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Blumentritt Gunther

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Günther Blumentritt (10 février 1897, 12 octobre 1967) est un général allemand pendant la Seconde Guerre mondiale, il a contribué à la planification de l'invasion de la Pologne en 1939, il a été actif pendant toute la durée de la guerre, principalement sur le front de l'Ouest. Après la guerre, il a été appelé comme témoin au procès de Nuremberg, mais n'a jamais témoigné.

Blumentritt Gunther

Né à Munich, Blumentritt sert dans l'armée allemande pendant la Première Guerre mondiale sur le front de l'Est en Prusse. Pendant la période d'entre-deux-guerres, il sert sous les ordres de Wilhelm Ritter von Leeb aux côtés de son ami, Erich von Manstein. En 1939, Blumentritt est colonel et chef des opérations sous les ordres du général Gerd von Rundstedt dans le groupe d'armées Sud, alors que von Manstein est le chef d'état-major de Rundstedt. Blumentritt et von Manstein développent ensemble un plan opérationnel pour l'invasion de la Pologne, désigné sous le nom d'opération Fall Weiss.

En 1940, Blumentritt participe également à la Bataille de France et l'année suivante, sous les ordres du général Günther von Kluge, il devient chef d'état-major de la 4e armée allemande. En 1941, Blumentritt, alors général, est impliqué malgré son opposition à l'invasion de l'Union soviétique. Il revient en Allemagne en 1942 en tant que chef du service des opérations dans l'OKH. En 1942, on demande au général Blumentritt de visiter le front de l'Est. Il suggère ensuite au Haut commandement le retrait des Allemands de Stalingrad. Hitler rejette cette suggestion.

En 1944, Blumentritt est impliqué dans le complot du 20 juillet 1944 contre Adolf Hitler visant à l'assassiner. À cette époque il est chef d'état-major du feld-maréchal Gerd von Rundstedt, commandant en chef de l'Ouest. Le complot est un échec et plusieurs officiers allemands sont arrêtés. Blumentritt est relevé de ses fonctions, mais Hitler ne le croit pas coupable, Blumentritt reprend alors du service en tant que commandant du 12e corps SS. Lors du débarquement de Normandie en 1944, Blumentritt et ses hommes sont repoussés par les troupes britanniques du 30e corps sous les ordres du général de corps d'armée Brian Horrocks.

En septembre 1944, il reçoit le commandement du 12e corps SS. Au terme de l'opération Blackcock, il est nommé commandant de la 25e armée. En mars 1945, Blumentritt assume brièvement le commandement de la 1e armée de parachutistes puis commande le groupe d'armées Blumentritt. On lui décerne la Croix de chevalier pour service rendu. Blumentritt est capturé par les Britanniques le 1er juin 1945 à Schleswig-Holstein. Il est interné dans un camp de prisonniers de guerre britannique le 1er décembre 1945 et est transféré dans un camp américain le 6 novembre 1945, il y reste jusqu'au 1er janvier 1948. Il meurt le 12 octobre 1967 à Munich.

Décorations

  • Croix de fer (1914), 2e Classe, 1re Classe
  • Croix d'honneur de Schwarzburg 3e Classe avec glaives le 3 janvier 1915
  • Croix de chevalier de l'Ordre de Hohenzollern avec Glaives le 7 juillet 1918
  • Insigne des blessés, en Noir en août 1918
  • Agrafe de la Croix de fer (1939), 2e Classe, 1re Classe
  • Croix allemande en Or le 26 janvier 1942
  • Médaille du Front de l'Est 1941/42 le 7 août 1942
  • Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuille de chêne
  • Croix de chevalier le 13 septembre 1944 en tant que General der Infanterie et chef d'état-major du Heeresgruppe D
  • 741e feuilles de chêne le 18 février 1945 en tant que General der Infanterie et commandant de la 25. Armee

 


Boeckh-Behrens Hans

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Hans Karl August Boeckh-Behrens (Le 23 novembre 1898 et décédé le 13 février 1955) était Generalleutnant dans la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale

Boeckh-Behrens Hans

Commandant de la 32ème Division d'Infanterie. Il a été décoré de la Croix de chevalier de la Croix de fer. Hans Boeckh-Behrens est capturé par les troupes soviétiques en mai 1945 et meurt en captivité le 13 février 1955.

Décorations

  • Croix de fer (1914) 2e Classe (11 mai 1915), 1re Classe (19 avril 1916)
  • Insigne des blessés (1914) en Noir
  • Croix d'honneur pour combattant 1914-1918 (26 janvier 1935)
  • Agrafe de la Croix de fer (1939), 2e Classe (18 septembre 1939), 1re Classe (1er octobre 1939)
  • Médaille du Front de l'Est (30 juillet 1942)
  • Croix allemande en Or (30 janvier 1943)
  • Croix de chevalier de la Croix de fer, Croix de chevalier le 9 décembre 1944 en tant que Generalleutnant et commandant de la 32. Infanterie-Division
  • Mentionné dans le bulletin quotidien radiophonique de l'Armée : le Wehrmachtbericht (6 novembre 1944)
  • Bande de bras Kurland

Borgmann Heinrich

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Heinrich Borgmann (12 août 1912 – 6 avril 1945) était un officier allemand de la Seconde Guerre mondiale

Borgmann HeinrichBorgmann Heinrich

Aide de camp de la Wehrmacht auprès de Adolf Hitler, il fut grièvement blessé lors de l’attentat du 20 juillet 1944Borgmann s’engage dans l’infanterie en 1932. Capitaine lors du déclenchement de la seconde guerre mondiale, il participe à l’invasion de la Pologne, puis de la France, à la suite de laquelle il reçoit la croix de chevalier de la Croix de fer, le 19 juillet 1940.

Il combat ensuite sur le front de l’est, au sein du 46e régiment d’infanterie. Promu major, puis lieutenant colonel en 1943, il est détaché au quartier général du Führer. Ayant survécu aux graves blessures subies lors de l’attentat du 20 juillet 1944, il regagne l’infanterie avec le grade de colonel. Il meurt lors d’une attaque aérienne le 6 avril 1945.

Décorations

  • Croix de fer (1939), 2e Classe (14 septembre 1939), 1re Classe (28 octobre 1939)
  • Insigne d'assaut d'infanterie (3 octobre 1940)
  • Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne, Croix de chevalier le 19 juillet 1940 en tant que Oberleutnant et commandant du 9./Infanterie-Regiment 461, 71e feuilles de chêne le 11 février 1942 en tant que Hauptmann et commandant du III./Infanterie-Regiment 46
  • Insigne des blessés 20 juillet 1944

 

Brandi Albrecht

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Albrecht « Cherry » Brandi, né le 20 juin 1914 et mort le 6 janvier 1966 était un commandant allemand d'Unterseeboot pendant la Seconde Guerre mondiale.

Brandi AlbrechtBrandi Albrecht

Avec Wolfgang Lüth, il est le seul militaire de la Kriegsmarine à avoir reçu la croix de chevalier de la croix de fer avec feuilles de chêne, glaives et brillants, plus haute distinction militaire allemande de la Seconde Guerre mondiale.

Palmarès

  • 8 navires coulés pour un total de 25 879 tonneaux
  • 1 navire de guerre auxiliaire coulé pour un total de 810 tonneaux
  • 3 navire de guerre coulés pour un total de 5 000 tonnes

Décorations

  • Insigne de U-boat (U-Boot-Frontspange)
  • Insigne de guerre U-boat (U-Boots-Kriegsabzeichen) en Or avec diamants
  • Médaille de la valeur militaire italienne
  • Croix de fer 2e Classe et 1re Classe
  • Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne, glaives et brillants, Croix de chevalier le 21 janvier 1943, 224e feuilles de chêne le 11 avril 1943, 66e épées le 9 mai 1944, 22e diamants le 24 novembre 1944
  • Mentionné 2 fois dans le bulletin radiophonique des Armées: le Wehrmachtbericht

Liste de Commandant de U-boot

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Le terme U-Boot (abréviation d'Unterseeboot qui signifie sous-marin en allemand, au pluriel U-Boote) désigne les sous-marins allemands des deux guerres mondiales. Ils sont surtout célèbres pour leurs campagnes d'attaques de convois de ravitaillement partant des États-Unis et du Canada pour l'Europe.

Liste de Commandant de U-boot

A

  • Albrecht Achilles
  • Lothar von Arnauld de La Perière

B

  • Albrecht Brandi
  • Otto von Bülow

C

  • Wilhelm Canaris
  • Rolf Carls
  • Peter-Erich Cremer

D

  • Karl Dönitz

E

  • Engelbert Endrass

F

  • Walter Forstmann
  • Ludwig von Friedeburg

G

  • Friedrich Guggenberger

H

  • Reinhard Hardegen
  • Udo Heilmann
  • Heino von Heimburg
  • Heinz Hirsacker

K

  • Eitel-Friedrich Kentrat
  • Emil Klusmeier
  • Otto Kretschmer
  • Herbert Kuppisch

L

  • Heinrich Lehmann-Willenbrock
  • Heinrich Liebe
  • Johannes Lohs
  • Wolfgang Lüth

M

  • Karl-Friedrich Merten
  • Jost Metzler

N

  • Martin Niemöller

O

  • Jürgen Oesten    

P

  • Gustav Poel
  • Günther Prien

R

  • Wilhelm Rollmann
  • Hans Rose
  • Hans-Rudolf Rösing

S

  • Joachim Schepke
  • Otto Schuhart
  • Walther Schwieger

T

  • Hans-Diedrich von Tiesenhausen
  • Erich Topp

U

  • Józef Unrug

W

  • Otto Weddigen
  • Rudolf Wenninger

Z

  • Bernhard Zurmühlen

Breith Hermann

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Hermann Albert Breith (7 mai 1892 à Pirmasens - 3 septembre 1964 à Pech district de Wachtberg) est un General der Panzertruppe dans la Wehrmacht au sein de la Heer pendant la Seconde Guerre mondiale.

Breith HermannBreith Hermann

Il a été aussi récipiendaire de la Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne et glaives. La Croix de chevalier de la Croix de fer et ses grades supérieurs: les feuilles de chêne et glaives sont attribués pour la reconnaissance à un acte d'une extrême bravoure ou à un succès de commandement militaire. Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne et glaives, oix de chevalier le 3 juin 1940 en tant que Oberst et commandant du 5. Panzer-Brigade. 9e avec feuilles de chêne le 31 janvier 1942 en tant que Generalmajor et commandant de la 3. Panzer-Division. 48e glaives le 21 février 1944 en tant que General der Panzertruppe et commandant du III. Panzer-Korps.

Décorations

  • Croix de fer (1914), 2e Classe (10 septembre 1914), 1re Classe (30 juillet 1916)
  • Croix de chevalier de l'Ordre royal de Hohenzollern avec glaives (28 octobre 1918)
  • Croix hanséatique de Hambourg (16 avril 1917)
  • Croix d'honneur
  • Médaille des Sudètes avec agrafe du château de Prague
  • Agrafe de la Croix de fer (1939) 2e Classe (23 septembre 1939), 1re Classe (2 octobre 1939)
  • Insigne des blessés en Noir, en Argent, en Or
  • Insigne de combat des blindés en Argent (20 mai 1940)
  • Médaille du Front de l'Est (1er août 1942)
  • Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne et glaives, Croix de chevalier le 3 juin 1940 en tant que Oberst et commandant du 5. Panzer-Brigade, 69e avec feuilles de chêne le 31 janvier 1942 en tant que Generalmajor et commandant de la 3. Panzer-Division, 48e glaives le 21 février 1944 en tant que General der Panzertruppe et commandant du III. Panzer-Korps
  • Mentionné 4 fois dans le bulletin quotidien radiophonique Wehrmachtbericht (31 janvier 1942, 20 février 1944, 9 septembre 1944 et 30 octobre 1944)

Bremm Josef

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Né le 3 mai 1914, il s'engagea dans l'armée allemande en 1935, où, après avoir été plus de 4 ans sous-officier,il fut nommé Leutnant der Reserve en 1938.

Bremm Josef

1939: il fait la campagne de Pologne en tant que chef de section au Infanterie-Regiment.453. 1940:mai-juin: il participe à la bataille de France comme officier-Adjudant du 3e bataillon de l'Infanterie-Regiment.453, avec lequel il gagna les croix de fer de 2e et 1e classe. Il commença la guerre contre l'Union soviétique, comme Oberleutnant et commandant de la 5e compagnie au Infanterie-Regiment.426. Il se distingua plus particulièrement lors des combats de la Poche de Demiansk lors de l'hiver 1941-1942, actions pour lesquelles il reçut la croix de chevalier de la croix de fer.

Presque un an plus tard, en novembre 1942, il fut le 165e soldat allemand à recevoir les feuilles de chêne à sa croix de chevalier, pour avoir repoussé un bataillon soviétique à la tête d'une compagnie en sous-effectif. De février 1943 à mars 1944, il sera renvoyé à l'arrière-front, comme instructeur dans une école d'infanterie; er c'est sur sa propre demande qu'il retournera en première ligne et participera à la bataille de Normandie à l'été 1944 comme officier à la 712e division d'infanterie; avant de prendre le commandement du 990e régiment de grenadiers. Il recevra les glaives à sa croix de chevalier le 9 mars 1945, en tant que 159e et dernier récipiendaire de la guerre.

Promotions

  • 1938: Leutnant
  • Octobre 1941: Oberleutnant;
  • Septembre 1942: Hauptmann;
  • Mars 1943: Major;
  • Novembre 1944: Oberstleutnant.

Décorations

  • 1940: Croix de fer de 2e classe
  • 1940: Croix de fer de 1e classe
  • 1942: Chevalier de la croix de fer
  • 1942: Chevalier de la croix de fer avec feuilles de chênes
  • 1945: Chevalier de la croix de fer avec feuilles de chênes et glaives
  • 1943: Insigne des blessés en or (pour plus de 5 blessures)
  • 1943: barrette des combats au corps à corps en bronze

Brockdorff-Ahlefeldt Walter von

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Le comte Walter Kurt Thilo von Brockdorff-Ahlefeldt, né le 13 juillet 1887 à Perleberg et mort le 9 mai 1943 à Berlin, est un général allemand de la Seconde Guerre mondiale

Brockdorff-Ahlefeldt Walter vonBrockdorff-Ahlefeldt Walter von

Walter von Brockdorff-Ahlefeldt appartient à une antique famille de l'aristocratie allemande du Holstein, dont les ancêtres, les Ahlefeldt et les Brockdorff, possédaient d'immenses domaines et étaient au service de la couronne du Danemark. Il est le fils d'un capitaine de l'armée prussienne, le comte Ernst von Brockdorff-Ahlefeldt (1854-1931) et de son épouse, née Elisabeth von Jagow. Walter von Brockdorff-Ahlefeldt entre en 1907 au 3ème bataillon de chasseurs du Brandebourg, à Lübben. Il devient chef de compagnie, puis capitaine d'infanterie en 1916, après avoir combattu sur le front occidental (notamment à Verdun, où il reçoit la croix de fer de 2de classe) et sur le front oriental.

Une fois démobilisé en Allemagne, il fait partie de la vieille garde allemande monarchiste qui s'oppose à la république de Weimar et il participe en 1920 au putsch de Kapp. Il est donc condamné à cinq ans de prison qu'il effectue à Hambourg, et il est libéré peu de temps après, lors d'une amnistie proclamée par Hindenburg. Il est lieutenant-colonel en 1931 et colonel en 1934. C'est d'un œil favorable qu'il voit les débuts du national-socialisme qui remettait en cause le traité de Versailles et qui avait pu abattre la république de Weimar dont Brockdorff-Ahlefeldt détestait l'impéritie. Cependant il désapprouve l'assassinat de Schleicher en 1934 et l'homicide de Bredow, ainsi que les thèses racistes du nouveau régime. C'est l'un des rares généraux allemands opposés aux thèses d'Hitler.

Brockdorff-Ahlefedt est élevé au grade de major-général le 1er avril 1937. Il est parmi ceux qui envahissent la Pologne en septembre 1939, et il est d'accord avec la politique de conquête de l'Allemagne, pour effacer l'humiliation de Versailles. Il commande ensuite le XXVIIIe corps d'armée, ce qui l'amène à conquérir aussi la France en juin 1940. Le 21 juin 1940, il est nommé à la tête du second corps d'armé formé de divisions venant du nord de l'Allemagne (Poméranie, Mecklembourg, Brandebourg, Prusse-Occidentale, Schleswig-Holstein, Oldenbourg), Il participe à l'opération Barbarossa en envahissant l'URSS. Il est nommé général d'infanterie, le 1er août 1940.

Il commande le IInd corps d'armée en URSS, lorsque ses troupes, pendant l'hiver glacial 1941-1942, sont encerclées par les armées soviétiques dans la poche de Demiansk (18 janvier-28 avril 1942), où la bataille fait rage pendant des mois. La Luftwaffe parvient à ravitailler la poche, mais ce n'est qu'en mai 1942 que l'encerclement est rompu par le lieutenant-général von Seydlitz-Kurzbach. Il est dans la réserve du Führer de l'OKH à partir de janvier 1943, car il souffre d'une maladie chronique rhumatismale et il meurt en mai 1943 à l'hôpital militaire de Zehlendorf à Berlin.

Décorations

  • Iron Cross (1914) 2nd and 1st Class
  • Wound Badge (1918) in Black
  • Honour Cross of the World War 1914/1918
  • Wehrmacht Long Service Award 4th to 1st class
  • Sudetenland Medal
  • Eastern Front Medal
  • Demyansk Shield
  • Clasp to the Iron Cross (1939), 2nd Class (19 September 1939), 1st Class (20 October 1939)
  • Knight's Cross of the Iron Cross with Oak Leaves
  • Knight's Cross on 15 July 1941 as General der Infanterie and commanding general of the II. Armeekorps
  • 103rd Oak Leaves on 27 June 1942 as General der Infanterie and commanding general of the II. Armeekorps

 


Seydlitz-Kurzbach Walther von

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Walther von Seydlitz-Kurzbach (22 août 1888 à Hambourg — 28 avril 1976 à Brême) était un général allemand durant la Première et Seconde Guerre mondiale

Seydlitz-Kurzbach Walther vonSeydlitz-Kurzbach Walther von

Durant le premier conflit mondial, il sert tant sur le front ouest que sur le front est. Pendant la république de Weimar, il commande la 12e division d'infanterie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, il réussit à sortir ses troupes encerclées dans la poche de Demyansk. Il participe aussi à la bataille de Stalingrad et, lors de l'opération Uranus, il est l'un des officiers qui suggéra un repli, en désobéissant aux ordres d'Adolf Hitler. Il est capturé par les Soviétiques.

Prisonnier de guerre, il devient le responsable du Bund deutscher Offiziere, une organisation anti-nazie d'officiers, et un membre du Nationalkomitee Freies Deutschland. Il est utilisé par la propagande soviétique pour inciter les soldats allemands à suivre son exemple : se rendre. Il est, pour cette raison, condamné par contumace et sa famille subit la Sippenhaft.

Après la guerre, peu enclin à vouloir collaborer avec les nouvelles autorités de la zone d'occupation soviétique, ces anciens protecteurs l'accusent alors de crimes de guerre et il est condamné en 1950 à 25 ans de prison. Finalement libéré en 1955, il passe en Allemagne de l'Ouest où sa condamnation par le Troisième Reich est par la suite annulée. Il meurt à Brême en 1976. Après sa mort, en 1996, les autorités russes lui ont accordé une grâce posthume.

Décorations

  • Croix de fer (1914) II. et I. Classe
  • Croix de chevalier de l'Ordr royal de Hohenzollern mit Schwertern
  • Croix hanséatique de Hambourg
  • Insigne des blessés (1918) en Argent
  • Médaille de service de longue durée de la Wehrmacht IV. à I. Classe
  • Agraphe de la Croix de fer II. Classe le 17 mai 1940, I. Classe le 22 mai 1940
  • Croix de chevalier de la Croix de fer, Croix de chevalier le 31 décembre 1941, 54e Feuilles de chêne le 31 décembre 1942

 

Brux Albert

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Albert Brux (11 novembre 1907 à Lauban — 16 décembre 2001 à Mayence) est un Oberstleutnant allemand qui a servi au sein de la Heer (armée de Terre) dans la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale.

Brux Albert Brux Albert

Il a été récipiendaire de la croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne. La croix de chevalier de la Croix de fer et son grade supérieur : les feuilles de chêne sont attribués pour récompenser un acte d'une extrême bravoure sur le champ de bataille ou un commandement militaire avec succès. Albert Brux est capturé par les forces soviétiques en janvier 1945, et reste en captivité jusqu'en 1956.

 

Décorations

  • Croix de fer (1939) 2e classe (1er novembre 1939), 1re classe (30 mai 1940)
  • Insigne des blessés en Noir, en Argent, en Or
  • Médaille du Front de l'Est (3 août 1942)
  • Insigne d'assaut des blindés (25 septembre 1941)
  • Croix allemande en Or (23 janvier 1943)
  • Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne, Croix de chevalier le 12 septembre 1941 en tant que Hauptmann et commandant du I./Schützen-Regiment 661, 504e feuilles de chêne le 24 juin 1944 en tant queOberst et commandant du Panzergrenadier-Regiment 402

Bülow Otto von

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Otto von Bülow, né le 16 octobre 1911 à Wilhemshaven, mort le 5 octobre 2006 à Wohltorf est un sous-marinier et marin allemand qui fut capitaine de U-boot durant la Seconde Guerre mondiale

Bülow Otto vonBülow Otto von

D'une famille noble du Mecklembourg connue depuis 1229. Il épouse Helga Christiansen le 5 juin 1937 à Brême. Il rejoint la Reichsmarine le 1er avril 1930. Il intègre l'école navale de Stralsund. Entre juillet et octobre 1930 il sert sur le Niobé puis sur le croiseur léger Emden jusqu'en janvier 1932. Entre 1932 et 1933 en tant que cadet il suis les cours de l'Académie navale de Flensbourg Mürwik. Début 1933 dans la Kriegsmarine, il sert sur le cuirassé navire école Deutschland comme chef de batterie de 280 mm, 1935 1937 de nouveau sur le Emden, puis entre 1937 et 1939 il est chef de batterie antiaérienne sur le cuirassé navire école Schleswig Holstein. 1939 1940 basé à terre comme responsable de la Flak à Pillau (Baltiisk), il opte pour les sous-marins en avril 1940.

Pendant la Guerre il commanda le U-3, le U-404, la 23. Unterseebootsflottille basée à Danzig, le U-2545 en avril 1945 et finit chef de la  23ème Unterseebootsflottille. Il fut capturé par les Anglais à Plön. Au cours du conflit il coula 15 navires. Il est porteur de la croix de chevalier avec feuilles de chêne et de la croix du mérite de guerre. Dans la Bundesmarine entre 1956 et 1959 il commanda la garnison de Bremerhaven puis entre 1959 et 1962 le Zerstörer Z 6 (destroyer Z 6 classe 119) et acheva sa carriére comme chef de la 3e escadre de destroyers en 1970. Il est décoré de la Bundesverdienstkreuz.

Grade

  • 1939 Kapitänleutnant
  • 1943 Korvettenkapitän

Commandement 

  • U-3
  • U-404
  • U-2545

Distinctions 

  • Croix de fer

Burmeister Arnold

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Arnold Hans Albert Burmeister (28 février 1899 à Norburg - 2 juillet 1988 à Stühlingen) est un Generalleutnant allemand qui a servi au sein de la Heer dans la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale

Burmeister Arnold

Il a été récipiendaire de la Croix de chevalier de la Croix de fer. Cette décoration est attribuée pour récompenser un acte d'une extrême bravoure sur le champ de bataille ou un commandement militaire avec succès. Arnold Burmeister est capturé par les troupes britanniques en mai 1945, et reste en captivité jusqu'en 1947.

Promotions

  • Gefreiter 2 novembre 1916
  • Unteroffizier 27 janvier 1917
  • Fähnrich 14 juin 1917
  • Char. Leutnant 31 mars 1920
  • Gefreiter OA 1er juillet 1922
  • Unteroffizier 15 novembre 1922
  • Fähnrich 1er septembre 1923
  • Oberfähnrich     1er septembre 1924
  • Leutnant 20 décembre1924
  • Oberleutnant 16 avril 1928
  • Oberleutnant 8 octobre 1929
  • Rittmeister 1er avril 1933
  • Major 2 octobre 1936
  • Oberstleutnant 16 mars 1940
  • Oberst 16 mars 1942
  • Generalmajor 15 janvier 1945
  • Generalleutnant 25 avril 1945

Décorations

  • Croix de fer (1919), 2e Classe
  • Croix d'honneur
  • Agrafe de la Croix de fer (1939), 2e Classe (18 septembre 1939), 1re Classe (14 octobre 1939)
  • Insigne de combat des blindés (18 mai 1940)
  • Insigne des blessés (1939) en Noir (4 novembre 1943)
  • Médaille du Front de l'Est
  • Croix allemande en Or (9 avril 1943)
  • Croix de chevalier de la Croix de fer, Croix de chevalier le 14 avril 1945 en tant que Generalmajor et commandant de la 25. Panzergrenadier-Division
  • Mentionné dans le bulletin radiophonique Wehrmachtbericht (24 décembre 1944)
 

Busch Ernst

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Ernst Busch (6 juillet 1885, 17 juillet 1945) est un Generalfeldmarschall allemand pendant la Seconde Guerre mondiale

Busch ErnstBusch Ernst

Il est né à Essen-Steele en Allemagne et fait son éducation à l'académie de cadets Gross Lichterfelde. Busch s'enrôle dans l'armée allemande en 1904 et sert sur le front de l'Ouest pendant la Première Guerre mondiale. Il reçoit la médaille Pour le Mérite en 1918. Après la guerre, il demeure dans l'armée et est nommé inspecteur du transport des troupes en 1925. En 1930, il est élevé au rang de lieutenant-colonel et reçoit le commandement du 9e régiment d'infanterie. Du 15 octobre 1935 au 1er Mars 1938 il commande la 23e Division d'Infanterie.

Pendant l'invasion de la Pologne en 1939, Busch sert sous les ordres de Wilhelm List et dirige la 6e armée allemande l'année suivante pendant la bataille de France. Hitler lui attribue la Croix de Chevalier pour le récompenser de ses efforts. Busch prend part à l'opération Barbarossa et, le 8 septembre 1941, sa 16e armée s'empare de Demyansk avant de prendre part au siège de Leningrad. Malgré une contre-attaque de l'Armée rouge, les troupes de Busch tiennent la ligne de Staraya à Ostashkov.

Il est promu Generalfeldmarschall suite à la courageuse défense de sa position. En 1943 et 1944, il commande le groupe d'armées Centre, mais après une désastreuse défaite en Biélorussie, il est congédié par Hitler en juillet 1944 et remplacé par le Generalfeldmarschall Walter Model. En mars 1945, il est rappelé et placé à la tête du groupe d'armées nord-ouest. Busch a la mission de stopper l'avance du Field Marshal Bernard Montgomery et des Alliés en Allemagne avec l'aide de Kurt Student et sa 1er armée de parachutistes. Busch se rend à Montgomery le 2 mai 1945 et meurt dans un camp de prisonniers de guerre à Aldershot, en Angleterre, le 17 juillet 1945.

Décorations

  • Iron Cross (1914), 2nd Class (20 September 1914), 1st Class (6 March 1915)
  • Wound Badge (1914), in Black, in Silver
  • Knight's Cross of the Royal House Order of Hohenzollern with Swords (14 June 1917)
  • Pour le Mérite (4 October 1918)
  • Honour Cross of the World War 1914/1918 (1 January 1935)
  • Wehrmacht Long Service Award, 1st Class (2 October 1936)
  • Sudetenland Medal with Prague Castle clasp
  • Clasp to the Iron Cross (1939), 2nd Class (18 September 1939), 1st Class (25 September 1939)
  • Eastern Front Medal (30 July 1942)
  • Demyansk Shield
  • Knight's Cross of the Iron Cross with Oak Leaves, Knight's Cross on 26 May 1940 as General der Infanterie and Commander-in-chief of 16. Armee, 274th Oak Leaves on 21 August 1943 as Generalfeldmarschall and Commander-in-chief of 16. Armee
  • Mentioned 4 times in the Wehrmachtbericht (6 August 1941, 16 September 1941, 21 October 1941 and 28 January 1943)
  • Order of the Cross of Liberty, First Class with Star and Swords

 

Student Kurt

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Kurt Student (12 mai 1890 - 1er juillet 1978) est un officier allemand. Il était général de troupes aéroportées et général de la Luftwaffe pendant la Seconde Guerre mondiale.

Student KurtStudent Kurt

C'est un militaire d'ancienne tradition. De onze à dix-sept ans, ce jeune Prussien, originaire de Neumark, dans le Brandebourg, subit la dure éducation de l'école des cadets impériaux de Potsdam, puis de Lichterfelde près de Berlin. Il est au début de sa carrière militaire officier dans les rangs des chasseurs du bataillon Graf Yorck von Wartenburg. Par la suite, il combat comme pilote, puis chef d'escadrille pendant la Première Guerre mondiale avant de devenir fondateur et spécialiste du commandement des troupes aéroportées, les Fallschirmjäger, pour le Troisième Reich. Au début de la Grande Guerre, il est sous-lieutenant et c'est un des rares officiers allemands à servir dans une formation aérienne. Il pilote un Albatros sur le front de l'Est. Puis sur un Fokker, il attaque quatre Morane russes et abat l'un d'eux. Par la suite, il est transféré sur le front de l'Ouest et dès 1916, Student commande l'escadrille Jasta 9 en Champagne et il devient un as. Il marque six victoires contre des avions français entre 1916-1917. Il fut deux fois blessé et une fois descendu en vol. Son parachute lui sauva la vie !

Il fut le père des forces parachutistes allemandes. Ce passionné de planeur fut nommé en 1932, directeur des écoles de techniques aériennes des forces allemandes, ce qui l'amena à s'intéresser de près aux expériences menées par les Soviétiques dans le domaine des troupes aéroportées. "Student,... était un chef de très grande classe. Il possédait deux qualités qui vont rarement de pair. Il alliait un calme et une pondération remarquables à une vision originale et audacieuse des problèmes. En d'autre termes, la démarche de sa pensée, pour peu classique et peu traditionnelle qu'elle fût, n'en demeurait pas moins constamment logique et rationnelle" (La chute de la Crète p. 152). À l'avènement d'Hitler, le concept nouveau de guerre éclair lui permit de développer ses idées qui impliquait l'emploi d'appareils pouvant transporter du matériel et des troupes d'élite. Le 1er juillet 1938, il fut nommé commandant de toutes les unités parachutistes allemandes de l'armée de Terre et de l'armée de l'Air. Ainsi les troupes aéroportées allemandes furent employées pour la première fois pendant la campagne de Norvège, où elles établirent une tête de pont à Stavanger-Sola le 9 avril 1940.

Mais c'est surtout lors de l'offensive lancée contre l'Europe occidentale qu'elles firent leurs preuves. L'efficacité de ses conceptions fut mise en évidence en 1940, bien que Student lui-même fût accidentellement blessé à la tête, le 14 mai 1940, à Rotterdam, aux Pays-Bas, par un tir ami. Student soupçonna qu'il fut atteint par un soldat de la Waffen-SS de la division Leibstandarte Adolf Hitler qui avait eu la gâchette trop rapide. Il imposa à Hitler, tout d'abord peu enthousiaste, l'idée de l'invasion aéroportée de la Crète : opération Mercure. Le général Student, commandant le XIe corps, avait conçu le plan de l'opération Mercure, au cours d'une série de conférences en avril, réunissant le général Süssmann, commandant la division de parachutistes et les chefs d'état-major de la Luftwaffe et du XIe corps. Il participa, entre autres, à l'assaut aéroporté de la bataille de Crète en mai 1941.

Son plan porta ses fruits, au prix toutefois d'énormes pertes en hommes et en matériel, ce qui explique sans doute que ses projets d'attaques aéroportées sur Alexandrie, le canal de Suez et Malte ne purent jamais être de nouveau concrétisés. Le général Kurt Student dira dans ces mémoires que la Crète est "le cimetière des parachutistes allemands" et une "victoire désastreuse". Au printemps 1943, Student commande deux divisions de chasseurs parachutistes stationnées dans la vallée du Rhône et en Italie : la 1re division du général Heidrich et la 2e division du général Ramcke. Dès l'annonce de la chute de Mussolini, en juillet 1943, il reçoit l'ordre de mettre toutes ses unités en alerte. Il ne tarde pas à rejoindre le Generalfeldmarschall Albert Kesselring alors commandant en chef du théâtre d'opération Sud. À la suite du succès de l'Opération Eiche (la libération de Mussolini), Student est décoré de la croix chevalier de la croix fer avec feuille de chêne (Ritterkreuz des Eisernen Kreuzes mit Eichenlaub).

Il fut arrêté le 28 mai 1945 et condamné à cinq ans de prison. En automne 1947 la Grèce demanda son extradition. Finalement, il fut libéré en 1948. Les parachutistes de la Bundeswehr en firent un héros. En automne 1998, le ministère fédéral de la Défense décida qu'il était responsable de crimes de guerre en Crète et toutes références à lui furent interdites. La rue Generaloberst-Student-Straße dans le centre de formation des parachutistes de la Bundeswehr à Altenstadt fut rebaptisée et toutes les gravures le représentant furent supprimées. Le directeur du centre, le colonel Friedrich Jeschonnek fut démis des ses fonctions.

Décorations

  • Croix de fer (1914), 2e classe (26 septembre 1914), 1re Classe (29 août 1915)
  • Ordre de Hohenzollern (5 juin 1917)
  • Croix d'honneur (30 janvier 1935)
  • Agrafe de la Croix de fer (1939), 2e classe (20 septembre 1939), 1re classe (20 septembre 1939)
  • Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne, Croix de chevalier le 12 mai 1940 en tant que Generalleutnant et commandant de la 7e division aérienne, 305e feuilles de chêne le 27 septembre 1943 en tant que General der Flieger et commandant du XI. Flieger-Korps
  • Insigne de pilote-observateur en or avec brillants (2 septembre 1941)
  • Bande de bras Kreta

 

Schlemm Alfred

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Alfred Schlemm (18 décembre 1894, 24 janvier 1986) est un General der Fallschirmtruppen allemand de la Luftwaffe pendant la Seconde Guerre mondiale. Il est le dernier commandant allemand de la Seconde Guerre mondiale a s'opposer à l'avance de la 1re Armée canadienne autour du Reichswald en février 1945 au cours de l'Opération Veritable.

Schlemm Alfred

Schlemm est né à Rudolstadt dans la Principauté de Schwarzbourg-Rudolstadt, faisant partie de l'Empire allemand. Il rejoint l'armée impériale allemande, la Deutsches Heer, le 8 mars 1913 comme Fahnenjunker dans le 2. Posensches Feld-Artillerie-Regiment Nr.56 (56e du 2e régiment d'artillerie de campagne de Posen) et est transféré temporairement à l'École de guerre de Dantzig en octobre 1913. Il retourne à son régiment avant le début de la Première Guerre mondiale, où il demeure jusqu'en septembre 1919, progressant dans les différents rôles (chef de section, officier d'ordonnancement, commandant de batterie et d' adjudant (aide-de-camp) régimentaire).

Durant l'entre-deux-guerres, Schlemm sert dans différents services de personnel, de formation et à des postes de régiment jusqu'à ce qu'il soit rattaché en octobre 1937 au Reichsluftfahrtministerium (RLM ou Ministère de l'Air du Reich). En février 1938, il est transféré de l'armée à la Luftwaffe et est nommé Oberst (colonel) à l'état-major général de la Luftwaffe. En juin 1938, il est nommé chef d'état-major de la défense aérienne de la Zone Ouest. En octobre 1939, il est le chef d'état-major de la Luftgau XI (Zone aérienne XI), sous les ordres du Generalleutnant Ludwig Wolff et en décembre 1940, Schlemm est nommé chef d'état-major de la XI. Fliegerkorps (Corps aérien) sous les ordres du General der Flieger Kurt Student.la XI. Fliegerkorps avait la responsabilité des troupes aéroportées et des Fallschirmjäger qui ont été utilisés pour l'opération Merkur, nom de code de l'invasion aéroportée de la Crète, le 21 mai 1941. Au moins 6 000 Fallschirmjäger ont été perdus dans cette opération et la conquête de la Crète a mis fin à tous les plans à grande échelle des opérations aéroportées allemandes.

En février 1942, Schlemm est rattaché au commandement général de la VIII. Fliegerkorps du Generaloberst Wolfram von Richthofen sur le front de l'Est, où il devient commandant de la Luftwaffen-Gefechtsverbande. Schlemm est attaché au XXXX et LVI Panzer-Korps de la 4. Armee du général d'infanterie Gotthard Heinrici. Schlemm devient commandant de la 1. Flieger-Division (1ère Division aérienne) à partir de juin 1942, basée à Dugino et prend la direction de différentes unités aériennes et de soutien au sol de la LuftwaffeEn octobre 1942, il devient commandant général de la II. Luftwaffen-Feldkorps sur le front de l'Est et, plus tard, en Italie. Le Korps de Schlemm est composé de quatre Luftwaffe Field Divisions (divisions de campagne de la Luftwaffe) et tient une ligne du sud de Nevel au bord de la Dvina à l'est de Vitebsk, rattaché à la 3. Panzerarmee (3e armée de Panzer) du groupe d'armées Centre. En février et mars 1943, la II. Luftwaffe-Field-Korps participe à l'Opération Kugelblitz contre les partisans qui ont infesté la région de Souraj (Sourajski raïon) au nord-est de Vitebsk. Le 6 octobre 1943, une partie du Korps de Schlemm s'effondre sous une attaque russe de grande envergure, ce qui entraîne une déchirure de 16 kilomètes dans les lignes allemandes et la capture de Nevel. L'ensemble du II. Luftwaffe-Field-Korps se retire vers de nouvelles positions à l'ouest de Gorodok.

Retirées du front de l'Est en novembre 1943, les quatre divisions de Schlemm sont transférées aux LIII et IX corps d'armée et sont transférées en Italie. Le 1er janvier 1944, le personnel de l'état-major de Schlemm, rebaptisé I. Fallschirmkorps avec Schlemm comme commandant général, prend le contrôle d'une force de réserve de plus de 24 000 soldats dans la région de Rome. Ils ont été initialement expédiés à Rome pour renforcer la Ligne Gustave (ou ligne d'hiver) le long du fleuve Garigliano, mais le I. Fallschirmkorps de Schlemm est transféré d'urgence pour s'opposer à la tête de pont alliée à Anzio (Opération Shingle). Schlemm mène les défenseurs allemands avec succès pendant trois jours, suivant les ordres transmis officiellement du Generaloberst Eberhard von Mackensen, commandant en chef de la 14e armée. Le I. Fallschirmkorps combat à Anzio pendant les trois prochains mois. Schlemm est cité dans le communiqué officiel des Forces armées et reçoit la Croix de chevalier de la Croix de fer pour ses faits de guerre.

Après que la ligne Gustave a été franchie à Cassino et l'éclatement des têtes de pont d'Anzio a eu lieu, le I. Fallschirmkorps de Schlemm se joint à la retraite allemande à travers l'Italie centrale. En août 1944, il est positionné le long du fleuve Arno dans des positions défensives de la Ligne gothique dans les Apennins du Nord. Schlemm cède le commandement du I. Fallschirmkorps au Generalleutnant Richard Heidrich. Le Reichswald est une zone boisée proche de la frontière germano-hollandaise, entre le Rhin et la Meuse, à l'est de Nimègue. Au moment de l'opération, le terrain était boueux et était difficilement praticable pour les véhicules à roues ou tractés.

Schlemm devient commandant général de la III. Fallschirm-Korps, mais cette formation n'a jamais été activée. Au lieu de cela, il succède au Generaloberst Kurt Student en tant que commandant en chef de la 1. Fallschirm-Armee (armée de parachutistes) sur le front occidental dans les Pays-Bas. La 1. Fallschirm-Armee est engagée pour la défense du Reichswald contre la Première Armée canadienne. Les troupes de Schlemm étaient constituées de manière hétéroclite de récupération de divisions d'infanterie en sous-effectif et de groupes de combat de la ligne Siegfried). Schlemm, en désaccord avec son entourage selon lequel la prochaine attaque des Alliés serait plus au sud, ordonne que ses troupes construisent des défenses.

La Première Armée canadienne et la 9ème Armée US sous les ordres du lieutenant-général William H Simpson compriment les forces de Schlemm dans une petite tête de pont sur la rive ouest du Rhin en face de Wesel. Le 10 mars 1945, l'arrière-garde de la 1. Fallschirm-Armee évacue leur tête de pont, en détruisant le pont derrière eux, et Schlemm se prépare à répondre aux inévitables traversées alliées du fleuve. Il est blessé dans une attaque aérienne à son poste de commandement à Haltern onze jours plus tard et le commandement de la 1. Fallschirm-Armee passe sous les ordres du général d'infanterie Günther BlumentrittA la fin de la guerre en mai 1945, Schlemm devient prisonnier de guerre et est détenu par les britanniques. Il est rapatrié à Hambourg en octobre 1947. Alfred Schlemm décède le 24 janvier 1986 à Ahlten près de Hanovre.

Promotions

  • Fahnenjunker : 8 mars 1913
  • Fähnrich : 20 octobre 1913
  • Leutnant : 19 juin 1914
  • Oberleutnant : 16 septembre 1917
  • Hauptmann: 1er juin 1925
  • Major : 1er juin 1934
  • Oberstleutnant : 1er septembre 1935
  • Oberst : 1er février 1938
  • Generalmajor : 1er juin 1940
  • Generalleutnant : 1er juin 1942
  • General der Flieger : 15 mars 1943
  • General der Fallschirmtruppen : 4 novembre 1944

Décorations

  • Croix de fer (1914), 2e et 1re classe
  • Ordre de Königlichen avec épées le 15 octobre 1918
  • Insigne des blessés en Noir (1918)
  • Fermoir à la croix de fer (1939) 2e et 1re classe
  • Croix allemande en or le 4 août 1942.
  • Bande de bras Kreta
  • Croix de chevalier de la Croix de fer le 11 juin 1944
  • Insigne de combat au sol de la Luftwaffe
  • Mentionné dans le Wehrmachtbericht du 29 mai 1944
 

Croix de chevalier de la Croix de fer

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La Croix de chevalier de la Croix de fer (en allemand Ritterkreuz des Eisernen Kreuzes) est une décoration allemande de la Seconde Guerre mondiale. Elle est le troisième grade de la Croix de fer.

Croix de chevalier de la Croix de fer

La Croix de chevalier de la Croix de fer est une décoration supérieure à la Croix de fer. Cet ordre a été créé le 1er septembre 1939 par Adolf Hitler, au début de la campagne de Pologne. La Croix de chevalier est la deuxième plus haute distinction militaire du Troisième Reich. La Croix de chevalier de la Croix de fer correspond à la décoration militaire Pour le Mérite de la première guerre mondiale. 2 300 000 Croix de fer 2e classe ont été décernées entre 1939 et 1945, contre seulement 7 313 Croix de chevalier. L'attribution de la Croix de fer 1939 ne sera pas limitée par l'âge ou le sexe, ni même par la nationalité.

Au verso de la médaille, ne figurait plus que l'année 1813 dans le bas, et au recto figuraient une croix gammée au centre et l'année 1939 dans la branche du bas. Le ruban était désormais à la couleur du Reich, noire, blanche et rouge. Adolf Hitler rétablit la Croix de fer le 1er septembre 1939, instituant quatre grades :

  • Croix de fer 2e classe
  • Croix de fer 1re classe
  • Croix de chevalier de la Croix de fer
  • Grand-croix de la Croix de fer

La loi du 1er septembre 1939 sera modifiée à trois reprises par des ordonnances instituant quatre classes intermédiaires entre la croix de chevalier et la Grand-croix :

  • Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne (Ritterkreuz des Eisernen Kreuzes mit Eichenlaub), le 3 juin 1940 ;
  • Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne et glaives (Ritterkreuz des Eisernen Kreuzes mit Eichenlaub und Schwerten) le 28 septembre 1941 ;
  • Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne, glaives et brillants (Ritterkreuz des Eisernen Kreuzes mit Eichenlaub, Schwerten und Brillanten), également le 28 septembre 1941 ;
  • Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne en or, glaives et brillants (Ritterkreuz des Eisernen Kreuzes mit goldenem Eichenlaub, Schwerten und Brillanten) le 29 décembre 1944.

Lorsque Hitler institue le 29 décembre 1944 la « Croix de fer avec feuilles de chêne en or, glaives et brillants » comme la plus haute distinction militaire du Troisième Reich, il prévoit de n'en attribuer que douze, mais finalement seul le pilote Hans-Ulrich Rudel (1916-1982), pour qui elle est originellement créée, la reçoit, le 1er janvier 1945, en même temps que sa promotion au grade d'Oberst (colonel).

L' Association des récipiendaires de la Croix de chevalier (en allemand : Ordensgemeinschaft der Ritterkreuzträger des Eisernen Kreuzes e.V. (OdR)) recense 7 322 bénéficiaires de la Croix de chevalier dans les trois branches militaires de la Wehrmacht, composé de la Heer (armée de terre), la Kriegsmarine (marine) et la Luftwaffe (armée de l'air), ainsi que dans la Waffen-SS, le Reichsarbeitsdienst (RAD) et le Volkssturm1. L'OdR énumère également 43 personnes dans l'armée des alliés du Troisième Reich pour un total de 7 365 bénéficiaires de la Croix de chevalier de la Croix de fer.

Sur les 890 personnes qui ont reçu les feuilles de chêne (882 membres de la Wehrmacht et 8 non-Allemands) ; 160 ont reçu les feuilles de chêne et épées (159 membres de la Wehrmacht et un destinataire d'honneur, l'amiral japonais Yamamoto Isoroku). Seuls 27 hommes ont reçu la décoration de la Croix de Chevalier avec diamants (3 maréchaux, 10 généraux, trois colonels, neuf pilotes de chasse et 2 capitaines d'U-Boat) ; Hans-Ulrich Rudel est le seul destinataire de la Croix de chevalier avec feuilles de chêne en or, épées et diamants.

Parmi les 159 destinataires allemands de la Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne et épées, 13 lauréats ne répondent pas aux critères formels d'attribution de la Croix de Chevalier. Vingt-quatre récipiendaires de la Croix de Chevalier avec feuilles de chêne font également défaut de preuves durables pour que leur inscription soit justifiable. Otto Weidinger, Günther-Eberhardt Wisliceny, Sylvester Stadler et Wilhelm Bittrich ont reçu les Épées par le SS-Obergruppenführer Dietrich Josef, qui n'était pas légalement autorisé à décerner le prix.

Par ailleurs, Hermann Fegelein était exécuté dans les derniers jours de la guerre pour désertion, une charge qui, après condamnation, aurait dû légalement le priver de tout rang et récompenses, y compris sa Croix de chevalier. Cependant, ses forces ont été une exécution extrajudiciaire. Selon les souvenirs de Wilhelm Mohnke, lui et les trois autres officiers généraux chargés de la tenue d'une cour martiale pour Fegelein l'ont trouvé d'une telle aliénation mentale qu'il n'était pas apte à être jugé en vertu du droit militaire. Fegelein a ensuite disparu dans les mains du SS-Gruppenführer Johann Rattenhuber, qui avait été l'un des juges de cette cour martiale, et l'escadron de sécurité de la Reichssicherheitsdienst du Führerbunker. Fegelein n'a jamais été vu ou entendu de nouveau.

Parmi les officiers qui ont participé au complot visant à assassiner Hitler le 20 juillet 1944, treize étaient récipiendaires de la Croix de chevalier de la Croix de Fer. En outre, 711 bénéficiaires de la Croix de Chevalier ont servi plus tard dans la Bundeswehr, dont 114 d'entre eux atteignant le rang de général. Les soldats et militaires étrangers et faisant partie des pays des Forces de l'Axe et qui n'ont pas servi dans l'une des quatre branches de la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale ont également reçu la Croix de Chevalier de la Croix de Fer ou son grade supérieur, la croix de chevalier avec feuilles de chêne.

Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, de nombreuses personnes ont prétendu être les destinataires non reconnus de la Croix de chevalier. La majorité de ces « bénéficiaires » manquent de preuve pour soutenir leurs revendications et se sont donc vu refuser le droit de se considérer comme « bénéficiaires légaux ». Il y a deux cas où la preuve légale de l'attribution existe même si les destinataires ne l'ont pas eue. Ces deux bénéficiaires « juridiquement corrects » sont Günther Nowak et Heinrich Scherhorn.

Günther Nowak, Hitlerjunge, a été décoré de la Croix de chevalier le 14 février 1945 pour la destruction de onze chars à Hindenburg dans l'Oberschlesien. Il a toujours été supposé qu'il était le plus jeune récipiendaire de la Croix de chevalier, toutefois, Günther Nowak n'a jamais vraiment existé - un commandant déserteur du Volkssturm a été rattrapé et a affirmé que, après la retraite de la Wehrmacht, il avait détruit cinq chars à lui seul. Pour cette raison, il a été emmené à un Gauleiter. Craignant que son mensonge ne soit dévoilé, il a créé l'histoire de Günther Nowak afin de réduire son propre « exploit ». Ce rapport a ensuite été envoyé au Reichsleiter Martin Bormann. Bormann a immédiatement décoré de la Croix allemande en Or le commandant Sachs de la Volkssturm et la Croix de chevalier de Nowak.

L'Association des récipiendaires de la Croix de chevalier (en allemand : Ordensgemeinschaft der Ritterkreuzträger des Eisernen Kreuzes e.V. (OdR) ) est une association de personnes hautement décorées des deux guerres mondiales. L'association a été fondée en 1955 à Köln-Wahn. Le Generaloberst Alfred Keller, Chevalier de l'Ordre Pour le Mérite et récipiendaire de la Croix du chevalier de la Croix de fer, a appelé les récipiendaires des plus hautes décorations pour bravoure à organiser une association pour maintenir la tradition. Plus tard, les lauréats de la Croix du Mérite militaire prussienne en Or, et Pour le Mérite du personnel enrôlé ont été inclus. Le mémorandum de l'OdR intègre l'attribution de 7 318 Croix de chevalier, ainsi que 882 feuilles de chêne, 159 épées, 27 diamants, 1 feuilles de chêne en Or et une Grande Croix de la Croix de fer pour tous les grades dans les trois branches de la Wehrmacht et la Waffen-SS.

Liste des Médecins nazis

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Les médecins nazis sont influencés par l'enseignement prodigué dans les facultés européennes de médecine au XIXe siècle : les promoteurs du racisme biologique, Joseph Arthur de Gobineau et Houston Stewart Chamberlain, construisent le mythe de la pureté de la race qui affirme la supériorité des races pures sur les races dites métissées. Les médecins allemands, dont plus de 50 % sont alors membres du parti nazi (SA et SS), sont influencés par cette idéologie mais empruntent un Sonderweg basé sur l’imaginaire médical de la souillure et l'hygiène raciale allemande développée par le médecin Alfred Ploetz, sur la notion d'espace vital forgée par le pharmacien Friedrich Ratzel puis sur le mythe de la race aryenne prôné par Adolf Hitler.

Suite au Programme Aktion T4 qui euthanasie des personnes handicapées allemandes, programme qui est une répétition générale avant ces expérimentations, le régime nazi dispose d'une centaine de spécialistes de la mise à mort issus des six stations d'euthanasie T-4, dont des médecins qui sont envoyés à Odilo Globocnik, chef de la SS et de la police du district de Lublin dans le cadre de l'Opération Reinhard. Les expériences pratiquées par les médecins nazis se sont déroulées hors des protocoles scientifiques et des codes déontologiques admis et reconnus par la communauté scientifique et médicale internationale.

Elles exposaient les cobayes humains à des conditions cruelles voire barbares pour les plus extrêmes d'entre elles avec des apports scientifiques contestables voire inutiles. Des expériences comme des inoculations de germes mortels (typhus) étaient également pratiquées, ainsi que des expériences sur l'alimentation, sur les gaz de combats, les brûlures au phosphore, des injections intraveineuses de phénol, essais de nouveaux sulfamides, etc.

Karl Brandt, Hitler's personal physician stands in the defendants dock at the Doctors Trial

Karl Brandt, Hitler's personal physician stands in the defendants dock at the Doctors Trial

Fegelein Hermann

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Otto Hermann Fegelein, né le 30 octobre 1906 à Ansbach, en Bavière, et fusillé le 29 avril 1945 à Berlin, était membre de la Waffen-SS et proche de l'entourage d'Adolf Hitler, ayant épousé Gretl, la sœur d'Eva Braun.

Hermann and Waldemar Fegelein

Hermann and Waldemar Fegelein

Il était l'officier de liaison entre Adolf Hitler et le Reichsführer-SS Heinrich Himmler. Jeune garçon, il travaille dans l'école d'équitation de son père à Munich, puis après sa fermeture suite à la grande dépression de 1929, comme garçon d'écurie pour Christian Weber, un des premiers membres du Parti national-socialiste des travailleurs allemandsEn 1925, il intègre le Reiterregiment 17 de la Reichswehr, qu'il quitte en 1928 pour rejoindre la police bavaroise à Munich. À Munich, il entre tôt en contact avec le mouvement nazi, alors qu'il devient membre du parti, de la Sturmabteilung (SA) en 1930, puis de la SS en 1931. 

Sous le commandement d'Hermann Fegelein, les sections montées des deux premiers régiments de cavalerie de la 8ème division SS de cavalerie Florian Geyer font 14 000 victimes civiles dans les marais du Pripet en août 1941. Elles débutent leur action le 30 juillet 1941, à 7 heures du matin. Après un entretien avec le chef supérieur de la SS et de la Police, Erich von dem Bach-Zelewski, Hermann Fegelein fait savoir à ses troupes que tous les juifs doivent être fusillés et les femmes chassées dans les marais.

Le deuxième régiment applique ces ordres à la lettre, bien que nombre de ses hommes déplorent que chasser les femmes et les enfants n'ait pas eu le résultat espéré, les marais n'étant pas assez profonds pour qu'ils s'y noient. Quant au premier régiment, il assassine tous les Juifs, hommes, femmes et enfants. Lors de l'invasion de l'Union des républiques socialistes soviétiques, il dirige un Einsatzgruppen, chargé d’exterminer par fusillades et pendaisons les juifs d'Ukraine et de Biélorussie. On le voit une dernière fois, en 1945, dans un film d'actualité nazi tourné lors de l'anniversaire d'Adolf Hitler où il assiste à la remise par Hitler de croix de fer à des enfants des Jeunesses hitlériennes qui ont détruit des tanks de l'Armée rouge. 

Hermann Fegelein se tient à l'arrière, et arbore les insignes de grade de Gruppenführer. Il est exécuté d'une rafale de mitraillette, par Peter Hoegl, dans les couloirs de la Chancellerie du Reich pour désertion sur l'ordre de Hitler lors de la chute de Berlin. Les historiens semblent s'accorder pour dire que Fegelein, découvert en dehors de la chancellerie en état d'ébriété, aurait payé pour la "trahison" de Himmler (il était son agent de liaison) qui entamait des négociations en vue de la capitulation allemande, avec le Comte Folke Bernadotte. Il a été marié à la sœur d'Eva Braun-Hitler, Gretl.

Décorations

  • Insigne de combat d'infanterie en argent
  • Insigne du combat rapproché en argent
  • Insigne des blessés en argent
  • Croix de fer (1939), 2e Classe, 1re Classe
  • Croix allemande en Or (1er novembre 1943)
  • Croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne et glaives, Croix de chevalier, le 2 mars 1942 en tant que SS-Standartenführer et commandant de la SS-Kavallerie-Brigade5, 157e feuilles de chêne, le 22 décembre 1942 en tant que SS-Oberführer et commandant d'un Kampfgruppe, 83e glaives, le 30 juillet 1944 en tant que SS-Gruppenführer et Generalleutnant de la Waffen-SS et commandant de la 8. SS-Freiwilligen-Kavallerie-DivisionFlorian Geyer

 

Ploetz Alfred

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Alfred Ploetz (22 août, 1860 – 20 mars, 1940) était a Allemand médecin, biologiste, eugenicist connu pour présenter ainsi que Wilhelm Schallmayer le concept de hygiène raciale (Rassenhygiene) en Allemagne. Ist de « Rassenhygiene » un autre nom pour l'eugénie. 

Ploetz AlfredPloetz Alfred

Alfred Ploetz est né dedans Swinemünde, L'Allemagne (maintenant Świnoujście, La Pologne) a grandi et est allé à l'école dedans Breslau (maintenant Wrocław). Déjà alors il a commencé son amitié par Karl Hauptmann, frère de l'auteur célèbre Gerhart Hauptmann. En 1879 il a fondé une société secrète d'écolier pour l'amélioration de la course. Dans le drame « Vor Sonnenaufgang » de Gerhart Hauptmanns (avant lever de soleil) qui a été exécuté la première fois le 20 octobre 1889 à Berlin, la figure principale des ours peu disposés de journaliste les dispositifs de Ploetz. Après son temps d'école Ploetz a au début étudié l'économie politique dans Breslau. Là il a joint le « wissenschaftliche Vereinigung de Freie » (union scientifique libre). Parmi ses amis étaient - sans compter que son frère - entre d'autres : son ancien ami Ferdinand Simon (un plus défunt fils d'école d'août Bebel), les frères Karl et Gerhart Hauptmann, Heinrich Laux, et proteus Steinmetz de Charles.

Ce cercle a enthusastically lu les travaux d'Ernst Haeckel et de Charles Darwin. Karl Hauptmann était un étudiant d'Ernst Haeckel, et Gerhart Hauptmann et Ploetz se sont occupés de certaines de ses conférences. Ce cercle s'est prolongé, a développé un plan de fonder une colonie dans un des états Pacifiques et s'est établi comme association « Pacifique ». Ils ont projeté une « communauté sur amical, le socialiste et peut-être aussi la base casserole-Germanique ». En conséquence de la poursuite des personnes occupées socialistes dans l'application des lois « socialistes » de Bismarck (187-1890), en Ploetz 1883 a volé à Zurich, où il a continué à étudier l'économie politique avec le plateau de Jules (1844-1923). Dans ses états de Ploetz de mémoires comme motif important de son choix de Zurich qui dans ses études dans des théories socialistes de Breslau seulement ont été par ailleurs mentionnés. À Zurich il pourrait s'occuper plus intensivement avec eux et faire la connaissance avec quelques démocrates socialistes et sociaux. Dans le 1880s la Suisse libre, avec ses lois libérales d'asile, était la destination des diverses personnes qui ont souffert la persécution politique.

Pour plus de l'association « Pacifique » voyez l'article allemand. Après que la moitié par année aux Etats-Unis Ploetz soit revenue à Zurich et ait commencé à étudier la médecine. En 1890 il est devenu docteur médical et a épousé la soeur Pauline d'Ernst Rüdin. Les quatre années à venir toutes les deux ont vécu aux Etats-Unis. Le mariage est demeuré sans enfant. Dans 1898 ils ont été divorcés. Plus défunt Anita marié par Ploetz Nordenholz. Ce mariage a mené à trois enfants Ulrich (appelé Uli), Cordelia (appelé Deda) et Wilfrid (appelé Fridl, soutenu 1912, dans 2007 vivants encore).

En Ploetz 1904 fondé le « für périodique d'Archiv Rassen-und Gesellschaftsbiologie » avec Fritz Lenz en tant que rédacteur en chef, et dans 1905 « le für Rassenhygiene de Gesellschaft de Deutsche » (association allemande d'eugénie). Il est resté le grand vieil homme de l'eugénie allemande jusqu'à sa mort en 1940. En 1930 il est devenu docteur honorifique de l'université de Munich. Ploetz a proposé la première fois la théorie d'hygiène raciale (l'eugénie) dans ses « fondations raciales d'hygiène » (Einer Rassenhygiene de Grundlinien) en 1895. Il est mort à l'âge de 79 et est enterré à sa maison dedans Herrsching sur l'Ammersee dedans La Bavière.

General der Infanterie

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General der Infanterie, littéralement "Général d'infanterie" en français, est un grade intermédiaire de général dans les anciennes armées de terre allemandes. 

Johann Adolf Graf von Kielmansegg et Günther Blumentritt

Johann Adolf Graf von Kielmansegg et Günther Blumentritt

Le grade de General der Infanterie est utilisé depuis le XIXe siècle. Il se situe entre le grade de Generalleutnant et celui de Generaloberst dans la Wehrmacht. Il correspond au grade de général de corps d'armée dans l'armée française contemporaine. En 1935, la Wehrmacht introduisit de nouveaux grades à côté des anciens: General der Nachschubtruppe (approvisionnement), General der Gebirgstruppen (troupes de montagne), General der Fallschirmtruppen (troupes parachutistes) et General der Nachrichtentruppen (troupes de transmissions).

Liste des Officiers qui ont été General der Infanterie
 

  • Erich Abraham (1895–1971)
  • Eugen Freiherr von Albori (1838–1915)
  • Viktor Albrecht (1859–1930)
  • Karl Allmendinger (1891–1965)
  • Constantin von Alvensleben (1809–1892)
  • Gustav von Alvensleben (1803–1881)
  • Gustav von Arnim (1829–1909)
  • Helge Auleb (1887–1964)
  • Max von Bahrfeldt (1856–1936)
  • Bruno Bieler (1888–1966)
  • Eugen Ritter von Benzino (1856–1915)
  • Eugen Beyer (1882–1940)
  • Franz Beyer (1892–1968)
  • Johannes Block (1894–1945)
  • Günther Blumentritt (1892–1967)
  • Max Bock (1878–1945)
  • Herbert von Böckmann (1886–1974)
  • Ehrenfried-Oskar Boege (1889–1965)
  • Alfred Boehm-Tettelbach (1878–1962)
  • Oktavio Philipp von Boehn (1824–1899)
  • Kuno-Hans von Both (1884–1955)
  • Julius von Bose (1809–1894)
  • Hermann von Boyen (1771–1848)
  • Hermann von Brandenstein (1868–1942)
  • Kurt Brennecke (1891–1982)
  • Ludwig Breßler (1862–1955)
  • Kurt von Briesen (1886–1941)
  • Walter Graf von Brockdorff-Ahlefeldt (1887–1943)
  • Heinrich von Bünau (1873–1943)
  • Rudolf von Bünau (1890–1962)
  • Rudolph Otto von Budritzki (1812–1876)
  • Walter Buhle (1894–1959)
  • Wilhelm Burgdorf (1895–1945) (committed suicide)
  • Erich Buschenhagen (1895–1994)
  • Theodor Busse (1897–1986)
  • Philipp Carl von Canstein (1804–1877)
  • Friedrich-Wilhelm von Chappuis (1886–1942)
  • Kurt von der Chevallerie (1891–1945)
  • Dietrich von Choltitz (1894–1966)
  • Eugen Ritter von Clauß (1862–1942)
  • Hermann von Colard (1857–1916)
  • Paul von Collas (1841–1910)
  • Erich Clössner (1888–1976)
  • Ernst Dehner (1889–1970)
  • Berthold Karl Adolf von Deimling (1853–1944)
  • Friedrich Wilhelm Bülow von Dennewitz (1755–1816)
  • Anton Dostler (1891–1945)
  • Karl Eibl (1891–1943)
  • Otto von Emmich (1848–1915)
  • Werner von Erdmannsdorff (1891–1945) (executed)
  • Waldemar Erfurth (1879–1971)
  • Friedrich Freiherr von Esebeck (1870–1951)
  • Ludwig von Estorff (1859–1943)
  • Alexander von Falkenhausen (1878–1966)
  • Erich von Falkenhayn (1861–1922)
  • Eduard Vogel von Falckenstein (1797–1885)
  • Maximilian Vogel von Falckenstein (1839–1917)
  • Friedrich Fangohr (1899–1956)
  • Karl von Fasbender (1852–1933)
  • Hans Feige (1880–1953)
  • Hans-Georg Felber (1889–1962)
  • Bernhard Graf Finck von Finkenstein (1863–1945)
  • Herbert Fischer (1882–1939)
  • Walther Fischer von Weikersthal (1890–1953)
  • Wolfgang Fleck (1879–1939)
  • Karl Georg Friedrich von Flemming (1705–1767)
  • Sigismund von Förster (1887–1959)
  • Hermann Foertsch (1895–1961)
  • Ernst Freiherr von Forstner (1869–1950)
  • Hermann von François (1856–1933)
  • Eduard Friedrich Karl von Fransecky (1807–1890)
  • Erich Friderici (1885–1964)
  • Lothar Fritsch (1871–1951)
  • Georg Frotscher (1868–1943)
  • Martin Gareis (1891–1976)
  • Emil Colerus von Geldern (1856–1919)
  • Hubert Gercke (1881–1942)
  • Rudolf Gercke (1884–1947)
  • Hermann Geyer (1882–1946) (committed suicide)
  • Werner-Albrecht Freiherr von und zu Gilsa (1889–1945)
  • Edmund Glaise-Horstenau (1882–1946) (committed suicide)
  • Gerhard Glokke (1884–1944)
  • Bruno Neidhardt von Gneisenau (1811–1889)
  • August Karl von Goeben (1816–1880)
  • Hans Gollnick (1892–1970)
  • Friedrich Gollwitzer (1889–1977)
  • Friedrich von Gontard (1860–1942)
  • Konrad Ernst von Goßler (1848–1933)
  • Walther Graeßner (1891–1943)
  • Martin Grase (1891–1963)
  • Anton Grasser (1891–1976)
  • Kurt von Greiff (1876–1945)
  • Hans von Greiffenberg (1893–1951)
  • Horst Großmann(1891–1972)
  • Julius von Groß (1812–1881)
  • Siegfried Haenicke (1878–1946)
  • Walther Hahm (1894–1951)
  • Hermann Konstantin Albert Julius von Hanneken (1890–1981)
  • Alexander von Hartmann (1890–1943)
  • Jakob von Hartmann (1795–1873)
  • Wilhelm Hasse (1894–1945)
  • Arthur Hauffe (1892–1944)
  • Friedrich Herrlein (1889–1974)
  • Carl Hilpert (1888–1948)
  • Otto Hitzfeld (1898–1990)
  • Karl Friedrich von Hirschfeld (1747–1818)
  • Friedrich Hochbaum (1894–1955)
  • Gustav Höhne (1893–1951)
  • Walter Hörnlein (1893–1961)
  • Albert von Holleben (1835–1906)
  • Friedrich Hoßbach (1894–1980)
  • Dietrich von Hülsen-Haeseler (1852–1908)
  • Erich Jaschke (1890–1961)
  • Hans Jordan (1892–1975)
  • Georg von Kameke (1817–1893)
  • Friedrich Karmann (1885–1939)
  • Hugo von Kathen (1855–1932)
  • Bodewin Keitel (1888–1953)
  • Werner Kienitz (1885–1959)
  • Eberhard Kinzel (1897–1945) (committed suicide)
  • Hugo von Kirchbach (1809–1887)
  • Baptist Knieß (1885–1956)
  • Konstantin Schmidt von Knobelsdorf (1860–1936)
  • Friedrich Köchling (1893–1970)
  • Albert von Koller (1849–1942)
  • Joachim von Kortzfleisch (1890–1945) (killed in action)
  • Robert Kosch (1856–1942)
  • Hugo von Kottwitz (1815–1897)
  • Hans Krebs (1898–1945) (committed suicide)
  • Karl Kriebel (1888–1961)
  • Ernst-Anton von Krosigk (1898–1945)
  • Arthur Kullmer (1896–1953)
  • Otto Lasch (1893–1971)
  • Paul Laux (1887–1944)
  • Leopold Freiherr von Ledebur (1868–1951)
  • Alfred von Lewinski (1831–1906)
  • Ernst von Leyser (1889–1962)
  • Curt Liebmann (1881–1960)
  • Eduard von Liebert (1850–1934)
  • Kurt Liese (1882–1945)
  • Anton Lipošćak (1863–1924)
  • Alfred von Loewenfeld (1848–1927)
  • Friedrich "Fritz" Karl von Loßberg (1868–1942)
  • Erich Ludendorff (1865–1937)
  • Erich Lüdke (1882–1946)
  • Hartwig von Ludwiger (1895–1947) (executed)
  • Rudolf Lüters (1883–1945)
  • Walther von Lüttwitz (1859–1942)
  • Albrecht Gustav von Manstein (1805–1877)
  • Friedrich Materna (1885–1946)
  • Franz Mattenklott (1884–1954)
  • Gerhard Matzky (1894–1983)
  • Johannes Mayer (1893–1963)
  • Friedrich Mieth (1888–1944)
  • Arnold Ritter von Möhl (1867–1944)
  • Wolfgang Muff (1880–1947)
  • Friedrich-Wilhelm Müller (1897–1947)
  • Ludwig Müller (1892–1972)
  • Oldwig Anton Leopold von Natzmer (1782–1861)
  • Paul Nethe (1849–1936)
  • Ferdinand Neuling (1885–1960)
  • August Wilhelm von Neumann-Cosel (1786–1865)
  • Günther von Niebelschütz (1882–1945)
  • Hermann Niehoff (1897–1980)
  • Hans von Obstfelder (1886–1976)
  • Friedrich Olbricht (1888–1944) (executed)
  • Eugen Ott (1890–1966)
  • Ernst von Pfuel (1779–1866)
  • Paul von der Planitz (1837–1902)
  • Karl von Plettenberg (1852–1938)
  • Paul von Ploetz (General) (1847–1930)
  • Helmuth Prieß (1896–1944)
  • Karl von Prittwitz (1790–1871)
  • Kurt von Pritzelwitz (1854–1935)
  • Wilhelm Fürst von Radziwill (1797–1870)
  • Siegfried Rasp (1898–1968)
  • Hermann Recknagel (1892–1945)
  • Hermann Reinecke (1888–1973)
  • Julius Riemann (1855–1935)
  • Enno von Rintelen (1891–1971)
  • Edgar Röhricht (1892–1967)
  • Karl von Roques (1880–1949)
  • Ernst von Rüchel (1754–1823)
  • Benignus von Safferling (1824–1899)
  • Friedrich-August Schack (1892–1968)
  • Walther Bronsart von Schellendorff (1833–1914)
  • Kurt von Schleicher (1882–1934)
  • Hans Schmidt (général d'infanterie) (1877-1948)
  • Rudolf Schmundt (1896–1944) (Died from injuries resulting from July 20 plot bomb)
  • Wilhelm Schneckenburger (1891–1944)
  • Rudolf Schniewindt (1875-1854)
  • Walther Schroth (1882–1944)
  • Friedrich Schulz (1897–1976)
  • Albrecht Schubert (1886–1966)
  • Felix Schwalbe (1892–1974)
  • Viktor von Schwedler (1885–1954)
  • Hans Lothar von Schweinitz (1822–1901)
  • Adolf Freiherr von Seckendorff (1857–1941)
  • Friedrich Siebert (1888–1950)
  • Georg von Sodenstern (1889–1955)
  • Hans Speth (1897–1985)
  • Otto Sponheimer (1886–1961)
  • Johann Baptist Stephan (1808–1875)
  • Albrecht Steppuhn (1877–1955)
  • Gustav von Stiehle (1823–1899)
  • Erich Straube (1887–1971)
  • Otto von Strubberg (1821–1908)
  • Carl-Heinrich von Stülpnagel (1886–1944) (executed)
  • Edwin von Stülpnagel (1876–1933)
  • Otto von Stülpnagel (1878–1948)
  • Richard Freiherr von Süßkind-Schwendi (1854–1946)
  • Ludwig von der Tann-Rathsamhausen (1815–1881)
  • Bogislav Friedrich Emanuel von Tauentzien (1760–1824)
  • Hans von Tettau (1888–1956)
  • Georg Thomas (1890–1946)
  • Helmut Thumm (1895–1977)
  • Kurt von Tippelskirch (1891–1957)
  • Lothar von Trotha (1848–1920)
  • Erich von Tschischwitz (1870–1958)
  • Walther von Unruh (1877–1956)
  • Julius von Verdy du Vernois (1832–1910)
  • Erwin Vierow (1890–1982)
  • Konstantin Bernhard von Voigts-Rhetz (1809–1877)
  • Paul Völckers (1891–1946)
  • Wilhelm Wegener (1895–1944)
  • Karl Weisenberger (1890–1952)
  • Wilhelm Wetzel (1888–1964)
  • Friedrich Wiese (1892–1972)
  • August Leopold Karl Wilhelm von Werder (1808–1887)
  • Gustav Anton von Wietersheim (1884–1974)
  • Mauritz von Wiktorin (1883–1956)
  • Joachim Witthöft (1887–1966)
  • Otto Wöhler (1894–1987)
  • Wilhelm von Woyna (1819–1896)
  • Ludwig Wolff (1893–1968)
  • Hugo von Wasielewski (1853-1936)
  • Gustav-Adolf von Zangen (1892–1964)
  • Hans Zorn (1891–1943)
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