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La Reine vierge

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La Reine vierge (Young Bess) est un film américain réalisé par George Sidney sorti en 1953. En 1558, Élisabeth Ire devient reine d’Angleterre. Mme Ashley, sa gouvernante, et M. Parry, son intendant, se souviennent des joies et des peines qui ont jalonné sa jeunesse… En 1536, Henri VIII fait exécuter sa femme Anne Boleyn et écarte sa fille Élisabeth, surnommée Bess, de la cour royale. Après s’être marié trois fois, Henri épouse Catherine Parr, nouvelle reine auprès de qui Bess, rentrée en grâce, trouve sympathie et soutien. De forte personnalité, Bess s’affirme et surprend son père. Elle tombe amoureuse de Thomas Seymour, amiral de la flotte anglaise et homme de confiance du roi. Le vieux roi Henri VIII meurt et c’est son jeune fils Édouard qui lui succède sous un conseil de régence dirigé par Ned Seymour, frère de Thomas. Mais Ned Seymour et sa femme sont des intrigants.

Bess qui espère bien devenir reine un jour pour réorganiser et affirmer la puissance de l’Angleterre, s’oppose violemment avec Thomas au despotisme de Ned Seymour. Elle découvre plus tard la liaison de Thomas et de Catherine Parr, mais malgré cela, elle favorise leur mariage. Thomas prouvera à Bess qu’il l’aime autant que Catherine. Très dévoué à sa femme, il se consacre entièrement à elle, mais elle meurt peu de temps après en couches. Plus tard, Bess revoit Thomas, toujours amoureux d’elle, mais Ned Seymour fait condamner à mort son frère pour trahison. Malgré toute la détermination de Bess à sauver Thomas, il sera exécuté. La future reine d’Angleterre, endurcie par les épreuves sera prête, le moment venu, à provoquer et affronter son destin.

La Reine vierge de George SidneyLa Reine vierge de George Sidney

La Reine vierge de George Sidney

Fiche technique

  • Titre : La Reine vierge
  • Titre original : Young Bess
  • Réalisation : George Sidney
  • Scénario : Jan Lustig et Arthur Wimperis d’après le roman de Margaret Irwin
  • Production : Sidney Franklin
  • Société de production : Metro-Goldwyn-Mayer
  • Musique : Miklós Rózsa
  • Photographie : Charles Rosher
  • Montage : Ralph E. Winters
  • Décors : Cedric Gibbons et Urie McCleary
  • Costumes : Walter Plunkett
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Format : Couleurs (Technicolor)
  • Genre : Film historique
  • Durée : 112 minutes
  • Date de sortie : États-Unis : 29 mai 1953

Distribution

  • Jean Simmons (VF : Arlette Thomas) : La jeune Bess (Élisabeth Ire d’Angleterre)
  • Stewart Granger (VF : Roland Ménard) : Thomas Seymour
  • Deborah Kerr (VF : Jacqueline Porel) : Catherine Parr
  • Charles Laughton (VF : Jean Marchat) : Le roi Henri VIII
  • Kay Walsh : Mme Ashley
  • Guy Rolfe (VF : Jean Martinelli) : Ned Seymour
  • Kathleen Byron (VF : Denise Bosc) : Jeanne Seymour
  • Cecil Kellaway (VF : Émile Duard) : M. Parry
  • Rex Thompson : Le jeune roi Édouard VI d'Angleterre
  • Robert Arthur : Le page Barnabé
  • Leo G. Carroll : M. Mums, le précepteur
  • Elaine Stewart : Anne Boleyn
  • Dawn Addams : Kate Howard
  • Ivan Triesault
  • Doris Lloyd : Mère Jack
  • Lumsden Hare : L'archiprêtre Cranmer

La Chute d'un caïd

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La Chute d'un Caïd (The Rise and Fall of Legs Diamond) est un film noir américain de Budd Boetticher, sorti en 1960. A l'époque de la Prohibition. Jack Diamond débarque à New York avec son frère malade et la ferme intention de faire carrière comme voleur de bijoux. Il intègre l'environnement du caïd Arnold Rothstein et découvre la vie de truand : l'alcool, les filles, le jeu et le trafic de drogue. Le vrai Jack "Legs" Diamond (1899-1931) était un voleur de voitures dans les années 1920, qui fit de la contrebande pendant la prohibition et devint ainsi un gangster puissant. Son surnom ("Legs") serait dû selon les sources à ses dons de danseur ou à sa rapidité en tant que voleur.

La Chute d'un caïd de Budd BoetticherLa Chute d'un caïd de Budd Boetticher

La Chute d'un caïd de Budd Boetticher

Fiche technique

  • Titre original : The Rise and Fall of Legs Diamond
  • Titre français : La Chute d'un Caïd
  • Réalisation : Budd Boetticher
  • Scénario : Joseph Landon
  • Direction artistique : Jack Poplin
  • Décors : Clarence I. Steensen
  • Costumes : Howard Shoup
  • Photographie : Lucien Ballard
  • Son : Samuel F. Goode
  • Montage : Folmar Blangsted
  • Musique : Leonard Rosenman
  • Production : Milton Sperling
  • Production associée : Leon Chooluck
  • Société de production : United States Productions
  • Société de distribution : Warner Bros. Pictures
  • Pays d’origine : États-Unis
  • Langue originale : anglais
  • Format : Noir et blanc — 35 mm — 1,85:1 — son Mono (RCA Sound Recording)
  • Genre : film noir
  • Durée : 103 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 3 février 1960 (première à New York), France : 12 octobre 1960

Distribution

  • Ray Danton : Jack "Legs" Diamond,
  • Karen Steele : Alice Scott
  • Elaine Stewart : Monica Drake
  • Jesse White : Leo "Butcher" Bremer
  • Simon Oakland : le lieutenant de police Moody
  • Robert Lowery : Arnold Rothstein
  • Gordon Jones : Le sergent de police Joe Cassidy
  • Judson Pratt : "Fats" Walsh
  • Warren Oates : Eddie Diamond
  • Frank DeKova : le président
  • Joseph Ruskin : Matt Moran
  • Diane Cannon : Dixie
  • Richard E. Gardner : Vince Coll
  • Sid Melton : "Little" Augie
  • Harry Swoger : "Big" Harry Weston
  • Chet Stratton : La Tour

Boetticher Budd

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Budd Boetticher — Oscar Boetticher Jr. de son vrai nom — est un réalisateur américain né à Chicago (Illinois) le 29 juillet 1916 et mort à Ramona (Californie) le 29 novembre 2001. 

Boetticher Budd

Jeune, il se passionne pour la corrida et vit plusieurs années au Mexique. Il occupe des petits boulots à Hollywood à la fin des années 1930 et gravit petit à petit les échelons de la Columbia, pour laquelle il réalise son premier film en 1944. Il obtient une certaine reconnaissance grâce à La Dame et le Toréador, un film inspiré de sa vie au Mexique qui sera nommé aux Oscars en 1952. Incapable de se plier au système des studios hollywoodiens, il réalise dans les années 1950 plusieurs westerns indépendants avec l'acteur Randolph Scott, dont Sept hommes à abattre qui reste sa plus grande réussite. Sa carrière est ensuite brisée par l'ambition de réaliser un documentaire sur le matador Carlos Arruza. Ce projet l'entraine dans la ruine et met finalement plus de dix ans à aboutir.

Oscar Boetticher Jr. est né le 29 juillet 1916 à Chicago. Sa mère meurt à l'accouchement et son père est tué par un tramway seulement quelque temps plus tard. Le bébé est alors adopté par Oscar et Georgia Boetticher, qui lui donnent le nom de son père adoptif. Celui-ci est un marchand prospère du Middle West, directeur de la firme Boetticher and Kellog. À la naissance d'Oscar, il est âgé de la cinquantaine tandis que son épouse a trente ans de moins. Le couple ne s'entend pas et est fondé uniquement sur une vie aisée. Le jeune Oscar connait une enfance privilégiée à Evansville, dans l'Indiana. Il est un enfant pourri gâté. À l'école primaire, il est rejeté par les autres du fait de sa condition sociale supérieure.

Oscar a une très mauvaise relation avec ses parents. Il dit avoir été soulagé le jour où il a appris avoir été adopté. Le seul point commun qu'il a avec son père est l'amour des chevaux. L'homme possède plusieurs montures et c'est ainsi qu'Oscar grandit à leurs côtés. Il est aussi président d'un club de chasse, ce qui permet à Oscar d'y participer dès son plus jeune âge. Adolescent, sa personnalité s'endurcit et il s'affirme dans le domaine sportif, notamment en remportant des sprints dans la région. Il pratique également la boxe. À l'Académie Militaire de Culver, puis à l'Université d'État de l'Ohio, il joue dans l'équipe de football. Il y rencontre Hal Roach Jr. avec qui il se lie d'amitié. Il est blessé au genou et opéré à Saint-Louis. Les médecins lui apprennent que s'il reçoit à nouveau un mauvais coup, il risque de perdre l'usage de ses jambes. Il est contraint d'abandonner le sport et, conséquemment, il quitte l'école.

Oscar part alors en voyage dans le Sud avec sa nouvelle LaSalle. Il se rend avec un ami à Mexico et il prévoit de visiter l'Amérique du Sud avant de retourner dans l'Ohio. Mais sa vie bascule lorsqu'il assiste à sa première corrida. Il est émerveillé par le spectacle proposé par Lorenzo Garza, grand matador de l'époque. Oscar y rencontre Maximino Ávila Camacho, avec qui il sympathise, sans savoir qu'il s'agit d'un homme politique important. Dans sa fougue, il lui dit vouloir devenir toréro. L'homme influent convainc alors Lorenzo Garza en personne de prendre en charge son entrainement. Finalement, Boetticher reste au Mexique. Il s'entraine avec Lorenzo Garza, puis avec Fermín Espinosa et son jeune novillero Carlos Arruza. En combattant un novillo, il est empalé par l'animal qui lui rentre une corne dans le rectum et lui déchire les boyaux jusqu'à l'estomac.

Les parents d'Oscar déménagèrent à Los Angeles. C'est par la presse qu'ils apprennent que leur fils combat des taureaux au Mexique. Jugeant l'activité peu respectable, sa mère cherche à le faire revenir aux États-Unis. Elle y parvient grâce à Hal Roach, le père de l'ami d'Oscar, qui lui donne un job dans son studio de production. Il s'agit de s'occuper des chevaux pour le film Des souris et des hommes (1939). En 1940, Oscar est engagé par la 20th Century Fox comme conseiller sur la corrida pour Arènes sanglantes. Il apprend à Tyrone Power les ficelles du métier de matador. Dans ce film, Oscar conçoit aussi la scène où Rita Hayworth et Anthony Quinn interprètent la danse du toréro, une chorégraphie inspirée de la corrida. Ensuite, Boetticher continue d'être employé par Hal Roach pour des tâches diverses. Il gagne petit à petit ses gallons, passant de vulgaire messager à, selon ses propos, « une sorte de troisième assistant réalisateur qui rassemble et organise les figurants ». En 1942, Boetticher est engagé par Columbia Pictures en tant que deuxième assistant réalisateur. Notamment, il est le second de George Stevens pour Plus on est de fous (1943). Sur le tournage du film, il est insulté par Harry Cohn, le patron de la Columbia, et il l'insulte en retour. Le soir, alors qu'il s'attend à être licencié, Boetticher est convoqué par Harry Cohn qui le félicite et lui promet un grand avenir. La même année, Oscar tourne Les Desperados où il fait la connaissance de Randolph Scott et Harry Joe Brown.

En 1944, Harry Cohn propose à Boetticher de devenir réalisateur. À 28 ans, Oscar dirige ses premiers films pour la Columbia : cinq séries B policières aux ambitions minuscules. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, Boetticher est réquisitionné par la Navy pour qui il tourne des documentaires et des courts-métrages d'information destinés aussi bien aux civils qu'aux militaires. Notamment, The Fleet That Came to Stay est un des rares films de l'armée à être sorti au cinéma. Oscar vit une histoire d'amour avec Emily Erskine Cook qu'il épouse en 1946 et avec qui il restera marié jusqu'à la fin des années 1950. De retour à Hollywood, il réalise pour la société Eagle-Lion deux films noirs qui sortent en 1948. Ensuite, il réalise trois films pour la Monogram, cette fois plutôt dans le genre aventure. Ceux-ci sortent en 1949 et 1950. Il est alors toujours cantonné aux très petits budgets et ses films passent inaperçus. En 1950, Boetticher réalise pour son ami Hal Roach le téléfilm The Three Musketeers. Il s'agit vraisemblablement du premier long métrage destiné à la télévision, étant diffusé le 24 novembre 1950 sur CBS. Le film connaitra une sortie au cinéma en 1953.

Tandis que son travail dans la série B tombe dans la monotonie, Boetticher cherche une nouvelle motivation en écrivant un scénario inspiré de sa jeunesse au Mexique. Alors qu'il tourne Killer Shark (1950), il fait part de son idée à Andrew McLaglen, qui est deuxième assistant réalisateur du film. Ce dernier lui propose de se servir des relations de son père, Victor McLaglen, et apporte le texte à James Edward Grant, qui le transmet à son tour à John Wayne. Wayne décide de produire lui-même le film qui sort en 1951 sous le titre La Dame et le Toréador. Il s'agit du premier film que le réalisateur signe de son pseudonyme « Budd », et il le considère comme un de ses meilleurs. Robert Stack est choisi dans le premier rôle. Il est d'abord entrainé par Budd, puis par des toréros mexicains de renom. La photographie est en noir et blanc car, selon Budd, filmer des corridas sanglantes en couleur aurait conduit à la censure du film. John Ford, qui est conseiller de Wayne pour le film, décide de couper 42 minutes pour le rendre plus commercial. Boetticher fut particulièrement déçu car il s'agit des scènes les plus personnelles. Depuis, une version de 124 minutes comprenant ces scènes a été restaurée.

Pour La Dame et le Toréador, Budd Boetticher reçoit sa seule nomination aux Oscars, en l'occurrence celui de la meilleure histoire originale. Cela représente une fulgurante ascension depuis la série B dans laquelle il était enclavé jusqu'alors. La nomination est aux noms de Budd Boetticher et Ray Nazarro. En réalité, Budd avait raconté son script à un ami de Nazarro et ce dernier l'a enregistré à leurs deux noms à la Writers Guild of America. Il a dès lors revendiqué d'être crédité au générique du film, alors qu'il n'a pas participé à son écriture.

Fort de sa nomination aux Oscars, Budd Boetticher obtient une place chez Universal Pictures. Il réalise pour le studio neuf films sortis en 1952 et 1953, dont six westerns, genre auquel il n'a encore jamais touché. Il y bénéficie de budgets plus importants et dispose d'acteurs plus connus, comme Glenn Ford, Audie Murphy et Robert Ryan. Chez Universal, Budd forge un style qui lui est propre. L'exemple le plus éloquent est Le Déserteur de Fort Alamo (1953), où le personnage de Glenn Ford annonce ceux de Randolph Scott quelques années plus tard. Il y interprète un individu dont l'héroïsme est ignoré des autres protagonistes, qui le considèrent comme un lâche jusqu'au dénouement de l'histoire. Cela le place dans un enfermement psychologique semblable par exemple à celui de Scott dans Comanche Station (1960). De même, le héros solitaire mu par le besoin de vengeance est entre autres celui de La Chevauchée de la vengeance (1959). Finalement, Boetticher ne trouve pas chez Universal ce qu'il cherchait de plus que dans la série B, à savoir une plus grande indépendance. Malgré les moyens plus larges, les contraintes sont tout aussi nombreuses. Pour satisfaire sa forte personnalité, il cherche à obtenir plus d'autonomie. À partir de cette époque, il ne se lie plus avec aucune société et réalise pour des studios indépendants.

Boetticher commence un second western avec Glenn Ford, Rendez-vous sur l'Amazone (1955), pour lequel il tourne dans la forêt brésilienne. Mais très vite, la production connait des problèmes financiers et l'équipe est renvoyée aux États-Unis. Pour finir, plusieurs mois après, c'est William Castle qui réalise le film en studio à Hollywood. Castle inclut dans le film quelques séquences d'extérieur de Budd. Ensuite, Boetticher conduit un deuxième film sur la corrida. Le Brave et la Belle (1955), tourné aussi au Mexique, met en vedette l'acteur américain d'origine mexicaine Anthony Quinn, que Budd a rencontré en 1941 dans Arènes sanglantes puis dirigé trois fois en 1953 pour Universal. Carlos Arruza, un matador retraité et ami de Boetticher, est conseiller technique sur le film. En fin de compte, Budd n'est pas satisfait du résultat. Une nouvelle fois, il estime s'être trop laissé influencer par les considérations commerciales et n'avoir pas joui de la liberté créative à laquelle il aspire.

En 1956, entre quelques épisodes de séries télévisées, Boetticher réalise Le tueur s'est évadé. Il s'agit d'un film noir policier à petit budget avec Joseph Cotten. À proximité de là, John Wayne tourne les séquences d'intérieur de La Prisonnière du désert. C'est à ce moment que Wayne reprend contact avec Boetticher, alors qu'ils se sont perdus de vue depuis le différend concernant La Dame et le Toréador. John Wayne propose à Budd un script écrit par Burt Kennedy. Le scénariste est nouveau à Hollywood et Wayne l'a engagé dans sa société Batjac Productions. Budd accepte tout de suite de réaliser le film, un western intitulé Sept hommes à abattre. Wayne suggère de donner le premier rôle à Randolph Scott. L'alchimie entre les membres de l'équipe fonctionne à merveille. Dans le scénario de Kennedy, Boetticher retrouve le personnage qu'il a forgé au cours des dernières années, le héros solitaire en quête de vengeance, et Scott se révèle être l'acteur idéal pour l'interpréter. Sept hommes à abattre est une véritable réussite et le film est considéré par le réalisateur comme un de ses meilleurs. En France, André Bazin contribue à la réputation du film qu'il considère comme un des meilleurs westerns d'après guerre.

Randolph Scott a depuis plusieurs années fondé avec Harry Joe Brown une société indépendante, alors nommée Scott-Brown et plus tard renommée Ranown Pictures. Les deux associés engagent Boetticher et l'équipe se trouve réunie pour cinq autres westerns entre 1957 et 1960. À côté de son travail pour Batjac, Burt Kennedy continue de coopérer avec Budd dans ces productions. Outre les cinq films pour Scott-Brown, Boetticher et Scott tournent Le Courrier de l'or (1959) pour Warner Bros. En réalité, ils le font uniquement car Scott devait encore un film à la Warner. Avec Sept hommes à abattre, cela porte le nombre de collaborations entre Scott et Boetticher à sept. Cet ensemble est parfois désigné sous le nom « cycle Ranown ». Le cycle découvre de jeunes acteurs qui connaitront le succès dans les années 1960 et 1970, comme James Coburn dans La Chevauchée de la vengeance (1959), Lee Marvin dans Sept hommes à abattre (1956), ou Claude Akins dans Comanche Station (1960).

Le mariage entre Boetticher et Emily Cook se termine par leur divorce en 1957. Budd entretient pendant trois ans une relation amoureuse avec l'actrice Karen Steele. Elle joue dans quatre de ses films : trois du cycle Ranown puis La Chute d'un caïd (1960). Ce dernier est un film de gangsters à propos du bandit New-Yorkais Legs Diamond. Le film est particulier dans le sens où il est filmé à la façon de ceux des années 1920, en noir et blanc, avec peu de mouvements de caméra et des contrastes importants. Avec La Chute d'un caïd, Lucien Ballard est pour la quatrième fois directeur de la photographie de Boetticher. C'est lui qui présente à Budd l'actrice Debra Paget. La relation entre Budd et Karen Steele se termine et le réalisateur se marie avec Paget le 28 mars 1960.

Depuis plusieurs années, Budd ambitionne de produire un film dressant le portrait de son ami Carlos Arruza, devenu rejoneador depuis sa retraite de matador. À partir de 1957, entre les autres tournages, il filme 18 corridas du héros populaire mexicain. Il obtient ainsi une matière de fond suffisante pour lancer son projet. Après les deux fictions pures que sont La Dame et le Toréador et Le Brave et la Belle, ce film qui se veut plus documentaire représente pour lui l'occasion de réaliser l'œuvre de sa vie. En 1961, Boetticher part au Mexique avec son équipe. Elle comprend notamment sa récente épouse, Debra Paget, qui doit interpréter la femme d'Arruza. Budd a un script terminé et tout est prêt pour démarrer le tournage. Il a une partie des fonds nécessaires et compte pour le reste sur un financement mexicain. Dans un premier temps, il n'obtient pas l'argent escompté, mais il parvient finalement à boucler le budget. Malheureusement, dans le même temps, une grève de l'industrie du cinéma éclate au Mexique et la production se retrouve bloquée. Contraint d'attendre la fin de la grève, Boetticher s'impatiente et commence à boire. Debra Paget, quant à elle, n'attend pas avec lui et décide de le quitter pour rentrer aux États-Unis. Leur divorce est prononcé le 25 septembre 1961.

Il embauche Elsa Cárdenas, une star mexicaine, pour remplacer Paget dans le rôle de la femme d'Arruza. Il vit avec elle une histoire d'amour qui fait scandale dans le pays. Suite à cet épisode et à des désaccords avec les investisseurs, ceux-ci se retirent petit à petit et Boetticher se retrouve incapable de faire face à ses dettes. Il sombre dans l'alcool et la dépression. Au fond du gouffre, il passe 28 jours en prison et une semaine en asile psychiatrique. En mai 1966, alors que Boetticher tente de refaire surface, le comble des calamités survient. Arruza meurt dans un accident de voiture et le réalisateur se retrouve sans le personnage central de son histoire. Plus tard, Boetticher contracte une pneumonie et les médecins le condamnent à mourir. Il réussit quand même à vaincre la maladie après plusieurs semaines d'hospitalisation. En fin de compte, c'est John Sturges qui couvre les dettes de Boetticher et qui lui permet de terminer la réalisation en 1968. Le film ne sort officiellement qu'en 1971, treize ans après son initialisation. Budd a investi et perdu dans cette aventure tout son argent et de nombreuses années de sa vie.

De retour à Hollywood à la fin des années 1960, après près de dix ans d'absence, Budd est considéré comme trop vieux et ne trouve plus d'emploi. Dans le besoin d'argent, il écrit un scénario pour Universal : Sierra torride (1970). Il veut réaliser le film mais le studio confie la tâche à son ami Don Siegel. Il écrit et réalise A Time for Dying (1969), un dernier western avec l'acteur Audie Murphy, qui est lui aussi endetté jusqu'au cou. Dans la détresse la plus profonde, Budd survit grâce à son remariage avec Mary Chelde en 1972. Le couple vit dans la pauvreté et élève des chevaux portugais.

Filmographie

  • 1942 : Submarine Raider (coréalisé avec Lew Landers)
  • 1944 : U-Boat Prisoner (coréalisé avec Lew Landers)

Sous le nom d'Oscar Boetticher Jr.

  • 1944 : One Mysterious Night
  • 1944 : The Missing Juror
  • 1945 : Youth on Trial
  • 1945 : A Guy, a Gal and a Pal
  • 1945 : Escape in the Fog

Sous le nom d'Oscar Boetticher

  • 1945 : The Fleet That Came To Stay (court-métrage)
  • 1948 : Assigned to Danger
  • 1948 : Behind Locked Doors
  • 1949 : Black Midnight
  • 1949 : The Wolf Hunters
  • 1950 : Killer Shark

Sous le nom de Budd Boetticher

  • 1951 : La Dame et le Toréador (Bullfighter and the Lady)
  • 1952 : À feu et à sang (The Cimarron Kid)
  • 1952 : Les Rois du rodéo (Bronco Buster)
  • 1952 : Les Conducteurs du diable (Red Ball Express)
  • 1952 : Le Traître du Texas (Horizons West)
  • 1953 : La Cité sous la mer (City Beneath the Sea)
  • 1953 : L'Expédition du Fort King (Seminole)
  • 1953 : Le Déserteur de Fort Alamo (The Man from the Alamo)
  • 1953 : Révolte au Mexique (Wings of the Hawk)
  • 1953 : À l'Est de Sumatra (East of Sumatra)
  • 1955 : Le Brave et la Belle (The Magnificent Matador)
  • 1956 : Le tueur s'est évadé (The Killer is loose)
  • 1956 : Sept hommes à abattre (Seven Men from now)
  • 1957 : L'Homme de l'Arizona (The Tall T)
  • 1957 : Le vengeur agit au crépuscule (Decision at Sundown)
  • 1958 : L'Aventurier du Texas (Buchanan rides alone)
  • 1959 : Le Courrier de l'or (Westbound)
  • 1959 : La Chevauchée de la vengeance (Ride Lonesome)
  • 1960 : La Chute d'un caïd (The Rise and Fall of Legs Diamond)
  • 1960 : Comanche Station
  • 1969 : Qui Tire le premier ? (A Time for Dying)
  • 1972 : Arruza

Steele Karen

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Karen Steele (née le 20 mars 1931 Honolulu, sur l’île américaine d’Hawaii et morte le 12 mars 1988) est une actrice et mannequin américaine.

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Son père, Percy Davis Steele, est officier de marine et occupera, à partir de 1956, un poste important au gouvernement des îles Marshall alors sous tutelle des Etats-Unis; sa mère, Ruth née Merritt, s’occupe du foyer et de l’éduction de Karen et de ses deux sœurs. Après des études à l’Université d’Hawaii, la jeune fille part en Floride au Collège Rollins. Pendant des vacances dans la maison familiale de Californie, à la fin des années quarante, devenue une très jolie femme, elle devient modèle et pose pour des magazines. Elle débute sa carrière d’actrice dans «Let George do it», une série dramatique radiophonique policière. En 1952, la première brève apparition cinématographique de Karen Steele, en blonde platine sculpturale, dans la production de la MGM «Le clown» de Robert Z. Leonard, dont Red Skelton est la vedette, lui permet de jouer des rôles plus étoffé dans «Man Crazy» (1953), auprès de Neville Brand et dans «Marty» aux côtés de Ernest Borgnine et Betsy Blair.

D’une beauté à couper le souffle, doté en plus d’une belle voix grave très glamour, Karen Steele va tourner dans une douzaine de films jusqu’au milieu des années soixante-dix. Jouant volontairement sur son image sexy, on la voit en 1956, partenaire de William Holden dans «Face à l’enfer» de Mervyn LeRoy et de Victor Mature dans «Opération requins» de Jerry Hopper. Elle tourne ensuite dans quatre films réalisés par Budd Boetticher: trois westerns avec Randolph Scott en tête d’affiche («Le vengeur agit au crépuscule» - 1957, «Le courrier de l’or» - 1958, «Le vengeur solitaire» - 1959) et le film policier «La chute d’un caïd» (1959) avec Ray Danton. En 1962, Norman Jewison lui offre un rôle, auprès de Tony Curtis et Suzanne Pleshette, dans sa première mise en scène pour le cinéma, «Des ennuis à la pelle». Par la suite, elle tourne encore quelques films sans jamais décrocher le rôle qu’elle mérite.

La télévison occupe également une place importante dans le parcours artistique de Karen Steele. Un soixante de rôles dans des feuilletons ou des shows télévisés dès 1954. Elle est engagée, entre autres, pour des épisodes de séries telles que: «Dragnet» (1956) avec Jack Webb, «La grande caravane» (1957) avec Ward Bond, «The Alaskans» (1959) avec Roger Moore, «Bonanza» (1961) avec Lorne Greene, «Perry Mason» (1957 et 1965) avec Raymond Burr, «Le proscrit» (1965) avec Chuck Connors, «Max la Menace» (1965) avec Don Adams, «Star Trek» (1966) avec William Shatner, «Flipper» (1967) avec Brian Kelly, ou «Mannix» (1970) avec Mike Connors.

Il est évident qu’un tel sex-appeal ne laisse pas la gente masculine indifférente. La presse lui prête de multiples liaisons, dont quelques unes plus sérieuses avec Victor Mature, Budd Boetticher (qui l’a dirigé à quatre reprises) ou Stewart Granger. Karen Steele finit par se marier à Las Vegas, le 17 juin 1973, avec Maurice Boyd Ruland, psychiatre à la «Mohave Mental Health Clinic» en Arizona. La toujours très belle actrice va s’installer à Kingman, proche du lieu de travail de son mari, et met un point final à sa carrière. Clouée au lit par un cancer au milieu des années 1980, elle meurt prématurément dans la clinique de son époux, le 12 mars 1988, huit jours avant son 57ème anniversaire. 

Filmographie

  • 1952 - Le clown ( the clown ) de Robert Z. Leonard avec Red Skelton
  • 1953 - Man crazy – de Irving Lerner avec Neville Brand
  • 1955 - Marty – de Delbert Mann avec Ernest Borgnine
  • 1956 - Face à l’enfer / Je reviens de l’enfer ( toward the unknow / brink of hell ) de Mervyn LeRoy avec William Holden
  • Opération requins ( the sharkfighters ) de Jerry Hooper avec Victor Mature
  • 1957 - En chute libre ( bailout at 43,000 / bale out at 43,000 ) de Francis D. Lyon avec John Payne
  • Le vengeur agit au crépuscule ( decision at sundown ) de Budd Boetticher avec John Carroll
  • 1958 - Le courrier le l’or ( westbound ) de Budd Boetticher avec Randolph Scott
  • 1959 - Le vengeur solitaire / La chevauchée de la vengeance ( ride lonesome ) de Budd Boetticher avec James Coburn
  • La chute d’un caïd / Les tueurs crèvent à l’aube ( the rise and fall of Legs Diamond ) de Budd Boetticher avec Ray Danton
  • 1962 - Des ennuis à la pelle ( forty pounds of trouble ) de Norman Jewison avec Tony Curtis
  • 1966 - Cyborg 2087 ( man from tomorrow ) de Franklin Adreon avec Michael Rennie
  • 1968 - The happy ending – de Richard Brooks avec John Forsythe
  • 1969 - A boy… a girl / The sun’s up – de John Derek avec Kerwin Mathews
  • 1972 - Puma, le seigneur des montagnes ( the trap on Cougar Mountain) de Keith Larsen avec Eric Larsen
  • 1974 - Run to the High Country – de Keith Larsen avec Alvin Keeswold 

Danton Ray

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Ray Danton, né Raymond Kaplan à New York (19 septembre 1931 – 11 février 1992), parfois crédité sous le nom de Raymond Danton, est un acteur américain, également réalisateur. Il est notamment connu pour son rôle dans La Chute d'un caïd (1960). Il était l'époux de Julie Adams de 1954 à 1981.

Danton Ray

Ray Danton débute dans le monde du spectacle comme acteur de radio sur NBC dans l'émission Let's Pretend en 1943. Il joue déjà pendant sa période d'études à l'Université de Pittsburgh ainsi quà la Carnegie Technical School. Il participe à la guerre de Corée de 1951 à 1954 dans l'infanterie de l'Armée des États-Unis. Il commence dans le cinéma par le film Chief Crazy Horse en 1955 et est engagé par Universal Pictures. Dès son second film, Une femme en enfer (I'll Cry Tomorrow), il s'oriente vers un rôle type de charmeur dangereux. il rencontre son épouse Julie Adams dans le cadre de son troisième film avec Universal, The Looters. Très présent dans les téléfilms, il reçoit un Golden Globe Award en 1956 comme nouvelle star masculine de l'année.

Avec Onionhead il travailla à la fois avec Warner Bros. et Warner Bros. Television. Cela lui donna l'occasion de son rôle célèbre dans The Rise and Fall of Legs Diamond où il incarne le gangster du titre sous la direction de Budd Boetticher. Il jouera de nouveau des rôles de gangster dans Portrait of a Mobster ou dans The George Raft Story. Il joue également des rôles d'espion. Il participe régulièrement à la série télévisée The Alaskans, ou joue dans Big Time (1957), Solitare (1961), ou encore Our Man Flint-Dead on Target (1976).

Au milieu des années 1960, il joue aussi dans des productions européennes comme Corrida pour un espion, Nom de code : Jaguar ou New York appelle Super Dragon, y compris "The Last Eden" (incarnant le chanteur Jimmy Nuanu). Il forme une compagnie de production de films et produit des films tels The Last Mercenary; il commence comme réalisateur avec Deathmaster (1972). Il continue aussi de jouer, par exemple dans Triangle en 1971. Il meurt d'un problème de rein à Los Angeles, Californie. Il a eu deux fils de son union avec Julie Adams, Steve et Mitchell.

Filmographie 

  • 1960 : La Chute d'un caïd (The Rise and Fall of Legs Diamond)
  • 1960 : Les Aventuriers (Ice Palace)
  • 1961 : Portrait of a Mobster
  • 1965 : Corrida pour un espion de Maurice Labro
  • 1973 : Les Rues de San Francisco (TV)Saison 2, épisode 4 (Before I die) : Al Royce
  • 1975 : Apache Blood (Yellow Skirt)

Kova Frank de

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Frank DeKova (ou De Kova) est un acteur américain né le 17 mars 1910 à New York, New York (États-Unis), et mort le 15 octobre 1981 à Sepulveda (Californie).

Kova Frank de

Filmographie

  • 1951 : Dans la gueule du loup (The Mob) : Culio
  • 1952 : Viva Zapata ! : Colonel Guajardo
  • 1952 : Holiday for Sinners : The Wiry Man
  • 1952 : La Captive aux yeux clairs (The Big Sky) : Moleface
  • 1952 : Pony Soldier : Custin
  • 1953 : Même les assassins tremblent (Split Second), de Dick Powell : Dummy
  • 1953 : The Desert Song : Mindar
  • 1953 : Raiders of the Seven Seas : Capt. Romero
  • 1953 : Le Sorcier du Rio Grande (Arrowhead), de Charles Marquis Warren : Chef Chattez
  • 1953 : La Tunique (The Robe) : Slave Dealer
  • 1953 : La Perle noire (All the Brothers Were Valiant) : Stevenson
  • 1953 : Fighter Attack : Benedetto
  • 1953 : Capitaine King (King of the Khyber Rifles) : Ali Nur
  • 1954 : They Rode West : Isatai
  • 1954 : La Vallée des Rois (Valley of the Kings) : Akmed Sala, Nomad Guide
  • 1954 : L'Aigle solitaire (Drum Beat) : Modoc Jim
  • 1954 : Tornade (Passion) : Martinez
  • 1955 : Strange Lady in Town (en) de Mervyn LeRoy : Anse Hatlo
  • 1955 : L'Homme de la plaine (The Man from Laramie) : Padre
  • 1955 : Hold Back Tomorrow : Priest
  • 1955 : Shack Out on 101 : Prof. Claude Dillon
  • 1956 : Le Justicier solitaire (The Lone Ranger) : Chief Red Hawk
  • 1956 : Santiago : Jingo
  • 1956 : Les Dix Commandements (The Ten Commandments) de Cecil B. DeMille : Abiram
  • 1956 : Les Piliers du ciel : Zachariah
  • 1956 : The White Squaw : Yellow Elk
  • 1956 : Reprisal! : Charlie Washackle
  • 1957 : Le Jugement des flèches (Run of the Arrow) : Red Cloud
  • 1957 : Appointment with a Shadow : Dutch Hayden
  • 1957 : Ride Out for Revenge : Chief Yellow Wolf
  • 1958 : Cow-boy (Cowboy) : Alcaide
  • 1958 : Les Frères Karamazov (The Brothers Karamazov) : Capt. Vrublevski
  • 1958 : Mitraillette Kelly (Machine-Gun Kelly) : Harry
  • 1958 : Teenage Cave Man : The Black-Bearded One
  • 1958 : Apache Territory : Lugo
  • 1959 : Les Incorruptibles défient Al Capone (The Scarface Mob) (TV) : Jimmy Napoli
  • 1959 : La Chevauchée des bannis (Day of the Outlaw) : Denver, Bruhn's Gang
  • 1959 : The Alaskans (série TV) : Fantan
  • 1959 : Violence au Kansas (The Jayhawkers!) : Evans
  • 1960 : La Chute d'un caïd (The Rise and Fall of Legs Diamond) : Chairman
  • 1960 : Les Incorruptibles, L'Histoire de Waxey Gordon
  • 1961 : Portrait of a Mobster : Anthony Parazzo
  • 1961 : Atlantis, Terre engloutie (Atlantis, the Lost Continent) : Sonoy the Astrologer
  • 1962 : Le Shérif de ces dames (Follow That Dream) : Jack
  • 1965 : Calloway le trappeur (Those Calloways) : Nigosh
  • 1965 : La Plus Grande Histoire jamais contée (The Greatest Story Ever Told) : The tormentor
  • 1965 : The Sword of Ali Baba : Old Baba
  • 1967 : The Legend of the Boy and the Eagle : Narrator (voix)
  • 1970 : Le Pays sauvage (The Wild Country) : Two Dog
  • 1972 : Le Flingueur (The Mechanic) : The Man
  • 1973 : Frasier, the Sensuous Lion : The Man
  • 1973 : Flipper City (Heavy Traffic) : Angelo "Angie" Corleone (voix)
  • 1973 : The Slams (en) de Jonathan Kaplan : Capiello
  • 1973 : Don Angelo est mort (The Don Is Dead) : Giunta
  • 1974 : Baby Needs a New Pair of Shoes : Big Tony
  • 1975 : Crossfire (TV)
  • 1975 : Johnny Firecloud : White Eagle
  • 1978 : Cat in the Cage : Rachid Khan
  • 1979 : La Petite Maison dans la prairie (The House on the Prairie) (Série TV) saison 5, épisode 15 (L'artisan (The Craftsman) ) : Brower + saison 6, épisode 7 (Le rêve d'Halloween (The Halloween Dream) ) : Chef Kilowatt
  • 1980 : Mafia on the Bounty
  • 1981 : American Pop : Crisco (voix)
  • 1982 : Hey Good Lookin' : Old Vinnie (voix)

Le Dernier Train de Gun Hill

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Le Dernier Train de Gun Hill (Last Train From Gun Hill) est un western américain de John Sturges sorti en 1959. La femme indienne du shérif Matt Morgan est violée et tuée par deux hommes. Se rendant à Gun Hill, Morgan découvre que l’un des criminels est le fils de son vieil ami Craig Belden, devenu un très riche éleveur. Bien qu’il doive la vie à Belden, Morgan est déterminé à arrêter les coupables et à repartir avec eux par le dernier train de Gun Hill. Mais avant cela, il devra affronter Belden et ses hommes, dans une ville indifférente ou hostile, où il ne peut compter que sur l’aide de Linda, l’ancienne maîtresse de son ami.

Le Dernier Train de Gun Hill de John SturgesLe Dernier Train de Gun Hill de John Sturges

Le Dernier Train de Gun Hill de John Sturges

Fiche technique

  • Titre original : Last Train From Gun Hill
  • Titre français : Le Dernier Train de Gun Hill
  • Réalisation : John Sturges
  • Scénario : James Poe, d'après une histoire de Les Crutchfield
  • Production : Hal B. Wallis
  • Musique : Dimitri Tiomkin
  • Photographie : Charles Lang
  • Direction artistique : Hal Pereira et Walter H. Tyler
  • Décors de plateau : Sam Comer et Ray Moyer
  • Genre : western
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Couleurs
  • Durée : 94 minutes (1h34)
  • Date de sortie: États-Unis : 29 juillet 1959

Distribution

  • Kirk Douglas (VF : Roger Rudel) : Matt Morgan
  • Anthony Quinn (VF : Jean Clarieux) : Craig Belden
  • Carolyn Jones (VF : Jacqueline Porel) : Linda
  • Earl Holliman (VF : Serge Lhorca) : Rick Belden
  • Brad Dexter (VF : Jean Violette) : Beero, le contremaître
  • Brian G. Hutton : Lewis, l'ami de Rick
  • Val Avery (VF : Serge Sauvion) : Steve, barman du Horseshoe
  • Walter Sande (VF : Louis Arbessier) : shérif de Gun Hill
  • John R. Anderson (VF : Jacques Berthier) : vendeur au Horseshoe
  • Mara Lynn (VF : Mony Dalmès) : Minnie, fille du saloon
  • Frank Hagney (VF : Jean-Henri Chambois) : homme qui attend au Horseshoe
  • Ricky William Kelman (VF : Linette Lemercier) : un garçon
  • Ziva Rodann (VF : N.Delmas)
  • Bing Russell
  • Lars Henderson

Holliman Earl

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Earl Holliman est un acteur américain né le 11 septembre 1928 à Delhi, Louisiane (États-Unis).

Holliman Earl

Filmographie

  • 1953 : The Girls of Pleasure Island : Marine
  • 1953 : Fais-moi peur (Scared Stiff) : Elevator Operator
  • 1953 : Destination Gobi : Svenson
  • 1953 : Devil's Canyon : Joe
  • 1953 : East of Sumatra : Cupid
  • 1954 : Tennessee Champ : Happy Jackfield
  • 1954 : La Lance brisée (Broken Lance) : Denny Devereaux
  • 1955 : Les Ponts du Toko-Ri (The Bridges at Toko-Ri) : Nestor Gamidge
  • 1955 : Association criminelle (The Big Combo) de Joseph H. Lewis : Mingo
  • 1955 : La Peur au ventre (I Died a Thousand Times) : Red
  • 1956 : Planète interdite (Forbidden Planet) : James Dirocco, the cook
  • 1956 : Collines brûlantes (The Burning Hills) de Stuart Heisler : Morton 'Mort' Bayliss
  • 1956 : Géant (Giant) : Robert Kendall 'Bob' Dace
  • 1956 : Le Faiseur de pluie (The Rainmaker) : Jim Curry
  • 1957 : Règlement de comptes à O.K. Corral (Gunfight at the O.K. Corral) : Deputy Sheriff Charles 'Charlie' Bassett
  • 1957 : Femme d'Apache (Trooper Hook) : Jeff Bennett
  • 1957 : Don't Go Near the Water (en) de Charles Walters : Adam Garrett
  • 1958 : Vague de chaleur (Hot Spell) : Buddy Duval
  • 1959 : Hotel de Paree (série TV) : Sundance
  • 1959 : La Quatrième Dimension (The Twilight Zone) (série TV) : Mike Ferris (saison 1, épisode 1 : Solitude)
  • 1959 : Dans la souricière (The Trap) : Tippy Anderson
  • 1959 : Le Dernier train de Gun Hill (Last Train from Gun Hill) : Rick Belden, Craig's Son
  • 1960 : Mince de planète (Visit to a Small Planet) : Conrad
  • 1961 : Armored Command : Sgt. Mike
  • 1961 : Westinghouse Presents: The Dispossessed (TV) : Webster
  • 1961 : Été et Fumées (Summer and Smoke) de Peter Glenville : Archie Kramer
  • 1962 : La Route des rodéos ("The Wide Country") (série TV) : Mitch Guthrie
  • 1965 : Les Quatre fils de Katie Elder (The Sons of Katie Elder) : Matt Elder
  • 1967 : A Covenant with Death (en) de Lamont Johnson : Brian Talbot
  • 1968 : La Guerre des cerveaux (The Power) : Professor Talbot Scott aka Scotty
  • 1968 : La Bataille pour Anzio (Anzio) : Platoon Sgt. Abe Stimmler
  • 1969 : The Desperate Mission (TV) : Shad Clay
  • 1970 : Smoke (TV) : Cal Finch
  • 1970 : Tribes (TV) : Sgt. Frank DePayster
  • 1971 : Alias Smith and Jones (TV) : Wheat
  • 1971 : Cannon (TV) : Magruder
  • 1972 : Les Aventures de Pot-au-Feu (The Biscuit Eater) : Harve McNeil
  • 1973 : Vin, vacances et vahinés (The Six Million Dollar Man: Wine, Women and War) (TV) : Harry Donner
  • 1973 : Trapped (TV) : David Moore
  • 1973 : Les Rues de San Francisco (The Streets of San Francisco), (série TV) - Saison 2, épisode 6, Le Timbre de la Mort (The Stamp of Death), de Seymour Robbie : Chris Conway
  • 1974 : Cry Panic (TV) : Sheriff Ross Cabot
  • 1974 : I Love You, Goodbye (TV) : Tom Chandler
  • 1977 : Alexander: The Other Side of Dawn (TV) : Ray Church
  • 1979 : The Solitary Man (TV) : Dave Keyes
  • 1979 : Good Luck, Miss Wyckoff : Ed Eckles
  • 1980 : Where the Ladies Go (TV) : Buck
  • 1981 : L'Anti-gang (Sharky's Machine) : Hotchkins
  • 1982 : Country Gold (TV) : Wade Purcell
  • 1983 : Les oiseaux se cachent pour mourir ("The Thorn Birds") (feuilleton TV) : Luddie Mueller
  • 1986 : Shattered If Your Kid's on Drugs (TV)
  • 1987 : American Harvest (TV) : Krab Hogan
  • 1987 : La Vengeance du forçat (Gunsmoke: Return to Dodge) (TV) : Jake Flagg
  • 1991 : P.S.I. Luv U (TV) : Matthew Durning
  • 1991 : Enquêtes à Palm Springs ("P.S.I. Luv U") (série TV) : Matthew Durning (1991)
  • 1992 : Delta (série TV) : Darden Towe
  • 1997 : Burt Lancaster: Daring to Reach (TV)
  • 1997 : NightMan (TV) : Frank Dominus
  • 1999 : Bad City Blues : Joe Gags
  • 2000 : Sous les yeux d'un intrus (The Perfect Tenant) : Arthur Michaels

Tant que soufflera la tempête

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Tant que soufflera la tempête (Untamed) est un film américain de Henry King sorti en 1955. Paul Van Riebeck, un sud-africain d'origine hollandaise, est venu acheter des chevaux en Irlande, dans la propriété d'O'Neill. Il y fait la connaissance de sa fille, Katie. Celle-ci se sent vite attirée par Paul. Mais Van Riebeck ne songe qu'à retourner en Afrique du Sud, car il est à la tête des commandos qui tentent de créer un état libre hollandais et luttent contre les zoulous. Après son départ, Katie épouse Shawn Kildare, l'associé de son père, qui lui donne un enfant. Une terrible épidémie touche la terre irlandaise. Le couple décide de s'expatrier pour rejoindre Le Cap, en compagnie de la gouvernante Aggie...

Tant que soufflera la tempête d'Henry KingTant que soufflera la tempête d'Henry King

Tant que soufflera la tempête d'Henry King

Fiche technique

  • Titre : Tant que soufflera la tempête
  • Titre original : Untamed
  • Réalisation : Henry King
  • Producteur : William A. Bacher, Bert E. Friedlob et Gerd Oswald producteur associé
  • Société de production : 20th Century Fox
  • Scénario : Frank Fenton, Michael Blankfort, William A. Bacher et Talbot Jennings d'après le roman d'Helga Moray
  • Photographie : Leo Tover
  • Montage : Barbara McLean
  • Musique : Franz Waxman
  • Direction artistique : Lyle R. Wheeler et Addison Hehr
  • Décorateur de plateau : Chester L. Bayhi et Walter M. Scott
  • Costumes : Renié et Charles Le Maire
  • Format : Couleur - Son : 4-Track Stereo (Western Electric Recording) (magnetic prints)/Mono (Western Electric Recording) (optical prints)
  • Montage : Barbara McLean
  • Pays : États-Unis
  • Durée : 111 minutes
  • Genre : Film d'aventure
  • Dates de sortie : États-Unis : 1er mars 1955 ; France : 29 juin 1955 (Paris)

Distribution

  • Tyrone Power (VF : Roger Rudel) : Paul Van Riebeck
  • Susan Hayward (VF : Claire Guibert) : Katie O'Neill
  • Richard Egan (VF : Claude Bertrand) : Kurt Hout
  • John Justin : Shawn Kildare
  • Agnes Moorehead (VF : Lita Recio) : Aggie
  • Rita Moreno : Julia
  • Hope Emerson (VF : Cécile Dylma) : Maria De Groot
  • Brad Dexter : Christian
  • Henry O'Neill : Squire O'Neill
  • Paul Thompson : Tschaka
  • Alexander D. Havemann : Jan
  • Louis Mercier : Joubert

La Descente tragique

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La Descente tragique (Albuquerque) est un western américain réalisé par Ray Enright sorti en 1948. Cole Armin arrive à Albuquerque pour y travailler avec son oncle John Armin. Celui-ci entretient un monopole sur le transport du minerai extrait des mines voisines. Lorsque Cole se rend compte que son oncle est de complot avec le shérif et persécute la population pour écarter la concurrence, il décide de passer dans le camp de Ted Wallace. Avec sa sœur Celia, ce dernier tente lui aussi de monter une entreprise de fret. Cole réussit à obtenir de son oncle qu'il rende 10 000 $ dérobés par la force à Celia Wallace. Il réussit aussi à arrêter le voleur qui avait été commandité pour cet acte et tente de le faire témoigner contre John ; mais le shérif corrompu permet au tyran d'assassiner le prisonnier. Avec l'argent récupéré, les Wallace peuvent toutefois démarrer leur société de transport. 

John engage alors Letty Tyler pour les infiltrer et connaitre leurs projets. Ensuite, il tente à son tour de faire condamner son neveu en l'accusant de l'incendie d'une grange. Mais Letty passe elle aussi dans le camp Wallace quand elle prend connaissance du meurtre épaulé par le shérif, refusant de collaborer à ce genre d'actions. Lors du procès de Cole concernant l'incendie, elle lui fournit un alibi qui le disculpe. Ils réussissent finalement à décrocher un gros contrat de transport de minerai. Mais le danger de la mission est double car la mine est accessible uniquement par un chemin périlleux à flanc de montagne, et John Armin tentera de toute évidence de faire échouer le travail. Lors du trajet retour, la descente prend effectivement une allure tragique lorsque le frein du chariot de Cole se brise pour cause de sabotage. Il réussit toutefois à conduire ses mules à une allure infernale jusqu'au bas de la pente. Lorsqu'ils arrivent en ville, ils sont attendus par les hommes de main de John. C'est alors qu'a lieu le gunfight final.

La Descente tragique de Ray EnrightLa Descente tragique de Ray Enright

La Descente tragique de Ray Enright

Fiche technique

  • Titre : La Descente tragique
  • Titre original : Albuquerque
  • Réalisateur : Ray Enright
  • Scénario : Gene Lewis et Clarence Upson Young d'après le roman de Luke Short
  • Producteur : William H. Pine et William C. Thomas
  • Directeur de la photographie : Fred Jackman Jr. (A.S.C.)
  • Directeur artistique : Frank Paul Sylos
  • Directeur Cinecolor : Gar K. Gilbert
  • Chef-opérateur du son : Earl Sitar
  • Décors : Elias H. Reif et Vincent Taylor
  • Montage : Howard Smith
  • Costumes : Jack Masters, Mona Barry pour Barbara Britton et Catherine Craig
  • Superviseur musical : David Chudnow
  • Bande originale : Darrell Calker
  • Société de production : Pine-Thomas Clarion Productions
  • Distribution : Paramount Pictures
  • Format : Couleur (Cinecolor) - 1.37:1 - 35 mm - Mono
  • Pays : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Genre : Western
  • Durée : 90 minutes
  • Date de sortie : États-Unis : 30 janvier 1948, France : 26 octobre 1949
  • Lieux de tournage : États-Unis : Iverson Movie Ranch, Californie, Sedona, Arizona

Distribution

  • Randolph Scott : Cole Armin
  • Barbara Britton : Letty Tyler
  • George 'Gabby' Hayes : Juke
  • Lon Chaney Jr. : Steve Murkill
  • Russell Hayden : Ted Wallace
  • Catherine Craig : Celia Wallace
  • George Cleveland : John Armin
  • Irving Bacon : Dave Walton
  • Bernard J. Nedell : Le shérif Ed Linton
  • Karolyn Grimes : Myrtle Walton
  • Russell Simpson : Abner Huggins
  • Walter Baldwin : Le juge Fred Martin

Acteurs non crédités

  • Lane Chandler : M. Clark
  • Leander de Cordova

Dix hommes à abattre

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Dix hommes à abattre (Ten wanted men) est un western américain réalisé par H. Bruce Humberstone et sorti en 1955. John Stewart accorde l'hospitalité à une jeune fille. L'ami de cette dernière est furieux quand il l'apprend, et tue le frère de Stewart, qui n'a alors plus qu'une idée en tête, la vengeance.

Dix hommes à abattre de H. Bruce HumberstoneDix hommes à abattre de H. Bruce Humberstone

Dix hommes à abattre de H. Bruce Humberstone

Fiche technique

  • Titre original : Ten wanted men
  • Réalisation : H. Bruce Humberstone
  • Scénario : Kenneth Gamet , Irving Ravetch
  • Durée : 80 minutes
  • Date de sortie : 1 février 1955 (États-Unis), 6 juillet 1956 (Belgique), 9 octobre 1957 (France)
  • Type : Technicolor
  • Musique : Paul Sawtell
  • Image : Wilfred M. Cline
  • Décors : Frank Tuttle
  • Lieu de tournage : Old Tucson Studios

Distribution

  • Randolph Scott (VF : Jean Davy) : John Stewart
  • Jocelyn Brando (VF : Nelly Benedetti) : Corinne Michaels
  • Richard Boone (VF : Jean-Claude Michel) : Wick Campbell
  • Alfonso Bedoya (VF : Jean-Claude Michel) : Hermando
  • Donna Martell (VF : Lita Recio) : Maria Segura
  • Skip Homeier (VF : Serge Lhorca) : Howie Stewart
  • Clem Bevans (VF : Paul Villé) : Tod Grinnel
  • Leo Gordon (VF : Jacques Erwin) : Frank Scavo
  • Minor Watson (VF : Jacques Berlioz) : Jason Carr
  • Lester Matthews (VF : Fernand Fabre) : Adam Stewart
  • Tom Powers (VF : Marcel Rainé) : Henry Green
  • Dennis Weaver (VF : Lucien Bryonne) : Shérif Clyde Gibbons
  • Lee Van Cleef : Al Drucker
  • Louis Jean Heydt (non crédité) : Tom Baines

La Ruée sauvage

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La Ruée sauvage (titre original : The Texans) est un film américain réalisé par James Patrick Hogan, sorti en 1938. La guerre de sécession vient de se terminer,malgré cela les rancunes sont encores très présentes, Kirk Jordan (Randolph Scott) un ancien soldat de l’armée confédérée est contraint d’affronter d’autres problèmes.Il devra faire face aux nouveaux arrivants, qui profitent de la défaite du Sud pour s’enrichir au détriment des éleveurs. Il va entamer un long voyage pour essayer de sauver et vendre son bétail à Abilene.

La Ruée sauvage de James Patrick HoganLa Ruée sauvage de James Patrick Hogan

La Ruée sauvage de James Patrick Hogan

Fiche technique

  • Titre : La Ruée sauvage
  • Titre original : The Texans
  • Réalisation : James Patrick Hogan
  • Scénario : Bertram Millhauser, Paul Sloane et William Wister Haines d'après une histoire de Emerson Hough
  • Production : Lucien Hubbard
  • Société de production : Paramount Pictures
  • Photographie : Theodor Sparkuhl
  • Montage : LeRoy Stone (de)
  • Musique : Gerard Carbonara (non crédité)
  • Direction artistique : Hans Dreier et John B. Goodman (en)
  • Costumes : Edith Head
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Format : Noir et blanc - Son : Mono (Western Electric Mirrophonic Recording)
  • Genre : Western
  • Durée : 92 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 27 juillet 1938 (New York), 12 août 1938 (sortie nationale) ; France : 20 juillet 1939

Distribution

  • Joan Bennett : Ivy Preston
  • Randolph Scott : Kirk Jordan
  • May Robson : Granna
  • Walter Brennan : Chuckawalla
  • Robert Cummings : Alan Sanford
  • Robert Barrat : Isaiah Middlebrack
  • Raymond Hatton : Cal Tuttle
  • Francis Ford : Oncle Dud
  • Harvey Stephens : Lieutenant David Nichols
  • Irving Bacon : Soldat Collins

Et, parmi les acteurs non crédités

  • Richard Denning : Caporal Parker
  • Chris-Pin Martin : Juan Rodriguez
  • Lon Poff : Un citoyen de Moody
  • Clarence Wilson : Sam Ross

Praince Marcelle

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Marcelle Praince, ou Marcelle Prince, est une actrice française, née Célestine Cardi, le 9 juin 1882 à Vigeois (Corrèze), morte le 26 octobre 1969 à Maisons-Laffitte (Yvelines). 

Praince MarcellePraince Marcelle

Marcelle Praince débute au théâtre vers 1905. En 1912, elle aborde le cinéma muet en tournant quatre courts-métrages comiques avec Charles Prince. Avant l'apparition du parlant, elle poursuit parallèlement une carrière théâtrale et cinématographique. À partir de 1930, elle incarne au cinéma des rôles correspondant à son âge, grands-mères, concierges, vieilles comtesses et même chiromancienne. Elle joue, entre autres, sous la direction de Robert Siodmak, Jean Dréville, Maurice Tourneur, Marcel L'Herbier, Marcel Carné. En 1958, elle quitte la scène et l'écran.

Filmographie

  • 1912 : Rigadin entre deux flammes de Georges Monca
  • 1912 : Rigadin et la lettre anonyme de Georges Monca
  • 1912 : Rigadin et le chien de la baronne de Georges Monca
  • 1912 : Les Perruques de Rigadin de Georges Monca
  • 1912 : Comment Rigadin fait les commissions de Georges Monca
  • 1913 : Les Cendres de Rigadin de Georges Monca
  • 1913 : La Maison du baigneur de Georges Monca et Adrien Caillard
  • 1913 : Les Deux Noblesses de René Leprince
  • 1914 : La Femme à papa de Georges Monca
  • 1916 : Blessure d'amour - Une production Pathé
  • 1919 : Quarante HP de Jacques Grétillat
  • 1930 : La Femme et le Rossignol de André Hugon : la comtesse de Bellefeuille
  • 1931 : Rien que la vérité de René Guissart
  • 1931 : Rive gauche de Alexander Korda
  • 1932 : Faut-il les marier? de Karel Lamač et Pierre Billon
  • 1932 : Hortense a dit j'men f... de Jean Bernard-Derosne
  • 1933 : Le Couché de la mariée de Roger Lion
  • 1933 : Je vous aimerai toujours (T'amero sempre) de Mario Camerini
  • 1933 : Un fil à la patte de Karl Anton
  • 1933 : La Robe rouge de Jean de Marguenat
  • 1934 : Sapho de Léonce Perret
  • 1935 : J'aime toutes les femmes de Karel Lamač
  • 1936 : Pluie d'or de Willy Rozier
  • 1935 : Le Roman d'un jeune homme pauvre de Abel Gance
  • 1935 : La Vie parisienne de Robert Siodmak
  • 1936 : L'École des journalistes de Christian-Jaque
  • 1936 : La Garçonne de Jean de Limur
  • 1936 : L'Homme du jour de Julien Duvivier
  • 1936 : La Souris bleue de Pierre-Jean Ducis
  • 1936 : Le Chemin de Rio de Robert Siodmak
  • 1937 : Maman Colibri de Jean Dréville
  • 1937 : Un déjeuner de soleil de Marcel Cravenne
  • 1937 : Le Choc en retour de Georges Monca et Maurice Kéroul : la comtesse de Bellecour
  • 1938 : Katia de Maurice Tourneur
  • 1938 : Place de la Concorde de Carl lamac
  • 1938 : Le Veau gras de Serge de Poligny
  • 1939 : La Famille Duraton de Christian Stengel
  • 1939 : Saturnin de Marseille de Yvan Noé
  • 1939 : Les Musiciens du ciel de Georges Lacombe
  • 1939 : La Loi du nord / La Piste du nord de Jacques Feyder
  • 1939 : Entente cordiale de Marcel L'Herbier
  • 1940 : L'an 40 de Fernand Rivers
  • 1941 : La Neige sur les pas de André Berthomieu
  • 1942 : Félicie Nanteuil de Marc Allégret
  • 1944 : Les Petites du quai aux fleurs de Marc Allégret : Mme d'Aiguebelle
  • 1944 : La Cage aux rossignols de Jean Dréville
  • 1944 : Florence est folle de Georges Lacombe
  • 1945 : Le Père Goriot de Robert Vernay d'après Honoré de Balzac
  • 1946 : Le Mystérieux Monsieur Sylvain de Jean Stelli
  • 1946 : Les Trois Cousines de Jacques Daniel-Norman
  • 1946 : Paris 1900 de Nicole Vedrès - documentaire -
  • 1947 : Capitaine Blomet de Andrée Feix
  • 1948 : Bal Cupidon de Marc-Gilbert Sauvajon
  • 1948 : Docteur Laennec de Maurice Cloche
  • 1948 : Impasse des Deux-Anges de Maurice Tourneur
  • 1949 : La Souricière de Henri Calef
  • 1950 : La Dame de chez Maxim de Marcel Aboulker, d'après Georges Feydeau
  • 1950 : Caroline chérie de Richard Pottier
  • 1951 : Agence matrimoniale de Jean-Paul Le Chanois
  • 1951 : Deux sous de violettes de Jean Anouilh
  • 1951 : Sous le ciel de Paris de Julien Duvivier
  • 1952 : Les Sept Péchés capitaux de Claude Autant-Lara - dans le sketch : L'orgueil
  • 1952 : Rue de l'Estrapade de Jacques Becker
  • 1953 : Village magique de Jean-Paul Le Chanois
  • 1954 : L'Air de Paris de Marcel Carné
  • 1954 : Madame du Barry de Christian-Jaque
  • 1957 : Chaque jour a son secret de Claude Boissol
  • 1957 : Ariane (Love in afternoon) de Billy Wilder

 

Théâtre

  • 1907 : Sa sœur de Tristan Bernard, théâtre de l'Athénée
  • 1907 : Monsieur de Courpière d'Abel Hermant, théâtre de l'Athénée
  • 1922 : La Sonnette d'alarme de Maurice Hennequin et Romain Coolus, théâtre de l'Athénée
  • 1924 : La Danse de minuit de Charles Méré, mise en scène Victor Francen, théâtre de Paris
  • 1928 : Le Carnaval de l'amour de Charles Méré, mise en scène Émile Couvelaine, théâtre de la Porte-Saint-Martin
  • 1933 : Le Vent et la pluie de Georges de Warfaz, théâtre des Célestins
  • 1933 : Tovaritch de Jacques Deval, mise en scène de l'auteur, théâtre de Paris
  • 1936 : Les Innocentes adaptation de la pièce The Children's Hour de Lillian Hellman, théâtre des Arts, avec Marcelle Géniat, Yolande Laffon et Jean Davy
  • 1938 : Femmes de Clare Boothe, adaptation Jacques Deval, mise en scène Jane Marnac et Juliette Delannoy, théâtre Pigalle
  • 1946 : Jeux d'esprits de Noel Coward, mise en scène Pierre Dux, théâtre de la Madeleine
  • 1948 : Tovaritch de et mise en scène Jacques Deval, théâtre de la Madeleine
  • 1948 : Les Enfants d'Edouard de Frederic Jackson et Roland Bottomley, adaptation Marc-Gilbert Sauvajon, mise en scène Jean Wall, théâtre Édouard VII
  • 1950 : Harvey de Mary Chase, mise en scène Marcel Achard, théâtre Antoine
  • 1951 : Harvey de Mary Chase, mise en scène Marcel Achard, théâtre des Célestins
  • 1951 : Une nuit à Megève de Jean de Letraz, mise en scène Parisys, théâtre Michel
  • 1952 : Harvey de Mary Chase, mise en scène Marcel Achard, théâtre Antoine
  • 1954 : Faites-moi confiance de Michel Duran, mise en scène Jean Meyer, théâtre du Gymnase
  • 1954 : Gigi de Colette, mise en scène Jean Meyer, théâtre des Arts, tournée Karsenty
  • 1955 : Gigi de Colette, mise en scène Jean Meyer, théâtre des Célestins, tournée Karsenty
  • 1959 : Le Prince de Papier de Jean Davray, mise en scène Jacques Charon, théâtre des Mathurins

 

Stickney Dorothy

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Dorothy Stickney, née à Dickinson, Dakota du Nord, le 21 juin 1896, et décédée à New York le 2 juin 1998, est une actrice américaine.

 

Stickney Dorothy Stickney Dorothy

Filmographie 

  • 1934 : Rythmes d'amour (Murder at the Vanities), de Mitchell Leisen : Norma Watson
  • 1934 : The Little Minister, de Richard Wallace : Jean Proctor
  • 1936 : Deux enfants terribles (And So They Were Married), d'Elliott Nugent : Miss Peabody
  • 1936 : The Moon's Our Home, de William A. Seiter : Hilda
  • 1938 : I Met My Love Again, de Joshua Logan et Arthur Ripley : Mrs. Emily Towner
  • 1939 : What a Life, de Theodore Reed : Miss Wheeler
  • 1944 : La Falaise mystérieuse (The Uninvited), de Lewis Allen : Miss Bird
  • 1948 : La Chasse aux millions (Miss Tatlock's Millions), de Richard Haydn : Emily Tatlock
  • 1954 : Le Vol du diamant bleu (The Great Diamond Robbery), de Robert Z. Leonard : Emily Drumman
  • 1956 : Le Repas de noces (The Catered Affair), de Richard Brooks : Mme Rafferty
  • 1959 : The Remarkable Mr. Pennypacker, de Henry Levin : Tante Jane Pennypacker
  • 1970 : I Never Sang for My Father, de Gilbert Cates : Margaret Garrison

Spain Fay

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Fay Spain est une actrice américaine, née le 6 octobre 1932 à Phoenix (Arizona), morte d'un cancer le 8 mai 1983 à Los Angeles (Californie).

Spain Fay Spain Fay

Au cinéma, à partir de 1957, Fay Spain contribue à dix-huit films, majoritairement américains ; le dernier est Le Parrain 2 de Francis Ford Coppola, sorti en 1974, où elle est l'épouse d’Hyman Roth (interprété par Lee Strasberg). S'y ajoutent la coproduction franco-italienne Hercule à la conquête de l'Atlantide (1961, avec Reg Park et Ettore Manni), le film brésilien Choque de sentimentos (1965, avec Bruce Cabot) et la coproduction américano-brésilienne The Gentle Rain (1966, avec Christopher George). Son rôle le plus connu au grand écran reste sans doute celui de Darling Jill, dans Le Petit Arpent du bon Dieu d'Anthony Mann (1958, avec Robert Ryan et Aldo Ray).

À la télévision, Fay Spain participe à soixante-huit séries (particulièrement dans le domaine du western) dès 1955, dont Maverick (quatre épisodes, 1957-1961, avec James Garner), Rawhide (trois épisodes, 1959-1962, avec Clint Eastwood) et Mannix (deux épisodes, 1967-1972, avec Mike Connors). Elle collabore aussi à deux téléfilms diffusés en 1959. Elle tient son dernier rôle au petit écran dans un épisode, diffusé en 1975, de la série policière Sergent Anderson (avec Angie Dickinson dans le rôle-titre), après quoi elle se retire.

Filmographie

  • 1957 : Dragstrip Girl d'Edward L. Cahn
  • 1957 : Teenage Doll de Roger Corman
  • 1957 : The Abductors d'Andrew V. McLaglen
  • 1957 : The Crooked Circle de Joseph Kane
  • 1958 : Le Petit Arpent du bon Dieu (God's Little Acre) d'Anthony Mann
  • 1959 : The Beat Generation de Charles F. Haas
  • 1959 : Al Capone de Richard Wilson
  • 1960 : La Vie privée d'Adam et Ève (The Private Lives of Adam and Eve) de Mickey Rooney et Albert Zugsmith
  • 1961 : Hercule à la conquête de l'Atlantide (Ercole alla conquista di Atlantide) de Vittorio Cottafavi (film franco-italien)
  • 1962 : Black Gold (en) de Leslie H. Martinson
  • 1963 : Thunder Island de Jack Leewood
  • 1964 : Flight to Fury de Monte Hellman
  • 1965 : Choque de sentimentos de Maximo Giuseppe Alviani (film brésilien)
  • 1966 : The Gentle Rain de Burt Balaban (film américano-brésilien)
  • 1967 : Frontière en flammes (Welcome to Hard Times) de Burt Kennedy
  • 1971 : The Naked Zoo de William Grefe
  • 1971 : The Todd Killings de Barry Shear
  • 1974 : Le Parrain 2 (Mario Puzo's The Godfather : Part II) de Francis Ford Coppola

Spheeris Penelope

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Penelope Spheeris est une réalisatrice, scénariste, actrice, productrice, directrice de la photographie et monteuse américaine née le 2 décembre 1945 à La Nouvelle-Orléans, Louisiane (États-Unis).

Spheeris Penelope

Filmographie

comme réalisatrice

  • 1968 : Uncle Tom's Fairy Tales
  • 1972 : I Don't Know
  • 1981 : The Decline of Western Civilization
  • 1984 : Suburbia
  • 1985 : The Boys Next Door
  • 1986 : Hollywood Vice Squad
  • 1987 : Dudes
  • 1988 : The Decline of Western Civilization Part II: The Metal Years
  • 1990 : Thunder and Mud
  • 1991 : UFO Abductions (TV)
  • 1991 : Prison Stories: Women on the Inside (TV)
  • 1992 : Wayne's World
  • 1993 : Danger Theatre (série TV)
  • 1993 : Les Allumés de Beverly Hills (The Beverly Hillbillies)
  • 1994 : Les Chenapans (The Little Rascals)
  • 1996 : Black Sheep
  • 1998 : The Decline of Western Civilization Part III
  • 1998 : The Thing in Bob's Garage
  • 1998 : Applewood 911 (TV)
  • 1998 : Supersens (Senseless)
  • 1999 : Hollywierd
  • 2000 : Dear Doughboy (TV)
  • 2001 : Posers
  • 2001 : We Sold Our Souls for Rock 'n Roll
  • 2003 : The Crooked E: The Unshredded Truth About Enron (TV)
  • 2005 : The Kid & I
  • 2011 : Un combat, 5 destins (Five) d'Alicia Keys, Jennifer Aniston, Patty Jenkins, Demi Moore, Penelope Spheeris, composé de 5 courts-métrages (TV)
  • 2012 : Le Père Noël est tombé sur la tête (The Real St. Nick) (TV)

comme scénariste

  • 1981 : The Decline of Western Civilization
  • 1984 : Suburbia
  • 1987 : Revolution Class (Summer Camp Nightmare)
  • 1994 : Les Chenapans (The Little Rascals)

comme actrice

  • 1969 : Naked Angels
  • 1971 : The Ski Bum : Star the Witch
  • 1974 : The Second Coming of Suzanne : Margo, Logan's Film Group
  • 1990 : Wedding Band : Nicky's Mom
  • 1992 : Wayne's World : Cameo appearance
  • 2005 : The Kid & I : Penelope Spheeris

comme productrice

  • 2005 : Mississippi Rising (TV)
  • 1979 : Real Life
  • 1981 : The Decline of Western Civilization
  • 1993 : Les Allumés de Beverly Hills (The Beverly Hillbillies)
  • 2005 : The Kid & I

comme directrice de la photographie

  • 2001 : We Sold Our Souls for Rock 'n Roll

comme Monteuse

  • 1968 : Uncle Tom's Fairy Tales

Sothern Ann

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Ann Sothern est une actrice américaine née le 22 janvier 1909 à Valley City, Dakota du Nord (États-Unis), décédée le 15 mars 2001 à Ketchum (Idaho).

Sothern Ann Sothern Ann Sothern Ann

Ann Sothern tourne son premier film à 18 ans, en 1927. Elle est chorus girl dans plusieurs films tels que The Show of Shows et à Broadway, où elle obtient le premier rôle des comédies musicales à succès America's Sweetheart et Everybody's Welcome au début des années 1930. Elle est successivement sous contrat avec Columbia, RKO et MGM à partir de 1939. Ce dernier studio lui apporte un triomphe populaire avec la série Maisie, qui sera également adaptée à la radio avec Sothern de 1945 à 1947 et de 1949 à 1953.

Si Ann Sothern est parfois évincée par d'autres actrices (Joan Bennett, Ida Lupino, Anne Baxter chez Fritz Lang), elle s'épanouit au contraire dans la comédie musicale, le film "viril" (Brother Orchid avec Edward G. Robinson et Humphrey Bogart) ou paradoxalement dans des ambiances très féminines (Cry Havoc de Richard Thorpe avec - entre autres - Margaret Sullavan et Joan Blondell, et surtout Chaînes conjugales de Joseph Mankiewicz avec Jeanne Crain, Linda Darnell et Celeste Holm - probablement, avec Maisie, le film le plus célèbre de Sothern.

Dès le début des années 1950, l'actrice est très active à la télévision : elle apparaît dans les séries Private Secretary de 1953 à 1957, The Ann Sothern Show de 1958 à 1961, et dans The Lucy Show au côté de sa copine Lucille Ball. Ann Sothern a la particularité d'avoir deux étoiles sur le Hollywood Walk of Fame.

Filmographie

  • 1927 : Broadway Nights : Bit part
  • 1929 : Hearts in Exile : Bit Part
  • 1929 : The Show of Shows : Meet My Sister and Bicycle Built for Two numbers
  • 1930 : Song of the West : Bit Part
  • 1930 : Hold Everything : Bit Part
  • 1930 : Buster s'en va-t'en guerre (Doughboys) : Dancer
  • 1930 : Whoopee! : Goldwyn Girl
  • 1933 : Prologue (Footlight Parade) : Chorus Girl
  • 1933 : Broadway Through a Keyhole : Dancer
  • 1933 : Let's Fall in Love : Jean Kendall
  • 1934 : Melody in Spring : Jane Blodgett
  • 1934 : The Hell Cat : Geraldine Sloane
  • 1934 : The Party's Over : Ruth Walker
  • 1934 : Blind Date : Kitty Taylor
  • 1934 : Kid Millions (en) de Roy Del Ruth : Joan Larrabee
  • 1935 : Folies Bergère de Paris : Mimi
  • 1935 : Eight Bells : Marge Walker
  • 1935 : Hooray for Love : Patricia 'Pat' Thatcher
  • 1935 : The Girl Friend : Linda Henry
  • 1935 : Grand Exit : Adrienne Martin
  • 1936 : You May Be Next : Fay Stevens
  • 1936 : Hell-Ship Morgan : Mary Taylor
  • 1936 : Don't Gamble with Love : Ann Edwards
  • 1936 : My American Wife : Mary Cantillon
  • 1936 : Walking on Air : Kit Bennett
  • 1936 : Smartest Girl in Town : Frances 'Cookie' Cooke
  • 1937 : Dangerous Number : Eleanor Breen Medhill
  • 1937 : There Goes My Girl : Reporter Connie Taylor
  • 1937 : Fifty Roads to Town : Millicent Kendall
  • 1937 : Super-Sleuth : Mary Strand
  • 1937 : Charmante famille (Danger-Love at Work) : Toni Pemberton
  • 1937 : There Goes the Groom : Betty Russell
  • 1937 : She's Got Everything : Carol Rogers
  • 1938 : La Femme aux cigarettes blondes (Trade Winds) : Jean Livingstone
  • 1939 : Maisie : Maisie Ravier, Stage Name for Mary Anastasia O'Connor
  • 1939 : Hôtel pour femmes (Hotel for women) : Eileen Connelly
  • 1939 : Fast and Furious : Garda Sloane
  • 1939 : Joe and Ethel Turp Call on the President (it) de Robert B. Sinclair : Ethel Turp
  • 1940 : Congo Maisie : Maisie Ravier
  • 1940 : Brother Orchid : Florence 'Flo' Addams
  • 1940 : Gold Rush Maisie : Maisie Ravier
  • 1940 : Dulcy : Dulcy Ward
  • 1941 : Maisie Was a Lady : Maisie Ravier, an alias of Mary Anastasia O'Connor
  • 1941 : Ringside Maisie : Maisie Ravier
  • 1941 : Lady Be Good : Dixie Donegan Crane
  • 1942 : Maisie Gets Her Man : Maisie Ravier
  • 1942 : Panama Hattie : Hattie Maloney
  • 1943 : Three Hearts for Julia : Julia Seabrook
  • 1943 : Swing Shift Maisie : Maisie Ravier
  • 1943 : Cry Havoc, de Richard Thorpe : Pat Conlin
  • 1943 : Parade aux étoiles (Thousands cherr) : Elle-même
  • 1944 : Maisie Goes to Reno Harry Beaumont : Maisie Ravier
  • 1946 : Up Goes Maisie : Maisie Ravier
  • 1947 : Undercover Maisie : Maisie Ravier
  • 1948 : April Showers : June Tyme
  • 1948 : Ma vie est une chanson (Words and music) : Joyce Harmon
  • 1949 : Chaînes conjugales (A Letter to Three Wives) : Rita Phipps
  • 1949 : The Judge Steps Out : Peggy
  • 1950 : Voyage à Rio (Nancy goes to Rio) : Frances Elliott
  • 1950 : Shadow on the Wall : Dell Faring
  • 1953 : La Femme au gardénia (The Blue Gardenia) : Crystal Carpenter
  • 1954 : Lady in the Dark (TV) : Liza Elliot
  • 1958 : The Ann Sothern Show (série TV) : Katy O'Connor
  • 1964 : Que le meilleur l'emporte (The Best Man) : Sue Ellen Gamadge
  • 1964 : Une femme dans une cage (Lady in a Cage) : Sade
  • 1965 : L'Enquête (Sylvia) : Mrs. Argona / Grace Argona
  • 1967 : La Course à la vérité (The Outsider) (TV) : Mrs. Kozzek
  • 1968 : Chubasco : Angela
  • 1971 : Congratulations, It's a Boy! (TV) : Ethel Gaines
  • 1971 : A Death of Innocence (TV) : Annie La Cossit
  • 1972 : The Great Man's Whiskers (TV) : Aunt Margaret Bancroft
  • 1972 : The Weekend Nun (TV) : Mother Bonaventure
  • 1973 : The Killing Kind : Thelma Lambert
  • 1974 : Les 7 aiguilles d'or (Golden Needles) : Fenzie
  • 1975 : Crazy Mama : Sheba
  • 1976 : Captains and the Kings (feuilleton TV) : Mrs. Finch
  • 1978 : Le Faiseur d'épouvantes (The Manitou) : Mrs. Karmann
  • 1980 : The Little Dragons : Angel
  • 1985 : A Letter to Three Wives (TV) : Ma Finney
  • 1987 : Les Baleines du mois d'août (The Whales of August) : Tisha Doughty

Soul Maelcum

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Maelcum Soul (née Patricia Ann Soul, 22 septembre 1940 - 5 avril 1968) est une artiste bohémienne de Baltimore (Maryland). Elle a tourné dans deux films de John Waters: Roman Candles et Eat Your Makeup.

Soul Maelcum

John Waters la décrit comme sa première "star". Elle était célèbre pour son style et son maquillage scandaleux et ses ensembles de magasins de seconde main. Elle a étudié la peinture au Maryland Institute College of Art, puis a travaillé au Fat Black Pussycat Cafe à New York. Plus tard, elle sera barmaid au Martick's à Baltimore. Maelcum meurt d'un empoisonnement urémique en raison d'une insuffisance rénale à l'âge de 27 ans.

Filmographie

  • Roman Candles (1966) (non commercialisé) La gouvernante
  • Eat Your Makeup (1968) (non commercialisé) La nourrice

Southern Eve

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Eve Southern est une actrice américaine, née Elva L. McDowell le 23 août 1898 à Ranger (Texas), morte le 29 novembre 1972 à Santa Monica (Californie).

Southern Eve Southern Eve

Eve Southern (pseudonyme) débute au cinéma en tenant un petit rôle non crédité dans Intolérance de D. W. Griffith (avec Lillian Gish et Mae Marsh), sorti en 1916. Suivent vingt-huit autres films muets américains (y compris quelques courts métrages), dont A Woman of the Sea de Josef von Sternberg (1926, avec Edna Purviance, réputé perdu) et Le Gaucho de F. Richard Jones (1927, avec Douglas Fairbanks et Lupe Vélez).

Puis elle contribue à neuf films parlants (les deux premiers sortis en 1929), dont Cœurs brûlés de Josef von Sternberg (1930, avec Gary Cooper et Marlène Dietrich) et le western L'Attaque de la caravane d'Otto Brower et David Burton (1931, avec Gary Cooper et Lily Damita). Son dernier film est Sa majesté est de sortie (en) de Josef von Sternberg (avec Grace Moore et Franchot Tone), sorti en 1936, après lequel elle se retire, en raison des séquelles laissées par un accident de voiture.

Filmographie 

  • 1916 : Intolérance (Intolerance : Love's Struggle Throughout the Ages) de D. W. Griffith : Une favorite du harem
  • 1917 : A Matrimonial Accident de Charles Avery (court métrage) : rôle non spécifié
  • 1917 : Officer Jerry de Milton J. Fahrney (court métrage) : rôle non spécifié
  • 1917 : His Saving Grace d'Harry McCoy (court métrage) : rôle non spécifié
  • 1918 : Broadway Love d'Ida May Park : Drina
  • 1921 : Greater Than Love de Fred Niblo : Clairice
  • 1921 : Le Vieux Comédien (After the Show) de William C. de Mille : Naomi Stokes
  • 1921 : The Rage of Paris de Jack Conway : Mignonne Le Place
  • 1922 : The Golden Gallows de Paul Scardon : Cléo Twayne
  • 1922 : Des gens très bien (Nice People) de William C. de Mille : Eileeen Baxter-Jones
  • 1923 : Souls for Sale (en) de Rupert Hughes : Mlle Velma Slade
  • 1923 : Trimmed in Scarlet de Jack Conway : Fifi Barclay
  • 1923 : Burning Words de Stuart Paton : Nan Bishp
  • 1924 : The Dangerous Blonde de Robert F. Hill : Yvette
  • 1924 : The Chorus Lady de Ralph Ince : Mlle Simpson
  • 1926 : A Woman of the Sea de Josef von Sternberg : Magdalen
  • 1927 : Resurrection d'Edwin Carewe : Princesse Sonia Korchagin
  • 1927 : Le Gaucho (The Gaucho) de F. Richard Jones : La miraculée du sanctuaire
  • 1927 : Les Gaietés de l'infanterie (With Love and Hisses) de Fred Guiol (court métrage) : La seconde petite amie du capitaine Bustle
  • 1928 : The Haunted House de Benjamin Christensen : La somnambule
  • 1928 : Stormy Waters d'Edgar Lewis : Lola
  • 1928 : Clothes Makes the Woman de Tom Terriss : Princesse Anastasia
  • 1929 : The Voice Within de George Archainbaud : rôle non spécifié
  • 1930 : Cœurs brûlés (Morocco) de Josef von Sternberg : Mme Caesar
  • 1930 : Lilies of the Field d'Alexander Korda : Pink
  • 1931 : L'Attaque de la caravane (Fighting Caravans) d'Otto Brower et David Burton : Faith
  • 1932 : Law of the Sea d'Otto Brower : Estelle
  • 1934 : The Ghost Walks de Frank R. Strayer : Béatrice
  • 1935 : Stage Frights d'Albert Ray (court métrage) : rôle non spécifié
  • 1936 : Sa majesté est de sortie (The King Steps Out) de Josef von Sternberg : La bohémienne diseuse de bonne aventure

Soong Lucille

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Lucille Soong, née le 15 août 1938 en Chine, est une actrice américaine.

Soong Lucille Soong Lucille

Elle fait des apparitions dans de nombreuses séries quotidiennes comme Desperate Housewives où elle joua l'ancienne femme de ménage de la famille Solís et a aussi fait des apparitions dans Passions, All About the Andersons, Huff, Dharma et Greg ou encore According to Jim. Elle fit aussi une très mineure apparition dans la série Le Prisonnier. En 2003, elle joua dans le film Freaky Friday : Dans la peau de ma mère.

Filmographie

  • 1965 : Three Weeks of Love
  • 1965 : Genghis Khan
  • 1967 : The Mini-Affair
  • 1969 : Le Gang de l’Oiseau d’or (The File of the Golden Goose) de Sam Wanamaker : Fille dans le bain (non crédité)
  • 1970 : One More Time
  • 1993 : Le Club de la chance
  • 1999 : Le Corrupteur
  • 2003 : Freaky Friday : Dans la peau de ma mère (Freaky Friday), de Mark Waters : Mère de Pei-Pei
  • 2004 : Nora's Hair Salon
  • 2005 : L'École fantastique (Sky High) de Mike Mitchell : la cuisinière
  • 2005 : Et si c'était vrai...
  • 2007 : Nancy Drew
  • 2009 : Nine Dead : Nhung Chan

Télévision

  • 1963 : Ghost Squad
  • 1967 : Adam Adamant Lives!
  • 1967 : Le Prisonnier
  • 1969 : Coronation Street
  • 1969 : The Troubleshooters
  • 1994 : Vanishing Son
  • 1996 : Les Visiteurs du futur
  • 1997 : Fired Up
  • 2000 : La Vie avant tout
  • 2000 : JAG
  • 2000 : The Michael Richards Show
  • 2001 : Passions
  • 2001 : Dharma et Greg
  • 2003 : Freaky Friday : Dans la peau de ma mère
  • 2003 : All About the Andersons (en)
  • 2004 : Huff
  • 2005 : Desperate Housewives
  • 2005 : According to Jim
  • 2006 : Un gars du Queens
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