881) was a Prussian General der Infanterie.

Alvensleben Gustav von Alvensleben Gustav von

Gustav von Alvensleben was born in Eichenbarleben, he joined the Prussian Army in 1821. Alvensleben served in the Kaiser Alexander Guard Grenadierregiment No 1. In 1849 Alvensleben became Chief of Staff of the Prussian Corps in the insurrection in Baden and in 1850 Chief of Staff of the VIII Army Corps. Alvensleben became the military governor of the Prussian Rhine Province and Westphalia in 1854 and the personal adjutant of King William I of Prussia in 1861. In this position he signed the Alvensleben Convention with Russia to co-ordinate Russian and Prussian politics throughout the Polish January Uprising.

He served in the Royal headquarter in the Austro-Prussian War of 1866 and led the peace negotiatons with George V of Hanover. On 30 October 1866 he took over the command of the IV Corps. In 1868 Alvensleben was promoted to General der Infanterie and commanded the IV Corps in the Battles of Beaumont and Sedan in the Franco-Prussian War. He retired on 10 October 1872 and died on 30 June 1881 in Gernrode.

Arnim Gustav von

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Gustav Karl Heinrich Ferdinand Emil von Arnim (28. Januar 1829 in Potsdam ; 20. April 1909 in Berlin) war preußischer Offizier, zuletzt General der Infanterie, à la suite des Garde-Jäger-Bataillons und Rechtsritter des Johanniterordens.

 

Gustav entstammte dem alten märkischen Adelsgeschlecht von Arnim. Er war der Sohn des späteren Generals der Infanterie Kurt Gustav Theodor von Arnim. Arnim trat am 1. September 1840 dem Kadettenkorps Potsdam bei, wurde aber aufgrund schlechter Gesundheit am 19. Oktober 1841 auf Wunsch des Vaters wieder entlassen. Er besuchte daraufhin Gymnasien in Erfurt und Berlin. Am 11. Juli 1848 trat er dann dem Garde-Jäger-Bataillon bei und wurde dort am 10. April 1849 zum Fähnrich ernannt sowie am 13. Juli 1850 zum Sekondeleutnant befördert.

Zu Beginn des Deutsch-Französischen Krieges wurde Arnim als Major mit der Führung des Garde-Jäger-Bataillons beauftragt und kämpfte mit diesem u.a. in der Schlacht von Sedan, bei Gravelotte sowie der Belagerung vor Paris. Für seine Leistungen erhielt er das Eiserne Kreuz II. und I. Klasse. Nach Beendigung des Krieges wurde Arnim als Kommandeur des Garde-Jäger-Bataillons bestätigt und am Sedantag 1873 zum Oberstleutnant befördert. Am 28. Oktober 1875 beauftragte man ihm mit der Führung des Kaiser Franz Garde-Grenadier-Regiment Nr. 2 und ernannte Arnim unter gleichzeitiger Beförderung zum Oberst am 20. September 1876 zu dessen Kommandeur.

Arnim heiratete am 9. Juni 1855 in Berlin Henriette Friederike Pauline Elise Gumtau (* 1830; † 1914), die Mitbesitzerin der später verkauften Güter Blankenfelde und Rosenthal im Kreis Niederbarnim. Ihr Sohn Friedrich Karl Gustav (1856 ; 1932) schlug ebenfalls die Militärlaufbahn ein und wurde Generalleutnant.

Bahrfeldt Max von

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Max Ferdinand Bahrfeldt, ennobled as von Bahrfeldt in 1913 (February 6, 1856, Willmine, District of Templin, Uckermark-April 11, 1936, Halle an der Saale) was a royal Prussian General of the infantry, a local historian, and a numismatist of world renown. In the anglophone and francophone world, however, he was also notorious as the alleged perpetrator of atrocities in Charleroi, Belgium, during the German invasion of 1914.

Bahrfeldt Max von

Bahrfeldt was born into a family from Prenzlau in the Uckermark.  Joining the Corps of Cadets in 1869 he was made a Lieutenant in the 75th Infantry Regiment "Bremen" in 1873, stationed at Stade. Bahrfeldt had been interested in numismatics from his youth. He specialized in the coinage of the Roman Republic and the coins of Lower Saxony. Bahrfeldt commenced his numismatic researches while he was in the Army and he published his first numismatic essay in 1874. One year later he became co-editor of the Numismatisch-Sphragistischer Anzeiger. Zeitung für Münz-, Siegel-, und Wappenkunde (published in Hannover). 3 years later he was assigned to the post of Regimental Adutant. During this period he served as secretary for the local historical society and curated its coin collection. He also carried out excavations at the Perleberg site of the beaker people.

On October 14, 1878, Bahrfeldt married in Gotha Elisabeth (Ella) Mary Charlotte Samwer (October 8, 1859, Gotha - October 19, 1954, Frankfurt/Main), the daughter of the jurist, professor of constitutional law and author Karl Friedrich Samwer (1819–1882), who was also a numismatist. In 1883 Bahrfeldt published in Vienna from Samwer's papers the History of the Older Roman Coinage from about 200 B.C. He followed this up with further publications about the coinage issued in the region between the Elbe and the Weser. In 1879 Bahrfeldt published, based on the previous work of Wilhelm Heinrich Jobelmann and Wilhelm Wittpenning, a revised History of the City of Stade. From 1882 to 1885 he studied at the Prussian Staff College. In 1911, Bahrfeldt was granted an honorary doctorate by the philosophical faculty of the University of Giessen and from 1921 onwards was honorary professor for numismatics at the University of Halle-Wittenberg.

Bahrfeldt was promoted to Oberst in 1904, and to Generalmajor in 1908. He commanded the 37th Infantry Division from 1911 till 1913. Being promoted to Generalleutnant on June 16, 1913, Bahrfeldt was ennobled as a member of the Prussian hereditary nobility (as part of the twenty-fifth anniversary of the reign of Kaiser Wilhelm II) and was awarded the Order of the Red Eagle 2nd class with oakleaves and the Order of the Crown 2nd class.

In August 1914, at the start of First World War, Bahrfeldt was given command of the 19th Reserve Division, part of the X. Reserve Corps and the 2nd Army. He captured Charleroi on August 22, 1914 and, accused by the Allies of atrocities at Charleroi, in 1925 he was condemned to death in absentia by a Belgian court. His division participated in the Battle of St. Quentin and the following Battle of the Marne. He fought in the First Battle of Champagne and in June 1815 he was given command of the 10th Reserve Division and promoted to General der Infanterie. He led his division into the Battle of Verdun and was phased out of the Army in April 1916.

Bahrfeldt joined the Deutsche Vaterlandspartei upon its formation in 1917. In the Weimar Republic, he was a member of the conservative Deutschnationale Volkspartei and the Stahlhelm. After the dissolution of the Stahlhelm during the Third Reich, Bahrfeldt transferred to the reserve of the SA. Max von Bahrfeldt died on April 11, 1936 in Halle. Bahrfeldt is acknowledged as one of the greatest, possibly the greatest, student of coinage of the Roman Republic.

Benzino Eugen von

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Peter Eugen Benzino, seit 1908 Ritter von Benzino (11. Oktober 1856 in Landstuhl ; 28. November 1915 bei Haute-Vigneulles) war ein bayerischer Offizier, zuletzt General der Infanterie.

Benzino Eugen von Benzino Eugen von

Eugen war der älteste Sohn von Carl Benzino und Paulina Hess, Tochter des später nobilitierten Malers Peter von Hess. Seine Brüder waren Hermann (1862) und Heinrich (1868). Er war Großvater von Vizeadmiral Wolfgang Benzino und ein Verwandter des Kaufmanns und Kunstsammlers Joseph Benzino. Benzino heiratete im Januar 1882 Anna Bumiller, mit der er ein Kind hatte. Später verheiratete er sich ein zweites Mal. Aus der Ehe mit Grace Champien ging ein weiteres Kind hervor. Nach dem Schulabschluss 1875 trat er als Offiziers-Aspirant in das 1. Infanterie-Regiment „König“ der Bayerischen Armee ein und wurde am 1. Oktober 1875 Mitglied der Fröhlich Pfalz. Benzino absolvierte die Kriegsschule, die er mit dem Prädikat „besonders befähigt“ abschloss. Im Anschluss daran wurde er 1877 zum Sekondeleutnant befördert und in das Infanterie-Leib-Regiment versetzt. Dort verwendete man ihn ab 1882 als Bataillonsadjutant.

Auf Interpellation des Philisteriums wegen seiner geringen Teilnahme am Verbindungsleben erklärte er am 26. Oktober 1886 den Austritt aus der Transrhenania. Von 1886 bis 1889 absolvierte Benzino die Kriegsakademie, die ihm die Qualifikation für den Generalstab, die Höhere Adjutantur und das Lehrfach (Taktik, Kriegsgeschichte, Militär-Geographie, Militär-Zeichnen) aussprach. Anschließend wurde Benezino als Premierleutnant Adjutant der 2. Infanterie-Brigade, 1890 in das Infanterie-Leib-Regiment zurückversetzt und dort zwei Jahre später zum Hauptmann befördert. Als solcher war Benzino 1893 kurzzeitig Kompaniechef, um dann in gleicher Funktion im Infanterie-Leib-Regiment verwendet zu werden. 1894 folgte seine Versetzung in die Zentralstelle des Generalstabes und 1896 zum Generalstab der 1. Division. Im Jahr darauf wurde er Major und 1898 zum Großen Generalstab nach Berlin kommandiert. 1900 kehrte Benzino in den Truppendienst zurück, übernahm ein Bataillon im Infanterie-Leib-Regiment und rückte 1902 als Oberstleutnant in den Regimentsstab auf.

1904 zum Oberst befördert, wurde Benzino zeitgleich Kommandeur des 11. Infanterie-Regiments „von der Tann“ in Regensburg. 1906 wurde er Generalstabschef des III. Armee-Korps in Nürnberg. Seit 1907 Generalmajor und Kommandant der Bundesfestung Ulm, erhielt er 1908 das Ritterkreuz des Verdienstordens der Bayerischen Krone und den damit verbundenen persönlichen Adel. Seit 1908 Kommandeur der 10. Infanterie-Brigade, wurde er am 4. Mai 1910 zum Generalleutnant mit dem Prädikat Exzellenz befördert und zum Kommandeur der 1. Division in München ernannt. 1913 wurde Benzino mit dem Charakter als General der Infanterie zur Disposition gestellt. Mit Ausbruch des Ersten Weltkriegs wurde Benzino reaktiviert und zum Kommandeur der Ersatz-Division des III. Armee-Korps ernannt. Mit dem Großverband kämpfte er 1914/15 in den Vogesen und verstarb dort an den Folgen einer Lungenentzündung, die er sich bei Begehung der vordersten Stellung seiner Division zugezogen hatte. Auf einstimmigen Beschluss des Corps Transrhenania München vom 19. Juli 1924 wurde er in die Liste der verstorbenen Corpsbrüder aufgenommen.

Auszeichnungen

  • Eisernes Kreuz (1914) II. und I. Klasse
  • Bayerischer Militärverdienstorden I. Klasse mit Schwertern und Stern
  • Großkreuz des Friedrichs-Ordens mit Schwertern

Beyer Eugen

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Eugen Beyer (18 février 1882 à Pohrlitz - 25 juillet 1940 à Salzbourg) est un Feldmarschalleutnant autrichien dans les années 1930 et un General der Infanterie qui a servi au sein de la Heer dans la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale.

Beyer Eugen

De 1935 à 1938, Eugen Beyer est commandant de la 6e division dans la Bundesheer stationné à Innsbruck. Après l'Anschluss, il est incorporé dans la Wehrmacht où on lui donne le commandement du XVIII. Armeekorps et du Wehrkreis XVIII, un poste qu'il occupe peu avant sa mort. Il est le plus ancien officier autrichien à être transféré dans l'armée allemande.

Promotions

  • 18 août 1902 Kadett
  • 1er novembre 1903 Leutnant
  • 1er novembre 1909 Oberleutnant
  • 1er mai 1913 Hauptmann
  • 1er novembre 1917 Major
  • 8 juillet 1921 Oberstleutnant
  • 1er juin 1924 Oberst (uniquement le titre)
  • 24 février 1926 Oberst (avec grade)
  • 30 septembre 1931 Generalmajor
  • 22 décembre 1936 Feldmarschalleutnant
  • 1er avril 1938 General der Infanterie

Décorations

  • Croix de fer (1914) 2e Classe
  • Croix du jubilé militaire (Autriche) 1848-1908
  • Croix du Mérite militaire (Autriche) 3e Classe avec décoration de guerres et glaives
  • Ordre de la Couronne de fer(Autriche) 3e Classe avec décoration de guerres et glaives
  • Médaille du mérite militaire (Autriche-Hongrie) (“Signum Laudis”) avec bandee de décorations militaires et avec glaives en Bronze, en Argent
  • Kriegserinnerungsmedaille (Autriche) avec glaives
  • Décoration d'honneur pour services à la République d'Autriche en Or
  • Croix d'honneur pour combattants 1914-1918

Antoine et Antoinette

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Antoine et Antoinette est un film français, réalisé par Jacques Becker, sorti sur les écrans en 1947. Le film commence un vendredi soir alors qu'Antoine (Roger Pigaut), ouvrier dans une imprimerie et Antoinette (Claire Mafféi), employée au Prisunic des Champs-Élysées, s'apprêtent à quitter leur travail pour rejoindre leur domicile. Antoinette est séduisante et subit les assiduités d'un épicier peu scrupuleux (Noël Roquevert). Le couple, en proie aux difficultés de la vie matérielle, en ces lendemains de guerre, se dispute pour des broutilles et se réconcilie sur l'oreiller.

Antoine découvre que le billet de loterie acheté par Antoinette est gagnant, il pourra enfin réaliser ses rêves et acheter un side-car. S'ensuivent quelques rebondissements, billet perdu et retrouvé, correction infligée à l'épicier, promenade en barque sur le lac du bois de Boulogne, match de foot au Parc des Princes, et le couple finalement, installé sur le side-car, s'éloigne sur la route.

Le film récompensé par l'équivalent de la palme d'or 1947 du Festival de Cannes ("Grand Prix du Festival International du Film" catégorie amour et psychologie), ne faisait pourtant pas l'unanimité. Roger Boussinot, journaliste à Action, reprochait à Becker d'avoir décrit un couple d'ouvriers dont les idéaux simples devaient rasséréner la bourgeoisie et s'interrogeait sur le réalisme de la représentation. Becker répondait dans le même journal, qu'il lui semblait au contraire qu'Antoine devait avoir sa carte syndicale, tandis que L'Écran français se rendait sur les lieux, une imprimerie et le Prisunic, pour vérifier l'authenticité de la description.

Antoine et Antoinette de Jacques BeckerAntoine et Antoinette de Jacques Becker

Antoine et Antoinette de Jacques Becker

Fiche technique

  • Titre : Antoine et Antoinette
  • Réalisation : Jacques Becker
  • Scénario, adaptation et dialogues : Jacques Becker, Maurice Griffe, Françoise Giroud
  • Assistants réalisateur : Maurice Griffe, Marcel Camus
  • Photographie : Pierre Montazel
  • Opérateur : Roger Dormoy, assisté de Pierre Ancrenaze et Jean Benezech
  • Son : Jacques Lebreton, assisté de Jacques Carrère
  • Décors : Robert-Jules Garnier
  • Montage : Marguerite Renoir, assistée de Etiennette Muse
  • Musique : Jean-Jacques Grünenwald, orchestre sous la direction de Roger Désormière
  • Maquillage : Joseph Mejinsky
  • Script-girl : Colette Crochot
  • Pellicule 35 mm, noir et blanc
  • Production : Société Nouvelle des Établissements Gaumont (France)
  • Directeur de production : Charles-Félix Tavano, René-Gaston Vuattoux, assisté de Jean Goiran
  • Régisseur général : Eugène Nase, assisté d'Éric Darbel
  • Photographe de plateau : Lucienne Chevert
  • Tournage dans les Studios de Saint-Maurice ; extérieurs à Paris, du 3 novembre 1946 à avril 1947
  • Distribution : Compagnie Parisienne de Location de Films
  • Durée : 84 minutes
  • Genre : Comédie dramatique
  • Première présentation le 31 octobre 1947

Distribution

  • Roger Pigaut : Antoine Moulin, ouvrier typographe, mari d'Antoinette
  • Claire Mafféi : Antoinette Moulin, employée au photomaton de Prisunic, femme d'Antoine
  • Noël Roquevert : M. Roland, le patron de l'épicerie
  • Annette Poivre : Juliette, employée R.A.T.P à la station "La Fourche" et voisine du couple
  • Jacques Meyran : M. Barbelot, chef de rayon à Prisunic
  • Gérard Oury : le client galant
  • Paulette Jean : Huguette
  • Huguette Faget : Aline, la mariée
  • Yette Lucas : la mère de Riton
  • Émile Drain : le beau-père
  • Pierre Trabaud : Riton, le jeune boxeur
  • Gaston Modot : le caissier de la loterie nationale
  • François Joux : le marié
  • Charles Camus : le patron du tabac
  • Charles Vissières : l'habitué du tabac
  • Paul Barge : le boucher
  • Maurice Marceau : Popaul
  • René Stern : le photographe
  • Nicolas Amato : un client
  • Léon Bary : un voyageur
  • Marthe Mellot : la chaisière
  • Made Siamé : la patronne du tabac
  • Odette Barancey : la blanchisseuse
  • Marcelle Hainia : une invitée à la noce
  • Renée Thorel : une acheteuse de billet de loterie
  • Bob Ingarao : un spectateur
  • Pierre Leproux : Marcel
  • Louis de Funès : Émile le garçon épicier et un invité à la noce
  • Jean-Marc Thibault : un garçon épicier
  • Jean-Marc Tennberg : un client du tabac
  • Brigitte Auber : une invitée à la noce
  • Nicole Courcel : figuration
  • Jacqueline Carlier
  • Henry Prestat
  • Maurice Regamey
  • René Sauvaire
  • René Berthier
  • Lucien Arnaud
  • René Pascal
  • Mlle Delacour

Rendez-vous de juillet

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Rendez-vous de juillet est un film français réalisé par Jacques Becker et sorti en 1949. Les problèmes amoureux et les aspirations professionnelles d'une bande de jeunes dans le Paris de l'après-guerre, entre la préparation d'une expédition africaine, les répétitions théâtrales et les soirées dans les cabarets de jazz...

Le film est inspiré de faits réels. Jacques Becker découvrait, à travers ses enfants, une génération qui ressemblait à la sienne. Il se rend au Caveau des Lorientais, une boîte de jazz de Saint-Germain-des-Prés, où officie Claude Luter qui déclenche alors les passions, et lui demande de jouer son propre rôle.

L'expédition africaine a également eu lieu. Après avoir réuni les fonds nécessaires, Jacques Dupont, étudiant de l'IDHEC, s'était associé avec quelques-uns de ses condisciples pour se rendre en Afrique d'où ils ramèneront trois films : Voyage au pays des pygmées, Danses congolaises, et Pirogues sur l'Ogooué. Francis Mazière, qui avait participé à l'expédition, sera en particulier chargé de la décoration du film.

Rendez-vous de juillet de Jacques BeckerRendez-vous de juillet de Jacques Becker

Rendez-vous de juillet de Jacques Becker

Fiche technique

  • Titre : Rendez-vous de juillet - Titre primitif : Petit monde où vas-tu ?
  • Réalisation : Jacques Becker
  • Assistants réalisateur : Marcel Camus, Claude Clément-Bayle
  • Scénario : Jacques Becker, Maurice Griffe
  • Adaptation et dialogue : Jacques Becker
  • Images : Claude Renoir
  • Opérateur : Louis Stein, assisté de Roger Tellier et Jean Benezech
  • Son : Antoine Archimbaud
  • Musique : Jean Wiener - Orchestre dirigé par Ernest Guillou
  • Musique de jazz : Claude Luter, Mezz Mezzrow avec Rex Stewart, Bernard Peiffer
  • Chant : Simone Langlois
  • Montage : Marguerite Renoir, assistée de Geneviève Vaury
  • Décors : Robert-Jules Garnier, assisté de Rino Mondellini
  • Script-girl : Charlotte Pecqueux
  • Régisseur général : Jean Mottet
  • Ensemblier : Robert Turlure
  • Photographe de plateau : Sacha Mazour
  • Maquillage : Joseph Méjinsky
  • Coiffeuse : Huguette Lalaurette
  • Costumes : Catherine "Théâtre" et Carven "Robes"
  • Production : UGC, Société Nouvelle des Etablissements Gaumont
  • Chef de production : René-Gaston Vuattoux
  • Directeur de production : Jean Goiran
  • Distribution : A.G.D.C
  • Tournage du 7 février au 15 juillet 1949, dans les studios Francoeur et pour les extérieurs à Paris et aéroport de Toussus-Le-Noble
  • Format : Son mono (Klang-Film) - Noir et blanc - 35 mm - 1,37:1
  • Tirage : Laboratoire G.T.C
  • Genre : Comédie dramatique
  • Durée : 112 minutes
  • Date de sortie : 6 décembre 1949

Distribution

  • Daniel Gélin : Lucien Bonnard
  • Nicole Courcel : Christine Courcel
  • Brigitte Auber : Thérèse Richard
  • Maurice Ronet : Roger Moulin
  • Pierre Trabaud : Pierrot Rabut
  • Bernard Lajarrige : Guillaume Rousseau, metteur en scène
  • Louis Seigner : Monsieur Levase, professeur d'art dramatique
  • Gaston Modot : le professeur du Musée de l'Homme
  • Pierre Mondy : un élève du cours d'art dramatique
  • Jacques Fabbri : Bernard, un membre de l'expédition
  • Robert Lombard : un ami de Lucien
  • Rex Stewart : lui-même
  • Claude Luter : lui-même
  • Jean-Louis Allibert
  • Françoise Arnoul
  • Alexandre Astruc
  • Michel Barbey : un ami de Lucien
  • Paul Barge : M. Rabut, père de Pierrot
  • René Berthier
  • Georges Bréhat
  • Charles Camus : M. Bonnard, père de Lucien
  • Capucine : une amie de Pierre
  • Nicky Chanières
  • Marcel Charvey : le pilote de l'avion
  • Louisa Colpeyn : Betty
  • Jacques Hilling
  • Robert Le Béal : Jean Bonnard
  • Jacques Muller
  • Denise Péronne : la cliente du salon de coiffure
  • Georges Pierre
  • Jean Pommier
  • Simone Jarnac : Madame Courcel, la mère de Christine
  • Émile Ronet : M. Moulin, le père de Roger
  • Colette Régis : la directrice du cabinet du ministre
  • Yvonne Yma : Madame Bonnard, la mère de Lucien
  • Jacques Denoël
  • Albert Malbert
  • Philippe Mareuil : François Courcel
  • Henri Belly
  • Marie Riquelme
  • Annie Noël
  • Paul Villé
  • Georges Scey
  • Léon Bary : l'amant de Madame Courcel
  • Lucien Mancini
  • Paule de Breuil
  • Nicole Rozan
  • Yette Lucas
  • Francis Mazière : Un membre de l'expédition
  • Paul Lambert : Un membre de l'expédition

Édouard et Caroline

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Édouard et Caroline est un film français réalisé par Jacques Becker en 1951. Édouard et Caroline se préparent pour une soirée mondaine organisée par la famille de cette dernière et au cours de laquelle Édouard, pianiste, doit donner un concert. Mais il n'a pas de gilet de smoking et doit aller en emprunter un chez le cousin de sa femme. Pendant ce temps, Caroline décide de découper sa robe pour la mettre au goût du jour, ce que son mari va lui reprocher à son retour. Dispute conjugale, cris, gifles, demande de divorce : il faudra toute la nuit pour que le couple se réconcilie enfin au petit matin.

 

Édouard et Caroline de Jacques BeckerÉdouard et Caroline de Jacques Becker

Édouard et Caroline de Jacques Becker

Fiche technique

  • Titre : Édouard et Caroline
  • Réalisation : Jacques Becker
  • Scénario et adaptation : Annette Wademant et Jacques Becker
  • Dialogues : Annette Wademant
  • Premier assistant-réalisateur : Marcel Camus, Deuxième assistant-réalisateur : Michel Clément
  • Images : Robert Le Febvre
  • Opérateur : Paul Soulignac, assisté de Gilbert Sarthre et Gaston Muller
  • Son : William-Robert Sivel, assisté d'Arthur Vandermercen et Pierre Zann
  • Montage : Marguerite Renoir, assistée de Nelly Bogor
  • Décors : Jacques Colombier, assisté de Robert Guisgand
  • Musique : Jean-Jacques Grünenwald
  • Script-girl : Colette Crochot
  • Photographe de plateau : Henri Thibault
  • Régisseur général : André Michaud
  • Maquillage : Joseph Mejinsky
  • Coiffures : Odette Berroyer et Antoine
  • Costumes : Carven, pour les robes, Roland Meyer, pour les fourrures et Marie-Rose Lebigot, pour la lingerie
  • Production : U.G.C, C.I.C.C
  • Producteur délégué: Raymond Borderie
  • Coproducteur (non crédité) : André Halley des Fontaines
  • Directeur de production : Robert Bossis
  • Distribution : A.G.D.C (Alliance Générale de Distribution Cinématographique)
  • Distribution DVD France (2013) : Tamasa-StudioCanal
  • Administrateur général : Charles Borderie
  • Attaché de presse : Jean Laurance
  • Tournage du 14 novembre 1950 au 13 janvier 1951, dans les studios de Billancourt (Paris-Studios-Cinéma)
  • Format : Son mono - 35 mm - Noir et blanc - 1,37:1
  • Enregistrement : Western Electric
  • Tirage : Laboratoire L.T.C Saint-Cloud
  • Trucage : LAX
  • Genre : Comédie
  • Durée : 92 min
  • Visa de censure N° 10878 délivré le 6 avril 1951
  • Première présentation le 06/04/1951

Distribution

  • Daniel Gélin : Édouard Mortier, un jeune pianiste
  • Anne Vernon : Caroline Mortier, sa femme un peu évaporée
  • Jacques François : Alain Beauchamp, le cousin snob de Caroline, amoureux d'elle
  • Jean Galland : Claude Beauchamp, l'oncle snob de Caroline
  • Betty Stockfeld : Lucy Barville
  • Élina Labourdette : Florence Borch de Montreuil
  • William Tubbs : Spencer Borch, son mari
  • Jean Toulout : Hervé Barville, le mari de Lucy
  • Yette Lucas : Madame Leroy, la concierge
  • Grégoire Gromoff : Igor, l'extra russe
  • Jean Marsac : Monsieur Foucart
  • Jean Riveyre : Julien, le valet de chambre de Claude Beauchamp
  • Hélène Duc : Olivia, l'invitée mélomane
  • Edmond Ardisson : le coiffeur
  • Jean-Pierre Vaguer : Ernest, le neveu de la concierge, en permission pour 24 heures
  • Charles Bayard : un invité
  • Louis Vonelly : un invité
  • Micheline Rolla : une invitée
  • Pierre Marnat : un invité
  • Hélène Batteux

Rue de l'Estrapade

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Rue de l'Estrapade est un film français réalisé par Jacques Becker, sorti en 1953. Henri, pilote automobile, trompe sa femme, Françoise, avec un jeune mannequin. Sa femme découvre l’adultère par l’intermédiaire d’une amie et décide d’aller vivre seule, rue de l'Estrapade. Elle y rencontre un jeune homme, Robert, qui lui fait la cour, mais les difficultés matérielles et professionnelles, l’insistance de son mari, font qu’elle réintègre finalement le foyer conjugal.

Rue de l'Estrapade de Jacques BeckerRue de l'Estrapade de Jacques Becker

Rue de l'Estrapade de Jacques Becker

Fiche technique

  • Titre : Rue de l'Estrapade
  • Réalisation : Jacques Becker
  • Scénario, adaptation et dialogue : Annette Wademant, Jacques Becker
  • Assistants réalisateur : Michel Clément, Jean-François Hauduroy
  • Images : Marcel Grignon
  • Opérateur : Billy Villerbue
  • Son : Jacques Lebreton
  • Montage : Marguerite Renoir
  • Décors : Jean d'Eaubonne, assisté de François Sune
  • Musique : Georges van Parys, Marguerite Monnot
  • Chansons : Tous les mots, par Francis Lemarque ; Le Parapluie, par Georges Brassens
  • Script-girl : Colette Crochot
  • Ensemblier : Robert Turlure
  • Régisseur général : Irénée Leriche
  • Costumes : Jacques Heim, pour les robes
  • Maquillage : Maguy Vernadet
  • Coiffures : Simone Knapp
  • Photographe de plateau : Henri Thibault
  • Production : François Chavane
  • Sociétés de production : Cinéphonic, S.G.G.C, Filmsonor
  • Directeur de production : Robert Sussfeld
  • Distribution : Cinédis
  • Tournage du 3 novembre 1952 au 9 janvier 1953, dans les studios de Billancourt et pour les extérieurs à Paris et Montlhéry
  • Pellicule 35mm, noir et blanc, 85 minutes
  • Genre : comédie dramatique
  • Date de sortie : 15 avril 1953

Distribution

  • Anne Vernon : Françoise Laurent, la femme trompée d'Henri
  • Louis Jourdan : Henri Laurent, un pilote automobile, son mari infidèle
  • Daniel Gélin : Robert, le locataire qui courtise Françoise Rue de l'Estrapade
  • Jean Servais : Jacques Christian
  • Micheline Dax : Denise, la copine de Françoise
  • Jacques Morel : Marcel
  • Pâquerette : Madame Pommier
  • Jean Valmence : Roland
  • Claude Larue : Corinne, une petite femme avec laquelle Henri a une passade sans lendemain
  • Henri Belly : Freddy
  • Marcelle Praince : Madame Fourcade
  • Fernand Rauzena : Simon
  • Michel Flamme : Patrick, un dessinateur
  • Emile Genevois : P'tit Louis, un mécano
  • Jean Ozenne : Le concierge
  • Joëlle Bernard : La voisine de Robert
  • Marcel Rouzé : Le locataire furieux
  • Lucienne Legrand : La vendeuse
  • Emile Ronet : Le patron du café
  • Dominique Marcas : La bonne de Denise
  • Pierre Leproux : L'automobiliste
  • Renée Gardès : La locataire grossière
  • Christiane Minazzoli : La serveuse du café
  • Françoise Honorat
  • Denise Prêcheur
  • Jean Riveyre
  • Maurice Dorléac
  • Claude Berri
  • Denuse Breicher
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