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St-Cyr Lili

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Lili St-Cyr, de son vrai nom Marie Van Schaak, née à Minneapolis le 3 juin 1918 et décédée à Los Angeles le 29 janvier 1999, est une actrice américaine qui était considérée comme la reine du striptease.

St-Cyr Lili St-Cyr Lili

Lili St-Cyr a débuté sa carrière comme fille de club à Las Vegas. À partir de 1944, elle s'installe à Montréal et tient l'affiche de plusieurs cabarets montréalais mais elle est surtout identifiée au Théâtre Gayety. Elle fera de nombreux séjours à Montréal jusqu'en 1951. Le français Alain Bernardin fonde le Crazy Horse Saloon à Paris en 1951 après avoir vu le spectacle de Lili St-Cyr au Gayety. La législation, à cette époque, au Canada et aux États-Unis, interdisait aux danseuses de quitter la scène avec moins de vêtements qu'à leur arrivée. Lili St-Cyr a contourné cette loi en concevant un numéro où elle se présentait nue dans sa baignoire pleine de bulles. Son spectacle consistait en un lent rhabillage progressif.

Les membres du clergé du Québec poursuivent Lili St-Cyr au début des années 1950 mais ils n’ont pu condamner le spectacle et elle fut acquittée. Elle fut une grande vedette à Montréal à la fois pour l'originalité de son numéro mais aussi par le nombre imposant d'articles dans les journaux à potins de l'époque. Elle fut donc célèbre, ses spectacles au Théâtre Gayety étaient courus et elle touchait jusqu'à 5 000 dollars par semaine, cachet faramineux pour l'époque. Pendant son séjour à Montréal, elle a eu plusieurs relations tumultueuses (dont une avec le journaliste montréalais Al Palmer). Mais sa plus célèbre relation demeure celle avec l'ancien joueur de hockey des Red Wings de Détroit, Jimmy Orlando, qui était devenu à la fin des années 1940 gérant du cabaret montréalais El Morocco.

Lili St-Cyr joue dans plusieurs films mais elle n'a jamais été reconnue comme actrice. En 1955, avec l'aide d'Howard Hughes, elle a eu son premier rôle important au cinéma en jouant dans le film Le Fils de Sinbad. Le film a été condamné par les militants catholiques. Lili St-Cyr a aussi eu un rôle dans le film de Norman Mailer Les Nus et les Morts, en 1958. Dans ce film, elle joue Jersey Lili, une strip-teaseuse dans un night-club d'Honolulu et une copine d'un soldat qui se vante à ses amis qu'il a peint son tableau dans son sous-sol. Mais sa carrière a été de courte durée, et elle a joué des rôles secondaires en tant que strip-teaseuse. On fait aussi référence à elle dans le film The Rocky Horror Picture Show où l'une des héroïnes dit « God bless Lily St-Cyr ». Lili St-Cyr est également connue pour ses photographies de pin-up, surtout pour les photos prises par Bruno Bernard, connu professionnellement comme « Bernard de Hollywood », le premier photographe glamour d'Hollywood.

Filmographie

  • Love Moods (1952)
  • Bedroom Fantasy (1953)
  • Striporama (1953)
  • Varietease (1954)
  • Teaserama (1955)
  • Son of Sinbad (1955) - Version fr. : Le Fils de Sinbad
  • Buxom Beautease (1956)
  • The Naked and the Dead (1958) - Version fr. : Les Nus et les Morts
  • I Mobster (1958)
  • Kiss Me Baby (1960)
  • Runaway Girl (1965)

Dorian Angela

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Victoria Vetri (née le 26 septembre 1944 à San Francisco) est un modèle de charme et une actrice américaine également connue sous le pseudonyme Angela Dorian. Elle a été playmate de Playboy en septembre 1967 puis élue Playmate de l'Année 1968.

Dorian Angela Dorian Angela

Victoria est née en Californie de parents qui étaient des immigrants italiens : son père, né en Sicile, tenait un restaurant à Los Angeles et sa mère, native de Rome s'était produite comme actrice à Broadway. Angela a suivi des cours à la High Scholl d'Hollywood entre 1959 et 1963 avant de poursuivre des études artistiques au City College de Los Angeles. Elle a commencé à poser et à pratiquer comme mannequin en tant qu'adolescente. Elle chantait et dansait et à ce titre, a doublé la voix de Natalie Wood pour des chants dans le film West Side Story (1961). De cette expérience, elle fit la remarque qu'elle ne voulait pas être connue comme doublure de quelqu'un d'autre. Elle a aussi postulé pour rôle titre du film Lolita dans l'adaptation de Stanley Kubrick, mais le rôle fut dévolu à Sue Lyon. En outre, elle écrit des poèmes et joue de la guitare.

A 23 ans, sous le pseudonyme Angela Dorian elle posa pour le magazine Playboy en tant que Miss Septembre 1967 puis fut choisie comme Playmate de l'Année en 1968. Ce pseudonyme était inspiré du nom d'un prestigieux paquebot italien ayant fait naufrage en 1956 : l' Andrea Doria. Son dépliant central où elle est allongée nue sur un hamac, fut photographié par Carl Gunther. Elle reçut 20 000 $ en cadeaux divers comprenant une automobile American Motors AMX, une montre en or, des skis et une combinaison de ski, une garderobe complète, une caméra de cinéma, une machine à écrire, un magnétophone, une chaîne stéréo, une guitare...

Une photo nue d'elle ainsi que de ses collègues playmates Leslie Bianchini, Reagan Wilson et Cynthia Myers fut copiée et insérée par des collègues farceurs dans le livre d'instructions des astronautes de la Mission Apollo 12 (novembre 1969) concernant leurs sorties dans l'espace. Une des légendes était Seen any interesting hills & valleys ? (Avez-vous vu des collines et des vallées intéressantes ?). Angela Dorian apparut brièvement dans le film Rosemary's Baby. Dans une des scènes, Rosemary fait la remarque qu'elle ressemble à Victoria Vetri. En janvier 1969, elle signa un contrat pour plusieurs tournages avec Warner Seven Arts. Elle eut un rôle de premier plan dans le film When Dinosaurs Ruled The Earth. Elle refusa de faire décolorer ses cheveux pour devenir blonde comme le réclamaient les nécessités du film, et tourna donc les scènes avec une perruque. L'éditorialiste Hy gardner la désigna comme "un nouveau sex-symbol à l'horizon d'Hollywood" en mars 1971.

Elle a à nouveau posé, photographiée par Pompeo Posar, dans Playboy en avril 1984 pour l'article Playmates Forever II proposant des photos nues d'anciennes playmates : elle avait 40 ans. Dans la biographie du général Anthony Zinni, écrite en 2004 par Tom Clancy (Battle Ready), il est rapporté que celui-ci a reçu de la part de collègues pour son 24e anniversaire, un exemplaire du numéro de septembre 1967 de Playboy, avec Angela Dorian sur le dépliant central, et l'avoir toujours conservé depuis lors comme souvenir de son engagement au Vietnam.

Elle a aussi eu de nombreux rôles à la télévision pendant les décennies 1960-1970. En 1986, Victoria épousa Bruce Rathgeb, devenant légalement Victoria Rathgeb. On ne leur connaît pas d'enfants. Victoria Vetri a été accusée de tentative de meurtre sur la personne de son mari, après lui avoir tiré dessus à bout portant dans l'appartement d'Hollywood où ils habitaient, à la suite d'une dispute le samedi 16 octobre 2010. Elle a été arrêtée le jour même par la police et est restée en prison, à défaut de versement d'une caution de 1,53 million de dollars que le juge a refusé de revoir à la baisse. En janvier 2011, il lui a été refusé la réduction de l'accusation de tentative de meurtre et il a été ordonné son jugement sur ce chef d'inculpation. En septembre 2011, elle a admis ne pas réclamer une accusation réduite de tentative d'homicide volontaire et a été condamnée à neuf années de prison.

Filmographie

  • The Pigeon That Took (1962)
  • Kings of the (1963)
  • Chuka (1967)
  • Rosemary's Baby (1968) (Terry Gionoffrio)
  • The Pigeon (1969) (TV)
  • Night Chase (1970) (TV)
  • When Dinosaurs Ruled the Earth (1970)
  • Incident in San Francisco (1971) (TV)
  • Invasion of the Bee Girls (1973)
  • Group Marriage (1973)

Lee Gypsy Rose

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Gypsy Rose Lee, de son vrai nom Rose Louise Hovick, est née à Seattle (États-Unis) le 9 février 1911 et est morte du cancer à 59 ans le 26 avril 1970 à Los Angeles. Elle est considérée, avec Lili St-Cyr, comme l'une des reines du striptease d'après-guerre.

Lee Gypsy Rose

Rose Louise Hovick a débuté sa carrière de stripteaseuse à l’âge de 25 ans sous le nom de Gypsy Rose Lee. En effet, en 1936, elle se produisait dans The Ziegfeld Follies, le spectacle le plus populaire de l’époque. Elle est rapidement devenue une danseuse reconnue et une star du burlesque américain. Elle était reconnue pour ses performances uniques car elle parlait à son public lorsqu’elle retirait ses vêtements. 

Elle a été remarquée par Hollywood et le studio 20th Century Fox lui offre un rôle en 1937, elle avait alors 26 ans. Elle fit plusieurs apparitions (à la fin des années 1940) à Montréal dans plusieurs cabarets montréalais notamment aux côtés de Lili St-Cyr au Théâtre Gayety ainsi qu'au Cabaret Roxy. Elle fait également paraître alors deux romans policiers humoristiques qui se déroulent dans le milieu des cabarets qu'elle connaît si bien.

Elle a fondé le premier syndicat des artistes burlesques aux États-Unis en 1951. En 1956, elle prend sa retraite de sa carrière de strip-teaseuse et écrit son autobiographie, Gypsy : A Memoir, best-seller en 1957, et transformé en comédie musicale en 1959 par Stephen Sondheim et Jule Styne, sous le titre Gypsy. Gypsy Rose Lee a eu sa propre émission de télévision en 1965, The Gypsy Rose Lee Show. En 1966, elle s’est produite dans la pièce « Pruitts of Southampton » et a fait une brève apparition dans la série Batman en 1967. Elle s’est rendu au Viêt Nam en 1969 pour se produire dans un spectacle.

Diagnostiquée d’un cancer incurable en 1969, Gypsy est décédée le 26 avril 1970 à Los Angeles. Les romans policiers publiés sous son nom ont en fait été écrits par Craig Rice, qui aurait fait office de nègre littéraire. Ils relèvent d'ailleurs d'une inspiration semblable à celle de l'auteur de Justus, Malone & Co., combinant roman noir et screwball comedy. Le groupe punk californien The Distillers lui a dédié une chanson sur son premier album éponyme en 2000. Elle a son étoile au Hollywood Walk of Fame.

Filmographie (cinéma et télévision)

  • 1937 : You Can't Have Everything : Lulu Riley
  • 1938 : My Lucky Star : Marcelle
  • 1944 : Belle of the Yukon : Belle De Valle
  • 1952 : Les Mille et une filles de Bagdad (Babes in Bagdad) : Zohara
  • 1956 : The Steve Allen Show (TV) : Saloon Girl (1 épisode)
  • 1956 : The United States Steel Hour : Lorraine Anderson
  • 1958 : Screaming Mimi : Joann 'Gypsy' Masters
  • 1958 : La Forêt interdite (Wind Across the Everglades) : Mrs. Bradford
  • 1963 : The Stripper : Madame Olga
  • 1964 : Who Killed Vaudeville? (TV) : Miss Bumpsy Cathcart
  • 1964 : Burke's Law : Miss Bumpsy Cathcart (1 épisode)
  • 1965 : Who Has Seen the Wind? (TV) : Proprietress
  • 1965 : The Gypsy Rose Lee Show
  • 1966 : Le Dortoir des anges (The Trouble with Angels) : Mrs. Mabel Dowling Phipps
  • 1966 : The Pruitts of Southampton (Série TV) : Regina Wentworth
  • 1966 : Batman (TV) : Newscaster (1 épisode)
  • 1968 : The Name of the Game (TV) : Rosetta Stewart (1 épisode)
  • 1969 : The Over-the-Hill Gang (TV) : Cassie

Staley Joan

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Joan Staley est une actrice américaine née le 20 mai 1940 à Minneapolis, Minnesota (États-Unis).

Staley Joan

Filmographie

  • 1960 : L'Inconnu de Las Vegas (Ocean's Eleven) : Helen
  • 1960 : Piège à minuit (Midnight Lace) : Blonde Pedestrian
  • 1961 : Dondi : Sally
  • 1961 : Gun Fight : Nora Blaine
  • 1961 : Le Tombeur de ces dames (The Ladies Man)
  • 1961 : Diamants sur canapé (Breakfast at Tiffany's) : Girl in low-cut dress
  • 1961 : Valley of the Dragons : Deena
  • 1962 : The Beachcomber (série TV) : Linda
  • 1962 : Le Cap de la terreur (Cape Fear) : Waitress
  • 1963 : Johnny Cool : Suzy
  • 1963 : La Fille à la casquette (A New Kind of Love) : Danish Stewardess
  • 1964 : Salut, les cousins (Kissin' Cousins) : Jonesy
  • 1964 : Broadside (série TV) : Machinist's Mate Roberta Love
  • 1964 : L'Homme à tout faire (Roustabout) : Marge
  • 1966 : The Ghost and Mr. Chicken : Alma Parker
  • 1966 : Gunpoint : Uvalde
  • 1968 : Mission Impossible Versus the Mob : Ginny

Mara Corday

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Mara Corday (born Marilyn Joan Watts on January 3, 1930) is a showgirl, model, actress, Playboy Playmate and a 1950s cult figure.

Mara CordayMara Corday

Corday was born in Santa Monica, California. Wanting a career in films, she came to Hollywood while still in her teens and found work as a showgirl at the Earl Carroll Theatre on Sunset Boulevard. Her physical beauty brought jobs as a photographer's model that led to a bit part as a showgirl in the 1951 film Two Tickets to Broadway. She signed on as a Universal International Pictures (UI) contract player where she met actor Clint Eastwood with whom she would remain lifelong friends. With UI, Corday was given small roles in various B-movies and television series. In 1954 on the set of Playgirl she met actor Richard Long. Following the death of Long's wife, the two began dating and married in 1957.

Her roles were small until 1955 when she was cast opposite John Agar in Tarantula, a Sci-Fi B-movie that proved a modest success (with Eastwood in an un-credited role). She had another successful co-starring role in that genre (The Black Scorpion) as well as in a number of Western films. Respected film critic Leonard Maltin said that Mara Corday had "more acting ability than she was permitted to exhibit."

Mara Corday appeared as a pinup girl in numerous men's magazines during the 1950s and was the Playmate of the October 1958 issue of Playboy, together with famous model and showgirl Pat Sheehan. In 1956, she had a recurring role in the ABC television series Combat Sergeant. From 1959 to early 1961, Corday worked exclusively doing guest spots on various television series. She then gave up her career to devote her time to raising a family. During her seventeen-year marriage to Richard Long she had three children (Valerie, Carey and Gregory).

A few years after her husband's death in 1974, Corday's friend Clint Eastwood offered her a chance to return to filmmaking with a role in his 1977 film The Gauntlet. She had a brief-but-significant role in Sudden Impact (1983), where she played the waitress dumping sugar into Harry Callahan's coffee in that movie's iconic "Go ahead, make my day" sequence. And she acted with Eastwood again in Pink Cadillac (1989) as well as in her last film, 1990's The Rookie.

Filmographie

  • Two Tickets to Broadway (1951)
  • Drums Across the River (1954)
  • Dawn at Socorro (1954)
  • So This Is Paris (1955)
  • Tarantula (1955)
  • Man Without a Star (1955)
  • A Day of Fury (1956)
  • Naked Gun (1956)
  • The Giant Claw (1957)
  • The Black Scorpion (1957)
  • The Quiet Gun (1957)
  • Girls on the Loose (1958)
  • The Gauntlet (1977)
  • Sudden Impact (1983)
  • Pink Cadillac (1989)
  • The Rookie (1990)

Van Doren Mamie

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Mamie Van Doren née Joan Lucille Olander le 6 février 1931 (ou 1933 selon elle) est une actrice américaine, considérée comme un sex-symbol dans les années 1950.

Van Doren Mamie Van Doren Mamie Van Doren Mamie

Filmographie

  • Les espions s'amusent (Jet Pilot) (Production: 1949-1951) (Released: 1957) (RKO) : WAF
  • Fini de rire (His kind of woman) (1951) (RKO) : Lodge guest at bar (uncredited)
  • Les Coulisses de Broadway (Two tickets to Broadway) (1951) (RKO) : (credited as Joan Olander)
  • Footlight Varieties (1951) (RKO) : Blonde in theatre (credited as Joan Olander)
  • Forbidden (1953) (Universal) : Singer (uncredited)
  • The All American (1953) (Universal) : Susie Ward
  • Hawaiian Nights (1954) (Universal) (short subject)
  • Yankee Pasha (1954) (Universal) : Lilith
  • Francis Joins the WACS (1954) (Universal) : Cpl. Bunky Hilstrom
  • 1955 : La Danseuse et le Milliardaire (Ain't Misbehavin') d'Edward Buzzell : Jackie
  • The Second Greatest Sex (1955) (Universal) : Birdie Snyder
  • Running Wild (1955) (Universal) : Irma Bean
  • La corde est prête (Star in the Dust) (1956) (Universal) : Ellen Ballard
  • The Girl in Black Stockings (1957) (United Artists) : Harriet Ames
  • Untamed Youth (1957) (Warner Bros.) : Penny Lowe
  • Le Chouchou du professeur (Teacher's Pet) (1958) (Paramount) : Peggy DeFore
  • Born Reckless (1958) (Warner Bros.) : Jackie Adams
  • The Beautiful Legs of Sabrina (1958) Italian production (Cinecittà Studios) : Sabrina
  • High School Confidential! (1958) (MGM) : Gwen Dulaine
  • Guns, Girls, and Gangsters (1959) (United Artists) : Vi Victor
  • The Beat Generation (1959) (MGM) : Georgia Altera
  • The Big Operator (1959) (MGM) : Mary Gibson
  • Girls Town (1959) (MGM) : Silver Morgan
  • Vice Raid (1959) (United Artists) : Carol Hudson
  • The Big Operator (1959) (MGM) : Mary Gibson
  • Sex Kittens Go to College (1960) (Allied Artists) : Dr. Mathilda West
  • The Private Lives of Adam and Eve (1961) (Universal) : Evie Simms
  • College Confidential (1960) (Univeral) : Sally Blake
  • The Blonde from Buenos Aires (1961) (Argentinian Films)
  • Three Nuts In Search of a Bolt (1964) (Adrian Weiss Productions) : Saxie Symbol
  • The Wild, Wild West (1964) German production… Olivia
  • The Candidate (1964) (Cosmat Production) : Samantha Ashley
  • The Navy vs the Night Monsters (1966) (Real Art) : Nora Hall
  • Las Vegas Hillbillys (1966) (Woolner Brothers) : Boots Malone
  • You've Got to be Smart (1967) (Producers Releasing Organization) : Miss Hathaway
  • Voyage to the Planet of Prehistoric Women (1968) (Filmgroup Production) : Moana
  • The Arizona Kid (1971) Italian production… Girlfriend
  • That Girl from Boston (1975) (Moonstone Films)
  • Free Ride (film) (1986) (Galaxy International Pictures) : Debbie Stockwell
  • The Vegas Connection (1999) (Pacific Films) : Rita
  • Slackers (2002) (Screen Gems, Sony) : Mrs. Van Graaf

Landis Carole

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Carole Landis (née Frances Lillian Mary Ridste) est une actrice américaine née le 1er janvier 1919 à Fairchild dans le Wisconsin et morte le 5 juillet 1948 à Pacific Palisades en Californie.

Landis Carole

Carole Landis, de son vrai nom Frances Lillian Mary Ridste, naît le 1er janvier 1919 à Fairchild, dans le Wisconsin. Son père, Alfred Ridste, Norvégien, travaille sur les chemins de fer, et sa mère, Clara Stendek Ridste, est Polonaise. Ils se séparent alors qu'elle est encore bébé. Elle a un grand frère et une grande sœur qui sont de faux jumeaux, Dorothy et Lawrence, nés en 1917. Elle prend le prénom de Carole par admiration pour l’actrice Carole Lombard (1908-1942). Elle débute sa carrière en 1937 comme chorus girl (équivalent d’une figurante) et son nom n’est donc jamais cité au générique. Elle sort de l'ombre en 1939, quand elle obtient un second rôle dans le western Three Texas Steers, dont John Wayne est la tête d’affiche. Elle joue le personnage de Nancy Evans. Elle n'y acquiert pas une grande notoriété.

C'est en 1940 que Hal Roach lui offre la chance de se distinguer dans le film britannique One Million B.C. où elle joue aux côtés de Victor Mature et Lon Chaney Jr.. Hal Roach la prend sous son aile et elle joue dans son film suivant, Turnabout, avec Adolphe Menjou. C’est un immense succès, au point qu’Edward Dmytryk l’engage pour son film à sensation Mystery Sea Raider où elle tient le rôle principal. Son charme opère malgré son jeune âge (elle n'a alors que 21 ans) et elle devient rapidement une valeur sûre du box-office. En 1941, elle jouera dans des films comme Road Show d’Hal Roach avec Adolphe Menjou, Topper Returns avec Roland Young et Joan Blondell dans le rôle du fantôme, Moon Over Miami avec Betty Grable et Robert Cummings ou encore Cadet Girl avec George Montgomery.

Mais le 16 janvier 1942, alors que A Gentleman At Heart, où elle joue, sort en avant-première, son idole Carole Lombard décède accidentellement dans un accident d'avion à l'âge de 33 ans. Carole Landis est très affectée par cette disparition et sa vie privée devient chaotique. Elle poursuit néanmoins sa carrière et tourne notamment dans My Gal Sal (1942) avec Rita Hayworth, Manila Calling avec Cornel Wilde, Secret Command (1944) avec Pat O'Brien. Son dernier film sera Bass Monkey en 1948. Carole Landis se maria à 5 reprises mais n’eut aucun enfant, car elle était stérile. Elle fut mariée avec : Irving Wheeler du 14 janvier 1934 jusqu’en février 1934 (annulation) puis du 2 août 1934 jusqu’en 1939 ; Willis Hunt Jr. du 4 juillet au 13 novembre 1940 ; le Capt. Thomas C. Wallace du 5 janvier 1943 au 19 juillet 1945 ; W. Horace Schmidlapp du 8 décembre 1945 au 5 juillet 1948, jour de sa mort. Le couple était en instance de divorce depuis le mois de mars.

Carole souffrait beaucoup de ne pouvoir être mère en raison de sa stérilité. Elle fut sujette à de nombreux problèmes de santé, qu'on peut en partie imputer à son instabilité psychologique : problèmes cardiaques, dysenterie, malaria, pneumonie et dépression. En 1947, Carole Landis eut une liaison avec Rex Harrison. Son suicide le 5 juillet 1948 à Pacific Palisades, en Californie, serait la conséquence du refus de l'acteur de quitter sa femme Lilli Palmer.

Filmographie

  • 1937 : Une étoile est née (A Star Is Born)
  • 1938 : Un meurtre sans importance (A Slight Case of Murder)
  • 1938 : Gold Diggers in Paris
  • 1938 : Quatre au paradis (Four's a Crowd)
  • 1939 : Les trois diables rouges (Daredevils of the red circle)
  • 1940 : Tumak, fils de la jungle (One million B. C.)
  • 1940 : Mystery Sea Raider
  • 1941 : Le Retour de Topper (Topper Returns)
  • 1941 : Soirs de Miami (Moon over Miami)
  • 1941 : Dance Hall
  • 1941 : Qui a tué Vicky Lynn ? (I Wake up Screaming)
  • 1942 : A Gentleman at Heart
  • 1942 : Mon amie Sally (My Gal Sal)
  • 1943 : Wintertime
  • 1944 : Les Saboteurs (Secret Command)
  • 1946 : Scandale à Paris (A Scandal in Paris)
  • 1947 : Out of the Blue
  • 1948 : Brass Monkey

Rand Sally

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Sally Rand (Harriet Helen Gould Beck), née dans le Comté de Hickory (Missouri) le 2 janvier 1904 et morte à Glendora (Californie) le 31 août 1979 (à 75 ans).

Rand Sally

Actrice et danseuse américaine, célèbre pour ses danses « à l'éventail » (représentée dans le film L'Étoffe des héros) et « à la bulle » (également reprise dans le dessin animé de Tex Avery Hollywood Steps Out, 1941), qu'elle a interprétées jusque dans les années 1970, la soixantaine passée.

Sa carrière d'actrice avait commencé dans le muet, dans les années 1920 et c'est Cecil B. DeMille qui lui avait donné son nom de scène. C'était une camarade de lycée de Robert A. Heinlein, qui en a fait le modèle de plusieurs de ses personnages, comme la Mary-Lou Martin de Que la lumière soit.

Filmographie

  • 1925 : The Dressmaker from Paris
  • 1925 : The Texas Bearcat
  • 1925 : The Road to Yesterday
  • 1925 : Barriere des races (en) (Braveheart)
  • 1926 : Bachelor Brides
  • 1926 : Sunny Side Up
  • 1926 : Gigolo
  • 1927 : Man Bait 
  • 1927 : The Night of Love
  • 1927 : Getting Gertie's Garter 
  • 1927 : The Yankee Clipper 
  • 1927 : Le Roi des rois
  • 1927 : The Fighting Eagle
  • 1927 : Galloping Fury
  • 1927 : Heroes in Blue
  • 1928 : A Woman Against the World
  • 1928 : Crashing Through
  • 1928 : Nameless Men
  • 1928 : Une fille dans chaque port
  • 1928 : Golf Widows
  • 1928 : Black Feather
  • 1932 : Le Signe de la croix
  • 1933 : Hotel Variety
  • 1934 : Bolero, qui inclut une danse à l'éventail
  • 1938 : The Sunset Murder Case de Louis J. Gasnier, qui inclut une longue séquence de danse à la bulle

Douglas Donna

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Donna Douglas est une actrice américaine née le 26 septembre 1933 à Pride, Louisiane (États-Unis). Elle est particulièrement connue pour son rôle d'Elly May Clampett dans la série télévisée The Beverly Hillbillies.

Douglas Donna Douglas Donna

Filmographie

  • 1959 : Career : Marjorie Burke
  • 1959 : Li'l Abner : Bit part
  • 1961 : Un pyjama pour deux (Lover Come Back) : Deborah, Peter's Secretary
  • 1962-1971 : The Beverly Hillbillies (TV) : Elly May Clampett
  • 1966 : Frankie and Johnny : Frankie
  • 1981 : The Return of the Beverly Hillbillies (TV) : Elly May Clampett

La Femme à abattre

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La Femme à abattre

La Femme à abattre (The Enforcer) est un film américain réalisé par Bretaigne Windust et Raoul Walsh, sorti en 1951. Un inspecteur de police, après de longues recherches infructueuses, parvient à trouver la piste du chef de la Murder Inc., un syndicat du crime… Le scénario du film a été novelisé sous le titre homonyme par James Eastwood, collection Oscar no 5 en 1952, réédité dans la Série noire no 378 en 1957.

Fiche technique

  • Titre : La Femme à abattre
  • Titre original : The Enforcer
  • Réalisation : Bretaigne Windust et Raoul Walsh (non crédité)
  • Scénario : Martin Rackin
  • Production : Milton Sperling
  • Société de production : Warner Bros. Pictures
  • Musique : David Buttolph
  • Photographie : Robert Burks
  • Montage : Fred Allen
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Format : Couleurs - 1,37:1 - Mono
  • Genre : Drame
  • Durée : 87 minutes
  • Date de sortie : 7 septembre 1951

Distribution

  • Humphrey Bogart
  • Zero Mostel
  • Ted de Corsia
  • Everett Sloane
  • Albert Mendoza
  • Roy Roberts
  • Michael Tolan
  • King Donovan
  • Bob Steele
  • Adelaide Klein
  • Don Beddoe

L'Etat islamique annonce la décapitation de l'otage britannique David Haines

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L'Etat islamique continue sa politique de la terreur. Après avoir revendiqué l'exécution des journalistes américains Steven Sotloff et James Foley, le groupe jihadiste qui combat en Syrie et en Irak montre dans une nouvelle vidéo la décapitation de l'otage britannique David Haines, un humanitaire enlevé en mars 2013, et menace de mort un quatrième otage. 

 

L'otage britannique David Haines a été exécuté par l'Etat Islamique. Le groupe djihadiste l'a revendiqué ce samedi soir dans une nouvelle vidéo

L'otage britannique David Haines a été exécuté par l'Etat Islamique. Le groupe djihadiste l'a revendiqué ce samedi soir dans une nouvelle vidéo

Dans cette vidéo intitulée «message aux alliés de l'Amérique», l'Etat islamique filme l'exécution de l'otage, après un extrait vidéo où l'on aperçoit David Cameron en guise d'introduction. Dans une mise en scène devenue tristement classique, David Haines, vêtu d'une blouse orange, est agenouillé au côté d'un homme masqué armé d'un couteau qui lui tranche la gorge. La scène, horrible, dure quelques secondes.

Puis la vidéo se poursuit avec les images d'un autre otage britannique, Alan Henning, qui se tient dans la même position, et est menacé d'exécution par son bourreau masqué. 

La famille de David Haines avait récemment adressé un appel à ses ravisseurs pour sa libération. Dans un communiqué publié par le Foreign Office ce samedi, la famille de Haines indiquait que les ravisseurs n'avaient répondu à aucune de ses tentatives de contact. «Nous sommes la famille de David Haines. Nous vous avons envoyé des messages auxquels nous n'avons reçu aucun réponse. Nous demandons à ceux qui détiennent David de nous contacter», écrit la famille.

David Haines travaillait pour une ONG française

David Haines, un Ecossais de 44 ans, a été enlevé en Syrie en mars 2013. Engagé dans l'humanitaire depuis 1999, il effectuait alors sa première mission pour l'ONG française Acted en tant que responsable logistique dans le camp de réfugiés d'Atmeh, un village syrien près de la frontière turque.

Cette semaine, Acted s'était dit «profondément bouleversé par les images diffusées» après l'exécution de Steven Sotloff, condamnant «fermement la violence et les menaces perpétrées à l'encontre de David».

L'Etat Islamique menace la Grand-Bretagne d'une guerre «sanglante»

Dans cette vidéo de 2 minutes 27 secondes, le groupe jihadiste reproche au Royaume-Uni d'avoir rejoint la coalition des Etats-Unis, qui mènent des frappes contre l'Etat islamique (EI) en Irak. «Vous êtes volontairement entrés dans une coalition avec les Etats-Unis contre l'Etat islamique, comme votre prédécesseur Tony Blair l'a fait avant vous, suivant une tendance parmi nos Premiers ministres britanniques qui ne peuvent pas trouver le courage de dire non aux Américains», dit le bourreau, le visage dissimulé, en s'adressant directement à David Cameron.

L'homme, qui pourrait être le même que dans les vidéos des exécutions de James Foley et Steven Sotloff, ajoute que cette alliance «accélérera votre destruction» et plongera les citoyens britanniques dans une «autre guerre sanglante et ingagnable». 

Troisième otage décapité

David Haines est le troisième otage décapité par l'Etat islamique ces trois dernières semaines. Le 19 août dernier, l'Etat islamique rendait publique une vidéo montrant la décapitation du journaliste américain James Foley et présentant son compatriote Steven Sotloff, comme une prochaine victime.

Deux semaines plus tard, malgré l'appel poignant à la clémence de la mère de Steven Sotloff, les jihadistes de l'Etat islamique revendiquaient l'exécution par décapitation du journaliste américain âgé de 31 ans et montraient les images de l'otage britannique David Haines. 

Si la vidéo diffusée le 2 septembre a été authentifiée par la Maison blanche le lendemain, le centre américain de surveillance des sites islamistes, SITE, affirme que l'organisation terroriste avait déjà revendiqué dans une vidéo la décapitation de ce deuxième otage américain, après le meurtre sauvage le 19 août du journaliste James Foley.

L'Etat Islamique annonce la mort de l'otage britannique David Haines

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L'Etat islamique a revendiqué dans une vidéo l'exécution du travailleur humanitaire britannique David Haines, a rapporté samedi 13 septembre, le centre américain de surveillance des sites islamistes SITE. Ce dernier a été décapité en représailles de l'entrée du Royaume-Uni dans la coalition destinée à combattre le groupe djihadiste.

 

L'Etat Islamique annonce la mort de l'otage britannique David Haines

Selon The Huffington Post UK, la victime a été contrainte de lire un discours avant d'être tué. Le premier ministre David Cameron est explicitement visé. Celui-ci a réagi sur Twitter en condammnant le « meurtre odieux » de David Haines.

(Traduction : « Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour traquer ces meurtriers et s'assurer qu'ils répondent de leurs crimes, qu'importe le temps que cela prendra. »)

Le président américain Barack Obama a exprimé sa solidarité avec le Royaume-Uni et a fermement condamné « le meurtre barbare » de l'otage.

    « Les Etats-Unis sont ce soir aux côtés de notre proche ami et allié dans le chagrin et la détermination. »

AUTHENTIFICATION EN COURS

Originaire de Perth en Ecosse, l'homme âgé de 44 ans et père de deux enfants, a été enlevé en mars 2013 en Syrie où il travaillait pour l'ONG française Acted. On le voit sur la vidéo mettant en scène la décapitation du journaliste américain Steven Sotloff diffusée en début de semaine dernière. La famille de David Haines avait adressé un message au groupe terroriste, plus tôt dans la journée de samedi, demandant aux djihadistes d'entrer en contact avec eux.

Si l'enregistrement se révèle authentique, il s'agirait de la troisième exécution par l'EI en un mois, après celles de deux journalistes américains otages en Syrie. Dans son message vidéo à l'attention des « alliés de l'Amérique », le groupe menace maintenant un autre otage britannique. Les autorités font leur possible pour vérifier au plus vite l'authenticité de la vidéo, souligne The Guardian. Comme le précise la BBC, plusieurs élements concordent avec les précédents enregistrements mis en ligne par l'EI.

Badie Vincent

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Vincent Badie, né le 16 juillet 1902 à Béziers (Hérault) et décédé le 8 septembre 1989 à Montpellier, est un homme politique français.

Badie Vincent Badie Vincent

Avocat au barreau de Montpellier, il est élu député radical-socialiste de l'Hérault à la Chambre des députés, aux deux Assemblées nationales constituantes et à l'Assemblée nationale de 1936 à 1958. Il vote contre les pleins pouvoirs au maréchal Pétain, le 10 juillet 1940. Lors de cette séance, il tente de proposer une motion s'opposant à la disparition du régime républicain. Il s'exclame en quittant la salle avec les 80 opposants à Pétain : « Vive la République quand même ! ». Suspendu de ses fonctions de maire de Paulhan, il entre dans la Résistance, est arrêté et déporté à Dachau. En conflit avec Pierre Mendès France après la démission de ce dernier du gouvernement Guy Mollet en 1956, il entre en dissidence et préside un nouveau groupe parlementaire. Badie refuse la confiance à de Gaulle en 1958.

Fonctions

  • Ministre des Anciens combattants et Victimes de guerre du gouvernement Edgar Faure (2) (du 20 octobre 1955 au 1er février 1956
  • Ministre des Anciens combattants et Victimes de guerre du gouvernement Pierre Pflimlin (du 14 mai au 1er juin 1958)
  • Conseiller général du Canton de Montpellier du 18 octobre 1931 à septembre 1938.
  • Conseiller général du canton de Gignac de septembre 1938 à mars 1964.
  • Député de l'Hérault du 10 mai 1936 au 8 décembre 1958.
  • Maire de Paulhan (Hérault) du 11 août 1938 à 1941 et de 1944 à 1971.

Im Hof-Piguet Anne-Marie

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Anne-Marie Im Hof-Piguet (12. April 1916 in Martigny; 18. Dezember 2010 in Bern) war eine Schweizer Fluchthelferin und Menschenrechtlerin.

Im Hof-Piguet Anne-Marie

Anne-Marie Im Hof-Piguet wuchs im Vallée de Joux auf]. Sie schloss 1940 ihr Studium der Geschichte an der Universität Lausanne mit dem Lizenziat ab. In den Jahren 1942–1944 arbeitete sie für die Kinderhilfe des Schweizerischen Roten Kreuzes im Château de Bellevue in Montluel und im Château de la Hille bei Toulouse. Als die Nationalsozialisten auch den Süden Frankreichs besetzten, rettete Im Hof-Piguet zwölf jüdische Kinder und Erwachsene, indem sie half, sie illegal über die Grenze in die Schweiz zu bringen. 

Der Fluchtweg führte von La Hille über Toulouse, Lyon, Kinderkolonie Montluel, Champagnole (wo die Passeusen Victoria Cordier und ihre Schwester Madeleine wohnten) nach Chappelle-des-Bois. Von Chapelle-des-Bois, wo die Mutter der Résistanceangehörigen Victoria Cordier wohnte, über den in den Fels gehauenen Pfad Gy de l'Echelle am Mont Risoux bis zum Treffpunkt auf der Schweizer Seite in der Waldarbeiterhütte Hôtel d'Italie. Dort wurden die jüdischen Flüchtlinge von Im Hof-Piguets Vater, dem Forstinspektor Henri-Joseph Piguet, abgeholt. Ihre Mutter begleitete die Flüchtlinge nach Zürich zum Flüchtlingspfarrer Vogt.

Nach dem Zweiten Weltkrieg war sie als Lehrerin in den Kantonen Waadt und Basel-Stadt tätig. 1947 heiratete sie den Historiker Ulrich Im Hof, gründete eine Familie und arbeitete als Lehrerin in Bern. 1959 war sie Mitbegründerin von Swisscontact. 1985 veröffentlichte sie ihre Memoiren, wo sie ihre Erlebnisse als Rotkreuzhelferin beschrieb. Mit dem Preisgeld des Doron-Preises von 1998 lancierte sie die Akademie der Menschenrechte als Bildungs- und Begegnungszentrum. Ihr Nachlass befindet sich im Archiv für Zeitgeschichte in Zürich.

La Blonde et le Shérif

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La Blonde et le Shérif

La Blonde et le Shérif (The Sheriff of Fractured Jaw) est un film américano-britannique réalisé par Raoul Walsh, sorti en 1958. Jonathan Tibbs, héritier d'une célèbre firme londonienne, est chargé de prospecter dans un pays prometteur : l'Ouest américain. Car la société Tibbs vend des armes. Jeune homme typiquement "british", Jonathan ne tarde pas à se faire remarquer dans cette contrée sauvage : lorsque la diligence qui l'amène à la bourgade de Fractured Jaw est attaquée par les Indiens, il se permet avec un grand naturel de leur faire la morale ! Ils n'en reviennent pas ... À la sortie du film, Arthur Dales était crédité pour le scénario alors que le vrai scénariste était Howard Dimsdale, alors sur liste noire. Son nom fut rétabli au générique par la Writers Guild of America à la fin des années 1990.

Fiche technique

  • Titre original : The Sheriff of Fractured Jaw
  • Titre français : La Blonde et le Shérif
  • Réalisation : Raoul Walsh
  • Scénario : Howard Dimsdale d'après la nouvelle The Sheriff of Fractured Jaw de Jacob Hay
  • Direction artistique : Bernard Robinson
  • Costumes : Julie Harris
  • Photographie : Otto Heller
  • Son : Dudley Messenger
  • Montage : John Shirley
  • Musique : Robert Farnon et Ken Jones (non crédité)
  • Chorégraphe : George Carden
  • Production : Daniel M. Angel
  • Société de production : Royaume-Uni Angel Productions, États-Unis 20th Century Fox
  • Société de distribution : 20th Century Fox
  • Pays d'origine : États-Unis, Royaume-Uni
  • Langue originale : anglais
  • Format : Couleurs (DeLuxe) - 35 mm — 2,35:1 (CinemaScope) - Son : Mono (Westrex Recording System) / Stéréo 4 pistes
  • Genre : Western parodique
  • Durée : 103 minutes
  • Date de sortie : Royaume-Uni 28 octobre 1958, Londres, États-Unis 14 mars 1959, New York

Distribution

  • Kenneth More (VF : Marc Cassot) : Jonathan Tibbs
  • Jayne Mansfield (VF : Nelly Benedetti) : Kate
  • Henry Hull (VF : Paul Villé) : Doc Masters, le maire de la ville
  • Bruce Cabot : Jack
  • Ronald Squire (VF : Pierre Michau) : Toynbee
  • William Campbell (VF : Bernard Woringer) : Keeno
  • Sid James (VF : Jacques Marin) : L'ivrogne
  • Reed De Rouen (VF : Claude Bertrand) : Clayborne
  • Charles Irwin (VF : Fernand Rauzena) : Luke
  • Donald Stewart : le percussionniste
  • Clancy Cooper (VF : Claude Péran) : Un coiffeur
  • Gordon Tanner (VF : Serge Nadaud) : Bud Wilkins
  • Robert Morley (VF : Richard Francœur) : Oncle Lucius Tibbs
  • David Horne (VF : Albert Montigny) : James, le maître d'hôtel d'Oncle Lucius
  • Eynon Evans (VF : Camille Guérini) : Mason, le gérant de Jonathan Tibbs & Co.
  • Tucker McGuire (VF : Marie Francey) : la femme de Luke

L'Esclave libre

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L'Esclave libre

L'Esclave libre (Band of Angels) est un film américain réalisé par Raoul Walsh, sorti le 3 août 1957. Amantha Starr (Yvonne De Carlo) est la fille extrêmement gâtée d'un propriétaire de plantation du Kentucky. Malheureusement la mort de ce dernier met au jour un affreux secret : Amantha ne savait pas que sa mère avait été l'une des esclaves noires de son père. Légalement elle n'est plus maintenant qu'un bien comme un autre et elle est prise par un marchand d'esclaves de la Nouvelle-Orléans pour être vendue. Sur le bateau qui descend le fleuve, il lui dit sans détour son intention de coucher avec elle, mais il y renonce quand elle essaie de se pendre : c'est une jeune femme belle et cultivée, que l'on prendrait pour une blanche, elle a trop de valeur pour qu'il risque de la perdre.

Amantha est mise aux enchères et la voilà inspectée sans pitié par un acheteur potentiel, un grossier personnage. Elle est sauvée d'une humiliation supplémentaire par Hamish Bond (Clark Gable), qui surenchérit et l'achète à un prix exorbitant. S'attendant au pire, Amantha est toute surprise que son nouveau propriétaire la traite comme une dame et non comme un esclave. Dans la propriété de son maître à la ville, elle fait la connaissance des principaux esclaves qu'il possède, sa domestique Michele (Carolle Drake) et son esclave préféré Rau-Ru (Sidney Poitier), au caractère contrasté. Il est en effet reconnaissant de la gentillesse d'Hamish, de l'éducation qu'il lui a donnée et de la confiance qu'il met en lui, mais il ne peut jamais oublier son statut social.

Le temps passe et Amantha et Hamish tombent amoureux l'un de l'autre. Pour compliquer encore les choses, Hamish cache le terrible secret d'une chose passée qui trouble sa conscience. Finalement la guerre civile éclate et la Nouvelle-Orléans tombe entre les mains de l'Union, la tête de Hamish est mise à prix. Lui et Amantha s'échappent avec l'aide de Rau-Ru, qui avait fui et avait rejoint l'armée de l'Union.

Fiche technique

  • Titre original : Band of Angels
  • Titre français : L'Esclave libre
  • Réalisation : Raoul Walsh
  • Scénario : John Twist, Ivan Goff, Ben Roberts, d'après le roman Band of Angels de Robert Penn Warren
  • Direction artistique : Franz Bachelin
  • Décors : William Wallace
  • Costumes : Marjorie Best
  • Photographie : Lucien Ballard
  • Son : Francis Stahl
  • Montage : Folmar Blangsted
  • Musique : Max Steiner
  • Société de production et de distribution : Warner Bros. Pictures
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Format : Couleurs (Warnercolor) - 35 mm - 1,85:1 - Son : Mono (RCA Sound Recording)
  • Genre : Film d'aventure
  • Durée : 125 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 3 août 1957 ; France : 1er janvier 1958

Distribution

  • Clark Gable (V.F : Raymond Loyer)  : Hamish Bond
  • Yvonne De Carlo (V.F : Mony Dalmes)  : Amantha Starr
  • Sidney Poitier (V.F : René Arrieu)  : Rau-Ru
  • Efrem Zimbalist Jr. (V.F : Jacques Thebault)  : Ethan Sears
  • Patric Knowles (V.F : Jean-Henri Chambois)  : Charles De Marigny
  • Rex Reason (V.F : Michel Gudin)  : Seth Parton
  • Torin Thatcher (V.F : Pierre Morin)  : Capitaine Canavan
  • Andrea King (V.F : Nadine Alari) : Miss Idell
  • Carolle Drake (V.F : Thérèse Rigaut)  : Michelle
  • William Forrest (V.F : Richard Francoeur)  : Aaron Star
  • Ray Teal (V.F : Jean Brochard)  : Calloway
  • Raymond Bailey (V.F : Émile Duard)  : Stuart, propriétaire terrien
  • Roy Barcroft (V.F : Jean Clarieux)  : Surveillant de Aaron
  • Larry J. Blake (V.F : Roger Rudel)  : Commissaire-priseur
  • Marshall Bradford (V.F : Jacques Berlioz)  : Général Butler
  • Zelda Cleaver (V.F : Mona Dol)  : Sukie
  • William Schallert (V.F : Claude Peran)  : Lieutenant de l'Union
  • Juanita Moore (V.F : Jacqueline Ferrière)  : Budge, servante de calloway
  • Ann Doran : Mme Morton
  • Maurice Marsac (V.F : Gérard Férat)  : Un participant à la vente aux enchères

King Andrea

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Georgette André Barry, née le 1er février 1919 à Paris (France), morte le 22 avril 2003 à Los Angeles — Quartier de Woodland Hills (Californie, États-Unis), est une actrice américaine, créditée à ses débuts Georgette McKee, connue ensuite sous le pseudonyme d’Andrea King.

King Andrea King Andrea King Andrea

Née en France, à Paris, d'une mère américaine (Lovina Belle Hart, ambulancière volontaire vers la fin de la Première Guerre mondiale) et d'un père français (Georges André Barry, pilote au sein de l'Escadrille La Fayette, tué peu avant l'armistice1), Georgette gagne les États-Unis avec sa mère, peu après sa naissance. Elle débute au théâtre à Broadway (New York) en 1933, à l'âge de 14 ans, comme Georgette McKee (du nom de son beau-père). La seconde — donc dernière — pièce qu'elle joue à Broadway est Fly Away Home, en 1935, mise en scène par Thomas Mitchell, aux côtés de celui-ci et du jeune Montgomery Clift (son cadet d'un an).

Après trois autres pièces jusqu'en 1942, et une première expérience au cinéma (sous le nom de Georgette McKee) dans un film sorti en 1940, elle intègre la Warner Bros. en 1944 et adopte alors le pseudonyme d'Andrea King. Son premier film Warner, dans un petit rôle non-crédité, est Femme aimée est toujours jolie de Vincent Sherman (1944, avec Bette Davis et Claude Rains). Un de ses films notables pour ce studio est La Bête aux cinq doigts de Robert Florey (1946, avec Peter Lorre et Robert Alda).

À partir de 1947, elle tourne également pour d'autres studios : citons La Fille des boucaniers de Frederick De Cordova (1950, avec Yvonne De Carlo et Robert Douglas), ainsi que Le monde lui appartient de Raoul Walsh (1952, avec Gregory Peck et Ann Blyth), tous deux produits par Universal Pictures. Elle retrouve la Warner à l'occasion de deux films, L'Esclave libre du même Raoul Walsh (1957, avec Clark Gable et Yvonne De Carlo), puis Les commandos passent à l'attaque de William A. Wellman (1958, avec James Garner et Etchika Choureau). En tout, elle contribue à seulement trente-cinq films américains, les deux derniers (où elle tient des petits rôles) sortis en 1994.

À la télévision, Andrea King collabore à trente-trois séries, entre 1952 et 1990 (avec une ultime prestation dans un épisode d’Arabesque). Mentionnons sa participation à Perry Mason (quatre épisodes de la première série — 1959-1963 — et un épisode de la deuxième série — 1973 —) et au premier épisode pilote (diffusé en 1968) de Columbo. Pour sa contribution à la télévision, une étoile lui est dédiée sur le Walk of Fame d'Hollywood Boulevard.

Théâtre

  • 1933 : Growing Pains d'Aurania Rouvenol, produite et mise en scène par Arthur Lubin, avec Patricia Morison (à Broadway)
  • 1935 : Fly Away Home de Dorothy Bennett et Irving White, mise en scène par Thomas Mitchell, avec Montgomery Clift, Albert Dekker, Sheldon Leonard, Thomas Mitchell (à Broadway)
  • 1936 : Boy meets Girl de Bella et Sam Spewack, mise en scène par George Abbott, avec Jerome Cowan, Allyn Joslyn, Garson Kanin, Everett Sloane (à New York, hors Broadway)
  • 1940 : Life with Father d'Howard Lindsay et Russel Crouse, mise en scène par Bretaigne Windust, avec Lillian Gish, O. Z. Whitehead (à Chicago ; adaptée au cinéma en 1947)
  • 1942 : Angel Street (5 Chelsea Lane) de Patrick Hamilton, avec Ernest Cossart (en tournée aux États-Unis ; adaptée au cinéma en 1944)

Filmographie 

  • 1944 : Femme aimée est toujours jolie (M.. Skeffington) de Vincent Sherman
  • 1944 : The Very Thought of You de Delmer Daves
  • 1944 : Hollywood Canteen de Delmer Daves (elle-même)
  • 1945 : Hotel Berlin (en) de Peter Godfrey
  • 1945 : Roughly Speaking de Michael Curtiz
  • 1945 : Bombes sur Hong Kong (God is my Co-Pilot) de Robert Florey
  • 1946 : Shadow of a Woman de Joseph Santley
  • 1946 : La Bête aux cinq doigts (The Beast with Five Fingers) de Robert Florey
  • 1947 : Rose d'Irlande (My Wild Irish Rose) de David Butler
  • 1947 : The Man I Love de Raoul Walsh
  • 1947 : Et tournent les chevaux de bois (Ride the Pink Horse) de Robert Montgomery
  • 1948 : Mr. Peabody and the Mermaid (en) d'Irving Pichel
  • 1949 : Song of Surrender (en) de Mitchell Leisen
  • 1950 : La Fille des boucaniers (Buccaneer's Girl) de Frederick De Cordova
  • 1950 : I was a Shoplifter de Charles Lamont
  • 1950 : Les Âmes nues (Dial 1119) de Gerald Mayer
  • 1951 : Le Signe des renégats (Mark of the Renegade) d'Hugo Fregonese
  • 1951 : La Môme boule-de-gomme (en) (The Lemon Drop Kid) de Sidney Lanfield et Frank Tashlin
  • 1952 : Le monde lui appartient (The World in His Arms) de Raoul Walsh
  • 1956 : Silent Fear d'Edward L. Cahn
  • 1957 : L'Esclave libre (Band of Angels) de Raoul Walsh
  • 1958 : Les commandos passent à l'attaque (Darby's Rangers) de William A. Wellman
  • 1969 : La Boîte à chat (Daddy's Gone A-Hunting) de Mark Robson
  • 1973 : Blackenstein (en) de William A. Levey
  • 1991 : The Linguini Incident de Richard Shepard

Télévision

  • 1956 : Cheyenne - Saison 2, épisode 5 The Law Man
  • 1959 : Maverick - Saison 2, épisode 24 Two Tickets to Ten Strike de Douglas Heyes
  • 1958-1959 : Mike Hammer, première série - Saison 1, épisode 35 That Schoolgirl (1958) de Boris Sagal - Saison 2, épisode 16 Swing Low, Sweet Harriet (1959)
  • 1959-1963 : Perry Mason, première série - Saison 2, épisode 22 The Case of the Bedeviled Doctor (1959), Saison 4, épisode 4 The Case of the Singular Double (1960), Saison 5, épisode 3 The Case of the Missing Melody (1961) de Bernard L. Kowalski, Saison 6, épisode 19 The Case of the Surplus Suitor (1963) de Jesse Hibbs
  • 1967 : Cher oncle Bill (Family Affair) - Saison 1, épisode 17 All around the Town de William D. Russell
  • 1968 : Columbo - Premier épisode pilote Inculpé de meurtre (Prescription : Murder)
  • 1973 : Perry Mason (The New Perry Mason), deuxième série - Saison unique, épisode 6 The Case of the Deadly Deeds
  • 1990 : Arabesque (Murder, she wrote) - Saison 6, épisode 15 La Surenchère (The Fixer-Upper) de John Llewellyn Moxey

Moore Juanita

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Juanita Moore (née le 19 octobre 1914 à Greenwood, Mississippi et décédée le 1er janvier 2014 à Los Angeles, Californie) est une actrice afro-américaine. En 1959, elle tourne dans le Mirage de la vie (Imitation of Life) du cinéaste Douglas Sirk. L'année suivante, elle est nommée pour l'Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle.

Moore Juanita

Juanita Moore naît en 1914 à Greenwood, une ville de l'État du Mississippi, et grandit à Los Angelesnote. Elle est la cadette d'une famille de huit enfants. Après avoir obtenu son diplôme d'études secondaires, elle fréquente un collège communautaire (community college). L'adolescente interrompt ses études et part pour New York, où elle devient danseuse de revue dans des boîtes de nuit de Harlem.

Lors du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, Moore retourne en Californie et prend des cours de comédie à l'Actor's Laboratory Theatre. Elle gagne sa vie en travaillant dans un restaurant et en faisant de la figuration dans les productions d'Hollywood. Au cours des années 1940, elle apparaît dans des films musicaux comme Au pays du rythme (Star Spangled Rhythm) et Un petit coin aux cieux (Cabin in the Sky). Elle obtient ensuite ses premiers rôles parlants, mais est cantonnée dans des personnages stéréotypés de domestique, voire de membre de tribu africaine. À la même époque, elle fait partie de l'Ebony Showcase Theatre, fondé par Nick Stewart et son épouse Edna, qui permet aux acteurs Afro-Américains de s'affranchir des stéréotypes raciaux en vigueur dans l'industrie cinématographique.

En 1949, Juanita Moore interprète une infirmière dans L'Héritage de la chair (Pinky), réalisé par Elia Kazan. En 1959, elle tient le rôle d'Annie Johnson dans Mirage de la vie (Imitation of Life), de Douglas Sirk. Ce rôle de domestique dont la fille, Sarah Jane (interprétée par Susan Kohner), parvient à se faire passer pour une jeune femme blanche, la révèle au public. L'année suivante, les deux comédiennes sont nommées pour l'Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle. Moore devient la 4e comédienne noire nommée aux Oscars après Hattie McDaniel et Ethel Waters, nommées dans la même catégorie respectivement en 1939 et 1949, et Dorothy Dandridge, nommée pour l'Oscar de la meilleure actrice en 1954.

Par la suite, Juanita Moore peine à trouver des rôles et n'apparaîtra plus jamais dans une production du même standing. Au cinéma, elle tourne dans des films de blaxploitation comme Abby (en) de William Girdler. Elle joue dans des dramatiques télévisées et au théâtre dans des pièces montées à Broadway et à Londres. À Los Angeles, elle se produit avec la troupe des Cambridge Players et avec celle de l'Ebony Showcase Theatre, où elle donne des cours d'art dramatique à des étudiants défavorisés.

Filmographie

  • 1949 : L'Héritage de la chair (Pinky), de John Ford et Elia Kazan : l'infirmière
  • 1951 : No Questions Asked : la bonne
  • 1952 : Skirts Ahoy!
  • 1952 : Lydia Bailey : Marie
  • 1952 : L'Affaire de Trinidad (Affair in Trinidad), de Vincent Sherman : Dominique
  • 1954 : Témoin de ce meurtre (Witness to Murder), de Roy Rowland : Travailleuse à l'hôpital
  • 1954 : The Gambler from Natchez : la bonne d'Yvette
  • 1955 : Women's Prison : Polyclinic 'Polly' Jones
  • 1955 : Lord of the Jungle : la femme de Molu
  • 1955 : Pour que vivent les hommes (Not as a Stranger), de Stanley Kramer : Mrs. Clara Bassett
  • 1955 : Une femme diabolique (Queen Bee), de Ranald MacDougall : Femme de ménage
  • 1956 : Ransom! : Shirley Lorraine
  • 1956 : The Opposite Sex, de David Miller  : Femme de ménage des toilettes
  • 1956 : La Blonde et moi (The Girl Can't Help It), de Frank Tashlin : Hilda
  • 1957 : Something of Value
  • 1957 : L'Esclave libre (Band of Angels), de Raoul Walsh
  • 1957 : Pour elle un seul homme (The Helen Morgan Story), de Michael Curtiz : Lacey
  • 1957 : Bombardier B-52 (Bombers B-52), de Gordon Douglas : Clarissa, la bonne
  • 1957 : The Green-Eyed Blonde : Miss Randall
  • 1959 : Mirage de la vie (Imitation of Life), de Douglas Sirk : Annie Johnson
  • 1961 : Tammy Tell Me True : Della
  • 1962 : La Rue chaude (Walk on the Wild Side), d'Edward Dmytryk : Mama
  • 1963 : A Child Is Waiting : la mère de Julius
  • 1963 : Papa's Delicate Condition : Ellie
  • 1966 : Dominique (The Singing Nun), de Henry Koster : Sœur Mary
  • 1967 : Rosie! : Nurse
  • 1968 : Up Tight! : Mama Wells
  • 1970 : Angelitos negros
  • 1971 : Skin Game : Viney (Calloway slave)
  • 1973 : Le Mac (The Mack) de Michael Campus : Mère
  • 1973 : Fox Style
  • 1974 : Thomasine & Bushrod (en) : Pecolia
  • 1974 : The Zebra Killer
  • 1974 : Abby (en) de William Girdler : Miranda 'Momma' Potter
  • 1975 : Fugitive Lovers : Assemblywoman Griffith
  • 1977 : Joey
  • 1981 : Paternity : Celia
  • 1982 : O'Hara's Wife de William Bartman : Ethel
  • 1988 : À fleur de peau (Two Moon Junction) de Zalman King : Delilah
  • 1999 : The Sterling Chase de Tanya Fenmore : Grandma Jones (voix)
  • 2000 : Sale Môme (The Kid), de Jon Turtletaub : Grand-mère de Kenny

Zimbalist II Efrem

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Efrem Zimbalist II (aussi dit Efrem Zimbalist Jr ; en anglais : « Efrem Zimbalist, Jr. ») est un acteur américain, né le 30 novembre 1918 à New York et mort le 2 mai 2014 à Solvang, Californie.

Zimbalist II Efrem

Il est le fils du violoniste Efrem Zimbalist et de la soprano Alma Gluck, et le père de l'actrice Stephanie Zimbalist et de Efrem Zimbalist III dit Efrem Skip Zimbalist III.

 

Filmographie

  • 1946 : Mr. and Mrs. North (TV)
  • 1949 : La Maison des étrangers (House of Strangers) : Tony
  • 1954 : Concerning Miss Marlowe (série TV) : Jim Gavin (1954-1955)
  • 1957 : L'Esclave libre (Band of Angels) : Lt. Ethan Sears
  • 1957 : Bombardier B-52 (Bombers B-52) : Colonel Jim Herlihy, Commanding Officer 329th Bomber Squadron
  • 1958 : En patrouille (The Deep Six) : Lt. Blanchard
  • 1958 : Une femme marquée (Too Much, Too Soon) : Vincent Bryant
  • 1958 : Girl on the Run : Stuart Bailey
  • 1958 : Violent Road : George Lawrence
  • 1958 : Home Before Dark (en) de Mervyn LeRoy : Jacob Diamond
  • 1960 : The Crowded Sky (en) de Joseph Pevney : Dale Heath
  • 1961 : A Fever in the Blood : Judge Leland Hoffman
  • 1961 : Par l'amour possédé (By Love Possessed) : Arthur Winner
  • 1962 : Les Liaisons coupables (The Chapman Report) : Paul Radford
  • 1965 : Harlow : William Mansfield
  • 1965 : The Reward : Frank Bryant
  • 1965 : Sur la piste du crime (The F.B.I.) : Lewis Erskine
  • 1967 : Cosa Nostra, Arch Enemy of the FBI (TV) : Lewis Erskine
  • 1967 : Seule dans la nuit (Wait Until Dark) : Sam Hendrix
  • 1974 : 747 en péril (Airport 1975) : Captain Stacy
  • 1975 : Le Daliah noir (Who Is the Black Dahlia?) (TV) : Sgt. Harry Hansen
  • 1978 : A Family Upside Down (TV) : Mike Long
  • 1978 : Terror Out of the Sky (TV) : David Martin
  • 1979 : The Best Place to Be (TV) : Bill Reardan
  • 1979 : The Gathering, Part II (TV) : Victor Wainwright
  • 1980 : Scrupules ("Scruples") (feuilleton TV) : Ellis Ikehorn
  • 1982 : The Avenging : Jacob Anderson
  • 1982 : Family in Blue (TV) : Marty Malone
  • 1982 : Beyond Witch Mountain (TV) : Aristotle
  • 1983 : The Tempest (vidéo) : Prospero
  • 1983 : Baby Sister (TV) : Tom Burroughs
  • 1983 : Shooting Stars (TV) : Robert Cluso
  • 1985 : Charley's Aunt (TV) : Col. Francis Chesney
  • 1989 : Streets (série TV)
  • 1990-1991 Les nouvelles aventures de ZORRO
  • 1991 : Hot Shots! de Jim Abrahams : Wilson
  • 1991 : La Légende de Prince Vaillant (The Legend of Prince Valiant) (série TV) : King Arthur (voix)
  • 1993 : Le Trésor des alizés ("Trade Winds") (feuilleton TV) : Christof Philips
  • 1993 : Batman, la vengeance du fantôme (Batman: Mask of the Phantasm) : Alfred Pennyworth (voix)
  • 1994 : The Street Corner Kids : Marty
  • 1995 : The Street Corner Kids: The Sequel : Marty
  • 1998 : SubZero (vidéo) : Alfred Pennyworth (voix)
  • 1998 : The Batman/Superman Movie (TV) : Alfred Pennyworth (voix)
  • 1998 : Un taxi pour le Canada (Cab to Canada) (TV) : Vice Chancellor
  • 1999 : The Amazing Adventures of Spider-Man : Dr. Octopus (voix)
  • 2001 : The First Day (TV) : Benjamin Hart
  • 2003 : Batman : La Mystérieuse Batwoman (Batman: Mystery of the Batwoman) (vidéo) : Alfred Pennyworth (voix)

Thatcher Torin

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Torin Thatcher est un acteur anglais, né Torin Herbert Erskine Thatcher le 15 janvier 1905 à Bombay (Inde ; alors Empire britannique), mort d'un cancer le 4 mars 1981 à Thousand Oaks (Californie).

Thatcher Torin

Né de parents anglais à Bombay (son père est militaire), Torin Thatcher grandit en Angleterre et étudie l'art dramatique notamment à la Royal Academy of Dramatic Art de Londres. Il fait ses débuts d'acteur professionnel au théâtre en 1927 — comme membre de la troupe du théâtre Old Vic jusqu'en 1929 — et joue fréquemment à Londres, entre autres dans des pièces de William Shakespeare (ex. : Hamlet, durant la saison 1936-1937, avec Alec Guinness, Laurence Olivier et Michael Redgrave).

Au cinéma, excepté un court métrage de 1927 (extrait filmé d'une prestation dans Le Marchand de Venise de Shakespeare), il débute dans General John Regan (en) d'Henry Edwards, sorti en 1933 (avec le réalisateur et Chrissie White). Mentionnons des petits rôles non-crédités dans Agent secret (1936, avec Sylvia Sidney et Oscar Homolka) et Jeune et innocent (1937, avec Derrick De Marney et Nova Pilbeam) d'Alfred Hitchcock, ainsi qu'un second rôle dans La Commandante Barbara de Gabriel Pascal (1941, avec Wendy Hiller et Rex Harrison).

Hormis une interruption due à la Seconde Guerre mondiale (il sert dans la Royal Artillery de 1940 à 1945 et en ressort lieutenant-colonel), Torin Thatcher contribue jusqu'à la fin des années 1940 à des films britanniques majoritairement, le dernier sorti en 1949. Citons encore Les Grandes Espérances de David Lean (1946, avec John Mills, Valerie Hobson et Jean Simmons) et Première Désillusion de Carol Reed (1948, avec Ralph Richardson et Michèle Morgan).

Installé définitivement aux États-Unis en 1948, il y poursuit ses activités au théâtre et débute à Broadway (New York) dans la pièce Édouard, mon fils de Noel Langley et Robert Morley, représentée 260 fois de septembre 1948 à mai 1949 (et adaptée au cinéma en 1949), aux côtés de Ian Hunter et Robert Morley. Il se produit sur les planches new-yorkaises dans six autres pièces, disséminées jusqu'en 1963. L'une d'elle est The Miracle Worker (en) de William Gibson (en), représentée 719 fois d'octobre 1959 à juillet 1961, avec Anne Bancroft et Patty Duke, mise en scène par Arthur Penn. Notons ici que ce dernier en réalisera l'adaptation au cinéma de 1962, avec les deux actrices (mais sans Torin Thatcher, remplacé par Victor Jory), sous le même titre original — titre français : Miracle en Alabama —.

Après une coproduction américano-britannique de 1950 tournée pour partie en Angleterre (La Rose noire d'Henry Hathaway, avec Tyrone Power, Orson Welles et Cécile Aubry), il collabore surtout à des films américains. Les quatre premiers, sortis en 1952, sont L'Affaire de Trinidad de Vincent Sherman (avec Rita Hayworth et Glenn Ford), Les Neiges du Kilimandjaro d'Henry King (avec Gregory Peck, Susan Hayward et Ava Gardner), Le Corsaire rouge de Robert Siodmak (avec Burt Lancaster, Nick Cravat et Eva Bartok), et Barbe-Noire, le pirate de Raoul Walsh (où il personnifie le pirate Henry Morgan, aux côtés de Robert Newton dans le rôle-titre et Linda Darnell).

Par la suite, il apparaît notamment dans Hélène de Troie de Robert Wise (1956, avec Rossana Podesta et Jacques Sernas ; rôle d'Ulysse), Témoin à charge de Billy Wilder (1957, avec Tyrone Power, Marlène Dietrich et Charles Laughton), Le Septième Voyage de Sinbad de Nathan Juran (1958, avec Kerwin Mathews et Kathryn Grant ; rôle du magicien Sokurah), et Hawaï de George Roy Hill (avec Julie Andrews et Max von Sydow). Ses deux derniers films sortent en 1967. Pour la télévision, Torin Thatcher contribue d'abord à quatre téléfilms britanniques d'origine théâtrale. Le premier, diffusé en 1937, est une représentation téléfilmée de L'École de la médisance de Richard Brinsley Sheridan, avec Greer Garson. Le dernier, diffusé en 1946, est une adaptation de la pièce de George Bernard Shaw Androclès et le Lion (en), avec Michael Gough.

De 1949 à 1975, il participe à soixante-trois séries américaines, dont Alfred Hitchcock présente (deux épisodes, 1957-1959), Star Trek (un épisode, 1967) et Mission impossible (deux épisodes, 1968-1968). On le retrouve aussi dans quatre autres téléfilms, le premier étant une adaptation du roman d'A. J. Cronin La Citadelle, avec Ann Blyth, diffusée en 1960. Le dernier (son ultime prestation à l'écran) est Brenda Starr de Mel Stuart, avec Jill St John dans le rôle-titre, diffusé en 1976.

Théâtre

À Londres

  • 1927-1928 : Beaucoup de bruit pour rien (Much ado about nothing, avec Sybil Thorndike), Le Roi Lear (King Lear), Roméo et Juliette (Romeo and Juliet), Le Marchand de Venise (The Merchant of Venice), La Mégère apprivoisée (The Taming of the Shrew, avec Sybil Thorndike), Henri V (Henry V, avec John Laurie, Sybil Thorndike), Hamlet et Les Deux Nobles Cousins (The Two Nobles Kinsmen) de William Shakespeare ; L'École de la médisance (The School for Scandal) de Richard Brinsley Sheridan (saison ; avec Eric Portman pour toutes ces pièces)
  • 1928-1929 : Macbeth, Les Joyeuses Commères de Windsor (The Merry Wives of Windsor), Peines d'amour perdues (Love's Labour's Lost), Henri VIII (Henry VIII), Henri V (Henry V, avec Eric Portman, Sybil Thorndike), Hamlet, La Nuit des rois, ou Ce que vous voudrez (Twelfth Night, or What you will) et Comme il vous plaira (As you Like it), de William Shakespeare ; Les Vikings (The Vikings) d'Henrik Ibsen, adaptation de William Archer ; Caste de Thomas William Robertson ; Marie-Magdeleine (Mary Magdalene) de Maurice Maeterlinck ; The Rivals de Richard Brinsley Sheridan (saison ; avec John Laurie pour toutes ces pièces, sauf The Rivals)
  • 1930 : Michael and Mary d'Alan Alexander Milne, avec Elizabeth Allan, Edna Best, Frank Lawton, Herbert Marshall
  • 1936-1937 : Hamlet de William Shakespeare, avec Alec Guinness, Robert Newton, Laurence Olivier, Michael Redgrave, Francis L. Sullivan
  • 1937-1938 : The Painted Smile de W.P. Templeton, avec John Abbott ; La Maladie blanche (Bílá nemoc - titre anglais : The White Disease ou Power and Glory) de Karel Čapek, avec Felix Aylmer, C.V. France, Oscar Homolka ; Lot's Wife de Peter Blackmore, avec Nora Swinburne (saison)
  • 1945-1946 : 1066 - And All That de Reginald Arkell, avec Isabel Jeans, Cathleen Nesbitt, Ivor Novello, Basil Radford, Michael Redgrave, Flora Robson, Naunton Wayne

À Broadway

  • 1948-1949 : Édouard, mon fils (Edward, My Son) de Noel Langley et Robert Morley, avec Ian Hunter, Robert Morley (adaptation au cinéma en 1949)
  • 1949-1950 : That Lady de Kate O'Brien, production de Katharine Cornell, avec Henry Daniell, Esther Minciotti, Henry Stephenson, Joseph Wiseman, Katharine Cornell (adaptation au cinéma en 1955)
  • 1951 : Billy Budd de Louis O. Coxe et Robert Chapman, d'après le roman éponyme inachevé d'Herman Melville, avec Dennis King, Lee Marvin (adaptation au cinéma en 1962)
  • 1958 : The Firstborn de Christopher Fry, production de Katharine Cornell et Roger L. Stevens, mise en scène d'Anthony Quayle, avec Katharine Cornell, Mildred Natwick, Anthony Quayle
  • 1959-1961 : The Miracle Worker de William Gibson, mise en scène d'Arthur Penn, avec Anne Bancroft, Patty Duke (adaptation au cinéma en 1962)
  • 1961-1962 : Write Me a Murder de Frederick Knott, mise en scène de George Schaefer, avec Denholm Elliott, Kim Hunter
  • 1963 : Hidden Stranger de Maxwell Maltz

Filmographie 

Période britannique (1933-1949)

  • 1933 : General John Regan d'Henry Edwards
  • 1934 : Irish Hearts de Brian Desmond Hurst (film américano-britannique)
  • 1936 : Well Done, Henry de Wilfred Noy
  • 1936 : Agent secret (Sabotage) d'Alfred Hitchcock
  • 1936 : Crime sur Londres (Crime Over London) d'Alfred Zeisler
  • 1937 : Le Chevalier sans armure (Knight Without Armour) de Jacques Feyder
  • 1937 : Jeune et innocent (Young and Innocent) d'Alfred Hitchcock
  • 1938 : Climbing High de Carol Reed
  • 1939 : L'Espion noir (Spy in Black) de Michael Powell
  • 1939 : Le lion a des ailes (The Lion Has Wings), film collectif d'Adrian Brunel et autres
  • 1940 : Espionne à bord (Contraband) de Michael Powell
  • 1940 : Let George Do It ! de Marcel Varnel
  • 1941 : La Commandante Barbara (Major Barbara) de Gabriel Pascal
  • 1942 : The Next of Kin de Thorold Dickinson
  • 1946 : L'Étrange Aventurière (I See a Dark Stranger) de Frank Launder
  • 1946 : Les Grandes Espérances (The Great Expectations) de David Lean
  • 1947 : Jassy de Bernard Knowles
  • 1947 : When the Bough Breaks de Lawrence Huntington
  • 1948 : Première Désillusion (The Fallen Idol) de Carol Reed

Période américaine (1950-1967)

  • 1950 : La Rose noire (The Black Rose) d'Henry Hathaway (film américano-britannique)
  • 1952 : L'Affaire de Trinidad (Affair in Trinidad) de Vincent Sherman
  • 1952 : Le Corsaire rouge (The Crimson Pirate) de Robert Siodmak
  • 1952 : Les Neiges du Kilimandjaro (The Snows of Kilimanjaro) d'Henry King
  • 1952 : Barbe-Noire, le pirate (Blackbeard the Pirate) de Raoul Walsh
  • 1953 : Les Rats du désert (The Desert Rats) de Robert Wise
  • 1953 : La Tunique (The Robe) d'Henry Koster
  • 1953 : Houdini le grand magicien (Houdini) de George Marshall
  • 1954 : Un grain de folie (Knock on Wood) de Melvin Frank et Norman Panama
  • 1954 : La Révolte des Cipayes (Bengal Brigade) de László Benedek
  • 1954 : Le Chevalier du roi (The Black Shield of Falworth) de Rudolph Maté
  • 1955 : Madame de Coventry (Lady Godiva of Coventry) d'Arthur Lubin
  • 1955 : La Colline de l'adieu (Love Is a Many-Splendored Thing) d'Henry King
  • 1956 : Diane de Poitiers (Diane) de David Miller
  • 1956 : Hélène de Troie (Helen of Troy) de Robert Wise (film américano-italien)
  • 1957 : Istanbul de Joseph Pevney
  • 1957 : Témoin à charge (Witness for the Prosecution) de Billy Wilder
  • 1957 : L'Esclave libre (Band of Angels) de Raoul Walsh
  • 1958 : Le Septième Voyage de Sinbad (The 7th Voyage of Sinbad) de Nathan Juran
  • 1958 : Les commandos passent à l'attaque (Darby's Rangers) de William A. Wellman
  • 1959 : The Miracle d'Irving Rapper et Gordon Douglas
  • 1961 : L'Escadron rouge (The Canadians) de Burt Kennedy
  • 1962 : Jack le tueur de géants (Jack the Giant Killer) de Nathan Juran
  • 1962 : Les Révoltés du Bounty (Mutiny on the Bounty) de Lewis Milestone
  • 1963 : Decision at Midnight de Lewis Allen (film américano-britannique)
  • 1963 : Drums of Africa de James B. Clark
  • 1965 : Le Chevalier des sables (The Sandpiper) de Vincente Minnelli
  • 1966 : Hawaï (Hawaii) de George Roy Hill : Rév. Thorn
  • 1966 : Hell of Borneo de George Montgomery
  • 1967 : The Sweet and the Bitter de James Clavell (film canadien)
  • 1967 : The King's Pirate de Don Weis

Télévision

  • 1957-1959 : Alfred Hitchcock présente (Alfred Hitchcock Presents) - Saison 2, épisode 32 The Hands of Mr. Ottermole (1957) de Robert Stevens, Saison 4, épisode 21 Relative Value (1959) de Paul Almond
  • 1959 : Peter Gunn - Saison 1, épisode 28 Pay Now, Kill Later de Boris Sagal
  • 1959 : La Grande Caravane (Wagon Train) - Saison 2, épisode 32 The Steve Campden Story de Christian Nyby
  • 1961 : Bonanza - Saison 2, épisode 33 Elizabeth, My Love de Lewis Allen
  • 1961 : Aventures dans les îles (Adventures in Paradise) - Saison 2, épisode 34 L'Institutrice (Beach Head) de Felix E. Feist
  • 1961 : Ombres sur le soleil (Follow the Sun) - Saison unique, épisode 1 A Rage for Justice
  • 1961 : Perry Mason, première série - Saison 5, épisode 14 The Case of the Unwelcome Bride
  • 1963 : Les Incorruptibles (The Untouchables) - Saison 4, épisode 25 Le Tueur (The Giant Killer)
  • 1963 : Adèle (Hazel) - Saison 2, épisode 28 Hazel Sounds Her 'A' de William D. Russell
  • 1964 : Les Accusés (The Defenders) - Saison 3, épisode 26 May Day ! May Day ! de Stuart Rosenberg
  • 1964 : Suspicion (The Alfred Hitchcock Hour) - Saison 2, épisode 29 Bed of Roses
  • 1965 : Voyage au fond des mers (Voyage to the Bottom of the Sea) - Saison 1, épisode 30 Le Secret du Loch Ness (The Secret of the Loch) de Sobey Martin
  • 1966 : Max la Menace (Get Smart) - Saison 1, épisode 20 Tout dans la tête (All in the Mind) de Bruce Bilson
  • 1966 : Perdus dans l'espace (Lost in the Space) - Saison 1, épisode 23 The Space Trader de Nathan Juran
  • 1966 : Au cœur du temps (The Time Tunnel) - Saison unique, épisode 6 Le Volcan tragique (The Crack of Doom) de William Hale
  • 1967 : Star Trek - Saison 1, épisode 22 Le Retour des Archons (The Return of the Archons) de Joseph Pevney
  • 1967 : Gunsmoke ou Police des plaines (Gunsmoke ou Marshal Dillon) - Saison 12, épisode 21 Fandango de James Landis
  • 1967-1969 : Daniel Boone - Saison 3, épisode 27 Take the Southbound Stage (1967) de Gerd Oswald, Saison 5, épisode 13 To Slay a Giant (1969) de Nathan Juran
  • 1968-1969 : Mission impossible (Mission : Impossible) - Saison 3, épisode 1 Princesse Céline (The Heir Apparent, 1968) d'Alexander Singer
  • Saison 4, épisode 2 Alerte (The Numbers Game, 1969) de Reza Badiyi
  • 1970 : Au pays des géants (Land of the Giants) - Saison 2, épisode 16 Nightmare de Nathan Juran
  • 1975 : Petrocelli - Saison 1, épisode 21 Death in Small Doses

Téléfilms

  • 1965 : The Holy Terror de George Schaefer
  • 1968 : The Strange Case of Dr. Jekyll and Mr. Hyde de Charles Jarrott
  • 1976 : Brenda Starr de Mel Stuart
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