11 Septembre 2001, 19 terroristes saoudiens, commandités depuis des grottes en Afghanistan où tout a été préparé, détournent 4 avions de ligne de deux compagnies aériennes différentes sur le sol américain, à l’aide de cutters et parviennent à abattre 3 tours du World Trade Center de New York avec deux avions et à percuter le pentagone avec un troisième. Au total, quelques 3000 personnes périssent dans les attentats.
Ce faisant, ces 19 pirates de l’air pulvérisent non seulement des tours symboles du capitalisme mondial, mais aussi des records en la matière puisque leur action a déjoué la surveillance des 16 agences de renseignement américaines, dont la CIA, le FBI et la NSA, celle de tous les services de renseignement alliés dont le MI6, MI5 et le Mossad et ce sur plusieurs années de préparation, la sécurité des aéroports quatre fois de rang dans la même matinée, la surveillance du NORAD (l’organisme militaire qui gère la sécurité des Etats-Unis et de l’Amérique du Nord…), de la FAA (Federal Aviation Administration) et la sécurité du Pentagone, le bâtiment le plus protégé au monde. Excusez du peu.
C’est en tout cas ce que la version officielle du gouvernement américain de l’époque et de tous les gouverments qui lui ont succédés depuis, veulent faire croire au monde avec l’aide des médias, qui ont très vite cessés de poser trop de questions dérangeantes.
Depuis lors, le monde est engagé dans une “guerre contre le terrorisme” déclanchée par le gouvernement républicain néo-conservateur du président américain George W. Bush et continuée, amplifiée même, sous le gouvernement “démocrate” d’Obama. Cette “guerre” a mené les Etats-Unis et ses alliés dans des guerres de conquête et de contrôle impérialistes en Afghanistan, au Soudan, en Irak, au Yémen, en Somalie, en Libye et maintenant en Syrie, dans sept pays musulmans de fait, au nom de la chasse aux “terroristes” responsables des attentats. Il a fallu une dizaine d’années pour localiser le soi-disant “cerveau” des attentats, Oussama Ben Laden, qui vivait paisiblement retiré dans une maison retranchée dans une petite ville du Pakistan depuis des années et le “faire assassiner” par une équipe de commandos de l’armée américaine, ce en dépit du fait que l’intéressé n’était pas recherché officiellement par le FBI pour les attentats du 11 Septembre “faute de preuves” et que lui-même avait démenti en avoir été l’organisateur bien qu’il félicita les perpétrateurs.
Qui, aujourd’hui peut encore croire sans feindre une telle fable ? Comment cette théorie du complot officielle peut-elle être maintenue contre vents et marées et surtout malgré les faits qui se sont faits jour depuis lors tels que:
1- Le délit d’initiés avéré, qui vit une énorme spéculation sur les actions en bourse des deux compagnies aériennes impliquées dans les attentats la veille de ceux-ci
2- l’admission par le propriétaire des tours (Larry Silverstein) qu’ils “avaient pris la décision d’effondrer la tour no7 (“pull it” en anglais dans l’interview initiale…)”, ce qui suppose que des explosifs devaient déjà être présents dans la tour et explique le pourquoi cette tour, qui n’a jamais été touchée par un avion mais que par des débris épars, s’est effondrée droite à la vitesse de la chute libre (sans aucune résistance donc) pendant plusieurs secondes.
3- La preuve faite par deux études indépendantes sur des poussières du site des tours, que des explosifs sous forme de nanothermite militaire, utilisée pour la destruction rapide d’édifices tels des ponts lors d’opérations de sabotage ou de destruction contrôlée civile, était présente ; ceci expliquant le fait que les tours jumelles se soient effondrées après pulvérisation de leur structure interne, là encore à la manière d’une démolition contrôlée.
4- Les témoignages ignorés par la mascarade de commission d’enquête, des témoins et des équipes de secours faisant état de “fontaines d’acier liquide” qui “ruisselaient” dans les sous-sols des tours et des explosions en succession rapide qui ont été entendues par de nombeux témoins avant l’effondrement des tours.
5- Du fait qu’aucun débris tels les énormes moteurs Rolls Royce et les ailes de l’avion qui aurait percuté le pentagone n’aient été retrouvés, tout s’étant “vaporisé” dans la chaleur de l’explosion qui suivi l’impact, nous dit-on… Du fait qu’aucune vidéo des quelques centaines caméras de sécurité entourant le pentagone, n’ait montré de manière conclusive et irréfutable que l’avion avait bel et bien percuté le bâtiment.
6- L’empressement frénétique de faire disparaitre toute preuve et trace du site du crime du WTC, à l’encontre de toute procédure criminelle de base et la mascarade de la commission d’enquête qui ignora tant de témoignages et d’éléments pour conclure ce qu’il avait été décidé de conclure.
Tout ceci est maintenu de manière officielle grâce à la complicité volontaire ou panurgiste des médias complacents sinon complices, dont les tenants sont maintenus dans la peur.
Depuis, l’empire a envahi l’Afghanistan qu’il continue de bombarder et d’occuper 11 ans plus tard, a envahi l’Irak en justifiant l’invasion par un mensonge supplémentaire: celui des fameuses armes de destruction massive qu’aurait possédé l’ancienne propriété de la CIA Saddam Hussein (à l’instar d’un Ben Laden du reste), armes que l’on a jamais trouvées mais qu’importe, l’Irak était détruit. Des guerres ont été et sont toujours menées directement ou par proxy au Soudan, en Somalie, au Yémen en Libye et en Syrie, en attendant les pièces de résistance: l’Iran, la Russie et la Chine.
Lorsqu’on observe et analyse le monde et ses évènements économiques et géopolitiques, étroitement imbriqués les uns dans les autres, on ne peut pas manquer de constater que la pierre angulaire du monde mortifère dans lequel nous vivons aujourd’hui est le 11 Septembre 2001. C’est au nom de ces évènements qui ont coûtés la vie à 3000 sacrifiés, que les gouvernements corporatifs fascistes successifs des Etats-Unis, ont détruit pas à pas les libertés civiles dans leur pays par le biais de décrets tels le Patriot Act et le NDAA qui ne sont que des destructeurs de constitution, que l’argent coule à flot pour les industries du complexe militaro-industriel et de la sécurité en Amérique et ailleurs, que l’Amérique peut tenter de réaliser son hégémon, qu’elle pense être de “droit divin”, sur le monde aidée par ses alliés volontaires ou forcés et peut imposer juqu’à maintenant au reste du monde de continuer d’acheter sa dette stratosphérique de plus de 16 000 milliards de dollars, à la pointe des ses canons et de ses missiles de croisière..
Nous vivons depuis 2001 dans un monde plus que jamais dirigé par le mensonge, la veûlerie, l’agression, la violence et l’arrogance sans borne qu’une petite fraction dite de “l’élite” auto-proclamée, impose au reste du monde.
Au nom de la mémoire de ceux qui sont morts ce jour funeste et de tous ceux qui sont morts depuis, des suites d’avoir été présents sur les lieux et qui meurent à petit feu de maladies diverses contractées sur place, ou de ceux qui sont morts sous les décombres de leur maison dans leur pays bombardé par les forces de l’axe impérialiste Washington-Londres-Paris-Rome sans aucune autre raison que la fable officielle maintenue des attentats du 11 Septembre, une véritable enquête se doit d’être ouverte, tenant compte de tous les éléments à disposition pour faire toute la lumière sur cette affaire.
Nous avons déjà dit ici et le répétons: le 11 Septembre 2001 est la clef du monde obscurantiste dans lequel nous vivons aujourd’hui. Nous avons besoin de cette clef pour non seulement comprendre ce qu’il se passe, mais également pour arrêter les massacres et les crimes commis en son nom et en notre nom depuis et à venir.
Une fois de plus, nous devons nous réapproprier l’histoire qui a été détournée au profit de la même clique oligarchique.
L’histoire est une arme, pour l’heure et depuis bien trop longtemps, elle ne sert qu’à l’oligarchie pour parachever son œuvre de destruction et de contrôle.
Nous avons le pouvoir de changer cela… Maintenant !
Le principal profit financier direct lié au 11/9 est la colossale somme de 1000G$ détournée la veille des caisses du Pentagone. L’attaque du Pentagone est probablement en relation avec ce détournement ainsi qu’avec l’élimination d’une opposition au sein même du Pentagone. Le crime profite aussi à tous ceux qui savaient, bénéficiaires d’opérations boursières…
Le World Trade Center passe sous contrôle privé 3 mois avant le 11/9. L. Silverstein a obtenu immédiatement une assurance avec des clauses spéciales terrorisme. Selon le British Financial Times : » Si les buildings sont détruits par acte de terrorisme, les nouveaux propriétaires n’ont plus l’obligation d’effectuer les paiements relatifs au bail « . Mais ils ont le droit de percevoir les indemnités d’assurance. Ainsi, Silverstein a perçu 5 milliards de dollars des compagnies d’assurance, à partir d’un investissement initial de seulement 15 millions de dollars.
Les sismologues ont dû se rendre à une évidence majeure; les deux tours jumelles ont été littéralement soufflées comme par dynamitage, à leur base en synchronicité avec leur effondrement soit disant causé par la dislocation des structures d’acier affaiblies par les feux de kérosène. C’est en partie vrai mais seulement en partie. Au cours de la première phase de cet effondrement, l’onde de choc provoquant un micro séisme de magnitude 2.2 à 2.3 a précédé de 3 à 4 secondes l’impact des premiers débris au sol.
Poutres en acier coupées net, il n’y a que de l’explosif très puissant qui peut découper net de la tôle épaisse de plusieurs centimètre en quelques secondes.
Des pointes sismiques de 2,1 et 2,3 ont respectivement été enregistrées par l’Université Columbia lorsque la Tour nord et sud ont commencé à s’effondrer. Ces secousses, qui avaient comme épicentre le sous-sol des Tours jumelles, étaient brèves mais violentes, et facilement attribuables à des explosions à la base des tours, suffisamment puissantes pour avoir affaibli d’un seul coup la structure de base des édifices et provoqué leur effondrement.
Il est à noter que dans la technique de démolition contrôlée par implosion, l’étape de la destruction de la structure de base d’un édifice est nécessaire pour entraîner la structure verticale à s’effondrer sur elle-même, une fois que le centre de l’édifice a été affaibli.
Si de la thermite ou des explosifs avaient déjà été utilisés sur les « noyaux » traversant le centre de chaque tour, il ne manquait qu’une puissante explosion à la base pour déclencher l’effondrement.
Au niveau -7, à l’endroit où la structure d’acier était ancrée au rocher, des points de combustion sont restés actifs pendant plusieurs jours avec des pics de température s’élevant jusqu’à 1535° C. Ce qui est théoriqument impossible !
Des vues prises par hélicoptère montrent distinctement une élévation au-dessus du sol, puis une oscillation provoquant leur enfoncement à plus de 20 mètres en dessous du niveau du sol. De plus, la signature sismique sur les écrans des enregistreurs de la première onde de choc est supérieure à la plus importante enregistrée pendant et après l’impact des débris au sol dont la taille multi fragmentée ne pouvait en être l’origine.
Les ondes basse-fréquences étaient anormalement riches en comparaison de celles générées en haute-fréquences. Ce point nous oblige à prendre on compte la technologie du système H.A.A.R.P. installé en Alaska. Le 17 Janvier 2001, des ondes sismiques avaient été enregistrées sur Manhattan et souvenons nous que les tremblements de terre majeurs qui avaient frappé Los Angeles en 1994 et Kobé en 1995 avaient eu lieu pour chacun d’eux un 17 Janvier, dans la même demi-heure.
L’effondrement des tours a également donné lieu à diverses spéculations. Différents groupes pensent aussi que les tours jumelles du World Trade Center, ainsi que la tour n°7 auraient volontairement subi une destruction contrôlée à l’aide de charges explosives placées à l’avance dans les tours par le gouvernement américain.
Aucun effondrement vertical de tour n’a eu lieu sans explosion contrôlée dans l’histoire de l’architecture ; or il y a eu un tel effondrement pour les deux tours jumelles (comparaisons de démolitions contrôlées et non contrôlées) et pour la tour 7 du complexe quelques heures plus tard.
Justement, ce dernier bâtiment n’avait été touchés par aucun avion, son écroulement parait donc d’autant plus suspect. La version officielle veut que l’écroulement soit dû à un incendie (qui aurait été allumés par des parties des deux tours du WTC en feu tombant sur l’immeuble) alimenté pendant plusieurs heures par des réserves de fioul. Mais les conspirationnistes affirment qu’il est impossible qu’un immeuble s’écroule entièrement suite à un incendie, et citent comme preuve des incendies précédents, comme celui de la tour de Madrid. De plus le rapport de la FEMA serait une « blague ».
Selon une étude réalisé en 1964 lors de l’élaboration des plans du WTC, le crash d’un boeing 707 volant à 600 mph (963km/h) n’aurait pas causé son effondrement. Les caractéristiques de cet avion seraient quasiment identiques à celles des avions détournés, il est à noter que lors du procès concernant le 1er attentat contre le WTC en 1993, des experts avaient annoncé que les tours ne résisteraient pas un B.767 (le type d’avion utilisé)[voir la revue « Air & Cosmos » d’Octobre 2001.
Des questions importantes auraient été ignorées par les médias, par exemple, la température n’aurait pas été suffisante pour que la fragilisation des structures métalliques provoquent l’écroulement. De plus, des survivants, ainsi que des pompiers, auraient entendus des bombes exploser à l’intérieur du WTC. En résumé, le WTC aurait été miné d’explosifs à des endroits stratégiques, explosions qui seraient détectables sur les vidéos et les images disponibles par les spécialistes en démolitions et experts des armées.
Mais comme les Twins tower n’étaient plus entretenues depuis un bon moment, surtout au niveau de la protection incendie, les tours se sont peut-être simplement écroulées plaque par plaque, étage par étage les uns sur les autres, comme l’indique la version officiel.
Des explosifs de type nano-thermite dans les décombres
Après la récente publication dans la très sérieuse revue scientifique « Open Chemical Physics Journal » d’une étude écrite par neuf chercheurs internationaux démontrant la présence d’explosifs de type nano-thermite dans les décombres du World Trace Center, l’un des coauteurs, Niels Harrit, fut interviewé le 6 avril 2009 par TV2, l’une des deux chaînes danoises les plus respectées.
Ces 9 chercheurs ont découvert la présence de résidus actifs d’un explosif appelé nano-thermite dans des poussières du WTC collectées dans les heures et les jours qui ont suivi l’effondrement des tours. L’étude nécessita 18 mois de travail. Pour le Dr. Harrit et ses collaborateurs, seule l’utilisation de cet explosif peut être à l’origine des effondrements successifs et non les impacts des deux avions détournés par les pirates de l’air.
La version officielle de l’effondrement du WTC est désormais bel et bien invalidée par la science !
Alors qu’elle a bénéficié d’une bonne couverture médiatique au Danemark, cette incroyable nouvelle qui fait voler en éclats la théorie officielle de la destruction des tours est passée quasi-inaperçue dans les médias français. Seul un article de la Télé Libre en a fait état.
En Juillet 2013, John Kerry reconnaît que l’immeuble WTC7 est abattu par une démolition contrôlée et pas un mot dans nos médias!
Mise hors tension des tours plusieurs jours avant le 11 septembre
Scott Forbes, un employé-cadre de la firme Fiduciary Trust, située aux 90e, 91e et 94e étages de la Tour sud a rendu un témoignage[20] sur quelques sites d’information alternatifs concernant la mise hors-tension d’au moins la moitié de la Tour sud du WTC durant la fin de semaine précédant le 11 septembre, et en plus de l’intervention d’une multitude de techniciens dans l’édifice.
Cette opération, qui avait soi-disant pour but de mettre à jour le système de câblage réseau sur une bonne partie de l’édifice, a nécessité la coupure du courant électrique durant 30 heures, et cela incluant la mise hors-tension de tout le système de sécurité et de surveillance par caméra de la Tour sud.
Alors qu’il travaillait à remettre le réseau informatique de la compagnie en marche le dimanche 9 septembre, Forbes a noté une grande activité dans l’édifice, sur différents étages, alors que plusieurs équipes de techniciens entraient et sortaient aléatoirement, et ce alors que les caméras de sécurité étaient non-fonctionnelles et sans aucune vérification électronique de sécurité pour les personnes qui entraient et sortaient.
Cet indice donne du poids à la théorie voulant que les Tours jumelles auraient été préalablement truffées d’explosifs ou de thermite lors d’une opération secrète sous la couverture des autorités, rendant ainsi possible la destruction complète des édifices lorsqu’ils seraient frappés par les avions, moins de deux jours plus tard.
Avions civil ou militaire?
Selon plusieurs témoignages, les avions étaient des « Cargo militaire « . Comme on peut le penser sur ces photos du deuxième avions, il y a un réservoir supplémentaire sur le 767. Est-ce réellement un réservoir de carburant supplémentaire rempli d’essence, pour créer un feu gigantesque?
De tels réservoirs peuvent être vus sur beaucoup d’avions militaires, mais n’ont été jamais vus sur un Boeing 767. De plus, sur des vidéos nous pouvons distinctement voir un éclair avant l’impact de l’avion sur la tour! Sur une autre image, nous voyons une boule de feu devant le nez de l’avion avant l’impact. L’avion aurait alors tiré un missile avant de percuter la tour afin de mieux la transpercer. De nombreux témoins affirment que les avions n’avaient pas de hublots et qu’ils étaient des avions de type » cargo » de même type que les cargos de l’USAF.
Les Boeing 767 et 757 sont les seuls à avoir été conçus par Boing pour être totalement contrôlables à distance en mode d’urgence sans intervention humaine depuis le décollage jusqu’à l’atterrissage.
Il semble qu’aucune des huit boites noires des quatre appareils impliqués dans les événements du 11 septembre n’aient pu livrer d’informations, y compris celles équipant l’appareil qui est censé s’être écrasé en Pennsylvanie. Ces boites sont conçues pour fournir des informations sur les circonstances des accidents aériens. Elles enregistrent les conversations de l’équipage, les paramètres de vol, les bruits dans le cockpit.
Les bruits ne sont pas anodins, ils traduisent en fait le déroulement de nombreuses manœuvres, par exemple la sonnerie de signaux avertisseurs, le bruit de la descente du train, etc. « De nombreuses conclusions peuvent être tirées à partir de l’analyse de ce type de bande sonore. Ces boites noires enregistrent en outre vingt huit paramètres importants dont le temps, l’altitude, la vitesse, le cap, l’altitude de l’appareil.
Elles enregistrent également trois cent signaux donnant des renseignements sur l’état de différents éléments de l’appareil : état des volets hypersustentateurs, celui du pilote automatique, du signal d’alarme-incendie, etc. Les avions sont équipés de deux boites noires indépendantes, l’une d’elles étant disposée à l’arrière des appareils, partie qui subit en général le moins de dommages en cas de crash. Ces boites fournissent tous les renseignements nécessaires pour établir les circonstances qui ont précédé l’accident. Les spécifications sont les suivantes : Tolérance à l’impact : 3400 G / Résistance au feu : 1100 ° C pendant 30 minutes.
L’unité de stockage en mémoire (CSMU) est pratiquement indestructible. Elle est enfermée dans une coque en acier et protégée du feu par une enveloppe isolante, en matériau réfractaire. Ce composant peut résister à 2000° Fahrenheit pendant une heure, à une immersion pendant un mois, ainsi qu’à de nombreux fluides agressifs.
Concernant l’analyse de la boite noire issue du crash sur la Pensylvanie, les autorités admirent sans sourciller « que l’enregistrement des voix des pilotes avait été trop endommagé pour être exploitable », l’appareil ayant heurté le sol à plus de 900 kilomètres heure (source ABC News). Encore plus étrange, la disparition des quatre boites noires des appareils lancés sur les Twin Towers, alors que le passeport de Mohamed Atta fut retrouvé à peu de distance, intact. La tolérance à l’impact d’un passeport cartonné serait-elle supérieure à 3400 G et sa résistance au feu supérieure à 1100 degrés Celsius ?
Et le pentagone ?
A 9h38, le vol américan airlines 77, un boing 757 pesant 80 tonnes s’écrase sur le Pentagone. En réalité, on a jamais retrouvé de boieng 747. Quelques minutes plus tard, nous voyons les pompiers s’activant pour éteindre l’incendie. Il y a un trou dans le pentagone mais aucun avion. De nombreux témoignages décrivent » quelque chose comme un missile » ou un » petit jet » mais pas un avion de ligne. Quelque chose de vraiment troublant est que les ailes ne sont pas à l’extèrieur du bâtiment, au vue de la taille du trou. Elles se seraient » déchirées « . Mais aucun débrits devant le pentagone.
Une caméra de sécurité du pentagone a filmé l’impact avec des images prises à une seconde d’intervalle, la première photo a saisie une image de l’appareil. Rien de bien concluant si ce n’est que cet appareil ( qui semble bien petit quand même ) se trouve environ à 6 mètres du sol. Voila donc des pirates ne sachant presque pas faire fonctionner un avion, voler avec un 757 à plus de 850 km/h à 6 mètres du sol, et cela sans aucun signalement de souffle de réacteurs ni de turbulences de la part des riverains ou passants!
L’effondrement du bâtiment est dû à l’incendie qui s’est allumé après l’impact. En réalité l’impact en lui-même n’a pas causé énormément de dégâts.
La photo juste en dessus montre que le gazon devant le bâtiment était… intact juste après l’impact. Où est l’avion ? On sont les débris des ailes et des réacteurs ? Aucune trace.
Si ça n’est pas un Boeing 757 qui a frappé le Pentagone serait-ce, si on en croit le fameux lapsus de Rumsfeld : « they shot down the plane over pensylvania », et l’opinion de militaires américains un … missile ? Dans ce cas, des terroristes islamistes auraient-ils été capables de mettre en oeuvre un missile de croisière (par exemple du type Tomahawk) à partir du territoire américain, lequel aurait opéré son approche finale au ras des toits avant de frapper le Pentagone, à une altitude de l’ordre du mètre ? Cela paraît douteux.
Si on regarde alors avec ce même scepticisme les autres » cas de détournements » on relève un lot impressionnant de faits intrigants et suspects. Les appareils qui ont frappé les tours du World Trade center étaient-ils réellement des avions de ligne ? Si oui, pourquoi l’un d’eux portait-il sous le ventre un objet aussi protubérant ? Que sont devenues les boites noires de ces deux appareils ? Pourquoi cette lueur, captée par trois caméras vidéo situées en trois points différents, apparaissant sur la paroi du bâtiment, une fraction de seconde avant l’impact ? Où sont les traces des impacts des ailes et des moteurs ?
Hypothèse ; le vrai vol AA77 aurait été en réalité abattu en vol au dessus de l’Ohio, car il ne ne suivait plus sa trajectoire (c’est à dire en fait ni la trajectoire de son plan de vol, ni celle qu’il aurait dû suivre dans le scénario de détournement imaginé par le Cartel). C’est un missile américain qui a frappé le pentagone, et on fait croire qu’il s’agit du vol AA77. Mais pourquoi ? Pourquoi vouloir à tout prix démolir une partie du pentagone ? La réponse réside peut-être dans cette question : les occupants de la partie détruite seraient précisément les militaires au courant des actions du Cartel. Comme pour le building WTC 7, une autre manière d’éliminer les témoins gênants…
Il y a aussi une caméra dans une station service entre le pentagone et le flanc de la colline et son responsable affirme être suffisamment proche du pentagone pour avoir enregistré le moment de l’impact, mais le FBI était sur place quelques minutes après le crash et a confisqué le film. Le département des transports de Virginie possède des caméras qui auraient filmés l’appareil au dessus de l’autoroute 27, les bandes sont au FBI…
L’implication d’Israël qui financerait Al Qaïda pour justifier l’horreur
Une question primordiale ce pose, pourquoi l’état hébreu n’a jamais eu d’attentat d’Al Qaida ?
Tout le monde a vu les espions du Mossad dans le miniva sauter de joie pendant que les tours étaient touchées. Plusieurs autres de science-fiction indiquent une collaboration entre les services pour les attentas du 11 Septembre. Cette collaboration entre Al-Qaïda et Israel sera prouvée plus tard lors du conflit en Syrie.
En mars 2014, un officier de l’armée autrichienne de la Force des Nations Unies chargée d’observer le désengagement (FNUOD) dans le Golan occupé a « confirmé qu’Israël a fourni un soutien logistique et militaire à grande échelle aux terroristes et rebelles (de l’EIIL et d’Al-Nosra) dans différentes parties de la Syrie. Le représentant de la FNUOD a confirmé l’existence d’une « salle d’opération conjointe » entre Israël et les rebelles d’Al-Qaïda, vouée à « l’acheminement de l’aide aux terroristes ».
Cette assistance n’est pas limitée à la logistique, selon la chaîne télévisée israélienne Channel 1, des sources des services de sécurité ont mentionné un nouveau système de missile appelé » Mitar » établi au Golan et servant de couverture d’appoint aux groupes militants anti-Syriens. Selon le reportage, le système comprend des missiles de moyenne et longue portée. (Al Alam 3 mai 2014, c’est l’auteur qui souligne.)
Un hôpital militaire de Tsahal dans le Golan occupé a été installé pour traiter les rebelles d’Al-Qaïda blessés. En février 2014, le Jerusalem Post rapportait que le premier ministre Benjamin Nétanyahou avait visité l’hôpital de campagne de Tsahal dans le Golan occupé, mis en place pour soutenir les rebelles djihadistes opérant en Syrie et traiter les rebelles d’Al-Qaïda blessés. Le Jerusalem Post reconnaît que l’hôpital est utilisé pour appuyer l’insurrection djihadiste. Nétanyahou a fait référence à l’hôpital comme étant le lieu « séparant le bien du mal dans le monde ».
Pour Nétanyahou, « le bien est Israël », qui, ironiquement, appuie sans réserve les « combattants de la liberté» d’Al-Qaïda en Syrie. « Le mal » fait référence à l’Iran, qui soutient Bachar Al-Assad. Alors que l’hôpital de campagne de Tsahal a été créé pour soutenir Al-Qaïda dans une opération coordonnée par les forces spéciales de Tsahal, Nétanyahou accuse tout bonnement l’Iran d’« appuyer des groupes terroristes à travers le monde ».
Nétanyahou ne nie pas l’appui de son gouvernement aux djihadistes. Les hauts gradés des FDI ont tacitement reconnu que « des éléments du djihad international en Syrie » sont soutenus par Israël : Nétanyahou a visité le plateau du Golan avec le ministre de la Défense Moshe Yaalon et le chef d’état-major de Tsahal, le lieutenant-général Benny Gantz. Sur un belvédère donnant sur la frontière syrienne, le major-général Yair Golan du Commandement Nord OC a informé Nétanyahou de la présence d’éléments du djihad international en Syrie, ainsi que des travaux en cours pour renforcer la barrière frontalière israélo-syrienne.
L’ancien employé de la National Security Agency (NSA) étasunienne, Edward Snowden, a révélé que les services de renseignement britannique, étasunien et israélien (Mossad) ont travaillé ensemble pour créer l’État islamique en Irak et en Syrie (EIIS). Snowden dit que les services de renseignement des trois pays ont créé une organisation terroriste capable d’attirer tous les extrémistes du monde en un seul lieu, en utilisant une stratégie appelée « guêpier ».Des documents de la NSA se rapportent à la mise en œuvre récente d’un guêpier pour protéger l’entité sioniste en créant des slogans religieux et islamiques. Selon des documents publiés par Snowden, « la seule solution pour la protection de l’État hébreu » est de créer un ennemi près de ses frontières ».
Un Pearl Harbour 2
Souvent comparé au raid des japonnais sur Pearl Harbor, les événements du 11 septembre 2001 pourraient très bien être un fantastique complot contre le monde. En1941, le Japon a signé l’accord tripartite avec l’Italie et l’Allemagne, se promettant une défense mutuelle les uns envers les autres. Alors qu’Hitler ne déclarera jamais la guerre aux Etats-Unis, quelle que fût la provocation, il en sera différent pour le Japon.
Les Etats-Unis placèrent sous embargo le pétrole et l’acier destiné au Japon, en invoquant les actes de guerre du Japon sur les terres Asiatiques. Cela força le Japon à envisager de s’emparer du pétrole d’Indonésie. Avec les pouvoirs européens militairement épuisés par la guerre en Europe, les États-Unis étaient le seul pouvoir dans le Pacifique capable d’arrêter l’invasion des Indes orientales par le Japon. En déplaçant la flotte du Pacifique de San Diego à Pearl Harbor (Hawaï), Roosevelt avait positionné ses troupes de telle façon que toute volonté d’extension Japonaise soit impossible avant d’avoir nettoyé la zone.
Le Japon devait envahir l’Indonésie pour le pétrole dont il avait besoin, et éliminer la menace de la flotte américaine à Pearl Harbor. Il n’y avait pas d’autres possibilités pour le japon !
Le Président américain Franklin Delano Roosevelt avait besoin d’une guerre. 32éme président américain, il était grand maître des francs-maçons, membre du CFR, et avait des liens avec le comité des 300 et autres organisations secrètes. Il a eu besoin de la fièvre d’une guerre majeure pour masquer les symptômes d’une économie encore moribonde souffrant de la Grande Dépression. Roosevelt voulait une guerre avec l’Allemagne pour arrêter Hitler, mais ce dernier l’ignorait en dépit de plusieurs provocations dans l’Atlantique, et le peuple américain, luttant encore contre la crise économie, était opposé à toutes guerres. Roosevelt avait donc besoin d’un ennemi, et si l’Amérique ne pouvait pas attaquer cet ennemi volontairement, alors il devrait faire croire à une attaque contre l’Amérique.
Roosevelt a eu besoin que la première attaque par le Japon soit aussi sanglante et meurtrière que possible. A partir de cet instant et jusqu’à l’attaque sur Pearl Harbor, Roosevelt et ses associés se sont assurés que les commandants à Hawaï, le Général Short et l’Amiral Kimmel, ont été gardés dans l’ignorance totale au sujet de l’emplacement de la flotte Japonaise et de ses intentions. Mais comme le conseil de l’armé avait conclu en son temps (et les documents déclassés l’ont confirmé), Washington savait qpertinament que l’attaque était imminente. Il avait aussi connaissance de la position exacte de la flotte Japonaise et sa destination.
Le 29 novembre, le Secrétaire d’état Hull a montré au journaliste Joe Leib de United Press un message avec l’heure et le lieu de l’attaque, et les New York Times dans son édition spéciale datée du 12 août 1941, à la page 13, rapporte que l’heure et le lieu de l’attaque avaient été connus d’avance