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Russell Gail

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Gail Russell est une actrice américaine, née Elizabeth L. Russell à Chicago (Illinois) le 21 septembre 1924, décédée d'une crise cardiaque à Los Angeles (Californie) le 26 août 1961.

Russell Gail

Gail Russell débute au cinéma en 1943 et entame une carrière prometteuse, tournant notamment deux films aux côtés de John Wayne, L'Ange et le Mauvais Garçon (1947) et Le Réveil de la sorcière rouge (1948). Mais en raison d'un alcoolisme chronique, les studios ne lui proposent aucun rôle entre 1951 et 1956, année où elle réapparaît dans le western Sept hommes à abattre. Après encore trois films, et sa participation à trois séries télévisées, elle meurt prématurément en 1961, d'un arrêt cardiaque consécutif à une surdose d'alcool. Une étoile lui est dédiée sur le Walk of Fame d'Hollywood Boulevard.

 

Filmographie

  • 1943 : Harry Aldrich gets Glamour de Hugh Bennett
  • 1944 : La Falaise mystérieuse (The Uninvited) de Lewis Allen
  • 1944 : Our Hearts were Young and Gay de Lewis Allen
  • 1944 : Les Nuits ensorcelées (Lady in the Dark) de Mitchell Leisen
  • 1945 : Sa dernière course (Salty O'Rourke) de Raoul Walsh
  • 1945 : La Taverne de la folie (Duffy's Tavern) de Hal Walker
  • 1945 : L'Invisible Meurtrier (The Unseen) de Lewis Allen
  • 1946 : Our Hearts were Growing Up de William D. Russell
  • 1946 : Quatre filles cherchent un mari (The Bachelor's Daughters) d'Andrew L. Stone
  • 1947 : L'Ange et le Mauvais Garçon (Angel and the Badman) de James Edward Grant
  • 1947 : Hollywood en folie (Variety Girl) de George Marshall
  • 1947 : Meurtres à Calcutta (Calcutta) de John Farrow
  • 1948 : Les Yeux de la nuit (Night has a Thousand Eyes) de John Farrow
  • 1948 : Le Réveil de la sorcière rouge (Wake of the Red Witch) d'Edward Ludwig
  • 1948 : Le Fils du pendu (Moonrise) de Frank Borzage
  • 1949 : La Révolte des fauves (Song of India) d'Albert S. Rogell
  • 1949 : El Paso, ville sans loi (El Paso) de Lewis R. Foster
  • 1949 : Dan Patch le victorieux (The Great Dan Patch) de Joseph M. Newman
  • 1950 : Dans les mers de Chine (Captain China) de Lewis R. Foster
  • 1950 : Haines (The Lawless) de Joseph Losey
  • 1951 : Les Cadets de l'air (Air Cadet) de Joseph Pevney
  • 1956 : Sept hommes à abattre (Seven Men from Now) de Budd Boetticher
  • 1957 : La Robe déchirée (The Tattered Dress) de Jack Arnold
  • 1958 : Son dernier vol (No Place to Land) d'Albert S. Gannaway
  • 1961 : The Silent Call de John A. Bushelman

Télévision

  • 1956 : Studio 57, Saison 2, épisode 29 Time, Tide and a Woman
  • 1960 : The Rebel, Saison 1, épisode 19 Noblesse oblige (titre original) de Bernard L. Kowalski
  • 1960 : Manhunt, Saison 1, épisode 33 Matinee Mobster

Barbe-Noire le pirate

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Barbe-Noire le pirate (Blackbeard the Pirate) est un film américain de Raoul Walsh sorti en 1952. Au xviie siècle, la mer des Caraïbes est infestée de pirates. Sir Henry Morgan, pirate repenti, a reçu pour mission du roi d'Angleterre de nettoyer la région des pirates. Il poursuit le célèbre et cruel Barbe-Noire qui écume les mers. Edward Maynard, aventurier, est chargé par le gouverneur de la Jamaïque de démasquer Morgan, soupçonné d'être toujours de mèche avec les pirates et de vouloir s'emparer de l'île de la Jamaïque.

Maynard se retrouve sur le navire de Barbe-Noire, employé comme médecin, pour voler le livre de bord qui prouverait la culpabilité de Morgan. Sur le bateau se trouve également la ravissante fille adoptive de Morgan, Edwina Mansfield, kidnappée par Barbe-Noire alors qu'elle fuyait Port Royal. Edwina se trouve en possession des joyaux du trésor de Morgan qu'elle lui a dérobée. Sa suivante trop bavarde le révèle à Barbe-Noire qui s'empare du trésor. Le cachant à son équipage, il l'enterre dans une île à l'insu de tous. Mais Barbe-Noire et son équipage, installés à terre, sont rattrapés par Morgan et ses hommes.

Après un rude combat, le pirate arrive à s'échapper en laissant sur place un cadavre qui se trouve être son sosie. Morgan, coupant la tête du cadavre, l'expose sur la place de Port-Royal croyant qu’il s'agit de celle de Barbe-Noire. L'exploit lui vaut d'être nommé gouverneur de la Jamaïque. Edwina et Edward voulant échapper à Morgan tombent dans les griffes de Barbe-Noire. Morgan apprend que son ennemi n'est pas mort, il reforme alors son équipage pour poursuivre la troupe. Très vite il rejoint le navire, de Barbe-Noire et un nouveau combat est engagé qui tourne au désavantage du pirate. Barbe-Noire se sert alors d'Edwina comme otage et ordonne à Morgan d'abandonner les hostilités et de repartir.

Par la suite, voulant récupérer le trésor, Barbe-Noire retourne sur l'île, il le déterre et le charge dans une chaloupe mais il est surpris par ses hommes et une bagarre s'ensuit. Le trésor, dans le combat, tombe à l'eau et est perdu pour tous. Ses hommes, furieux, décident de punir Barbe-Noire et l'enterrent dans le sable ne laissant dépasser que sa tête qui sera bientôt submergée par la marée. Mayard et Edwina, amoureux, réussissent de nouveau à s'enfuir, loin de cet horrible spectacle. À l'origine le film devait être tourné par Val Lewton avec dans le rôle-titre Boris Karloff, mais Val Lewton meurt en 1951 et la réalisation est confiée à Raoul Walsh qui choisit Robert Newton.

Barbe-Noire le pirate de Raoul WalshBarbe-Noire le pirate de Raoul Walsh

Barbe-Noire le pirate de Raoul Walsh

Fiche technique

  • Titre original : Blackbeard the Pirate
  • Titre français : Barbe-Noire le pirate
  • Réalisateur : Raoul Walsh
  • Scénario : Alan LeMay (en) d'après une histoire de DeVallon Scott
  • Direction artistique : Albert S. D'Agostino et Jack Okey
  • Décors : Darrell Silvera et John Sturtevant
  • Costumes : Michael Woulfe
  • Photographie : William E. Snyder
  • Montage : Ralph Dawson
  • Musique : Victor Young
  • Producteur : Edmund Grainger
  • Société de production : RKO Radio Pictures
  • Société de distribution : RKO Radio Pictures
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Format : couleur (Technicolor) - 35 mm - 1,37:1 - Son mono (RCA Sound System)
  • Genre : Film d'aventure maritime
  • Durée: 99 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 24 décembre 1952 (première à Los Angeles), France : 30 septembre 1953

Distribution

  • Robert Newton (VF : Jean Brochard) : Barbe-Noire
  • Linda Darnell (VF : Claire Guibert) : Edwina Mansfield
  • Keith Andes (VF : Jean Amadou) : Edward Maynard
  • William Bendix (VF : Pierre Michau) : Ben Worley
  • Torin Thatcher : sir Henry Morgan
  • Irene Ryan (VF : Lita Recio) : Alvina
  • Alan Mowbray : Noll
  • Richard Egan (VF : Claude Bertrand) : Briggs
  • Skelton Knaggs : Gilly
  • Dick Wessel : Dutchman
  • Anthony Caruso : Pierre La Garde
  • Jack Lambert : Tom Whetstone
  • Noel Drayton : Jeremy
  • Pat Flaherty : Job Maggot

Le monde lui appartient

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Le monde lui appartient (The World in His Arms) est un film américain réalisé par Raoul Walsh en 1952. 1850. À San Francisco, le Capitaine Jonathan Clark rencontre la comtesse Marina Selanova, dont il va tomber amoureux. Il va tenter à la fois tenter de la sauver des mains du Prince Semyon, être en compétition avec Portugee, un marchande de fourrures peu scrupuleux, et acquérir l'Alaska...

Le monde lui appartient de Raoul WalshLe monde lui appartient de Raoul Walsh

Le monde lui appartient de Raoul Walsh

Fiche technique

  • Titre original : The World in his arms
  • Titre : Le monde lui appartient
  • Réalisation : Raoul Walsh
  • Scénario : Borden Chase, Horace McCoy (dialogues additionnels), d'après le roman The World in his arms de Rex Beach
  • Direction artistique : Bernard Herzbrun, Alexander Golitzen
  • Décors : Russell A. Gausman, Julia Heron
  • Costumes : Bill Thomas
  • Photographie : Russell Metty
  • Son : Leslie I. Carey, Corson Jowett
  • Musique : Frank Skinner
  • Montage : Frank Gross
  • Production : Aaron Rosenberg
  • Société de production : Universal Pictures
  • Société de distribution : Universal Pictures
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue originale : anglais
  • Format : couleur (Technicolor) — 35 mm — 1,37:1 — son Mono (Western Electric Recording)
  • Genre : film d'aventures
  • Durée : 104 minutes
  • Date de sortie : États-Unis : 18 juin 1952 (première à Kodiak, Alaska), France : 4 juillet 1952

Distribution

  • Gregory Peck (VF : Marc Valbel) : Capitaine Jonathan Clark
  • Ann Blyth (VF : Raymonde Raynard) : Comtesse Marina Selanova
  • John McIntire (VF : Georges Hubert) : Greathouse, le diacre
  • Anthony Quinn (VF : Jean Clarieux) : Portugee
  • Carl Esmond (VF : Maurice Dorléac) : Prince Semyon
  • Andrea King : Mamie
  • Eugenie Leontovitch (VF : Marie Ventura) : Anna Selanova
  • Hans Conried (VF : Gérard Férat) : Eustace
  • Rhys Williams (VF : René Fleur) : Eben Cleggett
  • Sig Ruman (VF : Raymond Rognoni) : Général Ivan Vorashilov
  • Bill Radovich (VF : Henry Charrett) : Ogeechuk
  • Gregory Gaye (VF : Abel Jacquin) : Colonel Paul Shushaldin
  • Bryan Forbes (VF : Hubert Noël) : William Cleggett
  • Henry Kulky (VF : Henry-Laverne) : Peter

La Ruelle du péché

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La Ruelle du péché (Glory Alley) est un film américain réalisé par Raoul Walsh, sorti en 1952. À La Nouvelle-Orléans, Socks Barbarossa, un jeune boxeur, combat pour un titre de champion mais quitte soudainement le ring, sans explication. Il affirme ensuite ne plus jamais vouloir combattre. Il passe alors pour un lâche auprès du "Juge", le père de sa petite amie Angela, et se voit refuser la permission de l'épouser. Mais Socks est mobilisé en Corée : après son retour et malgré la gloire qu'il a obtenu par sa vaillance au combat, le Juge refuse toujours de lui accorder la main de sa fille.

La Ruelle du péché de Raoul WalshLa Ruelle du péché de Raoul Walsh

La Ruelle du péché de Raoul Walsh

Fiche technique

  • Titre original : Glory Alley
  • Titre français : La Ruelle du péché
  • Réalisation : Raoul Walsh
  • Scénario et histoire : Art Cohn
  • Direction artistique : Malcolm Brown et Cedric Gibbons
  • Décors : Edwin B. Willis, Keogh Gleason
  • Costumes : Helen Rose
  • Photographie : William H. Daniels
  • Son : Douglas Shearer
  • Musique : Pete Rugolo
  • Montage : Gene Ruggiero
  • Production : Nicholas Nayfack
  • Société de production : Metro-Goldwyn-Mayer
  • Société de distribution : Loew's Inc.
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Format : Couleur (Technicolor) — 35 mm — 1,37:1 - Son : Mono (Western Electric Recording)
  • Genre : Drame, Guerre
  • Durée : 79 minutes
  • Date de sortie : États-Unis : 4 juin 1952 (première à Los Angeles), France : 18 septembre 1953

Distribution

  • Ralph Meeker : Socks Barbarossa
  • Leslie Caron : Angela Evans
  • Kurt Kasznar : Gus "Le Juge" Evans
  • Gilbert Roland : Peppi Donato
  • John McIntire : Gabe Jordan / le narrateur
  • Louis Armstrong : Shadow Johnson
  • Dan Seymour : Sal Nichols
  • Larry Gates : Docteur Robert Ardley
  • Larry Keating : Philip Louis Bennson
  • Emile Meyer : le général
  • Jack Teagarden : lui-même
  • Pat Goldin : Jabber
  • John Indrisano : "Spider"
  • Mickey Little : Domingo
  • Dick Simmons : Dan
  • Pat Valentino : Terry Waulker
  • David McMahon : Frank, le policier
  • George Garver : Addams

Chansons du film

  • "Glory Alley" : musique de Jay Livingston, lyrics de Mack David
  • "St. Louis Blues" : paroles et musique de W. C. Handy
  • "Jolie Jacqueline" : paroles et musique de Joseph Wolf Warfield
  • "That's What the Man Said" : paroles et musique de Willard Robison

L'Air de Paris

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L'Air de Paris est un film français de Marcel Carné réalisé et sorti en salle en 1954. Ancien boxeur, Victor Le Garrec dirige une salle d'entraînement et rêve de découvrir un « poulain » qui deviendra champion et réalisera les ambitions que lui-même n'a pu tenir. Son épouse Blanche a pris son parti de ce culte exclusif du « noble art » et tient en ordre la comptabilité. Lorsque Victor rencontre André Ménard, un manœuvre solitaire qui révèle des dons certains, il l'arrache à sa vie médiocre, le fait travailler et le transforme en champion. Il sera là aussi lorsque André se sentira seul après sa brève aventure avec une jolie parisienne : Corinne.

Maria-Pia Casilio est une actrice italienne, née à San Pio delle Camere le 5 mai 1935 et décédée à Rome le 10 avril 2012. Elle tourne une trentaine de films en Italie, et quelques-uns en France. Ave Ninchi est une actrice italienne née à Ancône le 14 décembre 1915 et décédée à Trieste, le 10 novembre 1997. Elle tourne dans sa carrière plus de 110 films. Séraphin Ferrer, ancien champion de France professionnel des poids légers et challenger européen donne la réplique à Roland Lessafre sur le ring. Marcel Carné a été nommé au Lion d'or à la Mostra de Venise de 1954 où Jean Gabin remporta la Coupe Volpi pour la meilleure interprétation masculine1 pour son rôle dans le film ainsi que pour celui de Max le menteur dans Touchez pas au grisbi de Jacques Becker sorti la même année.

 

L'Air de Paris de Marcel CarnéL'Air de Paris de Marcel Carné

L'Air de Paris de Marcel Carné

Fiche technique

  • Réalisation : Marcel Carné
  • Scénario : D'après le roman de Jacques Viot : La Choutte
  • Adaptation : Jacques Sigurd, Marcel Carné
  • Dialogue: Jacques Sigurd
  • Assistants réalisateur : Pierre Blondy, Lou Bonin, Pierre Granier-Deferre
  • Images : Roger Hubert, assisté de René Guissart
  • Opérateur : Adolphe Charlet
  • Images de Paris : André Dumaître
  • Son : Antoine Archimbaud
  • Décors : Paul Bertrand, assisté de James Allan
  • Montage : Henri Rust, assisté de Madeleine Bagiau et Monique Bonnot
  • Musique : Maurice Thiriet (Éditions Ray Ventura)
  • Chanson : de Francis Lemarque et Bob Castella, chantée par Yves Montand (Éditions Montmartre)
  • Administrateur : Pierre Bochard
  • Régisseur général : André Hoss, assisté de Jean Pieuchot
  • Ensemblier : Roger Volper
  • Robes : Balenciaga
  • Coiffures : Huguette Lalaurette
  • Script-girl : Christiane Nat, Christine Souillard
  • Photographe de plateau : Walter Limot
  • Maquillage : Boris Karabanoff, Jean Ulysse
  • Tournage : Paris-Studio-Cinéma de Billancourt du 1er mars au 14 mai 1954
  • Pellicule : noir et blanc - 35mm
  • Système sonore : Western Electric
  • Tirage : Laboratoire GTC de Joinville
  • Production : Del Duca Films - Galatea (franco-italienne)
  • Directeur de production : Léon Carré
  • Chef de production : Robert Dorfmann
  • Distribution : Corona
  • Durée : 110 minutes
  • Genre : Comédie dramatique
  • Première présentation : le 24 septembre 1954

Distribution

  • Jean Gabin : Victor Le Garrec, entraîneur de boxe
  • Arletty : Blanche Le Garrec, la femme de Victor
  • Roland Lesaffre : André Ménard, cheminot
  • Marie Daems : Corinne, le mannequin parisien
  • Folco Lulli : Angelo Posi, le commerçant
  • Maria-Pia Casilio : Maria Posi, la fille d'Angelo
  • Ave Ninchi : Angela Posi, la femme d'Angelo
  • Jean Parédès : Jean-Marc, le couturier
  • Simone Paris : Chantal, l'amie de Corinne
  • Marcelle Praince : Une amie de Corinne au restaurant
  • Maurice Sarfati : Jojo, un jeune boxeur
  • Mathilde Casadesus : La voyageuse sortant de la gare
  • Jean Bellanger : Le voyageur sortant de la gare
  • Jean-François Poron : Un spectateur au "Central"
  • Gil Delamare : Un ami d'André
  • Lucien Raimbourg : L'employé de l'hôpital
  • Georges Bever : Un cheminot
  • Henri Coutet : Un fort des Halles
  • Jimmy Perrys : Un fort des Halles
  • Seraphin Ferrer : Un boxeur
  • Streicher : Un boxeur
  • Legendre : Un boxeur
  • Roger Michelot : Un entraîneur
  • Simone Duhart
  • Nicole Regnault
  • Les speakers et soigneurs du Central Club de Paris

Le Pays d'où je viens

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Le Pays d’où je viens est un film français réalisé par Marcel Carné, sorti en 1956. Éric débarque dans une petite ville de province et découvre qu'il est le sosie parfait de Julien, un pianiste amoureux de la jolie serveuse Marinette. Le Pays d'où je viens est un film plutôt oublié de Marcel Carné, un des rares à ne pas avoir été édité sous forme de DVD. À la sortie du film, la critique n'était pas tendre. Dans Arts, François Truffaut déplore l'absence de Jacques Prévert au générique et dans Cinéma 56, Gilbert Salachas qualifie le film de « bluette sans prétention, bien racontée dans un style gentiment désuet » Les chants sont interprétés par les Petits Chanteurs à la croix de bois de Saint-Maur-des-Fossés dont un des membres joue l'enfant de chœur dans la scène de la Messe de minuit.

Le Pays d'où je viens de Marcel CarnéLe Pays d'où je viens de Marcel Carné

Le Pays d'où je viens de Marcel Carné

Fiche Technique

  • Titre : Le Pays d'où je viens
  • Réalisateur : Marcel Carné (assistant réalisateur, Jean Vivet)
  • Scénario : Jacques Emmanuel, Marcel Carné et Marcel Achard.
  • Dialogues : Marcel Achard
  • Directeur de la photographie : Philippe Agostini
  • Décors : Jean-Denis Malclès et Jean Douarinou
  • Musique : Gilbert Bécaud
  • Lyrics : Louis Amade et Pierre Delanoë
  • Son : Jean Bertrand
  • Scripte : Francine Corteggiani
  • Montage : Paulette Robert
  • Format : 35 mm. Couleur (Technicolor) - ratio 1,37:1
  • Durée : 94 minutes
  • Date de sortie : 19 octobre 1956, France

Distribution

  • Gilbert Bécaud : Julien Barrère / Éric Perceval
  • Françoise Arnoul : Marinette Hardouin
  • Jean Toulout : Oncle Ludovic
  • Claude Brasseur : Roland
  • André Gabriello : le patron de la brasserie
  • Madeleine Lebeau : la pharmacienne
  • Gaby Basset : la caissière
  • Jean-Pierre Bremmer : Michel
  • Chantal Gozzi : Sophie
  • Marcel Bozzuffi
  • Gabrielle Fontan
  • Jacques Dhery : Le premier sbire
  • Émile Drain
  • Camille Guérini
  • Charles Lemontier
  • Georges Debot
  • Gilbert Moreau

Les Tricheurs

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Les Tricheurs est un film français réalisé par Marcel Carné et sorti en 1958. Comédie de mœurs autour d'une bande de jeunes Parisiens plutôt aisés de la fin des années 1950, qui vivent entre rive gauche de Saint-Germain-des-Prés et rive droite du 16e arrondissement de Paris. Bob vient juste d'apprendre qu'il a obtenu sa licence de Sciences, mais plutôt que d'aller avec ses amis ou camarades de promotion fêter leur succès commun, il préfère rester seul à se remémorer tristement certains événements personnels sous le coup desquels il est encore.

Tout a commencé avec la rencontre, chez un disquaire, d'Alain qui, ayant abandonné Normale Sup, vit dans la bohème, aux crochets de son entourage, fils de famille ou autres. Alain emmène Bob au Bonaparte, café de Saint-Germain-des-Prés et quartier général d'une bande (de plus ou moins jeunes oisifs), avec laquelle l'étudiant BCBG va se lier, dont Clo et surtout Mic... Premier film pour Jacques Charrier et rôle qui l'a rendu instantanément célèbre et a lancé sa carrière en France. Jean-Paul Belmondo et Jacques Perrin, encore pratiquement inconnus, jouent de petits rôles, ceux de jeunes du groupe. Belmondo avait été envisagé par Marcel Carné pour le rôle d'Alain, finalement dévolu à Laurent Terzieff, le réalisateur trouvant à Belmondo « un aspect un peu trop gouape à [son] gré pour jouer un philosophe, même de pacotille ». 

Souhaitant tout de même aider Belmondo à travailler, Carné lui a confié le rôle de l'un des acolytes d'Alain, rôle secondaire mais qui lui permettait d'être présent de manière régulière tout au long du film. Le réalisateur ayant mis longtemps à se décider entre les deux comédiens, Belmondo lui voua ensuite, selon les dires de Carné, une certaine rancune durant le tournage1. Belmondo a pour sa part démenti en avoir voulu au cinéaste. Quant à Jacques Perrin, on l'aperçoit au Bonaparte au début du film et il est de la toute dernière scène, dans laquelle il prononce sa seule réplique du film ("Et puis hein, piquez des bouteilles !"). Remake en 1987 : Les Nouveaux Tricheurs de Michael Schock. Ne pas confondre avec Tricheurs de Barbet Schroeder avec Jacques Dutronc et Bulle Ogier (1984). Les Tricheurs obtint le Grand prix du cinéma français l'année de sa sortie. Françoise d'Eaubonne en a écrit un roman.

Les tricheurs de Marcel CarnéLes tricheurs de Marcel Carné

Les tricheurs de Marcel Carné

Fiche technique

  • Titre : Les Tricheurs
  • Scénario : Jacques Sigurd, d'après une idée de Charles Spaak et Marcel Carné
  • Adaptation et dialogues : Jacques Sigurd
  • Assistants réalisateur : Serge Friedman, Paul Seban
  • Musique additionnelle : Nat King Cole, Chet Baker, Ray Brown, Ray Conniff, Al Costellanos, Roy Eldridge, Herb Ellis, Fats Domino, Stan Getz, Dizzy Gillespie, Lionel Hampton, Coleman Hawkins, Gus Johnson, Gerry Mulligan, Oscar Peterson, Buddy Rich, Pete Rugolo, Maxim Saury et son New-Orléans Sound, Socbey's Band, Sonny Stitt, The Champs, Norman Granz jazz
  • Images : Claude Renoir
  • Opérateur : Andréas Winding
  • Son : Antoine Archimbaud
  • Maquillage : Monique Archambault
  • Décors : Paul Bertrand
  • Costumes : Antoine Mayo, Jacques Heim, Virginie et robes de Christian Dior
  • Montage : Albert Jurgenson, assisté de C. Charbonneau
  • Photographe de plateau : Walter Limot
  • Script-Girl : Odette Lemarchand
  • Régisseur : Lucien Lippens
  • Administrateur : G. Valon
  • Tournage du 24 mars au 12 juillet 1958 dans les studios Franstudio de Joinville-le-Pont
  • Enregistrement : Poste Parisien
  • Tirage : Laboratoire L.T.C Franay
  • Effets spéciaux : LAX
  • Production : Silver-Films, Cinétel (Paris), Zebra-Films (Rome)
  • Chef de production : Robert Dorfmann
  • Directeur de production : Louis Wipf
  • Distribution : Corona
  • Format : Noir et blanc - Son monophonique - 35mm
  • Genre : Comédie dramatique
  • Sortie : 10 octobre 1958 à Paris
  • Durée : 125 minutes

Distribution

  • Jacques Charrier : Bob (pour Robert Letellier), étudiant en Sciences, habitant dans le seizième chez papa-maman
  • Pascale Petit : Mic (pour Michèle), une jeune fille de milieu modeste qui joue les affranchies
  • Andréa Parisy : Clo (pour Clotilde de Vaudremont), riche, belle et de mœurs libres, très amie avec Mic
  • Laurent Terzieff : Alain, le mauvais génie de la bande
  • Jean-Paul Belmondo : Lou, un garçon de la bande d'oisifs
  • Pierre Brice : Bernard, un étudiant et le meilleur ami de Bob
  • Dany Saval : Nicole, une fille de la bande
  • Roland Lesaffre : Roger, le frère de Mic, un mécanicien de garage
  • Denise Vernac : la mère de Mic, une petite commerçante
  • Jacques Marin : Hippolyte Félix, l'intermédiaire
  • Roland Armontel : le chirurgien
  • Jacques Perrin : un garçon (de la bande à Clo) qui, assis à l'arrière d'un scooter, prononce l'avant-dernière réplique du film
  • Jean-François Poron : Gérard, avec qui Lou (Belmondo) a un début de bagarre lors d'une fête chez Clo
  • Sandrine : Nadine qui, lors de la même fête, annonce qu'un petit chat s'est sauvé et est en péril
  • Alan Scott : un jeune Américain qui fréquente la bande
  • Gabrielle Fontan : la logeuse de Mic
  • Claire Olivier : l'amie de la logeuse de Mic
  • France Asselin : l'infirmière
  • Christian Azzopardi
  • Brigitte Barbier
  • Monique Barbillat
  • Michèle Bardollet
  • Gérard Bayle
  • Guy Bedos : Claude, un garçon de la bande
  • Françoise Belin
  • Jacques Berger
  • Yves Boisset
  • Jacques Chabassol : Daniel, le jeune homme ivre qui répète qu'il veut savoir "chez qui on est"
  • Anne-Marie Coffinet
  • Arielle Coignet
  • Suzanne Courtal : la concierge de Roger
  • Jocelyne Darche
  • Gérard Darrieu : le camionneur accidenté
  • Françoise Deldick
  • Maurice Derville
  • Nicole Dubois
  • Pierre Flourens
  • Gisèle Gallois
  • Claude Giraud : Toni
  • Sergio Gobbi
  • Henri Guégan : un camionneur
  • Alain Janey : le brigadier
  • Alfonso Mathis : Peter
  • Francis Nani
  • Michel Nastorg : le garagiste
  • Dominique Page : la fiancée de Bernard (le meilleur ami de Bob)
  • Jimmy Perrys : un employé du garage
  • Christian Pezey
  • Sophie Poncin
  • Jacques Portet : Guy, un garçon de la bande d'oisifs
  • René Sartoris
  • Alain Saury
  • Maxim Saury
  • Joël Schmidt
  • Andrée Servilanges : la cliente du magasin
  • Jean Sylvère : le barman
  • Andrée Tainsy : la réceptionniste
  • Françoise Vatel
  • Steve Parisot : jeune homme entreprenant et rompu à la danse, invitant Mic à se "coller"

Charrier Jacques

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Jacques Charrier (6 novembre 1936 à Metz) est un acteur français de cinéma et de théâtre, producteur de cinéma, artiste peintre et céramiste. Il est également l'ex-mari de Brigitte Bardot de qui il a eu un fils, Nicolas-Jacques Charrier. Avec sa deuxième épouse France Louis-Dreyfus, il a eu deux filles : Marie et Sophie. En 1995, il a une fille, Rosalie, avec sa troisième épouse Linda. Il est actuellement remarié avec une photographe japonaise, Makiko.

Charrier Jacques

Il naît le 6 novembre 1936 à Metz en Lorraine au hasard d’une affectation de son père, militaire de carrière. Il est fils d’une famille de sept enfants. En 1953 à 17 ans, il arrête ses études et entre à l’école des beaux-arts de Strasbourg, où il apprend le métier de céramiste. En 1956 un professeur du conservatoire de Montpellier lui offre le rôle de Frédéric dans le film L'Arlésienne tiré de l’œuvre d’Alphonse Daudet. Son petit succès médiatique local le pousse à tenter sa chance à Paris alors qu'il a vingt ans : il entre à l’ENSATT - École Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre de la rue Blanche où il devient l’élève de la comédienne Berthe Bovy.

En 1958 après divers petits boulots, dont celui de décorateur de théâtre, il décroche un emploi de figurant à la Comédie-Française, puis il est choisi par Marguerite Jamois, pour interpréter le rôle masculin principal de la pièce Le Journal d'Anne Frank avec Pascale Audret au Théâtre Montparnasse. C’est là que Marcel Carné le repère et lui propose de jouer le premier rôle, celui de Bob, dans son film Les Tricheurs avec Laurent Terzieff, Jean-Paul Belmondo, Pascale Petit et Dany Saval. Le film connaît un énorme succès public et du jour au lendemain, Jacques Charrier devient une vedette très recherchée par le monde du cinéma.

En 1959, Brigitte Bardot âgée de vingt-cinq ans, l’impose au réalisateur Christian-Jaque, alors qu’il a vingt-trois ans, dans le film Babette s'en va-t-en guerre avec Francis Blanche. Brigitte et Jacques tombent amoureux et se marient le 18 juin, à la fin du tournage, sous le feu des médias mondiaux. Le 11 janvier 1960, ils ont un fils, Nicolas-Jacques Charrier, dont la naissance est un événement médiatique mondial. Le 30 janvier 1963, il divorce d’avec Brigitte Bardot, qui se consacre pleinement à sa passion du cinéma et à sa vie de star. Il obtient la garde de l’enfant et l’élève avec sa nouvelle épouse France Louis-Dreyfus, dont il aura deux filles : Sophie et Marie. Il a également une fille, Rosalie (1995), de son mariage avec Linda. Il est actuellement marié avec la photographe japonaise Makiko.

En 1969, le 15 septembre, il fonde sa société de production de film Les Films Marquise pour produire des films à petit budget. En 1980, il retourne à l’École des beaux-arts et se reconvertit dans la peinture pleine de référence à ses deux passions, les voyages et l’antiquité et expose régulièrement entre Paris, Genève et San Francisco. Depuis 1997, il vit à Paris et se retrouve malgré lui sous le feu des médias avec la parution des mémoires de Brigitte Bardot, Initiales BB, chez Grasset. Il intente un procès avec succès pour « violation de la vie privée » et publie Ma réponse à Brigitte Bardot chez Michel Lafon. En 2008, il expose du 13 au 18 février de nombreuses toiles à l’Espace Cardin du 8e arrondissement de Paris. En 2012, il expose aux « Archives Yves Klein », à Paris. « Le bonheur est du chagrin qui se repose » (cette citation est empruntée à Léo Ferré dans sa chanson Le Bonheur parue sur disque en 1967.)

Filmographie

  • 1958 : Police judiciaire de Maurice de Canonge : Extra / Figuration
  • 1958 : Les Tricheurs de Marcel Carné : Bob
  • 1958 : Les Dragueurs de Jean-Pierre Mocky : Freddy
  • 1959 : Babette s'en va-t-en guerre de Christian-Jaque : Gérard de Crécy
  • 1959 : La Main chaude de Gérard Oury : Michel
  • 1960 : Le Panier à crabes de Joseph Lisbona
  • 1961 : Le Commando traqué (Tiro al piccione) de Giuliano Montaldo
  • 1961 : La Belle Américaine de Robert Dhéry : L'automobiliste
  • 1961 : Les Sept Péchés capitaux de Claude Chabrol, sketch L'Avarice : Antoine
  • 1961 : L'Œil du Malin de Claude Chabrol : Albin Mercier
  • 1963 : Carmen 63 de Carmine Gallone : Antonio
  • 1963 : À cause, à cause d'une femme de Michel Deville : Rémy Fertet
  • 1963 : Jean-Marc ou la Vie conjugale d'André Cayatte : Jean-Marc
  • 1963 : Françoise ou la Vie conjugale d'André Cayatte : Jean-Marc
  • 1964 : La Bonne Occase de Michel Drach : l'homme bien
  • 1966 : Les Créatures de Agnès Varda René
  • 1966 : Marie Soleil de Antoine Bourseiller Axel
  • 1967 : Le Plus Vieux Métier du monde, sketch Anticipation ou l'Amour en l'an 2000 de Jean-Luc Godard : Nick
  • 1969 : Sirocco d'hiver (Sirokkó) de Miklos Jancso : Marko
  • 1969 : Money-Money de José Varela Raoul
  • 1971 : Les Soleils de l'île de Pâques de Pierre Kast : Alain
  • 1972 : Les Volets clos de Jean-Claude Brialy : Thomas
  • 1981 : Salut champion, feuilleton télévisé en 13 épisodes avec Chantal Nobel : Vincent Navailles

Producteur

  • 1969 : Sirocco d'hiver (Sirokkó) de Miklos Jancso
  • 1971 : Églantine de Jean-Claude Brialy
  • 1972 : Les Volets clos de Jean-Claude Brialy
  • 1972 : What a Flash ! de Jean-Michel Barjol
  • 1973 : L'Oiseau rare de Jean-Claude Brialy
  • 1973 : Dreyfus ou l'intolérable vérité de Jean Chérasse
  • 1975 : Il pleut sur Santiago de Helvio Soto

Théâtre

  • 1957 : Le Journal d'Anne Frank de Frances Goodrich et Albert Hackett, mise en scène Marguerite Jamois, Théâtre Montparnasse

Patit Pascale

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Pascale Petit, nom de scène d'Anne-Marie Petit, est une actrice et chanteuse française née le 27 février 1938 à Paris.

Patit PascalePatit Pascale

Pascale Petit passe son enfance et son adolescence à Vaires-sur-Marne. Elle a un frère aîné et une sœur plus jeune qu'elle. En 1956, elle travaille dans le salon de coiffure Carita où elle est remarquée par une cliente, l'actrice Françoise Lugagne1, alors épouse du réalisateur-acteur Raymond Rouleau, et c'est sous la direction de celui-ci qu'elle fait ses débuts au cinéma dans Les Sorcières de Salem (1957).

Mais c'est avec sa prestation dans le film de Marcel Carné, Les Tricheurs qu'elle acquiert la notoriété au point de se voir attribuer, elle qui ne suivit jamais la moindre formation de comédienne, le prix Suzanne-Bianchetti 1958, attribué annuellement à une jeune actrice française prometteuse. Elle est à sa sortie vue comme l'une des actrice les plus talentueuses du moment, son naturel et sa spontanéité l'emportant sur les actrices plus classiques qui tournaient alors. Georges Sadoul la classe même parmi les "quatre acteurs supérieurement doués" de l'époque.

En 1959, elle fait la connaissance du poète et comédien Giani Esposito au Festival de Moscou et ils se marient discrètement pendant le tournage d'Une fille pour l'été1. Avant de divorcer, le couple a eu une fille, Doushka Esposito, future chanteuse pour Disney France sous le nom de Douchka. Au milieu des années 1960, sa carrière cinématographique bifurque vers des productions de série B, notamment en Allemagne et en Italie, qui la font oublier en France. Elle tente un retour sur la scène française, tant au cinéma (Chronique d'un couple, 1971) que dans la chanson (Il ne reste que moi, 1973), mais ne rencontre plus le succès.

Filmographie

  • 1956 : Les Sorcières de Salem de Raymond Rouleau
  • 1956 : Tahiti ou la joie de vivre de Bernard Borderie
  • 1958 : Une vie d'Alexandre Astruc
  • 1958 : Les Tricheurs de Marcel Carné
  • 1959 : Julie la Rousse de Claude Boissol
  • 1959 : Faibles Femmes de Michel Boisrond
  • 1960 : Vers l'extase de René Wheeler
  • 1960 : La Novice (Lettere di una novizia) d'Alberto Lattuada
  • 1960 : Une fille pour l'été d'Édouard Molinaro
  • 1960 : L'Affaire d'une nuit d'Henri Verneuil
  • 1961 : Les Démons de minuit de Marc Allégret et Charles Gérard
  • 1961 : La Croix des vivants d'Ivan Govar
  • 1962 : Bande de lâches (Un branco di vigliacchi) de Fabrizio Taglioni
  • 1962 : Cléopâtre, une reine pour César (Una regina per Cesare) de Piero Pierotti et Victor Tourjansky
  • 1964 : Comment épouser un premier ministre de Michel Boisrond
  • 1964 : Les Siffleurs (Viheltäjät) de Eino Ruutsalo
  • 1965 : Corrida pour un espion de Maurice Labro
  • 1965 : Un soir à Tibériade d'Hervé Bromberger
  • 1966 : Le Carnaval des barbouzes (Gern hab'ich frauen gekitt) de Alberto Cardone, Louis Soulanes, Sheldon Reynolds et Robert Lynn
  • 1965 : Duel à la vodka / Ces dames de l'étoile rouge (Zwei girls von roten stern) de Sammy Drechel
  • 1967 : Die abenteuer des braven Kommandanten Küppers de Reiner Erler
  • 1967 : Mieux vaut faire l'amour (Susanne, die wirtin von der lahn) de Franz Antel
  • 1968 : Les Mercenaires de la violence (Die große trebjagd) de Mel Welles et Dieter Müller
  • 1968 : Oui à l'amour, non à la guerre (Frau wirtin hat auch einen grafen) de Franz Antel
  • 1968 : Ringo cherche une place pour mourir (Joe... cercati un posto per morire!) de Giuliano Carnimeo
  • 1969 : I diavoli della guerra de Bitto Albertini
  • 1970 : Die weibchen de Zbyněk Brynych
  • 1971 : Chronique d'un couple de Roger Coggio
  • 1972 : Boccace raconte (Boccaccio) de Bruno Corbucci
  • 1972 : Quante volte... quella notte de Mario Bava
  • 1973 : Küçïk kovboy de Guido Zyrli
  • 1975 : Le dolci zie de Mario Imperoli
  • 1981 : Une saison de paix à Paris (Sezona mira u Parizu) de Predrag Golubovic
  • 1985 : Une étrange histoire d'amour (A strange love affair) de Eric de Kuyper et Paul Verstaten
  • 1986 : L'Agression (Der angriff) de Theodor Kotulla
  • 1988 : Sans défense de Michel Nerval
  • 1992 : Ville à vendre de Jean-Pierre Mocky

Télévision

  • 1970 : Berlin Affair de David Lowell Rich
  • 1986 : Dernier Banco de Claude de Givray
  • 1988: L'addition est pour moi de Henri Viard et Denys de la Patellière
  • 1986 : Catherine, série télévisée de Marion Sarraut

Théâtre

  • 2010 : Le Fantôme de l'Opéra de Gaston Leroux, mise en scène Henri Lazarini, Théâtre 14 Jean-Marie Serreau

Obama n'enverra pas de soldats au combat en Irak

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Le président des Etats-Unis a réaffirmé mercredi avec force que les soldats américains en Irak ne participeraient pas à des missions de combat dans la lutte contre les djihadistes de l'organisation Etat islamique.

Les djihadistes ont diffusé jeudi une vidéo du journaliste britannique John Cantlie retenu en otage par l'Etat islamique. (18 septembre 2014)

Les djihadistes ont diffusé jeudi une vidéo du journaliste britannique John Cantlie retenu en otage par l'Etat islamique. (18 septembre 2014)

«Les forces américaines qui ont été déployées en Irak n'ont pas et n'auront pas de mission de combat», a déclaré Barack Obama depuis le commandement militaire chargé du Moyen-Orient et de l'Asie centrale (Centcom), à Tampa en Floride.

«Je ne vous engagerai pas dans une nouvelle guerre au sol en Irak», a-t-il martelé, au lendemain des déclarations du général Martin Dempsey, plus haut gradé américain, qui a suggéré que des conseillers militaires pourraient être envoyés au combat.

«Nous utiliserons notre puissance aérienne. Nous entrainerons et équiperons nos partenaires», a déclaré Barack Obama après avoir rencontré le général Lloyd Austin, chef du Centcom. «Nous mènerons une vaste coalition de pays qui ont un intérêt dans ce combat car il ne s'agit pas simplement de l'Amérique contre l'EI. Il s'agit du monde qui rejette le brutalité de l'EI».

Pour le président américain, les Etats-Unis ne peuvent s'engager «seuls» dans cette lutte. «L'expérience nous a appris que lorsque nous faisons les choses seuls et que les peuples de ces pays ne sont pas impliqués, dès que nous partons, les mêmes problèmes resurgissent. Il faut donc faire différemment».

Jessua Alain

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Alain Jessua est un réalisateur, producteur, scénariste et romancier français, né le 16 janvier 1932 à Paris (France).

Jessua Alain

Alain Jessua est l’assistant de Max Ophüls, Marcel Carné, Yves Allégret et Jacques Becker avant de réaliser son unique court-métrage, Léon la lune1 qui lui vaut le prestigieux prix Jean-Vigo en 1957. Quelques années plus tard, en 1963, son premier long-métrage (devenu « culte » auprès des cinéphiles) est doublement primé, à Cannes et à Venise : La Vie à l’envers, avec Charles Denner et Jean Yanne dont c'est le premier rôle au cinéma. Il enchaîne ensuite une série de longs-métrages qu’il produit lui-même (audace assez rare dans le paysage cinématographique français) : Jeu de massacre (Prix du meilleur scénario à Cannes en 1967), avec Michel Duchaussoy et Jean-Pierre Cassel.

Traitement de choc (1972), un gros succès public, avec Alain Delon et Annie Girardot. Suivront : Armaguedon (1977), avec Alain Delon, Jean Yanne et Michel Duchaussoy ; Les Chiens (1979), avec Gérard Depardieu, Victor Lanoux, Nicole Calfan et Fanny Ardant ; Le paradis pour tous (1982), avec Patrick Dewaere - son dernier rôle, il devait se suicider pendant le montage du film -, Jacques Dutronc et Fanny Cottençon, Frankenstein 1990 (1984), avec Eddy Mitchell et Jean Rochefort ; En toute innocence (1988), avec Michel Serrault et Nathalie Baye ; enfin, Les couleurs du diable (1997), avec Ruggero Raimondi, Wadeck Stanczak et Isabelle Pasco…

Alain Jessua fait régulièrement l’objet d'hommages en France et à l'étranger. Son court-métrage Léon la lune a ainsi été projeté au MOMA - Museum Of Modern Art - de New York, il y a quelques années et Martin Scorsese a cité La Vie à l’envers comme un des films qui l’ont vraiment marqué. De ce cinéaste souvent visionnaire, Jean Tulard, dans son "Dictionnaire du Cinéma", écrit : « Il tourne peu mais bien. Il propose un cinéma où il aborde les problèmes de notre temps et lance des cris d’alarme. » Écrivain, Alain Jessua est l'auteur de six romans, publiés notamment aux éditions Léo Scheer.

Filmographie

  • 1956 : Léon la lune (court métrage)
  • 1964 : La Vie à l'envers
  • 1967 : Jeu de massacre
  • 1973 : Traitement de choc
  • 1977 : Armaguedon
  • 1979 : Les Chiens
  • 1982 : Paradis pour tous
  • 1984 : Frankenstein 90
  • 1988 : En toute innocence
  • 1997 : Les Couleurs du diable

Rey Henri-François

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Henri-François Rey est un romancier, dramaturge, journaliste et dialoguiste français, né à Toulouse le 31 juillet 1920 et mort le 22 juillet 1987.

Rey Henri-François

Licencié en philosophie, il est d'abord journaliste, puis dialoguiste et scénariste pour le cinéma. Son premier roman, La Fête espagnole, parait en 1959 (Prix des Deux Magots 1959) et est adapté au cinéma par Jean-Jacques Vierne en 1961, suivi par Les Pianos mécaniques (prix Interallié 1962), produit au cinéma par Juan Antonio Bardem en 1965, et beaucoup de ses autres romans par la suite. Il est également l'auteur d'une pièce remarquée, notamment, pour avoir ridiculisé Staline, Opéra pour un tyran, mise en scène par André Barsacq au Théâtre de l'Atelier. De sa liaison avec Christiane Rochefort est né Le Repos du guerrier, dont Roger Vadim a tiré un film.

Publications

  • La Fête espagnole, Prix des Deux Magots 1959
  • La Comédie 1960
  • Les Pianos mécaniques, Prix Interallié 1962
  • Les Chevaux masqués, 1965
  • Le Rachdingue, 1967
  • Halleluyah ma vie 1970
  • Le Barbare 1972
  • Schizophrénie, ma sœur 1973
  • Dali dans son labyrinthe 1974
  • La Parodie 1980
  • Feu le palais d'hiver 1981
  • À l'ombre de moi-même 1981
  • Le Sacre de la putain 1983
  • La Jeune Fille nue 1986
  • Le Café Méliton 1987

Théâtre

  • 1954 : La Bande à Bonnot de Henry-François Rey, mise en scène Michel de Ré, Théâtre du Quartier Latin
  • 1967 : Opéra pour un tyran, mise en scène André Barsacq, Théâtre de l'Atelier
  • 1971 : La Bande à Bonnot, mise en scène Pierre Vielhescaze, Théâtre de l'Ouest parisien

Risi Dino

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Dino Risi (Milan, 23 décembre 1916 - Rome, 7 juin 2008) est un réalisateur et scénariste italien.

Risi Dino

Fils de médecin, il commence une carrière de médecin psychiatre tout en s'adonnant à la critique cinématographique, ainsi qu'à l'écriture de nouvelles et de scénarios. C'est en 1940 que Dino Risi effectue ses premiers pas dans le cinéma en tant qu'assistant de Mario Soldati pour le film Le Mariage de minuit et de Alberto Lattuada dans Giacomo l'idealista. Durant la Seconde Guerre mondiale, il se réfugie en Suisse où il suit les cours de Jacques Feyder. L'après-guerre favorise la reprise du cinéma italien. De 1946 à 1949, il contribue à l'écriture de scénarios et à la réalisation de documentaires. Avec Vacanze col gangster, il passe à la réalisation du long métrage en 1952.

À partir des années 1950, il devient l'un des grands réalisateurs de comédies à l'italienne. Son succès débute en 1957 avec la farce critique Pauvres mais beaux et confirme son talent en 1960 avec l'Homme aux cent visages qui initie une longue collaboration avec un de ses acteurs fétiches : Vittorio Gassmann qui dans Parfum de femme obtient le prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes de 1975. Ses autres acteurs préférés sont Nino Manfredi, Ugo Tognazzi, Alberto Sordi et Marcello Mastroianni. Il excelle dans le film à sketches comme la série Les Monstres, mais aussi dans les drames (Le Fanfaron) ou Fantôme d'amour avec Romy Schneider en 1981.

Souvent nommé mais jamais récompensé au Festival de Cannes, ce dernier par reconnaissance, finit par organiser une rétrospective de quinze de ses films en 1993. En 2002, le cinéaste avait reçu un Lion d'or pour l'ensemble de sa carrière au Festival du film de Venise. Une ovation debout avait accompagné ce moment. Dino Risi est l'un des derniers « monstres » de l'âge d'or du cinéma italien. Travailleur infatigable, il a réalisé plus d'une cinquantaine de films. Il est le père de Marco Risi, lui aussi réalisateur de films.

Filmographie

Réalisateur

  • 1946 : Barboni
  • 1946 : I Bersaglieri della signora
  • 1946 : Verso la vita
  • 1947 : Cortili
  • 1947 : Pescatorella
  • 1947 : Strade di Napoli
  • 1947 : Tugillio minore
  • 1948 : 1848
  • 1948 : Costumi e bellezze d'Italia
  • 1948 : Cuore rivelatore
  • 1948 : La Fabbrica del duomo
  • 1948 : Segantini, il pittore della montagna
  • 1949 : Caccia in brughiera
  • 1949 : La Città dei traffici
  • 1949 : La Montagna di luce
  • 1949 : Seduta spirita
  • 1949 : Terra ladina
  • 1949 : Vince il sistema
  • 1950 : Buio in sala
  • 1950 : Fuga in città
  • 1950 : La Grido della città
  • 1950 : L'Isola bianca
  • 1950 : Siero della verità
  • Longs métrages[modifier | modifier le code]
  • 1952 : Vacanze col gangster
  • 1953 : Le Chemin de l'espérance (Il Viale della speranza)
  • 1953 : Le Signe de Vénus (Il segno di Venere)
  • 1953 : L'Amour à la ville (L'amore in citta), segment Paradiso per 4 ore
  • 1955 : Pain, amour, ainsi soit-il (Pane, amore, e...)
  • 1956 : Pauvres mais beaux (Poveri ma belli)
  • 1957 : Beaux mais pauvres (Belle ma povere)
  • 1957 : L'Impossible Isabelle (La Nonna Sabella)
  • 1958 : Venise, la lune et toi (Venezia, la luna e tu)
  • 1959 : L'Homme aux cent visages (Il mattatore)
  • 1959 : Poveri milionari
  • 1959 : Il Vedovo
  • 1960 : L'Inassouvie (Un amore a Roma)
  • 1961 : Une vie difficile (Una vita difficile)
  • 1961 : A porte chiuse (en)
  • 1962 : La Marche sur Rome (La marcia su Roma)
  • 1962 : Le Fanfaron (Il sorpasso)
  • 1963 : Il successo (it) de Mauro Morassi (it)
  • 1963 : Il Giovedi
  • 1963 : Les Monstres (I Mostri )
  • 1964 : Il Gaucho
  • 1965 : Les Complexes (I complessi) segment Une journée décisive
  • 1965 : Play-boy party (L'Ombrellone )
  • 1965 : I Nostri mariti (segment Il Marito di Attilia)
  • 1965 : Les Poupées (Le bambole)
  • 1966 : Opération San Gennaro (Operazione San Gennaro)
  • 1967 : L'Homme à la Ferrari (Il tigre)
  • 1968 : Le prophète (Il profeta)
  • 1968 : Fais-moi très mal mais couvre-moi de baisers (Straziami, ma di baci saziami)
  • 1969 : Une poule, un train... et quelques monstres (Vedo nudo)
  • 1969 : Il Giovane normale
  • 1970 : La Femme du prêtre (La moglie del prete)
  • 1971 : Au nom du peuple italien (In nome del popolo italiano)
  • 1971 : Moi, la femme ! (Noi donne siamo fatte cosi)
  • 1973 : Rapt à l'italienne (Mordi e fuggi)
  • 1973 : Sexe fou (Sessomatto)
  • 1975 : La Carrière d'une femme de chambre (Telefoni bianchi)
  • 1975 : Parfum de femme (Profumo di donna)
  • 1976 : La Chambre de l'évêque (La stanza del vescovo)
  • 1977 : Âmes perdues (Anima persa)
  • 1977 : Dernier Amour (Primo amore)
  • 1978 : Les Nouveaux Monstres (I nuovi mostri)
  • 1979 : Cher papa (Caro papà)
  • 1980 : Je suis photogénique (Sono fotogenico)
  • 1980 : Les Séducteurs
  • 1981 : Fantôme d'amour (Fantasma d'amore)
  • 1982 : Les Derniers Monstres (Sesso e volentieri)
  • 1984 : ...e la vita continua (TV)
  • 1984 : Le Bon Roi Dagobert
  • 1985 : Le Fou de guerre (Scemo di guerra)
  • 1986 : Il Commissario Lo Gatto
  • 1987 : Teresa
  • 1988 : Carla, Quattre storie di donne (TV)
  • 1988 : La Ciociara (TV)
  • 1988 : Il Vizio di vivere (TV)
  • 1990 : Valse d'amour (Tolgo il disturbo)
  • 1990 : Vita coi figli (TV)
  • 1992 : Missione d'amore (série TV)
  • 1996 : Giovani e belli
  • 1996 : Esercizi di stile (segment Myriam)
  • 2002 : Le ragazze di Miss Italia (TV)

Scénariste

  • 1949 : Canzoni per le strade de Mario Landi
  • 1951 : Anna de Alberto Lattuada
  • 1958 : Anna de Brooklyn (Anna di Brooklyn) de Vittorio De Sica et Carlo Lastricati
  • 1969 : Une poule, un train... et quelques monstres (Vedo nudo), de lui-même

Des journalistes de la BBC « violemment battus » dans le sud de la Russie

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La BBC a annoncé jeudi 18 septembre qu'une de ses équipes de journalistes avait été agressée par des inconnus dans la ville d'Astrakhan, dans le sud de la Russie, où elle réalisait un reportage sur des soldats « tués près de la frontière avec l'Ukraine ».

Des journalistes de la BBC « violemment battus » dans le sud de la Russie

« Notre équipe a été violemment battue, leur caméra a été détruite puis elle leur a été prise », a expliqué dans un communiqué la chaîne de télévision britannique, précisant que l'attaque avait été perpétrée « par des hommes non identifiés dans une attaque préméditée ».

Son porte-parole, James Hardy, a précisé par écrit à l'Agence France-presse que le caméraman recevait toujours des soins pour « une commotion et d'autres blessures ».

Après avoir été agressés, les journalistes, dont au moins un, Steve Rosenberg, est Britannique, ont été emmenés au poste de police « pour quatre heures d'interrogatoire et ont découvert ensuite que la carte mémoire de leur matériel d'enregistrement (...) avait été effacée », a affirmé la chaîne.

Le journaliste a qualifié sur son compte Twitter sa journée de « difficile », en publiant son entretien avec une femme affirmant que son frère, le soldat Konstantin Kouzmine, a été tué à la frontière russo-ukrainienne.

« HARCÈLEMENT DES MÉDIAS »

« Leur agression et la destruction de leur matériel et de leurs enregistrements font à l'évidence partie d'une tentative préméditée qui vise à empêcher des journalistes accrédités de faire un reportage », a affirmé la BBC.

« Nous avons affaire à un signal clair de harcèlement des médias indépendants en Russie », a renchéri Dunja Mijatovic, représentante de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) pour la liberté de la presse, qualifiant l'agression des journalistes de « totalement inacceptable » dans un communiqué.

La chaîne et l'OSCE exigent des autorités russes qu'elles mènent l'enquête sur ces faits. Elle est en cours, a affirmé le porte-parole de la police d'Astrakhan, selon des agences de presse russes.

Presque aucune information ne filtre dans les médias russes concernant un hypothétique déploiement de troupes russes en Ukraine, dont Moscou est accusé par Kiev et les Occidentaux.

Au moins deux cents soldats russes auraient été tués dans l'est de l'Ukraine, où ils combattraient aux côtés des séparatistes prorusses contre les troupes loyales à Kiev, selon des militants pour les droits humains.

Des journalistes enquêtant sur la mort de soldats ont déjà été attaqués ou menacés ces dernières semaines, tel le député de l'opposition et journaliste Lev Chlosberg, hospitalisé après avoir été agressé par trois inconnus.

Doria Bianca

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Bianca Doria (née le 22 septembre 1915 à San Gregorio nelle Alpi) est une actrice italienne.

Doria Bianca

Filmographie

  • 1942 : Nous, les vivants de Goffredo Alessandrini
  • 1946 : Sans famille de Giorgio Ferroni
  • 1951 : Demain est un autre jour (Domani è un altro giorno) de Léonide Moguy
  • 1951 : Salvate mia figlia de Sergio Corbucci
  • 1953 : Les Anges déchus (Il mondo le condanna) de Gianni Franciolini
  • 1954 : Une fille nommée Madeleine d'Augusto Genina
  • 1954 : Vacanze col gangster de Dino Risi
  • 1963 : Maciste contre les Mongols de Domenico Paolella
  • 1984 : Don Camillo de Terence Hill

Maggiorani Lamberto

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Lamberto Maggiorani (né le 28 août 1909 à Rome et mort le 22 avril 1983 (à 73 ans) dans la même ville) est un acteur italien.

Maggiorani Lamberto

Filmographie

  • 1948 : Le Voleur de bicyclette de Vittorio De Sica
  • 1951 : Salvate mia figlia de Sergio Corbucci
  • 1951 : L'Inconnue des cinq cités (A Tale of Five Cities) coréalisation
  • 1954 : Vacanze col gangster de Dino Risi
  • 1955 : La Grande Bagarre de don Camillo de Carmine Gallone

Concini Ennio de

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Ennio De Concini (né le 9 décembre 1923 à Rome, et mort dans cette ville le 17 novembre 2008) est un scénariste, réalisateur et producteur italien.

Concini Ennio de

En 1963 il a remporté l'Oscar du meilleur scénario original pour célèbre film Divorce à l'italienne, réalisé par Pietro Germi en 1961. Ennio De Concini commence sa carrière cinématographique comme assistant de Vittorio De Sica et, dès 1947, écrit ses premiers scénarios. Il a plus de 170 scénarios de films à son actif, couvrant la plupart des principaux genres du cinéma italien : du film péplum, dans lequel il excelle, au film sentimental. Il a aussi participé à la production de films américains et français (notamment Le Dernier Amant romantique, réalisé par Just Jaeckin, et La Bataille de San Sebastian, réalisé par Henri Verneuil).

Filmographie

Comme scénariste

  • 1951 : Trahison (Il tradimento)
  • 1954 : Mambo (Mambo)
  • 1954 : Ulysse (Ulisse)
  • 1954 : Sémiramis, esclave et reine (La cortigiana di Babilonia)
  • 1956 : Guerre et Paix (War and Peace)
  • 1957 : Le Cri (Il Grido)
  • 1958 : Les Travaux d'Hercule (Le fatiche die Ercole)
  • 1958 : Hercule et la reine de Lydie (Ercole e la Regina di Lidia)
  • 1959 : Les Derniers Jours de Pompéi (Gli Ultimi Giorni di Pompei)
  • 1959 : La Bataille de Marathon (La Battaglia di Maratona)
  • 1959 : Meurtre à l'italienne (Un maledetto imbroglio), de Pietro Germi
  • 1960 : Constantin le Grand (Costantino il Grande)
  • 1960 : Messaline (Messalina Venere Imperiale)
  • 1960 : La Charge de Syracuse (L'assedio di Siracusa) de Pietro Francisci
  • 1960 : Le Masque du démon (La maschera del Demonio)
  • 1961 : Le Colosse de Rhodes (Il Colosso di Rodi)
  • 1961 : Les Horaces et les Curiaces (Orazi e Curiazi)
  • 1961 : Les Titans (Arrivano I titani)
  • 1961 : Divorce à l'italienne (Divorzio all'Italiana)
  • 1961 : Madame Sans-Gêne
  • 1962 : Les Don Juan de la Côte d'Azur (I Dongiovanni della Costa Azzurra)
  • 1962 : La Fille qui en savait trop (La Ragazza che sapeva troppo)
  • 1968 : Le Bâtard (I Bastardi)
  • 1968 : La Bataille de San Sebastian, réalisé par Henri Verneuil
  • 1969 : La Tente rouge, ou Le Jugement des morts (Krasnaya palatka)
  • 1972 : Barbe-Bleue (Bluebeard)
  • 1975 : Les Quatre de l'apocalypse (I Quattro dell'apocalisse)
  • 1976 : Salon Kitty
  • 1978 : Le Dernier Amant romantique, film français réalisé par Just Jaeckin
  • 1978 : Amore, piombo e furore (en)
  • 1978 : C'est mon gigolo
  • 1983 : à couteau tiré (Copkiller)
  • 1984 : La Mafia (La piovra) (épisodes de feuilleton TV : Épisodes de La Mafia)
  • 1985 : Quo Vadis ? (en) (Quo vadis?) (Mini série TV)
  • 1986 : Le Diable au corps (Diavolo in corpo)
  • 1990 : Au bonheur des chiens (C'era un castello con 40 cani)
  • 1990 : Marcellino (Marcellino pane e vino)

Comme réalisateur

  • 1952 : Gli undici moschettieri (en)
  • 1973 : Daniele e Maria
  • 1973 : Les Dix Derniers Jours d'Hitler (Hitler: The last ten days)
  • 1989 : Quattro storie di donne (série TV), (1 épisode)

Comme producteur

  • 1963 : Les Gladiatrices

Lee Belinda

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Belinda Lee (née le 15 juin 1935 à Budleigh Salterton, dans le Devon et morte le 12 mars 1961) est une actrice anglaise.

Lee Belinda

Née à Budleigh Salterton, une petite ville sur la côte sud du Devon, en Angleterre, à 25 kilomètres au sud d'Exeter, Belinda Lee suit les cours de l'Académie royale d'art dramatique de Londres, avant d'être engagée par le studio de cinéma Rank. Elle semble d'abord devoir succéder à Diana Dors, partenaire de Benny Hill dans la comédie et de Louis Jourdan dans le film historique. Mais après son divorce, elle s'installe en Italie où elle poursuit sa carrière.

Elle y incarne Lucrèce Borgia, Messaline et Aphrodite, imposant sa beauté sculpturale dans des rôles de femmes dangereuses (trop belles), parfois à leurs propres dépens. Belinda Lee travaille également avec Jean-Pierre Mocky et Francesco Rosi, avec pour partenaires Daniel Gélin, Alberto Sordi ou Marcello Mastroianni. Elle meurt à 25 ans dans un accident de voiture sur une route de Californie. Les trois autres occupants de la voiture sont blessés. Les cinéastes Paolo Cavara et Gualtiero Jacopetti se trouvaient à l'arrière. Elle est inhumée à Rome, dans le cimetière Campo-Cestio.

Filmographie

  • 1954 : The Case of Canary Jones (court métrage)
  • 1954 : The Runaway Bus de Val Guest avec Margaret Rutherford, Petula Clark, George Coulouris
  • 1954 : Family Affair de Val Guest avec Bebe Daniels, Ben Lyon
  • 1954 : Meet Mr. Callaghan de Charles Saunders d'après Peter Cheyney
  • 1954 : The Belles of St. Trinian's de Frank Launder avec Alastair Sim
  • 1955 : Des pas dans le brouillard d'Arthur Lubin avec Jean Simmons, Stewart Granger
  • 1956 : Who Done It ? de Basil Dearden avec Benny Hill
  • 1957 : Faux Policiers (The Secret Place) de Clive Donner avec Ronald Lewis, David McCallum
  • 1957 : Miracle à Soho de Julian Amyes d'après un roman d'Emeric Pressburger
  • 1957 : Aphrodite, déesse de l'amour de Fernando Cerchio et Victor Tourjansky avec Jacques Sernas et Massimo Girotti
  • 1958 : Le Prisonnier du Temple (Dangerous Exile) de Brian Desmond Hurst avec Louis Jourdan
  • 1958 : The Big Money de John Paddy Carstairs avec Ian Carmichael et Jill Ireland dans un second rôle
  • 1958 : Aventures au Kenya Elephant Gun de Ken Annakin avec Michael Craig, Anna Gaylor, Patrick McGoohan
  • 1958 : Ce corps tant désiré de Luis Saslavsky avec Daniel Gélin, Maurice Ronet, Dany Carrel, Antoine Balpêtré, Jane Marken
  • 1959 : Les Nuits de Lucrèce Borgia de Sergio Grieco avec Jacques Sernas, Arnoldo Foa, Michèle Mercier, Franco Fabrizi
  • 1959 : Les Dragueurs de Jean-Pierre Mocky avec Jacques Charrier, Charles Aznavour, Nicole Berger, Dany Robin, Estella Blain, Anouk Aimée, Dany Carrel, Margit Saad
  • 1959 : Profession Magliari de Francesco Rosi avec Alberto Sordi, Renato Salvatori
  • 1959 : L'Amour c'est mon métier (She Walks by Night) de Rudolf Jugert avec Walter Rilla
  • 1959 : Brevi amore a Palma di Majorca
  • 1960 : Il sicario (Blood Feud) de Damiano Damiani avec Alberto Lupo, Sylva Koscina, Sergio Fantoni, Pietro Germi
  • 1960 : L'Esclave du pharaon (Joseph et ses frères) d'Irving Rapper avec Geoffrey Horne, Robert Morley, Mario Girotti
  • 1960 : Marie des Iles de Georges Combret avec Alain Saury, Jacques Castelot, Folco Lulli, Noël Roquevert, Dario Moreno, Magali Noël, Philippe Hersent, Jean Tissier, Alexandre Rignault
  • 1960 : Messaline de Vittorio Cottafavi avec Spiros Focas, Ida Galli, Giuliano Gemma
  • 1960 : Constantin le Grand de Lionello De Felice avec Cornel Wilde, Massimo Serato, Christine Kaufmann
  • 1960 : Breve amore a Palma di Majorca de Giorgio Bianchi avec Alberto Sordi, Gino Cervi, Dorian Gray, Antonio Cifariello
  • 1960 : Le Port des illusions (Satan Tempts with Love) de Rudolf Jugert avec Ivan Desny, Joachim Hansen
  • 1960 : La Longue nuit de 43 (It Happened in 43) de Florestano Vancini écrit par Pier Paolo Pasolini avec Gabriele Ferzetti, Enrico Maria Salerno, Gino Cervi
  • 1960 : Femmine di lusso (Love, The Italien Way) de Bianchi avec Ugo Tognazzi, Elke Sommer, Walter Chiari, Koscina, Cervi, Massimo Serato, Ferzetti
  • 1960 : Joyeux Fantômes (Fantasmi a Roma) d'Antonio Pietrangeli avec Marcello Mastroianni, Sandra Milo, Vittorio Gassman

Galli Ida

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Ida Galli est une actrice de cinéma italienne née le 9 avril 1942 à Sestola, en Émilie-Romagne. Elle a tourné sous les pseudonymes Arianna Galli, Arianna Heston, Isli Oberon, Priscila Steele et surtout Evelyn Stewart.

Galli Ida

Filmographie 

  • 1960 : La Dolce vita de Federico Fellini
  • 1960 : Messaline (Messalina, Venere imperatrice) de Vittorio Cottafavi
  • 1961 : Hercule contre les vampires (Ercole al centro della terra) de Mario Bava et Franco Prosperi
  • 1963 : Les Derniers Jours d'un empire (Il Crollo di Roma) d'Antonio Margheriti
  • 1963 : Le Guépard (Il gattopardo) de Luchino Visconti
  • 1963 : Le Corps et le Fouet (La Frusta e il corpo) de Mario Bava : Katia
  • 1965 : Adiós gringo de Giorgio Stegani
  • 1965 : Le Dollar troué (Un dollaro bucato) de Giorgio Ferroni
  • 1967 : Le Jardin des délices (Il giardino delle delizie) de Silvano Agosti
  • 1971 : La Queue du scorpion (La coda dello scorpione) de Sergio Martino
  • 1971 : Un papillon aux ailes ensanglantées (Una farfalla con le ali insanguinate) de Duccio Tessari
  • 1972 : Il coltello di ghiaccio d'Umberto Lenzi
  • 1972 : La Maison de la brune (La mansión de la nieblade) de Francisco Lara Polopet Pedro Lazaga : Martha Clinton

Dempsey Martin

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Martin E. Dempsey, né le 14 mars 1952 à Goshen dans l'État de New York, est un général américain.

Dempsey Martin

Il est le 18e et actuel chef d'état-major des armées des États-Unis, depuis le 1er octobre 2011. Il est à ce poste le plus haut gradé de l'armée américaine. Il fut auparavant, du 11 avril 2011 au 7 septembre 2011, Chief of Staff of the United States Army, après avoir assuré les fonctions de commandant général de la force multinationale de sécurité en Irak (d'août 2005 à août 2007), de commandant-adjoint (d'août 2007 au 23 mars 2008), puis commandant (du 24 mars 2008 au 30 octobre 2008) du United States Central Command (CENTCOM), et de général commandant du United States Army Training and Doctrine Command (TRADOC) (du 8 décembre 2008 au 11 avril 2011).

Martin Dempsey fait ses études au lycée catholique John S. Burke de Goshen, puis, en 1974, à West Point où il fait ses classes militaires et devient officier. En tant qu'officier subalterne, il sert au premier escadron du 2e régiment de cavalerie. Il intègre ensuite, comme officier supérieur, la troisième brigade de la troisième division blindée durant l'opération Tempête du désert, en Irak, avant, de 1992 à 1995, de diriger à Fribourg, en Allemagne, le 4e bataillon du 67e régiment de la première division blindée.

En juin 2003, devenu général de brigade, Martin Dempsey assure le commandement complet de la première division blindée. Il succède ainsi au lieutenant-général Ricardo S. Sanchez, promu commandant du 5e corps d'armée américain. Dempsey assure ce commandement jusqu'en juillet 2005, avec notamment 13 mois en Irak, de juin 2003 à juillet 2004. Pendant qu'elle est ainsi en Irak, la première division blindée, qu'il commande donc, comprend, en plus de ses propres brigades, le 2e régiment de cavalerie et une brigade de la 82e division aéroportée. Ce commandement, nommé « Task force Iron », en référence au surnom de la division, « Old Ironsides », est, en quantité, le plus important de l'histoire de l'armée des États-Unis.

Par la suite, devenu major-général, Dempsey et son commandement assurent la responsabilité des opérations en cours à Bagdad, la capitale irakienne, et doivent faire face à la mise en place et au développement de la guérilla insurrectionnelle. Dempsey est alors ainsi décrit par Thomas Ricks dans son ouvrage, consacré à la guerre en Irak, et intitulé Fiasco : « dans la capitale-même, la première division blindée, après que Sanchez est parti assurer le contrôle du 5e corps d'armée américain, est dirigée par Martin E. Dempsey, généralement considéré comme ayant fait un bon travail malgré l'héritage d'une situation difficile, et ce alors que Bagdad suscite toutes les attentions ».

Le 27 mars 2007, Martin Dempsey est promu commandant de la force multinationale de transition en Irak, au grade de lieutenant général, et commandant-adjoint du United States Central Command (CENTCOM). Le 5 février 2008, il est nommé à la tête de la 7e armée américaine (mais n'aura pas le temps de prendre ses fonctions), sise en Europe, tandis que le Sénat valide son passage au grade de général quatre étoiles. Le 11 mars 2008, l'amiral William J. Fallon, commandant en chef du CENTCOM, prend sa retraite. Le secrétaire à la Défense Robert Gates en prend acte le 31 mars suivant, et nomme Martin Dempsey pour succéder à Fallon. Cette décision s'effectue alors que le Sénat vient à peine de confirmer, le 13 mars 2008, la nomination de Dempsey à la tête de la 7e armée. Finalement, celui-ci n'aura jamais l'occasion d'exercer ces fonctions, prenant immédiatement le commandement du CENTCOM en remplacement de l'amiral Fallon. La 7e échoue finalement entre les mains du général Carter F. Ham.

Le 8 décembre 2008, Dempsey prend le commandement du United States Army Training and Doctrine Command (TRADOC). Le 6 janvier 2011, le secrétaire à la Défense Robert Gates annonce qu'il entend nommer le général Dempsey Chief of Staff of the United States Army, en succession du général George Casey, une décision confirmée par le président Barack Obama le 8 février 2011. Dempsey doit alors prêter serment devant le Sénat, ce qui est fait le 3 mars 2011. Le Sénat entérine la nomination de Dempsey le 16 mars 2011. Lorsque l'amiral Michael Mullen, alors chef d'état-major des armées des États-Unis, annonce début 2011 prendre sa retraite en septembre suivant, le président Obama entreprend de sélectionner un remplaçant. L'adjoint de Mullen, James Cartwright, est initialement pressenti, mais le secrétariat à la Défense émet un avis négatif. Finalement, le 26 mai 2011, Barack Obama nomme le général Dempsey pour succéder à Mullen au poste suprême de l'armée américaine. Il devient officiellement, en prenant ses fonctions, le 18e chef d'état-major des armées des États-Unis le 1er octobre 2011.

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