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Channel: Mémoires de Guerre
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Lawrence d'Arabie

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Lawrence d’Arabie (Lawrence of Arabia) est un film d'aventure historique britannique réalisé par David Lean, sorti en 1962. Il est inspiré de la vie de Thomas Edward Lawrence, dont le rôle est interprété par Peter O'Toole. Pendant la Première Guerre mondiale, l'officier du Royaume-Uni Thomas Edward Lawrence conseille aux Arabes du chérif Fayçal ibn Hussein de se révolter contre les Turcs de l'Empire ottoman et de fonder une nation arabe indépendante moderne.

Lawrence d'Arabie de David LeanLawrence d'Arabie de David Lean

Lawrence d'Arabie de David Lean

Fiche technique

  • Titre original : Lawrence of Arabia
  • Titre français : Lawrence d’Arabie
  • Réalisation : David Lean
  • Scénario : Robert Bolt et Michael Wilson, d'après le roman Les Sept Piliers de la sagesse de Thomas Edward Lawrence
  • Direction artistique : John Stoll sous la direction de John Box
  • Costumes : Phyllis Dalton et John Wilson-Apperson
  • Photographie : Freddie Young, assisté d'Ernest Day (cadreur)
  • Son : Paddy Cunningham et John Cox
  • Montage : Anne V. Coates
  • Musique : Maurice Jarre
  • Orchestration de Gerard Schurmann
  • Interprétée par l'Orchestre philharmonique de Londres, dirigé par Adrian Boult
  • Production : Sam Spiegel et David Lean
  • Société de production : Horizon Pictures
  • Société de distribution : Columbia Pictures Corporation
  • Budget : 15 000 000 de dollars1
  • Pays d'origine : Royaume-Uni
  • Langues : anglais, arabe et turc
  • Format : couleur (Technicolor) - 2.20 : 1 (Super-Panavision 70) - Stéréo 6 pistes (RCA Sound Recording) - 70 mm
  • Genre : biographie, aventure historique
  • Durée :
  • 216 minutes : version cinéma
  • 228 minutes : director's cut (1989)
  • 227 minutes : version restaurée (2012)
  • Dates de sortie : Royaume-Uni : 10 décembre 1962 (première mondiale à Londres), États-Unis : 16 décembre 1962 (New York), 21 décembre 1962 (Los Angeles), France : 15 mars 1963

Distribution

  • Peter O'Toole (VF : Jean Piat + Bernard Lanneau) : Thomas Edward Lawrence
  • Alec Guinness (VF : Gérard Férat) : Prince Fayçal ibn Hussein
  • Anthony Quinn (VF : Henry Djanik + Richard Darbois) : Auda ibu Tayi
  • Jack Hawkins (VF : Claude Péran + Jean-Pierre Delage) : Général Edmund Allenby
  • Omar Sharif (VF : Lui-même) : Shérif Ali ibn el Kharish
  • José Ferrer : Bey turc de Damas
  • Anthony Quayle (VF : Pierre Gay + Yves Barsacq) : Colonel Harry Brighton
  • Claude Rains (VF : Jean-Paul Moulinot + Michel Modo) : Mr. Dryden
  • Arthur Kennedy (VF : Jean-Claude Michel + Jean-Claude Michel) : Jackson E. Bentley
  • Donald Wolfit (VF : Yves Brainville + Yves Brainville) : Lt. Général Sir Archibald J. Murray
  • I.S. Johar (VF : Georges Aminel) : Gasim
  • Gamil Ratib (VO : Robert Rietty / VF : Lui-même) : Majid
  • Michel Ray : Farraj
  • John Dimech : Daud
  • Zia Mohyeddin : Tafas
  • Howard Marion-Crawford (VF : Georges Hubert) : Médecin militaire
  • Jack Gwillim : Secrétaire du club
  • Hugh Miller (en) : Colonel
  • Harry Fowler (VF : Jacques Chevalier) : Caporal William Potter

Le juif Mendès-France

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Nous savons que Pierre Mendès France était juif, et qu’il fut victime sa vie durant d’attaques antisémites incessantes. Ce que l’on sait moins, c’est qu’il était passionné de ses origines, et qu’il a constitué un fonds d’archives impressionnant retraçant la généalogie de sa famille.

En s’appuyant sur les archives mises à sa disposition par Michel, le fils de Pierre Mendès France, Gérard Boulanger restitue ici cette vaste fresque traversant trois pays et quatre siècles, avec un fil conducteur : la persécution des Juifs ou de ceux qui étaient soupçonnés de l’être. Le racisme moderne est né à Tolède en 1449 avec la traque, par l’Inquisition, des catholiques ayant du « sang impur », c’est-à-dire un converti parmi leurs ancêtres. Plus tard, au Portugal, un certain Luis Mendes de França, catholique fervent, sera dénoncé comme « nouveau chrétien ». Il devra dénoncer sa famille pour échapper à l’estrapade, avant de s’exiler en France. Ainsi naît à Bordeaux en 1683 la lignée des Mendès France, judaïsée par réaction à la persécution de l’Inquisition. Deux siècles et demi plus tard, Pierre Mendès France, homme politique démocrate et patriote au-dessus de tout soupçon, se voit, comme Léon Blum, accuser de n’avoir « pas assez de terre française à la semelle de ses souliers », arrêter et jeter en prison sous l’Occupation.

En relatant une histoire familiale marquée par la persécution, ce livre montre la genèse et la persistance d’une névrose européenne et éclaire, à rebours, la vie de cet homme d’exception qu’était Pierre Mendès France

Le juif Mendès-France de Gérard BoulangerLe juif Mendès-France de Gérard Boulanger

Le juif Mendès-France de Gérard Boulanger

Fiche Technique

  • Auteur : Gérard Boulanger
  • EAN : 9782702136874
  • Code Hachette : 5178777
  • Editeur : Calmann-Lévy
  • Parution : 7 février 2007

À mort la Gueuse !

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14 juin 1940. L’armée allemande occupe Paris. Le gouvernement français s’est replié à Bordeaux, alors submergée de réfugiés. Une République exsangue, assaillie de toutes parts, y cédera sous les assauts de ceux-là même qui étaient censés l’incarner et la défendre. Son agonie est brève : en trois jours les 15, 16 et 17 juin , le régime tombe, victime d’un « coup d’État dans la défaite » sans effusion de sang qui porte le maréchal Pétain au pouvoir. Après avoir signé l’armistice, Pétain obtient les pleins pouvoirs le 10 juillet à Vichy, et en profite pour finir le 11 juillet de liquider la République.

Paradoxe suprême, ce sont les militaires Pétain, Weygand, Darlan qui veulent cesser le combat, et les civils Reynaud, Mendès-France, Mandel qui veulent le poursuivre. Les premiers auront raison des seconds, animés par une détermination puisant sa force dans une haine viscérale de la République et dans la peur bleue que leur a inspirée le Front populaire. Et ce sont les responsables de la défaite militaire qui en seront les premiers bénéficiaires politiques.

Après quatorze ans de recherches, Gérard Boulanger nous livre le récit captivant, heure par heure, des complots, manœuvres, trahisons, alliances contre nature et coups de force qui scellèrent le destin de la « Gueuse » surnom que les factieux donnaient à la République. Instants d’histoire croqués sur le vif, dialogues restitués, anecdotes tragiques ou cocasses, portraits sans fard des protagonistes, analyse très fine des tenants et des aboutissants politiques et géopolitiques : on est transporté dans le Bordeaux de la défaite et de l’exode, au cœur d’un pouvoir déliquescent qui vit ses dernières heures. 

À mort la Gueuse ! de Gérard Boulanger

À mort la Gueuse ! de Gérard Boulanger

Fiche Technique

  • Auteur : Gérard Boulanger
  • Editeur : Calmann-Lévy
  • EAN : 9782702136508
  • Code Hachette : 5178405
  • Parution : 1 février 2006

Plaidoyer pour quelques Juifs obscurs victimes de Monsieur Papon

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Le 2 avril 1998, le verdict de l’un des plus importants procès français du XXe siècle est rendu : Maurice Papon est condamné par la cour d’Assises de Bordeaux à une peine de dix ans de réclusion criminelle pour complicité de crimes contre l’humanité. Secrétaire général de la préfecture de Bordeaux de 1942 à 1944, il avait alors contribué à la déportation de mille six cents Juifs, hommes, femmes et enfants.

Un mois auparavant, le 9 mars 1998, Me Gérard Boulanger entame les plaidoiries en tant que représentant des premiers plaignants individuels et de la majorité des parties civiles. Cet avocat bordelais se bat activement pour la réalisation de ce procès depuis le 8 décembre 1981. Il aura donc fallu dix-sept ans d’une instruction à rebondissements pour qu’enfin il puisse plaider.

Cet ouvrage est la retranscription fidèle de sa plaidoirie. Gérard Boulanger fait l’historique de cette instruction de dix-sept ans, de la bataille acharnée des parties civiles pour que le procès ait lieu malgré des tentatives de déstabilisation. Puis il rend compte du rôle qu’a joué Maurice Papon pendant la Collaboration. Arrivé en 1942 à Bordeaux, on lui confie la responsabilité des « questions juives » et, de facto, d’importants pouvoirs de police qui aboutiront à des réquisitions et à plusieurs rafles, à commencer par celle de la nuit du 15 au 16 juillet 1942, puis à la mise en place d’un redoutable fichier de juifs. À partir de 1944, Papon cherche à se couvrir, mais Gérard Boulanger met en pièce la pseudo-résistance du haut fonctionnaire.

Ce livre, illustré au fil du texte par les dessins d’audience d’Edith Gorren, est un document indispensable qui participe du devoir de mémoire national, un texte essentiel pour les générations n’ayant pas connu la guerre. C’est un plaidoyer contre l’oubli et pour que la vérité éclate : Papon ne fut pas un rouage de la machine bureaucratique de Vichy, mais bien un exécutant actif et sans pitié de sa politique de collaboration. 

Plaidoyer pour quelques Juifs obscurs victimes de Monsieur PaponPlaidoyer pour quelques Juifs obscurs victimes de Monsieur Papon

Fiche Technique

  • Auteur : Gérard Boulanger
  • Editeur : Calmann-Lévy
  • EAN : 9782702135518
  • Code Hachette : 5177415
  • Parution : 16 février 2005

L’Affaire Jean Zay

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Jean Zay ? Ce nom n’évoque souvent rien de précis, si ce n’est parfois un collège ou un lycée. C’est pourtant ce très jeune ministre radical de l’Éducation nationale et des Beaux-Arts du Front populaire qui créa, entre autres, le Festival de Cannes, le musée de l’Homme ou le musée d’Art moderne ; qui organisa l’Exposition universelle de 1937, lança la Cinémathèque française, rénova la Bibliothèque nationale, fit restaurer le château de Versailles et la cathédrale de Reims ; qui fonda le CNRS, instaura l’obligation scolaire jusqu’à 14 ans, l’éducation physique et la médecine préventive à l’école ; et qui inventa l’ENA, n’en déplaise à Michel Debré

Ce grand républicain, dont Léon Blum disait que « tout en lui respirait la noblesse de la pensée, le désintéressement, la loyauté, le courage, l’amour du bien public », n’est pas seulement dans un angle mort de la mémoire nationale. À force de dénigrement mensonger, il a été poussé dans l’oubli par une extrême droite maurrassienne qui haïssait l’homme de gauche, le ministre réformateur et, bien sûr, le Juif. Accusé en 1940 de désertion avec Pierre Mendès France et Georges Mandel parce qu’il avait rejoint le Maroc à bord du Massilia pour résister, emprisonné, jugé par un tribunal militaire aux ordres de Vichy, diffamé, spolié, Jean Zay fut assassiné par la Milice en juin 1944 après le débarquement allié. Il avait 40 ans.

 L’essai de Gérard Boulanger explore les causes profondes de cette injustice mémorielle, en allant chercher jusqu’aux tréfonds de l’imaginaire national-catholique qui opposa Jeanne d’Arc à l’Orléanais Jean Zay. Au terme d’une enquête minutieuse dans les archives de la Justice militaire et dans celles de Catherine et Hélène, les fi lles de cet homme étincelant, sensible et courageux, il analyse cette silencieuse affaire Dreyfus dans une république qu’il dépeint à l’agonie. Et il dévoile le rôle insidieux de Pétain, celui décisif de Darlan dans le piège du Massilia enfi n élucidé et celui du faux document qui aboutit à l’inique condamnation de Jean Zay, à qui la France doit tant.

L’Affaire Jean Zay de Gérard BoulangerL’Affaire Jean Zay de Gérard Boulanger

L’Affaire Jean Zay de Gérard Boulanger

Fiche Technique

  • Auteur : Gérard Boulanger
  • Editeur : Calmann-Lévy
  • EAN : 9782702143070
  • Code Hachette : 5184973
  • Parution : 9 janvier 2013

Zay Jean

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Jean Zay est un homme politique français, né à Orléans (Loiret) le 6 août 1904 et mort assassiné par des miliciens à Molles (Allier) le 20 juin 1944. 

Zay Jean

Il a été ministre de l'Éducation nationale et des Beaux-Arts de 1936 à 1939. Jean Zay est né à Orléans le 6 août 1904 d'un père Juif alsacien dont les parents avaient choisi la France en 1871, directeur du journal radical-socialiste Le Progrès du Loiret, et d'une mère protestante de la Beauce, institutrice. Puis il poursuit ses études au lycée Pothier où il rencontre René Berthelot, futur directeur du Conservatoire National de musique d'Orléans, qui deviendra son meilleur ami. Il y fonde un journal lycéen, et obtient un prix de composition de littérature française au Concours général de 1922. Pour payer ses études de droit, Jean Zay devient clerc d'avoué et journaliste occasionnel.

En avril 1925, il fonde avec quelques amis (René Berthelot, Roger Secrétain) une revue littéraire orléanaise, Le Grenier qui, après 18 numéros, deviendra Le Mail. Devenu avocat en 1928, il s'inscrit au barreau d'Orléans dont il devient bientôt l'un des plus brillants orateurs. Jean Zay s'engage très tôt en politique. Dès ses études secondaires, il adhère aux Jeunesses laïques et républicaines, puis, à sa majorité (21 ans) s'inscrit au Parti radical. Il constitue l'un des piliers des « Jeunes Turcs », ces membres du parti qui souhaitent en réformer profondément la doctrine. Il fréquente les cercles républicains, devient membre de la Ligue des Droits de l'Homme, responsable de la Ligue de l'enseignement et se fait initier à la loge maçonnique Étienne Dolet en 1926.

En 1932, à 27 ans, il est élu député du Loiret (radical-socialiste), battant Maurice Berger, député sortant PDP. Il est alors le plus jeune député de France. En 1936, Albert Sarraut le nomme sous-secrétaire d'État à la présidence du conseil. Quelques mois plus tard, il est réélu et devient, à 32 ans, le 4  juin 1936, membre du gouvernement du Front populaire comme ministre de l'Éducation nationale et des Beaux-Arts. Le 23 juillet 1936, il autorise l'ouverture à Vence de l'école du Pioulier de Célestin Freinet, ouverture refusée par le ministre précédent. Il reste ministre sous les divers gouvernements qui se succèdent jusqu'à sa démission du 2 septembre 1939 pour rejoindre l'armée combattante. Il estime qu'il doit accompagner l'effort de sa classe d'âge. D'autre part, en mars 1937, il est élu conseiller général du Canton d'Orléans-Nord-Est. Malgré son état de santé déficient, il demande à être intégré dans une unité combattante.

Son courage et son dévouement, au sein de la IVe armée, sont attestés par ses chefs militaires : « volontaire pour les missions les plus périlleuses et les plus délicates ». Sous-lieutenant rattaché à l'État-major de la IVe armée, il séjourne en Lorraine pendant la « Drôle de guerre » 1939-1940 et visite, notamment, le Petit Ouvrage du Kerfent de la Ligne Maginot au début de 1940. Mobilisé à Bordeaux, il quitte son régiment pour assister le 19  juin 1940 à la dernière session du parlement qui s'est replié avec le gouvernement dans cette ville et qui débat de la question d'un abandon de la métropole aux troupes allemandes et d'un transfert du gouvernement français en Afrique du Nord. Aucune décision ne fut prise, mais le même jour, en fin d'après-midi, Camille Chautemps, vice-président du Conseil, les présidents des deux chambres et vingt-sept parlementaires embarquent à Port-Vendres à bord du Massilia le 21 juin. Arrivés à Casablanca au Maroc, plusieurs jours plus tard en raison d'une grève de l'équipage, puis de l'attente d'une demande d'asile au gouvernement britannique, les passagers du Massilia sont d'abord consignés par le résident dans un grand hôtel, et quatre d'entre eux seront arrêtés pour désertion en présence de l'ennemi.

Renvoyé en métropole, Jean Zay est interné le 20 août à la prison militaire de Clermont-Ferrand. Dénoncé pendant des mois par une violente campagne de presse, orchestrée par Philippe Henriot, ministre de l'Information du gouvernement de Vichy, qui réclame la condamnation à mort du « Juif Jean Zay » comme Juif, franc-maçon, antimunichois, antihitlérien et ministre du Front populaire. Le 4  octobre 1940, le tribunal militaire permanent de la 13e division militaire, siégeant à Clermont-Ferrand, le condamne comme officier pour désertion en présence de l'ennemi à la déportation à vie et à la dégradation militaire, contre six ans de prison pour Mendès, huit ans de prison avec sursis pour Pierre Viénot et un non-lieu pour Alex Wiltzer. Ses prises de position très antimilitaristes et pacifistes avant la déclaration de guerre ne sont sans doute pas étrangères à cette sévérité. Pour Olivier Loubes, « bouc émissaire idéal », Jean Zay a été condamné « à une peine qui vise à rappeler celle de Dreyfus ». Transféré le 4 décembre 1940 au fort Saint-Nicolas, à Marseille, pour être déporté, sa peine de déportation dans un bagne est muée par le gouvernement de Vichy en simple internement en métropole, et, le 7 janvier 1941, il est incarcéré au quartier spécial de la maison d'arrêt de Riom.

De sa prison de Riom, Jean Zay peut continuer à recevoir régulièrement sa femme et ses deux filles, dont la cadette est née après son arrestation. Il peut écrire et communiquer avec ses amis. Là, il fait le choix de rester dans la légalité et refuse une évasion que la Résistance aurait pu réaliser sans peine, étant donnée sa puissance dans la région. Il continue à travailler pendant sa captivité, préparant les réformes qu'il pense pouvoir mettre en œuvre après la Libération. Mais le 20 juin 1944, des miliciens de Joseph Darnand viennent le chercher à la prison, sous le prétexte d'un transfert à la prison de Melun, lui laissent entendre ensuite qu'ils sont des résistants déguisés qui ont pour mission de lui faire rejoindre le maquis, et l'assassinent dans un bois, près d'une carrière abandonnée, au lieu-dit Les Malavaux, à Molles, dans l'Allier. Les tueurs le déshabillent, lui ôtent son alliance, le fusillent, jettent la dépouille dans un puits et y lancent quelques grenades de manière à ce qu'il ne puisse pas être identifié. Le 22 septembre 1945, son corps et ceux de deux autres personnes sont retrouvés, enfouis sous un tas de pierres, par des chasseurs de Molles et de Cusset, et enterrés sur ordre de la municipalité de Cusset dans une même fosse du cimetière communal. Faisant le rapprochement entre le cadavre et la disparition de Jean Zay, les enquêteurs retrouvent l'identité du milicien qui a signé le registre de levée d'écrou, Charles Develle, et l'interpellent à Naples, où il s'était réfugié.

Exhumés fin 1947, les restes de Jean Zay sont identifiés grâce à sa fiche dentaire et aux mensurations données par son tailleur. Jugé en février 1953, le milicien est condamné aux travaux forcés à perpétuité par le tribunal militaire de Lyon. Jean Zay est inhumé dans le grand cimetière d'Orléans depuis le 15 mai 1948. Le 5 juillet 1945, la Cour d'appel de Riom réexamine les faits reprochés au sous-lieutenant Jean Zay, constate qu'à aucun moment il ne s'est soustrait à l'autorité militaire, et que « les poursuites intentées contre le sous-lieutenant Jean Zay ne peuvent s'expliquer que par le désir qu'a eu le gouvernement d'atteindre un parlementaire dont les opinions politiques lui étaient opposées et qu'il importait de discréditer en raison de la haute autorité attachée à sa personnalité ». Elle annule donc le jugement inique du 4 octobre 1940, et Jean Zay est pleinement réhabilité à titre posthume. Jean Zay est cité à l'Ordre de la Nation par le président du Gouvernement provisoire de la République française Félix Gouin en avril 1946, et un hommage public lui est rendu dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne le 27 juin 1947.

En juin 1994 l'hommage de la République lui sera rendu à Orléans, en présence de François Mitterrand. En décembre 2008, les étudiants socialistes de Sciences Po lui rendent hommage en renommant leur section « Sciences Po - Jean Zay » En mai 2009, la Fondation du Grand Orient de France crée à Sciences Po Bordeaux, une « Chaire Jean Zay ». Cette chaire a une double vocation : l'approche comparée de la laïcité dans les grandes démocraties (cours dispensé en 2010 et 2011 par Jean-Michel Quillardet, ancien grand maitre du GODF) et soutien à la diversité sociale sous forme de bourses d'installation pour des étudiants lauréats de l'opération « Sciences Po Bordeaux, je le peux parce que je le veux ». La Chaire Jean Zay est inaugurée à Sciences Po Bordeaux, en présence des filles de Jean Zay, Hélène Mouchard-Zay et Catherine Martin-Zay, le 22 janvier 2010. L'éloge de Jean Zay est prononcé par Olivier Loubes, professeur d'histoire.

Il existe une association "Jean Zay au Panthéon" fondée à Orléans, qui oeuvre pour le transfert des cendres de Jean Zay au Panthéon, dont le Président et Jean-Michel QUILLARDET et le secrétaire général, Alain VERNET. Le 8 juin 2010, les deux filles de Jean Zay : Catherine Martin-Zay et Hélène Mouchard-Zay, font don aux Archives nationales de l'ensemble de ses "papiers". « Pour Jean Zay, la République repose avant tout sur le civisme et l'intelligence des citoyens, c'est-à-dire sur leur éducation intellectuelle et morale. […] Contre la conservation sociale mais aussi contre les utopies révolutionnaires, la politique est ce mouvement par lequel l'humanité s'approfondit et devient en quelque sorte plus digne d'elle-même. » (Antoine Prost). Il ne serait pas pensable de tenter d’expliquer l’action de Jean Zay sans la replacer dans le contexte de l’action politique. Dès sa majorité, en effet, il estima que « l’intellectuel ne peut pas ne pas prendre parti dans la controverse qui chaque jour sur le forum dresse les citoyens les uns contre les autres ».

C’est bien là, semble-t-il, le point de départ de son engagement politique. Jean Zay était arrivé à la tête de l’Éducation nationale sans préavis, et ce n’était donc pas sur la base d’une réputation pédagogique, mais bien plutôt sur celle de ses capacités d’analyse et de pondération, et de son courage vertueux, qu’il fut placé dans cette éminente position. Car Jean Zay était avant tout un homme politique, plutôt qu’un politicien, c’est-à-dire qu’il était de cette espèce rare d’homme à qui l’action importait beaucoup plus que le jeu des pouvoirs. Et cette action, en cette époque de toutes les dictatures (Allemagne, Italie, Espagne, et même partis antirépublicains français), était vitale aux yeux d’un homme de convictions. Arrivé au poste de ministre de l’Éducation nationale, Il avait compris que la République ne pouvait être défendue, servie, construite, que par un peuple instruit et éduqué dans ses valeurs démocratiques. Car la démocratie et la République semblait à une partie de la population une option que l’on pourrait abroger : en 1934, Le Petit Journal organisa un sondage : « Si la France avait besoin d’un dictateur, lequel choisiriez-vous ? » Pétain arriva en tête. Bien conscient de l’importance cruciale de ces chantiers après les événements de février 1934, visionnaire, incisif, mais sans illusion, il allait employer toute son ardeur à servir cette cause.

Une des caractéristiques du système éducatif que Jean Zay déplorait le plus était celle qui occasionnait la perte, pour la République, de sujets précieux, travailleurs et doués, qui, faute d’argent, ne pouvaient accéder à des postes où ils auraient pu donner le meilleur d’eux-mêmes. À l’inverse, des esprits médiocres et nonchalants, grâce à leur fortune, pouvaient sans difficulté accéder à la haute fonction publique, sans même disposer d’une formation adéquate. Ce fut alors l’idée de l’ENA, qui ne vit le jour qu’après la guerre. L’actualité récente montre que le but de Jean Zay a été obtenu médiocrement, car ses élèves restent en grande partie issus du milieu des notables, perpétuant une République de notables. Toutefois, l’unification de leur formation constitue un progrès. Ainsi, un journaliste britannique écrivait tout récemment : « [...] Ils ont aussi une administration hautement qualifiée, adaptée aux défis des Temps modernes, un sens de l’Histoire et de la nation ».

Son grand projet de réforme du système éducatif (déposé en 1937, mais « torpillé » par la majorité conservatrice du Sénat), un des plus élaborés jamais conçu et un des plus démocratiques pour l'époque, partait de la même conviction que la vertu, les capacités intellectuelles, et, pour employer une expression désuète, le cœur, n’étaient pas l’apanage des classes aisées, et que la société avait tout à gagner d’accorder le maximum de chance à tous, ainsi qu’à former au mieux le plus grand nombre. Son projet de réforme a notamment concerné les lycées de jeunes filles et les Écoles normales primaires. Il faut aussi replacer son action, d’un point de vue plus temporel, dans l’action du gouvernement de Front populaire, qui avait pour optique d’étendre jusqu’aux classes laborieuses une vie de bien meilleure qualité, ce qui pour Jean Zay passait par la culture et l’instruction, tout autant que par les loisirs, ces fameux « congés payés », que l’on retient davantage aujourd’hui comme emblématiques de cette période. Comme ministre, Jean Zay prépare un projet de réforme éducative, adopté le 2 mars 1937 en conseil des ministres, qui vise à démocratiser l'enseignement en unifiant l'enseignement primaire (avec la disparition des classes élémentaires des collèges et lycées) et en harmonisant le secondaire (général et technique/professionnel), mais aussi à améliorer la formation des enseignants. Toutefois, il ne peut aboutir.

En revanche, il réorganise son ministère en fonction des trois degrés projetés et prend plusieurs mesures importantes. Jean Zay est à l'origine de la multiplication des bourses aux élèves de primaire, de la scolarité obligatoire jusqu'à 14 ans (passage de 13 ans à 14 ans par la loi du 6 août 1936), des vacances ramenées au 14 au lieu du 31 juillet, de la lutte contre le surmenage scolaire, de la limitation des classes à 35 élèves (au lieu de 60 ou plus), de la généralisation des activités dirigées, de classes de 6° d'orientation expérimentales pour entrer dans le secondaire, de l'introduction de l'éducation sportive obligatoire, de la création du Comité supérieur des Œuvres en faveur de la jeunesse scolaire et universitaire (ancêtre des CROUS qui ne verront le jour qu'après guerre)... Il lance un programme de construction d'écoles et de lycées, crée de nombreuses classes, des cantines et des colonies de vacances.

Jean Zay a aussi tenté de créer une École nationale d'administration, mais le projet de loi, déposé le 1er août 1936, s'est heurté à de nombreuses oppositions. Il cherche, avec l'aide d'Irène Joliot-Curie puis de Jean Perrin, sous-secrétaires d'État en 1936 et en 1938, à développer la recherche scientifique et prépare la création, en octobre 1939, du CNRS. Sur le plan culturel et artistique, Jean Zay crée la Réunion des théâtres lyriques nationaux et le Musée national des arts et traditions populaires et il encourage les bibliobus. Il propose également la création du festival de Cannes, dont la première édition aurait dû se tenir en septembre 1939 si la guerre n'avait été déclarée. A noter également que Jean Zay a estimé souhaitable de faciliter l’étude de l'espéranto. Son enseignement est admis dans le cadre des activités socioéducatives par une circulaire ministérielle du 11 octobre 1938 dont le texte est toujours valide. Les Carnets secrets de Jean Zay sont des notes prises par Jean Zay pendant son ministère. Confiées par lui à l'un de ses amis, elles ont en fait été vendues à la presse. Les premiers documents paraissent dans Je suis partout le 28 février 1941, puis dans Gringoire. Ces « documents » sont enfin publiés sous forme de livre par les Éditions de France en 1942, accompagnés de commentaires de Philippe Henriot.

La publication était sans doute orientée, afin de confirmer les positions du régime de Vichy ; il s'agissait de dénoncer à des fins de propagande le « bellicisme » de Jean Zay. Toutefois, les originaux ayant disparu, toute comparaison est impossible. Cette publication tronquée porte atteinte à l'honneur de Jean Zay et en 1948, sa veuve, Madeleine Zay, obtient en partie réparation en justice en faisant condamner "Gringoire" et les héritiers de Philippe Henriot à verser des dommages-intérêts pour la calomnie de cette publication. Jean Zay écrit pendant sa captivité Souvenirs et solitude, qui est publié la première fois en 1945. Le livre est construit comme un journal, décrivant les évènements qu'il vit dans sa prison et commentant l'actualité telle qu'il en a connaissance. C'est aussi l'occasion d'exprimer des réflexions sur la justice ou l'emprisonnement, de rappeler des souvenirs et d'évoquer des projets pour la France de la Libération.

Mandel Georges

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Né à Chatou en 1885, Mandel est de modeste famille : son père (de son vrai nom Rotschild) est tailleur et avait fui l'Alsace annexée en 1871. Ses grands-parents sont enterrés au cimetière de Marmoutier en Alsace. Durant l'affaire Dreyfus, il baigne dans « une atmosphère dreyfusarde » et est très influencé dans son lycée par les divisions et les affrontements de cette époque. Tout au long de sa carrière politique cette période de luttes intenses marquera profondément Mandel.

Mandel Georges

Il devient journaliste et à l'âge de 21 ans, entre à « L'Aurore », le journal de Clemenceau avec lequel il aura des relations très étroites mais parsemées de nombreux conflits : le « Tigre » n'apprécie pas toujours ses initiatives ou ses « coups » politiques. En 1906, Clémenceau devient président du Conseil et Mandel entre dans son gouvernement. En 1917 Clémenceau redevient président du Conseil à un moment particulièrement difficile pour les armées françaises ; Mandel contribue au choix de la plupart des ministres de son cabinet. En 1919, il est élu député de la Gironde avec la vague « Bleu horizon » et se présente aux élections cantonales pour acquérir ainsi une assise locale. A partir des années trente, Mandel dénonce le péril allemand. Le 9 novembre 1933, il fait un discours à la Chambre, publié sous forme de brochure sous le titre : « L'Allemagne réarme. Que faire ? »

Ministre des Postes en 1934, il dirige son administration avec une poigne de fer, n'hésitant pas à révoquer des directeurs incompétents ou des fonctionnaires peu efficaces. En 1935, Hitler ayant rétabli le service militaire obligatoire, il obtient la condamnation de l'Allemagne par la S.D.N. En juin 1935, Laval succède à Flandin ; Mandel s'oppose à Laval sur le dossier éthiopien. (Laval accepte en effet le transfert des deux tiers de ce pays à Mussolini). Le 7 mars 1936 la rive gauche du Rhin est réoccupée par l'Allemagne nazie, le gouvernement Sarraut, affaibli par le manque d'enthousiasme des militaires et de l'Angleterre à l'idée de réagir fermement contre Hitler n'émet qu'une faible protestation auprès de la S.D.N. Mais Georges Mandel ne démissionne pas du Gouvernement.

Après la chute du Front Populaire, Mandel devient ministre des Colonies dans le gouvernement Daladier ; il se prononce pour une alliance avec l'Union soviétique contre l'Allemagne nazie. En 1938, il s'oppose aux « Accords de Munich » soutenu par Paul Reynaud et quelques autres membres du Gouvernement. Ces accords sont ratifiés par la Chambre par 535 contre 75. Mandel, dans un premier temps veut remettre sa démission, mais se ravisant, estime plus courageux de rester. Daladier est renversé le 19 mars 1940, Paul Reynaud lui succède et Mandel accède au ministère de l'Intérieur. Pétain fait son entrée au Gouvernement comme vice-président du Conseil ; Mandel y est favorable car il croit qu'il en résultera un signal positif et que la France se battra jusqu'au bout… il se trompe lourdement. Il fait procéder à l'arrestation de défaitistes et de saboteurs mais n'arrive pas à endiguer le courant pacifiste qui se manifeste ouvertement et se renforce dans le gouvernement. Durant la débâcle de mai et juin 1940, il songe « au réduit breton » pour pouvoir poursuivre la lutte puis à l'Empire colonial.

Finalement après l'échec de ces tentatives, la démission de Reynaud et l'arrivée au pouvoir de Pétain, il s’empare du « Massilia » avec 25 autres parlementaires pour rejoindre l'Afrique du Nord et poursuivre, pense-t-il, la résistance. Il est arrêté avec ses compagnons d'infortune sur les ordres du nouveau Gouvernement puis transféré par Vichy en France métropolitaine. Il est condamné à la prison à vie en même temps que Paul ReynaudEn novembre 1942, il est transféré, tout comme Paul Reynaud, dans un camp de la Gestapo en Allemagne. Quelques mois plus tard, il est déporté au camp de Buchenwald. Début juillet 1944, les Allemands le livrent à la Milice en le rapatriant en France. Le collaborateur Henriot vient d'être exécuté par la Résistance et la Milice souhaite exercer sa vengeance : elle abat Mandel, le 7 juillet, dans la forêt de Fontainebleau.

Cartwright Lynn

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Lynn Cartwright est une actrice américaine née le 27 février 1927 à McAlester, Oklahoma (États-Unis), décédée le 2 janvier 2004 à Los Angeles (Californie).

Cartwright Lynn Cartwright Lynn

Filmographie

  • 1957 : Black Patch (en) d'Allen H. Miner : Kitty
  • 1958 : The Cry Baby Killer : Julie
  • 1958 : Queen of Outer Space : Venusian girl
  • 1960 : The Wasp Woman : Maureen Reardon
  • 1965 : The Girls on the Beach : Waitress
  • 1969 : All the Loving Couples : Natalie
  • 1969 : The Ribald Tales of Robin Hood : Lady Sallyforth
  • 1972 : La Chose (Something Evil), de Steven Spielberg (TV) : Secretary
  • 1972 : Gabriella : Marsha
  • 1972 : Where Does It Hurt?
  • 1978 : The Lucifer Complex : Nazi bitch
  • 1978 : Son of Hitler : Annie
  • 1978 : The Seniors : Miss Creighton
  • 1984 : Lovelines : Mrs. Woodson
  • 1987 : The Garbage Pail Kids Movie : Authorative Voice / Fashion Show Host
  • 1990 : The Blue Men de Denise McKenna (court métrage) : Church Woman #2
  • 1992 : Une équipe hors du commun (A League of Their Own) : Older Dottie

Carter Nell

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Nell Carter est une actrice américaine née le 13 septembre 1948 à Birmingham, Alabama (États-Unis), décédée le 23 janvier 2003 à Beverly Hills (Californie).

Carter Nell

Filmographie

  • 1975 : Ryan's Hope (série TV) : Ethel Green (unknown episodes, 1978-1979)
  • 1978 : Cindy (TV) : Olive (stepsister)
  • 1979 : Hair de Miloš Forman : Ain't Got No' / 'White Boys
  • 1979 : The Misadventures of Sheriff Lobo (série TV) : Sgt. Hildy Jones (unknown episodes, 1980-1981)
  • 1981 : Back Roads : Waitress
  • 1981 : Modern Problems : Dorita
  • 1990 : You Take the Kids (série TV) : Nell Kirkland (unknown episodes)
  • 1992 : Maid for Each Other (TV) : Jasmine Jones
  • 1992 : Final Shot: The Hank Gathers Story (TV) : Lucille Gathers
  • 1992 : Bébé's Kids : Vivian (voix)
  • 1995 : Happily Ever After: Fairy Tales for Every Child (série TV) : Mary (unknown episodes)
  • 1995 : The Crazysitter : The Warden
  • 1995 : The Grass Harp : Catherine Creek
  • 1996 : La Propriétaire (The Proprietor) : Millie Jackson
  • 1997 : Fakin' Da Funk : Claire
  • 1999 : Special Delivery
  • 1999 : We Wish You a Merry Christmas (vidéo) : Mrs. Claus (voix)
  • 1999 : Perfect Fit : Mrs. Gordy
  • 1999 : Coup de foudre postal (Sealed with a Kiss) (TV) : Mrs. Wheatley
  • 2002 : Back by Midnight : Waitress
  • 2003 : Swing : Grace

Carter Lynda

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Lynda Carter, née le 24 juillet 1951 à Phoenix (Arizona) est une actrice américaine. Elle est surtout connue pour avoir tenu le rôle-titre de la série télévisée Wonder Woman à la fin des années 1970.

Carter LyndaCarter Lynda

Elle naît le 24 juillet 1951 d'un père irlandais et d'une mère mexicaine. Elle débute sa carrière en remportant l'élection qui en fait la représentante des États-Unis au concours Miss Monde en 1972 (mais non les concours Miss USA et Miss America). Elle chante ensuite dans divers groupes à travers les États-Unis. La belle jeune femme aux yeux bleus décide de devenir comédienne et se rend ensuite à Los Angeles, en 1975. Après plusieurs participations à des séries comme Starsky et Hutch, elle obtient en 1976 le rôle de Wonder Woman. Le pilote de la série est un immense succès et Lynda Carter devient rapidement une star. Pendant quatre ans et 60 épisodes, Lynda Carter interprète le rôle de cette amazone aux pouvoirs surnaturels. Très apprécié des enfants, le personnage de Wonder Woman séduit également les hommes adultes par la tenue très sexy qu'elle revêt.

Après la série, à partir de 1980, Lynda se produit dans divers spectacles à Las Vegas. Divorcée de son manager en 1983, elle se remarie avec Robert Altman, un avocat, en 1984. Elle décide de quitter Hollywood pour Washington et devient maman de James et de Jessica. Elle continue sa carrière de comédienne dans divers téléfilms (Rita Hayworth en 1984, Daddy en 1991, Family Blessing en 1996). Éloignée des studios depuis plusieurs années, Lynda Carter fait son retour dans le monde du spectacle avec des participations dans des films du box-office : L'École fantastique en 2005 et le remake de la série Shérif, fais-moi peur la même année. Elle participe également à la série New York, unité spéciale où elle interprète une manipulatrice meurtrière. Elle tient également la vedette dans la pièce de théâtre et comédie musicale Chicago à Londres en octobre et novembre 2005. Elle retrouve l'univers des super héros avec une apparition en 2007 dans un épisode de la série télévisée Smallville. Elle aurait dû également apparaître dans le remake de la série Wonder Woman en 2011.

En 2007, elle se lance dans le monde musical avec plusieurs spectacle dont elle est la vedette1. Plébiscitée par la critique, la comédienne se produit, à guichets fermés, avec un répertoire blues et jazzy dans différentes villes des États-Unis. Forte de ce succès, Lynda Carter sort un CD intitulé : At Last, classé numéro 1 des ventes dans la catégorie jazz/blues, en juin 2009. En 2010, elle signe pour plusieurs concerts dont deux à Londres, les 17 et 18 septembre 2010. Elle enregistre également un nouveau CD, à Nashville, encouragée par le succès du premier. Son nouvel album, intitulé Crazy Little Things, sort le 26 avril 2011. Elle prête également depuis plusieurs années sa voix à plusieurs jeux vidéo à succès comme The Elder Scrolls V: Skyrim en 2011 ou bien Elder Scrolls Online en 2014 avec d'autres stars d'Hollywood.

Filmographie

  • 1976 : Bobbie Jo and the Outlaw : Bobbie Jo Baker
  • 1993 : Par acquit de conscience (Lightning in a Bottle) : Charlotte Furber
  • 2001 : Super Troopers : Gouverneur Jessman
  • 2004 : The Creature of the Sunny Side Up Trailer Park : Lynette
  • 2005 : Wonder Woman: The Ultimate Feminist Icon (Vidéo)
  • 2005 : Shérif, fais-moi peur (The Dukes of Hazzard) : Pauline
  • 2005 : L'École fantastique (Sky High) : Principal Powers
  • 2006 : Tempbot : Mary Alice
  • 2007 : Tattered Angel : Hazel Anderson

Télévision

  • 1974 : Nakia (Série TV) : Helen Chase
  • 1975 : Matt Helm (en) (Série TV) : Bobbi Dee
  • 1975-1979 : Wonder Woman (The New Original Wonder Woman) (Série TV) : Diana Prince / Wonder Woman
  • 1976 : A Matter of Wife... and Death (Téléfilm) : Zelda
  • 1976 : Starsky et Hutch (Série TV) : Vicki
  • 1980 : L'Affaire Brockhurst (The Last Song) (Téléfilm) : Brooke Newman
  • 1981 : Born to Be Sold (Téléfilm) : Kate Carlin
  • 1982 : Hotline (Téléfilm) : Brianne O'Neill
  • 1983 : Rita Hayworth: The Love Goddess (Téléfilm) : Rita Hayworth
  • 1984 : Partners in Crime (Série TV) : Carole Stanwyck
  • 1987 : Stillwatch (Téléfilm) : Patricia Traymore
  • 1989 : Mike Hammer: Murder Takes All (Téléfilm) : Helen Durant
  • 1991 : Un papa sur mesure (Daddy) (Téléfilm) : Charlotte Sampson
  • 1991 : Posing: Inspired by Three Real Stories (Téléfilm) : Meredith Lanahan
  • 1994 - 1995 : La Légende d'Hawkeye (Hawkeye) (Série TV) : Elizabeth Shields
  • 1996 : When Friendship Kills (Téléfilm) : Kathryn Archer
  • 1996 : Victime du silence (titre américain : She Woke Up Pregnant) (Téléfilm) : Susan Saroyan
  • 1996 : Family Blessings (Téléfilm) : Lee Reston
  • 1997 : A Prayer in the Dark (Téléfilm) : Emily Hayworth
  • 1998 : Conduite coupable (Someone to Love Me: A Moment of Truth Movie) (Téléfilm) : Diane Young
  • 2003 : Fusion (Terror Peak) (Téléfilm) : Dr. Janet Fraser
  • 2003 : La montagne en colere (Téléfilm) : reprise du role du Dr Janet Fraser.
  • 2003 : La Star de la famille (Hope & Faith) (Série TV) : Summer Kirkland
  • 2005 : New York, police judiciaire (Law & Order) (Série TV) : Lorraine Dillon
  • 2005 : New York, unité spéciale (Law & Order: Special Victims Unit) (Série TV) : Lorraine Dillon
  • 2006 : Slayer (Téléfilm) : Colonel Jessica Weaver
  • 2007 : Smallville (Série TV) : Moira Sullivan
  • 2013 : Mon Oncle Charlie (Série TV) : Lynda Carter

Guilbert Ann Morgan

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Ann Morgan Guilbert est une actrice américaine née le 16 octobre 1928 à Minneapolis. Elle est connue aux Etats-Unis pour avoir joué le rôle de Millie dans le Dick Van Dyke Show. Elle joue également le rôle de Grand-Mère Yetta dans la série télévisée Une nounou d'enfer.

Guilbert Ann Morgan Guilbert Ann Morgan

Filmographie

  • 1963 : Les Pieds dans le plat (The Man from the Diner's Club) : Ella Trask
  • 1995 : Les Grincheux 2 : Mama Francesca Ragetti
  • 2010 : La Beauté du geste : Andra

Télévision

  • 1961-1965 : The Dick Van Dyke Show : Millie Helper
  • 1971 : The New Andy Griffith Show : Nora (Saison 1)
  • 1991 et 1995 : Seinfeld : Evelyn (Saison 3 - Épisode 3 : Saison 7 - Épisodes 14-15)
  • 1992-1994 : Un drôle de shérif ou (High Secret City : La ville du grand secret) : Myriam Wambaugh (Saison 1 - Épisodes 9-14-19 : Saison 2 - Épisode 1 : Saison 3 - Épisode 7)
  • 1992 : Papa bricole : Mère de Wilson (Saison 2 - Épisode 3)
  • 1993-1999 : Une nounou d'enfer : Yeta Rosenberg
  • 2005 : Larry et son nombril : Lenore (Saison 5 - Épisode 4)
  • 2007 : New York, unité spéciale : Employée du Prince de l'église de la paix (Saison 9 - Épisode 1)

Gugino Carla

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Carla Gugino est une actrice américaine d'origine italo-anglo-irlandaise, née le 29 août 1971 à Sarasota (Floride).

Gugino CarlaGugino CarlaGugino Carla

Elle a été découverte à l'âge de 15 ans et a commencé une carrière de mannequin avant de devenir actrice. Elle est en couple avec Sebastian Gutierrez. Dans les années 1990, elle a joué dans le clip Always de Jon Bon Jovi. Elle est surtout connue pour le rôle de Ingrid Cortez dans la trilogie Spy Kids, mais elle a aussi joué dans le film Snake Eyes de Brian De Palma. En 2011, elle est à l'affiche du film Sucker Punch de Zack Snyder et chante en duo la chanson du générique de fin (Love is a Drug) avec son partenaire à l'écran, Oscar Isaac.

Elle est également à l'affiche du film Monsieur Popper et ses pingouins de Mark Waters aux côtés de Jim Carrey. En mars 2012, elle est choisie pour interpréter l'un des rôles principaux dans la mini-série en six épisodes intitulée Political Animals. En novembre de la même année, elle obtient un rôle le temps de trois épisodes dans la série New Girl.

Filmographie

  • 1989 : Troop Beverly Hills (en) de Jeff Kanew : Chica Barnfell
  • 1990 : Welcome Home, Roxy Carmichael de Jim Abrahams : Roxy jeune
  • 1993 : Blessures secrètes (This Boy's Life) de Michael Caton-Jones : Norma Hansen
  • 1993 : Red Hot de Paul Haggis : Valentina
  • 1993 : L'Apprenti fermier (en) (Son in Law) de Steve Rash : Rebecca « Becca » Warner
  • 1995 : Miami Rhapsodi (en) de David Frankel : Leslie Marcus
  • 1996 : L'Incroyable Voyage 2 : À San Francisco (Homeward Bound II: Lost in San Francisco) de David R. Ellis : Delilah (voix originale)
  • 1996 : The War at Home d'Emilio Estevez : Melissa
  • 1996 : Wedding Bell Blues (en) de Dana Lustig : Violet
  • 1996 : Michael de Nora Ephron : Bride
  • 1997 : Lovelife (en) de Jon Harmon Feldman : Amy
  • 1998 : Alexandria Hotel d'Andrea Barzini et James Merendino : rôle inconnu
  • 1998 : Jaded de Caryn Krooth : Megan « Meg » Harris
  • 1998 : Snake Eyes de Brian De Palma : Julia Costello
  • 1998 : Judas Kiss de Sebastian Gutierrez : Coco Chavez
  • 2001 : Spy Kids de Robert Rodriguez : Ingrid Cortez
  • 2001 : Le Centre du Monde (The Center of the World) de Wayne Wang : Jerri
  • 2001 : The Jimmy Show (en) de Frank Whaley : Annie
  • 2001 : The One de James Wong : T.K Law / Massie Walsh
  • 2002 : Spy Kids 2 : Espions en herbe (Spy kids 2: Island of Lost Dreams) de Robert Rodriguez : Ingrid Cortez
  • 2003 : The Singing Detective de Keith Gordon : Betty Dark / Hooker
  • 2003 : Spy Kids 3 : Mission 3D (Spy Kids 3-D: Game Over) de Robert Rodriguez : Ingrid Cortez
  • 2005 : The Life Coach (en) de Josh Stolberg : Carla
  • 2005 : Sin City de Frank Miller, Robert Rodriguez et Quentin Tarantino : Lucille
  • 2006 : Even Money de Mark Rydell : Veronica
  • 2006 : La Nuit au musée (The Night at the Museum) de Shawn Levy : Rebecca
  • 2007 : The Lookout de Scott Frank : Janet
  • 2007 : Rise (Rise: Blood Hunter) de Sebastian Gutierrez : Eve
  • 2007 : American Gangster de Ridley Scott : Laurie Roberts
  • 2008 : La Loi et l'Ordre (Righteous Kill) de Jon Avnet : Karen Kleisner / Karen Corelli
  • 2009 : Unborn (The Unborn) de David S. Goyer : Janet Beldon
  • 2009 : Watchmen : Les Gardiens (Watchmen) de Zack Snyder : Sally Jupiter / Spectre Soyeux
  • 2009 : La Montagne ensorcelée (Race to Witch Mountain) d'Andy Fickman : Dr Alex Friedman
  • 2009 : Women in Trouble de Sebastian Gutierrez : Elektra Luxx
  • 2009 : Sous le masque (Under the Hood) d'Eric Matthies : Sally Jupiter / Spectre Soyeux I (sorti directement en DVD)
  • 2009 : The Mighty Macs (en) de Tim Chambers : Cathy Rush
  • 2010 : Electra Luxx de Sebastian Gutierrez : Elektra Luxx / Celia
  • 2010 : Every Day (en) de Richard Levine : Robin
  • 2011 : Faster de George Tillman Jr. : Cicero, la collègue du policier
  • 2011 : I Melt with You (en) de Mark Pellington : l'officier Laura Boyde
  • 2011 : Girl Walks into a Bar de Sebastian Gutierrez : Francine Driver
  • 2011 : Sucker Punch de Zack Snyder : Dr Vera Gorski
  • 2011 : Monsieur Popper et ses pingouins (Mr. Popper's Penguins) de Mark Waters : Amanda
  • 2011 : Happy New Year (New Year's Eve) de Garry Marshall : Dr Morriset
  • 2012 : Hotel Noir de Sebastian Gutierrez : Hanna Click
  • 2013 : Man of Steel de Zack Snyder : Kaylor, l'ordinateur de Jor-El (voix)
  • 2014 : Match de Stephen Belber : Lisa
  • 2015 : San Andreas de Brad Peyton : Emma (en postproduction3)
  • 2015 : Almost Heroes 3D de Wonjae Lee : Katherine (en tournage3 - voix originale3)

Courts métrages

  • 2009 : Sparks de Joseph Gordon-Levitt : Robin
  • 2009 : Apocrypha d'Andrey Zvyagintsev : une femme
  • 2010 : Tell-Tale de Greg Williams : la femme fatale

Télévision

Téléfilms

  • 1992 : Murder Without Motive: The Edmund Perry Story de Kevin Hooks : Allison Connors
  • 1992 : Le Choix d'une mère (en) (A Private Matter) de Joan Micklin Silver : Mary Beth
  • 1994 : Motorcycle Gang (en) de John Milius : Leann Morris
  • 1999 : La Saison des miracles (en) (A Season for Miracles) de Michael Pressman : Emilie Thompson
  • 2001 : La Sirène mutante (Mermaid Chronicles Part One: She Creature) de Sebastian Gutierrez : Lily
  • 2011 : Hide de John Gray (en) : D. D. Warren
  • 2013 : Doubt de Thomas Schlamme : Linda

Séries télévisées

  • 1988 : Madame est servie (Who's the Boss?) : Jane (saison 4, épisode 22)
  • 1988 : Bonjour, miss Bliss (Good Morning, Miss Bliss) : Karen (saison 1, épisode 1)
  • 1989 : Alf : Laura (saison 3, épisode 18)
  • 1989-1990 : Falcon Crest : Sydney St-James (11 épisodes)
  • 1990 : American Dreamer : Jessica jeune (saison 1, épisode 1)
  • 1990 : Ferris Bueller (en) : Ann Peyson (saison 1, épisode 10)
  • 1991 : Docteur Doogie (Doogie Howser, M.D.) : Sara Newman (saison 2, épisode 22)
  • 1991 : Les Années coup de cœur (The Wonder Years) : Sandy (saison 5, épisode 6)
  • 1992 : Code Quantum (Quantum Leap) : Michelle Temple Cutter (saison 4, épisode 16)
  • 1992 : Davis Rules (en) : Kathi (2 épisodes)
  • 1995 : The Buccaneers : Nan St. George (mini-série en 5 épisodes)
  • 1996 / 1998 : Spin City : Ashley Schaeffer (13 épisodes)
  • 1999-2000 : La Vie à tout prix (Chicago Hope) : Dr Gina Simon (23 épisodes)
  • 2003 : Reel Comedy : elle-même (1 épisode)
  • 2003-2004 : Karen Sisco : Karen Sisco (10 épisodes)
  • 2005-2006 : Threshold : Premier Contact (Threshold) : Dr Molly Anne Caffrey (13 épisodes)
  • 2007-2010 : Entourage : Amanda Daniels (12 épisodes)
  • 2011 : Californication : Abby Rhodes (10 épisodes)
  • 2012 : Justified : A. D. Karen Goodall (saison 3, épisode 2)
  • 2012 : Political Animals : Susan Berg (mini-série en 6 épisodes)
  • 2012 : New Girl : Emma (3 épisodes)
  • 2014 : HitRECord on TV : Aliens (saison 1, épisode 3 - segment de Destination Trash3)
  • 2015 : Wayward Pines : Kate Hewson3 (10 épisodes)

Guerrero Lisa

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Lisa Guerrero est une actrice, animatrice, journaliste sportif et top model américaine né le 8 avril 1964 à Chicago. On l'appelle aussi Lisa Guerrero Coles, Coles étant le nom de son père et Guerrero le nom de sa mère.

Guerrero Lisa Guerrero Lisa Guerrero Lisa

Lisa Guerrero est la fille de Walter Coles et de Lucy Guerrero. Sa mère était chilienne et son père américain. Lisa vit son enfance entre San Diego et Huntington Beach en Californie. En 1972, quand Lisa n'a que 8 ans, sa mère meurt. Pour faire face à cette perte, son père lui fait prendre des cours de théâtre ce qui est pour elle une sorte de thérapie. Son père et ses grands-parents l'impliquent dans l'Armée du Salut dont elle est encore aujourd'hui une volontaire active. Lisa Guerrero commence sa carrière dans les années 1980 comme majorette pour l'équipe de football américain des Los Angeles Rams. Ensuite, elle devient directrice du divertissement pour l'équipe de football américain des Atlanta Falcons puis pour celle des New England Patriots. À ce jour, c'est la seule femme à avoir occupé ce poste dans des équipes de football américain. Plus tard, en 1998, elle devient une star en jouant dans la série d'Aaron Spelling Sunset Beach.

En 1999, elle est engagée par la chaîne de télévision Fox pour animer plusieurs émissions de divertissement et de sports. Elle anime des divertissements sur le football américain et présente plusieurs shows télés depuis l'Égypte. En 2003, Lisa Guerrero rejoint la chaîne de télévision ABC pour animer l'émission de foot américain du lundi soir. Ses performances sont critiquées et elle se défend en disant que la production l'oblige à prendre des directions qui ne lui conviennent pas et que si elle avait su elle n'aurait jamais accepté ce poste. C'est pour cela qu'en 2004 elle quitte son poste. Alors, le Los Angeles Times recrute Lisa Guerrero, pour écrire dans la colonne des sports du journal, colonne qu'elle écrit toujours aujourd'hui. En décembre 2005, Lisa Guerrero pose pour plusieurs magazines dont Playboy, FHM, Maxim...

En 2006, elle devient correspondante pour une émission d'info à la télévision. Elle anime aussi plusieurs cérémonies du style des 7 d'Or ou des Césars américains. En même temps, Lisa Guerrero continue de faire des apparitions dans des séries, et crée avec son mari Scott Erickson une société de production. Leur premier film produit, A Plumm Summer (en) (où Lisa joue), va sortir prochainement en France. Lisa Guerrero s'est mariée le 3 février 2004 avec l'ancien joueur de baseball Scott Erickson. Elle vit entre Malibu, en Californie et le lac Tahoe, dans le Nevada.

Filmographie

  • Dans la chaleur de la nuit (1990) Série TV
  • Matlock (1991) Série TV
  • Batman, le défi (1992) Film
  • Seinfeld (1994) Série TV
  • Cybill (1996) Série TV
  • Menace Toxique (1997) Film
  • Frasier (1997) Série TV
  • Sunset Beach (1998-1999) Série TV
  • Une famille du tonnerre (2003) Série TV
  • A Plumm Summer (en) (2007) Film

Griffin Bernard

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Bernard William Griffin (né le 21 février 1899 à Birmingham en Angleterre, et mort le 20 août 1956 à Polzeath Bay, Cornouailles) est un cardinal anglais de l'Église catholique du XXe siècle, créé par le pape Pie XII

Griffin Bernard

Griffin étudie à Birmingham et à Rome. Il fait du travail pastoral à Coleshill et est secrétaire des archevêques de Birmingham de 1927 à 1943 et chancelier et vicaire général de l'archidiocèse de Birmingham. Il est élu évêque titulaire d'Appia et évêque auxiliaire de Birmingham en 1938. En 1943 il est promu à l'archidiocèse de Westminster. Le pape Pie XII le crée cardinal lors du consistoire du 18 février 1946.

Griffin Nikki

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Nikki Griffin est une actrice américaine née le 16 avril 1978 à Vicksburg, dans le Mississippi (États-Unis).

Griffin NikkiGriffin Nikki

Filmographie

  • 1999 : Dawson (Dawson's Creek) (série TV) : Extra
  • 2000 : Darktales (TV) : Liz
  • 2004 : Dr Vegas (série TV) : Girl Gone Wild
  • 2004 : Jack et Bobby (Jack & Bobby) (série TV) : Cheerleader #1
  • 2005 : Shérif, fais-moi peur (The Dukes of Hazzard) : Katie Johnson
  • 2005 : Sexcrimes 3 : diamants mortels (Wild Things: Diamonds in the Rough) (TV) : Risa Howard
  • 2005 : Eyes (série TV) : Alison Guralnick
  • 2006 : Fast and Furious: Tokyo Drift : Cindy - Clay's Girlfriend
  • 2006 : Secrets of a Small Town (série TV) : Christine
  • 2006 : Newport Beach (The O.C.) (série TV) : Jess Sathers
  • 2007 : How I Met Your Mother (série TV) : Lindsay
  • 2008 : Bar Starz : Pennie
  • 2008 : Last Meal : Claire
  • 2008 : Les Experts : Manhattan (CSI: NY) (série TV) : Vivian Knox
  • 2009 : Why Men Go Gay in L.A.
  • 2009 : H2O Extreme : Ashlyn
  • 2009 : Hot Babes (Deep in the Valley) : Babysitter #2
  • 2009 : Entourage (série TV) : E's Date
  • 2009 : Les Feux de l'amour (The Young and the Restless) (feuilleton TV) : Coffee House Girl
  • 2010 : The Penthouse : Lexi

Grimes Tammy

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Tammy Grimes est une actrice américaine née le 30 janvier 1934 à Boston, Massachusetts (États-Unis). Elle est la mère de l'actrice Amanda Plummer, qu'elle a eu avec l'acteur Christopher Plummer.

Grimes Tammy Grimes Tammy

Filmographie

  • 1966 : The Tammy Grimes Show (série TV) : Tammy Ward
  • 1967 : Three Bites of the Apple : Angela Sparrow
  • 1969 : Arthur! Arthur!
  • 1970 : The Other Man (TV) : Denise Gray
  • 1972 : Play It As It Lays : Helene
  • 1973 : The Horror at 37,000 Feet (TV) : Mrs. Pinder
  • 1973 : The Borrowers (TV) : Homily Clock
  • 1974 : Black Day for Bluebeard (TV) : Amanda
  • 1974 : 'Twas the Night Before Christmas (TV) : Albert (voix)
  • 1978 : Tartuffe (TV) : Elmire
  • 1978 : Qui a tué mon cher mari? (Somebody Killed Her Husband) : Audrey Van Santen
  • 1979 : The Runner Stumbles (en) de Stanley Kramer : Erna Webber
  • 1979 : You Can't Go Home Again (TV) : Amy Carlton
  • 1980 : The Incredible Book Escape (TV) (voix)
  • 1980 : Rien n'arrête la musique (Can't Stop the Music) : Sydney Channing
  • 1982 : La Dernière Licorne : Molly Grue (voix)
  • 1983 : No Big Deal (TV) : Alcoholic mom
  • 1983 : A Matter of Cunning (TV) : Sylvia Markham
  • 1983 : An Invasion of Privacy (TV) : Paula
  • 1985 : The Stuff : Cameo appearance (in "Stuff" commercial)
  • 1986 : America : Joy Hackley
  • 1988 : Mr. North : Sarah Baily-Lewis
  • 1989 : Esclaves de New York (Slaves of New York) : Georgette
  • 1994 : Backstreet Justice : Mrs. Finnegan
  • 1995 : A Modern Affair (en) de Vern Oakley (en) : Dr. Gresham
  • 1983 : Amoureusement vôtre ("Loving") (série TV) : Mrs. Haversham (1995)
  • 1997 : Trouble on the Corner : Mrs. K
  • 1998 : High Art : Vera

Hayle Grace

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Grace Hayle est une actrice américaine née le 24 juillet 1888 à Newark dans le New Jersey aux États-Unis, décédée le 20 mars 1963 à Los Angeles (États-Unis).

Hayle Grace

Filmographie

  • 1931 : Caught Plastered
  • 1932 : Back Street, de John M. Stahl
  • 1932 : Evenings for Sale
  • 1932 : The Death Kiss
  • 1933 : Hard to Handle
  • 1933 : The Mind Reader
  • 1933 : Diplomaniacs
  • 1933 : Gold Diggers of 1933
  • 1933 : Professional Sweetheart
  • 1933 : Liliane (Baby Face), d'Alfred E. Green : Mrs. Hemingway
  • 1933 : Mary Stevens, M.D.
  • 1933 : Bureau of Missing Persons
  • 1933 : Bombshell : Mrs. Titcomb
  • 1933 : Goodbye Love : Lura 'Ducky' Groggs
  • 1933 : Le Tombeur (Lady Killer)
  • 1933 : Sérénade à trois (Design for Living)
  • 1934 : All the King's Horses
  • 1934 : The Cat and the Fiddle : Lettuce
  • 1934 : The Caretaker's Daughter
  • 1934 : Glamour : Miss Lang
  • 1934 : Sing and Like It
  • 1934 : Twenty Million Sweethearts : Mrs. Martha Brokman
  • 1934 : Laughing Boy
  • 1934 : Straight Is the Way : Mrs, Clapman, ou Kaplan
  • 1934 : Romance in the Rain : Mrs. Crandall
  • 1934 : The Party's Over
  • 1934 : La Passagère (Chained), de Clarence Brown : L'amie d'Edith
  • 1934 : 6 Day Bike Rider
  • 1934 : Music in the Air
  • 1935 : Toute la ville en parle (The Whole Town's Talking) de John Ford : Reporter
  • 1935 : Living on Velvet
  • 1935 : Roberta
  • 1935 : The Casino Murder Case
  • 1935 : Mister Dynamite
  • 1935 : Party Wire : Eleanor
  • 1935 : Calm Yourself : Mrs. James K. Vallance
  • 1935 : Front Page Woman : Nell Bonnett
  • 1935 : Ne pariez pas sur les blondes (Don't Bet on Blondes), de Robert Florey
  • 1935 : Bright Lights
  • 1935 : Orchids to You
  • 1935 : Navy Wife
  • 1935 : She Married Her Boss : Agnes Mayo
  • 1935 : Music Is Magic
  • 1935 : Mary Burns, Fugitive (en) de William K. Howard : Nurse Jennie
  • 1936 : Dancing Feet : Mrs. Worthington
  • 1936 : Le Grand Ziegfeld (The Great Ziegfeld), de Robert Z. Leonard
  • 1936 : Small Town Girl : Miss Collins
  • 1936 : The Moon's Our Home : Miss Hambridge
  • 1936 : The Harvester : Mrs. Kramer
  • 1936 : Ticket to Paradise : Minnie Dawson
  • 1936 : Pepper
  • 1936 : Fifteen Maiden Lane
  • 1936 : Without Orders
  • 1936 : Theodora Goes Wild : Mrs. Cobb
  • 1936 : Reunion (en) de Norman Taurog : Mrs. Williams
  • 1936 : Sous les ponts de New York (Winterset) d'Alfred Santell
  • 1937 : Bars and Stripes : Mrs. Clink
  • 1937 : Le Chant du printemps (Maytime) : Mrs. Perkin
  • 1937 : Une étoile est née (A Star Is Born)
  • 1937 : Hit Parade of 1937
  • 1937 : Meet the Missus : Miss Corn Belt
  • 1937 : It Could Happen to You!
  • 1937 : The Singing Marine
  • 1937 : Le Couple invisible (Topper)
  • 1937 : Music for Madame
  • 1937 : Tovarich : Mrs. Van Hemert
  • 1937 : Wise Girl
  • 1938 : Pacific Liner
  • 1938 : Man-Proof
  • 1938 : Wives Under Suspicion
  • 1938 : Les Hommes sont si bêtes (en)
  • 1938 : L'Ange impur (The Shopworn Angel)
  • 1938 : Letter of Introduction (en)
  • 1938 : Keep Smiling
  • 1938 : Three Loves Has Nancy
  • 1938 : Carefree
  • 1938 : Secrets of an Actress
  • 1938 : Straight Place and Show
  • 1938 : L'Ensorceleuse (The Shining Hour), de Frank Borzage : Mrs. Briggs
  • 1938 : Next Time I Marry
  • 1938 : Charlie Chan in Honolulu
  • 1938 : Amants (Sweethearts)
  • 1939 : Arrest Bulldog Drummond : Touriste
  • 1939 : Risky Business
  • 1939 : Boy Trouble
  • 1939 : Yes, My Darling Daughter
  • 1939 : Mr. Moto in Danger Island : Mrs. Brown
  • 1939 : Undercover Doctor : Mrs. Croyne
  • 1939 : The Forgotten Woman
  • 1939 : Coast Guard
  • 1939 : Death of a Champion
  • 1939 : The Star Maker
  • 1939 : Femmes (The Women), de George Cukor : Une cycliste
  • 1939 : Agent double (Espionage Agent) : Mrs. O'Grady
  • 1939 : Our Neighbors - The Carters
  • 1939 : The Honeymoon's Over
  • 1940 : Remedy for Riches
  • 1940 : Rendez-vous (The Shop Around the Corner)
  • 1940 : High School, de George Nichols Jr. : Miss Cummings
  • 1940 : The Farmer's Daughter : Torsavitch
  • 1940 : En route vers Singapour (Road to Singapore)
  • 1940 : Ma, He's Making Eyes at Me : Mrs. Smythe
  • 1940 : Primrose Path
  • 1940 : 'Til We Meet Again
  • 1940 : Girl in 313 : Mrs. Hudson
  • 1940 : Le Mystère du château maudit (The Ghost Breakers)
  • 1940 : Maryland : Mrs. Carrington
  • 1940 : Wildcat Bus
  • 1940 : Third Finger, Left Hand (en) : Mrs. Kelland
  • 1940 : Le Dictateur (The Great Dictator) : Madame Napaloni
  • 1940 : A Night at Earl Carroll's : Mrs. Alonzo Smith
  • 1941 : Honeymoon for Three
  • 1941 : You're the One
  • 1941 : Knockout : Mrs. Smithers
  • 1941 : The Wagons Roll at Night (en) de Ray Enright : Mrs. Grebnick
  • 1941 : West Point Widow
  • 1941 : For Beauty's Sake
  • 1941 : Unfinished Business, de Gregory La Cava
  • 1941 : Buy Me That Town : Woman
  • 1941 : New York Town : Mrs. Bixby
  • 1941 : Birth of the Blues
  • 1941 : Night of January 16th
  • 1941 : Marry the Boss's Daughter : Bit
  • 1941 : La Femme aux deux visages (Two-Faced Woman), de George Cukor
  • 1942 : Henry Aldrich, Editor
  • 1942 : La Blonde de mes rêves (My Favorite Blonde)
  • 1942 : Ship Ahoy
  • 1942 : I Married an Angel, de W.S. Van Dyke : Mrs. Gabby
  • 1942 : Just Off Broadway
  • 1942 : Madame Spy (en)
  • 1943 : Slightly Dangerous
  • 1943 : All by Myself, de Felix E. Feist : Mrs. Stone
  • 1943 : Let's Face It : Mrs. Wigglesworth
  • 1943 : Footlight Glamour : Mrs. Cora Dithers
  • 1943 : Hi'ya, Sailor
  • 1943 : She's for Me
  • 1943 : True to Life
  • 1944 : Beautiful But Broke (en) de Charles Barton : Birdie Benson
  • 1944 : Cover Girl
  • 1944 : Cowboy and the Senorita
  • 1944 : Mrs. Parkington
  • 1944 : Murder in the Blue Room
  • 1951 : Too Young to Kiss
  • 1952 : Flesh and Fury
  • 1952 : Washington Story
  • 1952 : Troublez-moi ce soir (Don't Bother to Knock) : Mrs. McMurdock
  • 1952 : The Turning Point : Mrs. Martin
  • 1953 : Houdini le grand magicien (Houdini)
  • 1953 : The Caddy
  • 1953 : Un galop du diable (Money from Home), de George Marshall : Mrs. Cheshire
  • 1954 : Mission périlleuse (en) (Dangerous Mission) : Mrs. Alvord
  • 1955 : La Muraille d'or (Foxfire) de Joseph Pevney
  • 1956 : Ne dites jamais adieu (Never Say Goodbye)
  • 1957 : Amour frénétique (Loving You) : Mrs. Gunderson

Gross Mary

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Mary Gross est une actrice et scénariste américaine née le 25 mars 1953 à Chicago, Illinois (États-Unis).

Gross Mary Gross Mary

Filmographie

  • 1980 : Avery Schreiber Live from the Second City (TV)
  • 1986 : Club Paradis (Club Paradise) : Jackie
  • 1987 : Baby Boom : Charlotte Elkman
  • 1988 : Parle à mon psy, ma tête est malade (The Couch Trip) : Vera Maitlin
  • 1988 : L'Amour au hasard (Casual Sex?) : Ilene
  • 1988 : Quand les jumelles s'emmêlent (Big Business) : Judy
  • 1988 : Hot to Trot (en) de Michael Dinner : Ms. French
  • 1988 : Feds (en) de Daniel Goldberg (en) : Janis Zuckerman
  • 1989 : Les Scouts de Beverly Hills (Troop Beverly Hills) : Annie Herman
  • 1989 : The People Next Door (série TV) : Abigail MacIntyre
  • 1992 : Billy (série TV) : Phoebe
  • 1992 : There Goes the Neighborhood : Mrs. Bratesman
  • 1993 : Public Enemy #2 : Marcey
  • 1993 : Animaniacs (série TV) : Katie's Mom (voix)
  • 1994 : Super Noël (The Santa Clause) : Miss Daniels
  • 1994 : Joyeux Noël (Mixed Nuts) : Hotline Caller (voix)
  • 1995 : Loïs et Clark, les nouvelles aventures de Superman (Lois & Clark: The New Adventures of Superman) : Cornelia "Nell" Newtrich
  • 1996 : Étoile du soir (The Evening Star) : Sitcom Parent
  • 1996 : Sabrina, l'apprentie sorcière : Mme Quick
  • 1998 : Les Ensorceleuses (Practical Magic) : Debbie
  • 1998 : Les Razmoket, le film (The Rugrats Movie) de Norton Virgien et Igor Kovaljov : Woman Guest (voix)
  • 2000 : Jailbait (TV) : Patti Fisher
  • 2001 : Tremors 3: Back to Perfection (vidéo) : Tourist Mom
  • 2002 : 40 jours et 40 nuits (40 Days and 40 Nights) : Bev Sullivan
  • 2003 : A Mighty Wind, titre québécois Les Grandes Retrouvailles) de Christopher Guest : Ma Klapper
  • 2012 : Adoption à risques (Adopting Terror) (TV) : Laura

 

Vanel Charles

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Charles Vanel, Charles-Marie Vanel, est un acteur et réalisateur français, né le 21 août 1892 à Rennes (Ille-et-Vilaine), mort le 15 avril 1989 à Cannes (Alpes-Maritimes). Il a tourné dans plus de deux cents films, sur une période de 77 ans. 
Vanel Charles

Fils de commerçants installés à Paris, il n'a pas une adolescence heureuse étant renvoyé de tous les établissements scolaires qu'il fréquente. Il tente de s'engager dans la marine, ce que sa vue insuffisante ne lui permet pas. Finalement, en 1908, il commence à jouer dans des spectacles de théâtre. Il débute au cinéma en 1912 dans Jim Crow de Robert Péguy. Il fréquente les Russes émigrés de la troupe d'Ermolieff et de Kamenka, nourris de l'enseignement de Stanislavski. Il participe à de nombreuses tournées théâtrales, notamment pendant la guerre avec Lucien Guitry. Il entre par la suite chez Firmin Grenier au théâtre Antoine avant de se consacrer exclusivement au cinéma.

Il s'ensuit une longue série de films muets dans les années 1910 et 1920. Il se spécialise dans des rôles de caractère bourru et amer. Vanel voit sa carrière continuer après l'avènement du parlant dans les années 1930, mais il va consolider sa popularité et atteindre la consécration finale auprès du public après la Seconde Guerre mondiale. Parmi ses nombreux succès, reste son rôle de Jo dans Le Salaire de la peur en 1953. Il joue un conducteur de camion, Jo, un dur à cuire qui dévoile au fur et à mesure du film sa fragilité intérieure. Il a pour partenaire Yves Montand dans un de ses rôles les plus tendus et dramatiques d'Henri-Georges Clouzot. Pour ce film, Vanel gagne le prix du meilleur acteur au festival de Cannes la même année. L'acteur est de nouveau dirigé par Clouzot deux ans plus tard dans Les Diaboliques où il joue le commissaire à la retraite, Alfred Fichet. La même année, il joue dans La Main au collet réalisé par Alfred Hitchcock. Dans ce film, il y interprète le mielleux et ambigu Bertani, qui possède un restaurant à Nice, ancien collègue de John Robie dans la Résistance (Cary Grant).

Charles Vanel a une des carrières les plus durables (s'étalant sur huit décennies) et polyvalentes du cinéma français de tous les temps, Vanel a toujours été très professionnel, jouant avec une sobriété douce, sensibilité et perspicacité différents personnages. Il remporte un prix spécial au Festival de Cannes en 1970. Il est encore très actif durant cette décennie, en particulier dans des rôles de grand justicier comme dans La Plus Belle Soirée de ma vie d'Ettore Scola ou Cadavres exquis de Francesco Rosi. Son dernier rôle mémorable est celui des Trois Frères en 1981, également dirigée par Rosi, où, presque nonagénaire, il joue magistralement le personnage d'un vieux fermier de la région des Pouilles, un veuf, qui reçoit la visite de ses trois enfants (un juge, un enseignant et un travailleur). Charles Vanel est enterré à Mougins (Alpes-Maritimes). En 2002, à la demande du cinéaste Bertrand Tavernier, Louis Sclavis a composé et enregistré la bande-son du seul long métrage réalisé par Charles Vanel, un film muet de 1929 : Dans la nuit.

Filmographie

  • 1912 : Jim Crow (court métrage, 281m) de Robert Péguy - Le barman
  • 1912 : Les Rivaux d'Arnheim d'Alfred Machin - C.Vanel est mentionné dans l'équipe technique
  • 1917 : La p'tite du sixième de Louis Mercanton et René Hervil
  • 1920 : Miarka, la fille à l'ourse de Louis Mercanton - Mario, le garde-chasse
  • 1920 : Le secret de Lone-Star de Jacques de Baroncelli - Figuration
  • 1921 : La Fille de Camargue d'Henri Étiévant - Le gardian
  • 1921 : Crépuscule d’épouvante d'Henri Étiévant - Michel Servan
  • 1921 : L'Enfant du carnaval ou Le Bonheur perdu d'Ivan Mosjoukine et Garnier
  • 1922 : L'Âtre ou Au creux des sillons de Robert Boudrioz - Bernard Larade
  • 1922 : Phroso de Louis Mercanton - Dimitri
  • 1923 : Le Vol de Robert Péguy - Favier
  • 1923 : Tempêtes de Robert Boudrioz - Raoul Mauduit et Mr de Foulquier
  • 1923 : La Mendiante de Saint-Sulpice de Charles Burguet, film tourné en deux épisodes - Gilbert Rollin
  • 1923 : La Maison du mystère d'Alexandre Volkoff, film tourné en 10 épisodes : L'ami félon, Le secret de l'étang, L'ambition au service de la haine, L'implacable verdict, Le pont vivant, La voix du sang, Les caprices du destin, En champs-clos, Les angoisses de Corradin, Le triomphe de l'amour - Henri Corradin
  • 1923 : Calvaire d'amour de Victor Tourjansky - Brémond
  • 1923 : Du crépuscule à l'aube de Jacques de Féraudy
  • 1924 : Pêcheur d'Islande de Jacques de Baroncelli - Yann, le pêcheur
  • 1924 : La Nuit de la revanche d'Henri Étiévant - Mattéo Saluccio
  • 1924 : In the Spider's Web de Robert Boudrioz - Stephen Powers
  • 1924 : La Flambée des rêves ou Un homme riche de Jacques de Baroncelli - Lucien Reneval
  • 1924 : Les Cinquante ans de Don Juan ou Le Réveil de Maddalone d'Henri Étiévant - Lorenzo Castucci
  • 1924 : L'Autre aile d'Henri Andréani - Gaston Lager
  • 1924 : Âme d'artiste ou Rêve et réalité de Germaine Dulac
  • 1925 : Le Réveil de Jacques de Baroncelli - Le prince Jean
  • 1925 : L'Orphelin du cirque de Georges Lannes, film tourné en quatre épisodes - Garment, le traître et Legru
  • 1925 : La Flamme de René Hervil, film tourné en sept épisodes - Boussat
  • 1925 : Barocco de Charles Burguet - Barocco
  • 1925 : 600000 francs par mois de Nicolas Koline et Robert Péguy - John Durand
  • 1926 : Nitchvo ou La Menace de Jacques de Baroncelli - Le commandant Cartier
  • 1926 : Martyre de Charles Burguet, film tourné en deux époques - Palmiéri
  • 1927 : Feu ! de Jacques de Baroncelli - Le commandant Frémier
  • 1927 : La Proie du vent de René Clair - Pierre Vignal
  • 1927 : Charité de B. Simon - Jacques Valseran
  • 1927 : Maquillage de Félix Basch - Boris Machaïloff
  • 1927 : L'Esclave blanche (Die weisse sklavin) de Augusto Genina - Le docteur Warnier
  • 1927 : Paname n'est pas Paris de Nicolaï Malikoff - Bécot
  • 1927 : Les Ombres du passé de Fred Leroy-Granville - Participation
  • 1927 : La Reine Louise (Koenigue Louise) de Karl Grune - Napoléon (diffusé en deux époques)
  • 1928 : L'Équipage de Maurice Tourneur
  • 1928 : Waterloo de Karl Grune - Napoléon
  • 1928 : Le Passager de Jacques de Baroncelli - Le passager
  • 1928 : Les Fourchambault de Georges Monca
  • 1928 : La Femme rêvée de Jean Durand - Angel Caal
  • 1929 : The White Slave de Augusto Genina
  • 1929 : Feu follets (Liebesfeuer) ou Die liebe der brüder rott d'Erich Waschneck
  • 1929 : Trois jours entre la vie et la mort de Paul Heinz
  • 1929 : La Plongée tragique de Paul Heinz
  • 1929 : Dans la nuit de Charles Vanel (également scénariste et réalisateur) - L'ouvrier carrier
  • 1930 : Chique, court métrage de Pierre Colombier - Fernand
  • 1930 : L'Arlésienne de Jacques de Baroncelli - Mitifio, le gardian
  • 1930 : Accusée, levez-vous ! ou Un crime au music-hall de Maurice Tourneur - Henri Lapalle
  • 1930 : Le Capitaine jaune de Anders Wilhelm-Sandberg - Le capitaine
  • 1931 : La Maison jaune de Rio de Robert Péguy et Karl Grune - King-Fu et Scalpa
  • 1931 : Maison de danses de Maurice Tourneur - Ramon
  • 1931 : Faubourg Montmartre de Raymond Bernard - André Marco dit Dédé
  • 1931 : Daïnah la métisse -moyen métrage- de Jean Grémillon - Michaux, le mécanicien
  • 1932 : Les Croix de bois de Raymond Bernard - Le caporal Bréval
  • 1932 : Affaire classée ou Le coup de minuit -court métrage- de Charles Vanel - Le forain
  • 1932 : Gitanes de Jacques de Baroncelli - Léon
  • 1932 : Au nom de la loi de Maurice Tourneur - Lancelot
  • 1933 : L'Homme mystérieux -court métrage- de Maurice Tourneur - Pierre
  • 1933 : Au bout du monde ou Les Fugitifs de Henri Chomette et Gustav Ucicky - Georges Laudy
  • 1934 : Le roi de Camargue de Jean de Baroncelli - Rampal
  • 1934 : Les Misérables de Raymond Bernard - L'inspecteur Javert dans les trois époques : Une tempête sous un crâne - Les Thénardier - Liberté, liberté chérie
  • 1934 : Le Grand Jeu de Jacques Feyder - Clément
  • 1935 : L'Équipage d'Anatole Litvak - Le lieutenant Maury
  • 1935 : Michel Strogoff de Jacques de Baroncelli et Richard Eichberg - Ogareff
  • 1935 : Le Domino vert de Henri Decoin et Herbert Selpin - Nébel, le sculpteur
  • 1935 : L'impossible aveu de Guarino Glavany - Fred
  • 1936 : Port-Arthur de Nicolas Farkas - Le commandant Vassidio
  • 1936 : La Peur ou Vertige d'un soir de Victor Tourjansky - Robert Sylvain
  • 1936 : Jenny de Marcel Carné - Benoît
  • 1936 : Les Grands de Félix Gandéra - Henri Lormier
  • 1936 : La Flamme d'André Berthomieu - Victor Boussat
  • 1936 : Courrier Sud de Pierre Billon - Mr Herlin, l'ambassadeur
  • 1936 : La Belle Équipe de Julien Duvivier - Charles
  • 1936 : Les Bateliers de la Volga de Wladimir Strijewski - Le colonel Goreff
  • 1936 : L'Assaut de Pierre-Jean Ducis - Alexandre Mérital
  • 1937 : Troika sur la piste blanche de Jean Dréville - Michel Steinberg
  • 1937 : Police mondaine de Michel Bernheim et Christian Chamborant - Salviati
  • 1937 : Les Pirates du rail de Christian-Jaque - Henri Pierson
  • 1937 : L'Occident de Henri Fescourt - Jean Cadière
  • 1937 : La Femme du bout du monde de Jean Epstein - Durc
  • 1938 : Abus de confiance de Henri Decoin - Jacques Ferney
  • 1938 : SOS Sahara de Jacques de Baroncelli - Loup
  • 1938 : Légions d'honneur de Maurice Gleize - Le capitaine Dabran
  • 1938 : Carrefour ou L'homme de la nuit de Curtis Bernhardt - Roger de Vétheuil
  • 1938 : Bar du sud de Henri Fescourt - Le capitaine Olivier
  • 1939 : Yamilé sous les cèdres de Charles d'Espinay - Rachid el Hamé
  • 1939 : La Brigade sauvage de Marcel L'Herbier et Jean Dréville - Le général Kalitjeff
  • 1939 : La Loi du nord ou La Piste du nord de Jacques Feyder - Le caporal Dalrymple
  • 1940 : L'Or du Cristobal de Jean Stelli (commencé par Jacques Becker) - Le colonel, le chef de la police
  • 1940 : La Nuit merveilleuse de Jean-Paul Paulin - Le fermier
  • 1941 : Le Diamant noir de Jean Delannoy - François Mitry
  • 1942 : Les affaires sont les affaires de Jean Dréville - Isidore Lechat
  • 1942 : Promesse à l'inconnue de André Berthomieu - Bernard Parker
  • 1942 : Haut le vent ou Air natal de Jacques de Baroncelli - François Ascarra
  • 1943 : Le soleil a toujours raison de Pierre Billon - L'homme du mas
  • 1943 : La Sévillane de André Hugon
  • 1943 : Les Roquevillard de Jean Dréville - François Roquevillard
  • 1944 : Le ciel est à vous de Jean Grémillon - Pierre Gauthier
  • 1945 : L'enquête du 58 -court métrage- de Jean Tédesco
  • 1945 : La Ferme du pendu de Jean Dréville - François Raimondeau
  • 1946 : Gringalet d'André Berthomieu - Lucien Ravaut
  • 1946 : La Cabane aux souvenirs ou L'homme perdu de Jean Stelli - Laurageais
  • 1947 : Le Bateau à soupe de Maurice Gleize - Le capitaine Hervé
  • 1947 : Le Diable souffle de Edmond T. Gréville - Laurent
  • 1948 : Le Pain des pauvres (Vertigine d'amore) de Luigi Capuano - Resplantin
  • 1949 : Au nom de la loi (In nome della legge) de Pietro Germi - Passalacqua, le chef de la maffia
  • 1949 : La Femme que j'ai assassinée de Jacques Daniel-Norman - François Bachelin
  • 1950 : Tempête sur les Mauvents de Gilbert Dupré - Le père Noguère (Il est également co-producteur du film)
  • 1950 : Malaire de Alejandro Perla (Version Espagnole du film précédent)
  • 1950 : Plus fort que la haine / Gli Inesorabili de Camillo Mastrocinque - Luparello
  • 1950 : Les Mousquetaires de la mer (Cuori sul mare) de Giorgio Bianchi - Le quartier-maître
  • 1950 : Brigade volante / Il Bivio de Fernando Cerchio - Le commissaire
  • 1951 : Son dernier verdict (L'Ultima sentenza) de Mario Bonnard - Le juge Marcel Valsetti
  • 1951 : Trésor maudit / Incantesimo tragico de Mario Sequi - Bastiano, le père de Pietro et Bertrand
  • 1953 : Le Salaire de la peur d'Henri-Georges Clouzot - Jo, un camionneur
  • 1953 : Tam tam nell'oltre Giuba de Carlo Sandri
  • 1953 : Une fille nommée Madeleine / Maddalena de Augusto Genina - Giovanni Lamberti
  • 1954 : Si Versailles m'était conté... de Sacha Guitry - Monsieur de Vergennes
  • 1954 : L'Affaire Maurizius de Julien Duvivier - Le procureur Wolf Andergast
  • 1954 : Les gaités de l'escadron / L'Allegro squadrone de Paolo Moffa - L'adjudant
  • 1955 : Les Diaboliques d'Henri-Georges Clouzot - Alfred Fichet, ex-inspecteur, détective privé
  • 1955 : La Main au collet (To Catch a Thief) d'Alfred Hitchcock - Bertani
  • 1955 : Un missionnaire de Maurice Cloche - Le père Gauthier
  • 1955 : Tam-Tam (Tam tam mayumbe) de Gian-Gaspare Napolitano - Le docteur Carlo Léonardi
  • 1956 : La Mort en ce jardin de Luis Buñuel - Castin, le prospecteur
  • 1956 : Scandale à Milan / Difendo il mio amore de Giulio Macchi et Vincent Sherman - Verdisio
  • 1957 : Le Feu aux poudres de Henri Decoin - Albatras
  • 1957 : Les Suspects de Jean Dréville - Le commissaire Perrache
  • 1958 : Le Piège de Charles Brabant - Le père Caillé
  • 1958 : Le Gorille vous salue bien de Bernard Borderie - Le colonel Berthomieu dit : Le vieux
  • 1958 : Rafles sur la ville de Pierre Chenal - Léonce Pozzi, dit : Le fondu
  • 1959 : Les Bateliers de la Volga de Victor Tourjansky alias Arnaldo Genoino - Ossip Siméonovitch
  • 1959 : Les Naufrageurs de Charles Brabant - Marnez, le vieux chef de l'île
  • 1959 : Pêcheur d'Islande de Pierre Schoendoerffer - L'armateur Mével
  • 1959 : La Valse du Gorille de Bernard Borderie - Le colonel Berthomieu dit : Le vieux
  • 1960 : La Vérité d'Henri-Georges Clouzot - Maître Guérin, l'avocat de Dominique
  • 1960 : María, matrícula de Bilbao de Ladislao Vajda
  • 1961 : Tintin et le mystère de la Toison d'or de Jean-Jacques Vierne - Le père Alexandre, l'ermite
  • 1962 : Quand la colère éclate / Lo Sgarro de Silvio Siano - Don Vincenzo
  • 1963 : Rififi à Tokyo de Jacques Deray - Van Eykine
  • 1963 : L'Aîné des Ferchaux de Jean-Pierre Melville - Dieudonné Ferchaux, banquier
  • 1963 : Un Roi sans divertissement de François Leterrier - Le procureur du roi
  • 1963 : Symphonie pour un massacre de Jacques Deray - Paoli
  • 1963 : La steppe / La Steppa de Alberto Lattuada - Le pope Christophère
  • 1965 : Le Chant du monde de Marcel Camus - Matelot
  • 1967 : Un homme de trop de Costa-Gavras - Passevin
  • 1967 : Ballade pour un chien de Gérard Vergez - Viachet
  • 1968 : La Prisonnière d'Henri-Georges Clouzot - Lui même en invité au vernissage
  • 1968 : Maldonne de Sergio Gobbi
  • 1970 : Ils... de Jean-Daniel Simon - Le professeur Swaine
  • 1971 : Comptes à rebours de Roger Pigaut - Juliani
  • 1972 : La Nuit bulgare de Michel Mitrani - Bohringer
  • 1972 : L'aventure c'est l'aventure de Claude Lelouch
  • 1972 : La Plus Belle Soirée de ma vie (La più bella serata della mia vita) d'Ettore Scola - Le président Lutz
  • 1972 : Camorra de Pasquale Squitieri - De Ritis
  • 1972 : Les martiens -court métrage- de Yves Ciampi
  • 1973 : Par le sang des autres de Marc Simenon - Le curé
  • 1975 : Sept morts sur ordonnance de Jacques Rouffio - Le professeur Brézé
  • 1976 : Le calme règne dans le pays / Es herrscht Ruhe im Land de Peter Lilienthal - Le grand-père Parra
  • 1976 : Cadavres exquis (Cadaveri eccellenti) de Francesco Rosi - Le procureur Varga
  • 1976 : Comme un boomerang de José Giovanni - Ritter
  • 1976 : A l'ombre d'un été (Film inédit) de Jean-Loup Van Belle - Le père
  • 1976 : Nuit d'or de Serge Moati - Charles, le père
  • 1977 : Alice ou la Dernière Fugue de Claude Chabrol - Henri Vergennes
  • 1977 : Coup de foudre -Film resté inachevé- de Robert Enrico - Le vieux prince Granuki
  • 1978 : Ne pleure pas -Film pour la télévision, sorti également en salles - de Jacques Ertaud- Le grand-père
  • 1979 : Le Chemin perdu de Patricia Moraz - Léon Schwartz
  • 1980 : La Puce et le privé de Roger Kay - Mathieu Fortier
  • 1981 : Trois Frères (Tre fratelli) de Francesco Rosi - Giuranna Donato
  • 1987 : Si le soleil ne revenait pas de Claude Goretta - Anzevui
  • 1988 : Les Saisons du plaisir de Jean-Pierre Mocky - Charles Van-Berg

Réalisateur

  • 1929 : Dans la nuit (long métrage)
  • 1932 : Affaire classée (court métrage)

Télévision

  • 1960 : On roule à deux de Georges Folgoas - Mr Le Goff, ancien courtier
  • 1967 : L'Arlésienne de Pierre Badel - Balthazar, le berger
  • 1968 : La Séparation de Maurice Cazeneuve - Louis Vigne, le vieil homme veuf
  • 1968 : Les grandes espérances de Marcel Cravenne - Abel Magwitch
  • 1970 : Sébastien et la Mary-Morgane Feuilleton en 13 épisodes de 26 minutes de Cécile Aubry - Le capitaine Louis Maréchal, l'oncle de Sébastien
  • 1972 : Le Père Goriot, téléfilm de Guy Jorré d'après Honoré de Balzac : Jean-Joachim Goriot
  • 1972 : Les Thibault, feuilleton en 6 épisodes de 90 minutes de André Michel, pour les 3 premiers et Alain Boudet, pour les 3 derniers - Oscar Thibault
  • 1973 : Le Reflet dans la mer de Olivier Ricard - Le baron Ucciani
  • 1973 : Au bout du rouleau de Claude-Jean Bonnardot - Wahley, le vieux capitaine
  • 1973 : Le violon de Vincent de Jean-Pierre Gallo - Vincent
  • 1974 : Le juge et son bourreau de Daniel Le Comte - Le commissaire Baerlach
  • 1974 : La vie de plaisance de Pierre Gautherin - Marcel
  • 1975 : Clorinda (Tourné au Portugal pour T.V Munich) de ? - Velhe Péralta
  • 1978 : Thomas Guérin, retraité de Patrick Jamain - Thomas Guérin
  • 1978 : Un comédien lit un auteur : Jules Verne de Paul-André Picton - Narration
  • 1979 : Le mandarin de Patrick Jamain - Léon Chaput
  • 1979 : Charles Vanel ou la passion du métier Documentaire de Armand Panigel - Lui même
  • 1980 : L'oasis de Marcel Teulade - Monsieur Daru
  • 1980 : Otototoï de Richard Rein - Toine
  • 1982 : Les Michaud de Georges Folgoas - Léon Michaud

Incontrera Annabella

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Annabella Incontrera, née le 11 juin 1943 à Milan dans la région de la Lombardie, est une actrice italienne, parfois créditée sous le nom de Pam Stevenson.

Incontrera Annabella

Après des études inachevées au Centro sperimentale di cinematografia de Rome, elle débute comme actrice pour le cinéma à l'âge de seize ans. Principalement active à l'aube des années 1970, sa carrière est majoritairement composée de rôles secondaires dans des films dits de Série B, principalement des comédie à l'italienne proche de la comédie érotique, des western spaghetti, des péplums et quelques films d'horreurs et d'aventures. Elle a parfois été créditée sous le nom de Pam Stevenson.

Filmographie

  • 1959 : L'inferno addosso de Gianni Vernuccio 
  • 1961 : Maciste contre le fantôme (Maciste contro il vampiro) de Giacomo Gentilomo et Sergio Corbucci
  • 1962 : Un dimanche d'été (Una domenica d'estate) de Giulio Petroni
  • 1964 : L'uomo che bruciò il suo cadavere de Gianni Vernuccio 
  • 1966 : Belfagor le magnifique (L'arcidiavolo) d'Ettore Scola
  • 1966 : Mission suicide à Singapour (Goldsnake anonima killer's) de Ferdinando Baldi
  • 1967 : Poker au colt (Un poker di pistole) de Giuseppe Vari 
  • 1967 : A suon di lupara de Luigi Petrini
  • 1967 : Matt Helm traqué (The Ambushers) d'Henry Levin
  • 1968 : À tout casser (Quella carogna di Frank Mitraglia) de John Berry
  • 1969 : Liz et Helen (A doppia faccia) de Riccardo Freda
  • 1969 : Assassinats en tous genres (The Assassination Bureau) de Basil Dearden
  • 1969 : Les Quatre desperados (en) (A Bullet for Sandoval / Los desperados / Quei disperati che puzzano di sudore e di morte) de Julio Buchs
  • 1969 : Une fille nommée Amour de Sergio Gobbi
  • 1969 : Gonflés à bloc (Monte Carlo or Bust!) de Ken Annakin
  • 1970 : Amore Formula 2 de Mario Amendola
  • 1970 : Le commando des braves (Consigna : Matar al comandante en jefe) de José Luis Merino
  • 1970 : Due ragazzi da marciapiede de Ramón Fernández
  • 1970 : La défi des Mac Kenna (La sfida dei MacKenna) de León Klimovsky
  • 1971 : Le Retour de Sabata de Franz Kramer
  • 1971 : La Vie sexuelle de Don Juan (Le Calde notti di Don Giovanni) d'Alfonso Brescia
  • 1971 : Roma Bene de Carlo Lizzani
  • 1971 : Tarentule au ventre noir (La Tarantola dal ventre nero) de Paolo Cavara
  • 1971 : Les pirates de l'île verte (I pirati dell'isola verde) de Ferdinando Baldi
  • 1971 : Quand les femmes font Ding Dong (Quando gli uomini armarono la clava e... con le donne fecero din don) de Bruno Corbucci
  • 1971 : Le belve (épisode Processo a porte chiuse) de Giovanni Grimaldi
  • 1972 : Les Rendez-vous de Satan (Perché quelle strane gocce di sangue sul corpo di Jennifer?) d'Anthony Ascott
  • 1972 : Sette scialli di seta gialla de Sergio Pastore 
  • 1972 : La colonna infame de Nelo Risi
  • 1972 : L'illazione de Lelio Luttazzi
  • 1972 : Rivelazioni di un maniaco sessuale al capo della squadra mobile de Roberto Bianchi Montero 
  • 1973 : Il gatto di Brooklyn aspirante detective d'Oscar Brazzi
  • 1974 : Le Voyage (Il Viaggio) de Vittorio De Sica
  • 1974 : Verginità de Marcello Andrei 
  • 1974 : Ciak, si muore de Mario Moroni
  • 1978 : Le braghe del padrone de Flavio Mogherini
  • 1980 : Estigma de José Ramón Larraz

Télévision

  • 1973 : All'ultimo minuto (épisode Scala reale)
  • 1979 : La vedova e il piedipiatti (épisode Parola di lode)
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