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Yves Bertrand, le "caméléon"

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Pendant douze ans, il a collectionné les secrets - et même pendant quarante ans, car Yves Bertrand a passé toute sa carrière au sein des renseignements généraux. Une vie entière à collecter des informations, les indiscrétions, les rumeurs et les ragots. Le visage fermé, le regard sombre, Yves Bertrand voulait tout savoir : "C'est ma mission", disait-il. Il y avait pris goût dès les années 1970, quand il était jeune commissaire de police. A l'époque, il était chargé de suivre les mouvements révolutionnaires. Il faisait des fiches, déjà. Il n'a jamais cessé.

 

Yves Bertrand, le "caméléon"

Yves Bertrand était un homme de droite, proche des Chiraquiens. Pourtant, en 92, c'est la gauche qui le nomme à la tête des RG. Le fonctionnaire façonne sa réputation. Il se définit comme un "démineur". Il a des alliés dans la majorité, dans l'opposition. Entre 1992 et 2004, il travaille avec huit ministres de l'intérieur, de droite et de gauche. Il se voit comme un serviteur de la République, pas comme un partisan. Ses détracteurs ont une autre explication : selon eux, Yves Bertrand sait se rendre indispensable. Il est surnommé "le caméléon".

Ses secrets, il ne les livre pas seulement aux politiques. Il les distille aussi aux journalistes. Il fournit des scoops, parfois vrais, parfois faux. Yves Bertrand est un manipulateur, capable de jouer les uns contre les autres. J'ai retrouvé deux citations dans une enquête du Nouvel Observateur : " Nous avons le devoir de répercuter une rumeur, dit-il en 2008, fût elle infondé ou partiellement exacte ". Et cette autre phrase sur les journalistes, toujours attribuée à l'ex-patron des RG : " les journalistes, c'est comme les punaises, une fois qu'on s'en est servi, on les jette ".

Yves Bertrand a l'habitude de tout noter. Il remplit des pages entières : des informations, glanées ici ou là; des rumeurs sur des affaires politico-financières, des " brouillons ", dit-il. Mais cette manie finit par se retourner contre lui. Ses fameux carnets se retrouvent au coeur de l'affaire Clearstream. Nicolas Sarkozy est persuadé qu'Yves Bertrand a comploté contre lui avec Dominique de Villepin. En 2004, le patron des RG est écarté. Il s'est fait beaucoup d'ennemis.

Ces dernières années, Yves Bertrand se décrivait comme une " victime ". Il avait pris ses distances avec le monde politique. Ca ne l'avait pas empêché de saluer Marine Le Pen, " quelqu'un de respectable ", selon lui. 


Les obsèques de l'ex-patron des RG, Yves Bertrand, auront lieu à Grasse

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Les obsèques de l'ex-patron des RG, Yves Bertrand, auront lieu samedi en la cathédrale de Grasse.

L'ancien patron des RG Yves Bertrand est mort à Paris à l'âge de 69 ans

L'ancien patron des RG Yves Bertrand est mort à Paris à l'âge de 69 ans

L'homme aux fameux "carnets", proche de l'ancien président Jacques Chirac, est décédé le lundi 3 juin à Paris.

Yves Bertrand, 69 ans, a été retrouvé mort à son domicile, a-t-on appris de sources concordantes.

Son corps a été découvert par sa concierge dans son appartement du VIIIe arrondissement, a indiqué l'une de ces sources, qui n'étaient pas en mesure lundi soir de préciser les causes du décès.

Le "démineur de la République"

Yves Bertrand était entré dans la police en 1970 avant de devenir 22 ans plus tard patron des Renseignements généraux. Il a dirigé ce service pendant près de 12 ans, jusqu'en 2004, sous huit ministres de l'intérieur.

Celui qui s'est toujours décrit comme un "démineur de la République" et un homme de l'ombre s'était rendu célèbre avec la publication dans la presse de ses fameux "carnets".

Lié à l'affaire Clearstream

Ces vingt-trois cahiers à spirale, couvrant les années 1998 à 2003, ont été publiés en 2008, après avoir été saisis dans le cadre de l'enquête Clearstream, alors qu'Yves Bertrand avait quitté les RG.

L'ancien policier y avait consigné tout au long de sa carrière nombre d'indiscrétions et de rumeurs sur les affaires politico-financières de la Ve République, la vie privée et publique du Tout-Paris et des hommes politiques.

Resté proche de la Côte d'Azur

Yves Bertrand, originaire de la région, était resté fidèle à la Côte d'Azur où une partie de sa famille réside toujours.

L'ancien Inspecteur général de l'administration, Officier de la légion d'honneur et Commandeur national de l'ordre du Mérite sera inhumé au nouveau cimetière Sainte-Brigitte à Grasse.

L'ex-grand flic Yves Bertrand est mort

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DISPARITION – Agé de 69 ans, Yves Bertrand a été retrouvé mort, lundi, à son domicile parisien. L'ancien patron des Renseignements généraux, de 1998 à 2004, avait été impliqué dans l'affaire Cleastream, acusé de diriger un "cabinet noir". Ce proche de Jacques Chirac était notamment l'auteur de fameux carnets au contenu sulfureux et qui lui ont valu beaucoup d'inimitiés.

Yves Bertrand est décédé, lundi, à l'âge de 69 ans

Yves Bertrand est décédé, lundi, à l'âge de 69 ans

Il emporte peut-être avec lui de lourds secrets. Yves Bertrand, qui se surnommait lui-même le "démineur de la République", a été retrouvé mort, lundi, à son domicile parisien. L'ancien directeur des Renseignement généraux (devenus en 2008 la Direction centrale du renseignement intérieur) était âgé de 69 ans. Les causes de son décès demeurent pour l'heure inconnues.

Homme de l'ombre, Yves Bertrand est plusieurs fois revenu à la une de l'actualité à partir de 2006, en plein coeur de l'affaire Clearstream. Dans cette affaire politico-financière, l'ex-grand flic, entré dans la police en 1970, avant de tenir les rênes des RG de 1992 à 2004, était suspecté par Nicolas Sarkozy d'avoir détenu un rôle-clé aux côtés de son ennemi intime, Dominique de Villepin. Il était notamment accusé d'avoir constitué un "cabinet noir" au profit de l'ancien Premier ministre et de Jacques Chirac, dont il était proche. Des accusations dont il s'est toujours défendu.

L'homme aux carnets

C'est dans le cadre de cette affaire tentaculaire que la justice a saisi en 2008 ses fameux carnets. Plus d'une vingtaine de cahiers dans lesquels Yves Bertrand consignait méthodiquement les rumeurs et autres ragots sur la vie publique et privée des politiques, sur une période allant de 1998 à 2003. De quoi faire trembler la Ve République, voire même déstabiliser le pouvoir en place. On prête ainsi à Yves Bertrand plusieurs "fuites" dans les médias qui ont pu nuire à Lionel Jospin, Premier ministre socialiste de 1997 à 2002. Dans son ouvrage, Les carnets noirs de la République, le journaliste Patrick Rougelet affirme qu'Yves Bertrand avait également collecté, en 2003, des informations sur Cécilia Sarkozy.

Une partie des contenus de ces sulfureux carnets saisis par la justice avaient été divulgués dans l'hebdomadaire Le Point, à la fin de l'année 2008. Une publication qui avait débouché sur une plainte déposée, entre autres, par Nicolas Sarkozy, alors président de la République, pour "atteinte à la vie privée" et "dénonciation calomnieuse". De son côté, Yves Bertrand a toujours argué du fait que ses écrits n'étaient que de simples "brouillons" et qu'il se considérait comme une "victime". Cette plainte sera classé sans suite en 2010.

Yves Bertrand, ancien patron des RG, est mort

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À 69 ans, l’ancien patron des renseignements généraux a été retrouvé mort à son domicile lundi 3 juin.

Yves Bertrand, ancien patron des RG, est mort

Patron des Renseignements généraux sous huit ministres de l’intérieur, de 1992 à 2004, Yves Betrand, 69 ans, a été retrouvé mort lundi 3 juin à son domicile parisien. Celui qui se décrivait comme le « démineur de la République » avait notamment fait parler de lui en 2008 lorsque ses 23 carnets de notes manuscrites, saisis dans l’affaire Clearstream, avaient été publiés à son insu dans la presse.

Ces « brouillons », comme il les appelait, contenaient de nombreuses indiscrétions et rumeurs sur des affaires politico-financières de la Ve  République mais aussi sur la vie privée de personnalités politiques.

Une vision des RG

Proche de Jacques Chirac, Yves Bertrand était notamment en froid avec Nicolas Sarkozy, qui le soupçonnait d’avoir joué un rôle dans l’affaire Clearstream. L’ancien président avait d’ailleurs porté plainte contre lui à cause de certains passages des carnets.

D’autres responsables politiques l’appréciaient peu. Homme de l’ombre, il avait été qualifié d’« amateur de basse police » par Lionel Jospin. Il avait défendu sa carrière et sa vision des RG dans ses mémoires, publiés en 2007, sous le titre Je sais rien mais je dirai (presque) tout.

Yves Bertrand, ex-patron des RG, est mort

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Ce proche de Jacques Chirac, qui a dirigé les renseignements généraux pendant près de douze ans, a été retrouvé mort lundi à son domicile parisien.

L'ancien directeur central des Renseignements généraux (RG) Yves Bertrand, le 21 janvier 2009, à Paris

L'ancien directeur central des Renseignements généraux (RG) Yves Bertrand, le 21 janvier 2009, à Paris

Les causes du décès n'ont pas été précisées. L'ancien directeur des Renseignements généraux (RG) Yves Bertrand, 69 ans, a été retrouvé mort lundi 3 juin à son domicile parisien, a-t-on appris mardi. Son corps a été découvert par la concierge, dans son appartement du 8e arrondissement.

Celui qui s'est toujours décrit comme un "démineur de la République" et un homme de l'ombre s'est rendu célèbre avec la publication dans la presse de ses "carnets", ces manuscrits où il rapportait rumeurs et ragots de la Ve République. Ces vingt-trois cahiers à spirale, couvrant les années 1998 à 2003, ont été publiés en 2008, après avoir été saisis dans le cadre de l'enquête Clearstream, alors qu'il avait quitté les RG. Yves Bertrand y avait consigné tout au long de sa carrière nombre d'indiscrétions et de rumeurs des affaires politico-financières de la Ve République, la vie privée et publique du tout-Paris et des hommes politiques.

Yves Bertrand était entré dans la police en 1970 et était devenu, en 1992, directeur central des Renseignements généraux, qu'il a dirigés pendant près de douze ans, jusqu'en 2004. A ce poste, il a connu huit ministres de l'Intérieur. Proche de l'ex-président de la République Jacques Chirac, il était en revanche en froid avec Nicolas Sarkozy, qui l'a soupçonné d'avoir joué un rôle dans l'affaire Clearstream. L'ex-président de la République avait d'ailleurs porté plainte contre lui à la suite de la publication de certains passages de ses carnets le concernant.

 

Kraft durch Freude (KdF)

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Le mouvement appelé Kraft durch Freude (KdF, en français La force par la joie) était une vaste organisation de loisirs contrôlée par l'état nazi ; elle faisait partie du Deutsche Arbeitsfront (DAF, Front allemand du travail) qui s'était substitué aux syndicats, dissous le 1er mai 1933.

Reichsorganisationsleiter« Robert Ley

Reichsorganisationsleiter« Robert Ley

Le président du DAF, Robert Ley avait découvert cette forme d'encadrement des activités dans l'Italie fasciste de Mussolini (Dopolavoro, "après le travail") et l'avait proposée à Adolf Hitler. Le 27 novembre de la même année, le ministre du Reich du Travail créait l'organisation Kraft durch Freude. Jusqu'en 1945, la KdF subventionnera et organisera des activités de loisirs comme des concerts, des excursions et des séjours, comme à Prora. De grands navires comme le Wilhelm Gustloff seront construits spécialement pour les croisières organisées par la KdF.

La KdF met également en place la production d'une voiture bon marché, la KdF-Wagen, ancêtre de la Volkswagen Coccinelle (Ferdinand Porsche). Une nouvelle ville, baptisée KdF-Stadt, est construite à côté du village de Wolfsbourg près de Hanovre pour y abriter usines et ouvriers. Le KdF organise un système d'épargne spécial pour permettre aux simples ouvriers de s'offrir le luxe d'une voiture. Toutefois, à cause de la Seconde Guerre mondiale, peu de cela se réalisera et les usines et KdF se concentreront sur les efforts de guerre.

Sous le soleil d'Arizona

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Sous le soleil d'Arizona ('Neath the Arizona Skies) est un film américain réalisé par Harry L. Fraser, sorti en 1934. Chris Morrell et la petite Nina, sa fille adoptive qui est une métisse indienne, se préparent à quitter la ville pour retrouver le père de Nina, disparu depuis longtemps, car ils ont besoin de sa signature pour valider les droits de Nina sur un puis de pétrole d'une valeur de 50 000 $. Mais Sam Black et son gang vont enlever Nina...

Sous le soleil d'Arizona de Harry L. FraserSous le soleil d'Arizona de Harry L. Fraser

Sous le soleil d'Arizona de Harry L. Fraser

Fiche technique

  • Titre original : 'Neath the Arizona Skies
  • Titre français : Sous le soleil d'Arizona
  • Réalisation : Harry L. Fraser
  • Scénario : Burl R. Tuttle
  • Direction artistique : E.R. Hickson
  • Photographie : Archie Stout
  • Son : Ralph Shugart
  • Montage : Charles J. Hunt, Carl Pierson
  • Production : Paul Malvern
  • Société de production : Lone Star Productions
  • Société de distribution : Monogram Pictures
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue originale : anglais
  • Format : noir et blanc — 35 mm — 1,37:1 — son Mono (Balsley and Phillips Sound System)
  • Genre : Western
  • Durée : 52 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 5 décembre 1934
  • Licence : Domaine public

Distribution

  • John Wayne : Chris Morrell
  • Sheila Terry : Clara Moore
  • Shirley Jean Rickert (en) : Nina
  • Jack Rockwell : Vic Byrd
  • Yakima Canutt : Sam Black
  • Harry L. Fraser : un membre du gang
  • Jay Wilsey : Jim Moore
  • Philip Kieffer : Jameson Hodges

Fraser Harry L.

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Harry L. Fraser est un réalisateur, scénariste, acteur et producteur américain né le 31 mars 1889 à San Francisco, Californie (États-Unis), décédé le 8 avril 1974 à Pomona (États-Unis).

Fraser Harry L.

Filmographie

Comme réalisateur

  • 1925 : Oil and Romance
  • 1925 : Queen of Spades
  • 1925 : West of Mojave
  • 1926 : Sheep Trail
  • 1926 : The Wildcat
  • 1926 : The Fighting Gob
  • 1926 : General Custer at Little Big Horn
  • 1926 : Luke's Warm Daze
  • 1927 : Cross Country Run
  • 1929 : Cross Country Run
  • 1931 : Straight Goods
  • 1931 : Bare Knees
  • 1931 : Open House
  • 1931 : Night Class
  • 1931 : The Montana Kid
  • 1931 : Oklahoma Jim
  • 1931 : Land of Wanted Men
  • 1932 : Ghost City
  • 1932 : The Reckoning
  • 1932 : Texas Pioneers
  • 1932 : Vanishing Men
  • 1932 : Mason of the Mounted
  • 1932 : Law of the North
  • 1932 : Honor of the Mounted
  • 1932 : Broadway to Cheyenne
  • 1932 : The Man from Arizona
  • 1932 : The Savage Girl
  • 1933 : The Diamond Trail
  • 1933 : The Fugitive
  • 1933 : Rainbow Ranch
  • 1933 : The Fighting Parson
  • 1933 : The Wolf Dog
  • 1934 : Randy Rides Alone
  • 1934 : The Tonto Kid
  • 1934 : Fighting Through
  • 1934 : Gunfire
  • 1934 : Sous le soleil d'Arizona ('Neath the Arizona Skies)
  • 1935 : The Reckless Buckaroo
  • 1935 : The Pecos Kid
  • 1935 : Wagon Trail
  • 1935 : Social Error
  • 1935 : Rustler's Paradise
  • 1935 : Fighting Pioneers
  • 1935 : Saddle Aces
  • 1935 : Wild Mustang
  • 1935 : Last of the Clintons
  • 1936 : Ghost Town
  • 1936 : Hair-Trigger Casey
  • 1936 : Wildcat Saunders
  • 1936 : Feud of the West
  • 1936 : The Riding Avenger
  • 1936 : Romance Rides the Range
  • 1936 : Cavalcade of the West
  • 1936 : Fury Below
  • 1936 : Aces Wild
  • 1937 : Gangsters on the Loose
  • 1937 : Dark Manhattan
  • 1937 : Galloping Dynamite
  • 1937 : Heroes of the Alamo
  • 1937 : Jungle Menace (en)
  • 1938 : Spirit of Youth
  • 1938 : Six Shootin' Sheriff
  • 1938 : Songs and Saddles
  • 1939 : Lure of the Wasteland
  • 1940 : Phantom Rancher
  • 1940 : Lightning Strikes West
  • 1941 : Jungle Man
  • 1944 : Outlaw Roundup
  • 1944 : Brand of the Devil
  • 1944 : Gunsmoke Mesa
  • 1945 : Enemy of the Law
  • 1945 : The White Gorilla
  • 1945 : Three in the Saddle
  • 1945 : Frontier Fugitives
  • 1945 : Flaming Bullets
  • 1945 : The Navajo Kid
  • 1946 : Six Gun Man
  • 1946 : Ambush Trail
  • 1946 : The People's Choice
  • 1946 : Thunder Town
  • 1946 : Jungle Terror
  • 1949 : Stallion Canyon
  • 1951 : Chained for Life
  • 1952 : Craig Kennedy, Criminologist (série TV)
  • 1958 : L'Amour parmi les monstres (Chained for Life)

Comme scénariste

  • 1926 : Sheep Trail
  • 1930 : The Lone Defender
  • 1930 : Alias the Bandit
  • 1930 : Wings of Adventure
  • 1930 : The Leather Pushers
  • 1931 : Campus Champs
  • 1931 : Hot Wires
  • 1931 : Cavalier of the West
  • 1932 : The Reckoning
  • 1932 : Texas Pioneers
  • 1932 : Broadway to Cheyenne
  • 1933 : The Gallant Fool
  • 1933 : The Return of Casey Jones
  • 1933 : The Fighting Parson
  • 1933 : Galloping Romeo
  • 1933 : Ranger's Code
  • 1934 : The Tonto Kid
  • 1934 : Fighting Through
  • 1934 : Gunfire
  • 1935 : Wagon Trail
  • 1935 : Rustler's Paradise
  • 1935 : Fighting Pioneers
  • 1935 : Saddle Aces
  • 1935 : Wild Mustang
  • 1935 : Last of the Clintons
  • 1936 : Ghost Town
  • 1936 : Hair-Trigger Casey
  • 1936 : Wildcat Saunders
  • 1938 : Six Shootin' Sheriff
  • 1938 : Songs and Saddles
  • 1943 : Batman
  • 1944 : Captain America
  • 1944 : I Accuse My Parents
  • 1944 : Dead or Alive
  • 1945 : Enemy of the Law
  • 1946 : Six Gun Man
  • 1946 : Chick Carter, Detective
  • 1946 : Son of the Guardsman
  • 1948 : Tex Granger, Midnight Rider of the Plains
  • 1951 : Abilene Trail

Comme acteur

  • 1915 : The Celestial Code
  • 1916 : The Iron Claw : The Laughing Mask
  • 1917 : The Mystery of the Double Cross
  • 1921 : Burn 'Em Up Barnes (en) de Colbert Clark et Armand Schaefer
  • 1923 : Luck : A Lawyer
  • 1927 : Soft Cushions : The Citizen
  • 1932 : Honor of the Mounted : Postmaster
  • 1934 : Sous le soleil d'Arizona ('Neath the Arizona Skies) : Henchman in the Brush

Comme producteur

  • 1926 : Sheep Trail
  • 1945 : The White Gorilla

Terry Sheila

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Sheila Terry, de son vrai nom Kay Clark, est une actrice américaine née le 5 mars 1910 à Warroad (Minnesota) et morte le 19 janvier 1957 à New York (État de New York).

Terry SheilaTerry SheilaTerry Sheila

Filmographie

  • 1932 : Crooner de Lloyd Bacon (non créditée)
  • 1932 : Le Fantôme (Haunted Gold) de Mack V. Wright : Janet Carter
  • 1932 : Lawyer Man de William Dieterle : Flo
  • 1932 : Madame Butterfly de Marion Gering : Mme Pinkerton
  • 1932 : Scarlet Dawn de William Dieterle : Marjorie
  • 1932 : Weekend Marriage de Thornton Freeland : Connie
  • 1932 : You Said a Mouthful de Lloyd Bacon : Cora Norton
  • 1933 : Parachute Jumper de Alfred E. Green : la secrétaire de Weber
  • 1933 : Private Detective 62 de Michael Curtiz : Mme Wright
  • 1933 : Son of a Sailor de Lloyd Bacon : Genevieve
  • 1933 : The House on 56th Street de Robert Florey : Dolly
  • 1933 : The Silk Express de Ray Enright : Paula Nyberg
  • 1933 : The Sphinx de Phil Rosen : Jerry Crane
  • 1933 : Twenty Thousand Years in Sing Sing de Michael Curtiz : Babe Saunders
  • 1934 : 'Neath the Arizona Skies de Harry L. Fraser : Clara Moore
  • 1934 : Rocky Rhodes de Alfred Raboch : Nan Street
  • 1934 : Take the Stand de Phil Rosen
  • 1934 : The Lawless Frontier de Robert North Bradbury : Ruby
  • 1934 : When Strangers Meet de Christy Cabanne : Dolly
  • 1935 : Rescue Squad de Spencer Gordon Bennet : Rose
  • 1935 : Social Error de Harry L. Fraser : Sonia
  • 1935 : Society Fever de Frank Strayer : Lucy Prouty
  • 1936 : Bars of Hate de Al Herman : Ann Dawson
  • 1936 : Go-Get-'Em, Haines de Sam Newfield : Jane Kent
  • 1936 : Special Investigator de Louis King : Judy Taylor
  • 1937 : A Girl's Best Years de Reginald Le Borg : Phyllis Rodgers
  • 1937 : Fury Below de Harry L. Fraser : Claire Johnson
  • 1938 : I Demand Payment de Clifford Sanforth : Rita Avery
  • 1943 : A Scream in the Night de Fred Newmeyer : Edith Bentley

L'Héritage du chercheur d'or

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L'Héritage du chercheur d’or (The Trail Beyond, littéralement : Au-delà de la piste), est un western américain réalisé par Robert N. Bradbury, sorti en 1934, adapté du roman Les Chasseurs de loups de James Oliver Curwood (1908). Un vieil homme confie à Rod Drew la mission de retrouver Marie, la fille de son frère John Ball, disparue depuis longtemps (mais il y a erreur sur le prénom…) Drew commence son aventure mouvementée dans le train qui l'emmène au nord du Canada : il porte secours à un homme menacé par des joueurs de cartes que ce dernier accuse d'avoir triché. Bagarre et coup de feu. L'homme se révèle être Wabi, un demi-sang indien qui est un ami d’enfance. Les deux compères s'enfuient en se jetant du pont ferroviaire dans le fleuve. Ils trouveront entre temps la cabane où mourut l'infortuné John Ball et le plan de sa mine d’or. 

La tâche de Rod s'annonce désormais périlleuse car Wabi est maintenant recherché pour meurtre et il est lui-même considéré comme un probable complice. Ils vont devoir échapper, à la fois, aux brigands voleurs d'or menés par Jules LaRocque et à la Police montée qui les recherchent. L'Héritage du chercheur d'or est un petit film du niveau de série B avec des raccords parfois imprécis. On trouve au générique Noah Beery, qui joue avec son fils (Noah Beery Jr.) et qui est le frère de Wallace Beery, très connu outre-Atlantique. L’action qui est censée se dérouler au Canada a été tournée en Californie, dans les Mammoth Lakes. La nature est donc très présente et bien filmée : lacs, rivières, cascades, forêt. Les héros se jetteront, d’ailleurs, plusieurs fois dans l’eau pour semer leurs poursuivants. John Wayne, jeune, vif et mince, n’a pas encore la nonchalance qu’on lui connaît généralement et a assumé lui-même toutes les cascades. Les scènes de bagarre n’ont pas, bien sûr, la percussion des films actuels et font plutôt penser à des scènes de cinéma muet.

L'Héritage du chercheur d'or avec John WayneL'Héritage du chercheur d'or avec John Wayne

L'Héritage du chercheur d'or avec John Wayne

Fiche technique

  • Titre original : The Trail Beyond
  • Titre français : L'Héritage du chercheur d’or
  • Titre québécois : La Mine d’or perdue
  • Réalisation : Robert N. Bradbury
  • Scénario : Lindsley Parsons, d’après le roman Les Chasseurs de loups (The Wolf Hunters) de James Oliver Curwood1
  • Direction artistique : E. R. Huckson
  • Photographie : Archie Stout
  • Son : Ralph Shugar
  • Montage : Charles Hunt
  • Musique : Lee Zalher
  • Production : Paul Malvern
  • Société de distribution : Lone Star Productions
  • Pays d’origine : États-Unis
  • Langue originale : anglais
  • Format : noir et blanc — 35 mm — 1,37:1 — son Mono
  • Genre : Western
  • Durée : 55 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 22 octobre 1934, France : 3 septembre 1936

Distribution

  • John Wayne (V.F. : Jean Clarens) : Rod Drew
  • Verna Hillie (V.F. : Monique Mélinand) : Félicie (recueillie par Newsome ; alias Félicie Ball)
  • James A. Marcus : frère de John Ball (et oncle de Félicie)
  • Noah Beery Jr. (V.F. : Marc Valbel2) : Wabi
  • Noah Beery (V.F. : Henry Valbel) : George Newsome
  • Robert Fraser (V.F. : Paul Lalloz) : Jules LaRocque
  • Earl Dwire : Benoit
  • Iris Lancaster (V.F. : Camille Fournier) : Marie Lafleur
  • Eddie Parker : agent Ryan, de la Police montée

Hillie Verna

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Verna Hillie est une actrice américaine, née le 5 mai 1914 à Hancock (Michigan) et morte le 3 octobre 1997 à Fairfield (Connecticut).

Hillie VernaHillie VernaHillie Verna

Filmographie 

  • 1932 : Madame Butterfly de Marion Gering
  • 1933 : Man of the Forest de Henry Hathaway
  • 1933 : La Soupe au canard (Duck Soup) de Leo McCarey
  • 1934 : Search for Beauty d'Erle C. Kenton
  • 1934 : Poker party de Leo McCarey
  • 1934 : House of Mystery de William Nigh
  • 1934 : Terreur dans la ville (The Star Packer) de Robert N. Bradbury
  • 1934 : La Mine d'or perdue (The Trail Beyond) de Robert N. Bradbury
  • 1941 : Le Dragon récalcitrant (The Reluctant Dragon) de Hamilton Luske et Alfred L. Werker

L'Élixir du docteur Carter

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L'Élixir du docteur Carter (titre original : Paradise Canyon) est un western B américain réalisé par Carl L. Pierson, sorti en 1935. Il s'agit de l'un des nombreux westerns de série B tournés par John Wayne au cours des années 1930. Agent du gouvernement américain chargé de traquer un gang vers la frontière avec le Mexique, John Wyatt soupçonne « Doc » Carter, un « homme-médecine » itinérant, d'en être le chef. Tombé amoureux de la fille de celui-ci, Linda, il comprend bientôt que le véritable meneur de bande est « Curly » Joe Gale. Pour parvenir à arrêter tout ce monde, il est aidé par le capitaine d'un groupe de paysans mexicains...

L'Élixir du docteur Carter de Carl L. Pierson

L'Élixir du docteur Carter de Carl L. Pierson

Fiche technique

  • Titre : L'Élixir du docteur Carter
  • Titre original : Paradise Canyon
  • Réalisateur : Carl L. Pierson
  • Scénario : Robert Emmett, d'après une histoire de Lindsley Parsons
  • Directeur de la photographie : Archie Stout
  • Montage : Jerry Roberts
  • Producteur : Paul Malvern
  • Société de production : Lone Star Productions
  • Société de distribution : Monogram Pictures
  • Genre : Western B
  • Dormat : Noir et blanc
  • Durée : 52 min
  • Dates de sortie : (États-Unis) : 20 juillet 1935

Distribution

  • John Wayne : John Wyatt alias John Rogers
  • Marion Burns : Linda Carter alias Princesse Natasha
  • Reed Howes : Red (membre du gang)
  • Earle Hodgins : « Doc » Carter
  • Gino Corrado : Le capitaine des paysans mexicains
  • Yakima Canutt : « Curly » Joe Gale (et cascadeur non crédité)
  • Perry Murdock : Ike (premier chanteur texan)
  • Gordon Clifford : Mike (second chanteur texan)
  • Henry Hall : Le colonel Peters

Corrado Gino

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Gino Corrado est un acteur italien, né Gino Corrado Liserani le 9 février 1893 à Florence (Toscane), mort le 23 décembre 1982 à Los Angeles — Quartier de Woodland Hills (Californie).

Corrado Gino Corrado Gino

Gino Corrado s'installe aux États-Unis durant ses études. Il y débute au cinéma dans Intolérance de D. W. Griffith (avec Lillian Gish et Mae Marsh), sorti en 1916, et contribue à près de quatre-cents films américains, les trois derniers sortis en 1954. Acteur de second rôle, principalement durant la période du muet, il est entre autres Marcel dans La Bohème de King Vidor (1926, avec Lillian Gish et John Gilbert) et Aramis dans Le Masque de fer d'Allan Dwan (1929, avec Douglas Fairbanks et Belle Bennett). 

Mais le plus souvent, il tient des petits rôles non crédités (par exemple de serveur), notamment dans Casbah de John Cromwell (1938, avec Charles Boyer, Sigrid Gurie et Hedy Lamarr), Citizen Kane d'Orson Welles (1941, avec Orson Welles et Joseph Cotten), Casablanca de Michael Curtiz (1942, avec Humphrey Bogart et Ingrid Bergman), ou encore Les Cuistots de sa majesté de Sam Taylor (1944, avec Laurel et Hardy). Et notons une vingtaine de westerns dans sa filmographie, dont L'Élixir du docteur Carter de Carl L. Pierson (1935, avec John Wayne et Marion Burns).

Filmographie 

  • 1916 : Intolérance (Intolerance : Love's Struggle Throughout the Ages) de D. W. Griffith : Un messager
  • 1917 : The Gown of Destiny de Lynn Reynolds : Un employé à l'Ambassade de France
  • 1918 : The Argument de Walter Edwards : John Corbin Jr.
  • 1919 : Wild and Western d'Al Christie (court métrage) : rôle non spécifié
  • 1920 : The Great Lover de Frank Lloyd : Le secrétaire
  • 1920 : Her Bridal Nightmare d'Al Christie (court métrage) : rôle non spécifié
  • 1921 : Nothing Like It d'Al Christie (court métrage) : rôle non spécifié
  • 1922 : My American Wife de Sam Wood : Pedro DeGrossa
  • 1923 : Les Dix Commandements (The Ten Commandments) de Cecil B. DeMille : Un esclave israélite
  • 1923 : Flaming Youth de John Francis Dillon : Leo Stenak
  • 1923 : La Rançon d'un trône (Adam's Rib) de Cecil B. DeMille : Lieutenant Braschek
  • 1923 : The Thrill Chaser d'Edward Sedgwick : Rudolph Biggeddo
  • 1924 : The Rose of Paris d'Irving Cummings : Paul Maran
  • 1924 : Reckless Speed de William James Craft : David Brierly
  • 1925 : The Desert Flower d'Irving Cummings : José Lee
  • 1926 : La Bohème (titre original) de King Vidor : Marcel
  • 1926 : Les Bateliers de la Volga (The Volga Boatman) de Cecil B. DeMille : Un officier de l'armée blanche
  • 1926 : Bardelys le magnifique (Bardelys the Magnificent) de King Vidor : Le mari au duel
  • 1927 : Uneasy Payments de David Kirkland : Bozoni
  • 1927 : Prince sans amour (Paid to Love) d'Howard Hawks : Le directeur de tournée
  • 1927 : L'Aurore (Sunrise) de Friedrich Wilhelm Murnau : Le directeur du salon de coiffure
  • 1928 : The Devil's Skipper (en) de John G. Adolfi : Philip La Farge
  • 1928 : L'Insoumise (Fazil) d'Howard Hawks : Le messager du sultan
  • 1929 : Le Masque de fer (The Iron Mask) d'Allan Dwan : Aramis
  • 1929 : The One Woman Idea de Berthold Viertel : Bordinnas
  • 1929 : La Naissance d'un empire (Tide of Empire) d'Allan Dwan : Carlos Montalvo
  • 1930 : Lord Byron of Broadway (en) d'Harry Beaumont et William Nigh : Riccardi
  • 1930 : L'Amant de minuit (Oh, For a Man!) d'Hamilton MacFadden : Signor Ferrari
  • 1930 : Those Who Dance de William Beaudine : Tony
  • 1931 : The Last Parade d'Erle C. Kenton : Joe
  • 1932 : Scarface d'Howard Hawks : Un serveur
  • 1932 : L'Adieu aux armes (A Farewell to Arms) de Frank Borzage : Un soldat italien
  • 1933 : Carioca (Flying Down to Rio) de Thornton Freeland : Un messager
  • 1933 : Obey the Law de Benjamin Stoloff : Giovanni
  • 1934 : La Veuve joyeuse (The Merry Widow) d'Ernst Lubitsch : Un serveur
  • 1935 : Le Danseur du dessus (Top Hat) de Mark Sandrich : Le directeur de l'hôtel à Venise
  • 1935 : Charlie Chan in Paris de Lewis Seiler : Pierre
  • 1935 : Anna Karénine (Anna Karenina) de Clarence Brown : Un serveur
  • 1935 : L'Élixir du docteur Carter (Paradise Canyon) de Carl L. Pierson : Le capitaine des paysans mexicains
  • 1935 : Le Secret magnifique (Magnificent Obsession) de John M. Stahl : Antoine
  • 1936 : L'Extravagant Mr. Deeds (Mr. Deeds Goes to Town) de Frank Capra : Un violoniste ambulant
  • 1936 : The Oregon Trail de Scott Pembroke : Forrenza
  • 1936 : Furie (Fury) de Fritz Lang : Un journaliste au tribunal
  • 1936 : Rebellion de Lynn Shores : Pablo
  • 1937 : Trompette Blues (Swing High, Swing Low) de Mitchell Leisen : L'ami italien de Tony
  • 1937 : Ange (Angel) d'Ernst Lubitsch : Le directeur-adjoint de l'hôtel
  • 1938 : La Rose du Rio (Rose of the Rio Grande) de William Nigh : Castro
  • 1938 : Dr. Rhythm de Frank Tuttle : Cazzatta
  • 1938 : Casbah (Algiers) de John Cromwell : Un inspecteur de police
  • 1939 : La Baronne de minuit (Midnight) de Mitchell Leisen : Un chauffeur de taxi
  • 1939 : Pest from the West de Del Lord (court métrage) : Martino
  • 1939 : Monsieur Smith au Sénat (Mr. Smith Goes to Washington) de Frank Capra : Un coiffeur
  • 1940 : Rebecca d'Alfred Hitchcock : Le directeur de l'hôtel
  • 1940 : Brother Orchid de Lloyd Bacon : Un artiste
  • 1940 : Dance, Girl, Dance de Dorothy Arzner : Gino
  • 1940 : Le Dictateur (The Great Dictator) de Charlie Chaplin : Un sculpteur
  • 1941 : Soirs de Miami (Moon Over Miami) de Walter Lang : Le chef des Boulton
  • 1941 : Citizen Kane d'Orson Welles : Gino
  • 1942 : Mon secrétaire travaille la nuit (Take a Letter, Darling) de Mitchell Leisen : Le patron du night-club
  • 1942 : Casablanca de Michael Curtiz : Un serveur
  • 1942 : Ma sœur est capricieuse (My Sister Eileen) d'Alexander Hall : Le chef du restaurant italien
  • 1943 : My Kingdom for a Cook de Richard Wallace : Duck Carver
  • 1943 : Fleur d'hiver (Wintertime) de John Brahm : Willie
  • 1944 : L'amour est une mélodie (Shine on Harvest Moon) de David Butler : Le chef de Romero
  • 1944 : Action in Arabia de Léonide Moguy
  • 1944 : Les Cuistots de sa majesté (Nothing but Trouble) de Sam Taylor : M. Kitteridge
  • 1944 : Wilson d'Henry King : Un serveur
  • 1945 : Yolanda et le Voleur (Yolanda and the Thief) de Vincente Minnelli : Un serveur
  • 1945 : Une cloche pour Adano (A Bell for Adano) d'Henry King : Zapulla
  • 1945 : Pris au piège (Cornered) d'Edward Dmytryk : un serveur (non crédité)
  • 1946 : Du burlesque à l'opéra (Two Sisters from Boston) d'Henry Koster : Ossifish
  • 1946 : L'Emprise du crime (The Strange Love of Martha Ivers) de Lewis Milestone : Un serveur
  • 1946 : Les Tueurs (The Killers) de Robert Siodmak : Le chef du restaurant
  • 1946 : Jalousie (Deception) d'Irving Rapper : Un serveur
  • 1947 : Calendar Girl d'Allan Dwan : Tony
  • 1947 : L'Amant sans visage (Nora Prentiss) de Vincent Sherman : Pete
  • 1947 : La Femme déshonorée (Dishonored Lady) de Robert Stevenson : Carl
  • 1948 : L'Homme aux abois (I Walk Alone) de Byron Haskin : George
  • 1948 : Ma vie est une chanson (Words and Music) de Norman Taurog : Le serveur italien
  • 1949 : Un homme change son destin (The Stratton Story) de Sam Wood : Le chef du restaurant
  • 1949 : Le Bagarreur du Kentucky (The Fighting Kentuckian) de George Waggner : Un soldat français
  • 1950 : La Rue de traverse (Paid in Full) de William Dieterle : Le chef au barbecue
  • 1950 : La Scandaleuse Ingénue (The Pretty Girl) d'Henry Levin : Un serveur
  • 1951 : La Belle du Montana (Belle Le Grand) d'Allan Dwan : Gambarelli
  • 1952 : L'Ivresse et l'Amour (Something to Live For) de George Stevens : Le premier noctambule
  • 1954 : La Grande Nuit de Casanova (Casanova's Big Night) de Norman Z. McLeod : Un ambassadeur
  • 1954 : La Fontaine des amours (Three Coins in the Fountain) de Jean Negulesco : Le majordome de la princesse

O'Brady Frédéric

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Frédéric O'Brady, né Frigyes Ábel le 11 décembre 1903 à Budapest décédé le 23 février 2003 à Rochester (certaines sources donnent comme date de décès le 20 mai 1973 à Paris), est un acteur. 

O'Brady FrédéricO'Brady Frédéric

Il appartient à une famille juive dans laquelle on parle notamment hongrois, allemand et français. Il parlera sept langues dont le Russe (à Paris, il lit des journaux russes assez régulièrement) et l'anglais. Il émigre en France. Homme de gauche courant "quatrième internationale", ses tendances sont anarchisantes. Il fréquente le milieu surréaliste et est à la fois acteur de théâtre, de cinéma, puis de télévision, chanteur, fantaisiste, marionnettiste, pianiste, compositeur, écrivain... Il mène tout de front et ne semble pas souhaiter choisir. Il participe à Ubu Roi (monté par Sylvain Itkine, décors de Max Ernst et Jean Effel) en 1937. Au Cinéma il tient des petits rôles dans plus de 30 films, notamment dans Drôle de drame de Marcel Carné, La vie est à nous de Jean Renoir, Dossier secret (Monsieur Arkadin) d'Orson Welles.

Son physique (il dit mesurer 1,67 m), son crâne dégarni, puis rasé et poli, et son accent d'Europe Centrale lui sont tantôt des avantages, mais plus souvent des inconvénients. Pendant la guerre, il se fait discret puis s'engage dans la Légion étrangère, où il aurait été accepté malgré sa taille (ce point — la légion — reste à vérifier). Dans les années 50, il joue l'opérette avec Bourvil, Georges Guétary, Annie Cordy et se produit dans des cabarets (La Rose Rouge), en même temps qu'il poursuit ses autres activités. À la télévision, il monte des spectacles de "billes", marionnettes limitées à une boule figurant la tête du personnage et participe aux premières émissions du type caméra cachée. Il compose de la musique et publie un livre Extérieurs à Venise(1950), préfacé par Orson Welles, puis Le Ciel d'en face (1954) qui est présenté au prix Goncourt.

Filmographie

  • 1936 : La vie est à nous de Jean Renoir - Mohammed, le laveur nord-africain
  • 1937 : Drôle de drame de Marcel Carné - Un policier
  • 1938 : La Maison du Maltais de Pierre Chenal - Un membre de la bande
  • 1938 : Ultimatum de Robert Wiene et Robert Siodmak - Le journaliste Serbe
  • 1938 : Les Cinq Sous de Lavarède de Maurice Cammage
  • 1939 : La charrette fantôme de Julien Duvivier
  • 1940 : Les surprises de la radio de Marcel Aboulker - Lui même
  • 1947 : Mademoiselle s'amuse de Jean Boyer
  • 1947 : Et dix de der de Robert Hennion
  • 1947 : Blanc comme neige de André Berthomieu - M. Van Golden, le bijoutier Hollandais
  • 1948 : L'armoire volante de Carlo Rim - Un inspecteur
  • 1948 : Le bal des pompiers de André Berthomieu - L'impresario
  • 1948 : Les Amants de Vérone de André Cayatte - Un tueur
  • 1948 : Hans le marin de François Villiers - Le chef des gitans
  • 1948 : Les drames du bois de Boulogne de Jacques Loew - court métrage (19 min) -
  • 1949 : Le roi Pandore de André Berthomieu - Toliev
  • 1949 : Le Parfum de la dame en noir de Louis Daquin
  • 1950 : Le passe-muraille de Jean Boyer et sa version anglaise Mister Peek A Boo - Le médecin spécialiste
  • 1951 : Paris chante toujours de Pierre Montazel - Le concierge
  • 1951 : Le gantelet vert de Rudolph Maté - Alphonse
  • 1952 : Rires de Paris de Henri Lepage
  • 1952 : C'est arrivé à Paris de Henri Lavorel - Otto
  • 1954 : Monsieur Arkadin ou Dossier secret de Orson Welles - Oscar
  • 1955 : Plus de whisky pour Callaghan de Willy Rozier - Souvaroff
  • 1956 : L'énigmatique Monsieur D. - "Foreign Intrigue" de Sheldon Reynolds - Jonathan Spring
  • 1957 : Nathalie de Christian Jaque - L'homme au pied-bot
  • 1957 : Mimi Pinson de Robert Darène - Kératopoulo
  • 1957 : Sans famille de André Michel - Le coiffeur de la prison
  • 1958 : La Fille de Hambourg de Yves Allégret - Le barman
  • 1958 : Julie la Rousse de Claude Boissol - Hamib, l'homme d'affaires
  • 1959 : On n'enterre pas le dimanche de Michel Drach
  • 1959 : Le Déjeuner sur l'herbe de Jean Renoir - Rudolph
  • 1959 : Interpol contre X de Maurice Boutel - Mike
  • 1959 : Les Liaisons dangereuses 1960 de Roger Vadim - Un diplomate
  • 1959 : Suspense au deuxième bureau de Christian de Saint-Maurice - Lucien
  • 1960 : Le mouton de Pierre Chevalier

Télévision

  • 1953 : The général Staff - "Foreign Intrigue" de Jack Gage - Wormser
  • 1955 : The case of the Eiffel Tower - "Sherlock Holmes" de Steve Previn - Bayard
  • 1955 : The case of the cameless suffragette - "Sherlock Holmes" de Steve Previn - Boris Turgoff
  • 1955 : Stolen treasure - "Captain Gallant of the foreign legion" de Sam Newfield - Von Frietsche
  • 1958 : Toast of the town de Kenneth Whelan - Lui même dans l'épisode 11.27

Théâtre

  • 1937 : Ubu enchaîné de Alfred Jarry, mise en scène Sylvain Itkine, Théâtre de l'Exposition universelle de 1937
  • 1937 : Rêves sans provision de Ronald Gow, mise en scène Alice Cocéa, Comédie des Champs-Elysées
  • 1952 : Le Colonel Foster plaidera coupable de Roger Vailland, mise en scène Louis Daquin, Théâtre de l'Ambigu-Comique
  • 1952 : La Route fleurie opérette de Raymond Vincy, musique Francis Lopez, mise en scène Max Révol, Théâtre des Célestins, Théâtre de l'ABC
  • 1956 : La corde pour te pendre de Frédéric Valmain d'après Malice de Pierre Mac Orlan, mise en scène Bernard Jenny, Comédie de Paris
  • 1957 : La Mouche bleue de Marcel Aymé, mise en scène Claude Sainval, Comédie des Champs-Elysées
  • 1959 : La Collection Dressen de Harry Kurnitz, adaptation Marc-Gilbert Sauvajon, mise en scène Jean Wall, Théâtre de la Madeleine
  • 1960 : La Fleur des pois d'Édouard Bourdet, mise en scène Jean Meyer, Théâtre du Palais Royal
  • 1972 : Où boivent les vaches de Roland Dubillard, mise en scène Roger Blin, Théâtre Récamier

Bennett Belle

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Belle Bennett est une actrice américaine du cinéma muet, née le 22 avril 1891 à Milaca (Minnesota); décédée à Los Angeles (Californie) le 4 novembre 1932.

Bennett BelleBennett BelleBennett Belle

Filmographie

  • 1913 : Vengeance de Lorimer Johnston
  • 1916 : Sweet Kitty Bellairs de James Young : Lady Julia
  • 1917 : Fires of Rebellion de Ida May Park : Helen Mallory
  • 1927 : Quand la chair succombe (The Way of All Flesh) de Victor Fleming : Mme Schilling
  • 1928 : Maman de mon cœur (Mother Machree) de John Ford : Ellen McHugh, Maman Machree
  • 1928 : L'Éternel Problème (The Battle of the Sexes) de D. W. Griffith : Mme Judson, la mère
  • 1929 : Their Own Desire de E. Mason Hopper : Harriet Marlett
  • 1929 : Le Masque de fer (The Iron Mask) d'Allan Dwan : La Reine Mère, Anne d'Autriche

Fairbanks Douglas sr.

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Douglas Fairbanks, Sr (23 mai 1883, Denver, Colorado - 12 décembre 1939, Santa Monica, Californie) est un acteur, réalisateur et scénariste de cinéma américain, devenu célèbre pour ses rôles dans des films de cape et d'épée muets comme Le Signe de Zorro, Les Trois Mousquetaires, Robin des Bois ou Le Voleur de Bagdad.

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Il fut un moment surnommé The King of Hollywood et fait partie des premières « étoiles » de l'histoire du cinéma. Douglas Elton Ullman est né à Denver, Colorado, le fils de Hezekiah Charles Ullman (né en septembre 1833) et Ella Adelaide Marsh (née en 1850). Il eut un frère, Robert Payne Ullman (13 mars 1882 - 22 février 1948), et un demi-frère, John Fairbanks (né en 1873). Son père, qui était né dans une famille juive en Pennsylvanie, était un avocat renommé de New York. Sa mère, catholique, était née à New York. Elle avait auparavant épousé un homme du nom de John Fairbanks, qui la laissa veuve, puis un certain Wilcox, qui la maltraita. Son divorce fut alors traité par Ullman, qu'elle épousa peu après. Vers 1881, Charles Ullman se porta acquéreur de plusieurs intérêts miniers dans les Montagnes Rocheuses et fit déménager la famille vers Denver, où il installa son nouveau cabinet. Puis Ullman abandonna la famille alors que Douglas avait cinq ans, laissant sa femme s'occuper de ses deux enfants.

Douglas Fairbanks commence très tôt à jouer sur scène à Denver, dans le théâtre amateur. Il joue dans des représentations estivales du Elitch Gardens Theatre, où il fait sensation dans son adolescence. Il fréquente le lycée de l'East Denver, d'où il est un jour renvoyé pour avoir déguisé les statues du campus le jour de la St. Patrick. Il quitte l'établissement la dernière année. Il dit avoir été étudiant à la Colorado School of Mines, puis à l'Université Harvard mais aucun registre ne contient son nom. Toutefois, un article à ce sujet rapporta le témoignage d'un professeur des Mines qui évoquait le renvoi du futur acteur peu après son arrivée. Il part s'installer à New York au début du siècle pour exercer son métier d'acteur, où il rejoint la troupe de l'acteur anglais Frederick Warde qui avait découvert Fairbanks sur scène à Denver. Mais il est d'abord vendeur dans une quincaillerie et employé d'un bureau de Wall Street avant ses débuts à Broadway en 1902. Le 11 juillet 1907 à Watch Hill Rhode Island, il épouse Anna Beth Sully, la fille d'un riche industriel, Daniel J. Sully. Ils auront un fils, Douglas Elton Fairbanks, qui deviendra lui aussi acteur à succès. La famille part pour Hollywood en 1915.

Fairbanks signe un contrat avec la Triangle Pictures en 1915 et commence à travailler sous la direction de D. W. Griffith. Dès son premier film, The Lamb, il fait la démonstration de ses grandes qualités athlétiques qui le fera remarquer par le public. Mais ses prouesses ne sont pas du goût de Griffith, et il attire plutôt l'attention de Anita Loos et John Emerson, qui vont écrire et réaliser ses premières comédies romantiques. En 1916, il fonde sa première compagnie, la Douglas Fairbanks Film Corporation et trouve du travail à la Paramount3. En 1918, Fairbanks est l'acteur le plus populaire d'Hollywood. Il s'éprend de l'actrice Mary Pickford qu'il rencontre dans une soirée en 1916. L'année suivante, le nouveau couple s'associe à Charlie Chaplin, un ami proche2, pour parcourir le pays en train afin de vendre des coupons de soutien à l'engagement dans la Première Guerre mondiale. Pickford et Chaplin sont alors les deux stars les plus payées d'Hollywood. La réussite éclair de Fairbanks lui permettra rapidement de rejoindre le troisième rang. Mais dans le but de réduire les salaires élevés de ces trois grandes stars, les grands studios tentent de monopoliser les distributeurs et les exploitants de salles.

Le 1er décembre 1918 à la Nouvelle-Rochelle, sa femme obtient un décret de divorce ainsi que la garde de leur fils. Ils seront officiellement divorcés le 5 mars 1919. En 1919, pour éviter le contrôle des studios et pour protéger leur indépendance, Fairbanks, Charles Chaplin, D.W. Griffith et Mary Pickford fondent la société de distribution United Artists qui leur procure une complète liberté artistique et de plus grands profits. La compagnie devra une grande partie de son bénéfice aux succès des films de Fairbanks. Il est déterminé à épouser Mary Pickford, mais elle est alors encore mariée à l'acteur Owen Moore. Tous deux soucieux de la mauvaise publicité que leur apporterait leur liaison extra-conjugale, il lui soumet un ultimatum et elle obtient un divorce rapide dans la petite ville de Minden (Nevada) le 2 mars 1920. Fairbanks loue Grayhall, sa villa de Beverly Hills qu'il aurait utilisée pendant sa cour à l'actrice. Il meurt des suites d'une crise cardiaque en décembre 1939 à Santa Monica.

Filmographie

Films muets

  • 1915 : The Lamb
  • 1915 : Martyrs of the Alamo
  • 1915 : Double Trouble
  • 1916 : His Picture in the Papers
  • 1916 : The Habit of Happiness, d'Allan Dwan
  • 1916 : The Good Bad Man, d'Allan Dwan
  • 1916 : Reggie Mixes In
  • 1916 : The Mystery of the Leaping Fish
  • 1916 : Flirting with Fate
  • 1916 : The Half-Breed, d'Allan Dwan
  • 1916 : Intolérance (Intolerance), de David Wark Griffith (figuration)
  • 1916 : Manhattan Madness, d'Allan Dwan
  • 1916 : American Aristocracy
  • 1916 : The Matrimaniac
  • 1917 : The Americano de John Emerson
  • 1917 : All-Star Production of Patriotic Episodes for the Second Liberty Loan
  • 1917 : In Again, Out Again
  • 1917 : Wild and Woolly
  • 1917 : Down to Earth (film, 1917
  • 1917 : The Man from Painted Post
  • 1917 : Reaching for the Moon
  • Le pirate noir de Albert Parker (1926).
  • 1917 : A Modern Musketeer, d'Allan Dwan
  • 1918 : Swat the Kaiser
  • 1918 : Headin' South, d'Allan Dwan
  • 1918 : Mr. Fix-It, d'Allan Dwan
  • 1918 : Say! Young Fellow
  • 1918 : Bound in Morocco, d'Allan Dwan
  • 1918 : He Comes Up Smiling, d'Allan Dwan
  • 1918 : Sic 'Em, Sam
  • 1918 : Arizona
  • 1919 : The Knickerbocker Buckaroo
  • 1919 : His Majesty, the American
  • 1919 : When the Clouds Roll by de Victor Fleming
  • 1920 : The Mollycoddle de Victor Fleming
  • 1920 : Le Signe de Zorro (The Mark of Zorro), de Fred Niblo (acteur, scénariste et producteur exécutif)
  • 1921 : L'Excentrique (The Nut), d'Allan Dwan (acteur, producteur et scénariste)
  • 1921 : Les Trois Mousquetaires (The Three Musketeers), de Fred Niblo (acteur, producteur et scénariste)
  • 1922 : Robin des Bois (Robin Hood), d'Allan Dwan (acteur, producteur et scénariste)
  • 1924 : Le Voleur de Bagdad, de Raoul Walsh (acteur, producteur et scénariste)
  • 1925 : Don X, fils de Zorro (Don Q Son of Zorro) de Donald Crisp (acteur et producteur)
  • 1925 : Ben-Hur: A Tale of the Christ de Fred Niblo (extra)
  • 1926 : Le Pirate noir (The Black Pirate), de Albert Parker (acteur, producteur et scénariste)
  • 1927 : Le Gaucho (The Gaucho), de F. Richard Jones (acteur, producteur et scénariste)
  • 1927 : Carter DeHaven in Character Studies : lui-même
  • 1928 : Mirages (Show People), de King Vidor : caméo
  • 1929 : Le Masque de fer (The Iron Mask), d'Allan Dwan (acteur, producteur et scénariste)

Films parlants

  • 1929 : La Mégère apprivoisée (The Taming of the Shrew), de Sam Taylor (acteur)
  • 1930 : Pour décrocher la lune (Reaching for the Moon), de Edmund Goulding (acteur et producteur)
  • 1932 : M. Robinson Crusoe (Mr. Robinson Crusoe), de Edward Sutherland (acteur, producteur et scénariste)
  • 1934 : Les Quarante ans de Don Juan (The Private Life of Don Juan), de Alexander Korda (acteur)

 

Bergman Ingrid

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Ingrid Bergman, née le 29 août 1915 à Stockholm, Suède et morte le 29 août 1982 à Londres, Royaume-Uni, est une actrice suédoise. 

Bergman IngridBergman Ingrid

Ingrid Bergman a déjà tourné quelques films en Suède lorsque le producteur David O. Selznick lui propose en 1939 de reprendre le rôle principal du remake américain d'Intermezzo, ce qui la fait connaître dans son pays. Sa carrière internationale est lancée et sa popularité s'accroit de films en films : Casablanca, Pour qui Sonne le Glas, Hantise (qui lui vaut l’Oscar de la meilleure actrice) et Jeanne d'Arc en font la star mondiale la plus désirée et la mieux rémunérée. Ingrid Bergman connaît son apogée avec trois films d'Alfred Hitchcock : La Maison du docteur Edwardes, Les Enchaînés et Les Amants du Capricorne.

Elle fait scandale lorsqu'elle part rejoindre le metteur en scène Roberto Rossellini, laissant derrière elle son mari et sa fille, pour tourner Stromboli. Les attaques conjointes de groupements religieux, d'associations féministes et même de politiciens la font bannir du cinéma américain pendant 7 ans. En 1956, elle tourne à Paris avec Jean Renoir dans Elena et les Hommes, puis à Londres dans Anastasia, qui lui vaudra un deuxième Oscar. Ingrid Bergman est entrée dans l’histoire du cinéma comme l’une de ses plus grandes actrices. En 1999, l’American Film Institute, dans son classement AFI’s 100 Years… 100 Stars, l’a placée au quatrième rang du panthéon des plus grandes actrices du cinéma américain. Ingrid Bergman naît le 29 août 1915 à Stockholm. Sa mère, Friedel Adler Bergman1, une Allemande, meurt lorsque sa fille a tout juste trois ans. Son père, Justus Bergman, un suédois, l'élève seul jusqu'à son décès : elle a alors 12 ans. Elle est ensuite confiée à l'une de ses tantes, puis passe son adolescence chez un de ses oncles.

Ingrid Bergman entre à la Royal Dramatic Theater School de Stockholm pour un an, période pendant laquelle elle fait ses débuts au cinéma. Elle interprète une femme de ménage dans Munkbrogreven, sous la direction de Gustaf Molander - avec qui elle tournera à six autres reprises2 dont Intermezzo, en 1936 - , ce qui changera sa vie. C'est grâce à ce film, où elle interprète une jeune professeur de piano dont tombe amoureux le père de son élève, qu'elle est remarquée par le producteur de Autant en emporte le vent, David O. Selznick. Ce dernier produit le remake d'Intermezzo où Ingrid tient à nouveau le rôle principal. Le film est un succès et lui ouvre les portes d'Hollywood. Elle est décrite comme un « illustre cadeau de la Suède à Hollywood. » Selznick lui fait alors signer un contrat d'une durée de sept ans, bien qu'ils ne fissent que deux films ensemble au cours de cette période.

Dès lors, Ingrid Bergman tourne avec les plus grands acteurs hollywoodiens sous la direction de réalisateurs fameux. Si elle tourne relativement peu de films, elle reste fidèle à quelques réalisateurs, comme Alfred Hitchcock. Elle tient la vedette dans quelques longs métrages comme La Famille Stoddard de Gregory Ratoff, La Proie du mort de W.S. Van Dyke ou encore Docteur Jekyll et M. Hyde de Victor Fleming. Ces différents rôles lui permettent d'améliorer son jeu d'actrice. En 1942, elle séduit Humphrey Bogart dans Casablanca. Il s'agit de son rôle le plus célèbre qui fait d'elle une star mondialement connue.

Deux ans plus tard, Ingrid Bergman obtient sa première présélection pour l'Oscar de la meilleure actrice pour Pour qui Sonne le Glas (For Whom the Bell Tolls) de Sam Wood, où elle côtoie Gary Cooper. La statuette est finalement obtenue par Jennifer Jones. Ingrid Bergman gagne néanmoins la récompense l'année suivante pour son rôle d'épouse psychologiquement fragile, victime d'un leurre machiavélique dans Hantise (Gaslight) de George Cukor. Elle reçoit sa troisième nomination consécutive pour l'Oscar de la meilleure actrice avec le film Les Cloches de Sainte-Marie (The Bells of St. Mary's) en 1945. En 1946, elle donne l'une de ses interprétations les plus marquantes, aux côtés de Cary Grant, dans le film d'espionnage Les Enchaînés (Notorious) d'Alfred Hitchcock. Jeanne d'Arc (Joan of Arc) de Victor Fleming lui vaut une nouvelle nomination en 1948.

En 1949, Ingrid Bergman rencontre le réalisateur Roberto Rossellini dont elle admirait les films. Elle en tombe amoureuse et joue dans son film Stromboli (1950). Elle abandonne alors son mari, Petter Lindström, et leur fille, Pia, et vit maritalement avec Rossellini qu'elle épousera plus tard. Ils auront trois enfants. Les ligues de vertu américaines s'émeuvent que Bergman s'en aille vivre avec Rosellini alors qu'elle n'est pas encore divorcée et contribuent à scandaliser le public américain ainsi que Hollywood. Certains la surnomment alors « l'apôtre de l'avilissement de Hollywood ». Ingrid Bergman tourne quatre autres films sous la direction de Rossellini, ouvrant la période dite des « Bergman-films » et marquant une étape décisive dans leurs carrières respectives : Europe 51, Voyage en Italie, La Peur, Jeanne au bûcher. Avec le rôle principal dans Anastasia d'Anatole Litvak (1956) (qui en fait l'héritière inconnue de la couronne des Romanov, massacrés après la révolution russe), Bergman fait son grand retour à Hollywood et remporte l'Oscar de la meilleure actrice pour la seconde fois de sa carrière.

Cette récompense a donc valeur de pardon accordé par le « métier » à la star pour ses escapades italiennes. La comédienne, revenue au zénith, alterne plusieurs rôles dans des films américains et européens. Elle obtient le troisième et dernier Oscar de sa carrière, le seul en tant qu’actrice dans un second rôle, pour sa participation au Crime de l'Orient-Express (Murder on the Orient Express) en 1975. Deux ans plus tard, elle interprète le personnage de Charlotte, pianiste virtuose mais mère indigne, dans Sonate d'automne (Autumn Sonata) d'Ingmar Bergman, pour lequel elle reçoit sa septième nomination aux Oscars. Ce dernier rôle pour le grand écran est considéré comme l'une de ses prestations les plus abouties.

En 1982, le jour de son soixante-septième anniversaire, Ingrid Bergman meurt à Londres des suites d'un cancer du sein. Son corps sera incinéré en Suède. Une partie de ses cendres sont dispersées dans la mer, l'autre partie étant inhumée au Norra begravningsplatsen (Cimetière du Nord) de Stockholm. Ingrid Bergman est honorée d'un Emmy Award à titre posthume en tant que meilleure actrice, pour le feuilleton télévisé Une femme nommée Golda (A Woman Called Golda), retraçant la vie du Premier ministre israélien Golda Meir. C'est en 1948, après avoir vu Rome, ville ouverte, qu'Ingrid Bergman écrivit à Roberto Rossellini pour lui proposer de travailler avec elle : « Cher M. Rossellini, J'ai vu vos films Rome, ville ouverte et Païsa, et les ai beaucoup appréciés. Si vous avez besoin d'une actrice suédoise qui parle très bien anglais, qui n'a pas oublié son allemand, qui n'est pas très compréhensible en français, et qui en italien ne sait dire que « ti amo », alors je suis prête à venir faire un film avec vous. » — Ingrid Bergman.

Elle accepta le rôle du film qu'il avait alors en préparation,Stromboli. Ils se marièrent le 24 mai 1950 et eurent trois enfants : les jumelles Isabella Rossellini (qui deviendra actrice) et Isotta (qui sera professeur d'université) ; et un fils, Roberto Ingmar Rossellini. Cette relation suscita un scandale : Bergman, enceinte au moment de son mariage, fut présentée comme « l'apôtre de la dégradation d'Hollywood »[réf. nécessaire] et contrainte à quitter les États-Unis d'Amérique. Au cours des années suivantes, elle apparut dans quatre autres films de Rossellini, dont Voyage en Italie (1954), film très important, considéré par plusieurs critiques des Cahiers du cinéma comme étant le premier « film moderne ». Rossellini et Bergman divorceront le 7 novembre 1957.

Filmographie

  • 1932 Landskamp – de Gunnar Skoglund avec Arne Borg Seulement apparition
  • 1934 Le conte du Pont au Moine ( munkbrogreven ) de Edvin Adolphson avec Valdemar Dahlquest
  • 1935 Lames de l’océan ( bränningar ) de Ivar Johansson avec Tore Svennberg
  • Les Swedenhielms ( Swendenhielms ) de Gustaf Molander avec Gösta Ekman
  • La nuit des Walpurgis ( Valborgsmässoafton ) de Gustaf Edgren avec Lars Hanson
  • 1936 Du côté du soleil ( på solsidan ) de Gustaf Molander avec Lars Hanson
  • Interlude ( Intermezzo ) de Gustaf Molander avec Gösta Ekman
  • 1937 Dollar – de Gustaf Molander avec George Rydeberg
  • 1938 Un visage de femme ( en kvinnas anskite ) de Gustaf Molander avec Anders Henrikson
  • Quatre filles courageuses / Les quatre camarades ( die vier gesellen ) de Carl Froelich avec Sabine Peters
  • 1939 Une seule nuit ( en enda natt ) de Gustaf Molander avec Edvin Adolphson
  • La rançon du bonheur / Envol vers le bonheur ( Intermezzo / Intermezzo : A love story / escape to hapiness ) de Gregory Ratoff avec Leslie Howard
  • 1940 Une nuit de juin ( juninatten ) de Per Lindberg avec Marianne Löfgren
  • La famille Stoddart / Adam avait quatre fils ( Adam had four sons ) de Gregory Ratoff avec Warner Baxter
  • 1941 La proie du mort ( rage in heaven ) de W.S. Van Dyke avec Robert Montgomery
  • Docteur Jekyll et M. Hyde ( Dr. Jekyll and Mr. Hyde ) de Victor Fleming avec Spencer Tracy
  • 1942 Casablanca – de Michael Curtiz avec Humphrey Bogart
  • 1943 Pour qui sonne le glas ( for whom the bell tolls ) de Sam Wood avec Gary Cooper
  • DO Suédois en Amérique ( Swedes in America / Ingrid Bergman answers ) de Sam Wood Seulement apparition
  • 1944 Hantise ( gaslight / murder in Thornston Square ) de George Cukor avec Charles Boyer Oscar de la meilleure actrice, USA, Golden Globe de la meilleure actrice de cinéma, USA
  • 1945 L’intrigante de Saratoga ( Saratoga trunk ) de Sam Wood avec Gary Cooper
  • La maison du docteur Edwardes / Je te sauverai ( spellbound / Alfred Hitchcock’s spellbound ) de Alfred Hitchcock avec Gregory Peck, Prix NYFCC de la meilleure actrice par le cercle des critiques de cinéma de New York, USA, Prix spécial par le cercle des critiques de cinéma de New York, USA, Prix de la Biennale Spécial du mérite artistique au festival du cinéma de Venise, Italie
  • Les cloches de Sainte-Marie ( the bells of St. Mary’s ) de Leo McCarey avec Bing Crosby, Golden Globe de la meilleure actrice de cinéma, USA, Prix NYFCC de la meilleure actrice par le cercle des critiques de cinéma de New York, USA
  • 1946 Les enchaînés ( notorious / Alfred Hitchcock’s notorious ) de Alfred Hitchcock avec Cary Grant
  • CM American creed – de Robert Stevenson avec Van Johnson Seulement apparition
  • 1947 Jeanne d’Arc ( Joan of Arc ) de Victor Fleming avec José Ferrer
  • Arc de triomphe ( Arch of Triumph ) de Lewis Milestone avec Charles Laughton
  • 1948 CM Screen snapshots: Photoplay Gold Medal Awards – de Ralph Staub avec Mary Livingstone Seulement apparition
  • 1949 Les amants du capricorne ( under capricorn ) de Alfred Hitchcock avec Michael Wilding
  • 1950 Stromboli ( Stromboli, terra di dio ) de Roberto Rossellini avec Mario Vitale, Ruban d’Argent de la meilleure actrice étrangère dans un film italien par le syndicat national italien des journalistes de cinéma, Italie
  • 1951 Europe 51 ( Europa’ 51 ) de Roberto Rossellini avec Alexander Knox, Ruban d’Argent par le syndicat national italien des journalistes de cinéma, Italie
  • 1953 Voyage en Italie / L’amour est le plus fort / La divorcée de Naples ( viaggio in Italia / the lonely woman / strangers / voyage in Italy / voyage to Italy ) de Roberto Rossellini avec George Sanders
  • 1954 Nous les femmes ( siamo donne ) de Luigi Zampa, Gianni Franciolini, Luchino Visconti & Roberto Rossellini avec Anna Magnani
  • 1955 Jeanne au bûcher ( Giovanna d’Arco al rogo ) de Roberto Rossellini avec Tullio Carminati
  • La peur / Angoisse ( la paura / non credo più all’amore / angst / incubo / fear ) de Roberto Rossellini avec Mathias Wieman
  • 1956 Eléna et les hommes – de Jean Renoir avec Jean Marais
  • Anastasia – de Anatole Litvak avec Yul Brynner, Oscar de la meilleure actrice, USA Golden Globe de la meilleure actrice de cinéma catégorie drame, USA, Prix NYFCC de la meilleure actrice par le cercle des critiques de cinéma de New York, USA, David de la meilleure actrice étrangère, Italie
  • 1958 Indiscret ( indiscreet ) de Stanley Donen avec Cary Grant
  • L’auberge du sixième bonheur ( the inn of the sixth happiness ) de Mark Robson avec Robert Donat, Prix NBR de la meilleure actrice par la National Board of Review, USA
  • 1960 Aimez-vous Brahms ? ( goodbye again ) de Anatole Litvak avec Yves Montand
  • 1964 La rancune ( the visit / der besuch / la vendetta della signora ) de Bernhard Wicki avec Claude Dauphin
  • La Rolls-Royce jaune ( the yellow Rolls-Royce ) de Anthony Asquith avec Omar Sharif
  • 1965 Stimulantia – de Gustaf Molander, Hans Abramson, Hans Alfredson, Arne Arnbom, Ingmar Bergman, Tage Danielsson, Jörn Donner, Lars Görling & Vilgot Sjöman avec Günnar Bjornstrand
  • 1969 Fleur de cactus ( cactus flower ) de Gene Sacks avec Walter Matthau
  • DO Hollywood : The Selznick years – de Marshall Flaun avec King Vidor Seulement apparition
  • 1970 Pluie de printemps ( walk in the spring rain ) de Guy Green avec Anthony Quinn
  • 1973 From the mixed-up files of Mrs. Basil E. Frankweiler / The hideaways – de Fielder Cook avec Richard Mulligan
  • 1974 Le crime de l’Orient Express ( murder on the Orient Express ) de Sidney Lumet avec Albert Finney, Oscar du meilleur second rôle féminin, USA, BAFTA du meilleur second rôle féminin aux British Academy Awards, Grande-Bretagne
  • 1976 Nina ( a matter of time ) de Vincente Minnelli avec Liza Minnelli
  • 1977 Sonate d’automne ( höstsonaten / autumn sonata / herbstsonate ) de Ingmar Bergman avec Liv Ullmann, Prix NYFCC de la meilleure actrice par le cercle des critiques de cinéma de New York, USA, Prix NSFC de la meilleure actrice par société nationale des critiques de cinéma, USA, Prix NBR de la meilleure actrice par la National Board of Review, USA, David de la meilleure actrice étrangère, Italie

Chasseurs d'images

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Chasseurs d'images (I Cover the War) est un film américain réalisé par Arthur Lubin, sorti en 1937. Les cameramen Bob Adams et Elmer "Slug" Davis sont envoyés dans le protectorat britannique de Samari près de la frontière irakienne, avec pour mission d'interviewer le chef arabe Muffadhi. Ils vont se retrouver mêlés à un trafic d'armes et permettre aux troupes britanniques de résister à l'attaque des hommes de Muffadhi.

Chasseurs d'images d'Arthur LubinChasseurs d'images d'Arthur Lubin

Chasseurs d'images d'Arthur Lubin

Fiche technique

  • Titre original : I Cover the War
  • Titre français : Chasseurs d'images
  • Titre alternatif (Belgique) : Les Lanciers du désert
  • Réalisation : Arthur Lubin
  • Scénario : George Waggner
  • Direction artistique : E. R. Hickson
  • Photographie : Stanley Cortez, Harry Neumann
  • Son : Jesse Bastian, Joe Lapis
  • Montage : Charles Craft, Erma Horsley
  • Production : Trem Carr
  • Production associée : Paul Malvern
  • Société de production : Universal Pictures
  • Société de distribution : Universal Pictures
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue originale : anglais
  • Format : noir et blanc — 35 mm — 1,37:1 — son Mono (Western Electric Recording)
  • Genre : Film d'aventure, Film de guerre
  • Durée : 68 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 4 juillet 1937

Distribution

  • John Wayne : Bob Adams
  • Gwen Gaze (en) : Pamela Armitage
  • Don Barclay : Elmer Davis
  • Charles Brokaw : El Kader, alias Muffadhi
  • James Bush : Don Adams
  • Pat Somerset : Capitaine Archie Culvert
  • Richard Tucker : un officier
  • Sam Harris : Hugh Armitage
  • Olaf Hytten : Sir Herbert
  • Arthur Aylesworth : Dave Logan
  • Franklin Parker : Graham

Gaze Gwen

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Alta Gwendolyn "Gwen" Gaze (6 September 1915 – 29 August 2010) was an American-based film actress (1937–1943), born in Melbourne, Victoria, Australia.

 

Gaze Gwen

Her best-known role may have been opposite John Wayne in the 1937 film I Cover the War. She died in Seattle, Washington, USA in 2010, shortly before her 95th birthday.

Filmographie

  • 1943 Appointment in Berlin Girl (uncredited)
  • 1943 Thumbs Up Party and Aircraft Girl (uncredited)
  • 1943 Two Fisted Justice Joan Hodgins
  • 1942 House of Errors Molly
  • 1941 Underground Rustlers Irene Bently
  • 1941 Dr. Jekyll et Mr. Hyde Mrs. French (uncredited)
  • 1941 Wrangler's Roost Molly Collins
  • 1940 West of Pinto Basin Joan Brown
  • 1940 Women in War Nurse (uncredited)
  • 1938 Bar 20 Justice Ann Dennis
  • 1938 The Secret of Treasure Island Toni Morrell
  • 1938 Partners of the Plains Lorna Drake, L-D Ranch Owner
  • 1937 I Cover the War Pamela Armitage 

 

Hytten Olaf

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Olaf Hytten est un acteur écossais né le 3 mars 1888 à Glasgow, Écosse, et mort le 11 mars 1955 à Los Angeles, Californie.

Hytten Olaf Hytten Olaf

Filmographie 

  • 1923 : L'Ombre blanche (The White Shadow), de Graham Cutts
  • 1931 : Peach-O-Reno, de William A. Seiter
  • 1933 : Berkeley Square, de Frank Lloyd
  • 1936 : Le Roman de Marguerite Gautier (Camille), de George Cukor
  • 1937 : Visages d'Orient ou La Terre chinoise (The Good Earth), de Sidney Franklin
  • 1937 : Chasseurs d'images ou Les Lanciers du déserts (I Cover the War), d'Arthur Lubin
  • 1937 : First Lady, de Stanley Logan
  • 1939 : Zaza, de George Cukor
  • 1941 : Lady Hamilton (That Hamilton Woman), d'Alexander Korda
  • 1941 : J'épouse ma femme (Bedtime Story), d'Alexander Hall
  • 1942 : L'Escadrille des aigles (Eagle Squadron), d'Arthur Lubin
  • 1942 : La Voix de la terreur (Sherlock Holmes and the voice of terror), de John Rawlins
  • 1942 : Le Fantôme de Frankenstein (ou Le Spectre de Frankenstein) (The Ghost of Frankenstein), d'Erle C. Kenton
  • 1945 : Agent secret (Confidential Agent), de Herman Shumlin
  • 1946 : She-Wolf of London de Jean Yarbrough
  • 1949 : Un Yankee à la cour du roi Arthur (A Connecticut Yankee in King Arthur's Court) de Tay Garnett
  • 1951 : La Flibustière des Antilles (Anne of the Indies), de Jacques Tourneur
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