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Confalone Marina

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Marina Confalone, née le 2 juin 1951 à Naples dans la région de la Campanie en Italie, est une actrice Italienne jouant pour le théâtre, le cinéma et la télévision.

Confalone Marina

Elle débute par le théâtre et joue notamment pour la compagnie d’Eduardo De Filippo qu’elle retrouve pour ses débuts à la télévision en 1976. Actrice habituée aux seconds rôles, elle alterne depuis la fin des années 1980 le cinéma et le théâtre. Après avoir remporté trois fois le prix David di Donatello de la meilleure actrice dans un second rôle (pour quatre nominations), elle obtient le prix de la meilleure actrice en 2002 pour son rôle dans le film Incantesimo napoletano de Luca Miniero.

Filmographie

  • 1975 : Défense de toucher (L'infermiera) de Nello Rossati
  • 1976 : Febbre da cavallo de Steno
  • 1980 : La Cité des femmes (La città delle donne) de Federico Fellini
  • 1980 : Fontamara de Carlo Lizzani
  • 1981 : Le Marquis s'amuse (Il marchese del Grillo) de Mario Monicelli
  • 1982 : Grog de Francesco Laudadio
  • 1982 : Pappa e ciccia de Neri Parenti
  • 1983 : Flirt de Roberto Russo
  • 1983 : Effetti personali de Giuseppe Bertolucci et Loris Mazzetti
  • 1983 : Don Chisciotte de Maurizio Scaparro
  • 1984 : Così parlò Bellavista de Luciano De Crescenzo
  • 1985 : Il mistero di Bellavista de Luciano De Crescenzo
  • 1986 : Separati in casa de Riccardo Pazzaglia
  • 1987 : Sembra morto... ma è solo svenuto de Felice Farina
  • 1987 : Gentili signore d’Adriana Monti
  • 1992 : Une famille formidable (Parenti serpenti) de Mario Monicelli
  • 1992 : Io speriamo che me la cavo de Lina Wertmuller
  • 1993 : Pacco, doppio pacco e contropaccotto de Nanni Loy
  • 1993 : Arriva la bufera de Daniele Luchetti
  • 1994 : Veleno de Bruno Bigoni
  • 1995 : Croix et délices (Croce e delizia) de Luciano De Crescenzo
  • 1995 : La Seconde fois (La seconda volta) de Mimmo Calopresti
  • 1998 : Mots d’amour (La parola amore esiste) de Mimmo Calopresti
  • 1998 : Berezina ou les derniers jours de la Suisse (Berezina oder die letzen Tage der Schweiz) de Daniel Schmid
  • 1999 : Panni sporchi de Mario Monicelli
  • 1999 : Le Doux murmure de la vie (Il dolce rumore della vita) de Giuseppe Bertolucci
  • 2000 : Lontano in fondo agli occhi de Giuseppe Rocca
  • 2002 : Une longue, longue, longue nuit d'amour (Una lunga, lunga, lunga notte d'amore) de Luciano Emmer
  • 2002 : Incantesimo napoletano de Luca Miniero
  • 2006 : Tre donne morali de Marcello Garofalo
  • 2013 : Amiche da morire (en) de Giorgia Farina

Télévision

  • 1976 : L’Arte della comedia d’Eduardo De Filippo
  • 1978 : Il teatro di Eduardo d’Eduardo De Filippo
  • 1978 : Quei figuri di tanti anni fa d’Eduardo De Filippo
  • 1983 : Le avventure di Mozziconi de Paolo Fabbri
  • 1985 : Sogni e bisogni de Sergio Citti

Carati Lilli

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Lilli Carati, de son vrai nom Ileana Caravati, (née le 23 septembre 1956 à Varèse, morte le 20 octobre 2014 à Besano) est une actrice italienne.

Carati Lilli Carati Lilli

Ileana Caravati grandit à Varèse, dans une famille de commerçants aisés. Elle passe une enfance choyée et est scolarisée dans une institution religieuse. Adolescente, Lilli se destine au métier de mannequin. C'est le 8 septembre 1974 qu' elle attire l'attention en terminant deuxième à l’élection de Miss Italie qui se tient à Reggio de Calabre. Elle y remporte le titre de « Miss Eleganza » devant un jury qui se compose, entre autres, de l'acteur Lando Buzzanca, du réalisateur Giuseppe Patroni Griffi et du producteur Franco Cristaldi. Sur l'invitation de ce dernier, la jeune fille, accompagnée de son père, se rend à Rome pour passer des essais, sans toutefois trop y croire. Ces essais se révèlent concluants et le cinéma détourne la jolie brune du mannequinat

Lilli Carati a dix-huit ans quand elle s'installe seule à Rome et participe à son premier tournage aux côtés de Joe Cocker et d'Alberto Sordi sous la direction de Sergio Corbucci2. Elle enchaîne ensuite les rôles principaux dans le cinéma de genre, le plus souvent dans des films d'action ou des films de charme. La comédie érotique à l'italienne connait d'ailleurs sa période faste au moment où elle tourne La Prof du bahut de Michele Massimo Tarantini ou Ma copine de la fac de Mariano Laurenti. On la voit, dans le même registre, dans Candido erotico et C'è un fantasma nel mio letto, deux réalisations de Claudio Giorgi, et dans Senza buccia de Marcello Aliprandi. Nouvelle vedette du cinéma « sexy », elle pose pour les magazines de charme Playmen, Playboy et Lui.

Elle tient aussi des rôles important dans des poliziotteschi, œuvres au contenu plus politique et plus en prise avec la société italienne de l'époque comme Squadra antifurto avec Tomás Milián ou SOS jaguar, opération casse gueule. Elle est, en 1978, la tête d'affiche de Le evase - Storie di sesso e di violenze aux côtés d' Ines Pellegrini et de Dirce Funari. Le film, dans lequel elle interprète une terroriste, lui donne l'occasion d'éprouver son talent de comédienne dans un rôle à contre-emploi. La même année, elle partage avec Gloria Guida la vedette du tragique et provocant Avere vent'anni de Fernando Di Leo qui gagne rapidement un statut de film culte. Pasquale Festa Campanile, dont elle partage un temps la vie, la fait tourner dans deux films : Il corpo della ragassa avec Enrico Maria Salerno, une variation sur le thème de Pygmalion qui lui offre peut-être son meilleur rôle, et Qua la mano avec Adriano Celentano en prêtre-danseur. L'actrice est alors reconnue et sa popularité est à son faîte. On la retrouve aussi, au début des années 1980, dans deux productions espagnoles, Buitres sobre la ciudad et Habibi, amor mío.

Un accident de la route survenu en juillet 1981 marque un coup d'arrêt dans sa carrière et la tient éloignée des plateaux pendant trois ans. Elle fait son retour au cinéma en 1984, enchaînant quatre films érotiques sous la direction de Joe d'Amato, qu'elle a rencontré par l'intermédiaire de son amie Jenny Tamburi. Dans L'Alcôve, La Femme pervertie et Voglia di guardare, elle partage l'affiche avec Laura Gemser. Après Lussuria, le réalisateur prévoit même une cinquième collaboration avec elle avant de se raviser et de lui préférer au dernier moment Eva Grimaldi pour jouer le personnage principal dans La monaca del peccato. L'actrice semble en effet ne plus être en état d'assumer un vrai rôle au cinéma. Depuis quelques années, Lilli Carati s'enfonce dans la toxicomanie, détruisant sa santé et ses capacités de travail. Maladivement timide et faible de caractère l'actrice est peu préparée à la vie de vedette. Esseulée à Rome, elle tente de surmonter ses crises d'angoisse par la prise de cannabis, d'amphétamines puis de cocaïne avant de sombrer dans la dépendance à l'héroïne. Sa jeunesse et une certaine innocence, en font aussi une proie facile pour les manipulateurs de toute sortes.

Délaissée par le cinéma, à court d'argent, elle doit, comme Paola Senatore quelques mois auparavant, accepter de tourner dans des films pornographiques pour répondre à son addiction. Après l'avoir mise en scène dans Lilli Carati's Dreams, Giorgio Grand la fait passer au « hard » avec Una Moglie molto infedele. Elle y a notamment Rocco Siffredi, Roberto Malone et Christophe Clark pour partenaires. Le succès est au rendez-vous et trois autres films suivent avec le même réalisateur. Elle pose aussi pour des revues comme Men et Gin fizz. La déchéance de la comédienne prend une autre tournure quand, en mai 1988, elle est arrêtée en possession d'héroïne. Mise en détention, elle se taillade les veines dans sa cellule. Elle tourne une dernière fois dans The Whore, une production américaine d'Alex de Renzy, avant de tenter de se donner la mort, en mai 1989, en se défenestrant du domicile familial. Elle se brise trois vertèbres et doit passer trois mois alitée mais trouve dans cette épreuve la motivation qui lui permettra de changer de vie et d'entamer une sévère désintoxication. En février 1994, la Rai lui consacre un documentaire, Lilli, una vita da eroina.

Toujours populaire, elle fait son retour médiatique le 9 juillet 2008, revenant sur sa carrière comme sur les heures les plus sombres de sa vie dans un entretien diffusé sur la Rai 2. Elle participe à une soirée qui lui est dédiée à la médiathèque de San Giovanni in Persiceto et tourne dans Latin Surprise, un mini-documentaire sur l'industrie du luxe. Elle dit consacrer désormais beaucoup de son temps à ses parents, qui l'ont soutenue dans ses épreuves, et avec qui elle vit toujours près de Varèse. Elle confie aussi son désir de retrouver les plateaux et son métier de comédienne. Le retour de Lilli Carati à l'écran semble devoir se concrétiser quand, en 2011, le réalisateur Luigi Pastore la choisit pour incarner la protagoniste de son thriller, La fiaba di Dorian. Le tournage débute en 2012, un teaser est réalisé, mais le travail est rapidement interrompu quand on lui diagnostique une tumeur au cerveau. Lilli Carati est emportée par le cancer le 20 octobre 2014.

Filmographie

Films classiques

  • 1975 : Di che segno sei? de Sergio Corbucci
  • 1976 : La Prof du bahut (La professoressa di scienze naturali) de Michele Massimo Tarantini : Stefania Marini
  • 1976 : Squadra antifurto de Bruno Corbucci : Vanessa
  • 1977 : L'avvocato della mala de Alberto Marras : Paola
  • 1977 : Ma copine de la fac (La compagna di banco) de Mariano Laurenti : Simona Girardi
  • 1977 : Candido erotico de Claudio Giorgi : Charlotte
  • 1977 : SOS jaguar, opération casse gueule (Poliziotto sprint) de Stelvio Massi : Francesca
  • 1978 : La fine del mondo nel nostro solito letto in una notte piena di pioggia de Lina Wertmüller :
  • 1978 : Avoir vingt ans (Avere vent'anni) de Fernando Di Leo : Tina
  • 1978 : Violez les otages ! (Le evase - Storie di sesso e di violenze) de Giovanni Brusadori : Monica Hadler
  • 1979 : Il corpo della ragassa de Pasquale Festa Campanile : Teresa Aguzzi
  • 1979 : Senza buccia de Marcello Aliprandi : Barbara
  • 1980 : Buitres sobre la ciudad de Gianni Siragusa :
  • 1980 : Mon curé va en boîte (Qua la mano) de Pasquale Festa Campanile : Rossana
  • 1981 : Il marito in vacanza de Alessandro Lucidi et Maurizio Lucidi : Lucia Corradini
  • 1981 : Habibi, amor mío de Luis Gómez Valdivieso :
  • 1981 : C'è un fantasma nel mio letto de Claudio Giorgi : Adelaide Ferretti
  • 1984 : Il momento magico de Luciano Odorisio :
  • 1984 : L'Alcova de Joe D'Amato : Alessandra
  • 1985 : La Femme pervertie (Il piacere) de Joe D'Amato : Fiorella
  • 1986 : Voglia di guardare de Joe D'Amato : Francesca
  • 1986 : Lussuria de Joe D'Amato : Marina
  • 1987 : Lilli Carati's Dreams de Giorgio Grand :
  • 2012 : La Fiaba di Dorian de Luigi Pastore : Dorian (inachevé)

Films X

  • 1987 : Una moglie molto infedele de Giorgio Grand (film X) : Maria
  • 1988 : Il vizio preferito di mia moglie (My Wife Vices) de Giorgio Grand (film X) : madame Ferroni
  • 1988 : Una ragazza molto viziosa (A Very Debauched Girl) de Giorgio Grand (film X) : Kathy
  • 1988 : Una scatenata moglie insaziabile (On My Lips) de Giorgio Grand (film X) :
  • 1989 : The Whore (Le superscatenate) de Alex de Renzy et Henri Pachard (film X) : Gina

Grimaldi Eva

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Eva Grimaldi, née le 7 septembre 1961 à Vérone, est une actrice italienne de cinéma et de télévision.

Grimaldi Eva Grimaldi Eva

Filmographie

  • Il peccato e la vergogna (2010) TV : Liliana
  • Mogli a pezzi (2008) TV : Sofia (episodes inconnus)
  • Caterina e le sue figlie (2007) TV : Eleonora
  • Domani è un'altra truffa (2006) TV : L'aspirante actrice
  • The Fine Art of Love: Mine Ha-Ha (2005) : Simba
  • Il bello delle donne (2002) TV : Elfride De Contris
  • Occhi verde veleno (2001) TV
  • La casa delle beffe (2000) TV
  • Tre stelle (1999) TV : Anna Folena
  • Un bacio nel buio (1999) TV
  • Paparazzi (1998) : Eva
  • Ladri si diventa (1998) TV : Vanessa
  • Simpatici & antipatici (1998) : Michela
  • Ladri si nasce (1997) TV
  • La signora della città (1996) TV : Nadiuska
  • Les Anges gardiens (1995) : Regina Podium
  • Le Retour d'Arsène Lupin (1995) TV : Arlètte Forlano
  • Cari fottutissimi amici (1994) : Topona
  • Abbronzatissimi 2 - un anno dopo (1993) : Stella
  • Vendetta II: The New Mafia (1993) TV : Brenda Lamanna
  • Mutande pazze (1992) : Stefania
  • L'angelo con la pistola (1992) : Teresa
  • Cattive ragazze (1992)
  • Abbronzatissimi (1991) : Elide
  • Vendetta: Secrets of a Mafia Bride (1991) TV : Brenda
  • Per sempre (1991) : Berenice Rondi
  • Dames galantes (1990) : Jeanne de Tignonville
  • Jours tranquilles à Clichy (1990) : Yvonne
  • Valse d'amour (Tolgo il disturbo) (1990) : Ines
  • Alcune signore per bene (1990) : Kiki
  • Classe di ferro (1989) TV : Carmen
  • Intimo (1989) : Tea
  • Kinski Paganini (1989) : Marie Anna Elise Bonaparte
  • La maschera del demonio (1989) : Anibas
  • Un sapore di paura (1988) : Pearl
  • Rimini, Rimini - un anno dopo (1988) : Flaminia Longheroni (La scelta)
  • Vincere per vincere (1988) TV : La consolatrice
  • Delitti e profumi (1988) : Porzia
  • Ratman (Quella villa in fondo al parco) (1988) : Marlis
  • Mia moglie è una bestia (1988) : Huc
  • Black Cobra (Cobra nero) (1987) : Elys Trumbo
  • Intervista (1987) : Actrice
  • La monaca del peccato (1986) : Maria Susanna Simonin
  • Ferragosto O.K. (1986) TV : La comtesse - cliente de l'auberge
  • D'Annunzio (1985) : Viola
  • Drive in (1983) TV : Personnages variés

Borgia Luana

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Luana Borgia (née le 28 septembre 1967 à Seveso, dans la province de Monza et de la Brianza, en Lombardie) est une actrice pornographique italienne.

Borgia Luana

Filmographie

  • Fetichisme (2001)
  • Galaxina 2 (2001)
  • Pulp (2001)
  • Polar X (1999)
  • Voyeurs (1999)
  • Concetta Licata 3 (1997)
  • Usura (1997)
  • La nebbia del passato (1996)
  • Eros e Tanatos (1995)
  • Euroflesh 10: Rome After Dark (1995)
  • My Wife for All (1995)
  • Il testamento (1994)
  • Le avventure di Turpix (1994)
  • Palestra - Attrezzi per signora (1994)
  • Rosa (1993)
  • Sotto il vestito... tutto da scoprire (1993)
  • Tre settimane di intenso piacere (1993)
  • Colpo grosso in Porno Street... sesso senza fine (1992)
  • Luana la porcona (1992)
  • Valentina Valentina (1992)
  • Le doppie bocche di Luana (1991)
  • Bagnate davanti e di dietro (1991)
  • Frissons italiens (Brivido al sole) (1991)
  • Senza scrupoli 2 (1990)
  • Guendalina (1989)

Demy Valentine

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Valentine Demy est une actrice, culturiste italienne née le 24 janvier 1963 à Pisa, elle débutera comme actrice porno à partir de 1997, elle est aussi connue sous le nom de Marisa Parra.

Demy Valentine Demy Valentine Demy Valentine

Filmographie

  • 2008 : Io ti assolvo
  • 2005 : La femme de mon pote est une salope! d'Andrea Nobili avec Claudia Ferrari, Dora Venter, Angelica Sweet, Ellen Saint
  • 2005 : Fregne da Sballo
  • 1998 : La puttana dello spazio
  • 1998 : I Sogni Osceni di Valentina
  • 1998 : Nirvanal
  • 1997 : Francesca: Sinfonia anale
  • 1997 : Il sequestro - Sindrome di Stoccolma
  • 1996 : The Erotic Adventures of Zorro
  • 1993 : Le occasioni di una signora per bene
  • 1992 : Valentina Valentina
  • 1991 : Abbronzatissimi de Bruno Gaburro
  • 1991 : Paprika de Tinto Brass : Beba
  • 1991 : Lolita per sempre
  • 1990 : Hard Car
  • 1990 : Il sofà
  • 1990 : Malizia oggi : la mère de Luna
  • 1990 : Sapore di donna
  • 1989 : Io Gilda d'Andrea Bianchi : Lulu
  • 1989 : Abatjour 2
  • 1989 : Casa di piacere (Dirty Love Two) : Eva
  • 1989 : Guendalina
  • 1989 : L'ultima emozione
  • 1989 : Rose Bluelight (Lambada blu)
  • 1988 : Amore sporco (Dirty Love) de Joe D'Amato : Terry Jones
  • 1988 : Snack Bar Budapest : Carla
  • 1988 : Femmine
  • 1988 : Intimo (Midnight Seduction) : Lora
  • 1988 : Intrigo d'amore :
  • 1988 : Un sapore di paura (Obsession: A Taste for Fear)
  • 1987 : Pomeriggio caldo (Hot Afternoon) : Connie

Gemma Roberta

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Roberta Gemma (née le 15 décembre 1980 à Marino, dans la province de Rome, dans le Latium) est une actrice pornographique italienne.

Gemma Roberta Gemma Roberta Gemma Roberta

Filmographie

  • Diario di una Segretaria (Journal Intime d'une Secrétaire) (2007)
  • Glamour Dolls 2 & 4 (2008)
  • Luna's Angels 2007
  • Order 2006
  • Simply Roberta 2010
  • Sottomessa: racconto di una segretaria 2009
  • Specialist 2007
  • Teufels Fotzen 1 2007
  • Simply Roberta (2010)
  • Il Museo della Carne (2010)

D'Abbraccio Milly

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Milly D'Abbraccio (née le 3 novembre 1964 à Avellino, en Campanie) est le pseudonyme d'Emilia Cucciniello, une actrice pornographique italienne. Le Corriere della sera la présente comme une « reine » du porno italien des années 1980 et 1990.

D'Abbraccio Milly D'Abbraccio Milly D'Abbraccio Milly

Née d'un père avellinois et d'une mère napolitaine, après avoir remporté le concours de Miss teenager Italy en 1978, Milly D'Abbraccio commence à travailler à la télévision sous le pseudonyme de "Milli Mou". Elle travaille ensuite au cinéma et au théâtre, avant d'accepter l'offre du producteur Riccardo Schicchi de faire partie du groupe des actrices pornographiques Diva Futura. Elle est ensuite, dans les années 1980 et durant la décennie suivante, l'une des vedettes du cinéma pornographique italien. Dans les années 2000, elle continue de se produire sur scène dans des « shows érotiques ». En 2011, elle est la marraine de la première édition d'un festival du film pornographique tenu à Salerne. Elle est également la productrice de la version italienne du concours de chant télévisé X-Factor.

Milly D'Abbraccio s'est par ailleurs engagée en politique, en se présentant aux élections municipales à Rome, en 2008, sur la liste du Parti socialiste italien ; elle se fait surtout remarquer par des affiches de campagne sur lesquelles elle exhibe ses fesses tandis qu'un slogan appelle à se débarrasser des « faces de c... » de la classe politique romaine. Le Corriere della Sera la qualifie à cette occasion de « star vétuste du porno ». Elle annonce ensuite en 2011 sa candidature à la mairie de Monza, ville où était également candidate une autre ancienne vedette du porno, Ilona Staller dite Cicciolina, puis, eu égard à la concurrence de cette « ex-collègue » renonce en 2012 à se présenter dans cette ville, et annonce sa candidature à Torre del Greco, dans la région de Naples, déclarant à cette occasion y être presque aussi populaire que Maradona et considérée comme la Madonne, avant de retirer également cette dernière candidature, au motif d'un manque de soutien.

Filmographie 

  • Scandale sexuel au parlement (2002) : Milly
  • Humiliations d'une avocate (2002) : Gilda
  • La professoressa di lingue (2001) : Sonia
  • Sex Animals (2000)
  • Anaxtasia - La principessa stuprata (1999) : Katerina
  • La moglie bugiarda (1998)
  • Paolina Borghese ninfomane imperiale (1998) : Paolina Borghese
  • C'era una volta il... bordello (1997) :(Mistress Belles de jour, Belles de nuit)
  • Milly: Photo Live (1996)
  • Una famiglia per pene (1996)
  • Doppio contatto anale (1995)
  • Milly: Fine, Crazy and Fancy (1995)
  • Animalita'... strane sensazioni (1994)

Nez de cuir

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Nez de cuir est un film franco-italien réalisé par Yves Allégret en 1951, sorti en 1952, d’après le roman de Jean de La Varende, Nez-de-Cuir, gentilhomme d'amour, paru en 1937. Grièvement blessé au visage pendant la campagne de France, Roger de Tainchebraye, jeune homme de 22 ans, Don Juan de sa Normandie natale, est obligé de porter un masque qui dissimule sa mutilation. On le surnomme « Nez de Cuir ». Cynique à souhait, il multiplie les conquêtes et ses aventures ne se comptent plus. Une seule femme lui résiste, Judith de Rieusses. Roger en tombe follement amoureux mais refuse le mariage. Judith épouse le marquis de Brives, dont le jeune homme devient le fidèle ami. À la mort du marquis, une violente scène oppose Judith et Roger. Ce dernier enlève son masque. Ne supportant pas sa déchéance et la pitié de Judith, Nez de Cuir s’éloigne à jamais.

Nez de cuirNez de cuir

Fiche technique

  • Titre : Nez de cuir
  • Titre alternatif : Nez de cuir, gentilhomme d'amour
  • Réalisation : Yves Allégret
  • Scénario : d’après le roman Nez-de-Cuir, gentilhomme d'amour de Jean de La Varende
  • Adaptation et dialogue : Jacques Sigurd
  • Assistants réalisateur : Paul Feyder, Mauro Bolognini, Eric de la Varende
  • Images : Roger Hubert
  • Opérateur : Adolphe Charlet
  • Musique : Georges Auric
  • Décors : Georges Wakhévitch, assisté de Robert André et Robert Turlure
  • Costumes : Marcel Escoffier, assisté de Monique Plotin et Jean Zay
  • Montage : Claude Nicole
  • Son : Robert Biart
  • Maquillage : Jean Ulysse, assisté de Alexandre Marcus et Anatole Paris
  • Coiffures : Alex Archambault
  • Photographe de plateau : Raymond Voinquel
  • Script-girl : Suzanne Bon
  • Régisseur : Lucien Lippers, assisté de Jean Pieuchot
  • Production : Alcina (Paul-Edmond Decharme), Pathé (Paris), Cinès (Rome)
  • Chef de production : Paul-Edmond Decharme
  • Directeur de production : Louis Wipf
  • Distribution : Pathé Consortium Cinéma (35mm), C.F.R. (16 mm), Alcina (vente à l'étranger)
  • Tournage du 2 juillet au 24 août et terminé fin 1951, aux studios de Joinville
  • Durée : 92 min
  • Titre Italien : Naso di cuoio, Gentiluomo d'amore
  • Pellicule 35mm, noir et blanc
  • Son : mono / Système d'enregistrement : Western Electric
  • Genre : Drame
  • Première représentation de gala le 7 mars 1952 au cinéma Marignan
  • Première présentation le 26 mars 1952
  • Première présentation à Montréal le 17 avril 1953 au cinéma Saint-Denis

Distribution

  • Jean Marais : le marquis Roger de Tainchebraye dit « Nez de Cuir », un aventurier au masque de cuir
  • Françoise Christophe : Judith de Rieusses, une jeune héritière dont il tombe amoureux
  • Jean Debucourt : le marquis de Brives, un noble âgé que Nez de Cuir laisse épouser Judith
  • Mariella Lotti : Hélène Josias, une femme mariée, la maîtresse de Nez de Cuir
  • Massimo Girotti : le docteur Marchal, le médecin qui façonne le masque de Roger
  • Yvonne de Bray : Marie-Bonne
  • Valentine Tessier : Simone de Tainchebraye
  • Marcel André : Josias
  • Denis d'Inès : le duc de Laval
  • Yolande Laffon : Madame de Brigade, une vieille dame
  • Bernard Noël : Guy du Merle, l'ami de Nez de Cuir, qui désapprouve son cynisme
  • Gabriel Gobin : le piqueur
  • Georges Hubert : l’abbé
  • Madeleine Lambert : une invitée
  • Blanche Denège : une invitée
  • Anne-Marie Duvernay : une servante
  • Giani Esposito : un jeune invité
  • Jean Valmence : un jeune invité
  • Charles Bayard : un invité
  • Palmyre Levasseur : Maryvonne
  • René Worms
  • Michel Etcheverry : un gentilhomme
  • Pierre Olivier
  • Martine Sarcey
  • Nadine Tallier
  • Pierre Fromont
  • Françoise Prévost : une jeune invitée
  • Laure Paillette
  • Dominique Page
  • Micheline Gary : une paysanne
  • Jacques Denoël
  • Yves Massard : un gentilhomme
  • Christian Martaguet
  • Jacques Borel
  • Jean Borodine
  • Jean Yanne : figuration non crédité

La Jeune Folle

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La Jeune Folle est un film français réalisé par Yves Allégret, sorti en 1952. C'est la nouvelle « Ar Follez yaouank » de Fant Rozec (écrivain breton) qui aurait inspiré le cinéaste. Irlande, 1922. En plein insurrection nationale, Catherine, jeune orpheline employée aux tâches ménagères, va partir à la recherche de son frère qu'elle a entendu dans un rêve l'appeler au secours.

La Jeune Folle d'Yves Allégret avec Danièle DelormeLa Jeune Folle d'Yves Allégret avec Danièle Delorme

La Jeune Folle d'Yves Allégret avec Danièle Delorme

Fiche technique

  • Titre : La Jeune Folle
  • Réalisation : Yves Allégret
  • Scénario : Jacques Sigurd, d'après une nouvelle de Catherine Beauchamp, parue en 19371
  • Musique : Paul Misraki
  • Directeur de la photographie : Roger Hubert
  • Décors : Alexandre Trauner
  • Costumes : Jacques Cottin et Monique Plotin
  • Ingénieur du son : Antoine Archimbaud
  • Montage : Claude Nicole
  • Producteur : Ray Ventura
  • Société de production : Hoche Productions
  • Société de distribution : Comptoir Cinématographique du Nord (Cocinor)
  • Genre : Drame
  • Noir et blanc - 84 min
  • Date de sortie : France (pays d'origine) : 1er octobre 1952

Distribution

  • Danièle Delorme : Catherine
  • Henri Vidal : Steve
  • Nic Vogel : Tom
  • Maurice Ronet : Jim
  • Jean Debucourt : Le messager
  • Michèle Cordoue : Mary, la cabaretière
  • Jacqueline Porel : La mère supérieure
  • Marcel Journet : Le chef de police Donovan
  • Madeleine Barbulée : La voyageuse
  • Joëlle Bernard : La femme ivre
  • Georges Chamarat : Le chef de gare
  • Marcel Charvey : Un policier
  • Lolita De Silva : Sœur Ruth
  • Jacques Dynam : Le consommateur
  • Michel Etcheverry : Le prêtre
  • Gabrielle Fontan : Sœur Patricia
  • Christian Fourcade : Un enfant
  • Gabriel Gobin : L'employé de la gare
  • Madeleine Gérôme : Mme Donovan
  • Olivier Hussenot : Le colleur d'affiches
  • Jean Marchat : L'inspecteur
  • Jean-Pierre Maurin : Un enfant
  • Georges Poujouly : Un enfant
  • Julien Verdier : Le garçon de café
  • Paule Emanuele
  • Françoise Goléa
  • René Lefèvre-Bel
  • Clary Monthal
  • Michèle Nancey
  • Nelly Vignon 

Les Démons de l'aube

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Les Démons de l'aube est un film français d'Yves Allégret réalisé en 1945 et sorti en 1946. Un lieutenant, à la tête d'un commando prêt à débarquer en France, retrouve parmi ses hommes un maquisard qui avait essayé de le tuer autrefois.

Les Démons de l'aube d'Yves AllégretLes Démons de l'aube d'Yves Allégret

Les Démons de l'aube d'Yves Allégret

Fiche technique

  • Titre : Les Démons de l'aube
  • Réalisation : Yves Allégret
  • Scénario : Jean Ferry
  • Dialogues : Maurice Aubergé
  • Photographie : Jean Bourgoin
  • Ingénieur du son : Joseph de Bretagne
  • Musique : Arthur Honegger et Arthur Hoérée
  • Année de tournage : 1945
  • Genre : Guerre; drame
  • Durée : 100 min
  • Pays : France
  • Date de sortie : 1946

Distribution

  • Georges Marchal : lieutenant Claude Legrand
  • André Valmy : Serge Duhamel
  • Jacqueline Pierreux : Simone
  • Jean Carmet : Durand, dit "Durandal"
  • Jacques Dynam : Gauthier
  • Robert Rollis : Blot
  • Dominique Nohain : Simon, dit "Chouchou"
  • Marcel Lupovici : Michel Courant
  • Marcel Mérovée : Rousseau
  • Jean Pommier  : Denis
  • Jeff Racine : Gaston de Chanteloup
  • Maurice Regamey : Martin
  • Jacques Sommet : Jaloux
  • Fernand René : le père Poilu
  • Simone Signoret : Lily, la cabaretière
  • Joé Davray : La fillette
  • Jean-François Martial : un officier allemand
  • Raymond Hermantier : un des commandos
  • René Clermont : un des commandos
  • Henri San Juan : un des commandos
  • Claude Joseph : (non crédité)

La Meilleure Part

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La Meilleure Part est un film dramatique franco-italien réalisé par Yves Allégret, sorti en 1956. La vie sur un chantier de construction d'un barrage, où l'ingénieur Philippe Perrin, consacre sa vie aux dépens de sa santé à l'accomplissement de cette charge.

La Meilleure PartLa Meilleure Part

Fiche technique

  • Titre : La Meilleure Part.
  • Titre italien : Gli anni che non retornano
  • Réalisation : Yves Allégret
  • Scénario : d'après le roman de Philippe Saint-Gil paru en 1954 aux Editions Robert Laffont
  • Adaptation : Jacques Sigurd et Yves Allégret
  • Dialogues : Jacques Sigurd
  • Photographie : Henri Alekan
  • Opérateurs : Henri Tiquet et Gustave Raulet, assistés de Raymond Menvielle et Georges Pastier
  • Musique : Paul Misraki (Éditions Impéria) sur une direction musicale de Maurice Le Roux
  • Décors : Auguste Capelier, assisté de Jacques d'Ovidio et Claude Moesching
  • Montage : Claude Nicole, assisté de Ginette Boudet
  • Son : Robert Biart, assisté d'Olivier Max et Victor Revelli
  • Tournage du 25 juillet au 8 octobre 1955 sur le chantier de construction du barrage de Plan d'Amont à Aussois et à Modane en Savoie pour les extérieurs et dans les studios de Neuilly-sur-Seine pour les scènes en intérieur.
  • Production franco-italienne Le Trident et Silver Films (Paris) - Noria Film (Rome)
  • Producteurs : Nino Constantini, Bluette Christin-Falaize, Robert Dorfmann, Tonino Cervi
  • France : Columbia Pictures (35 et 16 mm)
  • Italie : CEIAD
  • Édité en VHS par Fil à Film et en DVD par René Château
  • Pellicule 35 mm Eastmancolor au format Cinémascope
  • Durée : 90 min
  • Première présentation : 28 mars 1956 (à Paris) / 30 décembre 1955 (en Italie) / 27 juillet 1956 (au Japon) 8 juillet 1957 (au Danemark) / 22 août 1960 (à Madrid)
  • Visa d'exploitation : N° 16376 (en France) / N° 20675 (en Italie, délivré le 29 décembre 1955)

Distribution

  • Gérard Philipe : Philippe Perrin, l'ingénieur qui dirige la construction du barrage d'Aussois
  • Michèle Cordoue : Micheline, l'infirmière qui s'éprend de lui
  • Gérard Oury : Gérard Bailly, un ingénieur qui seconde Philippe
  • Jean-Jacques Lecot : Pasquier, un ingénieur qui seconde Philippe
  • Michel François : le docteur Molinier, le chef du service sanitaire du chantier
  • Umberto Spadaro : Gino, un ouvrier piémontais, père de six enfants, qui souffre de silicose
  • Georges Chamarat : Lemoigne, le chef d'équipe
  • Valeria Moriconi : Odette, une serveuse de cantine qui épouse Karl
  • Olivier Hussenot : Antoine Colombin, le magasinier
  • Augusto Mingione : Pietro
  • Jean Lefebvre : Raymond, un ouvrier
  • Mohamed Ziani : Ali, un jeune ouvrier algérien
  • Alberto Bonnucci : Antoine
  • Jacques Moulières : Luigi, le petit garçon
  • Jess Hahn : Karl, un mineur allemand qui épouse Odette
  • Louis Velle : Rubel, le nouvel ingénieur qui remplace Philippe
  • Giacomo Furia : le gérant de la cantine
  • Lina Furia : la gérante de la cantine
  • Robert Bazil : Andrieu, un chef d'équipe
  • Emile Genevois : un ouvrier
  • Marcel Bozzuffi : André, un ouvrier
  • Charles Denner : un ingénieur adjoint
  • Olivier Darrieux : un homme à la noce
  • Gabriel Gobin : un joueur de cartes
  • Gérard Hernandez : Gonzalez, l'ouvrier espagnol qui remplace le magasinier
  • Pâquerette : La patronne du bistrot du centre
  • Pierre Massiot
  • Raymond Brun
  • Gino Marturano
  • Georges Hubert

Quand la femme s'en mêle

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Quand la femme s'en mêle est un film français réalisé par Yves Allégret, sorti sur les écrans en 1957. Le scénario est adapté de Sans attendre Godot, roman de John Amila. Un propriétaire de night-club engage Jo, un tueur à gages, afin qu'il élimine un rival gênant trop proche de sa maîtresse.

Quand la femme s'en mêle d'Yves AllégretQuand la femme s'en mêle d'Yves Allégret

Quand la femme s'en mêle d'Yves Allégret

Fiche technique

  • Titre : Quand la femme s'en mêle
  • Réalisation : Yves Allégret
  • Scénario et Adaptation : Jean Meckert et Charles Spaak d'après le roman de Jean Amila (Jean Meckert) Sans attendre Godot (Gallimard, collection Série noire).
  • Dialogue : Jean Meckert
  • Assistant réalisateur : Suzanne Bon
  • Opérateur : Robert Schneider, assisté de Michel Bouyer et André Dubreuil
  • Musique : Paul Misraki, orchestre sous la direction de Jacques Météhen, éditions Choudens
  • Images : André Germain
  • Montage : Claude Nicole, assisté de Ginette Boudet
  • Décors : Jean d'Eaubonne, assisté de Jacques Gut et Paul Moreau
  • Son : Pierre-Henri Goumy, assisté de Urbain Loiseau et J. Bareille
  • Régisseur général : Roger Boulais
  • Régisseur adjoint : Michel Wichard
  • Régisseur ensemblier : Robert Christidès
  • Script-girl : Hélène Sebillotte
  • Maquillage : Lina Gallet
  • Coiffeur : Robert Noguès
  • Les robes de E.Feuillère sont de Pierre Balmain
  • Photographe de plateau : Philippe George
  • Chef de production : Pierre Bochart
  • Directeur de production : Louis de Masure
  • Producteurs : Cino Del Duca, Arys Nissotti et Pierre O'Connell
  • Durée : 90 minutes (1h30)
  • Pays : France / Italie / Allemagne
  • Langue : Français
  • Téchnologie du son : Mono
  • Enregistrement : Western-Recording System
  • Trucage : LAX
  • Tirage : Laboratoire L.T.C Franay
  • Pellicule 35mm, noir et blanc
  • Tournage du 8 juillet au 20 août 1957 dans les studios Paris Studio Cinéma de Billancourt
  • Sociétés de production : Cino del Duca, Royal Films, Régina Films, Plazza Films Productions
  • Sociétés de distribution : Cinédis
  • Genre : Policier
  • Date de sortie : 15 novembre 1957 (France)

Distribution

  • Edwige Feuillère : Angèle, dite « Maine », ancienne femme de Félix, nouvelle maîtresse d'Henri et mère de Colette
  • Jean Servais : Henri Godot, dit « Riton », le gangster vieillissant
  • Jean Debucourt : Auguste Coudert de la Taillerie, patron de magasin
  • Bernard Blier : Félix Seguin, postier de province ex-mari de "Maine" et père de Colette
  • Pascale Roberts : Gigi une entraîneuse du cabaret "La main chaude"
  • Sophie Daumier : Colette Seguin, la fille de Félix et Maine
  • Jean Lefebvre : Fred, un homme de Riton
  • Yves Deniaud : Bobby, l'ancien amant de "Maine"
  • Bruno Cremer : Bernard, l'homme de main de M. Coudert de la Taillerie
  • Alain Delon : Jo, un homme de Riton
  • Pierre Mondy : Le commissaire Verdier
  • Alain Nobis : Le Vilain, un homme de Bobby
  • Henri Cogan : Alberti, un homme de Bobby
  • Jess Hahn "sa voix est doublée" : La Couture, un homme de Bobby
  • Michel Jourdan : L'agneau, homme de main de Riton
  • Bruno Balp : Le concierge du cabaret
  • Madeleine Barbulée "sa voix est doublée" : La pâtissière
  • Henri Coutet : Georges, le machiniste
  • Annie Darnis : La bonne de Kuntz
  • Anne-Marie Mersen : Georgette, la fleuriste du cabaret
  • Jean-Marie Serreau : Kuntz, ancien agent d'assurance « l'abeille », directeur du contentieux
  • Albert Daumergue : Un spectateur de la salle du cinéma
  • Roger Lecuyer : Un homme au bistrot

Hedman Marina

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Marina Hedman Bellis, née le 29 septembre 1944 à Göteborg, est un mannequin et actrice suédoise naturalisée italienne. Aussi connue sous les noms de Marina Frajese ou Marina Lotar, elle est devenue une des toutes premières vedettes du cinéma pornographique italien.

Hedman Marina Hedman Marina

Marina Hedman travaille comme hôtesse de l'air quand elle rencontre le journaliste italien Paolo Frajese envoyé en Suède pour une série de reportages. Le couple se marie rapidement, s'installe en Italie et donne naissance à deux enfants, Paolo Attilio (°1967) et Liselott (°1969). Au début des annèes 1970, la jolie suédoise mène avec succès une carrière de mannequin tout en rêvant de célébrité et de cinéma. Son ambition la conduit à s'éloigner de son époux dont le conservatisme semble devoir brider sa carrière. En 1976, elle fait sa première apparition au cinéma dans la comédie sexy On a demandé la main de ma sœur de Lucio Fulci avec Edwige Fenech. Si l'essentiel de sa carrière est consacrée à l'érotisme, on voit aussi l'actrice tenir de petits rôles dans Dernier Amour (1978) de Dino Risi, dans La Cité des femmes (1980) de Federico Fellini, dans deux films de Pasquale Festa Campanile et dans la trilogie Delitto... de Bruno Corbucci avec Tomás Milián qui incarne l'inspecteur Nico Giraldi. Son physique nordique lui ouvre d'autres portes. Elle apparaît dans l'émission de la RAI Carosello9, pose pour l'édition italienne de Playboy de mai 1977 et remporte le titre de Lady Europa en 1978.

Sa rencontre avec Joe D'Amato marque un tournant dans la carrière de l'actrice qui tourne pour lui ses premières scènes hardcore. Black Emanuelle en Amérique sort en Italie en 1977 dans une version expurgée de ses scènes pornographiques qui sont réservées pour l'exploitation à l'étranger. Apprenant la direction que l'actrice donne à sa carrière Paolo Frajese demande le divorce. En 1979, le réalisateur présente pour la première fois des scènes de sexe explicite aux spectateurs italiens dans le provocant Les amours interdites d'une religieuse (d'après La Religieuse de Diderot). On y voit le personnage de sœur Marta incarné par Marina Hedman partager une scène lesbienne et subir un viol. Le film est un succès, d'autant que sa sortie est accompagnée du scandale suscité par la prestation de l'ex-femme du présentateur vedette de la RAI. Celui-ci intente à l'actrice un procès pour lui interdire d'utiliser son patronyme. Elle sera créditée par la suite sous des pseudonymes comme Marina Lothar ou Marina Chantal.

Elle choisit de se consacrer exclusivement à la pornographie. À quarante ans Marina Hedman connaît la période la plus faste de la carrière. Elle tient la vedette de nombreux films titré d'après son prénom (Marina… miele selvaggio, Marina vedova viziosa, Marina, un vulcano di piacere…). Marina e la sua bestia (1984) est le premier d'une série de films qui la présentent dans des mises en scènes zoophiles, qui bien qu'en fait tournées au moyen de prothèses en plastique, laissent à penser que l'actrice ne sait rien refuser. Pour Marina il cavallo e lo stallone (1986), elle tourne une séquence urophile avec Gabriel Pontello. Marina Hedman, qui se donne sans retenue et aime faire l'amour devant la caméra est plus que convaincante en nymphomane. Malgré une forte dépendance à l'alcool, elle est également appréciée sur les tournages pour sa douceur et sa gentillesse.

Comme l'américaine Ajita Wilson, la hongroise Ilona Staller ou l'allemande Karin Schubert, avec qui elle partage à plusieurs reprises l'affiche, elle fait partie des actrices étrangères qui incarnent la nouvelle libération des mœurs et la première décennie du cinéma pornographique en Italie. Elle tourne aussi dans des productions françaises aux côtés de Catherine Ringer ou de Marilyn Jess. Elle travaille avec les principaux réalisateurs italiens du genre comme Arduino Sacco, Mario Bianchi, Antonio d'Agostino et Franco Lo Cascio. Elle a notamment pour partenaires masculins Rocco Siffredi, Mark Shannon ou encore John Holmes dans Supermaschio per mogli viziose de Giorgio Grand tourné à Rome en 1987. Après un bref retour au cinéma classique pour deux apparitions dans des gialli d' Antonio Bonifacio, elle met fin sa carrière en 1991 et se retire définitivement de la vie publique. Elle aurait décliné des propositions de retour à l'écran faites en 1998 (pour le cinéma) et en 2008 (pour la série Carabinieri).

Filmographie

  • 1976 : On a demandé la main de ma sœur (La pretora) de Lucio Fulci : Régina
  • 1977 : Le Gynécologue de ces dames (Il ginecologo della mutua) de Joe d'Amato : la femme de Natisone
  • 1977 : Le notti porno nel mondo de Bruno Mattei et Joe d'Amato : (comme Marina Lothar)
  • 1977 : Le notti porno nel mondo nº 2 de Joe d'Amato : la reporter
  • 1979 : Gegè Bellavita de Pasquale Festa Campanile : Chantal, la femme d'Attanasi (comme Marisa Harrison)
  • 1979 : Follie di notte de Joe D'Amato : Sonia
  • 1978 : Un brivido di piacere de Angelo Pannacciò
  • 1978 : Come perdere una moglie e trovare un'amante de Pasquale Festa Campanile : la première fille auditionnée
  • 1978 : Dernier amour (Primo amore) de Dino Risi (comme Marina Lothar Frajese)
  • 1979 : Quello strano desiderio de Enzo Milioni (comme Marina Fraiese)
  • 1979 : Play Motel de Mario Gariazzo : Loredana Salvi
  • 1979 : Le mani di una donna sola de Nello Rossati : Eugenia Fabiani (comme M. Frajese)
  • 1979 : Libidine de Raniero di Giovanbattista : Carla
  • 1980 : Una moglie, due amici, quattro amanti de Michele Massimo Tarantini : Signora Bigotti
  • 1980 : La compagna di viaggio de Ferdinando Baldi : la patiente en psychiatrie (comme Marina Frajese)
  • 1980 : Febbre a 40! de Marius Mattei : Rosalind (comme Marina Frajese)
  • 1980 : Delitto a Porta Romana de Bruno Corbucci : Antonella (comme Marina Frajese)
  • 1980 : La cité des femmes (La città delle donne) de Federico Fellini
  • 1980 : Cameriera senza… malizia de Lorenzo Onorati
  • 1981 : StarCrash II : les évadés de la galaxie III (Giochi erotici nella 3a galassia) de Bitto Albertini
  • 1982 : Sueca bisexual necesita semental de Ricard Reguant : Simona (comme Marina Fraiese)
  • 1982 : Delitto sull'autostrada de Bruno Corbucci (non créditée)
  • 1983 : Amori morbosi di una contessina de Amasi Damiani
  • 1983 : Fantozzi subisce ancora de Neri Parenti : la comtesse
  • 1984 : Pas folle le flic ! (Delitto al Blue Gay) de Bruno Corbucci : la prostituée blonde
  • 1987 : La lingua de Marco Toniato (comme Marina Frajese)
  • 1990 : Appuntamento in nero de Antonio Bonifacio : la caissière du cinéma
  • 1991 : Nostalgia di un piccolo grande amore de Antonio Bonifacio : la caissière du cinéma (non créditée)
  • 1999 : Joe D'Amato Totally Uncut de Roger A. Fratter (documentaire, images d'archives)

Télévision

  • 1978 : : Morte di un seduttore di paese téléfilm de Giovanni Fabbri

Deloncle Eugène

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Eugène Deloncle est un homme politique français, né à Brest (Finistère) le 20 juin 1890 et mort à Paris le 7 janvier 1944, cofondateur de La Cagoule en 1935. 

Deloncle Eugène

Fils du commandant Deloncle, qui refusa de quitter sa passerelle et fut englouti en mer avec son bateau La Bourgogne lors de son naufrage le 4 juillet 1898. Polytechnicien (Promotion X1910, second), ingénieur du Génie maritime, il combat pendant la Première Guerre mondiale comme officier d'artillerie et est blessé sur le front de Champagne. Il est fait chevalier de la légion d'honneur. Il adhère d'abord à l'Action française, puis fonde en 1935, avec Jean Filliol, l'Organisation secrète d'action révolutionnaire nationale (l'adjectif nationale fut ensuite supprimé ; mal lu, le « O » fut pris pour un « C ») connue de la police sous le nom de Comité secret d'action révolutionnaire (CSAR) et surnommé La Cagoule par la presse. Ce surnom est d'ailleurs attribué avec mépris par Maurice Pujo de l'Action française.

Ses principaux faits d'armes sont l'attentat contre la Confédération générale du patronat français et du groupe des industries métallurgiques le 11 septembre 1937 et l'assassinat des frères Sabatino et Carlo Rosselli, deux militants italiens antifascistes. Selon Pierre Péan, à la fin du mois de novembre 1936, Deloncle rencontre le général Henri GiraudGiraud promet son aide à Deloncle en cas de soulèvement communiste, et Deloncle lui annonce que les cagoulards se rangeraient sous ses ordres en échange. Très satisfait, Giraud « est évidemment d'accord pour travailler avec les gens de l'OSARN et souhaite la meilleure réussite à l'entreprise de Deloncle et Duseigneur [...] ».

En juillet 1938, l'état-major civil et plusieurs militaires soit un total de 120 personnes sont arrêtés par la police. Après l'armistice de juin 1940, Deloncle rejoint l’amiral François Darlan et reprend contact avec d’anciens cagoulards. Fin 1940, Eugène Deloncle crée le Mouvement social révolutionnaire pour la Révolution nationale (MSR), soutenant le maréchal Pétain, puis, au travers du Rassemblement national populaire, se rapproche de Marcel Déat. Les intrigues entre les deux hommes ont raison de cette alliance et Deloncle est exclu en mai 1942.

Il collabore aussi avec l’amiral Wilhelm Canaris, qui dirige le contre-espionnage militaire allemand. Le 7 janvier 1944, Deloncle est assassiné (son fils Louis, blessé, survivra et dirigera la branche espagnole de L'Oréal) par la Gestapo – par l'intermédiaire d'agents français du SD – en raison de ses relations avec l'amiral Canaris et d'autres membres de l'Abwehr opposés à Hitler. Son fils adoptif, Jacques Corrèze (1912-1991), membre de la « Cagoule » fut après la Seconde Guerre mondiale un cadre important de la société L'Oréal, chargé notamment de négocier la levée du boycott mis en œuvre par les pays arabes après que cette société eut racheté la société Helena Rubinstein. Sa sœur, qui épousa l'avocat Laurent-Cely fut la mère de l'écrivain Jacques Laurent. Son autre sœur fut mariée un temps avec le grand bridgeur Pierre Albarran. En 1939, la nièce d'Eugène Deloncle, Édith Cahier, épouse Robert Mitterrand, l'un des frères de François Mitterrand.

Martin Félix

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Félix-Victor-Henri Martin, dit le « Docteur Martin », était un médecin et militant nationaliste français, né en 1895, décédé en 1969. 

Martin Félix

Ancien interne des hôpitaux, le docteur Martin avait combattu volontairement au front pendant la Grande Guerre. À la fin du conflit, il devient médecin spécialiste des voies respiratoires à la Salpetrière et aux enfants malades à Paris, puis ouvre son propre cabinet. Dans les années 1920, il est membre de l'Action française de Charles Maurras, et est le secrétaire général adjoint de la Ligue d'AF dans la région parisienne. Il en fut exclu en 1929 pour avoir soupçonné Pierre Lecœur, rédacteur au journal monarchiste, d'être un indicateur de la police. Ce départ coïncida de peu avec celui des frères Claude et Gabriel Jeantet. Après avoir été le conseiller de Henri Dorgères, le dirigeant du mouvement paysan des « chemises vertes », il est en 1935 l'un des fondateurs de CSAR, organisation nationaliste clandestine plus communément appelée La Cagoule, dirigée par Eugène Deloncle. Celui-ci le charge du 2ème Bureau, c'est-à-dire les services de renseignements de l'organisation, et son surnom est alors « le Bib ». Son travail consistait à mener des filatures, répertorier des information personnelles et établir des fiches sur les adversaires politiques de la Cagoule.

En 1937, tandis qu'une rafle frappe les membres de la Cagoule, il réussit à s'enfuir avec Jean Filliol, et s'exile à San Remo en Italie, accompagné de sa femme et de ses enfants. Suite à une grâce d'Édouard Daladier, il revient en France pour devenir capitaine médecin à l'hôpital de Bicêtre. Après la défaite de 1940, il participe aux Groupes de Protection (GP), une organisation dépendant du Centre d'informations et d'études (CEI) de François Métenier et du colonel Groussard. Saluant l'arrivée au pouvoir du maréchal Pétain, mais hostile à toute forme de collaboration (elle épiait notamment les agissements de la Gestapo et des autorités militaires allemandes), elle regroupait majoritairement d'anciens cagoulards.
En décembre 1940, dans le fil de son antigermanisme, il monte l'opération visant à enlever Pierre Laval, jugé trop proche des Allemands. Laval est libéré peu après par Otto Abetz, tandis que le CEI et les GP sont dissous peu après (même s'ils continuaient à fonctionner officieusement). Arrêté en mars 1942, il est transféré à Castres, Vals, puis Évaux-les-Bains, où il rencontra notamment Roger Stéphane, dont il fut l'ami malgré leurs divergences politiques. Après s'être évadé, il rejoint le maquis et le « réseau Roy », participe à la libération de Lyon, et s'engage dans la Septième Armée du général Alexander Patch, où il accomplit plusieurs missions spéciales et dangereuses en Alsace et sur le Rhin.

Lors du procès de La Cagoule en 1948, le docteur Martin est condamné à une peine de déportation, qu'il n'accomplira pas, étant de nouveau en cavale. Il reprendre ses activités clandestines, désormais contre La IVème République pour le maintien de l'Algérie française. Il participe dans les années 1950, avec les généraux Lionel-Max Chassin et Paul Cherrière, à l'organisation appelée « Grand O », active de 1954 à 58. En juin 1957 à la gare Saint-Lazare de Paris, il est arrêté par la police. Considérant qu'il ne constitue pas une menace pour le régime, il est mis en liberté provisoire en novembre. Après le premier putsch d'Alger, dont il est l'un des instigateurs, il rejoint le Mouvement populaire du 13 mai, dit MP-13. Collaborateur au journal Salut public de l'Algérie française), organe du MP-13, il est le conseiller de Robert Martel, avec lequel il finit par se brouiller.

Proche de l'Organisation armée secrète (OAS), il est à nouveau recherché pour sa participation à la « Semaine des barricades » à Alger en janvier 1960, puis, encore une fois, pour son rôle dans le Putsch des Généraux du 23 avril 1961. Cette fois, son anti-gaullisme ne lui est pas pardonné : arrêté pour de bon, il est condamné à 10 ans de travaux forcés en octobre 1963 par la Cour de sûreté de l'État. Il est décédé le 6 juin 1969 à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre, où il avait été mobilisé en 1939 comme médecin. Il est le père de Danièle Martin, journaliste au bimensuel nationaliste Monde & Vie et veuve de Pierre de Villemarest. Le parcours d'Henri Martin reste un symbole de l'activisme politique, ayant passé la totalité de sa vie dans une semi-clandestinité, et étant l'une des rares personnes à avoir été traquées par la police sous quatre régimes différents.


Varzi Elena

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Elena Varzi (née le 27 février 1920 à Rome et morte le 1er septembre 2014 à Sperlonga) est une actrice italienne.

 

Varzi Elena

Elena Varzi est née à Rome. Malgré son passé d'actrice non professionnelle, elle fait ses débuts dans le rôle principal de la comédie néoréaliste d'après-guerre de Renato Castellani, È primavera. En 1950, son second rôle comme la maîtresse d'un bandit sicilien dans le film de Pietro Germi Le Chemin de l'espérance est loué par la critique. Elle rencontre Raf Vallone sur ce plateau. Il deviendra son mari et elle aura avec lui trois enfants : Eleonora l'aînée, et les jumeaux Saverio et Arabella. Après avoir contribué à quelques autres films, toujours à l'écran avec son mari, elle abandonne le cinéma vers le milieu des années 1950 pour se consacrer à sa famille. Son mari est mort en 2002.

 

Filmographie

  • 1950 : È primavera, de Renato Castellani : Maria Antonia
  • 1950 : Le Chemin de l'espérance (Il cammino della speranza), de Pietro Germi : Barbara Spadaro
  • 1951 : Le Christ interdit (Il Cristo proibito), de Curzio Malaparte : Nella
  • 1952 : L'Emprise du destin (Los ojos dejan huellas), de José Luis Sáenz de Heredia : Berta
  • 1952 : Onze heures sonnaient (Roma ore 11), de Giuseppe De Santis : Adriana
  • 1953 : Les Héros du dimanche (Gli eroi della domenica), de Mario Camerini : Mariolina
  • 1954 : Torpilles humaines (Siluri umani), de Leonviola : Anna Avanzi
  • 1954 : Orage (Delirio), de Pierre Billon et Giorgio Capitani : Elena
  • 1999 : Toni, de Philomène Esposito : Sylvana

Greco Cosetta

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Cosetta Greco, née Cesarina Rossi le 8 octobre 1930 à Trente dans la région du Trentin-Haut-Adige et morte le 14 juillet 2002 à Rome dans la région du Latium, est une actrice italienne principalement active au cinéma et à la télévision au cours des années 1950.

Greco Cosetta

Elle est remarquée lors d'un casting organisé par la société Scalera Film (it) et décroche à partir de 1948 quelques rôles de figuration avant d'obtenir l'un des premiers rôles du film Traqué dans la ville de Pietro Germi en 1951. Elle joue ensuite dans plusieurs productions italiennes et françaises dont Le Cap de l'Espérance de Raymond Bernard, La tannière des brigands de Pietro Germi, Le Chemin de l'espérance de Dino Risi, Je suis un bâtard de Giorgio Bianchi ou En amour on pèche à deux de Vittorio Cottafavi

En 1955, elle joue le rôle d'Alice, une jeune femme victime de Jacques Rupert (joué par Paul Frankeur) dans le film Je suis un sentimental de John Berry. Elle débute à la télévision en 1956 sous la caméra de Mario Landi (it) et poursuit sa carrière, dans des rôles moins glorieux que ceux de ses débuts. Victime d'une dépression, elle choisit d'arrêter sa carrière au début des années 1960.

Elle fait un éphémère retour en 1967, elle incarne alors Mata Hari au cours d'un feuilleton pour la télévision italienne intitulé Le Dossier Mata Hari. Elle figure dans le vaste casting de la série Il romanzo di un maestro, puis dans la comédie Un amour à trois de Sergio Capogna. Après une dernière apparition dans le western spaghetti Le shérif de Rockspring de Mario Sabatini, elle se retire définitivement. Elle décède en 2002 à Rome à l'âge de 71 ans.

Filmographie

  • 1943 : Dernier Amour (Addio, amore!) de Gianni Franciolini
  • 1948 : Les Misérables (Il Miserabili) de Riccardo Freda
  • 1948 : La Chartreuse de Parme de Christian-Jaque
  • 1949 : Anselme est pressé (La sposa non può attendere) de Gianni Franciolini
  • 1951 : Violence charnelle (Art. 519 codice penale) de Leonardo Cortese
  • 1951 : Traqué dans la ville (La città si defende) de Pietro Germi
  • 1951 : Le Cap de l'Espérance (La Nostra pelle) de Raymond Bernard
  • 1952 : Je suis un bâtard (La Nemica) de Giorgio Bianchi
  • 1952 : La tannière des brigands (Il brigante di Tacca del Lupo) de Pietro Germi
  • 1952 : Canzoni di mezzo secolo de Domenico Paolella
  • 1952 : Les Fiancés de Rome (Le Ragazze di piazza di Spagna) de Luciano Emmer
  • 1953 : Le Chemin de l'espérance (Il Viale della speranza) de Dino Risi
  • 1953 : Les Héros du dimanche (Gli eroi della domenica) de Mario Camerini
  • 1953 : La Maison du silence ou La Voix du silence (La voce del silenzio) de Georg Wilhelm Pabst
  • 1953 : Scampolo '53 de Giorgio Bianchi
  • 1954 : La Chronique des pauvres amants (Cronache di poveri amanti) de Carlo Lizzani
  • 1954 : Marco la bagarre (Musoduro) de Giuseppe Bennati
  • 1954 : En amour on pèche à deux (In amore si pecca in due) de Vittorio Cottafavi
  • 1955 : Terroristi a Madrid de Rafael Torrecilla
  • 1955 : Foglio di via de Carlo Campogalliani
  • 1955 : Napoléon de Sacha Guitry
  • 1955 : Je suis un sentimental de John Berry
  • 1955 : Les Amoureux (Gli Innamorati) de Mauro Bolognini
  • 1956 : I pappagalli de Bruno Paolinelli (it)
  • 1957 : Rien que nous deux (I sogni nel cassetto) de Renato Castellani
  • 1961 : Cronache del '22 de Moraldo Rossi (it) et cie
  • 1969 : Un amour à trois (Plagio) de Sergio Capogna
  • 1971 : Le shérif de Rockspring de Mario Sabatini

Télévision

  • 1959 : Canne al vento de Mario Landi (it)
  • 1959 : Il romanzo di un maestro
  • 1967 : Le Dossier Mata Hari

Stoppa Paolo

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Paolo Stoppa (6 juin 1906, Rome - 1er mai 1988, Rome) est un acteur italien.

Stoppa Paolo

Filmographie 

  • 1943 : Apparizione de Jean de Limur
  • 1949 : Le Fils de d'Artagnan (Il Figlio di d'Artagnan) de Riccardo Freda
  • 1950 : La Beauté du diable de René Clair
  • 1951 : Miracle à Milan (Miracolo a Milano) de Vittorio De Sica
  • 1951 : Le Petit Monde de don Camillo de Julien Duvivier
  • 1952 : Le Retour de don Camillo de Julien Duvivier
  • 1952 : Les Sept Péchés capitaux (segment L'Avarice et la colère) de Eduardo De Filippo
  • 1952 : Une femme pour une nuit de Mario Camerini
  • 1953 : Les Héros du dimanche (Gli eroi della domenica) de Mario Camerini
  • 1953 : Les Coupables de Luigi Zampa
  • 1953 : L'Ennemi public numéro un de Henri Verneuil
  • 1953 : Station Terminus (Stazione Termini) de Vittorio De Sica
  • 1954 : L'Or de Naples (L'Oro di Napoli) de Vittorio De Sica
  • 1954 : Le Comte de Monte-Cristo de Robert Vernay
  • 1954 : La Maison du souvenir (Casa Ricordi) de Carmine Gallone : Giovanni Ricordi
  • 1955 : La Belle de Rome (La bella di Roma) de Luigi Comencini
  • 1955 : Par dessus les moulins (La Bella mugnaia) de Mario Camerini
  • 1955 : La Chasse aux maris (Ragazze d'oggi), de Luigi Zampa
  • 1955 : La Grande Bagarre de don Camillo de Carmine Gallone
  • 1957 : L'Impossible Isabelle (La Nonna Sabella) de Dino Risi
  • 1960 : Ça s'est passé à Rome (La giornata balorda), de Mauro Bolognini
  • 1961 : La Menace de Gérard Oury
  • 1961 : Vanina Vanini, de Roberto Rossellini
  • 1963 : Le Guépard (Il Gattopardo) de Luchino Visconti
  • 1964 : Et vint le jour de la vengeance (Behold a Pale Horse) de Fred Zinnemann
  • 1968 : Il était une fois dans l'Ouest (C'era una volta il West) de Sergio Leone : Sam, le cocher
  • 1968 : L'Amour à cheval (La Matriarca) de Pasquale Festa Campanile
  • 1974 : Les Bidasses s'en vont en guerre de Claude Zidi
  • 1978 : Le Pot de vin (La Mazzetta) de Sergio Corbucci
  • 1981 : Le Marquis s'amuse (Il Marchese del Grillo) de Mario Monicelli
  • 1982 : Mes chers amis 2 (Amici miei atto II) de Mario Monicelli

L'Or de Naples

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L'Or de Naples (titre original : L’oro di Napoli) est un film à sketches de comédie italien, réalisé en 1954 par Vittorio De Sica. Instants de la vie dans la grouillante ville de Naples où Vittorio De Sica passa ses premières années. L'Or de Naples est composé de six épisodes inspirés des truculentes nouvelles de Giuseppe Marotta : Un clown squatté et exploité par un truand (Le Caïd), une vendeuse de pizza plutôt légère (Sofia) qui perd la bague que son mari lui a offerte (Pizza à crédit), les funérailles d’un enfant (Un enfant est mort), le comte Prospero B. invétéré joueur appauvri (Les Joueurs), l’improbable mariage de Teresa, une prostituée (Thérèse), et les exploits du « professeur » Ersilio Micci, vendeur prudent (Le Professeur).

L'Or de Naples de Vittorio De SicaL'Or de Naples de Vittorio De Sica

L'Or de Naples de Vittorio De Sica

Fiche technique

  • Titre original : L’oro di Napoli
  • Titre français : L'Or de Naples
  • Réalisateur : Vittorio De Sica
  • Scénario : Giuseppe Marotta (écrivain) (it) et Cesare Zavattini (adaptation à l’écran)
  • Producteurs : Dino De Laurentiis, Marcello Girosi (producteur exécutif) et Carlo Ponti
  • Production : Dino De Laurentiis Cinematografica
  • Image : Carlo Montuori
  • Montage : Eraldo Da Roma
  • Musique originale : Alessandro Cicognini
  • Décors : Gastone Medin
  • Costumes : Pia Marchesi
  • Durée : 131 min
  • Format : Noir et blanc 35mm, 35 mm, 1,37 : 1
  • Dates de sortie : Italie : 3 décembre 1954; France : 13 août 1955

Distribution

  • Silvana Mangano : Teresa (Teresa)
  • Sophia Loren : Sofia (Pizza à crédit)
  • Eduardo De Filippo : Don Ersilio Miccio (Le Professeur)
  • Paolo Stoppa : le veuf, Don Peppino (Pizza à crédit)
  • Erno Crisa : Don Nicola (Teresa)
  • Antonio de Curtis dit Totò (VF : Louis de Funès) : Don Saverio Petrillo (Le Caïd)
  • Lianella Carell l'épouse de Saverio, Carolina (Le Caïd)
  • Giacomo Furia  : le mari de Sofia, Rosario (Pizza à crédit)
  • Tina Pica : la vieille femme (Le Professeur)
  • Alberto Farnese : l’amant de Sofia, Alfredo (Pizza à crédit)
  • Tecla Scarano : l’amie de Peppino (Pizza à crédit)
  • Vittorio De Sica : Le comte Prospero B. (Les Joueurs)

Crisa Erno

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Erno Crisa (né le 10 mars 1924 à Bizerte, en Tunisie et mort le 5 avril 1968 à Rome) est un acteur italien.

Crisa Erno

Filmographie 

  • 1944 : Coup de tête, de René Le Hénaff : le directeur de l'Ambassador
  • 1945 : Le Mystère Saint-Val, de René Le Hénaff : Dédé, le vagabond
  • 1945 : Le Jugement dernier, de René Chanas
  • 1946 : Les Gueux au paradis, de René Le Hénaff
  • 1948 : Scandale, de René Le Hénaff
  • 1951 : Messaline (Messalina), de Carmine Gallone : Timus
  • 1953 : Les Héros du dimanche (Gli eroi della domenica), de Mario Camerini : Stefan
  • 1954 : L'Or de Naples (L’oro di Napoli), de Vittorio De Sica : Don Nicola
  • 1955 : L'Amant de Lady Chatterley, de Marc Allégret : Oliver Mellors
  • 1956 : Don Juan, de John Berry : Don Juan Tenejo
  • 1958 : La Fille de feu, d'Alfred Rode  : Larry Gordon
  • 1960 : Plein Soleil, de René Clément : Riccordi
  • 1960 : Carthage en flammes (Cartagine in fiamme), de Carmine Gallone : Astrubal
  • 1960 : La Vallée des pharaons (Il sepolcro dei re), de Fernando Cerchio : Kefren, le conseiller de Tegi
  • 1964 : Le Fils de Tarass Boulba (Taras Bulba il cosacco), de Henry Zaphiratos : envoyé du roi de Pologne
  • 1968 : Angélique et le Sultan, de Bernard Borderie : ambassadeur turc
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