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Freisler Roland

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Roland Freisler (né le 30 octobre 1893 à Celle (Allemagne) – mort le 3 février 1945 à Berlin) était un juriste allemand. 

Freisler Roland

Il débuta sa carrière sous la République de Weimar, puis la continua sous le Troisième Reich. Il accéda en août 1942 à la présidence du Volksgerichtshof, la plus haute cour de l'État national-socialiste pour les affaires pénales politiques, fonction qu'il occupera jusqu'à sa mort lors d'une attaque aérienne sur Berlin, trois mois avant la fin de la Seconde Guerre mondiale. Il est considéré comme étant le juge responsable de milliers de condamnations à mort prononcées dans les procès des trois dernières années du régime national-socialiste - des procès généralement publics dont les jugements étaient souvent établis d'avance et qu'il présidait ; il est aujourd'hui le juge pénal du "troisième Reich" le plus connu de triste mémoire.

Sûr de lui, irascible et aimant à humilier les accusés, il est un exemple caractéristique des violations juridiques au temps du nazisme dans le cadre de la terreur nationale organisée par le régime. En effet il était le représentant de la terreur judiciaire nazie, en particulier dans la poursuite des résistants du 20 juillet 1944. À la différence de presque toutes les autres figures marquantes de l'élite dirigeante nationale-socialiste, Roland Freisler est peu connu du public jusqu'aujourd'hui. Juriste, Freisler servit au cours de la Première Guerre mondiale en tant que lieutenant. Il fut fait prisonnier en 1915 par les Russes en Sibérie et devint commissaire bolcheviste après la dissolution du camp où il était prisonnier. (Hitler l'a aussi appelé de ce fait "le vieux bolchevik"). En 1920, il retourna en Allemagne, y présenta une thèse de doctorat en droit en 1922 à l'université de Jena dont le sujet était "Du principe de l'organisation de l'entreprise", puis ouvrit en 1924 une étude d'avocat à Kassel. Il adhéra, en 1925, au NSDAP. On lui donna des responsabilités législatives à Kassel et il devint plus tard membre du landtag d'Hesse-Nassau.

En tant qu'avocat de la défense, il représenta les nationaux-socialistes inculpés. Parallèlement, il revêtit l'uniforme d'officier des SA mais prit ses distances de cette organisation après la Nuit des Longs Couteaux, en 1934. En 1927, le Gauleiter (chef de région) du NSDAP, Karl Weinrich, caractérisait ainsi le "camarade de parti" Roland Freisler dans un rapport à la direction du parti à Munich : Sur le plan rhétorique, il est notre meilleur orateur [...]. C'est surtout sur les foules qu'il exerce une influence, alors qu'il est généralement rejeté par les hommes doués de raison. Le camarade de parti Freisler n'est utilisable qu'en tant qu'orateur. Comme chef, il n'est pas à sa place, car peu fiable et trop sujet à des sautes d'humeur. Le 24 mars 1928, il épousa Marion Russegger dont il eut deux fils, Harald et Roland. En 1932-1933, il fut membre du landtag de Prusse. Dans la même période, il devint alors aussi conseiller d'État et directeur ministériel prussien. En 1934, il fut secrétaire d'État au Ministère de la Justice prussien.

De 1934 à 1942, il fut secrétaire d'Etat au Ministère de la Justice du Reich, qu'il représenta lors de la Conférence de Wannsee. Le 20 août 1942, Freisler fut nommé président du Volksgerichtshof par Adolf Hitler, succédant ainsi à Otto Thierack, lui-même nommé ministre de la justice du Reich. Le Volksgerichtshof avait été fondé en 1934 pour traiter des cas de haute trahison. Son champ de compétence fut ensuite élargi à d'autres crimes visant la sûreté de l'État. Sous la présidence de Freisler, le nombre de condamnations à mort grimpa en flèche ; environ 90 % des procès se terminaient avec une condamnation à mort ou une peine de prison à vie, souvent décidées avant même le commencement du procès.

Entre 1942 et 1945, plus de 5 000 peines capitales furent prononcées par le Volksgerichtshof, dont environ 2 600 sous la présidence de Freisler. Freisler seul, en trois ans d'activité au Volksgerichtshof, prononça autant de condamnations à mort que toutes les autres chambres du Volksgerichtshof réunies pendant la durée de vie totale de ce tribunal d'exception de 1934 à 1945. Ses actes les plus célèbres sont la condamnation d'Hans et Sophie Scholl, de la Rose blanche, à la peine capitale, ainsi que celle des conjurés de l'attentat du 20 juillet 1944 contre Hitler. La cause exacte de la mort de Freisler reste inconnue. Probablement est-il mort, le 3 février 1945, sous les ruines du tribunal de Berlin lors d'un bombardement américain. Selon d'autres sources, il aurait été blessé par un éclat de bombe et aurait perdu son sang, soit parce qu'il n'aurait pas rejoint l'abri à temps, soit parce qu'il aurait ignoré l'alarme alors qu'il cherchait des documents aux archives.


Stuckart Wilhelm

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Wilhelm Stuckart (16 novembre 1902 – 15 novembre 1953) était un officiel du Parti nazi ; juriste, il fut secrétaire d'État au ministère de l'Intérieur allemand. 
Stuckart Wilhelm

Wilhelm Stuckart naît à Wiesbaden. Il adhère en 1922 au Parti nazi, dans lequel il s'implique très tôt dans les prises de positions des nazis envers les Juifs, notamment comme co-rédacteur des lois antisémites de Nuremberg de 1935. Il représente également Wilhelm Frick, ministre de l'Intérieur, lors de la Conférence de Wannsee (20 janvier 1942), où fut formalisée la mise en œuvre de la « Solution finale de la question juive dans la sphère d'influence allemande en Europe ». L'examen minutieux des minutes de la conférence a laissé supposer que Stuckart aurait soulevé des objections quant au fait que les SS transgresseraient les lois précédemment mentionnées en mettant en œuvre la « solution finale ».

Il aurait également souligné les difficultés administratives d'un programme aussi radical, en insistant sur le fait qu'une stérilisation obligatoire aurait constitué une option préservant davantage l'esprit des lois de Nuremberg. Toutefois, le secrétaire de la Conférence, le SS-Obergruppenführer Reinhard Heydrich, informa Stuckart que la décision d'exterminer les juifs avait été prise par Adolf Hitler et qu'en accord avec les Führerprinzip, cette décision était au-dessus des lois. Stuckart et plusieurs autres participants de la conférence remarquèrent qu'Hitler n'avait pas donné cet ordre par écrit, conformément à l'usage pour les instructions particulièrement secrètes ou problématiques.

Stuckart exerça brièvement les fonctions de ministre de l'Intérieur du Gouvernement de Flensbourg, après la chute de Heinrich Himmler, en mai 1945. Après la guerre, Stuckart fut arrêté par les Alliés pour crimes de guerre, jugé et condamné lors du Procès des ministères. Il fut condamné à une peine de prison couverte par son incarcération préventive et libéré en avril 1949.

En dépit de son implication lourde dans les politiques nazies les plus meurtrières, son avocat put s'appuyer sur des témoignages comme ceux de son assistant Hans Globke, qui le décrivait comme un « nazi loyal », mais également préoccupé par le respect des lois, cherchant à défendre le ministère de l'Intérieur des interférences politiques directes, et modérant l'impact des lois racistes sur les « demi-juifs ». Stuckart trouva la mort en novembre 1953 près de Hanovre, dans un accident de la route. Certains ont suspecté que cet accident avait été provoqué par des personnes « chassant » les criminels de guerre nazis en liberté.

Schleier Rudolf

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Rudolf August Emil Otto Schleier (31. August 1899 in Hamburg ; 4. Januar 1959) war ein deutscher Kaufmann, NS-Funktionär und Diplomat. Während des Zweiten Weltkriegs war er im deutsch besetzten Frankreich Vertreter des Botschafters Otto Abetz.

Schleier Rudolf

Rudolf Schleier absolvierte nach dem Ende seiner Schullaufbahn eine kaufmännische Ausbildung und nahm ab Juni 1917 am Ersten Weltkrieg teil. Von September 1918 bis Januar 1920 befand er sich in französischer Kriegsgefangenschaft. Von 1920 bis 1940 war er als Kaufmann tätig zuletzt als Prokurist. Der Käsegroßhändler war ab 1924 geschäftlich regelmäßig in Frankreich und nach eigenen Angaben ein zunehmend „überzeugterer Anhänger einer deutsch-französischen Verständigung“.

Schleier war bereits 1920 Mitglied im Deutschvölkischen Schutz- und Trutzbund geworden und gehörte von 1920 bis 1924 der DNVP an. Im Dezember 1931 trat er der NSDAP bei. Er war am Aufbau einer NSDAP/AO-Landesgruppe in Frankreich beteiligt und für diese NS-Organisation ab 1933 Frankreichreferent. Er wurde 1935 kommissarischer Landesgruppenleiter der NSDAP/AO in Frankreich im Rang eines Gaustellenleiters und war zum Gauamtsleiter befördert dort von 1936 bis Anfang April 1938 offiziell Landesgruppenleiter der NSDAP/AO. Er gehörte zu den Mitbegründern und dem Vorstand der NS-nahen Deutsch-Französischen Gesellschaft mit Sitz in Berlin, saß ab 1936 einer Zweigstelle dieser Gesellschaft in Hamburg für die Hansestädte vor und wurde im November 1938 Vizepräsident der Deutsch-Französischen Gesellschaft.

Nach Beginn des Zweiten Weltkrieges hielt er sich während des Sitzkrieges von November 1939 bis April 1940 im deutsch besetzten Wartheland auf, um für die Handelskammer Hamburg die dortige Wirtschaftslage zu sondieren. Über seinen Bekannten Abetz kam Schleier zum Auswärtigen Amt. Nach dem Frankreichfeldzug gehörte Schleier zur sogenannten Abetzgruppe, die am 14. Juni 1940 ins deutsch besetzte Belgien geflogen wurde und von dort in das gerade deutsch besetzte Paris gelangte. In Paris führte Schleier zunächst den Titel Generalkonsul, und nachdem Abetz Botschafter geworden war, wurde er zum Gesandten (Ende 1941 II. Klasse und im April 1943 I. Klasse) ernannt. Während der Abwesenheit von Abetz übernahm Schleier in Paris dessen Geschäfte.

Schleier war auch an antijüdischen Maßnahmen beteiligt: Im Frühjahr 1942 ließ der Leiter des Eichmannreferats Adolf Eichmann beim Auswärtigen Amt anfragen, ob 1.000 bereits in Compiègne inhaftierte französische sowie staatenlose Juden als Sühnemaßnahme für Anschläge gegen Wehrmachtssoldaten in das KZ Auschwitz verbracht werden könnten. Kurz darauf wurde diese Anzahl durch Eichmann um 5.000 weitere „staatspolizeilich in Erscheinung getretene Juden“ erhöht. Diese Anfrage wurde durch den Unterstaatssekretär im Auswärtigen Amt Martin Luther telegrafisch an Schleier weitergeleitet, der „gegen die beabsichtige Judenaktion keine Bedenken“ erhob. Das Auswärtige Amt meldete daraufhin Eichmann, dass gegen die Deportation kein Einspruch erhoben werde. Am 7. Mai 1942 konnte SS-Hauptsturmführer Theodor Dannecker mit Abetz, Schleier und dem Judenreferenten der Botschaft Carltheo Zeitschel die Kennzeichnungsverordnung zum Judenstern vereinbaren, die am 29. Mai von der Militärverwaltung erlassen wurde. Im September 1942 berichtete er an das Auswärtige Amt, dass bereits 28.069 Juden gemäß der Forderung des Reichssicherheitshauptamtes zum „Zwecke der Endlösung“ deportiert worden seien. Im Februar 1943 koordinierte er für die Botschaft die Judenmaßnahmen im neubesetzten Gebiet Vichy-Frankreichs und in der italienisch besetzten Zone Frankreichs.

1944 wurde Schleier mit der Leitung der durch Ribbentrop neugegründeten Informationsstelle X des Auswärtigen Amts beauftragt, die mehrfach umbenannt zuletzt als Informationsstelle XIV (Antijüdische Auslandsaktion) firmierte. Diese Dienststelle sollte die antijüdische Propaganda zentral koordinieren, u.a. wurden antijüdische Radiosendungen für den Auslandsfunk produziert – mit Hinweis auf die angebliche Kriegsschuld der Juden, deren angebliche Verbindungen zum Bolschewismus (s. Jüdischer Bolschewismus) bzw. Weltherrschaftspläne (s. Weltjudentum), um antisemitische Bewegungen zu stärken In diesem Zusammenhang beabsichtigte Schleier u.a. ein „Diplomatisches Jahrbuch zur jüdischen Weltpolitik“ zu publizieren, eine Wanderausstellung zu organisieren und ein antijüdisches Archiv anzulegen. Die auf Initiative von Horst Wagner zustande gekommene und von Franz Alfred Six organisierte „Arbeitstagung der Judenreferenten der Deutschen Missionen in Europa“ in Krummhübel am 3. und 4. April 1944 wurde von Schleier geleitet.

Am 21. April 1944 übernahm er als Nachfolger von Hans Bernd von Haeften das Amt des Ministerialdirigenten der Kulturpolitischen Abteilung im Auswärtigen Amt. Als Vertreter des Auswärtigen Amtes wurde er im Mai 1944 zusätzlich Vizepräsident der Vereinigung zwischenstaatlicher Verbände. Von Ende März 1945 bis Mitte April 1945 leitete er die nach Thüringen ausgelagerten Dienststellen des Auswärtigen Amtes.

Nach Kriegsende befand sich Schleier in alliierter Internierungshaft. Während seiner Internierung wurde er 1947 in Nürnberg im Rahmen der Nürnberger Prozesse mehrmals vernommen. Schleier betonte in den Verhören, dass er persönlich gegen die Juden seines persönlichen Umkreises ja nichts habe und bis 1939 auch einen jüdischen Schneider gehabt sowie auf Dienstreisen in Frankreich bei einem jüdischen Hotelier übernachtet und mit diesem gefrühstückt habe. Das von ihm ausgefertigte Telegramm zur Deportation bestritt er im Verhör, vom Vernichtungslagern wollte er erst nach Kriegsende erfahren haben, so dass der Mitarbeiter der Anklagebehörde Robert Kempner nach monatelangen Vernehmungen die Einbeziehung Schleiers in den Wilhelmstraßen-Prozess verwarf, um sich auf die Anklage gegen den Staatssekretär Ernst von Weizsäcker zu konzentrieren. Vom Internierungslager Dachau aus wurde er im Dezember 1947 entlassen. Im November 1948 wurde Schleier erneut festgenommen und nach Frankreich überstellt. Von einem Militärgericht in Paris wurde er „außer Verfolgung gesetzt“. Nach der Entlassung aus der Internierung lebte Schleier als Gesandter zur Wiederverwendung (z. Wv.) in Hamburg-Blankenese. Er beging 1959 Suizid. Nach seinem Tod kam sein umfangreicher Nachlass in das Politische Archiv des Auswärtigen Amts in Bonn.

Rademacher Franz

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Né en 1906, fils d’un ouvrier des chemins de fer, Rademacher entreprend des études de droit, entre dans l’administration publique et s’inscrit au parti nazi en 1933. 

Rademacher Franz

Il entre dans le ministère des affaires etrangères en 1937 et est nommé chef de la sectiion DIII qui s’occupe du problème juif sous la direction de Martin Luther. C’est à ce poste qu’il élabore le « Projet Madagascar » consistant à déporter les Juifs en masse dans l’ïle africaine, pour s’en débarasser. Considéré comme réaliste, le projet est abandonné devant les perspectives peu encourageantes de collaboration avec la France.

Fin 1941, Rademacher est directement impliqué dans l’extermination des Juifs et résistants de Serbie. Il retourne en Allemagne pour s’occuper des problèmes de l’extermination des Juifs appartenant aux pays étrangers. Impliqué en 1943 dans la tentative de Luther pour prendre la place de Ribbentrop, il est congédié et s’engage dans la Marine pour combattre.

Après la guerre, il est condamné à trois ans et cinq mois de prison par un tribunal allemand de Nuremberg en 1952. Mais il réussit à fuir et s’installe en Syrie où il est emprisonné pour des actes liés aux affaires arabes en 1963. Il revient volontairement en Allemagne en 1966. Il est condamné à cinq ans par le tribunal de Bamberg en 1968, mais libéré pour raisons de santé. Il meurt en 1973.

Osterwald Bibi

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Bibi Osterwald fut une actrice américaine née le 3 février 1918 à New Brunswick (New Jersey) et décédée le 2 janvier 2002 à Burbank (Californie).

Osterwald Bibi

Filmographie

  • 1948 : Captain Billy's Mississippi Music Hall (série TV) : Regular (1948)
  • 1949 : Front Row Center (série TV) : Regular
  • 1954 : The Imogene Coca Show (série TV) : Regular (1954-55)
  • 1958 : Gift of the Magi (TV) : Mme. Sofronie
  • 1959 : Our Town (TV) : Mrs. Gibbs
  • 1961 : La Soif de la jeunesse (Parrish) : Rosie
  • 1964 : Deux copines, un séducteur (The World of Henry Orient) : Erica 'Boothy' Booth
  • 1966 : A Fine Madness : Mrs. Fitzgerald
  • 1967 : The Tiger Makes Out : Mrs. Ratner
  • 1969 : Where the Heart Is (série TV) : Stella O'Brien (1969-1972) (original cast)
  • 1972 : Bridget Loves Bernie (série TV) : Sophie Steinberg (1972-73)
  • 1974 : Bank Shot : Mums Gornik
  • 1977 : Little Ladies of the Night (TV) : Matron
  • 1977 : The Last of the Cowboys : Annie McCarigle
  • 1980 : La Plantation ("Beulah Land") (feuilleton TV) : Nell Kendrick
  • 1981 : A Tale of Two Wishes (TV) : Grandmother (voix)
  • 1963 : Hôpital central ("General Hospital") (série TV) : Nanny McTavish #1 (1982)
  • 1983 : Happy Endings (TV) : Mrs. Dooley
  • 1987 : Stillwatch (TV) : Margaret Langley
  • 1988 : Moving : Crystal Butterworth
  • 1988 : Caddyshack II : Mrs. Pierpont
  • 1988 : The Absent-Minded Professor (TV) : Mrs. Nakamura
  • 1990 : Le Magicien d'Oz ("The Wizard of Oz") (série TV) (voix)
  • 1993 : Star (TV) : Aunt Pamela
  • 1994 : Angie : Dr. Gould's Nurse
  • 1994 : Phantom 2040 (série TV) : Additional Voices (voix)
  • 1996 : L'Ombre blanche (The Glimmer Man) : Woman in Ovington Arms
  • 1997 : Commando en herbe (The Paper Brigade) (vidéo) : Widow Ida Hansen (Mrs. Hansen)
  • 1997 : Pour le pire et pour le meilleur (As Good as It Gets) : Neighbor Woman

Buchanan Pat

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Patrick Joseph « Pat » Buchanan (né le 2 novembre 1938 à Washington DC, États-Unis) est un journaliste et homme politique américain, commentateur politique sur la chaine MSNBC, cofondateur du magazine The American Conservative et cofondateur de la fondation paléo-conservatrice The American Cause.

Buchanan Pat

Conseiller politique des présidents Richard Nixon, Gerald Ford et Ronald Reagan, il fut deux fois candidat à l'investiture républicaine de la présidence des États-Unis et a reçu en 2000 la nomination du Reform Party of the United States of America pour l'élection présidentielle des États-Unis d'Amérique 2000 en tandem avec Ezola Broussard Foster pour la vice-présidence. Il a également écrit plusieurs ouvrages sur ses opinions politiques conservatrices ainsi que des chroniques dans des revues comme Human Events, National Review, The Nation et Rolling Stone. Il a été l'un des rédacteurs des discours du président Richard Nixon. En 2003, il s'est opposé à la guerre d'Irak, et est resté défavorable à la politique étrangère de George W. Bush durant tout son mandat.

Buchanan est un des représentants de la droite américaine. Catholique traditionaliste, il a incarné le courant paléo-conservateur du Parti républicain tout en conservant d'importantes relations avec le Constitution Party. Pat Buchanan est né 1938 à Washington DC. Descendant d'un officier confédéré, il est le fils de Catherine Elizabeth Crum (1911-1995) et de William Baldwin Buchanan (1905 - 1988), tous deux mariés en 1936. Pat Buchanan grandit avec ses six frères et ses deux sœurs au sein d'une famille catholique traditionaliste. Il fait ses études à l'université de Georgetown puis est dispensé de service militaire pour des raisons de santé. Il est diplômé en journalisme de l'université Columbia en 1962 après avoir rédigé un mémoire sur la progression des relations commerciales entre Cuba et le Canada alors que le premier était soumis à un embargo des États-Unis d'Amérique.

Buchanan n'a que 23 ans quand il commence à écrire des éditoriaux dans le journal St. Louis Globe-Democrat où il dénonce le commerce du Canada avec la dictature cubaine dans un éditorial titré "Canada sells to Red Cuba - And Prospers." Par la suite, Buchanan dénoncera l'embargo estimant qu'il n'avait fait que renforcer le régime communiste dirigé par Fidel Castro. En 1964, Buchanan devient éditorialiste adjoint au Globe-Democrat. Il fait alors campagne en faveur de Barry Goldwater lors de l'élection présidentielle de 1964 même si le Globe-Democrat n'endosse pas finalement la candidature du sénateur républicain de l'Arizona. En 1965, Pat Buchanan commence à travailler au côté de Richard Nixon au sein de son cabinet d'avocats à New York. En 1966, il est l'un des premiers conseillers politiques que Nixon recrute en vue de sa candidature à l'élection présidentielle de 1968. Au côté de Nixon, il effectue un tour du monde qui l'emmène en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient juste après la guerre des Six Jours.

En 1969, quand Nixon entre à la Maison-Blanche, Buchanan devient conseiller de la Maison-Blanche et rédacteur des discours du président et du vice-président Spiro Agnew. On lui doit la formule de majorité silencieuse. Il eut un rôle non négligeable dans la stratégie du président Nixon pour se concilier les électeurs démocrates notamment lors de la campagne de 1972 sur un programme anti-establishment. Il accompagne Nixon en 1972 lors du premier voyage d'un président américain en Chine populaire et en 1974 à Moscou, Yalta et Minsk. Épargné par le scandale du Watergate qui aboutit à la démission de Nixon, Buchanan demeure adjoint au président Gerald Ford qui refuse la proposition d'Alexander Haig de nommer Buchanan au poste d'ambassadeur des États-Unis en Afrique du Sud.

Après avoir quitté la Maison-Blanche, Buchanan revient à sa carrière de journaliste, de chroniqueur politique et d'éditorialiste. Il coprésente à la radio le Buchanan-Braden Program au côté du journaliste (progressiste) Tom Braden et présente régulièrement des chroniques politiques sur la chaine de radio de la NBC de 1978 à 1984. Parallèlement, il commence une carrière à la télévision en tant que commentateur politique. Sur la chaine CNN, il est un chroniqueur régulier sur The McLaughlin Group, Crossfire et The Capital Gang, ce qui lui assure une véritable notoriété nationale. De 1985 à 1987, sous le mandat de Ronald Reagan, Buchanan est directeur de la communication de la Maison-Blanche. C'est à cette fonction qu'il prend parti en faveur des Contra au Nicaragua ou qu'il défend la visite de Ronald Reagan au cimetière de Bitburg en Allemagne de l'Ouest où sont enterrés parmi d'autres des soldats de la SS. Il participe également au sommet de Reykjavik entre Ronald Reagan et Mikhaïl Gorbatchev.

En 1986, sa sœur Bay Buchanan entame une campagne proposant son frère Pat comme candidat à l'élection présidentielle de 1988 afin de représenter le mouvement conservateur. Après être redevenu commentateur politique sur CNN, Buchanan renonce finalement à poursuivre une campagne électorale en 1988 et se rallie à la candidature de Jack Kemp. En 1990, Buchanan publie un article intitulé Patrick J. Buchanan: From the Right et édite des autocollants reprenant une citation du président George H. W. Bush "Read Our Lips! No new taxes." alors que celui-ci s'apprête à augmenter les impôts. En 1992, Buchanan se présente aux élections primaires républicaines contre le président sortant. Il propose un programme traditionnel du conservatisme américain : réduction de l'immigration, conservatisme social et nationalisme économique (protectionnisme), programme auquel il ajoute un réquisitoire contre le multiculturalisme, l'avortement et le prosélytisme des homosexuels.

S'il parvient à réunir plus de 3 millions de voix lors des primaires, il est devancé par le président sortant auquel il apporte finalement son soutien lors de la convention du parti républicain. Lors de celle-ci, il prononce un discours dans lequel il s'en prend au candidat démocrate Bill Clinton et à son épouse et déclare qu'une guerre culturelle va commencer, « une guerre religieuse pour l'âme du pays ». Le discours de Buchanan, destiné à endiguer à droite le succès de la candidature de Ross Perot, est finalement perçu comme trop radical et fait perdre une partie de l'électorat modéré à George H. W. Bush qui finalement perd l'élection présidentielle. Dans les années 1990, Buchanan continue sa carrière de journaliste, de chroniqueur et de coanimateur d'émission politiques à la télévision américaine et à la radio où il anime notamment Buchanan and Company, un talk show de trois heures sur Mutual Broadcasting System. En 1993, il fonde The American Cause, une fondation paléo-conservatrice qui fait la promotion des valeurs traditionnelles conservatrices, du fédéralisme et de l'isolationnisme. Buchanan gagne les primaires et les caucus dans les États de New Hampshire, Missouri, Louisiane et Alaska.

En 1996, Buchanan tente de nouveau d'obtenir l'investiture républicain pour l'élection présidentielle du mois de novembre sur la base d'un programme hostile à l'Accord de libre-échange nord-américain (NAFTA). Après avoir gagné quatre primaires et caucus, Buchanan est finalement devancé par le sénateur Bob Dole, affaibli notamment après que son codirecteur de campagne a été accusé d'avoir participé à deux réunions organisées par des suprémacistes blancs et des chefs de milices locales. Le ticket Bob Dole / Jack Kemp recevra néanmoins le soutien de Buchanan lors de la phase finale de l'élection présidentielle. En 1999, suite à de mauvais sondages concernant sa candidature au sein du Parti républicain, Buchanan se rapproche du parti de la réforme puis annonce sa démission du Parti républicain. Buchanan devient ensuite le candidat du Parti de la réforme en dépit des divisions internes sur sa candidature. Lors de son investiture, Buchanan propose le retrait des États-Unis de l'ONU, l'expulsion du siège de celle-ci vers un pays tiers, la suppression du département de l'Éducation, de celui de l'Énergie, de celui du Logement et du Développement urbain ainsi que la suppression de l'impôt sur les successions et les programmes d'affirmative action.

Lors de l'élection présidentielle de 2000, Buchanan remporta 449 895 suffrages soit 0,4 % des voix. Dans le comté de Palm Beach en Floride, Buchanan reçut 3 407 voix ce qui est alors paru surprenant dans un comté considéré comme très progressiste. Il est alors apparu que par inadvertance, certains électeurs avaient sans doute mal perforé leur bulletin et croyant voter Al Gore, avaient voté Buchanan. Ce dernier admit volontiers que ces voix auraient dû aller à Al Gore. Si cette erreur, qui n'a jamais été confirmée, était avérée, elle a permis alors au républicain George W. Bush de remporter l'État de Floride par un écart inférieur à mille voix et de ce fait, lui a permis de remporter l'élection présidentielle américaine face à Al Gore. Durant les années 2000, Buchanan s'identifie comme un indépendant opposé à la ligne néo-conservatrice alors en vogue chez les républicains et à la guerre en Irak. En 2004 cependant, il rallie de nouveau les républicains et apporte son soutien à George W. Bush. Après les élections de 2000, Buchanan reprend sa carrière journalistique mais quitte CNN pour MSNBC où il anime jusqu'en 2003 le talk show Buchanan and Press. Après 2003, il devient analyste politique au sein de MSNBC ce qui lui permet d'être un invité récurrent des différents talk shows ou d'assurer l'intérim de Joe Scarborough dans Scarborough Country.

En 2002, il cofonde avec Scott McConnell, ancien éditorialiste au New York Post, et Taki Theodoracopulos, un financier conservateur, un nouveau magazine paléo-conservateur intitulé The American Conservative. En janvier 2012, Buchanan est suspendu pour une durée indéterminée de MSNBC en tant que contributeur et le président de la chaîne, Phil Griffin, déclare qu'il n'a pas décidé s'il va laisser Buchanan revenir. Le groupe d'intérêt noir Color of Change (en) a pressé MSNBC de le renvoyer pour injures raciales et « suprémacisme blanc ». MSNBC s'est séparée définitivement de Buchanan le 16 février 2012. Buchanan se déclare être un conservateur traditionnel, opposé aux néo-conservateurs ou aux Rockefeller Republicans. Il déclare que, contrairement à ce dont on l'accuse quelquefois, il n'est ni antisémite, ni homophobe, ni raciste, ni sexiste, ni antiféministe, ni fasciste, ni isolationniste. Son positionnement politique reflète plutôt l'influence du paléo-conservatisme, autrefois puissant au sein du parti républicain à l'époque du sénateur Robert Taft. Ainsi, il est opposé à une vision étatiste du pays et soutient la suppression d'importantes administrations fédérales qu'il estime inefficaces et dispendieuses.

Il est un constant opposant au néo-conservatisme qu'il considère être un reniement des valeurs conservatrices traditionnelles. En 2006, il assimile notamment la politique intérieure de George W. Bush à celle de la grande société de Franklin Delano Roosevelt, sa politique internationale à celle de Woodrow Wilson et sa politique en matière d'immigration à celle de Lyndon Johnson, ne lui accordant une comparaison avec Ronald Reagan que pour la nomination de juges conservateurs.

Publications

  • Suicide of a Superpower: Will America Survive to 2025?, 2011
  • Suicide Watch: America's Plunge Toward Self-Destruction, 2008 [à confirmer]
  • State of Emergency: The Third World Invasion and Conquest of America, 2007
  • Where the Right Went Wrong: How Neoconservatives Subverted the Reagan Revolution and Hijacked the Bush Presidency, 2004
  • The Death of the West: How Dying Populations and Immigrant Invasions Imperil Our Country and Civilization, 2002
  • A Republic, Not an Empire: Reclaiming America's Destiny, 2002
  • The Great Betrayal: How American Sovereignty and Social Justice Are Being Sacrificed to the Gods of the Global Economy, 1998
  • Right from the Beginning, 1988
  • America Asleep: The Free Trade Syndrome and the Global Economic Challenge : A New Conservative Foreign Economic Policy for America, 1991
  • Conservative votes, liberal victories: Why the right has failed, 1975
  • The New Majority: President Nixon at mid-passage, 1973

Rauff Walter

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Walter Rauff (né le 19 juin 1906 à Köthen, Allemagne - mort le 14 mai 1984 à Santiago, Chili) était un officier de la SS, ayant obtenu le grade de Standartenführer en juin 1944, proche de Reinhard Heydrich au Sicherheitsdienst (SD) puis au Reichssicherheitshauptamt (RSHA).

SS Colonel Walter Rauff (l.) during his arrest in Italy in 1945

SS Colonel Walter Rauff (l.) during his arrest in Italy in 1945

Walter Rauff entre comme cadet dans la Reichsmarine en 1924. Il est promu lieutenant en 1936 et prend le commandement d'un dragueur de mines. De cette période dans la Reichsmarine date sa rencontre et son amitié avec Reinhard Heydrich. En mai 1937 il adhère au parti nazi puis en avril 1938 rejoint la SS et intègre le SD à Berlin. En 1940 et 1941, il réintègre la marine et commande une flotille de dragueurs de mines dans la Manche. Comme Heydrich le charge à l'automne 1941 de créer des camions à gaz2il convoque en septembre 1941 Friedrich Pradel le chef (referat) du bureau technique des véhicules motorisés au SD (AMT II D3 du RSHA) pour l'informer du projet d'Heydrich d'aménager des camions dans le but de tuer un grand nombre de personnes en URSS. 

Il lui demande s'il est possible techniquement d'acheminer les gaz d'échappement d'un véhicule à l'intérieur de la remorque hermétiquement fermée. Pradel, après avoir consulté le chef-mécanicien Harry Wentritt, répond par l'affirmative. Rauff ordonne alors qu'on se procure des camions de l'armée et qu'on les transforme en camions à gaz dans le garage de Wentritt. Il a déclaré après la guerre: « En ce qui concerne l'extermination des Juifs en Russie, je sais qu'on a utilisé des camions à gaz [...], pour moi ce qui comptait était le choc moral ressenti par les tireurs lors des exécutions par armes à feu. Cet obstacle psychologique disparaissait avec les camions à gaz ». Dans une note du 5 juin 1942, il annonce que, depuis décembre 1941, 97 000 personnes ont été gazées dans trois camions à gaz à Chelmno.

Le 20 juillet 1942, il débarque à Tunis avec un einsatzkommando pour faire la chasse aux Juifs d'Égypte, de Palestine et du Moyen-Orient. Son unité est rattachée à la « Panzerarmee Afrika » commandée par Erwin Rommel. Délégué général du SD en Tunisie et chef de la Gestapo de Tunis, en novembre 1942 il envisage de construire un camp de concentration à Sfax. Il procède à des arrestations de Juifs qui sont envoyés dans un camp à Cheylus, au sud de Tunis. Ne pouvant pas, faute de transports disponibles, envoyer les Juifs en Europe, il exige de la communauté juive de s'acquitter d'une rançon d'une demi-tonne d'or ou sa contrepartie en devises, au prétexte que les Juifs sont responsables des raids aériens au-dessus de Tunis. En septembre 1943, Walter Rauff est envoyé à Bolzano pour se mettre en contact avec Wilhelm Harster, chef du SD en Italie, qui le nomme chef de la police de sureté (SD) en Italie du nord.

Der frühere SS-Offiziert Walter Rauff nach seiner Verhaftung im chilenischen Punta Arenas

Der frühere SS-Offiziert Walter Rauff nach seiner Verhaftung im chilenischen Punta Arenas

Rauff est présumé responsable de près de 100 000 morts pendant la Seconde Guerre mondiale, de la fourniture en équipements et munitions des Einsatzgruppen, du développement des Gaswagen et de la persécution de communistes, de Roms et des Juifs physiquement ou mentalement malades. En juillet 1942, chargé d'appliquer la Solution finale en Égypte, le projet échoue suite à la débâcle de l'Afrika Korps de Rommel au cours de la bataille d'El Alamein. Walter Rauff est alors fait prisonnier par les Alliés en 1945 en Italie, mais réussit néanmoins à s'enfuir en 1946. Il se cache et travaille comme jardinier puis comme professeur de langue. Avec l'appui de l'évêque catholique autrichien Alois Hudal supervisant le collège pontifical Santa Maria Dell'Anima et cachant d'anciens nazis, Rauff va alors pouvoir, suite à la demande de ses anciens contacts orientaux, organiser la fuite de nombreux cadres nazis vers la Syrie.

En juillet 1948, en pleine guerre israélo-arabe de 1948, il est recruté par les services secrets israéliens avec pour mission d'aller en Égypte assassiner plusieurs personnages clés8. Quelques mois plus tard, on le retrouve en Syrie comme conseiller du Président Hosni Zaim, mais il doit s'enfuir quand ce dernier est renversé. Rauff gagne l'Argentine et enfin le Chili. Entre 1958 et 1962, il travaille pour les Services de renseignements de l'Allemagne de l'Ouest. Il est, durant les années 1980 et 1990, un des nazis les plus recherchés. Sous la dictature d'Augusto Pinochet, Rauff participe à la répression des opposants politiques, travaillant à la conception de camps de concentration, notamment celui de l'île Dawson. Il décède d'une crise cardiaque le 14 mai 1984. De nombreux sympathisants nazis assistent à son enterrement.

Fitzthum Josef

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Josef Fitzthum (September 14, 1896, Loimersdorf, Lower Austria — January 10, 1945, Wiener Neudorf, was a senior SS Gruppenführer, Generalleutnant der Waffen-SS und Polizei, politician, and Beauftragter des Reichsführer-SS Albanien (special representative of the Reichsführer SS in Albania) during World War II

Fitzthum JosefFitzthum Josef

Josef Fitzthum was born in 1896 on the Austrian-Hungarian frontier, the son of Josef Fitzthum, an administrative official from western Bohemia. Fitzhum undertook his education at the Austrian Militärunterrealschule and the oberrealschule. From 1916 he served as a Leutnant (lieutenant) in the 3rd Regiment of the Tiroler Kaiserjäger of the Austro-Hungarian Army and was the first junior officer to be awarded the Order of the Iron Crown. In 1917 he was promoted to Oberleutnant (senior lieutenant) and was deployed to the war on the Italian front.

In mid-January 1919 he was dismissed from the much reduced Austrian army (Volkswehr) and from 1920 he worked in the civil service. From 1923 to 1933 he worked as a secretary at the Vienna School of Applied Arts. In 1931 Fitzthum joined the NSDAP (Membership Number 363,169) and in 1932, the SS (Membership Number 41,936). In 1933 he was sentenced to two and a half years in political detention, from which he twice escaped. In April 1932 he joined the XI. SS Standard in Vienna, which he led from September 1932 for six months. After his expatriation from Austria, starting in March 1936, he was appointed a full-time SS Standartenführer (colonel). In May 1936 he was posted to the SS Germania, and led the 58th SS regiment in Cologne from the beginning of January 1937 until the end of September 1937.

Fitzthum was married in 1937 and had two children. In 1938 he became a member of the Berlin Reichstag. From October 1937 to March 1938 he was involved in SD activities. Following the Anschluss he was appointed Deputy Chief of police in Vienna from 12 March 1938 to March 1940. In March 1938 he was involved in several high profile meetings and public ceremonies with Heinrich HimmlerKurt DaluegeKarl WolffReinhard Heydrich and Ernst Kaltenbrunner reviewing Austrian police forces in Vienna. In 1940 he was removed from his post following accusations of corruption. In 1940 Fitzthum was transferred to the Waffen SS and appointed as an infantry commander in the SS-Totenkopfverbände. Between mid-April 1942 and May 1943 he was in the Netherlands as a commander of the for the establishment of the Aufstellung von Freiwilligen-Verbänden der Waffen SS (voluntary associations of the Waffen SS).

From October 1943 to 1 January 1945 SS Brigadeführer und Generalmajor der Waffen-SS und Polizei Josef Fitzthum was appointed Politiker sowie Beauftragter des Reichsführer-SS Albanien by Heinrich Himmler to act as his personal plenipotentary in Albania. As a former Vienna police chief Fitzthum's main stated task was to rebuild the Albanian police force. However he soon conceived the idea of raising some kind of Albanian Legion as the Austrians had done here during World War I but within the Waffen SS. Consequently from April 1944 to June 1944 Fitzthum was involved in the recruitment and training of the 21st Waffen Mountain Division of the SS Skanderbeg (1st Albanian).

Inside Albanian wartime politics he was a vocal opponent of collaborating with the Zogist / Royalist faction. An experienced political infighter Fitzthum rapidly monopolized both the Reich powers in Albania (usurping even those of the German Foreign Ministry) and the local Albanian political systems of administration. In August 1944 he was promoted SS Gruppenführer und Generalleutnant der Waffen-SS and granted very broad powers. In September 1944 he directly appointed a three man "control committee" for Tirana including Prengë Previzi (an obscure collaborating politician), the formal head of the Albanian secret police under the Nazis, and General Gustav von Myrdacz (an Austrian military officer who had retired to Tirana after World War I).

"Regular army officers decried Fitzthum's rash of arrests as well as the transporting of some 400 Albanian prisoners out of Albania, directly contravening existing agreements.". By 2 October 1944, when the Germans decided to formally evacuate Albania, Fitzthum was perhaps the most powerful man in the entire country. During the withdrawal Fitzthum helped Xhafer Deva set up, arm and equip a local administration and defence force in Kosovo. Upon returning the Third Reich he was posted to the 18th SS Volunteer Panzergrenadier Division Horst Wessel as a commander from 3 to 10 January 1945. On 10 January 1945 Fitzthum died in a car accident in Wiener Neudorf. He was buried in Vienna.

Carrière dans la SS

  • November 1932 – SS Sturmbannführer
  • November 1933 – SS Obersturmbannführer
  • March 1936 – SS Standartenführer
  • March 1938 – SS Oberführer
  • April 1940 – SS Hauptsturmführer der Reserve (Waffen-SS)
  • January 1941 – SS Sturmbannführer der Reserve (Waffen-SS)
  • April 1942 – SS Obersturmbannführer der Reserve (Waffen-SS)
  • November 1942 – SS Standartenführer der Reserve (Waffen-SS)
  • October 1943 – SS-Brigadeführer und Generalmajor der Waffen-SS und Polizei
  • August 1944 – SS Gruppenführer und Generalleutnant der Waffen-SS

Décorations

  • Wound Badge (Verwundetenabzeichen) in Black (1918)
  • Blood Order (Blutorden), No 2354
  • Landesorden
  • Iron Cross (Eisernes Kreuz), 1st (7 January 1942) and 2nd class (8 October 1941)
  • War Merit Cross (Kriegsverdienstkreuz)2nd class with swords (1939)
  • Infantry Assault Badge (Infanterie-Sturmabzeichen)
  • "SS Honour Sword" (Ehrendegen des RFSS)
  • "SS Honour Ring" (Totenkopfring der SS)

Dijon : commémoration de l'armistice du 11 novembre 1918

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Pour célébrer le 96e anniversaire de l'armistice du 11 novembre 1918, une cérémonie de commémoration était organisée ce matin au cimetière des Péjoces puis au monument aux morts de Dijon.

Dijon : commémoration de l'armistice du 11 novembre 1918

Un dépôt de gerbes a d'abord été effectué, devant le monument du soldat inconnu, au cimetière militaire, à 9 heures, en présence des porte-drapeaux des anciens combattants, des autorités civiles (dont notamment le ministre du Travail et ancien maire de Dijon, François Rebsamen, le maire actuel Alain Millot, le préfet de Région Eric Delzant, et les parlementaires côte-d'oriens) et militaires.

Puis, tous se sont rendus cour Général de Gaulle, pour la cérémonie au monument aux morts. Le préfet Eric Delzant, ainsi que Jean Vuillemot, président du comité d'entente des anciens combattants, et Jean-Louis Nageotte, président de l'union départementale des associations de combattants et victimes de guerre (UDAC), ont ranimé la flamme du monument. Présents pour ce moment de recueillement et d'hommage à tous les soldats morts pour la France, des élèves du collège Jean-Philippe Rameau et de l'école primaire Alix Providence, accompagnés par leurs enseignants, ont participé aux dépôts de gerbes et de fleurs.

Dans son discours, Jean-Louis Nageotte a d'ailleurs conclut en s'adressant aux jeunes générations : "L'union française des associations de combattants et de victimes de guerre fidèle au souvenir de toutes celles et ceux victimes de toutes les guerres, invite la jeunesse à oeuvrer pour une communauté internationale plus solidaire, plus fraternelle et en paix."

La cérémonie s'est achevée aux alentours de 10h30, et le public présent a été convié à l'office religieux en l'église Notre-Dame de Dijon, qui a débuté à 11h30.

Baur Hans

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Johann Peter « Hans » Baur (19 juin 1897 - 17 février 1993) était le pilote personnel d'Adolf Hitler

Baur HansBaur Hans

Après avoir assuré ses déplacements aériens à partir de la la campagne électorale de 1932, il devient le pilote officiel du chancelier à partir de 1933, puis le chef de l'escadrille gouvernementale, jusqu’à la chute du Troisième Reich. SS -Gruppenführer, il fait partie des derniers occupants du Führerbunker. Capturé par les troupes soviétiques après la fin de la Seconde Guerre mondiale, il est détenu pendant dix ans ; après sa libération, il revient en Allemagne où il décède en 1993. Johann Peter « Hans » Baur nait à Ampfing en Bavière ; il effectue ses études secondaires à l'Erasmus-Gymnasium à Munich. Après le déclenchement de la Première Guerre mondiale, Baur est mobilisé dans l'Armée Impériale Allemande en 1915, en tant qu'observateur aérien de l'artillerie de campagne à Augsbourg. Pendant ses années de service au sein de la force aérienne, il est crédité de 6 victoires dont 3 sont confirmées : ce palmarès lui vaut d'être décoré de la Croix du Mérite militaire de Bavière et de la croix de fer de première classe.

En application du Traité de Versailles, la République de Weimar ne peut plus disposer d'une force aérienne. En 1919, Baur rejoint le Corps-franc de Franz von Epp, tout en assurant le transport aérien du courrier militaire à Fürth. De 1921 à 1923, il pilote pour la Bayrische Luftlloyd et puis pour la Junkers Luftverkehr. En mai 1923, il ouvre la ligne aérienne entre Munich et Vienne avec un Junkers F13 ; en 1926, il est l'un des 6 pilotes de Lufthansa ; en 1928, il ouvre une nouvelle liaison aérienne entre Munich et Rome. Membre du NSDAP depuis 1926, Baur inaugure, le 1er avril 1931, la route aérienne Berlin - Munich - Rome, connue sous le nom de « Vol des Alpes » ; parmi les premiers figurent notamment Eugenio Maria Giuseppe Giovanni Pacelli, Arturo Toscanini et Boris III de Bulgarie. Baur, qui a volé pendant plus d'un million de kilomètres, est mis à disposition d'Adolf Hitler par la Lufthansa : son expérience est très appréciée par le chef du parti nazi.

Hitler est le premier politicien allemand à préférer le transport aérien au chemin de fer, ce qui lui permet de prendre la parole, le même jour, lors de plusieurs réunions se déroulant dans différentes régions d'Allemagne. Baur pilote l'avion d'Hitler pendant la campagne des élections générales de 1932. Nommé chancelier, Hitler obtient un avion personnel, un Junkers Ju52/3m, immatriculé DC-26006 : il choisit d'en confier les commandes à Baur. « Hitler, raconte son pilote Hans Baur, produisit l'impression qu'il recherchait : faire croire aux soldats allemands et à la population civile qu'il arrivait immédiatement après la fin de la lutte. » — J. de Launay, La France de Pétain, p. 13 Baur est nommé à la tête de l'escadron personnel d'Hitler, basé à Munich. Comme la Luftwaffe n'est pas encore créée, et comme Hitler le veut, Baur acquiert assez de puissance et de respect pour assurer sa sécurité. Hitler nomme Baur Standartenführer dans la Schutzstaffel (il porte le numéro de matricule 171 865).

Dès son arrivée à Berlin en 1933, la première tâche de Baur est d'élargir l'escadron d'Hitler et de mettre en œuvre des procédures de sécurité. Avec l'approbation du directeur de la Lufthansa Erhard Milch, un nombre supplémentaire de Junkers Ju 52/3m a été désigné pour répondre aux exigences de Baur. En 1934, après la mort de von Hindenburg, Hitler réorganise le gouvernement et crée l'escadron Reichsregierung (l'escadron gouvernemental), plaçant Baur à sa tête. Son quartier général à l'aéroport Berlin-Tempelhof, Baur est chargé de fournir des vols et des pilotes pour l'entièreté du cabinet du Führer et de ses généraux, avec à sa disposition 8 avions capables de transporter 17 passagers. Hitler, devenu Führer, s’appuie de plus en plus sur Baur pour des conseils sur la politique de guerre aérienne ainsi que les développements techniques. Il permet à Baur de remplir son escadron de pilotes expérimentés de la Lufthansa, et de les former à la procédure militaire en préparation de la prochaine guerre.

L'escadron est renommé Die Fliegerstaffel des Führers en septembre 1939. L'escadron personnel d'Hitler dispose d'un insigne spécial qui est peint sur le nez de tous les appareils : une tête d'aigle peinte en noir sur fond blanc, entouré d'un anneau étroit rouge. Au début de 19397, Baur estime que le Führer doit voler dans le nouvellement conçu Focke-Wulf Fw 200 Condor, beaucoup plus sûr selon lui. Initialement configuré comme un transport de 26 passagers de Lufthansa, le Condor devient le nouvel appareil personnel d'Hitler. Le 31 janvier 1944, Baur est promu brigadeführer et major général de la police ; et en février 1944 est promu Gruppenführer. Durant les derniers jours de la guerre, Baur est avec Hitler dans son bunker, restant avec lui jusqu'à la fin. Afin de permettre à Hitler de s'échapper de la bataille de Berlin, Baur l'avise d'un plan pour avoir un Fieseler Fi 156 Storch capable de décoller d'un aérodrome improvisé dans le Tiergarten, près de la Porte de Brandebourg.

Bien que Hitler refuse de quitter le Führerbunker, le scénario est utilisé par Hanna Reitsch pour s'échapper en compagnie de Robert Ritter von Greim, nommé par Hitler chef de la Luftwaffe après la disgrâce de Goering. Reitsch et von Greim parti, Hitler suggère à Baur et Martin Bormann de fuir de la même manière. Après le suicide d'Hitler, il tente de fuir la 3e armée de choc soviétique. Baur, accompagné de quelques autres dont Bormann, tente de se diriger vers les lignes américaines et britanniques. Capturé par les soviétiques dans un hôpital, Baur est d'un grand intérêt pour eux ; croyant que Baur avait mis en sécurité Hitler avant la chute de Berlin. Il est emprisonné pendant 10 ans avant d'être relâché en 1955. Baur retourne en Allemagne de l'Ouest, et en 1957 publie une autobiographie : "Ich flog mit den Mächtigen der Erde" (librement traduit par J'ai volé avec les puissants de la Terre ; le titre francophone est plus réel : "J'étais pilote d'Hitler, le sort du monde était entre mes mains"). Baur est mort en Bavière à Herrsching et enterré dans le caveau familial au Waldfriedhof de Munich.

Decorations 

  • Iron Cross (1914), 2nd Class and 1st classes
  • Bavarian Medal for Bravery in Silver
  • Military Merit Cross (Bavaria)
  • Royal Bavarian Pilot Badge
  • Cup of Honour for the winner in a dogfight
  • Sudetenland Medal
  • Anschluss Medal
  • SA Sports Badge in Bronze
  • Julleuchter of the SS (16 December 1935)
  • Commander of the Hungarian Order of Merit (1941)
  • Order of St. Alexander (1941)
  • Sword of honour of the command staff RFSS
  • Honour Chevron for the Old Guard with star
  • Knight's Cross of the Order of the Crown of Italy
  • NSDAP Long Service Award in silver and bronze
  • Danzig Cross, 2nd class
  • Order of the Crown (Romania, April 1942)
  • Order of the White Rose of Finland
  • Order of the Cross of Liberty, 2nd class with swords (Finland, 4 June 1942)
  • SS Honour Ring
  • Golden Party Badge of the NSDAP (1943)
  • Order of the Crown of King Zvonimir, 1st class (1943)
  • SS civil badge
  • SS Long Service Award

 

Cérémonies du 11 novembre : il y a 96 ans, la Première Guerre mondiale prenait fin

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Des cérémonies de commémoration de l'armistice du 11 novembre 1918 sont célébrées en Bourgogne comme partout en France. Elles ont un caractère particulier en cette année 2014 où l’on célèbre le centenaire de la Première Guerre mondiale.

Commemorations du 11 novembre à dijon

Commemorations du 11 novembre à dijon

Le 11 novembre 1918, l'armistice signé à Rethondes entre l'Allemagne et les Alliés mettait fin à la "Grande Guerre".

Le cessez-le-feu est effectif vers onze heures, entraînant des volées de cloches et des sonneries de clairons dans toute la France. Partout, on célèbre, la victoire des Alliés et la défaite totale de l'Allemagne.

Ce premier conflit mondial a causé des pertes militaires estimées à près de 10 millions de morts et plus de 20 millions de blessés, soit près de la moitié des 70 millions de soldats mobilisés.

Le 11 novembre est l’occasion de rendre hommage aux Poilus, surnom des soldats français, qui ne pouvaient guère se raser dans les tranchées. Dans l'argot militaire, le mot désignait, dès le 19e siècle, un soldat endurant et courageux, associant pilosité et bravoure.

Les cérémonies de l'armistice à Dijon

A Dijon, les cérémonies ont débuté à 9h au monument du soldat inconnu, situé dans le carré militaire du Souvenir français au cimetière des Péjoces. Elles ont eu lieu en présence des autorités civiles, militaires et des anciens combattants. Alain Millot, maire de Dijon, et François Rebsamen, ministre du Travail, étaient là. Le rassemblement a été marqué par un dépôt de gerbes et une aubade donnée par la musique de la jeunesse bourguignonne.
 
A 9h40, une nouvelle cérémonie a débuté au monument aux morts, situé cours du général De Gaulle. Au programme : salut au drapeau, revue des troupes, remise de décorations, ravivage de la flamme et lecture de messages.

Des élèves du collège Jean-Philippe Rameau de Dijon ont déposé des fleurs devant la plaque des anciens de Verdun. Puis, après la sonnerie aux morts jouée par les clairons de l’harmonie municipale, une minute de silence a été observée en hommage aux victimes du premier conflit mondial. La cérémonie s’est terminée par la Marseillaise et les honneurs au drapeau.
 
Enfin, un office religieux a été célébré à l’église Notre-Dame, à Dijon.

11 novembre. Fougères a commémoré l'armistice de 1918

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Comme toute la France, Fougères s'est souvenue de la guerre 14-18 en commémorant l'armistice du 11 novembre.

11 novembre. Fougères a commémoré l'armistice de 191811 novembre. Fougères a commémoré l'armistice de 1918

La pluie n’arrête pas les braves. Elle n’a pas découragé anciens combattants, élus, musiciens et enfants venus commémorer en ce 11 novembre le 96e anniversaire de l’armistice de 1918 et le centenaire de la Grande guerre.

La cérémonie s’est déroulée en deux temps, au cimetière tout d’abord, puis devant le monument aux morts place Aristide Briand. Des élèves du collège Sainte Marie et des enfants de la Vigilante y ont déposé les “flammes de l’espoir” tandis que le maire de Fougères, le  sous-préfet et le président du Souvenir français Jean-Yves Loret déposaient des gerbes.

Le maire Louis Feuvrier a rappelé l’horreur de cette première guerre mondiale qui a fait près de 10 millions de morts dont 1,4 million de Français et  3500 habitants du Pays de Fougères.  Le sous-préfet Jean-Yves Fraquet a lu, quant à lui, le message du secrétaire d’Etat aux anciens combattants Kader Arif.

Mason Connie

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Connie Mason, (née le 24 août 1937 à Washington, aux États-Unis) est une actrice et playmate américaine.

Mason Connie Mason Connie

Elle est principalement connue pour avoir joué dans deux films du réalisateur Herschell Gordon Lewis, Blood Feast (1963) et 2000 maniaques (1964), considérés comme les premiers films gore de l'histoire du cinéma. Connie Mason débute sa carrière au début des années 1960. Elle se fait d'abord remarquer comme playmate en apparaissant dans le numéro du mois de juin 1963 du magazine américain Playboy. Elle joue parallèlement dans plusieurs spots publicitaires. Mariée une première fois à l'acteur Tom Young, elle rejoint sa famille en Floride après son divorce. Elle est découverte par le réalisateur Herschell Gordon Lewis. 

Ce dernier va la faire tourner successivement dans deux de ses films : Blood Feast (1963) où elle joue le rôle de Suzette Fremont, et 2000 maniaques (1964), où elle interprète le personnage de Terry Adams. Par la suite, sa carrière se résume au théâtre et à quelques apparitions (parfois non créditées) au cinéma. Elle figure notamment au générique du film Le Parrain 2 en 1974. En 1964, elle a épousé l'acteur William Kerwin, et a eu deux filles : Denise Kerwin et Kim Kerwin, qui sont également devenues actrices par la suite. Connie Mason est aussi la belle-mère des acteurs Ken Olandt et Tom Everett.

Filmographie

  • 1960 : Walk Like a Dragon : Diane
  • 1963 : Blood Feast : Suzette Fremont
  • 1964 : 2000 maniaques : Terry Adams
  • 1968 : My Third Wife, George : Mary Ann
  • 1970 : Dis-moi que tu m'aimes, Junie Moon (non créditée)
  • 1970 : Lune de miel aux orties (non créditée)
  • 1970 : Sweet Bird of Aquarius
  • 1971 : Made for Each Other : Ingrid
  • 1971 : Les diamants sont éternels (non créditée)
  • 1974 : Le Parrain 2 (non créditée)
  • 1977 : Sudden Death
  • 1985 : Tangiers : Marsha
  • 1992 : Charlie's Ear : Grace
  • 1998 : Marry Me or Die
  • 1999 : Do You Wanna Dance? : Ms. Withley
  • 2002 : Chronicle of a Madman

Mason Marlyn

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Marlyn Mason est une actrice américaine née le 7 août 1940 à San Fernando, Californie (États-Unis).

Elvis Presley et Mason Marlyn

Elvis Presley et Mason Marlyn

Filmographie

  • 1960 : Because They're Young
  • 1966 : Brigadoon (TV) : Meg Brockie
  • 1967 : Carrousel (TV) : Carrie Pipperidge
  • 1967 : Les Envahisseurs (TV) : Épisode 17.
  • 1969 : Filles et show-business (The Trouble with Girls) : Charlene
  • 1970 : A Storm in Summer (TV) : Gloria Ross
  • 1971 : Harpy (TV) : Alison Reed
  • 1971 : Making It : Yvonne
  • 1971 : Escape (TV) : Susan Walding
  • 1971 : Longstreet (série TV) : Nikki Bell
  • 1972 : That Certain Summer (TV) : Laureen Hyatt
  • 1973 : Outrage (TV) : Muriel Kiler
  • 1974 : Christina : Girl
  • 1975 : Attack on Terror: The FBI vs. the Ku Klux Klan (TV) : Jean Foster
  • 1978 : Last of the Good Guys (TV) : Lill O'Malley
  • 1978 : The New Adventures of Heidi (TV) : Mady
  • 1985 : Mes 400 coups: la légende d'Errol Flynn (My Wicked, Wicked Ways... The Legend of Errol Flynn) (TV)
  • 1986 : Trapped in Silence (TV)
  • 1991 : Un homme fatal (Lonely Hearts) : Beverly Ross
  • 1992 : L'Étincelle de vie (Miles from Nowhere) (TV) : Barbara Reilly
  • 1995 : Au-dessus de tout soupçon (Dead by Sunset) (TV) : Betty Troseth
  • 1998 : Un choix difficile (Fifteen and Pregnant) (TV) : Grandma Spangler

Mason Marsha

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Marsha Mason est une actrice américaine, née le 3 avril 1942 à Saint-Louis, dans le Missouri, États-Unis. Cette actrice est essentiellement connue pour avoir tenu le rôle d'Agnès dans Le Maître de guerre de Clint Eastwood en 1986.

Mason Marsha

Filmographie

  • 1973 : Permission d'aimer (Cinderella Liberty) de Mark Rydell
  • 1977 : Audrey Rose de Robert Wise
  • 1977 : Adieu, je reste (The Goodbye Girl) de Herbert Ross
  • 1978 : Le Privé de ces dames (The Cheap Detective) de Robert Moore
  • 1979 : Promises in the Dark de Jerome Hellman : Dr Alexandra Kendall
  • 1979 : Chapter Two de Robert Moore
  • 1983 : Le Retour de Max Dugan d'Herbert Ross
  • 1986 : Le Maître de guerre de Clint Eastwood
  • 1989 : Stella de John Erman
  • 1990 : Trapped in Silence de Michael Tuchner
  • 1990 : The Image de Peter Werner
  • 1990 : Dinner at Eight de Ron Lagomarsino
  • 1991 : Drop Dead Fred d'Ate De Jong
  • 1995 : Meurtre en suspens (Nick of Time) de John Badham
  • 1996 : 2 Days in the Valley de John Herzfeld
  • 2004 : Coup de Foudre a Bollywood (Bride & Prejudice) de Gurinder Chadha (Catherine Darcy)

Télévision

  • 2001 : Judy Garland, la vie d'une étoile (Life with Judy Garland : Me and My Shadows) de Robert Allan Ackerman
  • 2004 Une lecon de courage (telefilm de Georg stanford brown )avec Julie benz
  • 2006 : Rêves et Cauchemars (minisérie) : Tante Trudy
  • 2009 - présente : The Middle (série télévisée) : Pat Spence (rôle récurrent)

McDonald Marie

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Marie McDonald née le 6 juillet 1923, morte le 21 octobre 1965 est une chanteuse et actrice américaine surnommée « The Body beautiful » puis « The Body ».

McDonald Marie

Née dans le Kentucky, Marie McDonald fait partie de la troupe des Ziegfeld Follies. Elle s'installe à New York et devient mannequin. Elle débute comme danseuse en 1940 à Broadway dans Earl Carroll's vanities. Elle part pour Hollywood pour percer dans le music-hall. Elle chante avec l'orchestre de Tommy Dorsey puis en 1941 débute comme figurante au cinéma dans Ève a commencé dans le rôle d'une fille à la cigarette, puis en 1942, dans Deux nigauds dans une île avec Abbott et Costello. Pendant la guerre sa plastique remarquable la fait accéder au statut de pin-up.

Elle tourne avec Gene Kelly en 1947 dans Living in a Big Way où elle joue le premier rôle féminin, avec Jerry Lewis en 1958 dans Le Kid en kimono, avec Jayne Mansfield en 1963. En 1965 on la retrouve morte chez elle en Californie suite à une overdose. L'actrice défraya la chronique plusieurs fois notamment en 1954 où sous l'emprise de l'alcool et de la drogue au volant de sa voiture elle dégrade plusieurs voitures dans un parking.

En 1957 elle prétend avoir été enlevée par un Noir et un Mexicain qui l'auraient séquestrée, droguée et violée. Le FBI et la presse américaine ont évoqué à ce sujet la mystification d'une actrice en fin de carrière et en mal de notoriété. Marie McDonald se maria sept fois entre 1940 et 1963 notamment, dans les années 1950, avec Harry Karl surnommé le Roi de la chaussure. Elle fréquenta pendant quelque temps le gangster Bugsy Siegel.

Filmographie

  • 1941 It Started with Eve Cigarette girl 
  • 1942 You're Telling Me Girl 
  • 1942 Pardon My Sarong Ferna 
  • 1942 Lucky Jordan Pearl (Secretary) 
  • 1943 Tornado Diana Linden 
  • 1943 A Scream in the Dark Joan Allen 
  • 1943 Riding High Bit part 
  • Alternative title: Melody Inn
  • 1943 Caribbean Romance Alternative title: Musical Parade: Caribbean Romance
  • 1944 Standing Room Only Opal 
  • 1944 I Love a Soldier Gracie 
  • 1944 Our Hearts Were Young and Gay Blonde 
  • 1944 Guest in the House Miriam Alternative title: Satan in Skirts
  • 1945 Getting Gertie's Garter Gertie 
  • 1945 It's a Pleasure Gale Fletcher 
  • 1947 Living in a Big Way Margo Morgan 
  • 1949 Tell It to the Judge Ginger Simmons 
  • 1950 Once a Thief Flo 
  • 1950 Hit Parade of 1951 Michele 
  • 1954 The Danny Thomas Show Episode: "Pittsburgh"
  • 1958 The Geisha Boy Lola Livingston 
  • 1959 The Red Skelton Show Lil Episode: "Clem the Mailman"
  • 1963 Promises! Promises! Claire Banner 

McDowell Claire

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Claire McDowell est une actrice américaine née le 2 novembre 1877 à New York (État de New York), décédée le 23 octobre 1966 à Hollywood (Californie).

McDowell Claire McDowell Claire

Filmographie

  • 1908 : The Devil de D. W. Griffith : Mrs. Thornton
  • 1908 : La Femme du planteur (The Planter's Wife) de D. W. Griffith : Mrs. John Holland
  • 1908 : L'Appel de la forêt (The Call of the Wild) de D. W. Griffith : Invitée à la fête
  • 1910 : His Last Burglary
  • 1910 : Love Among the Roses
  • 1910 : A Flash of Light (en) de D. W. Griffith : At First Party
  • 1910 : The Usurer : Despairing Mother / One of the Third Debtors
  • 1910 : Wilful Peggy : The maid
  • 1910 : Muggsy Becomes a Hero : One of the Sisters Frost
  • 1910 : A Summer Idyll : At Party
  • 1910 : A Mohawk's Way : Mère indienne
  • 1910 : The Oath and the Man : Rebel
  • 1910 : Rose O'Salem Town : Indienne / Puritaine
  • 1910 : The Iconoclast : The Worker's Wife
  • 1910 : How Hubby Got a Raise : Une voisine
  • 1910 : A Lucky Toothache : Une Cousine
  • 1910 : The Message of the Violin : The Other Woman's Servant
  • 1910 : Two Little Waifs : Nun
  • 1910 : Waiter No. 5 : La femme du chef de police
  • 1910 : The Fugitive (film,1910) : Woman in Farewell Crowd
  • 1910 : Simple Charity : Charity Worker
  • 1910 : His New Lid : Mourner
  • 1910 : A Child's Stratagem : The Designing Woman
  • 1910 : Happy Jack, a Hero : The Maid
  • 1910 : The Golden Supper : Lady-in-Waiting
  • 1910 : His Sister-In-Law : Maiden Aunt
  • 1910 : The Recreation of an Heiress : The Heiress' Maid
  • 1911 : The Italian Barber : At Ball
  • 1911 : His Trust : Col. Frazier's wife
  • 1911 : His Trust Fulfilled : Mrs. Frazier (the dying mother)
  • 1911 : Fate's Turning : At Hotel / At Wedding
  • 1911 : Three Sisters : Investigating Committee
  • 1911 : What Shall We Do with Our Old? : The Old Carpenter's Wife
  • 1911 : Fisher Folks : At Fair
  • 1911 : A Decree of Destiny (en) de D. W. Griffith : A Nun
  • 1911 : Conscience : A Maid
  • 1911 : Cured : Old Woman
  • 1911 : The Spanish Gypsy : Paula
  • 1911 : The Broken Cross : Kate's Mother
  • 1911 : The Chief's Daughter : Susan, Frank's Fiancée
  • 1911 : Misplaced Jealousy : The Manicurist
  • 1911 : In the Days of '49 : Edith Weston, Bill's Wife
  • 1911 : The Manicure Lady : Lunchroom Hostess
  • 1911 : The Crooked Road : A Neighbor
  • 1911 : A Romany Tragedy (it) de D. W. Griffith : Elder Sister
  • 1911 : The Primal Call : The Woman
  • 1911 : A Country Cupid : The Half-Wit's Mother
  • 1911 : The Ruling Passion : Billy's Mother
  • 1911 : The Sorrowful Example : The Wife
  • 1911 : Swords and Hearts : Irene Lambert
  • 1911 : The Squaw's Love : Silver Fawn
  • 1911 : The Making of a Man : Actress
  • 1911 : The Unveiling
  • 1911 : The Adventures of Billy : Rich Woman
  • 1911 : The Long Road : Ned's Wife
  • 1911 : A Woman Scorned : The Doctor's Wife
  • 1911 : The Failure (it)
  • 1911 : As in a Looking Glass : The Wife
  • 1912 : The Baby and the Stork : Mère de Bobby
  • 1912 : A Blot on the 'Scutcheon : A Lady
  • 1912 : La ruse de Billy (Billy's Stratagem) de D. W. Griffith : Mère de Billy
  • 1912 : Under Burning Skies (en) de D. W. Griffith : Une amie
  • 1912 : The Sunbeam (en) de D. W. Griffith : Spinster
  • 1912 : A String of Pearls (en) de D. W. Griffith : In Tenement
  • 1912 : Iola's Promise
  • 1912 : The Female of the Species : La femme du mineur
  • 1912 : The Leading Man : A Boarder
  • 1912 : The Fickle Spaniard : Margot
  • 1912 : The Old Actor (pt) de D. W. Griffith : At Audition
  • 1912 : When the Fire-Bells Rang : Une actrice
  • 1912 : When Kings Were the Law (pt) de D. W. Griffith : A Lady-in-Waiting
  • 1912 : A Temporary Truce (en) de D. W. Griffith : Mexican Jim's Wife
  • 1912 : Lena and the Geese (pt) de D. W. Griffith : Mère de Lena
  • 1912 : The School Teacher and the Waif : The Street Fakir's Sweetheart
  • 1912 : Trying to Fool Uncle : Femme de dick
  • 1912 : The Sands of Dee : La fiancée de l'artiste
  • 1912 : A Child's Remorse (pt) de D. W. Griffith : Mère de l'enfant
  • 1912 : In the North Woods : La femme du trappeur
  • 1912 : Two Daughters of Eve (en) de D. W. Griffith : La mère
  • 1912 : So Near, Yet So Far : Femme riche dans l'autre ville
  • 1912 : In the Aisles of the Wild : The Elder Daughter
  • 1912 : A Sailor's Heart : The Second Wife
  • 1912 : Le Chapeau de New York (The New York Hat) de D. W. Griffith (court-métrage) : First Gossip
  • 1912 : A Cry for Help (en) de D. W. Griffith : Charity Patient
  • 1912 : The God Within (en) de D. W. Griffith : The Woodsman's Wife
  • 1913 : La Jeune téléphoniste et la femme du monde : la femme du monde
  • 1913 : A Misappropriated Turkey : Mrs. Fallon
  • 1913 : A Father's Lesson : The Wife
  • 1913 : Drink's Lure : The Neglected Wife
  • 1913 : The Massacre (film,1913) : Stephen's Belle, In Prologue
  • 1913 : The Wrong Bottle : The Blind Sister
  • 1913 : The Unwelcome Guest : The Wife
  • 1913 : A Welcome Intruder : A Widow
  • 1913 : The Stolen Bride : The Wife
  • 1913 : Le Vagabond (The Wanderer) de D. W. Griffith : The Female Lover
  • 1913 : The Tenderfoot's Money : The Prospector's Wife
  • 1913 : The Stolen Loaf : The Rich Woman
  • 1913 : The House of Darkness (en) de D. W. Griffith : The Doctor's Wife
  • 1913 : Olaf-An Atom : A Parent
  • 1913 : The Ranchero's Revenge : The Schemer's Associate
  • 1913 : The Well : The Farmer's Wife
  • 1913 : The Switch Tower : The Switchman's Wife
  • 1913 : A Gamble with Death : Kate
  • 1913 : The Enemy's Baby : Miller's Wife
  • 1913 : A Gambler's Honor : Beth
  • 1913 : The Mirror (film, 1913) : Daisy
  • 1913 : The Vengeance of Galora : Galora
  • 1913 : Under the Shadow of the Law : John Haywood's Sister
  • 1913 : I Was Meant for You : Lavina
  • 1913 : The Work Habit : The Daughter in the City
  • 1913 : The Crook and the Girl : The Uncle's Adopted Daughter
  • 1913 : The Strong Man's Burden : The Nurse
  • 1913 : The Stolen Treaty : Olga
  • 1913 : The Law and His Son : Marguerite, Manning's Sister
  • 1913 : A Tender-Hearted Crook : Edith
  • 1913 : The Van Nostrand Tiara : Kate
  • 1913 : The Stopped Clock : The Antique Dealer's Daughter
  • 1913 : Diversion : Mrs. Wilson
  • 1913 : The Detective's Stratagem : Kate, the Bank Clerk's Sweetheart
  • 1913 : All for Science : In Detective Agency
  • 1914 : The Fatal Wedding
  • 1914 : A Nest Unfeathered
  • 1914 : Her Father's Silent Partner
  • 1914 : Her Hand
  • 1914 : The Scar
  • 1914 : Men and Women : Mrs. Stephen Rodman
  • 1914 : The Indian
  • 1914 : The Gold Thief
  • 1914 : The Guiding Fate
  • 1914 : Their Soldier Boy
  • 1914 : The Tides of Sorrow
  • 1914 : The Dole of Destiny
  • 1914 : The Child Thou Gavest Me
  • 1914 : His Old Pal's Sacrifice
  • 1914 : Just a Kid
  • 1914 : The Bond Sinister
  • 1915 : From the Shadow
  • 1915 : The Inevitable Retribution
  • 1915 : The Dancer's Ruse
  • 1915 : The Borrowed Necklace
  • 1915 : The Box of Chocolates
  • 1915 : The Heart of a Bandit
  • 1915 : The Sheriff's Dilemma
  • 1915 : The Miser's Legacy
  • 1915 : The Gambler's I.O.U.
  • 1915 : A Day's Adventure
  • 1915 : The Canceled Mortgage
  • 1915 : Truth Stranger Than Fiction
  • 1915 : Her Dormant Love
  • 1915 : The Way Out
  • 1915 : Her Convert
  • 1915 : As It Happened
  • 1915 : His Singular Lesson
  • 1915 : Mrs. Randolph's New Secretary
  • 1915 : Ashes of Inspiration
  • 1915 : The Stranger in the Valley
  • 1915 : A Lasting Lesson
  • 1915 : Behind the Mask de George Moore
  • 1915 : Her Renunciation
  • 1915 : The Inevitable
  • 1915 : Bad Money
  • 1915 : Eyes of the Soul
  • 1915 : Love's Enduring Flame
  • 1915 : Cupid Entangled : The Actress
  • 1916 : The Chain of Evidence
  • 1916 : His White Lie
  • 1916 : What Happened to Peggy
  • 1916 : A Grip of Gold
  • 1916 : Celeste
  • 1916 : Merry Mary
  • 1916 : The Lady from the Sea
  • 1916 : The Caravan
  • 1916 : Husks of Love
  • 1916 : Somewhere on the Battle Field
  • 1916 : Sea Mates
  • 1916 : A Stranger from Somewhere
  • 1916 : Mixed Blood : Nita Valyez
  • 1916 : The Right to Be Happy : Mrs. Cratchit
  • 1917 : Avarice : The Miserly Old Woman
  • 1917 : The Rented Man
  • 1917 : The Gates of Doom : Indore / Agatha
  • 1917 : The Bronze Bride : A-Che-Chee
  • 1917 : The Pace That Kills
  • 1917 : Doomed
  • 1917 : The Black Mantilla
  • 1917 : The Clean-Up : Vera Vincent
  • 1917 : The Empty Gun : Mary
  • 1917 : A Dream of Egypt
  • 1917 : A Romany Rose
  • 1917 : The Storm Woman
  • 1917 : Fighting Back : The Fury
  • 1917 : The Ship of Doom : Clara Gove
  • 1918 : The Man Above the Law : Natchah
  • 1918 : Captain of His Soul : Annette De Searcy
  • 1918 : Isn't It Warm?
  • 1918 : You Can't Believe Everything : Grace Dardley
  • 1918 : Closin' In
  • 1918 : The Return of Mary : Mrs. John Denby Sr.
  • 1919 : Rosalind at Redgate
  • 1919 : The Follies Girl : Nina
  • 1919 : Prudence on Broadway : Miss Grayson
  • 1919 : Chasing Rainbows : Mrs. Walters
  • 1919 : La Fille des monts (The Heart o' the Hills), de Sidney Franklin : Martha Hawn
  • 1919 : The Feud : Mary Lynch
  • 1920 : The Woman in the Suitcase : Mrs. Moreland
  • 1920 : The Gift Supreme : Lalia Graun
  • 1920 : The Devil's Riddle : Mrs. Potts
  • 1920 : Blind Youth : Elizabeth Monnier
  • 1920 : Through Eyes of Men : Mrs. Virginia All
  • 1920 : The Jack-Knife Man : Lize Merdin
  • 1920 : Something to Think About : Housekeeper
  • 1920 : Le Signe de Zorro (The Mark of Zorro) : Dona Catalina Pulido
  • 1920 : Midsummer Madness : Mrs. Osborne
  • 1921 : L'Éveil de la bête (Prisoners of Love) : Her Mother
  • 1921 : Chickens : Aunt Rebecca
  • 1921 : What Every Woman Knows : Comtesse de la Brière
  • 1921 : Mother o' Mine : Mrs. Sheldon
  • 1921 : Wealth : Mrs. Dominick
  • 1921 : Love Never Dies : Liz Trott
  • 1922 : La Crise du logement (Rent Free), de Howard Higgin
  • 1922 : The Gray Dawn : Mrs. Bennett
  • 1922 : Penrod : Mrs. Schofield
  • 1922 : The Ragged Heiress : Sylvia Moreton
  • 1922 : The Lying Truth : Mrs. Sam Clairborne
  • 1922 : In the Name of the Law (en) d'Emory Johnson : Mrs. O'Hara
  • 1922 : Des gens très bien (Nice People) : Margaret Rainsford
  • 1922 : Heart's Haven : May Caroline
  • 1922 : Quincy Adams Sawyer (en) de Clarence G. Badger : Mrs. Putnam
  • 1923 : Westbound Limited
  • 1923 : Michael O'Halloran : Nancy Harding
  • 1923 : Human Wreckage : Mrs. Brown
  • 1923 : Circus Days : Martha
  • 1923 : Ashes of Vengeance : Margot's Aunt
  • 1923 : Ponjola : Mrs. Hope
  • 1923 : Enemies of Children
  • 1923 : Black Oxen : Agnes Trevor
  • 1924 : Leave It to Gerry : Mrs. Brent
  • 1924 : The Judgment of the Storm : Mrs. Heath
  • 1924 : Thy Name Is Woman : Juan's mother
  • 1924 : Secrets de Frank Borzage : Elizabeth Channing
  • 1924 : A Fight for Honor : Mrs. Hill
  • 1924 : Those Who Dare : Mrs. Rollins
  • 1925 : The Reckless Sex : Concha
  • 1925 : Waking Up the Town (it) de James Cruze : Mrs. Joyce
  • 1925 : Dollar Down : Mrs. Meadows (Craig's sister)
  • 1925 : La Tour des mensonges (The Tower of Lies) de Victor Sjöström : Katrina
  • 1925 : One of the Bravest : Mrs. Kelly
  • 1925 : La Grande Parade (The Big Parade) : Mrs. Apperson
  • 1925 : The Midnight Flyer : Liza Slater
  • 1925 : Ben-Hur (Ben-Hur: A Tale of the Christ), de Fred Niblo : Princess of Hur
  • 1926 : The Devil's Circus : Mrs. Peterson
  • 1926 : The Dixie Merchant, de Frank Borzage : Josephine Fippany
  • 1926 : Gagnant quand même (The Shamrock Handicap) de John Ford : Molly O'Shea
  • 1926 : The Unknown Soldier : John Phillips' sister
  • 1926 : Moi (The Show Off) : Mom Fisher
  • 1926 : The Flaming Forest : Mrs. McTavish
  • 1927 : A Little Journey : Aunt Louise
  • 1927 : The Auctioneer : Mrs. Tim Eagan
  • 1927 : Cheaters : Mrs. Robin Carter
  • 1927 : The Taxi Dancer : Aunt Mary
  • 1927 : The Black Diamond Express : Martha (Dan's sister)
  • 1927 : Tillie the Toiler : Ma Jones
  • 1927 : Winds of the Pampas : Doña Maria Casandos
  • 1927 : The Shield of Honor : Mrs. MacDowell
  • 1927 : Almost Human : Mrs. Livingston
  • 1928 : The Tragedy of Youth : Mother
  • 1928 : Don't Marry : Aunt Abigail Bowen
  • 1928 : Quatre diables (4 Devils) : Woman
  • 1928 : The Viking : Lady Editha, Alwin's Mother
  • 1928 : Marriage by Contract : Mother
  • 1929 : When Dreams Come True : Martha Shelby
  • 1929 : L'Escadre volante (The Flying Fleet) : Mrs. Hastings, Anita's mother
  • 1929 : Silks and Saddles : Mrs. Calhoun
  • 1929 : The Quitter : Mrs. Abbott
  • 1929 : Whispering Winds
  • 1930 : Redemption (en) de Fred Niblo: Anna Pavlovna
  • 1930 : The Second Floor Mystery : Aunt Hattie
  • 1930 : Young Desire : Mrs. Spencer
  • 1930 : Big House : Mrs. Marlowe
  • 1930 : Wild Company : Mrs. Grayson
  • 1930 : Brothers : Mrs. Naughton
  • 1930 : Mothers Cry : Mary's mother
  • 1931 : Une Tragédie américaine (An American Tragedy) : Mrs. Samuel Griffiths
  • 1932 : Union Depot : Little Boy's Mother
  • 1932 : Manhattan Parade : Nancy
  • 1932 : It's Tough to Be Famous : Mrs. Porter (Voice)
  • 1932 : The Famous Ferguson Case : Landlady
  • 1932 : L'Étrange Passion de Molly Louvain (The Strange Love of Molly Louvain) de Michael Curtiz : Mrs. Schiller
  • 1932 : Rebecca of Sunnybrook Farm : Mrs. Randall
  • 1932 : Cornered : Jane's Aunt
  • 1932 : The Phantom Express : Ma Nolan
  • 1932 : A Successful Calamity (en) de John G. Adolfi : Struthers' Secretary
  • 1933 : Lawyer Man : Gilmurry's Secretary
  • 1933 : Central Airport : Mrs. Blaine
  • 1933 : Le Roi de la chaussure (The Working Man) : Benjamin's Secretary
  • 1933 : By Appointment Only : Mrs. Mary Carroll
  • 1933 : Paddy the Next Best Thing : Miss Breen
  • 1933 : Wild Boys of the Road : Mrs. Smith
  • 1934 : New York-Miami (It Happened One Night) : Mother
  • 1934 : Journal of a Crime : Sister at Hospital
  • 1934 : Dr. Monica : Miss Bryerly
  • 1934 : British Agent : Woman Saying 'Lenin will Live'
  • 1934 : Two Heads on a Pillow : Mrs. Gorman
  • 1934 : Images de la vie : Teacher Outside Classroom
  • 1935 : Black Fury : Nurse
  • 1935 : Murder by Television : Mrs. Houghland
  • 1936 : August Weekend : Alma Washburne
  • 1936 : Small Town Girl : Woman in Bed
  • 1937 : Criminal Lawyer (en) de Christy Cabanne : Night Court Judge
  • 1937 : Two Fisted Sheriff : Miss Herrick, Jane's Aunt
  • 1937 : Song of Revolt : Artistocratic Dowager
  • 1937 : Westbound Limited : Undetermined Role
  • 1937 : La Furie de l'or noir (High, Wide, and Handsome), de Rouben Mamoulian : Seamstress
  • 1937 : Give Till It Hurts : Door-to-Door Saleswoman
  • 1937 : A Night at the Movies : Movie patron
  • 1937 : Decathlon Champion: The Story of Glenn Morris : Mother
  • 1938 : Trois camarades (Three Comrades) : Frau Zalewski, Landlady
  • 1938 : They're Always Caught : Mrs. Fletcher
  • 1938 : The Man on the Rock : Bit Role
  • 1938 : Des hommes sont nés (Boys Town) : Catholic Nun
  • 1939 : Stand Up and Fight : Woman
  • 1939 : Idiot's Delight : Crying mother
  • 1939 : Miracles for Sale : Jack of Diamonds Woman
  • 1939 : One Against the World : Jane Todd Crawford
  • 1939 : Thunder Afloat : Nurse
  • 1939 : Those High Grey Walls : Mother
  • 1939 : Joe and Ethel Turp Call on the President (it)
  • 1940 : La Jeunesse d'Edison (Young Tom Edison) : Woman at Station
  • 1940 : The Captain Is a Lady : Old Lady
  • 1940 : A Failure at Fifty : Bit Role
  • 1940 : The Golden Fleecing : Pedestrian
  • 1940 : Dr. Kildare Goes Home : Nurse for Mr. Winslow
  • 1941 : Respect the Law : Nun
  • 1941 : Whispers : Gossip
  • 1941 : More Trifles of Importance : Duchess
  • 1941 : Your Last Act : Old Lady with Memories
  • 1941 : Lady Scarface : Mrs. Tuckerman (department hotel guest)
  • 1942 : Les Naufrageurs des mers du sud (Reap the Wild Wind) : Ettie, in Ballroom
  • 1943 : The Youngest Profession : Woman
  • 1943 : Et la vie continue (The Human Comedy) : Woman on Street
  • 1943 : Presenting Lily Mars : Woman
  • 1943 : Vivre libre (This Land Is Mine) : Woman in Bathroom
  • 1943 : Black Market Rustlers : Mrs. Prescott
  • 1943 : Gangway for Tomorrow : Old woman on street
  • 1944 : Men on Her Mind
  • 1944 : Andy Hardy's Blonde Trouble : Dr. Standish's servant
  • 1944 : Teen Age : Mrs. Mary Abbott
  • 1944 : Are These Our Parents? : Miss Winfield
  • 1945 : Having Wonderful Crime : Bit Role
  • 1945 : L'Aventure (Adventure) : Woman in library

Merritt Theresa

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Theresa Merritt est une actrice américaine née le 24 septembre 1924 à Emporia, Virginie (États-Unis), décédée le 12 juin 1998 dans le Bronx (New York).

Merritt Theresa

Filmographie

  • 1969 : J.T. (TV) : Mama Meley
  • 1971 : They Might Be Giants : Peggy
  • 1973 : The Furst Family of Washington (TV) : Eloise 'Mama' Furst
  • 1974 : That's My Mama (série TV) : 'Mama' Eloise Curtis
  • 1977 : Ningen no shômei : Maria
  • 1977 : Adieu, je reste (The Goodbye Girl) : Mrs. Crosby
  • 1978 : The Wiz : Aunt Em
  • 1979 : The Great Santini : Arrabella Smalls
  • 1979 : Que le spectacle commence (All That Jazz) : Cast of NY / LA
  • 1982 : La Cage aux poules (The Best Little Whorehouse in Texas) : Jewel
  • 1984 : Concealed Enemies (TV) : Clytie Catlett
  • 1988 : Astonished : Ida
  • 1988 : L'Emprise des ténèbres (The Serpent and the Rainbow) : Simone
  • 1988 : Miracle at Beekman's Place (TV) : Sarag Coleman
  • 1989 : Silence Like Glass (Zwei Frauen) de Carl Schenkel : l'infirmière Wilson
  • 1990 : Voodoo Dawn : Madame Daslay
  • 1995 : Billy Madison : Juanita
  • 1998 : Dangerous Proposition : Grace
  • 1998 : Méli-Mélo (Home Fries) : Mrs. Vaughan

Meyer Greta

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Greta Meyer est une actrice américaine d'origine allemande, née le 7 août 1883 dans l'Empire allemand (lieu inconnu), morte le 8 octobre 1965 à Gardena (Californie).

Meyer Greta

Issue d'une famille d'acteurs de théâtre, Greta Meyer y débute dans son pays natal, avant d'émigrer en 1923 aux États-Unis, où elle s'installe définitivement, obtenant la citoyenneté américaine. Au cinéma, hormis un court métrage autrichien (1917) et le film néerlandais De jantjes (1922), elle fait essentiellement carrière dans son pays d'adoption, durant la période du parlant. Après un premier film américain sorti en 1929 (Die Königsloge, tourné en langue allemande), suit Cette nuit ou jamais de Mervyn LeRoy (1931, avec Gloria Swanson) ; dans cette adaptation de la pièce éponyme, Melvyn Douglas, Ferdinand Gottschalk, Robert Greig et elle y reprennent les rôles qu'ils tenaient à Broadway, de novembre 1930 à juin 1931.

Parmi ses soixante-treize autres films américains (parfois dans des petits rôles non crédités), citons Le Revenant de Berthold Viertel (1932, avec Claudette Colbert et Clive Brook), Suzy de George Fitzmaurice (1936, avec Jean Harlow et Franchot Tone), Toute la ville danse de Julien Duvivier (1938, avec Luise Rainer et Fernand Gravey), ou encore Chante mon amour de W. S. Van Dyke (1940, avec Jeanette MacDonald et Nelson Eddy). Son dernier film est Une romance américaine de King Vidor (avec Brian Donlevy et Ann Richards), sorti en 1944, après quoi elle se retire.

Filmographie 

  • 1922 : De jantjes de Maurits Binger et B. E. Doxat-Pratt (film néerlandais) : Toffe Jans
  • 1929 : Die Königsloge de Bryan Foy : Mme Barker
  • 1931 : Cette nuit ou jamais (Tonight or Never) de Mervyn LeRoy : Emma
  • 1932 : Une femme survint (Flesh) de John Ford : Mme Herman
  • 1932 : Le Revenant (The Man from Yesterday) de Berthold Viertel : La propriétaire de l'auberge
  • 1932 : Grand Hotel d'Edmund Goulding : La gouvernante de la chambre 174
  • 1933 : La Sœur blanche (The White Sister) de Victor Fleming : La mère allemande
  • 1933 : The Nuisance (en) de Jack Conway  : Mme Mannheimer
  • 1933 : Deux femmes (Pilgrimage) de John Ford : Mme Haberschmidt
  • 1933 : Un rêve à deux (Let's Fall in Love) de David Burton : Lisa
  • 1933 : Mademoiselle Volcan (Bombshell) de Victor Fleming : La masseuse de Lola
  • 1934 : Entrée de service (Servants' Entrance) de Frank Lloyd et Walt Disney : Anna
  • 1934 : Souvent femme varie (Forsaking All Others) de W. S. Van Dyke : Bella
  • 1934 : Young and Beautiful de Joseph Santley : Mme Cline
  • 1934 : Le Grand Barnum (The Mighty Barnum) de Walter Lang : La servante de Jenny Lind
  • 1935 : La Fugue de Mariette (Naughty Marietta) de Robert Z. Leonard et W. S. Van Dyke : Frau Schuman
  • 1935 : Biography of a Bachelor Girl d'Edward H. Griffith : Minnie
  • 1935 : Le Retour de Peter Grimm (The Return of Peter Grimm) de George Nichols Jr. et Victor Schertzinger : Marta
  • 1935 : Les Hommes traqués (Public Hero n° 1) de J. Walter Ruben : La gouvernante
  • 1936 : Sa femme et sa secrétaire (Wife vs. Secretary) de Clarence Brown : Molly
  • 1936 : Spendthrift de Raoul Walsh : Hilda
  • 1936 : Suzy de George Fitzmaurice : Mme Schmidt
  • 1936 : Ils étaient trois (These Three) de William Wyler : La serveuse viennoise
  • 1936 : L'Enchanteresse (The Gorgeous Hussy) de Clarence Brown : Frau Oxenrider
  • 1936 : Une fine mouche (Libeled Lady) de Jack Conway : La servante de Connie Allenbury
  • 1937 : Heidi d'Allan Dwan : La deuxième villageoise
  • 1937 : Bill Cracks Down de William Nigh : Hilda
  • 1937 : Le Prince X (Thin Ice) de Sidney Lanfield : Martha
  • 1937 : Night of Mystery d'Ewald André Dupont : Mme Mannheim
  • 1938 : Toute la ville danse (The Great Waltz) de Julien Duvivier : Mme Vogelhuber
  • 1939 : Veillée d’amour (When Tomorrow Comes) de John M. Stahl : L'infirmière de Madeleine
  • 1939 : Femmes (The Women) de George Cukor : La masseuse
  • 1940 : Chante mon amour (Bitter Sweet) de W. S. Van Dyke : Mama Luden
  • 1941 : Viens avec moi (Come Live with Me) de Clarence Brown : Frieda
  • 1942 : Quelque part en France (Reunion in France) de Jules Dassin : Une cliente
  • 1942 : Friendly Enemies d'Allan Dwan : Gretchen
  • 1944 : Une romance américaine (An American Romance) de King Vidor : Mama Hartzler

Théâtre à Broadway

  • 1930-1931 : Cette nuit ou jamais (Tonight or Never) de Lili Hatvany, production et mise en scène de David Belasco : La servante

Massey Edith

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Edith Massey (née le 28 mai 1918 à San Francisco, Californie et morte le 24 octobre 1984) est une actrice et chanteuse. Elle est plus connue pour ses apparitions dans les films de John Waters.

Massey Edith

Née à San Francisco, Edith Dornfield a été élevée dans un orphelinat à Denver, Colorado. Selon le livre de John Waters, Shock Value, elle a vécu dans cet orphelinat "jusqu'à ce qu'elle en sorte à 15 ans pour être domestique, Edie en eut finalement ras le bol et s'enfuit. Capturée par la police, elle fut placée dans une maison de correction". Une fois sa peine purgée, elle part en stop pour Los Angeles pour démarrer une carrière dans le show-business. Elle serait apparue comme figurante dans le film Arise, My Love en 1940 aux côtés de Claudette Colbert and Ray Milland mais diverses recherches n'ont pas permis de confirmer cela. Elle termina comme danseuse de claquettes dans une boîte de strip-tease pendant un temps, en eut marre et prit un train de marchandises direction San Francisco. Là, elle devint hôtesse à soldats.

En 1946, elle a épousé un soldat à Reno, Nevada. Dans Shock Value, Edith dit que son mariage fut le jour le plus heureux de sa vie malgré le fait qu'"il [son mari] alla seul au cinéma juste après la cérémonie et elle alla seule jouer au casino". Ils se sont séparés en 1951. Elle a fait des petits boulots pendant des années un peu partout aux États-Unis, avant de déménager à Baltimore, où elle fut barmaid à l'hôtel Pete. C'est là qu'elle rencontre John Waters, qui lui propose un rôle dans son film Multiple Maniacs en 1970. Au début des années 1970, elle quitte son emploi de barmaid et ouvre une boutique à Baltimore appelée Edith's Shopping Bag (située au 726 South Broadway).

Sa collaboration avec John Waters se poursuit dans quatre autres films : Pink Flamingos, Female Trouble, Desperate Living et Polyester. Robert Maier réalise en 1975 le documentaire Love Letter to Edie. Dans les années 80, Edith Massey a sorti deux singles : Big Girls Don't Cry et Punks, Get Off The Gras (que l'on entendra dans le documentaire Divine Waters avec John Waters et Divine en 1985). L'année de sa mort, elle tourne Mutants in Paradise. Elle fut castée pour le film Lust in the Dust de Paul Bartel (parodie d'un western avec Divine) mais mourut avant le tournage. Elle fut remplacée par Nedra Volz. Elle meurt le 24 octobre 1984 des suites d'un cancer et de complications dues au diabète. Son corps a été incinéré et ses cendres ont été enterrées à Los Angeles dans le Westwood Village Memorial Park Cemetery.

Filmographie

  • 1970 : Multiple Maniacs : Edith / la Vierge Marie
  • 1972 : Pink Flamingos : Edie
  • 1974 : Female Trouble : Tante Ida
  • 1975 : Love Letter to Edie
  • 1977 : Desperate Living : la Reine Carlotta
  • 1981 : Polyester : Cuddles Kovinsky
  • 1984 : Mutants in Paradise : Dr. Durchfall
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