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La biographie de Brigitte Bardot

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Brigitte Bardot - Métier : Actrice, chanteuse - Date de naissance : vendredi 28 septembre 1934 (age: 79 ans) - Pays : France.

La biographie de Brigitte Bardot

Née le 28 septembre 1934 à Paris, Brigitte Bardot est la fille d'un indus­triel, Louis Bardot et d'Anne-Marie Mucel, mère au foyer. Elle a une soeur cadette, Marie-Jeanne, née en mai 1938. Les deux petites filles qui reçoivent une éduca­tion sévère, évoluent dans un univers artis­tique. Elles pratiquent la danse clas­sique, déam­bulent devant la caméra de leur père, passionné de cinéma et voient défi­ler dans l'appar­te­ment fami­lial le Tout-Paris. Marie-Jeanne, brillante élève, est souvent préfé­rée par ses parents à Brigitte, au tempé­ra­ment plus effronté. En 1948, celle-ci est reçue au concours d'entrée du Conser­va­toire de danse de Paris. Malgré son amblyo­pie (elle ne voit que d'un oeil), la jeune fille se mue en ravis­sante adoles­cente rapi­de­ment remarquée par Hélène Laza­reff, direc­trice du maga­zine Elle et grande amie de sa mère. A 15 ans, Brigitte Bardot fait de nombreuses fois la une de l'hebdo­ma­daire. Le réali­sa­teur Marc Allé­gret remarque ce visage et l'audi­tionne pour Les lauriers sont coupés. Le film tombe aux oubliettes mais elle fait la connais­sance de l'assis­tant de Marc Allé­gret, le jeune Roger Vadim. Ses parents, d'abord oppo­sés à leur rela­tion, lui demandent d'attendre ses 18 ans pour l'épou­ser.

La jolie blonde conti­nue les photos de mode pour le maga­zine Elle et par l'inter­mé­diaire de Roger Vadim côtoie de nombreux metteurs en scène. Elle décroche son premier rôle en 1952 dans le film de Jean Boyer Le trou normand, aux côtés de Bour­vil. Doré­na­vant guidée par un mana­ger, Olga Hors­tig, elle tourne plusieurs films en 1955 (Les grandes manoeuvres, Cette sacrée gamine,La lumière d'en face). L'année suivante, pour le Festi­val de Cannes, elle décide d'éclair­cir sa cheve­lu­re… le blond doré qu'elle affiche sur la croi­sette attire tous les regards et permet d'obte­nir un finan­ce­ment pour le film de Roger Vadim. Et dieu…­créa la femme sort quelques mois plus tard et fait d'elle une star inter­na­tio­nale (premier film français à se clas­ser au box-office améri­cain) et contri­bue à lancer le mythe B.B. Dès lors elle enchaîne les tour­nages, Babette s'en va en guerre de Jacques Char­rier, En cas de malheur où elle donne la réplique à Jean Gabin, LaVérité de Raoul Lévy, Le Mépris de Jean-Luc Godard…En 1963, elle accepte un tour­nage à Londres aux côtés d'Anthony Perkins, Une ravis­sante idiote, d'Edouard Moli­naro. La même année, Jacques Rozier consacre un docu­men­taire à Bardot; inti­tulé Papa­razzi, il décrit le déchaî­ne­ment de la presse autour de la star qui appa­raît alors comme une proie traquée. Le duo qu'elle forme avec Jeanne Moreau dans Viva Maria ! en 1966 est un nouveau succès mondial.

Paral­lè­le­ment, elle devient la muse de Serge Gains­bourg qui lui compose plusieurs célèbres titres (Harley David­son, Bonnie & Clyde, Je t'aime moi non plus, Comic Strip). En 1968, elle accepte de prêter ses traits à Marianne (repré­sen­tée sous les traits d'une anonyme jusqu'alors) et son buste, sculpté par Aslan, vient orner toutes les mairies de France. En 1970, l'actrice retrouve les plateaux de cinéma et rejoint le casting du film de Michel Melville, L'Ours et la poupée, avec Jean-Pierre Cassel. La même année, sur le tour­nage des Novices elle rencontre Annie Girar­dot qui devient une amie fidèle. Après Les Pétro­leuses (1971) aux côtés de Clau­dia Cardi­nale, et Boule­vard du rhum avec Lino Ventura, elle retrouve Roger Vadim pour lequel elle tourne Don Juan73 (1972) mais le film est un flop. Après une appa­ri­tion dans L'histoire très bonne et très joyeuse deColi­not trousse-chemise de Nina Compa­neez (1973), Brigitte Bardot annonce qu'elle met un terme à sa carrière ciné­ma­to­gra­phique.

Brigitte Bardot entame une nouvelle vie, loin de l'agita­tion média­tique dont elle a souf­fert durant sa carrière, et se consacre depuis exclu­si­ve­ment à la défense des animaux. D'abord porte-parole de la SPA, elle lance en 1977 une vaste campagne média­tique au large des glaces polaires du Canada pour dénon­cer le massacre d'animaux et le commerce de la four­rure. En 1986, elle crée son asso­cia­tion, la Fonda­tion Brigitte Bardot, pour mener à bien ses combats; lutte contre la chasse aux phoques, à la baleine, commer­cia­li­sa­tion de la four­ru­re…Elle est l'auteure de plusieurs ouvrages : ses mémoires, publiées en deux tomes – Initiales B.B (1996) et Le carré de Pluton (1999) – Un cri dans le silence (2003), et Pourquoi ? (2006).

Côté vie privée, à 18 ans, Brigitte Bardot épouse Roger Vadim le 20 décembre 1952. Leur divorce est prononcé cinq ans plus tard le 6 décembre 1957. Après une idylle avec Jean-Louis Trin­ti­gnant puis Gilbert Bécaud, elle rencontre Jacques Char­rier sur le tour­nage de Babette s'en va en guerre et l'épouse le 18 juin 1959. Le 11 janvier 1960, naît leur fils unique, Nico­las. Après une liai­son avec Sami Frey, le divorce avec Jacques Char­rier est prononcé en 1962. Durant l'été 1966, l'actrice tombe sous le charme du milliar­daire Günther Sachs, leur mariage est célé­bré à Las Vegas le 14 juillet 1966. Le troi­sième divorce de l'actrice est prononcé le 1er octobre 1969. Brigitte Bardot est aujourd'hui mariée à Bernard d'Ormale qu'elle a épousé le 16 août 1992 quelques mois après leur rencontre. Elle a deux petites-filles, Théa José­phine et Anna Camilla, et une arrière petite-fille.


Becker Jacques

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Jacques Becker est un réalisateur français, né le 15 septembre 1906 à Paris 1er, où il est mort le 21 février 1960. Il est le père du réalisateur Jean Becker. 

Becker Jacques

Le père de Jacques Becker est administrateur de la société Fulmen et sa mère, d'origine anglaise, tient une maison de couture à Paris, rue Cambon, près de la maison Chanel. La famille se rend régulièrement en vacances à Marlotte-sur-Loing, et fréquente Paul Cézanne, le fils du peintre. Au cours d'un de ces séjours, en 1921, Jacques Becker se lie d'amitié avec Jean Renoir venu visiter les Cézanne. Le jeune homme, de neuf ans son cadet, est alors autant passionné de jazz que de cinéma et fréquente assidument Le Bœuf sur le toit où officie Jean Wiener. Il s'est d'ailleurs fait engager comme steward sur les paquebots qui font la traversée le Havre - New York, pour rencontrer les jazzmen américains.

Au cours d'un de ces voyages, en 1928, il rencontre King Vidor qui souhaite l'engager comme acteur, mais le jeune homme s'intéresse plus précisément à la mise en scène. Jacques Becker s'est marié et son père l'a fortement incité à rejoindre la compagnie où il travaille, mais Becker s'y morfond. Il profite d'une de ses absences pour donner sa démission et le hasard fait que le jour même, il retrouve Jean Renoir en tournage en extérieurs pour La Chienne. Il lui demande alors de l'engager et devient, en 1931, son assistant. Jacques Becker souhaite ardemment réaliser et tourne avec Pierre Prévert un court métrage intitulé Le commissaire est bon enfant. Il espère passer au long métrage co-écrit avec Jean Castanier, un scénario intitulé Sur la cour, mais le producteur pressenti, un ami d'enfance, André Halley Desfontaines, inquiet, confie la réalisation du sujet à Jean Renoir. Ce dernier associe alors Jacques Prévert au projet de ce qui deviendra Le Crime de monsieur Lange.

Les deux hommes se brouillent mais se réconcilient pour le tournage de La vie est à nous, Jacques Becker retrouvant sa place de premier assistant auprès de Renoir. En 1938, il parvient enfin à trouver un producteur prêt à financer son premier long métrage, L'Or du Cristobal, mais le tournage est interrompu, faute d'argent, Jacques Becker se refusant à bâcler son premier film. Alors qu'il est mobilisé, les producteurs profitent de son absence et confient à Jean Stelli le soin de le terminer. Fait prisonnier de guerre, Jacques Becker est rapatrié à la suite d'une visite de la Croix-rouge. Il revient à Paris et parvient enfin à tourner son premier long métrage, Dernier Atout en 1942.

Sous l'Occupation, Jacques Becker réalise trois films de factures très diverses, mais qui imposent un style très découpé et fondé sur une caméra extrêmement mobile : Dernier Atout (1942), Goupi Mains Rouges (1943) et Falbalas (1945). C'est sur le plateau de Falbalas qu'est par ailleurs entreposé le matériel détourné (caméra et pellicules) qui servira au tournage du film de La Libération de Paris. À la Libération, reconnu pour ses qualités morales, le cinéaste intervient pour défendre Henri-Georges Clouzot devant la commission d'épuration.

Après la guerre, il tourne plusieurs comédies, Antoine et Antoinette (1947), palme d'or au festival de Cannes, Rendez-vous de juillet (1949), prix Louis-Delluc, Édouard et Caroline (1951) et Rue de l'Estrapade (1953), qui le distinguent comme le cinéaste français « par excellence ». Son goût pour l'observation de la société d'après-guerre, son regard sur ses personnages, son talent dans la direction d'acteurs, et l'équilibre entre la justesse psychologique des dialogues et la minutie de sa mise en scène, caractérisent cette série qui met en scène diverses classes sociales. Comédies de couples qui inspireront la série des Doinel réalisée ultérieurement par François Truffaut.

Avec Casque d'or (1952), où Simone Signoret incarne superbement une célèbre prostituée, il réalise une chronique rigoureuse et poétique des bas-fonds parisiens en 1900. Il signe ensuite le prototype du film noir français, Touchez pas au grisbi (1954), d'après le roman d'Albert Simonin, film qui relance la carrière de Jean Gabin. Après Ali Baba et les quarante voleurs (1954), une farce tournée pour Fernandel, et une adaptation de Maurice Leblanc, Les Aventures d'Arsène Lupin (1957), avec Robert Lamoureux dans le rôle du gentleman cambrioleur, il réalise avec Montparnasse 19 (1958), un mélodrame où Gérard Philipe incarne de façon pathétique le peintre Modigliani. Alors qu'il vient de terminer le montage de l'un de ses plus beaux films, Le Trou (1960), film de moraliste, à la rigueur et la sobriété intenses, Jacques Becker meurt subitement en février 1960, à l'âge de 53 ans. Il est inhumé au cimetière du Montparnasse à Paris.

Il est à noter que c'est dans un article sur Ali Baba et les quarante voleurs que François Truffaut, à l'époque critique aux Cahiers du Cinéma, aurait pour la première fois utilisé l'expression Politique des auteurs. Il écrit ainsi « Ali Baba eut-il été raté que je l'eusse quand même défendu en vertu de la Politique des Auteurs (...) En dépit de son scénario trituré par dix ou douze personnes, dix ou douze personnes de trop excepté Becker, Ali Baba est le film d'un auteur, un auteur parvenu à une maîtrise exceptionnelle, un auteur de film. »

Filmographie

Réalisateur

  • 1935 : Tête de turc
  • 1935 : Le commissaire est bon enfant, le gendarme est sans pitié
  • 1940 : L'Or du Cristobal, film partiellement retourné et achevé par le cinéaste Jean Stelli
  • 1942 : Dernier Atout
  • 1943 : Goupi Mains Rouges
  • 1945 : Falbalas
  • 1947 : Antoine et Antoinette
  • 1949 : Rendez-vous de juillet
  • 1951 : Édouard et Caroline
  • 1952 : Casque d'or
  • 1953 : Rue de l'Estrapade
  • 1954 : Touchez pas au grisbi
  • 1954 : Ali Baba et les Quarante voleurs
  • 1957 : Les Aventures d'Arsène Lupin
  • 1958 : Montparnasse 19
  • 1960 : Le Trou​

Assistant réalisateur

 

Clouzot Henri-Georges

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Henri-Georges Clouzot, né le 20 novembre 1907 à Niort et mort le 12 janvier 1977 à Paris est un réalisateur, scénariste, dialoguiste et producteur de cinéma français.

Clouzot Henri-Georges

Il est surtout connu pour son travail dans le genre du thriller, après avoir tourné Le Salaire de la peur et Les Diaboliques, placés par la critique au nombre des plus grands films des années 1950. Il réalise également des documentaires, dont Le Mystère Picasso, déclaré trésor national par le gouvernement français. Henri-Georges Clouzot est le seul réalisateur, avec Michelangelo Antonioni et Robert Altman, à avoir remporté les trois récompenses suprêmes des principaux festivals européens à savoir le Lion d'or, la Palme d'or et l'Ours d'or.

Henri-Georges Clouzot est né à Niort, le 20 novembre 1907. Après des études classiques, il se dirige d'abord vers le journalisme. Il commence par superviser les versions françaises des opérettes allemandes, puis il écrit des scénarios pour Jacques de Baroncelli, Carmine Gallone ou Viktor Tourjansky.Il enchaîne avec deux adaptations : Les Inconnus dans la maison d'Henri Decoin avec Raimu, d'après le roman éponyme de Georges Simenon et Le Dernier des six de Georges Lacombe avec Pierre Fresnay et Suzy Delair, d'après Stanislas-André Steeman (qu'il adaptera deux fois encore pour L'assassin habite au 21 et Quai des Orfèvres). Il écrit quatre pièces entre 1940 et 19432. Il débute réellement dans la mise en scène en 1942, bénéficiant de l'exil aux États-Unis des grands réalisateurs comme Jean Renoir, Julien Duvivier, René Clair… avec L'assassin habite au 21 et reforme le couple Pierre Fresnay-Suzy Delair. Puis il réalise en pleine occupation allemande un film sur un expéditeur de lettres anonymes Le Corbeau (1943), qui donne lieu à de vives polémiques dans une France qui souffre alors de la délation. Le scénario est de Louis Chavance d'après un fait divers passé à Tulle dans les années 1920.

Une campagne communiste est lancée contre Clouzot (comparant son film à Mein Kampf et l'accusant d'offrir une image négative de la France) et en même temps son film est condamné par les conservateurs et la Centrale catholique pour immoralité tandis même que Goebbels le fait diffuser à l'étranger (mais pas en Allemagne, où il fut jugé trop noir). À la Libération, contrairement à la plupart des autres employés de la Continental-Films (une entreprise créée par Joseph Goebbels), Clouzot échappe à la prison, mais se voit frappé d'une suspension professionnelle à vie. Un fameux résistant écrira alors à un détracteur de Clouzot : « Mon cher, tu sais bien que Clouzot n'a pas plus été collabo que toi tu n'as été résistant ». Grâce à l'intervention de personnalités (comme Pierre Bost, Jacques Becker, ou encore Henri Jeanson qui signe un texte corrosif «Cocos contre corbeau»...), Clouzot revient à la réalisation et remporte plusieurs récompenses aux festivals de Venise, de Berlin et de Cannes avec Quai des Orfèvres en 1947, Miquette et sa mère en 1949, tous les deux avec Louis Jouvet, Manon (1949) (d'après Manon Lescaut de l'abbé Prévost), Le Salaire de la peur (d'après le roman de Georges Arnaud), avec Yves Montand et Charles Vanel en 1952, films ayant tous bénéficié d'une large audience. Il fut surnommé le Hitchcock français.

Cinéaste au style classique, mais incisif, ses trois premiers films trahissent l'influence du cinéma expressionniste, et surtout de Fritz Lang. Il est animé par une sorte de perfectionnisme qui le conduit parfois à tyranniser ses acteurs. Moraliste jetant un regard souvent pessimiste sur la société, il est le réalisateur de plusieurs autres films célèbres dont Les Diaboliques (1954), film policier haut en suspense mettant en scène un couple ambivalent et ambigu interprété par Simone Signoret et Véra Clouzot, soupçonnées du meurtre du mari de cette dernière (Paul Meurisse) par un inspecteur à la logique implacable (Charles Vanel) ; Le Mystère Picasso (1956), un grand documentaire sur la méthode du peintre et sur la naissance de quelques-uns de ses tableaux ; et La Vérité (1960), où Brigitte Bardot trouve son meilleur rôle dramatique. Henri-Georges Clouzot meurt le 12 janvier 1977 laissant derrière lui une des filmographies les plus abouties et les plus intéressantes du cinéma français. En 1994, avec L'Enfer, Claude Chabrol a repris le scénario d'un film que Clouzot n'avait pu achever trente ans plus tôt.

En 1933, il écrit les paroles de la chanson Jeu de massacre, dont Maurice Yvain écrit la musique, et qui sera créée par Marianne Oswald. Il fonde sa société de production Vera Films, en lui donnant le prénom de son épouse Véra Clouzot, actrice d'origine brésilienne, qui apparaît au générique de plusieurs de ses films. L'Enfer d'Henri-Georges Clouzot est un documentaire sur le film inachevé L'Enfer, il est sorti le 11 novembre 2009 au cinéma. Plusieurs remakes de ces films ont été tournés aux États-Unis : La Treizième Lettre (1951) d'Otto Preminger (d'après Le Corbeau), Le Convoi de la peur de William Friedkin (1977) (d'après Le Salaire de la peur) et Diabolique (1996) de Jeremiah S. Chechik (d'après Les Diaboliques). Il fut un pionnier dans la réalisation de concerts filmés dans les années 1970, notamment grâce à son travail avec Herbert Von Karajan qui était avide de progrès technologique pour retransmettre son don musical. Il réalisa six films ; les cinq premiers furent appréciés par le chef d'orchestre, mais le dernier fut tancé par von Karajan qui le trouva nul. Il est l'auteur des paroles de la chanson La vierge Éponine.

Filmographie

Réalisateur

  • 1931 : La Terreur des Batignolles (court-métrage)
  • 1942 : L'assassin habite au 21
  • 1943 : Le Corbeau
  • 1947 : Quai des Orfèvres (également dialoguiste)
  • 1949 : Manon
  • 1949 : Retour à la vie (segment Le Retour de Jean)
  • 1950 : Le Voyage en Brésil (inachevé)
  • 1950 : Miquette et sa mère
  • 1953 : Le Salaire de la peur (également dialoguiste et producteur)
  • 1955 : Les Diaboliques (également producteur)
  • 1956 : Le Mystère Picasso (également producteur)
  • 1957 : Les Espions (également producteur)
  • 1960 : La Vérité
  • 1964 : L'Enfer, inachevé
  • 1967 : Grands chefs d'orchestre (Messa da Requiem von Giuseppe Verdi)
  • 1968 : La Prisonnière

Superviseur des versions françaises​

  • 1933 : Tout pour l'amour de Joe May
  • 1933 : Caprice de princesse de Karl Hartl
  • 1933 : Château de rêve de Géza von Bolváry

Scénariste ou dialoguiste

  • 1931 : Je serai seule après minuit de Jacques de Baroncelli
  • 1931 : Ma cousine de Varsovie de Carmine Gallone
  • 1931 : Un soir de rafle de Carmine Gallone
  • 1931 : Le Chanteur inconnu de Viktor Tourjansky
  • 1932 : Niebla de Benito Perojo
  • 1932 : Le Dernier choc de Jacques de Baroncelli
  • 1932 : Faut-il les marier ? de Pierre Billon et Carl Lamac
  • 1932 : Le Roi des palaces de Carmine Gallone
  • 1932 : La Chanson d'une nuit de Pierre Colombier et Anatole Litvak
  • 1933 : Château de rêve de Géza von Bolváry
  • 1933 : Caprice de princesse
  • 1933 : Tout pour l'amour
  • 1938 : Éducation de prince d'Alexander Esway
  • 1938 : Le Révolté de Léon Mathot
  • 1939 : Le Duel de Pierre Fresnay
  • 1939 : Le Monde tremblera de Richard Pottier
  • 1941 : Le Dernier des six de Georges Lacombe
  • 1942 : Les Inconnus dans la maison de Henri Decoin
  • 1942 : L'assassin habite au 21
  • 1943 : Le Corbeau
  • 1947 : Quai des Orfèvres
  • 1949 : Manon
  • 1950 : Miquette et sa mère
  • 1953 : Le Salaire de la peur
  • 1955 : Les Diaboliques
  • 1956 : Si tous les gars du monde de Christian-Jaque
  • 1957 : Les Espions
  • 1960 : La Vérité
  • 1964 : L'Enfer (inachevé).
  • 1968 : La Prisonnière
  • 1994 : L'Enfer de Claude Chabrol sur son scénario de 1964.
  • 1996 : Diabolique de Jeremiah S. Chechik, remake de Les Diaboliques

Théâtre

  • 1941 : Comédie en trois actes d'Henri-Georges Clouzot, Théâtre de la Michodière
  • 1942 : Comédie en trois actes d'Henri-Georges Clouzot, Théâtre de l'Athénée

 

La biographie de James Dean

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James Dean - Métier : Acteur - Date de naissance : mercredi 30 septembre 1931 (age: 82 ans) - Pays : Etats-Unis.

La biographie de James Dean

James Dean naît le 8 février 1931 dans l’In­diana. Le jeune garçon est élevé à Los Angeles et perd sa mère alors qu’il n’a que 9 ans. Il s’ini­tie au basket-ball mais sa myopie l’em­pêche de deve­nir un excellent joueur. Il se tourne alors vers le théâtre et entame sa carrière d’ac­teur dans une publi­cité pour Pepsi-Cola. Grâce aux reve­nus des spots publi­ci­taires, il s’ins­crit à la célèbre école Actors Studio et décroche un rôle impor­tant dans la pièce de Broad­way L’Im­mo­ra­liste. C’est sur scène qu’il se fait repé­rer par la Warner Bros qui lui confie le premier rôle de l’adap­ta­tion du roman de Stein­beckA l’est d’Eden. Nommé aux Oscars, Dean fascine le public et décroche un deuxième rôle majeur dans La Fureur de vivre où il incarne un adoles­cent rebelle et tendre. L’image du jeune homme en veste rouge entrera dans la légende holly­woo­dienne et au-delà. Enfin, James Dean éblouit la presse et les spec­ta­teurs dans Géant, aux côtés de la sulfu­reuse Eliza­beth Taylor et du monu­ment Rock Hudson.

En paral­lèle, James Dean menait une vie senti­men­tale agitée. Bisexuel, l’ac­teur iconique multi­plie les rela­tions. Il a notam­ment été l’amant du produc­teur William Bast, de la danseuse Liz Sheri­dan ou encore de l’ac­trice Pier Angeli. La dernière compagne de James sera Ursula Andress, la première James Bond girl à avoir crevé l’écran (James Bond contre Dr No). Le jeune acteur avait en effet une passion fatale. James Dean était un amou­reux des compé­ti­tions auto­mo­biles et possé­dait de multiples voitures et motos de course. Le 30 septembre 1955, il prend le volant de sa Porsche 550 et roule à 90 km/h sur la route 46 pour se rendre à une course. Sa voiture est percu­tée de plein fouet par celle d’un étudiant et James décède immé­dia­te­ment du choc. Un mémo­rial a été érigé sur les lieux de l’ac­ci­dent et l’image de l’ac­teur demeure celle d’un jeune homme libre et talen­tueux.

Brando Marlon

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Marlon Brando, né le 3 avril 1924 à Omaha et mort le 1er juillet 2004 à Los Angeles, est un acteur et réalisateur qui est considéré comme l'un des plus grands et des plus influents acteurs américains du xxe siècle. L'American Film Institute l'a classé « 4e acteur de légende ».

Brando Marlon

Fils d’un militaire et d’une actrice, Marlon Brando voit le jour le 3 avril 1924, à Omaha dans le Nebraska. Après une adolescence difficile, il débute au théâtre en amateur. C’est pour lui une révélation et il obtient ses premiers engagements en 1944, à Broadway. En 1947, Marlon Brando est l’un des premiers adeptes de la méthode Stanislavski de l’Actors Studio. Ses amis sont: James Dean, Montgomery Clift et Julie Harris. La même année, il connaît immédiatement le succès avec la pièce «Un tramway nommé Désir» de Tennessee Williams. Il vit alors les années les plus enrichissantes de sa carrière en mettant en pratique l’enseignement de la célèbre école.

En 1950, il transpose pour la première fois au cinéma son style de jeu dans «C’était des hommes» de Fred Zinnemann. L’année suivante, Marlon Brando rencontre Elia Kazan et sous sa direction, il devient une star avec l’adaptation de la pièce de Tennessee William «Un tramway nommé Désir» aux côtés de Vivien Leigh. Ce film est à l’origine du mythe Brando pour la violence et la sensualité que dégage le personnage. Il confirme son extraordinaire talent dans «Viva Zapata!» (1952) toujours de Kazan et pour lequel il remporte un prix d’interprétation à Cannes; «Jules César» (1953) de Joseph L. Mankiewicz; «L’équipée sauvage» (1954) de Laslo Benedek (le film de toute une génération) et «Sur les quais» (1954) encore de Kazan. Pour ce dernier film, il remporte un premier Oscar pour son rôle de Terry Malloy, un jeune docker qui se rebelle contre son puissant syndicat. Ses exigences font alors capoter plusieurs grands projets. Marlon Brando refuse aussi de se prêter aux contraintes des studios et rentre très vite en conflit avec «l’establishment hollywoodien». Il tourne quelques films de qualité médiocre, à croire qu’il se détourne déjà volontairement de son art.

En 1960, Marlon Brando réalise honorablement «La vengeance aux deux visages» avec son ami Karl Malden. Ce révolté du cinéma a du mal à retrouver la passion de ses débuts et tourne de moins en moins. Seuls Arthur Penn pour «La poursuite impitoyable» (1965) et John Huston pour «Reflets dans un œil d’or» (1967) lui offrent des rôles à la hauteur de son talent. Alors que tout le monde le croit fini, Marlon Brando revient en force en 1971 avec «Le parrain» de Francis Ford Coppola. Le film est un triomphe et l’acteur remporte un second Oscar (qu’il refuse en solidarité pour la cause du peuple indien). Un an plus tard, il enchaîne avec le magnifique mais très controversé «Dernier tango à Paris» de Bernardo Bertolucci. Il exerce encore son pouvoir de fascination dans «Apocalypse now» (1978) de Coppola, «Une saison blanche et sèche» (1988) de Euzhan Palcy et «The brave» (1997) de et avec Johnny Depp. Il apparaît une dernière fois à l’écran en 2000 dans «The score» de Frank Oz aux côtés de Robert De Niro.

Après une vie pleine de triomphes, de scandales, d’honneurs et de tragédies, Marlon Brando s’éteint, entouré de ses proches, le 1er juillet 2004, à l’Hôpital Universitaire de Los Angeles, emporté par une fibrose pulmonaire. Son corps a été incinéré et ses cendre dispersées à Tahiti et en Californie. 

Filmographie

Comme acteur

  • 1951 : C'étaient des hommes (The Men) de Fred Zinnemann
  • 1951 : Un tramway nommé Désir (A Streetcar Named Desire) d'Elia Kazan
  • 1952 : Viva Zapata! d'Elia Kazan
  • 1953 : L'Équipée sauvage (The Wild One) de Laslo Benedek
  • 1953 : Jules César de Joseph Mankiewicz
  • 1954 : Sur les quais (On The Waterfront) d'Elia Kazan
  • 1954 : Désirée de Henry Koster
  • 1955 : Blanches colombes et vilains messieurs (Guys and Dolls) de Joseph Mankiewicz
  • 1956 : La Petite Maison de thé (The Tea House of the August Moon) de Daniel Mann
  • 1957 : Sayonara de Joshua Logan
  • 1957 : Le Bal des maudits (The Young Lions) d'Edward Dmytryk
  • 1959 : L’Homme à la peau de serpent (The Fugitive Kind) de Sidney Lumet
  • 1961 : La Vengeance aux deux visages (One-Eyed Jacks) de Marlon Brando
  • 1962 : Les Révoltés du Bounty (Mutiny on the Bounty), de Lewis Milestone
  • 1963 : Le Vilain Américain (The Ugly American) de George Englund (en)
  • 1965 : Morituri (Morituri) de Bernhard Wicki
  • 1966 : La Poursuite impitoyable (The Chase) d'Arthur Penn
  • 1966 : L'Homme de la Sierra (The Appaloosa) de Sidney J. Furie
  • 1967 : La Comtesse de Hong-Kong (A Countess From Hong Kong) de Charlie Chaplin
  • 1967 : Reflet dans un œil d’or (Reflections In A Golden Eye) de John Huston
  • 1968 : Candy de Christian Marquand
  • 1968 : La Nuit du lendemain (The Night of the Following Day) d'Hubert Cornfield et Richard Boone
  • 1969 : Queimada de Gillo Pontecorvo
  • 1972 : Le Corrupteur (The Nightcomers) de Michael Winner
  • 1972 : Le Parrain (The Godfather) de Francis Ford Coppola
  • 1972 : Le Dernier Tango à Paris (Ultimo tango a Parigi) de Bernardo Bertolucci
  • 1976 : Missouri Breaks d'Arthur Penn
  • 1977 : Raoni de Jean-Pierre Dutilleux : Narrateur (dans la version en anglais)
  • 1977 : Le Parrain de Francis Ford Coppola (TV)
  • 1978 : Superman de Richard Donner
  • 1979 : Apocalypse Now de Francis Ford Coppola
  • 1980 : La Formule (The Formula) de John G. Avildsen
  • 1989 : Une saison blanche et sèche (A Dry White Season) d'Euzhan Palcy
  • 1990 : Premiers pas dans la mafia (The Freshman) d'Andrew Bergman
  • 1992 : Christophe Colomb : La découverte : Tomas de Torquemada de John Glen
  • 1995 : Don Juan Demarco de Jeremy Leven
  • 1996 : L’Île du docteur Moreau (The Island of Dr. Moreau) de John Frankenheimer
  • 1997 : The Brave de Johnny Depp
  • 1998 : Free Money de Yves Simoneau
  • 2001 : The Score, Frank Oz
  • 2001 : You Rock My World, de Michael Jackson
  • 2006 : Superman Returns de Bryan Singer (images d'archives)

Comme réalisateur

  • 1961 : La Vengeance aux deux visages (One-Eyed Jacks)

 

La biographie de Marlon Brando

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Marlon Brando - Métier : Acteur - Date de naissance : jeudi 3 avril 1924 (age: 80 ans) - Date de décès : jeudi 1 juillet 2004 - Pays : États-Unis.

La biographie de Marlon Brando

Marlon Brando naît le 3 avril 1924 à Omaho. L’ac­teur de légende fait ses débuts sur scène grâce au metteur en scène Elia Kazan, qui lui confie le rôle violent de Stan­ley Kowalski dans Un Tram­way nommé désir. Le futur sex-symbol et emblème d’une géné­ra­tion reprend le rôle de Stan­ley au cinéma en 1951 : sa carrière est désor­mais lancée. Deux ans plus tard, il incarne un jeune rebelle en perfecto dans L’Equi­pée sauvage. Campé sur sa moto Triumph, l’ac­teur devient une véri­table icône dont même James Dean s’ins­pi­rera. L’an­née suivante, Elia Kazan le fait de nouveau tour­ner dans Sur les quais et Marlon remporte son premier Oscar. Si l’ac­teur demeure culte, il sombre quelque peu dans l’ou­bli dans les années 1960 en passant derrière la caméra pour réali­ser La vengeance aux deux visages.

En 1972, il fait un retour spec­ta­cu­laire dans Le Parrain de Fran­cis Ford Coppola. Sa pres­ta­tion éblouit le monde entier, jamais l’ac­teur ne s’était autant dévoué pour un rôle. Brando refuse pour­tant l’Oscar du meilleur acteur et fait un coup d’éclat poli­tique : il envoie à sa place une mili­tante des droits amérin­diens, cause qu’il soutient ardem­ment. La même année, Brando tourne égale­ment Le Dernier tango à Paris, filme culte et polé­mique de Bernardo Berto­lucci. Quatre ans plus tard, c’est un Brando en surpoids et affai­bli qui incarne le Colo­nel Kurtz dans Apoca­lypse Now de Coppola. Le rôle de cet homme soli­taire et en déca­dence semble évoquer la carrière de Brando, en un touchant hommage. En 2004, à 80 ans, l’icône décède à Los Angeles.

Dans sa vie privée, les conquêtes de l’ac­teur, aussi bien mascu­lines que fémi­nines, atteignent de véri­tables sommets (Mari­lyn Monroe, Edith Piaf ou encore François Fores­tier). Marlon s’est marié à trois reprises et a fini ses jours aux côtés de sa gouver­nante. L’ac­teur a ainsi donné nais­sance à 14 enfants ! Une belle descen­dance pour l’un des person­nages les plus emblé­ma­tiques du cinéma améri­cain.

Minnelli Liza

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Liza May Minnelli, née le 12 mars 1946 à Los Angeles (Californie), est une actrice, chanteuse et danseuse américaine.

Minnelli Liza

Elle est la fille de l'actrice et chanteuse Judy Garland et du second époux de celle-ci, le réalisateur Vincente Minnelli. D'après Fred Astaire dans Il était une fois Hollywood (That's entertainment!) : « Si Hollywood était une monarchie, Liza serait notre princesse héritière. » Liza Minnelli est aussi connue pour son rôle dans le film musical New York, New York aux côtés de Robert De Niro et son interprétation de la chanson principale. Liza Minnelli a d'abord grandi dans un milieu artistique aux côtés de son père et de sa mère. Toute sa vie, elle s'adonnera à des activités artistiques variées, telles que le cinéma, le théâtre, le music-hall en privilégiant la comédie musicale. Elle est issue d'une grande famille de comédiens et de chanteurs, provenant du vaudeville et du cirque. 

Près de six générations d'artistes du côté maternel. Avant d'être immortalisée dans le Magicien d'Oz par Victor Fleming (1939), sa mère se produisait avec ses sœurs aînées dans tous les théâtres de vaudeville, et formaient le groupe des Gumm Sisters. Quant à son père, il mena une belle carrière de metteur en scène, directeur artistique, décorateur, peintre et costumier à Broadway avant d'être appelé à Hollywood par la MGM. Liza Minnelli fit sa première apparition au cinéma à l'âge de deux ans et demi, dans la scène finale du film de sa mère intitulé In the Good Old Summertime, avec Van Johnson. On peut noter que la carrière de Liza Minnelli est, à plus de 45 ans, maintenant plus longue que celles de ses deux parents qui ont pourtant aussi duré plusieurs décennies.

Elle débuta à Broadway à l'âge de 16 ans dans la comédie musicale Best foot forward. L'année suivante, sa mère l'invita à se produire en concert avec elle au Palladium de Londres. Retournant à Broadway à l'âge de dix-neuf ans, elle remporta son premier Tony Award pour son rôle dans Flora, The Red Menace, la première comédie musicale créée par le tandem formé par John Kander et Fred Ebb (qui écriront plus tard Liza with a Z, Cabaret, New York, New York et Chicago, entre autres). Sa première apparition notable au cinéma, elle la doit à Alan J. Pakula, qui lui donne le rôle de la jeune excentrique Pookie Adams dans le film Pookie (The Sterile Cuckoo). Elle obtient sa première nomination aux Oscars. En 1972, elle remporte enfin la statuette pour son rôle de Sally Bowles, dans Cabaret. Elle devient alors la seule titulaire d'un Oscar à Hollywood dont les deux parents ont eux aussi remporté un Oscar.

En 1972, elle fait la couverture de Time et Newsweek la même semaine – ce doublet ne s'est jamais reproduit à ce jour. Elle gagne un Emmy pour le concert télévisé Liza with a Z de Bob Fosse, puis un Grammy Legend Award en 1990, et deux Golden Globe Awards pour Cabaret de Fosse et le film télévisé A Time to Live. Artiste de scène avant tout, elle ne laisse pas le monde du théâtre de côté, et récolte deux autres Tony Awards dans les années 1970 : un Tony spécial en 1974 et un second pour The Act en 1978. Après l'accueil tiède réservé au film New York, New York de Martin Scorsese, Minnelli renoue avec le succès en 1981 avec le film Arthur. Elle s'éloigne ensuite du chemin des studios, et se consacre à la scène, notamment à la tournée mondiale qu'elle entreprend avec Sammy Davis Jr. et Frank Sinatra, à la fin des années 1980 : "The Ultimate Event".

Elle retourne à Broadway en 1997, et remplace brièvement Julie Andrews dans le rôle titre de la comédie musicale Victor Victoria, au Marquis Theatre de New York. En 2004 et 2005, Ron Howard lui demande d'apparaître régulièrement dans la série encensée par la critique et le public Arrested Development : le public la découvre alors sous un jour humoristique (Lucille 2 Austero). Liza Minnelli a participé à de nombreuses apparitions dans les séries télévisées telles que Arrested Development, New York, section criminelle, Drop Dead Diva et bien d'autres.

Liza Minnelli est également une invitée régulière de certains talk shows américains (animés par David Letterman, Larry King, Tony Danza, ou par le passé par Johnny Carson, Jack Paar, Dinah Shore et Ed Sullivan) et britanniques (Graham Norton, Ruby Wax, Sharon Osbourne et Parkinson).

Filmographie

  • 1949 : Amour poste restante (In the Good Old Summertime) de Robert Z. Leonard : Le bébé
  • 1967 : Charlie Bubbles d'Albert Finney
  • 1969 : Pookie (The Sterile Cuckoo) d'Alan J. Pakula
  • 1970 : Dis-moi que tu m'aimes, Junie Moon (Tell Me That You Love Me, Junie Moon) d'Otto Preminger
  • 1972 : Cabaret de Bob Fosse
  • 1974 : Il était une fois Hollywood (That entertainment) de Jack Haley Jr.
  • 1974 : Journey Back to Oz d'Hal Sutherland (en) (filmé en 1964)
  • 1975 : Les Aventuriers du Lucky Lady (Lucky Lady) de Stanley Donen : Claire
  • 1976 : La Dernière Folie de Mel Brooks (Silent Movie) de Mel Brooks (elle-même)
  • 1976 : Nina (A Matter of Time) de Vincente Minnelli
  • 1977 : New York, New York de Martin Scorsese
  • 1981 : Arthur de Steve Gordon
  • 1983 : La Valse des pantins (The King of Comedy) de Martin Scorsese
  • 1984 : Les Muppets à Manhattan de Frank Oz
  • 1985 : That's Dancing! de Jack Haley Jr. (narratrice)
  • 1987 : Pinocchio and the Emperor of the Night d'Hal Sutherland (en) (voix)
  • 1987 : Assistance à femme en danger (Rent-a-Cop) de Jerry London
  • 1988 : Arthur 2: On the Rocks de Bud Yorkin
  • 1991 : Stepping Out de Lewis Gilbert
  • 2006 : The Oh in Ohio de Billy Kent
  • 2009 : Broadway, beyond the Golden Age de Rick McKay (documentaire)
  • 2010 : Sex and the City 2 son propre rôle Liza Minelli (film)

Télévision

  • 1963 : The Judy Garland Show
  • 1963 : The Judy Garland Christmas Show
  • 1964 : Judy and Liza at the Palladium
  • 1965 : The Dangerous Christmas of Red Riding Hood de Sid Smith
  • 1972 : Liza with a 'Z'
  • 1975 : Sammy And Company
  • 1976 : The Bell Tepephone Jubilee
  • 1976 : Life Goes To The Movies
  • 1979 : Le Muppet Show
  • 1980 : Goldie and Liza Together
  • 1980 : Baryshnikov On broadway
  • 1984 : Faerie Tale Theatre: The Princess And The Pea
  • 1985 : Cœur en sursis (A Time to Live) de Rick Wallace
  • 1987 : Happy 100th Birthday Hollywood
  • 1988 : Sam Found Out: A Triple Play de Piers Haggard
  • 1989 : Frank, Liza And Sammy: The Ultimate Event
  • 1991 : The Freddie Mercury Tribute Concert
  • 1992 : Aznavour Minnelli: Palais des Congrès
  • 1993 : Liza Minnelli: Live from Radio City Music Hall
  • 1993 : Sondheim, A Celebration At Carnegie Hall
  • 1994 : Parallel Lives de Linda Yellen
  • 1995 : The West Side Waltz d'Ernest Thompson
  • 1999 : Jackie's Back!
  • 1999 : My Favorite Broadway, The Leading Ladies
  • 2001 : Michael Jackson: 30th Anniversary Celebration
  • 2004 : The Royal Variety Performance
  • 2003 - 2005: Arrested Development : Lucille Austero
  • 2004 : Charles Aznavour: Bon Anniversaire Charles
  • 2006 : Inside the Actors Studio (Février 2006)
  • 2006 : Law and Order: episode Masquerade (Octobre 2006)
  • 2013 : Arrested Development : Lucille Austero
  • 2013 : Smash : Elle-même (épisode 10 saison 2)
  • 2013 : drop dead diva (saison 1) : une voyante

Théâtre

  • Best Foot Forward (1963) (Off-Broadway)
  • The Fantasticks (1964) (Tournée)
  • Carnival (1964) (Tournée)
  • Flora the Red Menace (1965) (Broadway)
  • Liza, starring Liza Minnelli (1974) (one woman show, Broadway)
  • Chicago (1975) (remplacement de Gwen Verdon à partir d'août 1975, Broadway)
  • The Act (1977) (Broadway)
  • The Owl and the Pussycat (1979) London West End
  • By Myself (1983) one woman show, Los Angeles et Londres
  • The Rink (1984) (Broadway)
  • Victor Victoria (1997) (remplacement de Julie Andrews) (Broadway)
  • Minnelli on Minnelli (1999) Broadway
  • Liza's Back! (2002) Broadway
  • Liza's at the Palace (2008) Broadway

Musique

Albums

  • Best Foot Forward (1963) (Casting Original)
  • Liza! Liza! (1964) US #115
  • Judy Garland and Liza Minnelli Live at the London Palladium (1965) US #41
  • Flora the Red Menace (1965) (Casting original) US #111
  • It Amazes Me (1965)
  • There Is a Time (1966)
  • The Dangerous Christmas of Red Riding Hood (1966) (bande-originale)
  • Liza Minnelli (1968)
  • Come Saturday Morning (1969)
  • New Feelin' (1970) US #158
  • Liza Minnelli: Live at the Olympia in Paris (1972, enregistré en décembre 1969)
  • Cabaret (1972) (bande-originale) US #25 UK #13
  • Liza with a 'Z' (1972) (bande-originale) US #19 ÙK #9
  • The Singer (1973) US #38 UK #45
  • Liza Minnelli: Live at the Winter Garden (1974) US #150
  • Lucky Lady (1975) (bande-originale)
  • A Matter of Time (1976) (bande-originale)
  • New York, New York (1977) (bande-originale) US #50
  • Tropical Nights (1977)
  • The Act (1978) (Casting Original)
  • Live at Carnegie Hall (1981, édition limitée)
  • The Rink (1984) (Casting Original)
  • Liza Minnelli at Carnegie Hall (1987) US #156
  • Results (1989) US #128 UK #6, produit par les Pet Shop Boys
  • Stepping Out (1991) (bande-originale)
  • Liza: Live from Radio City Music Hall (1992)
  • Aznavour Minnelli: Paris, Palais des Congrès (1995)
  • The Life: A New Musical (1996)
  • Gently (1996) US #156 UK #58 (dont duos avec Johnny Mathis et Donna Summer)
  • Minnelli on Minnelli: Live at the Palace (1999)
  • Liza's Back (2002)
  • The God-Mother and The God-Daughter (prochainement)
  • Mama (Avec My Chemical Romance, sur l'album The Black Parade) (2006)
  • The Complete A&M Recordings (Compilation) (2008)
  • Liza's at the Palace (2009)
  • Confessions (2010)

Singles

  • You Are For Loving (1963, 500 000 copies)
  • New York, New York (US #104, 1977)
  • Losing My Mind (UK #6, August 1989) (US #11)
  • Don't Drop Bombs (UK #46, October 1989)
  • So Sorry, I Said (UK #62, November 1989)
  • Love Pains (UK #41, March 1990) (US #40)

La biographie de Liza Minnelli

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Liza Minnelli - Métier : Actrice, Danseuse - Date de naissance : mardi 12 mars 1946 (age: 68 ans) - Pays : États-Unis.

La biographie de Liza Minnelli

Cheveux couleur corbeau, sourire immuable, tout le monde connaît Liza et son célèbre « New York, New York ». Actrice, danseuse, chan­teuse, Liza Minnelli est une véri­table icône, un symbole de la culture améri­caine.

Liza Minnelli est née le 12 mars 1946 aux Etats-Unis, elle est la fille de la très célèbre Judy Garland, l’hé­roïne du Magi­cien d’Oz. Liza Minnelli monte sur les planches dès l’ado­les­cence aux côtés de sa mère mais très vite, c’est seule et à Broad­way qu’elle brille sur scène. En plus des prix qu’elle remporte (Oscar, Grammy Ward, Tony Awards et autres) Liza Minnelli marque surtout l’His­toire avec ses rôles dans New York York aux côtés de Robert De Niro, dans Pookie, dans Caba­ret ou encore dans Victor Victo­ria en rempla­ce­ment de Julie Andrews.

Icône gay, impliquée dans de nombreuses causes comme la lutte contre le sida, toujours proches des plus grands comme Frank Sina­tra ou Fred Astaire, Liza Minnelli a reçu la Légion d’Hon­neur des mains de Frédé­ric Mitter­rand en 2011. Très amie avec Charles Azna­vour, Liza Minnelli fait souvent des spec­tacles en France même si chacune de ses tour­nées l’em­mène dans le monde entier.


Hackman Gene

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Eugene Allen Hackman dit Gene Hackman, est un acteur américain, né le 30 janvier 1930 à San Bernardino, en Californie. Il est nommé pour cinq Oscars, en gagne deux. Gene Hackman a aussi gagné trois Golden Globes et deux Bafta Awards pour une carrière qui s'est étalée sur cinq décennies.

Hackman Gene

Il quitte le foyer familial à 16 ans, s'engage dans les Marines pour 3 ans. Après avoir travaillé dans des emplois mineurs, il entre à l'Université de l'Illinois pour étudier le journalisme. Ce n'est qu'à l'amorce de la trentaine que Gene Hackman décide de devenir acteur. Il intègre le Pasadena Playhouse, une prestigieuse école californienne qui a formé de nombreux grands acteurs hollywoodiens mais qui, selon la légende, l'aurait défini comme « peu enclin au succès ». La suite prouvera largement le contraire... De retour à New York en 1964, Gene Hackman joue à Broadway dans la pièce Any Wednesday. Une performance qui lui ouvre des portes puisque la même année, il apparait au cinéma dans Lilith, aux côtés de Warren Beatty.

Trois ans plus tard, il obtient son premier grand rôle dans le Bonnie and Clyde d'Arthur Penn, sur les conseils de Warren Beatty, producteur du film. En 1971, nouveau tournant dans la carrière de Gene Hackman avec son rôle du détective Doyle dans le French Connection de William Friedkin. Une prestation qui lui vaut de remporter l'Oscar du meilleur acteur un an plus tard. Dès lors, son parcours est jalonné de nombreuses œuvres fortes... En 1972, il est à l'affiche de L'Aventure du Poséidon de Ronald Neame puis tient la vedette de L'Épouvantail de Jerry Schatzberg, et Conversation secrète de Francis Ford Coppola.

En 1975, Gene Hackman reprend son rôle du détective Doyle dans French Connection 2, cette fois-ci réalisé par John Frankenheimer. La même année, il joue sous la direction de son complice Arthur Penn dans La Fugue avant de s'illustrer dans La Théorie des dominos de Stanley Kramer (1978). Gene Hackman est toujours aussi actif et se retrouve au générique de Superman, réalisé par Richard Donner. Après avoir repris son rôle deux ans plus tard dans Superman 2 et avoir joué dans Under Fire, il retrouve une nouvelle fois Arthur Penn en 1985 pour le film Target puis hérite d'un impressionnant rôle dans Mississippi Burning d'Alan Parker, où il est nommé à l'Oscar du Meilleur acteur.

À l'orée des années 1990, la carrière de Gene Hackman ne prend pas une ride et l'acteur continue inlassablement à s'illustrer dans des productions de qualité. Il est à l'affiche de deux films réalisés par Clint Eastwood : Impitoyable et Les Pleins Pouvoirs. On le voit également au sommet des génériques de La Firme, USS Alabama et Get Shorty. En 1998, il reprend dans Ennemi d'État un rôle quasi-similaire à celui qu'il tenait dans Conversation secrète. En 2000, il est à l'affiche de Suspicion, un remake du Garde à vue de Claude Miller. Et en 2001, Gene Hackman tourne dans quatre films : Beautés empoisonnées, Braquages, La Famille Tenenbaum et En territoire ennemi. En 2004, il met fin à sa carrière. En 2012, il est cependant annoncé qu'il prêtera sa voix au narrateur du film Le Loup de Wall Street de Martin Scorsese mais il a finalement refusé. Il est l'oncle de l'acteur australien Guy Pearce.

Filmographie

  • 1961 : Mad Dog Coll : Cop
  • 1963 : Ride with Terror (TV)
  • 1964 : Lilith de Robert Rossen: Norman
  • 1966 : Hawaï (Hawaii), de George Roy Hill : Dr John Whipple
  • 1967 : First to Fight (en) de Christian Nyby : Sgt. Tweed
  • 1967 : A Covenant with Death (en) de Lamont Johnson : Harmsworth
  • 1967 : Community Shelter Planning : Donald Ross - Regional Civil Defense Officer
  • 1967 : Bonnie et Clyde de Arthur Penn (Bonnie and Clyde) : Buck Barrow
  • 1967 : Banning : Tommy Del Gaddo
  • 1968 : Le crime, c'est notre business (The Split) : Detective Lt. Walter Brill
  • 1968 : Shadow on the Land (TV) : Rev. Thomas Davis
  • 1969 : La Mutinerie (Riot) : Red Fraker
  • 1969 : Les Parachutistes arrivent (The Gypsy Moths) : Joe Browdy
  • 1969 : La Descente infernale (Downhill Racer) de Michael Ritchie: Eugene Claire
  • 1969 : Les Naufrages de l'espace (Marooned) : Buzz Lloyd
  • 1970 : I Never Sang for My Father : Gene Garrison
  • 1971 : Doctors' Wives : Dr. Dave Randolph
  • 1971 : Les Charognards (The Hunting Party) : Brandt Ruger
  • 1971 : French Connection (The French Connection) : Det. Jimmy 'Popeye' Doyle
  • 1972 : Cisco Pike : Sergeant Leo Holland
  • 1972 : Carnage (Prime Cut) : Mary Ann
  • 1972 : L'Aventure du Poséidon (The Poseidon Adventure) : Rev. Frank Scott
  • 1973 : L'Épouvantail (Scarecrow) : Max Millan
  • 1974 : Conversation secrète (The Conversation) : Harry Caul
  • 1974 : Zandy's Bride (en) de Jan Troell : Zandy Allan
  • 1974 : Frankenstein Junior (Young Frankenstein) : The Blindman (Harold)
  • 1975 : French Connection 2 : Jimmy 'Popeye' Doyle
  • 1975 : La Fugue (Night Moves) : Harry Moseby
  • 1975 : La Chevauchée sauvage (Bite the Bullet) : Sam Clayton
  • 1975 : Les Aventuriers du Lucky Lady (Lucky Lady), de Stanley Donen : Kibby Womack
  • 1977 : La Théorie des dominos (The Domino Principle) : Roy Tucker
  • 1977 : Un pont trop loin (A Bridge Too Far) : Maj. Gen. Stanisław Sosabowski
  • 1977 : Il était une fois la légion (March or Die) : Maj. William Sherman Foster
  • 1978 : Superman : Lex Luthor
  • 1980 : Superman 2 : Lex Luthor
  • 1981 : All Night Long : George Dupler
  • 1981 : Les Rouges (Reds) : Pete Van Wherry
  • 1983 : Under Fire de Roger Spottiswoode : Alex Grazier
  • 1983 : Second Chance (Two of a Kind) : Dieu (voix)
  • 1983 : Retour vers l'enfer (Uncommon Valor) : Col. Cal Rhodes
  • 1984 : Besoin d'amour (Misunderstood) : Ned Rawley
  • 1984 : Eureka de Nicolas Roeg : Jack McCann
  • 1985 : Twice in a Lifetime de Bud Yorkin : Harry MacKenzie
  • 1985 : Target d'Arthur Penn: Walter Lloyd / Duncan (Duke) Potter
  • 1986 : Les coulisses du pouvoir (Power) : Wilfred Buckley
  • 1986 : Le Grand Défi (Hoosiers)  : Coach Norman Dale
  • 1987 : Superman 4 (Superman IV: The Quest for Peace) : Lex Luthor / Voice of Nuclear Man
  • 1987 : Sens unique (No Way Out) de Roger Donaldson: Defense Secretary David Brice
  • 1988 : Air Force Bat 21 (Bat*21) : Lt. Col. Iceal Hambleton
  • 1988 : Une autre femme (Another Woman) : Larry Lewis
  • 1988 : Split Decisions : Dan McGuinn
  • 1988 : Full Moon in Blue Water : Floyd
  • 1988 : Mississippi Burning d'Alan Parker : Agent Rupert Anderson
  • 1989 : Opération Crépuscule (The Package) : Sgt. Johnny Gallagher
  • 1990 : Loose Cannons : MacArthur Stern
  • 1990 : Bons Baisers d'Hollywood (Postcards from the Edge) de Mike Nichols: Lowell Kolchek
  • 1990 : Le Seul Témoin (Narrow Margin) de Peter Hyams: Robert Caulfield
  • 1991 : Affaire non classée (Class Action) : Jedediah Tucker Ward
  • 1991 : Patriotes (Company Business) : Sam Boyd
  • 1992 : Impitoyable (Unforgiven) de Clint Eastwood : Little Bill Daggett
  • 1993 : La Firme (The Firm) de Sydney Pollack : Avery Tolar
  • 1993 : Geronimo (Geronimo: An American Legend) de Walter Hill : Brig. Gen. George Crook
  • 1994 : Wyatt Earp : Nicholas Earp
  • 1995 : Mort ou vif (The Quick and the Dead) de Sam Raimi : John Herod
  • 1995 : USS Alabama (Crimson Tide) : Capt. Frank Ramsey
  • 1995 : Get Shorty de Barry Sonnenfeld : Harry Zimm
  • 1996 : Birdcage (The Birdcage) de Mike Nichols : Sen. Kevin Keeley
  • 1996 : Mesure d'urgence (Extreme Measures) de Michael Apted : Dr. Lawrence Myrick
  • 1996 : L'Héritage de la haine (The Chamber) : Sam Cayhall
  • 1997 : Les Pleins Pouvoirs (Absolute Power) de Clint Eastwood: President Allen Richmond
  • 1998 : L'Heure magique (Twilight) : Jack Ames
  • 1998 : FourmiZ (Antz) : General Mandible (voix)
  • 1998 : Ennemi d'État (Enemy of the State) de Tony Scott: Edward 'Brill' Lyle
  • 2000 : Suspicion (Under Suspicion) de Stephen Hopkins : Henry Hearst
  • 2000 : Les Remplaçants (The Replacements) d'Howard Deutch: Jimmy McGinty
  • 2001 : Le Mexicain (The Mexican) de Gore Verbinski : Arnold Margolese
  • 2001 : Beautés empoisonnées (Heartbreakers) : William B. Tensy
  • 2001 : Braquages (Heist) de David Mamet : Joe Moore
  • 2001 : La Famille Tenenbaum (The Royal Tenenbaums) de Wes Anderson : Royal Tenenbaum
  • 2001 : En territoire ennemi (Behind Enemy Lines) de John Moore: Admiral Leslie McMahon Reigart
  • 2003 : Le Maître du jeu (Runaway Jury) de Gary Fleder: Rankin Fitch
  • 2004 : Bienvenue à Mooseport (Welcome to Mooseport) de Donald Petrie: Monroe Cole

La biographie de Gene Hackman

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Gene Hackman - Métier : Typologie - Date de naissance : jeudi 30 janvier 1930 (age: 84 ans) - Pays : États-Unis.

La biographie de Gene Hackman

Gene Hack­man est né le 30 janvier 1930 en Cali­for­nie. Cet artiste qui a reçu de nombreuses récom­penses ne commence pour­tant sa carrière d’ac­teur qu’à l’âge de 30 ans. Il a en effet été Marine dans l’ar­mée des États-Unis, et a enchaîné les petits boulots avant d’in­té­grer le Pasa­dena Play­house.

Au sein de cette pres­ti­gieuse école de comé­die, il rencontre Robert Duvall et Dustin Hoff­man dont il sera le colo­ca­taire. Le trio ne brille pas au sein de l’aca­dé­mie : les profes­seurs diront de Gene Hack­man qu’il ne semble pas prédes­tiné au succès.

Pour­tant, l’ac­teur décolle rapi­de­ment à partir des années 1970 dans des films tels que « French Connec­tion ». Il enchaîne les succès et remporte au cours de sa carrière deux oscars, trois Golden Globes et deux BAFTA Awards.

Gene Hack­man a été marié durant trente ans avec Faye Maltese avec laquelle il a eu trois enfants, Allen, Eliza­beth Jean et Leslie Anne. Il divorce en 1986, et épouse en secondes noces Betsy Arakawa, une femme d’af­faires. Ils vivent au Nouveau-Mexique.

En 2004, Gene Hack­man annonce la fin de sa carrière.

 

La Biographie de Katharine Hepburn

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Katharine Hepburn - Date de naissance : dimanche 12 mai 1907 (age: 96 ans) - Date de décès : dimanche 29 juin 2003.

La Biographie de Katharine Hepburn

Katha­rine Hepburn naît le 12 mai 1907 dans le Connec­ti­cut. La plus grande actrice de légende selon le clas­se­ment de l’AFI a marqué le cinéma améri­cain de sa person­na­lité bien trem­pée. Trau­ma­ti­sée par la mort de son frère à 14 ans, elle devint si renfer­mée qu’elle fut scola­ri­sée à la maison par un père méde­cin et une mère sufra­gette. Mais à 19 ans, Katha­rine décide de se lancer à corps perdu dans le théâtre malgré les obstacles. La jolie jeune fille peine à séduire la presse; elle épouse un homme d’af­faires pour ne plus se soucier des ques­tions finan­cières et suivre ainsi les cours d’art drama­tique de Lee Stras­berg. Miss Kate persé­vère et part à la conquête d’Hol­ly­wood où son physique svelte et diaphane séduit le réali­sa­teur David O. Selz­nick. La compli­cité est au rendez-vous et le duo tour­nera plus de sept films ensemble. Katha­rine se spécia­lise dans les rôles indé­pen­dants et est à l’af­fiche des Quatre filles du Docteur March ou encore de La Rebelle. Dès son troi­sième film, Morning Glory, elle décroche l’Oscar de la meilleure actrice. En 1938, elle forme un tandem inou­bliable à l’écran aux côtés de Cary Grant, dans la cultis­sime comé­die loufoque L’Im­pos­sible Monsieur Bébé.

En 1940, elle connaît à nouveau le succès dans Indis­cré­tions, où elle donne la réplique à James Stewart sous la direc­tion de George Cukor. Dans La Femme de l’an­née, elle rencontre Spen­cer Tracy. Le coup de foudre est fulgu­rant et les acteurs vivent une passion adul­tère, devant le refus de Spen­cer de divor­cer. Ils tour­ne­ront plus de dix films ensemble, vivant une histoire secrète pendant trente ans. Au cours des années 1950, Katha­rine alterne entre les planches de Broad­way et les grosses produc­tions comme L’Odys­sée de l’Afri­can Queen aux côtés de Humphrey Bogart. Elle fait une appa­ri­tion remarquée dans la cynique comé­die Devine qui vient dîner ? et joue des rôles de femmes aigries mais toujours fortes et indé­pen­dantes, sa marque.

Hepburn Katharine

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Katharine Houghton Hepburn, née le 12 mai 1907 à Hartford dans le Connecticut et morte le 29 juin 2003 à Old Saybrook dans le Connecticut, est une comédienne américaine. Elle fut récompensée par l'Oscar de la meilleure actrice à quatre reprises, un record inégalé, mais « Miss Kate », comme elle fut surnommée, ne prit même pas la peine de venir en chercher un.

Hepburn Katharine

Dotée d'un fort tempérament, elle refuse les conventions ; Hepburn compte parmi les grandes légendes hollywoodiennes. Éclectique et prolifique, elle excelle dans le registre de jeunes femmes loufoques ou de vieilles filles aigries (notamment dans les comédies de George Cukor et Howard Hawks) avant d'endosser le costume de souveraines d'Écosse et d'Angleterre (pour John Ford et Anthony Harvey). Elle est classée par l'American Film Institute comme la plus grande actrice de légende du cinéma américain en 1999. Elle n'a pas de lien de parenté avec Audrey Hepburn, troisième de ce même classement. Elles n'ont d'ailleurs pas la même nationalité : Audrey est anglaise alors que Katharine est américaine.

Issue d'une famille cultivée (son père était chirurgien et sa mère militante féministe) du New Jersey, « Kate » est « belle mais bêcheuse ». Seconde de six enfants, elle est d’une nature indépendante et affirme un caractère bien déterminé. Très tôt, après des études à l’Oxford School et au Bryn Mawr College, elle s’intéresse aux cours d’art dramatique. À l’âge de 19 ans, elle abandonne ses études et se rend à Baltimore dans une compagnie théâtrale, où elle commence par de petits rôles dans La Tsarine et The Cradle Snatchers puis part à New York pour monter The Big Pond mais sans grand succès. À vingt ans, elle pose nue pour un peintre. Le poète Phelps Putman dit d'elle : « Elle était l'anarchie vivante du cœur. Elle était aussi impolie que la vie et la mort. »

« Garce » — selon ses propres termes —, elle épouse par commodité un richissime homme d'affaires pour se plonger sans souci dans sa seule passion, le théâtre ; elle est pourtant mauvaise et le sait. Après sa première représentation de The Lake à Broadway, la romancière et critique Dorothy Parker écrit : « Allez donc voir Miss Hepburn décliner toute la gamme des émotions de A à B ». À la suite de cet échec elle ne retrouve plus de rôle. Mais Kate décide de s'acharner. En 1930, elle assiste à la conférence de Lee Strasberg au cours de laquelle ce dernier énonce le dogme de l'Actors Studio : « Nous jouerons toutes sortes de pièces. Nous serons tous égaux. Vedette une semaine. Simple figurant la suivante ». Kate qui possède un égo énorme et cachetonne depuis presque dix ans ne peut accepter et claque la porte du théâtre. Elle obtient enfin ses premiers succès à Broadway dans Art and Mrs Bottle en 1931 et surtout dans The Warrior’s husband (1932) dans le rôle d’Antiope, reine des Amazones où elle impressionne favorablement les critiques.

Elle décide de tenter sa chance à Hollywood. À l'époque, les nababs des studios cherchent justement une Américaine capable de concurrencer la Suédoise Greta Garbo, avec une morphologie androgyne, un visage diaphane et une personnalité raffinée. Lorsque Kate se présente, sa sveltesse et son indépendance impressionnent le puissant David Selznick (un des directeurs de la RKO à ce moment) qui lui propose son premier film, Héritage aux côtés de John Barrymore, réalisé par George Cukor, qui deviendra son réalisateur préféré. Ils tourneront sept films ensemble et plusieurs téléfilms.

Forte de ses derniers succès au théâtre, l’actrice parvient à négocier un avantageux contrat. Arrivée en 1932 à Hollywood, l’actrice détonne dans cet univers très glamour par son physique, sa façon d’être et de s’habiller (pantalon et chemise désassortis). Son tempérament est à l’opposé des stéréotypes féminins de l’époque, incarnés par Greta Garbo, la femme mythifiée, Marlene Dietrich la femme fatale inaccessible, à l’érotisme trouble, ou Mae West et Jean Harlow, stars à la sexualité agressive. Elle va incarner les nouvelles héroïnes de l’écran : indépendantes et actives, affirmant leur personnalité propre, non pas dans la sécurité du mariage, mais dans la volonté d’agir de façon égale, sinon supérieure, à celle d’un homme.

Elle campe une ambitieuse aviatrice prête à tout dans Le Phalène, son second film ; une jeune fille indépendante qui renonce à l’amour pour devenir écrivain dans Les Quatre filles du docteur March ; un garçon manqué travesti en homme dans Sylvia Scarlett ; la reine Marie Stuart pour John Ford ; une militante féministe qui assume sans honte sa condition de fille-mère dans La Rebelle… Très vite, tous les producteurs, réalisateurs et vedettes, vont tomber sous son charme et seront les victimes de son caractère. Dès ses premiers films, elle donne son avis sur tout et fait preuve d’un sens artistique inné. Vedette attitrée de la RKO, elle obtient dès son troisième film l’Oscar de la meilleure actrice dans Morning Glory. Un an plus tard, en 1934, l’actrice divorcera de Ludlow Oggen Smith.

George Cukor, tout de suite fasciné par l’actrice, renouvelle leur collaboration pour Les Quatre filles du docteur March. Dès leur première rencontre naît une amitié qui durera tout au long de leur vie. Elle reçoit la toute première Coupe Volpi pour la meilleure interprétation féminine du Festival de Venise pour ce film. En 1936, elle retrouve pour la troisième fois le réalisateur George Cukor pour un film Sylvia Scarlett, où elle interprète le rôle d’un garçon manqué se transformant en jeune femme épanouie grâce à l’amour. Lourd échec critique et commercial, ce film inclassable est pourtant l'un des plus beaux films du Cukor des années trente. Mais bien que le public commence à l'aduler, beaucoup de ses films sont des fiascos et on la surnomme « poison du box-office ». Peu à peu les portes des studios se ferment.

Elle renoue pourtant avec le succès pour son dernier film à la RKO dans l’extraordinaire comédie L'Impossible Monsieur Bébé d’Howard Hawks. Cette comédie loufoque, chef-d’œuvre de la screwball comedy, restera un modèle du genre, notamment grâce au duo hors pair formé par Katharine Hepburn et Cary Grant. Après avoir racheté son contrat à la RKO, deux mille dollars, elle retrouve Cukor, son réalisateur fétiche, et Cary Grant, son partenaire de prédilection, pour une brillante comédie de la Columbia, Vacances. Ce fut un nouveau succès au box-office. Sollicitée pour le rôle tant envié de Scarlett O'Hara et pourtant bien décidée à l’obtenir, elle refuse de tourner un bout d’essai et le rôle lui échappe.

Entre-temps, Katharine se laisse séduire par le très fantasque milliardaire Howard Hughes ; amants et associés, ils vont acheter les droits de la pièce Philadelphia story et l'infatigable Kate triomphe deux années durant sur les planches. Les studios s'intéressent de nouveau à elle, mais elle fait monter les enchères et négocie durement avec Samuel Goldwyn, les frères Warner et même Louis B. Mayer. Pour son retour, elle exige George Cukor comme réalisateur, James Stewart et Cary Grant comme partenaires (cf. Indiscrétions).

Louis B. Mayer, patron de la MGM, cède aux demandes de la star. En effet, la MGM a un grand besoin de renouveler ses stars féminines, en ce début de décennie. Greta Garbo et Norma Shearer sont sur le point de se retirer des écrans, Myrna Loy interrompt sa carrière pour travailler à la Croix-Rouge, Joan Crawford est sur la sellette et va quitter la MGM en 1943 pour la Warner. La firme du lion a absolument besoin d’une forte personnalité et Katharine Hepburn arrive à point nommé. Le film Indiscrétions est un énorme succès, elle obtient le prix de la critique new-yorkaise et une nomination aux Oscars, James Stewart recevra la précieuse statuette. En 1940, elle fait son entrée parmi les stars de la firme Metro-Goldwyn-Mayer avec un contrat de longue durée assorti de privilèges dont celui de pouvoir choisir ses partenaires.

Après le succès d’Indiscrétions et une pause de quelques mois, elle reçoit un scénario de Ring Lardner Jr., Michael Kanin et Garson Kanin, La Femme de l'année. C’est la rencontre avec Spencer Tracy, celui qui allait devenir l’homme de sa vie. Ils formeront un des couples les plus célèbres de l’histoire du cinéma et tourneront neuf films ensemble. Les films MGM suivants seront plus conventionnels malgré de grands réalisateurs comme Vincente Minnelli, Elia Kazan, Clarence Brown, Frank Capra, mais deux brillantes comédies de George Cukor, Madame porte la culotte et Mademoiselle gagne tout, écrites par Ruth Gordon et Garson Kanin (nommés les deux fois aux Oscars), donnent une nouvelle preuve de la merveilleuse complicité qu'exprimait le couple Tracy-Hepburn.

C’est aussi l’époque du Maccarthisme. Katharine, qui ne cachait pas ses opinions sur ce comité chargé d'enquêter sur les activités anti-américaines des artistes d’Hollywood, déclara notamment : « Depuis le commencement des temps, l’artiste a toujours exprimé les aspirations et les rêves du peuple. En imposant silence à un artiste, vous bâillonnez la voix la plus puissante qui soit. » Son contrat avec la MGM se termine en 1952 et Katharine retrouve son indépendance.

Après un retour à Broadway triomphal et une tournée pour une pièce de Shakespeare, Comme il vous plaira, John Huston lui propose de tourner un film avec Humphrey Bogart dans L'Odyssée de l'African Queen. Tourné en décors naturels à Biondo en République démocratique du Congo (alors Congo belge), le film fut éprouvant à cause des pénibles conditions climatiques, ce qui n’empêcha pas les deux acteurs de composer un duo haut en couleur qui fit la joie des spectateurs. Le film reçut quatre nominations aux Oscars pour John Huston, Katharine Hepburn, James Agee (scénario) et Humphrey Bogart qui obtint la précieuse statuette.

Elle retourne au théâtre dans une pièce de George Bernard Shaw, La Milliardaire puis au cinéma joue les vieilles filles dans Vacances à Venise (pour lequel elle aura sa sixième nomination aux Oscars) et Le Faiseur de pluie, retrouve Spencer Tracy pour une nouvelle comédie Une femme de tête et surtout interprète Mme Venable vieille milliardaire excentrique dans Soudain l'été dernier d’après un roman de Tennessee Williams. Le côté sulfureux du scénario et l’attitude du réalisateur, Joseph L. Mankiewicz, envers Montgomery Clift causa une atmosphère lourde durant le film. Malgré cela le film fut un triomphe, Elizabeth Taylor et Katharine Hepburn furent toutes deux citées aux Oscars.

Après les années cinquante, ses apparitions pour le grand écran se font plus rares mais sont toujours saluées aussi bien par la critique, le public que par les professionnels comme le prouvent les louanges qu'elle reçoit pour le film de Sydney Lumet en 1962 : Long voyage vers la nuit, écrit par Eugene O'Neill, qui lui vaut le Prix d'interprétation à Cannes. Elle continuera de plus, toujours avec bonheur, les incursions au théâtre notamment dans des pièces de Shakespeare et même dans la comédie musicale avec Coco, sur la vie de la couturière Coco Chanel. Elle recevra encore trois Oscars, à savoir deux consécutifs en 1968 et en 1969 et un en 1982. Ils ont distingué ses interprétations dans la comédie de mœurs Devine qui vient dîner ? de Stanley Kramer (son dernier film avec Spencer Tracy), Le Lion en hiver d'Anthony Harvey où elle joue Aliénor d'Aquitaine (elle obtint le prix ex æquo avec Barbra Streisand dans Funny Girl), puis enfin La Maison du lac de Mark Rydell, l'un de ses derniers rôles au cinéma, où elle et Henry Fonda campent un couple d'octogénaires qui voit débarquer dans sa maison de campagne sa fille, jouée par Jane Fonda, venue avec un nouveau compagnon et le fils de celui-ci. Bien que les quatre Oscars de sa carrière, glanés sur une cinquantaine d'années et sur douze nominations, aient fait d'elle la comédienne la plus récompensée à Hollywood, elle ne s'est jamais déplacée pour les accepter au cours des différentes cérémonies. Sa seule et unique apparition aux Oscars date de 1974 : elle y a remis le Prix Irving G. Thalberg au producteur Lawrence Weingarten.

Elle tourne encore quelques films notamment dans un truculent duo avec John Wayne Une bible et un fusil et deux téléfilms avec son pygmalion George Cukor. De comédies romantiques à des rôles de vieilles filles privées d'amour, elle a régné quatre décennies sur Hollywood avant de se retirer à New York. Katharine Hepburn est décédée le 29 juin 2003 à l'âge de 96 ans pendant son sommeil. Elle a imposé au cinéma son inimitable style fait de désinvolture, de malice, d'indépendance, d'avant-garde, de provocation, d'impertinence, et son verbe émaillé de traits d'esprit.

Au début des années 1940, Kate rencontre le grand amour de sa vie, Spencer Tracy. Lors de leur première rencontre, elle s'écria : « Oh, Monsieur Tracy, mais je suis vraiment trop grande pour vous ! » À quoi Tracy répliqua : « Ce n’est pas grave, ma chère, j’aurai vite fait de vous rendre votre vraie dimension. » Elle a dit également de lui qu'il était « bon comme une pomme de terre au four ». Une profonde intimité les unit tout de suite. Ils vécurent, clandestinement, vingt ans de passion adultère (Tracy n'ayant jamais voulu divorcer de sa femme) et elle tourna avec lui neuf films, dont La Femme de l'année, Madame porte la culotte et Devine qui vient dîner ?. Tracy meurt en 1967.

Filmographie

  • Indiscrétions (1940)
  • Le Cabaret des étoiles (1943)
  • 1932 : Héritage (A Bill of divorcement) de George Cukor
  • 1933 : Le Phalène (Christopher strong) de Dorothy Arzner
  • 1933 : Morning Glory de Lowell Sherman
  • 1933 : Les Quatre filles du docteur March (Little women) de George Cukor
  • 1934 : Mademoiselle Hicks (Spitfire) de John Cromwell
  • 1934 : The Little Minister de Richard Wallace
  • 1935 : Cœurs brisés (Break of Hearts) de Philip Moeller
  • 1935 : Sylvia Scarlett de George Cukor
  • 1935 : Désirs secrets (Alice Adams) de George Stevens
  • 1936 : Marie Stuart (Mary of Scotland) de John Ford
  • 1936 : La Rebelle (A woman rebels) de Mark Sandrich
  • 1937 : Pour un baiser (Quality street) de George Stevens
  • 1937 : Pension d'artistes (Stage Door) de Gregory LaCava
  • 1938 : L'Impossible Monsieur Bébé (Bringing up Baby) de Howard Hawks
  • 1938 : Vacances (Holiday) de George Cukor
  • 1940 : Indiscrétions de George Cukor
  • 1942 : La Femme de l'année (Woman of the year) de George Stevens
  • 1943 : La Flamme sacrée (Keeper of the flame) de George Stevens
  • 1943 : Le Cabaret des étoiles (Stage Door Canteen) de Frank Borzage (apparition)
  • 1944 : Les Fils du dragon (Dragon seed) de Jack Conway et Harold S. Bucquet
  • 1945 : Sans amour (Without love) de Harold S. Bucquet
  • 1946 : Lame de fond (Undercurrent) de Vincente Minnelli
  • 1947 : Le Maître de la prairie (Sea of grass) d'Elia Kazan
  • 1947 : Passion immortelle (Song of love) de Clarence Brown
  • 1948 : L'Enjeu (State of the Union) de Frank Capra
  • 1949 : Madame porte la culotte (Adam's Rib) de George Cukor
  • 1951 : L'Odyssée de l'African Queen (The African Queen) de John Huston
  • 1952 : Mademoiselle gagne tout (Pat and Mike) de George Cukor a
  • 1955 : Vacances à Venise (Summertime) de David Lean
  • 1956 : Le Faiseur de pluie (The Rainmaker) de Joseph Anthony
  • 1956 : Whisky, vodka et jupon de fer (The Iron petticoat) de Ralph Thomas
  • 1957 : Une Femme de tête (The Desk set) de Walter Lang
  • 1959 : Soudain l’été dernier (Suddenly last summer) de Joseph L. Mankiewicz
  • 1962 : Long voyage vers la nuit (Long days journey into night) de Sidney Lumet
  • 1967 : Devine qui vient dîner ? (Guess who's coming to dinner) de Stanley Kramer
  • 1968 : Le Lion en hiver (The Lion in winter) de Anthony Harvey
  • 1969 : La Folle de Chaillot (The Madwoman of Chaillot) de Bryan Forbes
  • 1971 : Les Troyennes (The Trojan women) de Michael Cacoyannis
  • 1973 : A Delicate Balance de Tony Richardson
  • 1973 : La Ménagerie de verre (The Glass Menagerie) (TV) de Anthony Harvey
  • 1975 : Une bible et un fusil (Rooster Cogburn) de Stuart Millar
  • 1975 : Il neige au printemps (Love Among the Ruins) (TV) de George Cukor
  • 1978 : Olly, Olly, Oxen Free de Richard A. Colla
  • 1979 : Le Blé est vert (The Corn Is Green) (TV) de George Cukor
  • 1981 : La Maison du lac (On Golden Pond) de Mark Rydell
  • 1984 : Grace Quigley de Anthony Harvey
  • 1986 : Mrs. Delafield Wants to Marry (TV) de George Schaefer
  • 1988 : Laura Lansing Slept Here (TV) de George Schaefer
  • 1992 : Un homme au grenier (The Man Upstairs) (TV) de George Schaefer
  • 1994 : Un amour oublié (This Can't Be Love) (TV) de Anthony Harvey
  • 1994 : Rendez-vous avec le destin (Love affair) de Glenn Gordon Caron
  • 1994 : One Christmas (TV) de Tony Bill

Théâtre

  • The Czarina (1928)
  • The Cradle Snatchers (1928)
  • The Big Pond (1928)
  • Night Hostess (1928)
  • These Days (1928)
  • Holiday (1928)
  • A Month in the Country (1930)
  • A Romantic Young Lady (1930)
  • The Admirable Crichton (1930)
  • Art and Mrs. Bottle (1930)
  • Just Married (1931)
  • It's a Wise Child (1931)
  • Alias the Deacon (1931)
  • The Cat and the Canary (1931)
  • Let Us Be Gay (1931)
  • The Man Who Came Back (1931)
  • The Warrior's Husband (1932)
  • The Bride the Sun Shines On (1932)
  • The Lake (en) (1934)
  • Jane Eyre (1936-1937)
  • The Philadelphia Story (1938)
  • Without Love (1942)
  • As You Like It (1950)
  • The Millionairess (1952)
  • The Merchant of Venice, Measure for Measure et The Taming of the Shrew (1955)
  • The Merchant of Venice et Much Ado About Nothing (1957)
  • Antony and Cleopatra et Twelfth Night (1960)
  • Coco (1969)
  • A Matter of Gravity (1976)
  • The West Side Waltz (1981)

Tracy Spencer

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Spencer Tracy, né le 5 avril 1900 à Milwaukee (Wisconsin), et mort le 10 juin 1967 à Beverly Hills en Californie, était un acteur américain.

Tracy Spencer

Spencer Tracy a obtenu deux Oscars du meilleur acteur deux années consécutives en 1937 pour Capitaines courageux et en 1938 pour Des hommes sont nés, ainsi que le BAFTA en 1967 pour Devine qui vient dîner ?. Marié, et ne pouvant divorcer de son épouse parce qu'il était un catholique fervent, il vécut maritalement jusqu'à sa mort avec Katharine Hepburn, pendant plus de 25 ans. Celle-ci n'assista d'ailleurs pas à ses funérailles, par respect pour sa famille. Il est né Spencer Bonaventure Tracy à Milwaukee dans le Wisconsin, second fils de John Edward Tracy, vendeur de camions d'origine irlando-américaine catholique, et Caroline Brown, une protestante qui se convertit à la Science chrétienne.

Il fit ses débuts sur scène en 1921 dans une pièce de théâtre intitulée The Truth, et se décida à se lancer dans une carrière d'acteur. Lors d'une tournée de sa troupe, il fut auditionné pour un rôle et accepté à l'American Academy of Dramatic Arts à New York. Il excella sur les planches. En 1923, il épousa l'actrice Louise Treadwell avec qui il eut deux enfants. Spencer Tracy fait son apparition en 1930 dans des courts-métrages : Taxi Talks et The Hard Guy. Il joua ensuite dans The Last Mile. John Ford remarqua sa prestation et lui proposa un rôle dans son film Up the River. Le film est un succès. Ce sera le début d'une carrière fulgurante où il tiendra de grands rôles aux côtés de Clark Gable, Jean Harlow, William Powell, gagnant un oscar grâce à sa prestation dans Capitaines courageux ou tenant de rôles difficiles comme dans Furie de Fritz Lang et ambigus Un homme est passé de John Sturges. Excellant dans la comédie Une fine mouche ou Madame porte la culotte, le film de guerre Trente secondes sur Tokyo, La Septième Croix. Spencer Tracy a tenu tous les rôles durant sa carrière à Hollywood jusqu'à sa mort.

Très malade lors du tournage de son dernier film (il souffrait d'emphysème et de diabète), il était en train de se préparer une tasse de café au matin du 10 juin 1967, lorsqu'il fut terrassé par une crise cardiaque, dix-sept jours après la fin du tournage de Devine qui vient dîner ?, avec Katharine Hepburn. C'est cette dernière qui le découvrira mort dans sa cuisine. Le film sortit en décembre, six mois après sa mort. Quarante ans plus tard, Tracy est toujours reconnu comme l'un des plus talentueux acteurs de son époque. Il pouvait jouer le héros, le méchant, ou la comédie et faire croire au public qu'il était vraiment le personnage. Ainsi, dans La Septième Croix, il était convaincant dans le rôle d'un prisonnier échappé d'un camp de concentration en dépit de sa corpulence. L'acteur Van Johnson surnomma Tracy mon mentor. Tracy était l'un des premiers acteurs réalistes d'Hollywood ; ses interprétations ont passé l'épreuve du temps. Des acteurs ont ainsi remarqué que son travail dans les années 1930 s'apparentait à celui d'un acteur moderne face au jeu daté et plus stylisé de ses partenaires.

En 1988, l'université de Californie et Susie Tracy créèrent l'UCLA Spencer Tracy Award. Cette récompense honore les acteurs en reconnaissance de leur apport au cinéma. Parmi les lauréats se trouvent William Hurt, James Stewart, Michael Douglas, Denzel Washington, Tom Hanks, Sir Anthony Hopkins, Jodie Foster, Harrison Ford, Anjelica Huston, Nicolas Cage, Kirk Douglas, Jack Lemmon et Morgan Freeman. Spencer Tracy était marié avec Louise Treadwell depuis 1923 et a eu deux enfants. En catholique fervent, il ne divorça pas malgré ses nombreuses infidélités. Il fut opposé à Katharine Hepburn en 1942 dans La Femme de l'année. Ce fut le début d'une longue liaison, qui sera marquée par des pauses, et qui dura jusqu'à la mort de l'acteur en 1967. Outre Katharine Hepburn, Spencer Tracy eut plusieurs aventures avec un grand nombre de ses partenaires féminines, en marge des tournages. Parmi ses conquêtes amoureuses :

Loretta Young, en 1933, pendant le tournage de Ceux de la zone. Une romance publique. Ils furent très épris l'un de l'autre et il fut question d'un mariage qui ne se concrétisa pas en raison de leurs croyances religieuses respectives alors que leur liaison était sérieuse. Lui était catholique, elle protestante. Tracy ne voulant pas divorcer de sa femme Louise, leur relation prit fin, marquant l'acteur profondément. Myrna Loy, en 1935 durant le tournage de On a volé les perles Koronoff et en 1936 pendant Une fine mouche. Après Loretta Young, Spencer Tracy eut une liaison sérieuse avec Myrna Loy. Il raconta à Garson Kanin : "J'aurais préféré faire une série de films avec elle plutôt qu'avec l'autre (Katharine Hepburn). Myrna avait certains penchants et je pense l'en avoir guérie. Dieu merci, j'ai couché avec Myrna Loy avant que l'autre ne vienne tout gâcher.". L'actrice qui avait repoussé les avances des plus grandes stars comme Clark Gable et Lionel Barrymore, avait étrangement fait une exception pour lui. Spencer Tracy ne put concrétiser sa romance avec Myrna Loy.

Joan Crawford en 1937, pendant le tournage de Mannequin. Une liaison torride qui laissa à l'actrice une mauvaise impression6 à cause des problèmes d'alcoolisme de Tracy. Les deux amants se rencontraient secrètement et furent clandestinement en couple mais l'addiction de Tracy à l'alcool gêna beaucoup Joan Crawford. Ingrid Bergman en 1942, pendant Docteur Jekyll et M. Hyde. L'actrice suédoise qui avait une liaison avec Victor Fleming fut très liée avec Spencer Tracy. Comme avec ses précédentes partenaires, il ne put concrétiser son amour avec elle. Bergman comme Tracy étant instable sentimentalement. Gene Tierney en 1952, pendant le tournage de Capitaine sans loi. Le clap final coïncida avec la fin de leur liaison qui ne fut qu'éphémère.

Filmographie

  • 1930 : The Strong Arm (Court métrage)
  • 1930 : Taxi Talks (Court métrage) : Un chauffeur de taxi
  • 1930 : The Hard Guy (Court métrage) : Guy
  • 1930 : Up the River de John Ford : Saint Louis
  • 1931 : Fortunes rapides (Quick Millions) de Rowland Brown : Daniel J. Raymond
  • 1931 : Six Cylinder Love de Thornton Freeland : William Donroy
  • 1931 : Goldie de Benjamin Stoloff : Bill
  • 1932 : She Wanted a Millionaire de John G. Blystone : William Kelley
  • 1932 : L'As, malgré lui (Sky Devils) d'A. Edward Sutherland : Wilkie
  • 1932 : Corruption (Disorderly Conduct) de John W. Considine Jr. : Dick Fay
  • 1932 : Jeune Amérique (Young América) de Frank Borzage : Jack Doray
  • 1932 : Society Girl de Sidney Lanfield : Briscoe
  • 1932 : The Painted Woman de John G. Blystone : Tom Brian
  • 1932 : Me and My Gal de Raoul Walsh : Danny Dolan
  • 1932 : Vingt mille ans sous les verrous (20 000 Years in Sing Sing) de Michael Curtiz : Tommy Connors
  • 1933 : The Face in the Sky de Harry Lachman : Joe Buck
  • 1933 : Shanghai Madness de John G. Blystone : Pat Jackson
  • 1933 : Thomas Gardner (The Power and the Glory) de William K. Howard : Tom Garner
  • 1933 : Ceux de la zone (Man's Castle) de Frank Borzage : Bill
  • 1933 : Le Ravisseur (The Mad Game) d'Irving Cummings : Edward Carson
  • 1934 : The Show-Off de Charles Reisner : J. Aubrey Piper
  • 1934 : Looking for Trouble de William A. Wellman : Joe Graham
  • 1934 : Tu seras star à Hollywood (Bottoms Up) de David Butler : 'Smoothie' King
  • 1934 : Now I'll Tell d'Edwin J. Burke : Murray Golden
  • 1934 : Marie Galante d'Henry King : Dr. Crawbett
  • 1935 : It's a Small World d'Irving Cummings : Bill Shevlin
  • 1935 : The Murder Man de Tim Whelan : Steve Grey
  • 1935 : L'Enfer (Dantes inferno) d'Harry Lachmann : Jim Carte
  • 1935 : On a volé les perles Koronoff (Whipsaw) de Sam Wood : Ross McBride
  • 1936 : La Loi du plus fort (Riffraff) de J. Walter Ruben : Dutch
  • 1936 : Furie (Fury) de Fritz Lang : Joe Wilson
  • 1936 : San Francisco de W.S. Van Dyke : Père Mullin
  • 1936 : Une fine mouche (Libeled Lady) de Jack Conway : Haggerty
  • 1937 : On lui donna un fusil (They Gave Him a Gun) de W.S. Van Dyke : Fred P. Willis
  • 1937 : Capitaines courageux (Captains Courageous) de Victor Fleming : Manuel
  • 1937 : La Grande Ville (Big City) de Frank Borzage : Joe Benton
  • 1937 : Mannequin de Frank Borzage : John L. Hennessey
  • 1938 : Pilote d'essai (Test Pilot) de Victor Fleming : Gunner
  • 1938 : Hollywood Goes to Town (Court métrage)
  • 1938 : Des hommes sont nés (Boys Town) de Norman Taurog : Père Flanagan
  • 1939 : For Auld Lang Syne: No. 4'' (Court métrage)
  • 1939 : Hollywood Hobbies (Court métrage)
  • 1939 : Stanley et Livingstone (Stanley and Livingstone) d'Henry King : Henry M. Stanley
  • 1940 : Cette femme est mienne (I Take This Woman) de W.S. Van Dyke : Karl Decker
  • 1940 : La Jeunesse d'Edison (Young Tom Edison) de Norman Taurog : Un homme admirant le portrait de Thomas Edison
  • 1940 : Northward, Ho! (Court métrage)
  • 1940 : Le Grand Passage (Northwest Passage) de King Vidor : Major Robert Rogers
  • 1940 : La Vie de Thomas Edison (Edison, the Man) de Clarence Brown : Thomas A. Edison
  • 1940 : La Fièvre du pétrole (Boom Town) de Jack Conway : Square John Sand
  • 1941 : Des hommes vivront (Men of Boys Town) de Norman Taurog : Père Flanagan
  • 1941 : Docteur Jekyll et M. Hyde (Dr. Jekyll and Mr. Hyde) de Victor Fleming : Dr. Henry Jekyll/Mr. Hyde
  • 1942 : La Femme de l'année (Woman of the Year) de George Stevens : Sam Craig
  • 1942 : Ring of Steel (Court métrage) : Le narrateur
  • 1942 : Tortilla Flat de Victor Fleming : Pilon
  • 1942 : La Flamme sacrée (Keeper of the flamme) de George Stevens : Steven O'Malley
  • 1943 : His New World (Documentaire) : Le narrateur
  • 1943 : Un nommé Joe (A Guy Named Joe) de Victor Fleming : Pete Sandidge
  • 1944 : La Septième croix (The Seventh Cross) de Fred Zinnemann : George Heisler
  • 1944 : Trente secondes sur Tokyo (Thirty Seconds Over Tokyo) de Mervyn LeRoy : Lieutenant Colonel Jales H. Doolittle
  • 1945 : Sans amour (Without love) de Harold S. Bucquet : Pat Jamieson
  • 1947 : Le Maître de la prairie (The Sea of Grass) d'Elia Kazan : Col. James B. Brewton
  • 1947 : Éternel Tourment (Cass Timberlane) de George Sidney : Cass Timberlane
  • 1948 : L'Enjeu (State of the Union) de Frank Capra : Grant Matthews
  • 1949 : Edward mon fils (Edward, My Son) de George Cukor : Arnold Boult
  • 1949 : Madame porte la culotte (Adam's Rib) de George Cukor : Adam Bonner
  • 1949 : Malaya de Richard Thorpe : Carnahan
  • 1950 : Le Père de la mariée (Father of the Bride) de Vincente Minnelli : Stanley Banks
  • 1951 : For Defense for Freedom for Humanity (Court métrage)
  • 1951 : Allons donc, papa ! (Father's Little Dividend) de Vincente Minnelli : Stanley Banks
  • 1951 : Le peuple accuse O'Hara (The People Against O'Hara) de John Sturges : James P. Curtayne
  • 1952 : Mademoiselle gagne tout (Pat and Mike) de George Cukor : Mike Conovan
  • 1952 : Capitaine sans loi (Plymouth Adventure) de Clarence Brown : Capt. Christopher Jones
  • 1953 : The Actress de George Cukor : Clinton Jones
  • 1954 : La Lance brisée (Broken Lance) d'Edward Dmytryk : Matt Devereaux
  • 1955 : Un homme est passé (Bad Day at Black Rock) de John Sturges : John J. Macreedy
  • 1956 : La Neige en deuil (The Mountain) d'Edward Dmytryk : Zachary Teller
  • 1957 : Une Femme de tête (Desk set) de Walter Lang : Richard Sumner
  • 1958 : Le Vieil Homme et la Mer (The Old Man and the Sea) de John Sturges : Le vieil homme/Le narrateur
  • 1958 : La Dernière Fanfare (The Last Hurrah) de John Ford : Maire Frank Skeffington
  • 1960 : Procès de singe (Inherit the Wind) de Stanley Kramer : Henry Drummond
  • 1961 : Le Diable à 4 heures (The Devil at Four O'Clock) de Mervyn LeRoy : Père Matthew Doonan
  • 1961 : Jugement à Nuremberg (Judgment at Nuremberg) de Stanley Kramer : Juge Dan Haywood
  • 1962 : La Conquête de l'Ouest (How the West Was Won ) de George Marshall, Henry Hathaway, John Ford : Le narrateur
  • 1963 : Un monde fou, fou, fou, fou (It's a Mad Mad Mad Mad World) de Stanley Kramer : Capt. T.G. Culpepper
  • 1967 : Devine qui vient dîner ? (Guess Who's Coming to Dinner) de Stanley Kramer : Matt Drayton

Bergman Ingrid

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Ingrid Bergman, née le 29 août 1915 à Stockholm, Suède et morte le 29 août 1982 à Londres, Royaume-Uni, est une actrice suédoise. 

Bergman Ingrid

Ingrid Bergman a déjà tourné quelques films en Suède lorsque le producteur David O. Selznick lui propose en 1939 de reprendre le rôle principal du remake américain d'Intermezzo, ce qui la fait connaître dans son pays. Sa carrière internationale est lancée et sa popularité s'accroit de films en films : Casablanca, Pour qui Sonne le Glas, Hantise (qui lui vaut l’Oscar de la meilleure actrice) et Jeanne d'Arc en font la star mondiale la plus désirée et la mieux rémunérée. Ingrid Bergman connaît son apogée avec trois films d'Alfred Hitchcock : La Maison du docteur Edwardes, Les Enchaînés et Les Amants du Capricorne.

Elle fait scandale lorsqu'elle part rejoindre le metteur en scène Roberto Rossellini, laissant derrière elle son mari et sa fille, pour tourner Stromboli. Les attaques conjointes de groupements religieux, d'associations féministes et même de politiciens la font bannir du cinéma américain pendant 7 ans. En 1956, elle tourne à Paris avec Jean Renoir dans Elena et les Hommes, puis à Londres dans Anastasia, qui lui vaudra un deuxième Oscar. Ingrid Bergman est entrée dans l’histoire du cinéma comme l’une de ses plus grandes actrices. En 1999, l’American Film Institute, dans son classement AFI’s 100 Years… 100 Stars, l’a placée au quatrième rang du panthéon des plus grandes actrices du cinéma américain. Ingrid Bergman naît le 29 août 1915 à Stockholm. Sa mère, Friedel Adler Bergman1, une Allemande, meurt lorsque sa fille a tout juste trois ans. Son père, Justus Bergman, un suédois, l'élève seul jusqu'à son décès : elle a alors 12 ans. Elle est ensuite confiée à l'une de ses tantes, puis passe son adolescence chez un de ses oncles.

Ingrid Bergman entre à la Royal Dramatic Theater School de Stockholm pour un an, période pendant laquelle elle fait ses débuts au cinéma. Elle interprète une femme de ménage dans Munkbrogreven, sous la direction de Gustaf Molander - avec qui elle tournera à six autres reprises2 dont Intermezzo, en 1936 - , ce qui changera sa vie. C'est grâce à ce film, où elle interprète une jeune professeur de piano dont tombe amoureux le père de son élève, qu'elle est remarquée par le producteur de Autant en emporte le vent, David O. Selznick. Ce dernier produit le remake d'Intermezzo où Ingrid tient à nouveau le rôle principal. Le film est un succès et lui ouvre les portes d'Hollywood. Elle est décrite comme un « illustre cadeau de la Suède à Hollywood. » Selznick lui fait alors signer un contrat d'une durée de sept ans, bien qu'ils ne fissent que deux films ensemble au cours de cette période.

Dès lors, Ingrid Bergman tourne avec les plus grands acteurs hollywoodiens sous la direction de réalisateurs fameux. Si elle tourne relativement peu de films, elle reste fidèle à quelques réalisateurs, comme Alfred Hitchcock. Elle tient la vedette dans quelques longs métrages comme La Famille Stoddard de Gregory Ratoff, La Proie du mort de W.S. Van Dyke ou encore Docteur Jekyll et M. Hyde de Victor Fleming. Ces différents rôles lui permettent d'améliorer son jeu d'actrice. En 1942, elle séduit Humphrey Bogart dans Casablanca. Il s'agit de son rôle le plus célèbre qui fait d'elle une star mondialement connue.

Deux ans plus tard, Ingrid Bergman obtient sa première présélection pour l'Oscar de la meilleure actrice pour Pour qui Sonne le Glas (For Whom the Bell Tolls) de Sam Wood, où elle côtoie Gary Cooper. La statuette est finalement obtenue par Jennifer Jones. Ingrid Bergman gagne néanmoins la récompense l'année suivante pour son rôle d'épouse psychologiquement fragile, victime d'un leurre machiavélique dans Hantise (Gaslight) de George Cukor. Elle reçoit sa troisième nomination consécutive pour l'Oscar de la meilleure actrice avec le film Les Cloches de Sainte-Marie (The Bells of St. Mary's) en 1945. En 1946, elle donne l'une de ses interprétations les plus marquantes, aux côtés de Cary Grant, dans le film d'espionnage Les Enchaînés (Notorious) d'Alfred Hitchcock. Jeanne d'Arc (Joan of Arc) de Victor Fleming lui vaut une nouvelle nomination en 1948.

En 1949, Ingrid Bergman rencontre le réalisateur Roberto Rossellini dont elle admirait les films. Elle en tombe amoureuse et joue dans son film Stromboli (1950). Elle abandonne alors son mari, Petter Lindström, et leur fille, Pia, et vit maritalement avec Rossellini qu'elle épousera plus tard. Ils auront trois enfants. Les ligues de vertu américaines s'émeuvent que Bergman s'en aille vivre avec Rosellini alors qu'elle n'est pas encore divorcée et contribuent à scandaliser le public américain ainsi que Hollywood. Certains la surnomment alors « l'apôtre de l'avilissement de Hollywood ». Ingrid Bergman tourne quatre autres films sous la direction de Rossellini, ouvrant la période dite des « Bergman-films » et marquant une étape décisive dans leurs carrières respectives : Europe 51, Voyage en Italie, La Peur, Jeanne au bûcher. Avec le rôle principal dans Anastasia d'Anatole Litvak (1956) (qui en fait l'héritière inconnue de la couronne des Romanov, massacrés après la révolution russe), Bergman fait son grand retour à Hollywood et remporte l'Oscar de la meilleure actrice pour la seconde fois de sa carrière.

Cette récompense a donc valeur de pardon accordé par le « métier » à la star pour ses escapades italiennes. La comédienne, revenue au zénith, alterne plusieurs rôles dans des films américains et européens. Elle obtient le troisième et dernier Oscar de sa carrière, le seul en tant qu’actrice dans un second rôle, pour sa participation au Crime de l'Orient-Express (Murder on the Orient Express) en 1975. Deux ans plus tard, elle interprète le personnage de Charlotte, pianiste virtuose mais mère indigne, dans Sonate d'automne (Autumn Sonata) d'Ingmar Bergman, pour lequel elle reçoit sa septième nomination aux Oscars. Ce dernier rôle pour le grand écran est considéré comme l'une de ses prestations les plus abouties.

En 1982, le jour de son soixante-septième anniversaire, Ingrid Bergman meurt à Londres des suites d'un cancer du sein. Son corps sera incinéré en Suède. Une partie de ses cendres sont dispersées dans la mer, l'autre partie étant inhumée au Norra begravningsplatsen (Cimetière du Nord) de Stockholm. Ingrid Bergman est honorée d'un Emmy Award à titre posthume en tant que meilleure actrice, pour le feuilleton télévisé Une femme nommée Golda (A Woman Called Golda), retraçant la vie du Premier ministre israélien Golda Meir. C'est en 1948, après avoir vu Rome, ville ouverte, qu'Ingrid Bergman écrivit à Roberto Rossellini pour lui proposer de travailler avec elle : « Cher M. Rossellini, J'ai vu vos films Rome, ville ouverte et Païsa, et les ai beaucoup appréciés. Si vous avez besoin d'une actrice suédoise qui parle très bien anglais, qui n'a pas oublié son allemand, qui n'est pas très compréhensible en français, et qui en italien ne sait dire que « ti amo », alors je suis prête à venir faire un film avec vous. » — Ingrid Bergman.

Elle accepta le rôle du film qu'il avait alors en préparation,Stromboli. Ils se marièrent le 24 mai 1950 et eurent trois enfants : les jumelles Isabella Rossellini (qui deviendra actrice) et Isotta (qui sera professeur d'université) ; et un fils, Roberto Ingmar Rossellini. Cette relation suscita un scandale : Bergman, enceinte au moment de son mariage, fut présentée comme « l'apôtre de la dégradation d'Hollywood »[réf. nécessaire] et contrainte à quitter les États-Unis d'Amérique. Au cours des années suivantes, elle apparut dans quatre autres films de Rossellini, dont Voyage en Italie (1954), film très important, considéré par plusieurs critiques des Cahiers du cinéma comme étant le premier « film moderne ». Rossellini et Bergman divorceront le 7 novembre 1957.

Filmographie

  • 1932 Landskamp – de Gunnar Skoglund avec Arne Borg Seulement apparition
  • 1934 Le conte du Pont au Moine ( munkbrogreven ) de Edvin Adolphson avec Valdemar Dahlquest
  • 1935 Lames de l’océan ( bränningar ) de Ivar Johansson avec Tore Svennberg
  • Les Swedenhielms ( Swendenhielms ) de Gustaf Molander avec Gösta Ekman
  • La nuit des Walpurgis ( Valborgsmässoafton ) de Gustaf Edgren avec Lars Hanson
  • 1936 Du côté du soleil ( på solsidan ) de Gustaf Molander avec Lars Hanson
  • Interlude ( Intermezzo ) de Gustaf Molander avec Gösta Ekman
  • 1937 Dollar – de Gustaf Molander avec George Rydeberg
  • 1938 Un visage de femme ( en kvinnas anskite ) de Gustaf Molander avec Anders Henrikson
  • Quatre filles courageuses / Les quatre camarades ( die vier gesellen ) de Carl Froelich avec Sabine Peters
  • 1939 Une seule nuit ( en enda natt ) de Gustaf Molander avec Edvin Adolphson
  • La rançon du bonheur / Envol vers le bonheur ( Intermezzo / Intermezzo : A love story / escape to hapiness ) de Gregory Ratoff avec Leslie Howard
  • 1940 Une nuit de juin ( juninatten ) de Per Lindberg avec Marianne Löfgren
  • La famille Stoddart / Adam avait quatre fils ( Adam had four sons ) de Gregory Ratoff avec Warner Baxter
  • 1941 La proie du mort ( rage in heaven ) de W.S. Van Dyke avec Robert Montgomery
  • Docteur Jekyll et M. Hyde ( Dr. Jekyll and Mr. Hyde ) de Victor Fleming avec Spencer Tracy
  • 1942 Casablanca – de Michael Curtiz avec Humphrey Bogart
  • 1943 Pour qui sonne le glas ( for whom the bell tolls ) de Sam Wood avec Gary Cooper
  • DO Suédois en Amérique ( Swedes in America / Ingrid Bergman answers ) de Sam Wood Seulement apparition
  • 1944 Hantise ( gaslight / murder in Thornston Square ) de George Cukor avec Charles Boyer Oscar de la meilleure actrice, USA, Golden Globe de la meilleure actrice de cinéma, USA
  • 1945 L’intrigante de Saratoga ( Saratoga trunk ) de Sam Wood avec Gary Cooper
  • La maison du docteur Edwardes / Je te sauverai ( spellbound / Alfred Hitchcock’s spellbound ) de Alfred Hitchcock avec Gregory Peck, Prix NYFCC de la meilleure actrice par le cercle des critiques de cinéma de New York, USA, Prix spécial par le cercle des critiques de cinéma de New York, USA, Prix de la Biennale Spécial du mérite artistique au festival du cinéma de Venise, Italie
  • Les cloches de Sainte-Marie ( the bells of St. Mary’s ) de Leo McCarey avec Bing Crosby, Golden Globe de la meilleure actrice de cinéma, USA, Prix NYFCC de la meilleure actrice par le cercle des critiques de cinéma de New York, USA
  • 1946 Les enchaînés ( notorious / Alfred Hitchcock’s notorious ) de Alfred Hitchcock avec Cary Grant
  • CM American creed – de Robert Stevenson avec Van Johnson Seulement apparition
  • 1947 Jeanne d’Arc ( Joan of Arc ) de Victor Fleming avec José Ferrer
  • Arc de triomphe ( Arch of Triumph ) de Lewis Milestone avec Charles Laughton
  • 1948 CM Screen snapshots: Photoplay Gold Medal Awards – de Ralph Staub avec Mary Livingstone Seulement apparition
  • 1949 Les amants du capricorne ( under capricorn ) de Alfred Hitchcock avec Michael Wilding
  • 1950 Stromboli ( Stromboli, terra di dio ) de Roberto Rossellini avec Mario Vitale, Ruban d’Argent de la meilleure actrice étrangère dans un film italien par le syndicat national italien des journalistes de cinéma, Italie
  • 1951 Europe 51 ( Europa’ 51 ) de Roberto Rossellini avec Alexander Knox, Ruban d’Argent par le syndicat national italien des journalistes de cinéma, Italie
  • 1953 Voyage en Italie / L’amour est le plus fort / La divorcée de Naples ( viaggio in Italia / the lonely woman / strangers / voyage in Italy / voyage to Italy ) de Roberto Rossellini avec George Sanders
  • 1954 Nous les femmes ( siamo donne ) de Luigi Zampa, Gianni Franciolini, Luchino Visconti & Roberto Rossellini avec Anna Magnani
  • 1955 Jeanne au bûcher ( Giovanna d’Arco al rogo ) de Roberto Rossellini avec Tullio Carminati
  • La peur / Angoisse ( la paura / non credo più all’amore / angst / incubo / fear ) de Roberto Rossellini avec Mathias Wieman
  • 1956 Eléna et les hommes – de Jean Renoir avec Jean Marais
  • Anastasia – de Anatole Litvak avec Yul Brynner, Oscar de la meilleure actrice, USA Golden Globe de la meilleure actrice de cinéma catégorie drame, USA, Prix NYFCC de la meilleure actrice par le cercle des critiques de cinéma de New York, USA, David de la meilleure actrice étrangère, Italie
  • 1958 Indiscret ( indiscreet ) de Stanley Donen avec Cary Grant
  • L’auberge du sixième bonheur ( the inn of the sixth happiness ) de Mark Robson avec Robert Donat, Prix NBR de la meilleure actrice par la National Board of Review, USA
  • 1960 Aimez-vous Brahms ? ( goodbye again ) de Anatole Litvak avec Yves Montand
  • 1964 La rancune ( the visit / der besuch / la vendetta della signora ) de Bernhard Wicki avec Claude Dauphin
  • La Rolls-Royce jaune ( the yellow Rolls-Royce ) de Anthony Asquith avec Omar Sharif
  • 1965 Stimulantia – de Gustaf Molander, Hans Abramson, Hans Alfredson, Arne Arnbom, Ingmar Bergman, Tage Danielsson, Jörn Donner, Lars Görling & Vilgot Sjöman avec Günnar Bjornstrand
  • 1969 Fleur de cactus ( cactus flower ) de Gene Sacks avec Walter Matthau
  • DO Hollywood : The Selznick years – de Marshall Flaun avec King Vidor Seulement apparition
  • 1970 Pluie de printemps ( walk in the spring rain ) de Guy Green avec Anthony Quinn
  • 1973 From the mixed-up files of Mrs. Basil E. Frankweiler / The hideaways – de Fielder Cook avec Richard Mulligan
  • 1974 Le crime de l’Orient Express ( murder on the Orient Express ) de Sidney Lumet avec Albert Finney, Oscar du meilleur second rôle féminin, USA, BAFTA du meilleur second rôle féminin aux British Academy Awards, Grande-Bretagne
  • 1976 Nina ( a matter of time ) de Vincente Minnelli avec Liza Minnelli
  • 1977 Sonate d’automne ( höstsonaten / autumn sonata / herbstsonate ) de Ingmar Bergman avec Liv Ullmann, Prix NYFCC de la meilleure actrice par le cercle des critiques de cinéma de New York, USA, Prix NSFC de la meilleure actrice par société nationale des critiques de cinéma, USA, Prix NBR de la meilleure actrice par la National Board of Review, USA, David de la meilleure actrice étrangère, Italie

Hefner Hugh

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Hugh Marston Hefner, né le 9 avril 1926 à Chicago, est le fondateur et propriétaire du magazine de charme Playboy.

Hefner Hugh

À la fin de sa scolarité, il intègre l’US Army pendant quelques mois de la Seconde Guerre mondiale. Après son service militaire, Hugh Hefner s’inscrit en psychologie à l'université de l'Illinois à Chicago. Le 25 juin 1949, il épouse Mildred Williams. De cette union naissent deux enfants : Christie et David. Après dix ans de mariage, le couple divorce en 1959.

Hugh Hefner a créé Playboy en décembre 1953. Le magazine s’adresse aux hommes attirés par un style de vie libertin, festif et sensuel, sans négliger la dimension politique, sociale, sportive et culturelle, puisque de nombreux articles et entretiens de fond seront publiés au cours des années 1950, 1960, 1970 et 1980. Tout au long de sa carrière, il défend les valeurs liées à la liberté de pensée, à la tolérance, défendant notamment les droits civiques aux États-Unis au cours des années 1960 et 1970, les droits de l'Homme, le droit à l'avortement, le droit au divorce, les droits des pères... Il a dû lutter aux États-Unis contre les puissants lobbies défendant les valeurs chrétiennes, la ségrégation (dans les années 1960), le racisme, la xénophobie, l'abstinence sexuelle avant le mariage, l'interdiction de l'avortement…

Le 4 juin 1963, Hugh Hefner est arrêté pour vente de littérature obscène. Hugh Hefner a de nombreuses aventures avec ses playmates jusqu’à en épouser une le 1er juillet 1989 : Kimberley Conrad. Ils ont deux enfants ensemble : Marston et Cooper. En 1999, ils se séparent.

Après plus de cinquante ans d'activité, Hugh Hefner apparaît comme le créateur d'une forme de magazine et d'informations, forme reprise, transformée dans de nombreux pays occidentaux au cours des années 70 et 80.

Playboy se déclinant en éditions internationales, Hefner était devenu très riche d'une somme de 758 millions de dollars en 2008, possédant un manoir où se donnaient d'immenses réceptions et même un Douglas DC-9 personnel peint tout en noir et spécialement aménagé, Big Bunny, qui lui sert à quelques escapades amoureuses, et qui sera mis aussi au service de quelques causes humanitaires. L'avion sera en fin de compte vendu à une compagnie sud-américaine qui le réaménagera de façon classique.

Aujourd’hui, Hugh Hefner serait cependant encore le leader de la presse de charme mondiale et est devenu en cinquante ans une légende de la presse mondiale. Son magazine, comme sa vie, fait partie des mythes populaires du monde occidental de la seconde moitié du xxe siècle.

Le 24 décembre 2010, Hugh Hefner se fiance avec la playmate Crystal Harris. Cette dernière le quitte cependant quelques jours avant la cérémonie de mariage prévue le 18 juin 2011. La diffusion du magazine de juillet 2011 étant largement lancée, il est trop tard pour en changer la couverture avec la photo de crystal, qui annonce : « America's princess - Introducing Mrs. Crystal Hefner » ... Le 31 décembre 2012, il épouse enfin Crystal Harris, 26 ans, de soixante ans sa cadette.


La biographie de Hugh Hefner

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Hugh Hefner - Métier : Homme d'affaires - Date de naissance : vendredi 9 avril 1926 (age: 88 ans) - Pays : Etats-Unis.

La biographie de Hugh Hefner

Person­nage sulfu­reux, Hugh Hefner est le fonda­teur et proprié­taire du maga­zine « Play­boy », leader mondial de la presse de charme. Né en 1926 à Chicago, cet Améri­cain défend les valeurs d’un style de vie liber­tin, au point d’en faire le fonde­ment de son média. Hugh Hefner lance « Play­boy » en décembre 1953. Dix ans plus tard, il est arrêté pour vente de litté­ra­ture obscène après avoir publié des photos de l’ac­trice Jayne Mans­field nue. Le jury se montre néan­moins inca­pable de rendre un verdict dans cette affaire. Durant toute sa carrière, Hugh Hefner se bat contre le racisme et la xéno­pho­bie. Il prône le respect des liber­tés et la tolé­rance. L’homme d’af­faires est célèbre pour avoir connu de nombreuses aven­tures avec ses play­mates, les femmes qui posent dans son maga­zine. Il épouse même une de ses mannequins en 1989, Kimber­ley Conrad. Avec elle, il a deux enfants, Mars­ton et Cooper. Le couple divorce en 1999. Person­nage mondia­le­ment célèbre, Hugh Hefner inter­prète égale­ment son propre rôle dans plusieurs films comme « Le Flic de Beverly Hills », mais aussi dans quelques épisodes de grandes séries télé­vi­sées comme « Sex and the City » ou « Le Prince de Bel Air ».

Luce Claire

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Claire Luce est une actrice et danseuse américaine, née à Syracuse (État de New York) le 15 octobre 1903, décédée à New York le 31 août 1989.

Luce Claire

Durant sa carrière, Claire Luce est surtout active au théâtre, se produisant à Broadway entre 1923 et 1952, dans des pièces, revues et comédies musicales. En particulier, elle interprète Mimi Glossop, aux côtés de Fred Astaire, dans la comédie musicale Gay Divorce (incluant le standard Night and Day ; musique et lyrics de Cole Porter), créée à Broadway en 1932, puis reprise à Londres (Angleterre) en 1933, avant d'être adaptée au cinéma en 1934 — sous le titre The Gay Divorcee (titre français : La Joyeuse Divorcée), avec Ginger Rogers dans le rôle de Mimi —.

Claire Luce joue également l'épouse de Curley, dans la pièce adaptée du roman de John Steinbeck Des souris et des hommes (Of Mice and Men), créée à Broadway en 1937. Deux ans après, en 1939, elle reprend ce rôle dans la création de la pièce à Londres. Alors installée en Angleterre (notamment durant toute la Seconde Guerre mondiale), elle y poursuit sa carrière théâtrale — entre autres, dans le répertoire de William Shakespeare — jusqu'en 1946, année où elle revient aux États-Unis. En 1930, l'actrice participe à un premier film (américain) réalisé par John Ford. Par la suite, elle ne tournera que cinq films, tous britanniques, de 1935 à 1938. Elle apparaît également à la télévision entre 1949 et 1955, dans six séries (dont quatre dédiées au théâtre).

Filmographie

  • 1930 : Up the River de John Ford (film américain)
  • 1935 : Vintage Wine d'Henry Edwards
  • 1935 : Lazybones de Michael Powell
  • 1937 : Let's Make a Night of it de Graham Cutts
  • 1937 : Mademoiselle docteur (Under Secrets Orders) d'Edmond T. Gréville
  • 1938 : Over she goes de Graham Cutts
  • À la télévision[modifier | modifier le code]
  • 1949 : The Philco Television Playhouse, deux épisodes
  • 1951-1952 : Cameo Theatre, quatre épisodes
  • 1952 : Tales of Tomorrow, un épisode
  • 1952 : Lights Out, un épisode
  • 1953-1954 : Broadway Television Theatre, quatre épisodes
  • 1955 : Matinee Theatre, un épisode

Théâtre

À Broadway

  • 1923-1924 : Little Jesse James, comédie musicale, musique d'Harry Harcher, lyrics et livret d'Harlan Thompson, avec Miriam Hopkins
  • 1924 : Dear Sir, comédie musicale, musique de Jerome Kern, lyrics d'Howard Dietz, livret d'Edgar Selwyn, avec Genevieve Tobin
  • 1924-1925 : Music Box Revue (1924), revue, musique et lyrics d'Irving Berlin
  • 1926 : No Foolin', revue produite par Florenz Ziegfeld, musique de Rudolf Friml, lyrics de Gene Buck, Irving Caesar et Ballard MacDonald, livret de J. P. McEvoy et James Barton, avec Paulette Goddard, Greta Nissen
  • 1927-1928 : Ziegfeld Follies of 1927, revue produite par Florenz Ziegfeld et A. L. Erlanger, musique et lyrics d'Irving Berlin, livret d'Eddie Cantor et Harold Atteridge, avec E. Cantor
  • 1929 : Scarlet Pages de Samuel Shipman et John B. Hymer, avec Jean Adair, Elsie Ferguson
  • 1931-1932 : Society Girl de John Larkin Jr., mise en scène de Stanley Logan, avec Brian Donlevy
  • 1932-1933 : Gay Divorce, comédie musicale, musique et lyrics de Cole Porter, livret de Dwight Taylor adapté par Kenneth S. Webb et Samuel Hoffenstein, orchestrations de Robert Russell Bennett et Hans Spialek, mise en scène d'Howard Lindsay, avec Fred Astaire, Eric Blore, Erik Rhodes
  • 1937-1938 : Des souris et des hommes (Of Mice and Men), adaptation du roman éponyme de John Steinbeck, mise en scène de George S. Kaufman, avec Broderick Crawford, Wallace Ford, Walter Baldwin
  • 1947 : Portrait in Black d'Ivan Goff et Ben Roberts
  • 1950 : With a Silk Thread de (et mise en scène par) Elsa Shelley
  • 1951 : La Mégère apprivoisée (The Taming of the Shrew) de William Shakespeare, avec George Roy Hill
  • 1952 : Beaucoup de bruit pour rien (Much ado about nothing) de William Shakespeare, avec Melville Cooper

En Angleterre

  • 1933-1934 : Gay Divorce, reprise de la comédie musicale sus-visée, avec Fred Astaire, Claud Allister, Olive Blakeney, Eric Blore, Erik Rhodes (Londres, puis Birmingham)
  • 1939 : Des souris et des hommes (Of Mice and Men), reprise de la pièce adaptée du roman de Steinbeck sus-visée, avec Niall MacGinnis, John Mills (Londres)
  • 1941 : La Mégère apprivoisée (The Taming of the Shrew) de William Shakespeare (Londres)
  • 1944 : Les Joyeuses Commères de Windsor (The Merry Wives of Windsor) et Beaucoup de bruit pour rien (Much ado about nothing) de William Shakespeare (Bristol)
  • 1945 : La Nuit des rois, ou Ce que vous voudrez (Twelfth Night, or What you will, avec Moira Lister), Les Joyeuses Commères de Windsor (The Merry Wives of Windsor) et Antoine et Cléopâtre (Antony and Cleopatra, avec Moira Lister) de William Shakespeare (Festival Shakespeare, Stratford-upon-Avon)
  • 1946 : La Foire aux vanités (Vanity Fair), adaptation par Constance Cox du roman éponyme de William Makepeace Thackeray (Londres)

Curtiz Michael

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Michael Curtiz, de son vrai nom Manó Kertész Kaminer, est un réalisateur américain d'origine hongroise, né le 24 décembre 1886 à Budapest (Hongrie), mort le 10 avril 1962 des suites d'un cancer à Hollywood (Californie).

Curtiz Michael

Né dans une famille juive de Budapest, Michael Curtiz part de chez lui à 17 ans pour se joindre à un cirque, puis suit une formation d'acteur à l'Académie royale des Arts de Hongrie (à l'époque de l'Empire austro-hongrois) dont il est diplômé en 1906. En 1912, il commence sa carrière d'acteur et de metteur en scène en Hongrie sous le nom de Kertész Mihály : il contribue à la fondation du cinéma hongrois, réalisant notamment l'un des premiers succès nationaux, Bánk Bán (1914). Il est contraint de quitter le pays à cause de la « terreur blanche » exercée sur les juifs, les intellectuels et les communistes par les armées de Miklós Horthy après la guerre civile de 1919. Sa carrière cinématographique se divise en quatre périodes : la période hongroise (1912-1918), la période autrichienne (1919-1925), la période allemande (1925-1926) et la période américaine (1926-1961).

Il est également opérateur d'actualités et assistant de Victor Sjöström en Suède. Il arrive à Hollywood en 1926, où il dirige Errol Flynn dans des films devenus de très grands classiques du cinéma : Capitaine Blood (1935), La Charge de la brigade légère (1936) et culminant avec Les Aventures de Robin des Bois en 1938. Mais c'est pour Casablanca, avec Humphrey Bogart et Ingrid Bergman, que la signature de Curtiz appartient au panthéon du cinéma. Considéré comme le plus important des réalisateurs de la Warner Bros. durant les années 1930, Curtiz est souvent considéré comme un metteur en scène compétent mais sans style vraiment identifiable. Il a travaillé dans de nombreux genres différents, signé plus de 80 films chez Warner Bros., souvent sans grande originalité, ce qui n'empêche pas que nombre de ses films aient eu et conservent une audience significative.

Les admirateurs de son travail arguent du fait que, dans les années 1940, il a développé un style sophistiqué, marqué par des mouvements de caméra très fluides, de fortes compositions, des éclairages texturisés remarquables pour un spectateur attentif. De fait, certains de ses films sont devenus des films cultes : The Sea Hawk (L'Aigle des Mers) et The Adventures of Robin Hood (Les Aventures de Robin des Bois) sont des chefs-d'œuvre de récit d'aventure. Sodome et Gomorrhe l'un de ses premiers films muets portait déjà l'empreinte d'un maître de l'évocation visuelle.

Filmographie 

Au Danemark

  • 1913 : Atlantis d'August Blom (comme acteur)

En Hongrie - Sous le nom de Mihály Kertész

  • 1912 : Le Dernier Bohême (Az utolsó bohém)
  • 1912 : Aujourd'hui et demain (Ma és holnap)
  • 1913 : Âme d'esclave (Rablélek)
  • 1914 : L'Expulsion (A tolonc)
  • 1914 : Princesse Pongyola (A hercegnő pongyolában)
  • 1914 : Âme captive (Az éjszaka rabjai)
  • 1914 : Enfants empruntés (A kölcsönkért csecsemők)
  • 1914 : Bánk bán
  • 1915 : Doublement aimé (Akit ketten szeretnek)
  • 1915 : Le Médecin (A medikus)
  • 1915 : L'Arc-en-ciel noir (A fekete szivárvány)
  • 1915 : La Chèvre d'argent (Az ezüst kecske)
  • 1915 : Sept de pique (Makkhetes)
  • 1915 : Le Carthaginois (A karthauzi)
  • 1916 : La Force de la terre hongroise (A magyar föld ereje)
  • 1916 : Le Juif fermier (Az árendás zsidó)
  • 1916 : Histoire d'un sou (Egy krajcár története)
  • 1916 : Le Colonel (Az ezredes)
  • 1916 : L'Homme de la terre (A föld embere)
  • 1916 : La Cloche de la mort (A halálcsengő)
  • 1916 : Le Printemps en hiver (Tavasz a télben)
  • 1916 : Samson le Rouge (A Vörös Sámson)
  • 1916 : La Peau de chagrin (A szamárbőr)
  • 1917 : Az utolsó hajnal (La Dernière aube)
  • 1917 : Maître Zoard (Zoárd Mester)
  • 1917 : L'Invasion des Tartares (Tatárjárás)
  • 1917 : Le Scorpion (A Skorpió)
  • 1917 : La Dame aux tournesols (A napraforgós hölgy)
  • 1917 : Le Mauvais Garçon (A csúnya fiú)
  • 1917 : Mandragore (Alraune) en coll. avec Fritz Odön
  • 1917 : La Veuve joyeuse (A víg özvegy)
  • 1917 : Valse magique (Varázskeringő)
  • 1918 : L'Énigme de Wellington (A wellingtoni rejtély)
  • 1918 : Jean, le cadet/Mon frère arrive (Jön az öcsém)
  • 1918 : Lulu
  • 1919 : Liliom (inachevé)

En Autriche

  • 1922 : Sodome et Gomorrhe (Sodom und Gomorrha)
  • 1923 : L'Avalanche (Die Lawine)
  • 1923 : Le Jeune Medardus (Der Junge Medardus)
  • 1924 : L'Esclave reine (Die Sklavenkönigin)

En Allemagne

  • 1925 : Célimène, la poupée de Montmartre (Das Spielzeug von Paris), sous le nom de Mihály Kertész
  • 1926 : Le Fiacre n° 13 (Fiaker Nr. 13)
  • 1926 : Papillon d’or ( Der Golden schmetterling )

Aux États-Unis

  • 1927 : A Million Bid
  • 1927 : The Desired Woman
  • 1928 : L'Arche de Noé (Noah's Ark) (film muet)
  • 1929 : The Gamblers
  • 1929 : Hearts in Exile
  • 1930 : Mammy
  • 1930 : Sous le ciel du Texas (Under a Texas Moon)
  • 1930 : A Soldier's Plaything
  • 1931 : God's Gift to Women
  • 1931 : Le Génie fou (The Mad Genius)
  • 1931 : Le Démon des mers (Demon of The Sea)
  • 1932 : La Femme de Monte Carlo (The Woman from Monte Carlo)
  • 1932 : Alias the Doctor
  • 1932 : L'Étrange passion de Molly Louvain (The Strange Love of Molly Louvain)
  • 1932 : Docteur X (Doctor X)
  • 1932 : Ombres vers le sud (Cabin in the cotton)
  • 1932 : Vingt mille ans sous les verrous (20 000 Years in Sing Sing)
  • 1932 : The Keyhole
  • 1933 : Masques de cire (Mystery of the Wax Museum)
  • 1933 : Private Detective 62
  • 1933 : Goodbye Again
  • 1933 : Meurtre au chenil ou Le Mystère de la chambre close (The Kennel Murder Case)
  • 1933 : Female
  • 1934 : Mandalay
  • 1934 : Jimmy the Gent
  • 1934 : The Key
  • 1934 : Mémoires d’un agent britannique (British Agent)
  • 1934 : Furie noire (Black Fury)
  • 1935 : The Case of the Curious Bride
  • 1935 : Sixième édition (Front page woman)
  • 1935 : Little Big Shot
  • 1935 : Capitaine Blood (Captain Blood)
  • 1936 : Le Mort qui marche (The Walking Dead)
  • 1936 : La Charge de la brigade légère (The Charge of the Light Brigade)
  • 1937 : Stolen Holiday
  • 1937 : Justice des montagnes (Mountain Justice)
  • 1937 : Le Dernier combat (Kid Galahad)
  • 1937 : Un homme a disparu (The Perfect Specimen )
  • 1938 : La Bataille de l'or (Gold Is Where You Find It)
  • 1938 : Les Aventures de Robin des Bois (The Adventures of Robin Hood)
  • 1938 : Quatre au paradis (Four's a Crowd)
  • 1938 : Rêves de jeunesse (Four Daughters)
  • 1938 : Les Anges aux figures sales (Angels with Dirty Faces)
  • 1939 : Blackwell's Island (non crédité)
  • 1939 : Les Conquérants (Dodge City)
  • 1939 : Les Fils de la Liberté (Sons of Liberty) (court-métrage)
  • 1939 : Daughters Courageous
  • 1939 : La Vie privée d'Élisabeth d'Angleterre (The Private Lives of Elizabeth and Essex)
  • 1939 : Quatre jeunes femmes (Four Wives)
  • 1940 : La Caravane héroïque (Virginia City)
  • 1940 : L'Aigle des mers (The Sea hawk)
  • 1940 : La Piste de Santa Fe (Santa Fe trail)
  • 1941 : Le Vaisseau fantôme (The Sea Wolf)
  • 1941 : Dive Bomber
  • 1942 : Les Chevaliers du ciel (Captains of the Clouds)
  • 1942 : La Glorieuse Parade (Yankee Doodle Dandy)
  • 1942 : Casablanca
  • 1943 : Mission à Moscou (Mission to Moscow)
  • 1943 : This Is the Army
  • 1944 : Passage pour Marseille (Passage to Marseille)
  • 1944 : Janie
  • 1945 : Roughly Speaking (en)
  • 1945 : Le Roman de Mildred Pierce (Mildred Pierce)
  • 1946 : Nuit et Jour (Night and Day)
  • 1947 : Mon père et nous (Life with Father)
  • 1947 : Le crime était presque parfait (The Unsuspected)
  • 1948 : Romance à Rio (Romance on the High Seas)
  • 1949 : Il y a de l'amour dans l'air (My Dream Is Yours)
  • 1949 : Boulevard des passions (Flamingo Road)
  • 1949 : The Lady Takes a Sailor
  • 1950 : La Femme aux chimères (Young Man with a Horn)
  • 1950 : Le Roi du tabac (Bright Leaf)
  • 1950 : Trafic en haute mer (The Breaking Point)
  • 1951 : Les Amants de l'enfer (Force of Arms)
  • 1951 : Le Chevalier du stade (Jim Thorpe: All-American)
  • 1951 : La Femme de mes rêves (I'll See You in My Dreams)
  • 1952 : The Story of Will Rogers (en)
  • 1952 : The Jazz Singer
  • 1953 : Un homme pas comme les autres (Trouble Along the Way)
  • 1954 : L'Homme des plaines (The Boy from Oklahoma)
  • 1954 : L'Égyptien (The Egyptian)
  • 1954 : Noël blanc (White Christmas)
  • 1955 : La Cuisine des anges (We're no angels)
  • 1956 : The Scarlet Hour
  • 1956 : Le Roi des vagabonds (The Vagabond King)
  • 1956 : Les Rois du jazz (The Best Things in Life Are Free)
  • 1957 : Pour elle un seul homme (The Helen Morgan Story)
  • 1958 : Le Fier Rebelle (The Proud Rebel)
  • 1958 : Bagarres au King Créole (King Creole)
  • 1959 : Le Bourreau du Nevada (The Hangman)
  • 1959 : L'Homme dans le filet (The Man in the net)
  • 1960 : Un scandale à la cour (A Breath of Scandal)
  • 1960 : Les Aventuriers du fleuve (The Adventures of Huckleberry Finn)
  • 1961 : François d'Assise (Francis of Assisi)
  • 1961 : Les Comancheros (The Comancheros)

Masques de cire

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Masques de cire (Mystery of the Wax Museum) est un film d'horreur américain en couleurs, réalisé par Michael Curtiz et sorti en 1933. L'histoire commence à Londres en 1921, avant de s'établir à New York en 1933 où la journaliste Florence Dempsey résout une série de meurtres coïncidant avec l'ouverture d'un musée de cire.

Masques de cire de Michael CurtizMasques de cire de Michael Curtiz

Masques de cire de Michael Curtiz

Fiche technique

  • Titre : Masques de cire
  • Titre original : Mystery of the Wax Museum
  • Réalisation : Michael Curtiz
  • Scénario : Carl Erickson (en) et Don Mullaly, Charles S. Belden (histoire)
  • Photographie : Ray Rennahan
  • Montage : George J. Amy
  • Musique : Cliff Hess
  • Directeur artistique : Anton Grot
  • Producteur : Henry Blanke
  • Pays d’origine : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Genre : film d'horreur
  • Durée : 77 minutes
  • Date de sortie : 1933

Distribution

  • Lionel Atwill : Ivan Igor
  • Fay Wray : Charlotte Duncan
  • Glenda Farrell : Florence Dempsey
  • Frank McHugh : Jim
  • Allen Vincent : Ralph Burton
  • Gavin Gordon : George Winton
  • Edwin Maxwell : Joe Worth
  • Holmes Herbert : Dr Rasmussen
  • Claude King : M. Galatalin
  • Arthur Edmund Carewe : Sparrow, Prof. Darcy
  • Thomas E. Jackson : Détective
  • DeWitt Jennings : capitaine de police
  • Matthew Betz : Hugo, le sourd et muet
  • Monica Bannister : Joan Gale

Acteurs non-crédités :

  • Otto Hoffman : assistant d'Igor
  • Lon Poff : homme de main

Dive Bomber

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Dive Bomber est un film américain réalisé par Michael Curtiz, sorti en 1941. Deux pilotes officiers de l'Aéronavale durant la seconde guerre mondiale essaient d'analyser et de comprendre les pertes de connaissance des pilotes en altitude. Ces deux hommes doivent aller au-delà de leurs divergences pour mener à bien leurs expériences afin de sauver des vies.

Dive Bomber de Michael CurtizDive Bomber de Michael Curtiz

Dive Bomber de Michael Curtiz

Fiche technique

  • Titre : Dive Bomber
  • Réalisation : Michael Curtiz
  • Scénario : Frank Wead et Robert Buckner
  • Production : Hal B. Wallis
  • Société de production : Warner Bros. Pictures
  • Musique : Max Steiner
  • Photographie : Bert Glennon et Winton C. Hoch
  • Montage : George Amy
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Format : Couleurs - 1,37:1 - Mono
  • Genre : Drame
  • Durée : 132 minutes
  • Date de sortie : États-Unis : 30 août 1941

Distribution

  • Errol Flynn : Lieutenant Douglas S. 'Doug' Lee, médecin de la base aérienne
  • Fred MacMurray : Lieutenant-commodore Joe Blake, commandant de la base
  • Ralph Bellamy : Lieutenant-commodore Lance Rogers, médecin en chef de la base
  • Alexis Smith : Mme Linda Fisher
  • Robert Armstrong : Art Lyons, ingénieur aéronautique
  • Craig Stevens : Anthony, élève-pilote
  • Moroni Olsen : Le chirurgien à San Diego
  • Regis Toomey : Lieutenant Tim Griffin
  • Louis Jean Heydt : Swede Larson

Acteurs non crédités

  • James Anderson : Un pilote
  • Ann Doran : Helen, l'amie de Joe
  • Howard C. Hickman : L'amiral
  • Stuart Holmes : Le patron du night-club
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