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Flynn Miriam

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Miriam Flynn est une actrice et productrice américaine née le 18 juin 1952 à Cleveland, Ohio (États-Unis).

Flynn Miriam

Filmographie

  • 1979 : To Be Announced : Telephone operator
  • 1980 : The Tim Conway Show (série TV)
  • 1980 : First Family
  • 1981 : Maggie (série TV) : Maggie Weston
  • 1982 : Class Reunion : Bunny Packard
  • 1983 : Mister Mom : Annette
  • 1983 : Bonjour les vacances (Vacation) : Cousin Catherine
  • 1984 : Her Life as a Man (TV) : Sheila
  • 1986 : Help Wanted: Kids (TV) : Helen
  • 1987 : Mickey and Nora (TV) : Betty
  • 1987 : La Bande à Picsou ("DuckTales") (série TV) : Gandra Dee (voix)
  • 1988 : Homesick : Mom
  • 1988 : Et si on le gardait? (For Keeps?) : Donna Elliot
  • 1988 : 18 Again! : Betty Watson
  • 1988 : Le Retour de Billy Wyatt (Stealing Home) : Mrs. Parks
  • 1988 : Raising Miranda (série TV) : Joan Hoodenpyle
  • 1989 : Super Ducktales (TV) : Gandra Dee (voix)
  • 1989 : Christmas Vacation : Cousin Catherine Johnson
  • 1990 : The Flockens (TV) : Mrs. Flocken
  • 1991 : Taz-Mania, le diable de Tasmanie ("Taz-Mania") (série TV) : Jean Tasmanian Devil (voix)
  • 1991 : Myster Mask ("Darkwing Duck") (série TV) : Additional Voices (voix)
  • 1991 : Un homme fatal (Lonely Hearts) : Helen
  • 1992 : Stand by Your Man (série TV) : Adrienne
  • 1995 : Le Silence des innocents (Indictment: The McMartin Trial) (TV) : Judge Bobb
  • 1995 : From the Mixed-Up Files of Mrs. Basil E. Frankweiler (TV) : Evelyn Kincaid
  • 1995 : Babe, le cochon devenu berger (Babe) : Maa the Very Old Ewe (voix)
  • 1995 : Letter to My Killer (TV) : Peronnel Director
  • 1995 : What a Mess (série TV) : Mother
  • 1996 : Malcolm & Eddie (série TV)
  • 1996 : Carpool (en) d'Arthur Hiller : Franklin's Mom (voix)
  • 1996 : Waiting for Guffman : Costume Dresser
  • 1997 : The Legend of Calamity Jane (série TV) : Lonely Sue (voix)
  • 1997 : The Land Before Time V: The Mysterious Island (vidéo) : Grandma (voix)
  • 1997 : Vacances à Vegas (Vegas Vacation) : Cousin Catherine
  • 1998 : The Land Before Time VI: The Secret of Saurus Rock (vidéo) : Grandma (voix)
  • 2000 : Petit pied VII (The Land Before Time VII: The Stone of Cold Fire) (vidéo) : Grandma (voix)
  • 2000 : Kuzco, l'empereur mégalo (The Emperor's New Groove) : Additional Voices (voix)
  • 2001 : Chump Change : Bussler Waitress
  • 2001 : Évolution (Evolution) : Grace
  • 2001 : The Land Before Time VIII: The Big Freeze (vidéo) : Grandma (voix)
  • 2001 : Malcolm (Reese aux fourneaux) : Le prof de cuisine
  • 2001-2005 : Parents à tout prix (18 épisodes) : Sœur Helen
  • 2002 : Rudy à la craie (ChalkZone) (série TV) : Mildred "Millie" Tabootie (voix)
  • 2002 : The Land Before Time IX: Journey to the Big Water (vidéo) : Diplodoeus Mom (voix)
  • 2003 : The Land Before Time X: The Great Longneck Migration (vidéo) : Grandma (voix)
  • 2003 : Christmas Vacation 2: Cousin Eddie's Island Adventure (TV) : Cousin Catherine Johnson
  • 2005 : Darcy's Off-White Wedding : Lois
  • 2005 : Un destin si fragile (Fielder's Choice) (TV) : Tante Rose

comme Productrice

  • 2003 : Black Cadillac

Fitzgerald Geraldine

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Geraldine Fitzgerald est une actrice irlandaise, née à Dublin le 24 novembre 1913 et morte à New York le 17 juillet 2005.

Fitzgerald Geraldine

Geraldine Fitzgerald est née à Greystones, dans le Comté de Wicklow, au sud de Dublin, d'un père avocat. Geraldine Fitzgerald étudia d'abord le dessin et la peinture à Dublin, au Dublin School of Art, mais elle sentit en elle, très tôt, une vocation pour le théâtre. Elle fit ainsi ses premiers pas sur scène en 1932, grâce à sa Tante, Shelah Richards, qui était alors actrice et metteur en scène. Elle poursuivit des études de peinture à Londres, au Polytechnic School of Art, tout en continuant d'apprendre à jouer la comédie. Elle fit ses débuts au cinéma en 1934, avec un petit rôle dans une production britannique du Twickenham Studios. Mais c'est le rôle de Maggie en 1937, dans 'The Mill on the Floss' du cinéaste américain Tim Whelan, qui marqua véritablement le début de sa carrière.

Cette rencontre américaine la conduisit naturellement à Broadway. En 1938, elle partagea ainsi les planches du Mercury Theatre avec Orson Welles, dans une pièce de George Bernard Shaw, Heartbreak House. C'est à l'occasion d'une de ces représentations que le producteur américain Hal B. Wallis la remarqua, et lui fit signer un contrat de sept ans. Elle ne tarda pas à se distinguer, et fut nommée notamment pour l'Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle pour son interprétation d'Isabella Linton dans Les Hauts de Hurlevent (Wuthering Heights). Elle tourna ensuite dans Victoire sur la nuit, un film réalisé par Edmund Goulding en 1939, puis dans Shining Victory, réalisé par Irving Rapper et sorti en 1941, Quand le jour viendra, d'Herman Shumlin en 1943, et dans Wilson d'Henry King, sorti en 1944.

Mais de fréquentes dissensions avec l'équipe de production des studios Warner altérèrent son ascension irrésistible vers la gloire. Ainsi, elle ne fut pas retenue pour le rôle de Brigid O'Shaughnessy, qui lui était pourtant destiné dans Le Faucon maltais, suite à une altercation avec Jack Warner. Sa carrière s'en trouva fortement altérée, la contraignant à se contenter pendant plusieurs années de rôles de second plan. Elle obtint la nationalité américaine durant la seconde guerre mondiale, en hommage à la solidarité dont elle a su faire preuve envers sa patrie d'adoption. Elle quitta Hollywood en 1946, pour rejoindre New York, où elle épousa en secondes noces Stuart Scheftel, le petit-fils d'Isidor Straus (lequel, pour l'anecdote, périt en mer le 15 avril 1912, à bord du Titanic). Elle revint en Grande-Bretagne en 1948, pour le tournage de So Evil My Love, dans lequel elle se distingua dans le rôle d'une femme adultère alcoolique. Elle figura enfin à l'affiche de The Late Edwina Black en 1951, avant de regagner l'Amérique, qu'elle ne quittera plus jusqu'à sa mort.

Les années 1950 ne lui offrirent que peu d'occasions de tournage, tandis que les années 1960 la révélèrent comme une actrice de caractère, et redonnèrent un second souffle à sa carrière. Les films qui ont marqué cette période, et auxquels elle a pris part ont été, bien sûr, 10, rue Frederick (Ten North Frederick) de Philip Dunne (en 1958), Le Prêteur sur gages de Sidney Lumet (1964), Rachel, Rachel de Paul Newman (en 1968), The Mango Tree de Kevin James Dobson, à l'occasion duquel elle reçut une distinction à l'Institut du Film Australien (Australian Film Institute), puis Arthur dont elle partagea l'affiche avec Dudley Moore en 1981, Poltergeist 2 en 1986, et Arthur 2: On the Rocks en 1988. Elle n'a pourtant jamais abandonné le théâtre. Elle fut ainsi acclamée dans Le Long Voyage vers la nuit, une pièce autobiographique d'Eugene O'Neill, dans une production de 1971, et fut récompensée en 1982 d'un Tony Award, pour sa mise en scène de Mass Appeal, une pièce de Bill C. Davis, pour deux personnages. C'est d'ailleurs l'une des toutes premières femmes à être honorée d'un tel Tony Award.

Dans le même temps, elle apparaissait régulièrement à la télévision. On l'a vue ainsi dans Alfred Hitchcock présente en 1955, dans Robert Montgomery Presents en 1957, Naked City, une série diffusée entre 1958 et 1963, dans Hôpital St Elsewhere et dans Cagney et Lacey, dans les années 1980. En 1986, elle apparut aux côtés de Tuesday Weld et de River Phoenix dans un téléfilm acclamé par la critique de CBS television, intitulé Circle of Violence: A Family Drama, qui dénonce la maltraitance des personnes âgées. En 1987, elle interpréta le rôle titre de Mabel and Max, qui fut la première production de Barbara Streisand. Elle fut nommée aux Emmy Award pour le rôle d'Anna dans l'épisode « La fête des mère » du sitcom The Golden Girls (elle joua, d'ailleurs, dans un autre épisode, « Not Another Monday »). Elle remporta un Daytime Emmy Awards pour sa participation à un numéro de Special Treat, intitulé « Rodeo Red and the Runaways », à la NBC.

En 1976, elle débuta une carrière de chanteuse de cabaret avec le spectacle Streetsongs, qui se produisit à trois reprises à Broadway, et qui fut l'objet d'une émission spéciale à la PBS Television. Une étoile est dédiée à Géraldine Fitzgerald à Los Angeles, sur le Boulevard de la Célébrité (the Walk of Fame), pour sa contribution télévisuelle, au 6353, Hollywood Boulevard. Geraldine Fitzgerald est la mère du réalisateur Michael Lindsay-Hogg (connu pour 'Let It Be' and 'Brideshead Revisited') par son premier mariage, et de Susan Scheftel qu'elle eut en seconde noce. Elle est aussi la grande-tante de l'actrice Tara FitzGerald, et cousine du romancier Nevil Shute. Son père était catholique et sa mère protestante, convertie au catholicisme. Elle est morte à l'âge de 91 ans à New York, des suites de la maladie d'Alzheimer.

Filmographie

  • 1939 : Les Hauts de Hurlevent de William Wyler, avec Merle Oberon, Laurence Olivier, David Niven, Flora Robson, Donald Crisp, Hugh Williams, Leo G. Carroll
  • 1939 : Victoire sur la nuit d'Edmund Goulding, avec Bette Davis, George Brent, Humphrey Bogart
  • 1940 : Voyage sans retour d'Edmund Goulding, avec George Brent, Merle Oberon, Pat O'Brien
  • 1941 : Shining Victory d'Irving Rapper, avec James Stephenson, Donald Crisp, et Barbara O'Neil
  • 1942 : Les Folles Héritières (The Gay Sisters) de Irving Rapper, avec Barbara Stanwyck, George Brent, Nancy Coleman
  • 1943 : Quand le jour viendra d'Herman Shumlin, avec Bette Davis, Paul Lukas, Lucile Watson
  • 1946 : Les Héros dans l'ombre (O.S.S.) d'Irving Pichel, avec Alan Ladd, Patric Knowles, John Hoyt
  • 1946 : Three Strangers de Jean Negulesco, avec Sydney Greenstreet et Peter Lorre
  • 1948 : Une âme perdue (en) de Lewis Allen, avec Ray Milland, Ann Todd, Leo G. Carroll
  • 1958 : 10, rue Frederick (Ten North Frederick) de Philip Dunne
  • 1964 : Le Prêteur sur gages de Sidney Lumet
  • 1968 : Rachel, Rachel de Paul Newman
  • 1974 : Harry et Tonto de Paul Mazursky, avec Art Carney, Ellen Burstyn, Dan George
  • 1981 : Arthur de Steve Gordon (en), avec Dudley Moore, Liza Minnelli, John Gielgud
  • 1988 : Arthur 2: On the Rocks (en) de Bud Yorkin, avec Dudley Moore, Liza Minnelli, John Gielgud

Fay Meagen

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Meagen Fay est une actrice américaine née à Chicago (États-Unis) en 1957.

Fay Meagen

Filmographie

  • 1987 : Ohara ("Ohara") (série TV) : Roxy (1987)
  • 1988 : Le Plus Escroc des deux (Dirty Rotten Scoundrels) : Lady from Oklahoma
  • 1989 : Your Mother Wears Combat Boots (TV) : Edie Winchell
  • 1990 : Carol & Company (série TV) : Skit characters
  • 1991 : Barton Fink : Poppy Carnahan
  • 1991 : The Carol Burnett Show (série TV) : Skit Characters
  • 1992 : Big Girls Don't Cry... They Get Even : Mom
  • 1992 : Woops! (série TV) : Alice McConnell
  • 1993 : Les Chroniques de San Francisco ("Tales of the City") (feuilleton TV) : Binky Gruen
  • 1993 : Soleil levant (Rising Sun) de Philip Kaufman : Hamaguri Receptionist
  • 1994 : Rendez-vous avec le destin (Love Affair) : SSA Flight Attendant
  • 1995 : The Home Court (série TV) : Greer
  • 1997 : La Fête des pères (Fathers' Day) : Megan
  • 1999 : Magnolia : Dr. Diane
  • 2002 : Les Country Bears (The Country Bears) de Peter Hastings : Mrs. Barrington
  • 2002 : Full Frontal : Diane
  • 2003 : Twins (TV)
  • 2003 : In Smog and Thunder : Secretary
  • 2003 à 2006 : Malcolm (TV) : Gretchen Mannkusser
  • 2004 : Extreme Dating : Branson
  • 2004 : Home of Phobia : Mrs. Paul
  • 2004 : Les Petits Braqueurs (Catch That Kid) : Doctor
  • 2004 : Kingdom Hospital (feuilleton TV) : Dr. Brenda Abelson
  • 2007 : La Mutante 4 : Celeste
  • 2008 : Mad Money de Callie Khouri : Mindy Arbogast
  • 2010 : L'Homme aux miracles (Healing Hands) (TV) : Tante Beth

Gary Linda

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Linda Gary est une actrice américaine, née le 4 novembre 1944 à Los Angeles en Californie, et décédée d'une tumeur du cerveau le 5 octobre 1995 à North Hollywood (États-Unis).

Gary Linda

Filmographie

  • 1977 : Joyride to Nowhere : Boutique Clerk
  • 1980 : La Chasse (Cruising)
  • 1981 : Wolfen : ESS Voice (voix)
  • 1985 : The Secret of the Sword : Teela / Queen Marlena / Sorceress / Shadow Weaver / Glimmer (voix)
  • 1987 : Pinocchio and the Emperor of the Night : Beatrice (voix)
  • 1991 : Dans la peau d'une blonde (Switch) : God (voix)
  • 1993 : Happily Ever After : Critterina and Marina (voix)
  • 1994 : Le Petit dinosaur II (The Land Before Time II: The Great Valley Adventure) (vidéo) : Grandma (voix)
  • 1995 : Le Petit dinosaure III (The Land Before Time III: The Time of the Great Giving) (vidéo) : Grandma / Mother Quetzalcoatlus (voix)
  • 1996 : Spider-Man, l'homme-araignée (saison 3 : Spider-Man: Sins of the Fathers) (vidéo) : Aunt May Parker (voix)
  • 1996 : Petit-pied le dinosaure 4 (The Land Before Time IV: Journey Through the Mists) (vidéo) : Grandma (voix)
  • 1996 : Father Frost : Storyteller

Télévision

  • 1977 : Nestor, the Long-Eared Christmas Donkey (voix)
  • 1981 : Faeries : Hag (voix)
  • 1981 : The Puppy Saves the Circus : Emily (voix)
  • 1985 : A Christmas Special : Queen Marlena, Catra (voix)

Série télévisée

  • 1978 : Tarzan and the Super 7 : Webwoman (voix)
  • 1979 : Scooby-Doo et Scrappy-Doo (Scooby-Doo and Scrappy-Doo) : voix additionnelles (voix)
  • 1981 : Blackstar : Mara (voix)
  • 1981 : Spider-Man (voix)
  • 1982 - 1989 : Les Schtroumpfs (The Smurfs) : Dame Barbara
  • 1984 : Transformers : Chromia / Nimue / Talaria / Alana / Astoria Carlton-Ritz / voix additionnelles (voix)
  • 1984 : The Voyages of Dr. Dolittle
  • 1985 : It's Punky Brewster : voix additionnelles (voix)
  • 1985 : Les Treize Fantômes de Scooby-Doo (The 13 Ghosts of Scooby-Doo) (voix)
  • 1986 : Ghostbusters : Mysteria (voix)
  • 1990 : Super Baloo (TaleSpin) : voix additionnelles (voix)
  • 1991 : Pirates of Darkwater : voix additionnelles (saison 2) (voix)
  • 1991 : Myster Mask (Darkwing Duck) : voix additionnelles (voix)
  • 1991 : James Bond Junior (voix)
  • 1994 : Skeleton Warriors : voix additionnelles (voix)

Evans Richard J.

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Sir Richard J. Evans, né le 29 septembre 1947 à Woodford, est un historien britannique, spécialiste de l’Allemagne du XXe siècle (en particulier des mouvements féministes, de la classe ouvrière et du nazisme), mais aussi du négationnisme et de l'épistémologie de l'histoire. Il est actuellement professeur d’histoire moderne à l’université de Cambridge. Impliqué dans la querelle des historiens (Historikerstreit).

Evans Richard J.Evans Richard J.

Durant les années 1980, il critique les travaux des historiens dits « révisionnistes » tels que Ernst Nolte, Andreas Hillgruber, Michael Stürmer et Klaus Hildebrand. Son nom est également attaché au procès intenté par le négationniste David Irving contre l’historienne américaine Deborah Lipstadt où il témoigna en tant qu’expert de la question hitlérienne. Il décrivit cette expérience dans un ouvrage intitulé Telling Lies About Hitler (2001). Dans un ouvrage demeuré célèbre intitulé In Defence of History, il a critiqué les théories postmodernistes de l’histoire qu’il juge dépassées et trop subjectivistes. Il est fait chevalier le 16 juin 2012, pour services rendus à l'érudition.

Publications

  • The feminist movement in Germany (1894-1933), Londres, Sage Publications, 1976.
  • The feminists : women's emancipation movements in Europe, America and Australia (1840-1920), Londres, C. Helm, 1977.
  • (dir.), Society and politics in Wilhelmine Germany, Londres, Croom Helm, 1980 [1978].
  • The German family : essays on the social history of the family in nineteenth and twentieth-century Germany, Londres, C. Helm ; Totowa, N.J., Barnes & Noble Books, 1981.
  • The German working class (1888-1933). The politics of everyday life, Londres, Croom Helm ; Totowa, N.J., Barnes & Noble, 1982.
  • (avec W.R. Lee, dir.), The German peasantry : conflict and community in rural society from the eighteenth to the twentieth centuries, Londrs, Croom Helm, 1986.
  • The German unemployed : experiences and consequences of mass unemployment from the Weimar Republic to the Third Reich, Londres, C. Helm, 1987.
  • Rethinking German history : nineteenth-century Germany and the origins of the Third Reich, Londres, Allen and Unwin, 1987.
  • Comrades and sisters : feminism, socialism, and pacifism in Europe (1870-1945), Brighton, Sussex, Wheatsheaf Books ; New York, St. Martin's Press, 1987.
  • Death in Hamburg : society and politics in the cholera years (1830-1910), Oxford, Clarendon Press, 1987.
  • The German Underworld : deviants and outcasts in German history, Londres, Routledge, 1988.
  • In Hitler's shadow : West German historians and the attempt to escape from the Nazi past, Londres, I.B. Tauris, 1989.
  • Proletarians and Politics : socialism, protest, and the working class in Germany before the First World War, New York, Harvester Wheatsheaf, 1990.
  • The German Bourgeoisie : essays on the social history of the German middle class from the late eighteenth to the early twentieth century, Londres, Routledge, 1991.
  • Rituals of Retribution : capital punishment in Germany (1600-1987), New York, Oxford University Press, 1996.
  • Rereading German History : from unification to reunification (1800-1996), London, New York, Routledge, 1997.
  • Tales from the German Underworld : crime and punishment in the nineteenth century, New Haven [Conn.] ; Londres, Yale University Press, 1998.
  • In Defense of History, New York, W.W. Norton & Co., 1999.
  • Lying About Hitler : History, Holocaust, and the David Irving trial, New York, Basic Books, 2001 ; rééd. sous le titre : Telling Lies About Hitler: The Holocaust, History and the David Irving Trial, Verso Books, 2002.
  • The Coming of the Third Reich, London, Allen Lane, 2003. Traduction Le troisième Reich, volume 1 : l'avènement, Flammarion, 2009
  • The Third Reich in Power, 1933-1939, New York, Penguin, 2005. Traduction Le troisième Reich, volume 2 : 1933-1939, Flammarion, 2009.
  • The Third Reich at War, New York, Penguin, 2009. Traduction Le troisième Reich, volume 3 : 1939-1945, Flammarion, 2009

 

Irving David

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David John Cawdell Irving, né le 24 mars 1938 à Hutton dans l'Essex, est un écrivain britannique, auteur depuis les années 1960 de nombreux livres d'histoire, traitant pour la plupart de la Seconde Guerre mondiale. À partir de la fin des années 1980, il adopte un discours négationniste. En 2000, il perd le procès en diffamation par lequel il comptait se défaire des accusations de sympathie pour le nazisme. En 2007, la justice autrichienne le condamne à deux ans de prison fermes pour négation de la Shoah, considérée comme un crime par la loi de ce pays. 

Irving David

David Irving fait ses études à l'University College de Londres et à la London School of Economics puis fait son service militaire dans la Royal Air Force. Il se fait connaître en 1963 en publiant La Destruction de Dresde, livre consacré au bombardement par l'aviation britannique de la ville de Dresde, où périrent plusieurs dizaines de milliers de civils allemands. Suite à ce livre médiatisé, David Irving, autodidacte alors âgé de 24 ans, devient un auteur connu du grand public britannique. Il écrit en 1967 Accident: The Death of General Sikorski, où il développe une thèse selon laquelle la mort dans un crash d'avion du général polonais Władysław Sikorski, chef du gouvernement en exil à Londres, était un attentat fomenté par Churchill, afin de pouvoir « livrer » la Pologne à l'URSS. Il a réalisé un documentaire sur ce dernier livre en 1999. Toujours en 1967, il publie un ouvrage sur le convoi PQ17, dont il fait porter la responsabilité des pertes au commandant Jack Broome, chef de l'escorte militaire. Broome finit par intenter un procès en diffamation, obtenant la condamnation d'Irving. David Irving devient un auteur à succès, reconnu pour ses talents d'écrivain et d'archiviste. Il est cependant de plus en plus controversé, notamment pour sa tendance à analyser objectivement selon les méthodes du droit anglais le régime nazi en général, de même que ses principaux acteurs (en particulier, Adolf Hitler et Hermann Göring auquel il consacra des biographies), tout en chargeant les Alliés.

Son livre La Guerre d'Hitler (Hitler's war), publié en 1977, reçoit des critiques très favorables pour sa maîtrise des sources, notamment de la part de l'historien John Keegan. Mais l'ouvrage est également critiqué pour sa tendance à présenter Adolf Hitler de la manière la plus favorable possible3 ; le livre est particulièrement controversé pour son affirmation selon laquelle Hitler ignorait tout des camps de concentration4, dont Irving fait porter la responsabilité à Heinrich Himmler et Reinhard Heydrich. L'historien britannique Donald Watt, tout en contestant les idées de Irving, lui reconnaît le mérite d'avoir contribué à susciter de nouvelles recherches historiques sur le rôle concret de Hitler dans le massacres de juifs européens ; Richard J. Evans est moins convaincu, et considère que, si la connaissance sur le génocide juif a beaucoup progressé depuis la fin des années 1970, les travaux d'Irving n'y ont pas forcément tenu de rôle direct et majeur.

Irving a évolué avec les années vers des positions plus radicales et a fréquenté les droites les plus extrêmes tant aux États-Unis qu'en Europe. Dans les années 1980, après avoir été initialement prudent sur la question, il est convaincu de l'impossibilité technique des chambres à gaz par le rapport rédigé par Fred A. Leuchter Jr. pour le compte de Ernst Zündel. À la fin de la décennie, il adopte dans ses conférences un discours négationniste et élimine toute mention relative à un massacre ordonné et systématique des juifs dans les rééditions de La Guerre de Hitler. Suite à ces déclarations, David Irving est déclaré persona non grata dans plusieurs pays d'Europe occidentale dont l'Allemagne, l'Italie et l'Autriche. En novembre 1992, il est interdit de séjour au Canada mais rend quand même visite à un centre néo-nazi à Kitchener avant d'être expulsé vers le Royaume-Uni.

Au début des années 1990, la réputation de David Irving devient de plus en plus sulfureuse, et il a des difficultés à trouver des éditeurs. En 1992, l'éditeur Macmillan Publishers annule son contrat pour la publication d'une biographie de Joseph Goebbels (finalement publiée par l'éditeur américain St Martin's Press). En 1994, il est mentionné dans Denying the Holocaust: the growing assault on truth and memory, ouvrage consacré au négationnisme par l'universitaire américaine Deborah Lipstadt. En mars 1996, St. Martin's Press, devant la mauvaise publicité entraînée par la réputation d'Irving, finit par annuler la sortie de la biographie de Goebbels. N'ayant plus d'éditeur, Irving crée dans les années suivantes sa propre structure, Focal Point Publications, qui s'emploie à publier ou à rééditer ses livres.

En 1996, désireux de rebâtir sa réputation d'historien, il porte plainte pour diffamation contre Deborah Lipstadt et l'éditeur britannique de cette dernière, Penguin Books, les accusant d'avoir ruiné sa réputation en le qualifiant de propagandiste négationniste et pro-nazi. Le procès, qui débute en janvier 2000, est particulièrement médiatisé au Royaume-Uni. Irving fait émettre une injonction exigeant le témoignage de John Keegan, qui avait recensé favorablement certain de ses ouvrages : Keegan, à la barre, qualifie cependant de « perverse » la thèse de Irving sur l'ignorance de la Shoah par Hitler. Irving objecte qu'Hitler ne pouvait connaître la signification de la Shoah puisque ce terme ne fut consacré que des décennies après la fin de la guerre.

L'historien Richard J. Evans réalise pour le compte de la défense une étude de l'ensemble de l'œuvre de David Irving, et témoigne ensuite à la barre comme expert, concluant à une volonté délibérée de la part d'Irving de maquiller les sources et les faits. En avril 2000, le jugement déboute finalement David Irving, la cour estimant que les constats de Deborah Lipstadt étaient fondés. Le quotidien The Times consacre sa une au verdict — qualifiant Irving de « raciste ayant déformé la vérité » (« Racist who twisted the truth ») — de même que le International Herald Tribune. Par ce jugement, Irving est reconnu sur le plan judiciaire comme un apologiste d'Hitler et du IIIe Reich, un antisémite, un raciste, un falsificateur de l'histoire et un négationniste. Le juge Gray rend son jugement le 11 avril 2000. Il constate :

  • « [Irving est] un négationniste actif ; c'est un antisémite et un raciste ; il s'associe avec des extrémistes de droite qui font la promotion du néo-nazisme [...]. Le contenu de ses discours et de ses interviews démontrent une tendance clairement pro-nazie et anti-juive.
  • Il fait sur le régime nazi de surprenantes affirmations, souvent infondées, qui tendent à exonérer les Nazis des atrocités épouvantables qu'ils ont infligé aux Juifs. [...] De mon point de vue, la défense a établi que Irving avait un objectif politique. Un objectif qui, ainsi qu'il est légitime de l'inférer, le dispose, lorsqu'il le trouve nécessaire, à manipuler les données historiques de façon à les rendre conformes à ses croyances historiques. ».​

Le 11 novembre 2005, David Irving est incarcéré en Autriche pour négationnisme (qui est un crime selon la loi autrichienne). Il s'était rendu dans le pays alors qu'il y était officiellement interdit de séjour et y fut mis en examen pour y avoir nié le génocide des juifs lors d'une conférence en 1990. Lors de l'ouverture de son procès à Vienne, il a surpris l'auditoire en déclarant « Je plaide coupable d'avoir affirmé qu'il n'y avait pas de chambres à gaz à Auschwitz. Cette opinion était fausse », revenant ainsi sur ses postulats négationnistes. À l'issue de sept heures de procès il a été condamné à trois ans de prison, puis a fait appel. Au terme de cet appel, sa peine a été ramenée à un an de prison ferme. Irving a été libéré le 20 décembre 2006 sur ordre d'un juge autrichien qui a tranché sur son appel d'une condamnation à 3 ans de prison. Ayant déjà effectué sa peine en préventive, il a été libéré à l'issue du procès et expulsé du territoire autrichien. En mai 2007, David Irving tente de vendre ses livres et de donner une conférence à la Foire internationale du livre tenue à Varsovie mais, sa présence ayant été signalée par le musée d'Auschwitz, il est expulsé par les organisateurs de la foire.

Publications

  • La Destruction de Dresde (The Destruction of Dresden, 1963) Éditions J'ai lu Leur aventure Nº A146/147
  • The Mare's Nest (1964) - (À bout portant sur Londres, la vérité sur les armes secrètes allemandes, 1967)
  • La destruction des villes allemandes - traduit de l'allemand Und Deutschlands Städte starben nicht (1965)
  • The Virus House (1967)
  • The Destruction of Convoy PQ17 (1967)
  • Breach of Security (1968)
  • La Fin mystérieuse du général Sikorski (Accident — The Death of General Sikorski, 1969)
  • The Rise and Fall of the Luftwaffe (1973)
  • The Night the Dams Burst (1973)
  • La Guerre d'Hitler (Hitler's War, 1977)
  • The Trail of the Fox: The Life of Field-Marshal Erwin Rommel (1977)
  • The War Path (1978)
  • The War Between the Generals (1981)
  • Insurrection ! (Uprising! Hungary 1956, one nation's nightmare, 1981)
  • The Secret Diaries of Hitler’s Doctor (1983)
  • The German Atomic Bomb: The History of Nuclear Research in Nazi Germany (1983)
  • War Between the Generals (1986)
  • Rudolf Hess. Les Années inconnues du dauphin d'Hitler (1941-1945) (Hess, the Missing Years, 1988)
  • Goering, le Maréchal du Reich 1939-1946 (Göring: a biography, 1991)
  • Churchill's War, Volume I: the struggle for power (1991)
  • Goebbels: Mastermind of the Third Reich (1996)
  • Nuremberg, the Last Battle (1996)
  • Churchill's War, Volume II: triumph in adversity (2001)
  • Banged Up: Survival as a Political Prisoner in 21st Century Europe (2008)

 

Bedford Barbara

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Barbara Bedford (nom de scène de Violet Rose) est une actrice américaine de la période du cinéma muet, née le 19 juillet 1900 à Prairie du Chien (Wisconsin) et morte le 25 octobre 1981 à Jacksonville (Floride).

Bedford Barbara

Elle débute au cinéma en 1920 et est la vedette de nombreux films muets. Par la suite, elle continue de jouer dans des seconds rôles et apparait pour la dernière fois dans un film en 1945. Elle a été mariée à Alan Roscoe, son partenaire dans Le Dernier des Mohicans.

Filmographie 

  • Avec Alan Roscoe en 1920 dans Le Dernier des Mohicans
  • Zoltan1920 : The Craddle of Courage de William S. Hart et Lambert Hillyer
  • Zoltan1920 : Au fond de l'océan (Deep Water) de Maurice Tourneur
  • Zoltan1920 : Le Dernier des Mohicans (The Last of the Mohicans) de Clarence Brown et Maurice Tourneur : Cora Munro
  • Zoltan1921 : Un homme libre (The Big Punch) de John Ford
  • Zoltan1922 : Man Under Cover de Tod Browning
  • Zoltan1923 : The Acquittal de Clarence Brown
  • Zoltan1924 : Les Naufragées de la vie (Women Who Give) de Reginald Barker
  • Zoltan1926 : Le Cavalier des sables (Old Loves and New) de Maurice Tourneur
  • Zoltan1927 : Mockery (ou L'Idiot) de Benjamin Christensen : la comtesse Tatiana Alexandrova
  • Zoltan1928 : The Haunted House de Benjamin Christensen
  • Zoltan1936 : Trois prétendants (Tree on a Limb) de Charles Lamont (court métrage) : Addie
  • Zoltan1936 : L'amiral mène la danse (Born to Dance) de Roy Del Ruth - non créditée
  • Zoltan1937 : Un jour aux courses (A Day at the Races) de Sam Wood - non créditée
  • Zoltan1938 : Trois camarades (Three Comrades) de Frank Borzage - non créditée
  • Zoltan1939 : Au service de la loi (Sergeant Madden) de Josef von Sternberg - non créditée
  • Zoltan1940 : Monsieur Wilson perd la tête (I Love You Again) de W.S. Van Dyke - non créditée
  • Zoltan1941 : Débuts à Broadway (Babes on Broadway) de Busby Berkeley - non créditée
  • Zoltan1945 : L'Horloge (The Clock) de Vincente Minnelli - non créditée

 

La Marr Barbara

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Barbara La Marr (née Reatha Watson le 28 juillet 1896 à Yakima, État de Washington, et morte le 30 janvier 1926 à Altadena, Californie) est une actrice américaine. 

La Marr Barbara

Elle tient ses premiers rôles sur les planches à huit ans, puis danse en tandem avec Ben Deeley. Elle débute au cinéma comme auteur en 1920 avec le scénario autobiographique Flame of Youth. Douglas Fairbanks, sacré "roi de Hollywood", lui donne un rôle secondaire dans The Nut, puis lui offre celui de Milady dans Les Trois Mousquetaires, film réalisé par Fred Niblo. Sa beauté remarquable la dispose aux rôles exotiques et aventuriers des superproductions de la MGM, dont le patron, Louis B. Mayer, est probablement amoureux d'elle.

Barbara La Marr, opposée à la virginale Lillian Gish, joue dans Le Prisonnier de Zenda de Rex Ingram, The Brass Bottle de Maurice Tourneur, The Eternal City de George Fitzmaurice et The Girl from Montmartre d'Alfred E. Green. Durant le tournage de ce dernier film, elle meurt "des suites d'une brutale cure d'amaigrissement compliquée par un état dépressif et éthylique" (selon Olivier Eyquem). Mayer lui rendra hommage plus de dix ans après en attribuant à l'actrice autrichienne Edwige Kiesler le pseudonyme d'Hedy Lamarr.

 

Filmographie

  • 1920 : Harriet and the Piper : (comme Barbara Deely) .... Tam O'Shanter Girl
  • 1920 : Flame of Youth
  • 1921 : The Nut : Claudine Dupree
  • 1921 : Desperate Trails : Lady Lou
  • 1922 : Les trois mousquetaires (The Three Musketeers), de Fred Niblo : Milady de Winter
  • 1922 : Cinderella of the Hills : Kate Gradley
  • 1922 : Arabian Love : Themar
  • 1922 : Domestic Relations : Mrs. Martin
  • 1922 : Le Prisonnier de Zenda (The Prisoner of Zenda), de Rex Ingram : Antoinette de Mauban
  • 1922 : Trifling Women : Jacqueline de Séverac/Zareda
  • 1922 : Quincy Adams Sawyer : Lindy Putnam
  • 1923 : L'Amour commande (The Hero) : Hester Lane
  • 1923 : La Bouteille enchantée (The Brass Bottle), de Maurice Tourneur : La reine
  • 1923 : Poor Men's Wives : Laura Bedford/Laura Maberne
  • 1923 : Souls for Sale : Leva Lemaire
  • 1923 : Strangers of the Night : Anna Valeska
  • 1923 : St. Elmo : Agnes Hunt
  • 1923 : L'Eternel combat (The Eternal Struggle) : Camille Lenoir
  • 1923 : The Eternal City :. Donna Roma
  • 1924 : Guerrita (Thy Name Is Woman) : Guerita
  • 1924 : The Shooting of Dan McGrew : Lou Lorraine
  • 1924 : La Phalène blanche (The White Moth), de Maurice Tourneur : Mona Reid/The White Moth
  • 1924 : Sandra : Sandra Waring
  • 1925 : The Heart of a Siren : Isabella Echevaria
  • 1925 : The White Monkey : Fleur Forsyte
  • 1926 : The Girl from Montmartre : Emilia Faneaux

En tant que Scénariste

  • 1920 The Land of Jazz (comme Barbara La Marr Deely) (histoire)
  • 1920 The Mother of His Children (comme Barbara La Marr Deely) (histoire)
  • 1920 Rose of Nome (comme Barbara La Marr Deely)
  • 1920 The Little Grey Mouse
  • 1920 Flame of Youth
  • 1924 La phalène blanche (The White Moth)
  • 1924 My Husband's Wives

 


Frederick Pauline

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Pauline Frederick est une actrice américaine née le 12 août 1883 à Boston et morte le 19 septembre 1938.

Frederick Pauline

Filmographie

  • 1915 : The Eternal City : Donna Roma
  • 1915 : Sold : Helen
  • 1915 : Zaza : Zaza
  • 1915 : Bella Donna : Bella Donna (Ruby Chepstow)
  • 1915 : Lydia Gilmore : Lydia Gilmore
  • 1916 : The Spider : Valerie St. Cyr / Joan Marche
  • 1916 : Audrey : Audrey
  • 1916 : The Moment Before : Madge
  • 1916 : The World's Great Snare : Myra
  • 1916 : The Woman in the Case : Margaret Rolfe
  • 1916 : Ashes of Embers : Laura Ward / Agnes Ward
  • 1916 : Nanette of the Wilds : Nanette Gauntier
  • 1916 : The Slave Island
  • 1917 : The Slave Market : Ramona
  • 1917 : Sapho : Sapho, Fanny Lagrand
  • 1917 : Sleeping Fires : Zelma Bryce
  • 1917 : Her Better Self : Vivian Tyler
  • 1917 : The Love That Lives : Molly McGill
  • 1917 : Double Crossed : Eleanor Stratton
  • 1917 : The Hungry Heart : Courtney Vaughan
  • 1918 : Mrs. Dane's Defense : Felicia Hindemarsh
  • 1918 : Madame Jealousy : Madame Jealousy
  • 1918 : La Tosca : Floria Tosca
  • 1918 : Resurrection : Katusha
  • 1918 : Her Final Reckoning : Marsa
  • 1918 : Fedora : Princess Fedora
  • 1918 : Stake Uncle Sam to Play Your Hand : Miss Liberty Loan
  • 1918 : A Daughter of the Old South : Dolores Jardine
  • 1919 : Out of the Shadow : Ruth Minchin
  • 1919 : The Woman on the Index : Sylvia Martin
  • 1919 : Paid in Full : Emma Brooks
  • 1919 : One Week of Life : Mrs. Sherwood & Marion Roche
  • 1919 : The Fear Woman : Helen Winthrop
  • 1919 : The Peace of Roaring River : Madge Nelson
  • 1919 : Bonds of Love : Una Sayre
  • 1919 : The Loves of Letty : Letty Shell
  • 1920 : The Woman in Room 13 : Laura Bruce
  • 1920 : The Paliser Case : Cassy Cara
  • 1920 : Madame X : Jacqueline Floriot
  • 1920 : A Slave of Vanity : Iris Bellamy
  • 1921 : The Mistress of Shenstone : Lady Myra Ingleby
  • 1921 : Roads of Destiny : Rose Merritt
  • 1921 : Salvage : Bernice Ridgeway / Kate Martin
  • 1921 : The Sting of the Lash : Dorothy Keith
  • 1921 : The Lure of Jade : Sara Vincent
  • 1922 : The Woman Breed
  • 1922 : Two Kinds of Women : Judith Sanford
  • 1922 : The Glory of Clementina : Clementina Wing
  • 1924 : Let Not Man Put Asunder : Petrina Faneuil
  • 1924 : Married Flirts : Nellie Wayne
  • 1924 : Three Women : Mrs. Mabel Wilton
  • 1925 : Smouldering Fires : Jane Vale
  • 1926 : Her Honor, the Governor : Adele Fenway
  • 1926 : Devil's Island : Jeannette Picto
  • 1926 : Josselyn's Wife : Lillian Josselyn
  • 1927 : The Nest : Mrs. Hamilton
  • 1927 : Mumsie : Mumsie
  • 1928 : On Trial : Joan Trask
  • 1929 : Evidence : Myra Stanhope
  • 1929 : The Sacred Flame : Mrs. Taylor - La mère
  • 1930 : Terra Melophon Magazin Nr. 1 : Die Zofe (Episode "Was Ziehe ich an, Bevor ich mich anziehe")
  • 1931 : This Modern Age : Diane 'Di' Winters
  • 1932 : Wayward : Mrs. Eleanor Frost
  • 1932 : Le Fantôme de Crestwood (The Phantom of Crestwood) de J. Walter Ruben : Faith Andes (sœur de Priam)
  • 1932 : Self Defense : Katy Devoux
  • 1934 : Social Register : Mrs. Breene
  • 1935 : My Marriage : Mrs. DeWitt Tyler II
  • 1936 : Ramona : Señora Moreno
  • 1937 : Le Serment de M. Moto (Thank You, Mr. Moto) : Madame Chung

 

Pauline Frederick (1883–1938)

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Date of Birth  : 12 August 1883, Boston, Massachusetts, USA
Date of Death  : 19 September 1938, Beverly Hills, Los Angeles, California, USA  (asthma)
Birth Name : Pauline Beatrice Libby
Nickname : Polly
Height  : 5' 4" (1,63 m) 

 Pauline Frederick (1883–1938)  Pauline Frederick (1883–1938)

Pauline Frederick was born Pauline Beatrice Libby in Boston, Massachusetts on August 12, 1883. She was fascinated with show business from an early age and throughout her childhood, she was bred for a career in music. It has been said she had a terrific soprano voice, but Pauline also dabbled a bit in acting. It was her acting ability that would make her famous. She starred in several stage productions with her manager, Benjamin Teal, guiding her every step of the way. Before long, Pauline was making a name for herself up and down the East Coast, especially in the hallowed halls of Broadway. The hard line critics raved of her appearances in productions such as "Samson" and "Joseph and His Brothers". 

Before long, it was recognized that a stage play with Pauline starring in it signified a top quality production. Pauline was at the pinnacle of her career, but with the fledgling film colony, then located in New York, it was only a matter of time before the movie moguls wooed her from the stage and into a film studio. They did. Pauline's first film on the silver screen was THE EMERALD CITY in 1915. She was 32, an age where most newcomers were much younger, but Pauline's reputation preceded her. Her name was a virtual drawing card for the flick and it turned out to be a success. Pauline was out of the gate and running. 

She had two other very successful films that year, BELLA DONNA and LYDIA GILMORE. The next two years saw Pauline in a number of high quality motion pictures. 1918 turned out to be a banner year for Pauline as her star power would shine bright with the critics and public alike in films such as FEDORA, RESURRECTION, and LA TOSCA. The latter film solidified Pauline's star power. In 1920, Pauline played Jacqueline Floriot in MADAME X in probably her greatest performance in her personal history. By now she had arrived in the new film colony of Hollywood, California to make films for Samuel Goldwyn. She quickly adapted to her new home. She began to pare back her film appearances, balancing her film work with continued acting on the stage in New York. But homesickness for her adopted home brought Pauline back to California and more starring roles. 

Because of her stage work and great screen presence, Pauline never had any trouble when movies switched from the silent era to sound. In 1932, Pauline she successfully played in WAYWARD with Nancy Carroll and Richard Arlen. Seven more sound films followed, each greeted with great success. Her final film was made in 1937 in THANK YOU, MR. MOTO. She may have continued to play on the big screen, after all she was only 54 years old. She had asthma which limited her activities somewhat. On September 19, 1938, Pauline died from that condition in Beverly Hills, California. She was just 55 years old.

Filmography

  • 1937 Le serment de M. Moto Madame Chung
  • 1936 Ramona Señora Moreno
  • 1936 My Marriage Mrs. DeWitt Tyler II
  • 1934 Social Register Mrs. Breene
  • 1932 Self Defense Katy Devoux
  • 1932 Le fantôme de Crestwood Faith Andes
  • 1932 Wayward Mrs. Eleanor Frost
  • 1931 This Modern Age Diane 'Di' Winters
  • 1930 Terra Melophon Magazin Nr. 1 (Short) Die Zofe (Episode "Was Ziehe ich an, Bevor ich mich anziehe")
  • 1929 The Sacred Flame Mrs. Taylor - the Mother
  • 1929 Evidence Myra Stanhope
  • 1928 On Trial Joan Trask
  • 1927 Les noces d'argent Mrs. Hamilton
  • 1927 Mumsie Mumsie
  • 1926 Josselyn's Wife Lillian Josselyn
  • 1926 Devil's Island Jeannette Picto
  • 1926 L'honneur de son fils Adele Fenway
  • 1925 La femme de quarante ans Jane Vale
  • 1924 Trois femmes Mrs. Mable Wilton
  • 1924 Duel de femmes Nellie Wayne
  • 1924 Le coeur a beau mentir Petrina Faneuil
  • 1922 The Glory of Clementina Clementina Wing
  • 1922 Une femme de tête Judith Sanford
  • 1922 The Woman Breed
  • 1921 The Lure of Jade Sara Vincent
  • 1921 The Sting of the Lash Dorothy Keith
  • 1921 Une mère Bernice Ridgeway / Kate Martin
  • 1921 Roads of Destiny Rose Merritt
  • 1921 The Mistress of Shenstone Lady Myra Ingleby
  • 1920 A Slave of Vanity Iris Bellamy
  • 1920 La femme X... Jacqueline Floriot
  • 1920 L'appartement n°13 Laura Bruce
  • 1920 L'affaire Paliser Cassy Cara
  • 1919 Tentations Letty Shell
  • 1919 Le portrait de Mrs Bunning Una Sayre
  • 1919 La victime inconnue Madge Nelson
  • 1919 L'obsession Helen Winthrop
  • 1919 La fugue d'Hélène Sherwood Mrs. Sherwood & Marion Roche
  • 1919 Paid in Full Emma Brooks 
  • 1919 The Woman on the Index Sylvia Martin
  • 1919 Out of the Shadow Ruth Minchin
  • 1918 A Daughter of the Old South Dolores Jardine
  • 1918 Stake Uncle Sam to Play Your Hand (Short) Miss Liberty Loan
  • 1918 Fedora Princess Fedora
  • 1918 Her Final Reckoning Marsa
  • 1918 Resurrection Katusha
  • 1918 La Tosca Floria Tosca
  • 1918 Madame Jealousy Madame Jealousy
  • 1918 Mrs. Dane's Defense Felicia Hindemarsh
  • 1917 The Hungry Heart Courtney Vaughan
  • 1917 Double Crossed Eleanor Stratton
  • 1917 The Love That Lives Molly McGill
  • 1917 Her Better Self Vivian Tyler
  • 1917 Pauvre coeur Zelma Bryce
  • 1917 Sapho Sapho, aka Fanny Lagrand
  • 1917 The Slave Market Ramona
  • 1916 The Slave Island 
  • 1916 Nanette of the Wilds Nanette Gauntier
  • 1916 Ashes of Embers Laura Ward / Agnes Ward
  • 1916 L'Amour et la haine Margaret Rolfe
  • 1916 Un coeur de femme Myra
  • 1916 La coupe et la lie Madge
  • 1916 Audrey Audrey
  • 1916 The Spider Valerie St. Cyr / Joan Marche
  • 1915 Lydia Gilmore Lydia Gilmore
  • 1915 Bella Donna Bella Donna (Ruby Chepstow)
  • 1915 Zaza Zaza
  • 1915 Sold Helen
  • 1915 La ville éternelle 

 

Walk of Fame

1960 Star on the Walk of Fame On 8 February 1960. At 7000 Hollywood Blvd. 

Billie Burke (1884–1970)

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Date of Birth : 7 August 1884, Washington, District of Columbia, USA

Date of Death : 14 May 1970, Los Angeles, California, USA  (natural causes)

Birth Name: Mary William Ethelbert Appleton Burke

Height : 5' 3" (1,6 m) 

 Billie Burke (1884–1970)  Billie Burke (1884–1970)

Billie Burke was born Mary William Ethelbert Appleton Burke on August 7, 1885 in Washington, D.C. Her father was a circus clown, and as a child she toured the United States and Europe with the circus (before motion pictures and after the stage, circuses were the biggest form of entertainment in the world). One could say that Billie was bred for show business. Her family ultimately settled in London, where she was fortunate to see plays in the city's historic West End, and decided she wanted to be a stage actress. At age 18, she made her stage debut and her career was off and running. Her performances were very well received and she became one of the most popular actresses to grace the stage. Broadway beckoned, and since New York City was now recognized as the stage capital of the world, it was there she would try her luck. Billie came to New York when she was 22 and her momentum did not stop. She appeared in numerous plays and it was only a matter of time before Hollywood came calling, which is exactly what happened. She made her film debut in the lead role in Peggy (1916). The film was a hit, but then again most films were, as the novelty of motion pictures had not worn off since Le vol du grand rapide (1903) at the turn of the century. Later that year, she appeared in Gloria's Romance (1916). In between cinema work, she would take her place on the stage because not only was it her first love, but she had speaking parts. Billie considered herself more than an actress--she felt she was an artist, too. She believed that the stage was a way to personally reach out to an audience, something that could not be done in pictures. In 1921, she appeared as Elizabeth Banks in The Education of Elizabeth (1921), then she retired. She had wed impresario Florenz Ziegfeld Jr. of the famed Ziegfeld Follies and, with investments in the stock market, there was no need to work.

What the Ziegfelds did not plan on was "Black October" in 1929. Their stock investments were wiped out in the crash, which precipitated the Great Depression, and Billie had no choice but to return to the screen. Movies had become even bigger than ten years earlier, especially since the introduction of sound. Her first role of substance was as Margaret Fairlfield in Héritage (1932). As an artist, she loved the fact that she had dialog, but she had to work even harder because her husband had died the same year as her speaking debut - and work she did. One of her career highlights came as Mrs. Millicent Jordan in David O. Selznick's Les invités de huit heures (1933), co-starring Lionel Barrymore, Wallace Beery, John Barrymore and Jean Harlow - heady company to be sure, but Billie turned in an outstanding performance as Mrs. Jordan, the scatterbrained wife of a man whose shipping company is in financial trouble and who was trying to get someone to loan his company money to help stave off disaster. Her character loved to give dinner parties because a dinner affair at the Jordans had a reputation among New York blue-blood society as the highlight of the season. With all the drama and intrigue going on around her, her main concern is that she is one man short of having a full seating arrangement. The film was a hit and once again Billie was back on top. In 1937, she had one of her most fondly remembered roles in Le couple invisible (1937), a film that would ultimately spin off two sequels, and all three were box-office hits. In 1938, Billie received her first and only Academy Award nomination for her portrayal of Emily Kilbourne in Madame et son clochard (1938). This was probably the best performance of her screen career, but she was destined to be immortalized forever in the classic Le magicien d'Oz (1939). At 54 years of age - and not looking anywhere near it - she played Glinda, the Good Witch of the North. The 1940s saw Billie busier than ever--she made 25 films between 1940 and 1949. She made only six in the 1950s, as her aging became noticeable. She was 75 when she made her final screen appearance as Cordelia Fosgate in John Ford's Western Le sergent noir (1960). Billie retired for good and lived in Los Angeles, California, where she died at age 85 of natural causes on May 14, 1970.

- IMDb Mini Biography By: Denny Jackson

Billie Burke was born Mary William Ethelbert Appleton Burke on August 7, 1885 in Washington, D.C. Her father was the internationally famous clown, Billy Burke, and she would spend most of her early years touring Europe before the family settled in London. In 1903, she appeared on the stage as an actress and came to America in 1907 to star opposite John Drew in "My Wife". A red-haired beauty, she became the toast of Broadway and married promoter Florenz Ziegfeld Jr. in April 1914. Billie was signed in 1915 to make the film Peggy (1916). Of the next 15 films that she made, she would make 14 in New York. In between films, she would return to the stage which was her first love. Her last films were released in 1921 and she went into semi-retirement until their fortune was wiped out in 1929. Billie would return to films to support herself and her husband. Florenz Ziegfeld Jr. would die, a broken man, in 1932.

It was in the comedy drama Les invités de huit heures (1933) that Billie would find the character that she would play the rest of her career. It is the hapless, feather-brained lady with the unmistakably high voice who would be more interested in little details than what was at hand. In some films, like Piccadilly Jim (1936), she was obviously too old for the part, but played it to the hilt. Beginning in 1937, she starred in the "Topper" series of films (Le couple invisible (1937), Fantômes en croisière (1938) and Le retour de Topper (1941)) for producer Hal Roach in which she played Mrs. Topper with her usual fluffy performance. But for most of the people who were raised on television, she will always be remembered as Glinda, the Good Witch in Le magicien d'Oz (1939). She continued to make films though out the 1940s and started another series with Le père de la mariée (1950) and the follow-up Allons donc, papa! (1951).

A real trouper, she next went to television with the television series Doc Corkle (1952). The series was canceled after three weeks due to poor writing. By 1953, her career was slowing down and she would only make three more movies in 1959 and 1960. The best remembered one would be John Ford's Western Le sergent noir (1960). Billie Burke retired for good and lived in Los Angeles, California, where she died at age 85 of natural causes on May 14, 1970.

- IMDb Mini Biography By: Tony Fontana < tony.fontana@spacebbs.com>

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Le magicien d'oz - Allons donc, papa! - Le père de la mariée - Le couple invisible

Filmography

  • Le sergent noir Mrs. Cordelia Fosgate
  • 1960 77 Sunset Strip (TV Series) Mavis - Publicity Brat (1960) ... Mavis
  • 1959 Ce monde à part Mrs. J. Arthur Allen
  • 1957-1958 Playhouse 90 (TV Series) Mrs. Purcell / Mrs. Rutledge - Rumors of Evening (1958) ... Mrs. Purcell - The Star Wagon (1957) ... Mrs. Rutledge
  • 1956 Matinee Theatre (TV Series) Aunt - Mother Was a Bachelor (1956) ... Aunt
  • 1955 The Eddie Cantor Comedy Theater (TV Series) - The Big Bargain (1955)
  • 1955 The Best of Broadway (TV Series) Martha Brewster - Arsenic and Old Lace (1955) ... Martha Brewster
  • 1953 Small Town Girl Mrs. Livingston
  • 1952 Doc Corkle (TV Series) - Episode #1.1 (1952)
  • 1951 Four Star Revue (TV Series) Guest Actress - Episode #2.14 (1951) ... Guest Actress
  • 1951 Allons donc, papa! Doris Dunstan
  • 1951 The Bigelow Theatre (TV Series) Aunt Amanda - Dear Amanda (1951) ... Aunt Amanda
  • 1950 Lights Out (TV Series) - Dr. Heidegger's Experiment (1950)
  • 1950 Three Husbands Mrs. Jenny Bard Whittaker
  • 1950 Le père de la mariée Doris Dunstan
  • 1950 The Boy from Indiana Zelda Bagley
  • 1949 C'est moi le papa Mrs. Marvin Fletcher
  • 1949 Entrons dans la danse Mrs. Livingston Belney
  • 1948 Billie Gets Her Man (Short) Billie
  • 1948 Silly Billy (Short) Billie
  • 1946 The Bachelor's Daughters Molly Burns
  • 1946 Breakfast in Hollywood Mrs. Frances Cartwright
  • 1945 The Cheaters Clara Pidgeon
  • 1945 Swing Out, Sister Jessica Mariman
  • 1943 Gildersleeve on Broadway Mrs. Laura Chandler
  • 1943 You're a Lucky Fellow, Mr. Smith Aunt Harriet Crandall
  • 1943 So's Your Uncle Minerva
  • 1943 Hi Diddle Diddle Liza Prescott
  • 1942 Girl Trouble Mrs. Rowland
  • 1942 Embrassons la mariée Mrs. Drew
  • 1942 L'amour n'est un jeu Lavinia Timberlake
  • 1942 What's Cookin'? Agatha Courtney
  • 1942 L'homme qui vint dîner Mrs. Ernest Stanley
  • 1941 Une nuit à Lisbonne Catherine Enfilden
  • 1941 Le retour de Topper Mrs. Topper
  • 1941 The Wild Man of Borneo Bernice Marshall, Boardinghouse Keeper
  • 1940 Hullabaloo Penny Merriweather
  • 1940 Dulcy Eleanor Forbes
  • 1940 The Captain Is a Lady Blossy Stort
  • 1940 Irène Mrs. Vincent
  • 1940 And One Was Beautiful Mrs. Julia Lattimer
  • 1940 The Ghost Comes Home Cora Adams
  • 1939 Remember? Mrs. Bronson
  • 1939 Divorcé malgré lui Aunt Abby
  • 1939 Le magicien d'Oz Glinda
  • 1939 Bridal Suite Mrs. McGill
  • 1939 Deux bons copains Mrs. Tibbett
  • 1938 Fantômes en croisière Mrs. Topper
  • 1938 La famille sans-souci Marmy Carleton
  • 1938 Madame et son clochard Mrs. Kilbourne
  • 1938 Everybody Sing Diana Bellaire
  • 1937 Les cadets de la mer Mrs. Alyce Gates
  • 1937 L'inconnue du palace Contessa di Meina
  • 1937 Le couple invisible Mrs. Topper
  • 1937 La vie privée du tribun Clara
  • 1936 L'obsession de Madame Craig Mrs. Frazier
  • 1936 Piccadilly Jim Eugenia Willis, Nesta's Sister
  • 1936 Ma femme américaine Mrs. Robert Cantillon
  • 1935 Splendor Clarissa
  • 1935 A Feather in Her Hat Julia Trent Anders
  • 1935 Gosse de riche Mrs. Daniel Van Dyke
  • 1935 Doubting Thomas Paula Brown
  • 1935 Becky Sharp Lady Bareacres
  • 1935 Chronique mondaine Mrs. Norwood
  • 1935 Society Doctor Mrs. Crane
  • 1934 Forsaking All Others Aunt Paula
  • 1934 We're Rich Again Mrs. Linda Page
  • 1934 Finishing School Mrs. Helen Crawford Radcliff
  • 1934 Douvres-Paris Eustasia
  • 1933 Une nuit seulement Julia Warren
  • 1933 Les invités de huit heures Millicent Jordan
  • 1933 La Phalène d'argent Lady Strong - His Wife
  • 1932 Héritage Margaret
  • 1921 The Education of Elizabeth Elizabeth Banks
  • 1920 On demande un mari Belle Johnson
  • 1920 Away Goes Prudence Prudence Thorne
  • 1919 Wanted: A Husband Amanda Darcy Cole
  • 1919 Sadie Love Sadie Love
  • 1919 The Misleading Widow Betty Taradine
  • 1919 Le mariage d'Annabelle Annabelle Leigh
  • 1918 The Make-Believe Wife Phyllis Ashbrook
  • 1918 Le mirage Polly Marsden
  • 1918 Let's Get a Divorce Mme. Cyprienne Marcey
  • 1918 Eve's Daughter Irene Simpson-Bates
  • 1917 The Land of Promise Nora Marsh
  • 1917 Arms and the Girl Ruth Sherwood
  • 1917 The Mysterious Miss Terry Mavis Terry
  • 1916 Gloria's Romance Gloria Stafford (as Miss Billie Burke)
  • 1916 Peggy Peggy Cameron 

Bates Jeanne

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Jeanne Bates, née le 21 mai 1918 à Berkeley en Californie aux États-Unis et morte le 28 novembre 2007, fut une actrice américaine.

Bates Jeanne Bates Jeanne

Filmographie

  • 1943 : The Chance of a Lifetime : Mary Watson
  • 1943 : There's Something About a Soldier : Phyllis
  • 1943 : The Phantom : Diana Palmer
  • 1944 : The Return of the Vampire : Miss Norcutt (first victim)
  • 1944 : The Racket Man : Phyllis Lake
  • 1944 : Sundown Valley : Sidney Hawkins
  • 1944 : Hey, Rookie : Chief WAC
  • 1944 : The Black Parachute : Olga
  • 1944 : She's a Soldier Too : 'Red' Burns
  • 1944 : Shadows in the Night : Adele Carter
  • 1944 : Soul of a Monster : Ann Winson
  • 1944 : Sergeant Mike : Terry
  • 1945 : Cette nuit et toujours (Tonight and Every Night) : W.A.C. Woman
  • 1946 : The Mask of Diijon : Victoria
  • 1951 : Trouble In-Laws
  • 1951 : Death of a Salesman : Mother
  • 1952 : Paula : Attending Nurse
  • 1954 : Sabaka : Durga
  • 1956 : Tension à Rock City (Tension at Table Rock) : Mrs. Brice
  • 1957 : Femme d'Apache (Trooper Hook) : Weaver's daughter
  • 1957 : Back from the Dead : Agnes, the Bradley housekeeper
  • 1958 : Blood Arrow : Almee
  • 1960 : Vice Raid : Marilyn
  • 1960 : The Slowest Gun in the West (TV) : Wife
  • 1961 : Ben Casey (série TV) : Nurse Wills
  • 1964 : Le Tueur de Boston (The Strangler) : Clara Thomas, the Nurse
  • 1966 : Des jours et des vies (Days of Our Lives) (série TV) : Jean Perkins
  • 1970 : Suppose They Gave a War and Nobody Came? : Mrs. Flanders
  • 1972 : Des jours et des vies (Days of Our Lives) (série TV) : Anne Peters
  • 1973 : The Stranger (TV)
  • 1973 : Topper Returns (TV)
  • 1976 : Gus : Infirmière
  • 1977 : Eraserhead : Mrs. X
  • 1977 : Poco... Little Dog Lost : Mrs. John Ashmore
  • 1978 : Getting Married (TV) : Divorced Woman
  • 1979 : A Special Gift (TV)
  • 1981 : Les Feux de l'amour (The Young and the Restless) (série TV) : Edith Mills
  • 1989 : From the Dead of Night (TV) : Nurse
  • 1990 : Mom : Emily Dwyer
  • 1990 : 58 minutes pour vivre (Die Hard 2) : Older Woman (Northeast Plane)
  • 1990 : Douce nuit, sanglante nuit - l'initiation (Initiation: Silent Night, Deadly Night 4) : Katherine
  • 1991 : Grand Canyon : Mrs. Menken
  • 1992 : Wild Orchid II: Two Shades of Blue : Mrs. Felt
  • 1994 : Une épouse trop parfaite (Dream Lover) : Jeanne
  • 2001 : Mulholland Drive (Mulholland Dr.) : Irene

Bates Blanche

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Blanche Bates est une actrice américaine (née le 25 août 1873, décédée le 25 décembre 1941) qui créa le rôle-titre de la pièce de David Belasco, « The Girl of the Golden West » en 1905.

Bates Blanche Bates Blanche

Elle fut aussi connue pour ses rôles qu'elle joua au sein des compagnies théâtrales de Augustin Daly et de Charles Frohman. Elle créa aussi le rôle-titre de la pièce de John Long "Madame Butterfly" (1900). Au théâtre, on la verra aussi dans « Under Two Flags » (1901), et « The Darling of the Gods » (1902).

Filmographie

  • 1919 Tom's Little Star (Short)
  • 1918 The Border Legion Joan Randall

 

Barriscale Bessie

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Bessie Barriscale, de son vrai nom Elizabeth Barry Scale, est une actrice américaine née le 30 septembre 1884 à Hoboken (New Jersey) et morte le 30 juin 1965 à Kentfield (en) (Californie).

Barriscale Bessie Barriscale Bessie

Bessie Barriscale, née de parents irlandais, a débuté au théâtre sur la côte est avant de se tourner vers le cinéma. Elle commence à tourner en 1913, et travaille notamment avec la Triangle Film Corporation. Elle fonde la "Bessie Barriscale Feature Company" en 1917 avec son mari, l'acteur Howard Hickman, le réalisateur Oscar Apfel, et le producteur Robert Brunton.

Filmographie

  • 1914 : Rose of the Rancho de Cecil B. DeMille : Juanita
  • 1914 : Ready Money de Oscar Apfel : Grace Tyler
  • 1914 : The Making of Bobby Burnit : Agnes Elliston
  • 1915 : The Golden Claw (en) de Reginald Barker : Lillian Hillary
  • 1915 : The Mating de Raymond B. West : Doris Willard
  • 1915 : The Reward de Reginald Barker : Jane Wallace
  • 1915 : The Painted Soul de Scott Sidney : Irene Brock
  • 1915 : The Devil de Reginald Barker : Isabella Zanden
  • 1915 : The Cup of Life de Raymond B. West : Helen Fiske
  • 1916 : Bullets and Brown Eyes de Scott Sidney : Comtesse Olga
  • 1916 : A Corner in Colleens de Charles Miller : Shamrock
  • 1916 : The Green Swamp (en) de Scott Sidney : Margery Allison
  • 1916 : Home de Raymond B. West : Bessie Wheaton
  • 1916 : Honor's Altar de Walter Edwards : Winnie Mallery
  • 1916 : The Last Act de Walter Edwards : Ethel Duprey
  • 1916 : Not My Sister de Charles Giblyn : Grace Tyler
  • 1916 : Plain Jane de Charles Miller : Jane
  • 1916 : The Payment de Raymond B. West : Phyllis Page
  • 1916 : Bawbs O' Blue Ridge de Charles Miller : Barbara "Bawbs" Colby
  • 1916 : The Sorrows of Love de Charles Giblyn : Béatrice
  • 1917 : Borrowed Plumage de Raymond B. West : Nora
  • 1917 : The Hater of Men de Charles Miller : Janice Salsbury
  • 1917 : Those Who Pay de Raymond B. West : Dorothy Warner
  • 1917 : The Snarl de Raymond B. West : Helen Dean / Marion Dean
  • 1917 : Wooden Shoes de Raymond B. West : Pampy
  • 1918 : Blindfolded de Raymond B. West : Peggy Muldoon
  • 1918 : The Cast-Off de Raymond B. West : Pansy May
  • 1918 : Madam Who de Reginald Barker : Jeanne Beaufort
  • 1918 : Maid O' the Storm de Raymond B. West : Ariel
  • 1918 : Patriotism de Raymond B. West : Robin Cameron
  • 1918 : Two-Gun Betty de Howard Hickman : Betty Craig
  • 1918 : The White Lie de Howard Hickman : Dorothy Kingsley
  • 1918 : Within the Cup de Raymond B. West : Thisbe Lorraine
  • 1918 : The Heart of Rachael de Howard Hickman : Rachael
  • 1918 : Rose O' Paradise de James Young : Virginia Singleton
  • 1919 : All of a Sudden Norma de Howard Hickman : Norma Brisbane
  • 1919 : Hearts Asleep de Howard Hickman : Nancy
  • 1919 : Her Purchase Price (en) de Howard Hickman : Sheka
  • 1919 : Kitty Kelly, M.D. de Howard Hickman : Kitty Kelly
  • 1919 : Tangled Threads de Howard Hickman : Margaret Wayne
  • 1919 : A Trick of Fate de Howard Hickman : Anna Gerard / Mary Lee
  • 1919 : Josselyn's Wife de Howard Hickman : Ellen Latimer Josselyn
  • 1919 : The Woman Michael Married de Henry Kolker : Mira Sacky
  • 1919 : Beckoning Roads de Howard Hickman : Marquita Shay
  • 1920 : The Notorious Mrs. Sands de William Christy Cabanne : Mary Ware
  • 1920 : A Woman Who Understood (en) de William Parke : Madge Graham
  • 1920 : The Broken Gate de Paul Scardon : Aurora Lane
  • 1920 : Life's Twist de Christy Cabanne : Muriel Chester / Tina Pierce
  • 1920 : The Luck of Geraldine Laird de Edward Sloman : Geraldine Laird
  • 1921 : The Breaking Point de Paul Scardon : Ruth Marshall
  • 1928 : Show Folks de Paul L. Stein : Kitty
  • 1933 : Bondage de Alfred Santell
  • 1933 : Secrets de Frank Borzage : Susan Carlton
  • 1933 : Above the Clouds de Roy William Neill : Mère
  • 1934 : Beloved de Victor Schertzinger : Mme Watkins
  • 1934 : The Man Who Reclaimed His Head de Edward Ludwig : Louise

Théâtre

  • 1906 : Cape Cod Folks de Earl W. Mayo : Becky Cradlebow
  • 1913 : We Are Seven de Eleanor Gates (en) : Diantha Kerr
  • 1914 : What Would You Do? de Augustin MacHugh
  • 1921 : The Skirt de Howard Hickman : Betty Price

Basil Toni

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Toni Basil est une chorégraphe, chanteuse, compositrice, musicienne, actrice et réalisatrice américaine née le 22 septembre 1943 à Philadelphie, Pennsylvanie (États-Unis).

Basil Toni

Filmographie

  • 1964 : Pajama Party : Pajama Girl
  • 1965 : Village of the Giants de Bert I. Gordon : Red
  • 1966 : Breakaway : Dancer
  • 1968 : Head : Dancer (segment "Daddy's Song' sequence)
  • 1969 : Sweet Charity : Dancer in 'Rhythm of Life' number
  • 1969 : Easy Rider : Mary
  • 1970 : Five Easy Pieces : Terry Grouse
  • 1971 : The Last Movie : Rose
  • 1972 : Greaser's Palace (en) de Robert Downey Sr. : Indian Girl
  • 1976 : Ambulances tous risques (Mother, Jugs & Speed) : Addict
  • 1988 : Angel III: The Final Chapter : Hillary
  • 1988 : Terreur à Alcatraz (Slaughterhouse Rock) : Sammy Mitchell
  • 1990 : Rockula : Phoebe LaVie
  • 1990 : Une trop belle cible (Catchfire)
  • 1990 : Pacific Palisades : Désirée
  • 1990 : Eating : Jackie

comme Réalisatrice

  • 1982 : Toni Basil: Word of Mouth (vidéo)

comme Directeur de la photographie

  • 1997 : Bette Midler in Concert: Diva Las Vegas (TV)

Discographie

Albums

  • Word of mouth (1982)
  • Toni Basil (1983)

Singles

  • Mickey (1982)
  • Nobody (1982)
  • Shoppin' from A to Z (1983)
  • Over my head (1983)

Canning Lisa

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Lisa Canning est une actrice américaine née le 7 novembre 1966 à St. Thomas (Îles Vierges).

Canning Lisa Canning Lisa

Filmographie

  • 1996 : Ladykiller : Leslie Vance
  • 1996 : Scream : Reporter with Mask
  • 2004 : Intermission : Perfume Admirer
  • 2004 : Le Jour d'après (The Day After Tomorrow) : L.A. Anchorwoman

Télévision

  • 1963 : Hôpital central ("General Hospital") (série TV) : Meg Lawson #2 (1993)
  • 1973 : Les Feux de l'amour ("The Young and the Restless") (série TV) : Adrienne (2004-2005)
  • 1991 : Enquêtes à Palm Springs ("P.S.I. Luv U") (série TV) : Dori (1991)
  • 1992 : Knights and Warriors (série TV) : Hostess
  • 1999 : Destination Stardom (série TV) : Host
  • 2002 : Beyond with James Van Praagh (série TV) : Co-host
  • 2005 : Dancing with the Stars (série TV) : Host
  • 2005 : Dancing with the Stars (Dance Off) (TV) : Host

Gurlitt Cornelius

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Cornelius Gurlitt, né le 28 décembre 1932 à Hambourg et mort le 6 mai 2014 (à 81 ans) à Munich, est un collectionneur d’art germano-autrichien chez qui a été découvert en 2012, dans un premier appartement, et en 2014, dans une autre maison, plus de 1 500 tableaux de maître, hérités de son père le marchand d'art Hildebrand Gurlitt, et que l’on croyait perdus. Une partie significative de cette collection proviendrait de spoliations d'œuvres d’art sous le Troisième Reich.

Gurlitt Cornelius

Rolf Nikolaus Cornelius Gurlitt était le fils du marchand d'art Hildebrand Gurlitt, et l'arrière-petit-neveu du compositeur Cornelius Gurlitt. Sa mère Hélène Hanke (1895-1967) était danseuse et l'une des premières étudiantes de Mary Wigman. Elle était connue sous son nom de scène "Bambula". Son arrière-grand-père était le peintre paysagiste Louis Gurlitt, son oncle était le musicologue Wilibald Gurlitt. Il a grandi dans le quartier de la gare Dammtor de Hambourg avec sa sœur Nicoline Benita Renate (1935-2012). Au cours de la Seconde Guerre mondiale, sa famille a emménagé à Dresde. De 1946 à 1948, il a vécu dans le sud du Land de Hesse. Après avoir quitté l'école, il a étudié l'histoire de l'art à l'Université de Cologne, puis il a arrêté ses études. Il a suivi ultérieurement une formation en restauration de tableaux. Depuis 1960, il était propriétaire d'une petite maison à Salzbourg. Dans une lettre écrite en 1962, sa sœur Benita Gurlitt mentionne à son propos qu'il était vivant et vivait « comme un peintre totalement reclus, solitaire, retiré et très heureux à Salzbourg ». Gurlitt possédait la double nationalité allemande et autrichienne.

En septembre 2010, Gurlitt est contrôlé par des douaniers allemands dans un train à destination de la Suisse. Ils saisissent sur lui 9 000 euros en billets et soupçonnent une banale fraude fiscale. Ils identifient un appartement qu'il loue à Munich et s'y rendent en février 2012. Ils y découvrent des cartons de boîtes de conserves, périmées, dissimulant des tableaux, 1 406 tableaux entassés là, en assez bon état. Des tableaux d'Auguste Renoir, d'Henri Matisse, de Pablo Picasso, de Marc Chagall, de Paul Klee, d'Oskar Kokoschka, de Max Beckmann, etc.. Entretemps, en novembre 2011, la maison Lempertz, de vente aux enchères, à Cologne, a mis en vente une peinture expressionniste de Max Beckmann, Le Dompteur, détenue par Cornelius Gurlitt.

L'avocat représentant les héritiers du marchand d'art juif Alfred Flechtheim a contacté Lempertz. Flechtheim était le galeriste de Beckmann dans les années 1920 et le tableau est entré en possession du père de Cornelius Gurlitt en 1934. Flechtheim a dû fuir les nazis en 1933, et s'exiler à Paris, puis à Londres. « Sur le dos de la peinture, figure une marque tamponnée de Gurlitt avec une adresse à Düsseldorf ». Les différentes parties sont parvenues à un accord. Le vendeur Cornelius Gurlitt a reçu environ 60 % des recettes, et les héritiers Flechtheim environ 40 %. Le tableau a été vendu 725 000 €3.

La justice allemande soupçonne que les tableaux trouvés à Munich proviennent de la spoliation d'œuvres d’art sous le troisième Reich et des relations du père de Cornelius Gurlitt, Hildebrand Gurlitt, avec les nazis, qui lui auraient permis d'acquérir à bon prix des tableaux appartenant à des familles juives aux abois et de troquer des œuvres d'art dégénéré contre d'autres intéressant davantage les dignitaires nazis. Cornelius Gurlitt défend une toute autre vision du rôle de son père, celle d'un passionné de l'art qui a négocié avec les nazis uniquement pour sauver des tableaux de la destruction ou des mains des troupes russes.

Dans les faits, les relations entre le père de Cornelius Gurlitt et le peintre Max Beckmann illustrent les différentes facettes du rôle de Hildebrand Gurlitt dans les années 1930. En avril 1930, Gurlitt se voit contraint d'abandonner un poste de directeur de musée à Zwickau, en raison de ses sympathies avec des peintres haïs par les nazis, comme Max Beckmann. En 1933, Gurlitt organise une exposition Beckmann à Hambourg. Puis il continue à soutenir dans l'ombre l'artiste, par des expositions privées de ses œuvres en 1936, par exemple. Son appui est cité par Max Beckmann dans ses lettres. Pour autant, à la fin des années 1930 et au début des années 1940, Hildebrand Gurlitt semble être rentré dans le rang. Il participe même aux acquisitions d’œuvres pour le projet du régime nazi de Führermuseum à Linz. Sans doute dans ces années-là n'avait-il plus comme choix que de quitter l'Allemagne ou de collaborer avec les hommes à la tête de ce pays.

Pour autant, parmi les tableaux trouvés à Munich dans l'appartement de Cornelius Gurlitt figureraient des œuvres spoliées par les nazis en France en 1940 et 1941. Mais ce parcours ambigu et son activité indéniable de galeriste pour les peintres contemporains quelques années plus tôt peuvent en partie étayer les arguments de Cornelius Gurlitt. Toujours est-il que celui-ci s'oppose à la restitution de ces œuvres - « l'amour de sa vie», affirme cet homme vivant seul depuis la mort de sa mère. En février 2014, plus de 200 autres tableaux de maître sont découverts dans la petite maison que Gurlitt possède à Salzbourg.

Le 7 avril suivant, le quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung annonce un accord entre Cornelius Gurlitt et le gouvernement fédéral allemand : la recherche des œuvres pouvant avoir été pillées se poursuit en vue d'une restitution effective aux ayants droit, les œuvres saisies non mises en cause devant être rendues à Cornelius Gurlitt dans un délai d'un an. Le 6 mai 2014, Cornelius Gurlitt décède à Munich des suites d'une lourde opération cardiaque. Le lendemain, le Musée des beaux-arts de Berne apprend qu'il est le légataire universel de Gurlitt.

Beckmann Max

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Peintre allemand (Leipzig  1884  – New York  1950). Il se forme à l'Académie de Weimar de 1899 à 1903. 

Max Beckmann et Mathilde Quappi

Max Beckmann et Mathilde Quappi

Il séjourne pour la première fois en France en 1903 (notamment à Paris), où il découvre la Pietà d'Avignon et le retable d'Issenheim. Il s'installe à la fin de 1904 à Berlin, où il expose à la Sécession en 1906. Cette même année, il obtient une bourse d'études pour Florence et revient à Paris, où il est de nouveau en 1908. Ses débuts se situent dans la lignée de l'" Impressionnisme allemand " ; ses références culturelles sont tirées du xixe s., des compositions monumentales de von Marées (Jeunes Hommes au bord du lac, 1905, musée de Weimar) aux effets de touche de Delacroix (le Naufrage du Titanic, 1912, Saint Louis, City Art Museum), même si un choix plus profond l'attire vers Piero della Francesca et Signorelli (Éducation de Pan du musée de Berlin, auj. détruite).

Ainsi, alors que la Grande Scène d'agonie (1906) est une concession au pathétique et évoque quelque peu Munch, Beckmann va rapidement adopter, au moment où se développe l'Expressionnisme, une objectivité distante, très significative dans la Rue (1914). Cette conscience de la réalité se manifeste également dans les Autoportraits, peints, dessinés, gravés, qui constituent une part capitale de son œuvre (Petit Autoportrait, 1912, pointe-sèche). Paraît en 1909 son premier recueil lithographique (le Retour d'Eurydice), mais c'est à la pointe sèche qu'il doit sans doute ses plus belles réussites. Beckmann connaît le succès à Berlin et expose chez Paul Cassirer en 1913.

Engagé volontaire dans le service de santé en 1914, il est rendu à la vie civile en 1915, après une dépression nerveuse. Il s'installe à Francfort-sur-le-Main et expose en 1917 ses gravures chez Neumann à Berlin. Les gravures de 1914-15 traduisent avec acuité l'irruption du drame contemporain (la Grenade, 1915, pointe-sèche) et d'un conflit qu'il voulut d'abord considérer comme l'occasion d'un reportage (la Déclaration de guerre, 1914, pointe-sèche). Les tableaux exécutés un peu plus tard se réfèrent en revanche assez étroitement à la tradition plastique du retable gothique (Descente de croix, 1917, New York, M. O. M. A. ; Autoportrait au foulard rouge, 1917, Stuttgart, Staatsgal.). Cette évolution s'achève par l'évocation paroxystique de la Nuit (1918-19, Düsseldorf, K. N. W.), symbole parlant de la situation de l'Allemagne dans l'immédiat après-guerre. L'expression de Beckmann s'apaise ensuite ; s'il conserve les conquêtes stylistiques des années de guerre, les sujets relèvent désormais de la distinction traditionnelle des genres.

Les peintures des années 20 révèlent des formes presque géométriques proches des œuvres de Cézanne, de Léger et des cubistes. Sa participation à la Neue Sachlichkeit en 1925 fait de lui un témoin de son temps (10 lithographies du Voyage berlinois, 1922 ; Danse à Baden-Baden, 1923). Dans la diversité des thèmes, paysages d'une sérénité ambiguë (Paysage printanier, 1924, Cologne, W. R. M.), natures mortes, scènes de cirque, nus, autoportraits et portraits, ces derniers se détachent avec une autorité singulière (Quappi au châle blanc, 1925 ; la Loge, 1928, Stuttgart, Staatsgal.). Il travaille surtout à partir de sa propre image et se représente avec toutes sortes d'expressions (Autoportrait à la cigarette, 1923, New York, M. O. M. A. ; Autoportrait en smoking, 1927, Cambridge, Busch-Reisinger Museum ; Autoportrait au saxophone, 1930, Brême, Kunsthalle).

Dans le thème du cirque, l'acrobate auquel Beckmann s'identifie secrètement est souvent traité dans une position périlleuse, en quête d'un impossible équilibre (Funambule, 1921, pointe-sèche). La poétique de Beckmann est à l'image des temps étranges que vit l'Allemagne des années 20. Au début des années 30, il se tourne vers l'univers des mythes et des fables — plusieurs œuvres renvoient aux pérégrinations d'Ulysse. Professeur à Francfort de 1925 à 1933, il fréquente régulièrement l'Italie et, à partir de 1926, surtout Paris, où il expose en 1931 à la gal. de la Renaissance. Destitué de son poste d'enseignant par les nazis, il revient à Berlin de 1933 à 1937, puis s'établit à Amsterdam, où il passe les années de la Seconde Guerre mondiale. En 1947, il part pour les États-Unis, où il est déjà connu et enseigne à l'université Saint Louis de Washington puis, à partir de 1949, à l'Art School of the Brooklyn Museum à New York.

Son évolution après 1932 se signale par le recours de plus en plus affirmé au symbole, voire à l'hermétisme de la Cabale, en des triptyques monumentaux (Départ, 1923-33, New York, M. O. M. A. ; la Tentation de saint Antoine, 1936-37 ; les Acrobates, 1939). À côté des autoportraits toujours décisifs (Autoportrait en noir, 1944, Munich, Neue Pin.), les triptyques et les compositions complexes peuplés de raides personnages mythologiques, de nus, d'objets et d'animaux évoquent un univers d'une cruauté froide. Begining (1949, New York, Metropolitan Museum) est le testament spirituel de Beckmann, qui avait toujours affirmé les droits de l'individu face au collectivisme croissant du xxe s. Sa dernière suite de lithographies, Day and Dream, parut à New York en 1946. Beckmann est représenté surtout dans les musées américains et allemands ; le M. N. A. M. de Paris conserve le Petit Poisson (1933). Une rétrospective a été consacrée à l'artiste (Hambourg, Kunsthalle) en 1993, à Stuttgart (Staatsgalerie) en 1994 et aux États-Unis (New York, Los Angeles) en 1995-1996.

Beckmann Mathilde

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Mathilde Beckmann (1904 in Ohlstadt ; 30. März 1986 in Jacksonville), geborene von Kaulbach, genannt Quappi, war eine deutsche Sängerin. 

 

Max Beckmann et Mathilde Quappi

Max Beckmann et Mathilde Quappi

Sie war die jüngste Tochter des Malers Friedrich August von Kaulbach und seiner zweiten Ehefrau, der Violin-Virtuosin Frieda Scotta und wurde 1925 die zweite Ehefrau von Max Beckmann. Sie lehnte aus diesem Grund ein Angebot der Dresdner Staatsoper ab. Den Kosenamen Quappi, der eigentlich eine Anspielung auf ihren ursprünglichen Nachnamen ist, erhielt sie von Henriette von Motesiczky (und nicht wie manchmal zu lesen ist von Beckmann). Ihr Mann porträtierte sie in den nächsten Jahren vielfach. Sie ging mit Max Beckmann 1937 nach Amsterdam ins Exil und lebte ab 1947 mit ihm in den USA. Nach seinem Tod 1950 verwaltete sie seinen Nachlass und lebte bis zu ihrem Tod in New York City.

Fonda Jane

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Jane Fonda, née le 21 décembre 1937 à New York, est une actrice et une productrice américaine, également féministe et militante pacifiste. Son père est l'acteur Henry Fonda et sa mère est Frances Ford Seymour. Jane est la sœur de Peter Fonda et la tante de Bridget Fonda.

Fonda Jane Fonda Jane

La mère de Jane, Frances, était la seconde des cinq femmes d'Henry Fonda, et avait été précédemment l'épouse du millionnaire George Tuttle Brokaw, premier mari de l’écrivain Clare Boothe Luce. Après un placement volontaire en observation dans un asile, Frances Fonda se suicida en se tranchant la gorge avec une lame de rasoir, en avril 1950, alors que Jane était âgée de 12 ans. En 2005, dans ses mémoires, l’actrice écrit que pour sa recherche documentaire, elle fut autorisée à accéder au dossier psychiatrique de sa mère et découvrit qu'elle avait été violentée dans son enfance, un traumatisme qui a sans nul doute contribué à son instabilité émotionnelle et mentale ultérieures.

Jane devient une star internationale grâce à l'adaptation du roman d'Horace McCoy par Sydney Pollack: On achève bien les chevaux en 1969. En 1972, elle tourne avec Yves Montand sous la direction de Jean-Luc Godard et de Jean-Pierre Gorin dans Tout va bien. Plus tard, les deux réalisateurs en hommage à l'actrice feront un autre film : Letter to Jane où ils commentent une heure durant la photographie de Jane prise lors de son voyage au Vietnam en pleine guerre, faisant à ce moment-là les gros titres de l'actualité.

Très engagée politiquement, elle fut une des figures les plus en vue de l'Amérique politisée et contestataire des années 1960. Elle a activement soutenu le Mouvement afro-américain des droits civiques et défendu le leader des Black Panthers : Huey P. Newton. Elle avait également alerté l'opinion publique sur la situation désastreuse des Amérindiens aux États-Unis et a longtemps lutté pour les droits des femmes, s'affirmant féministe. Durant la guerre du Viêt Nam, ses prises de position contre le gouvernement américain de l'époque ainsi que son voyage au Vietnam en 1972 où elle est allée rendre visite à des prisonniers de guerre et des villageois isolés, soutenant la thèse selon laquelle Richard Nixon avait donné l'ordre de bombarder le système de digues des rivières du Nord communiste, ont longtemps alimenté la polémique.

La photographie où on la voyait monter sur le siège d'un canon anti-aérien nord-vietnamien coiffée d'un casque militaire, a attiré l'attention. L'action de Jane Fonda au Vietnam a été violemment dénoncée par la classe politique américaine qui a vu en elle le symbole de l'antipatriote. Vingt ans après, Jane a exprimé ses regrets quant à sa pose sur la photo avant de se raviser. Au début des années 1980, elle publie Jane Fonda's Workout, première d'une série de 23 vidéos d’exercices sportifs et aérobic. Les ventes atteindront au total plusieurs millions d'exemplaires, succès planétaire surfant sur la tendance du culte du corps dans les années 1980. Elle cesse sa carrière d'actrice au début des années 1990, mais apparaît de temps en temps dans des feuilletons télévisés.

C'est en 2005 qu'elle réalise son grand retour pour le cinéma avec une comédie qui l'oppose à Jennifer Lopez : Sa mère ou moi ! (Monster-in-Law). Toujours très active politiquement, elle a souvent critiqué l'administration Bush notamment à propos de l'intervention militaire en Irak et de la mauvaise gestion des dégâts causés par le cyclone Katrina à La Nouvelle-Orléans. Elle milite aujourd'hui pour la paix et la résolution du conflit israélo-palestinien. Parlant parfaitement le français, elle a été mariée (1965-1972) au réalisateur Roger Vadim, dont elle a eu une fille, Vanessa. Le cinéaste avec Barbarella en avait fait un sex-symbol des années soixante. Elle a ensuite épousé, en 1973, le sénateur démocrate Tom Hayden (en), dont elle partageait les engagements politiques. Le couple a divorcé en 1989. Ensemble, ils ont eu un fils, l'acteur Troy Garity (qui porte le nom de sa grand-mère paternelle) et adopté une fille. En 1991, elle a épousé en troisièmes noces le magnat de la presse américain, Ted Turner, dont elle a divorcé en 2001.

Privilégiant un cinéma d'auteur engagé qu'elle finit même par produire (comme Le Retour), Jane Fonda a su se faire un prénom à Hollywood sans que ne plane sur elle l'ombre de son père. Elle a obtenu deux Oscars : l'un couronnant son rôle de prostituée dans le film policier Klute d'Alan J. Pakula en 1972, l'autre distinguant sa prestation en épouse de vétéran du Vietnam dans Le Retour de Hal Ashby en 1979. Elle a donné la réplique à son père Henry dans son dernier film : La Maison du lac, qu'elle a d'ailleurs financé.

Filmographie

  • 1960 : La Tête à l'envers (Tall Story) de Joshua Logan : June Ryder
  • 1962 : La Rue chaude (Walk on the Wild Side) d'Edward Dmytryk
  • 1962 : Les Liaisons coupables (The Chapman Report) de George Cukor
  • 1962 : L'École des jeunes mariés (Period of Adjustment) de George Roy Hill
  • 1963 : Dans la douceur du jour (In the Cool of the Day) de Robert Stevens
  • 1963 : Un dimanche à New York (Sunday in New York) de Peter Tewksbury
  • 1964 : Les Félins de René Clément : Melinda
  • 1964 : La Ronde de Roger Vadim
  • 1965 : Cat Ballou d'Elliot Silverstein
  • 1966 : La Poursuite impitoyable (The Chase) d'Arthur Penn
  • 1966 : La Curée de Roger Vadim
  • 1966 : Chaque mercredi (Any Wednesday) de Robert Ellis Miller
  • 1967 : Pieds nus dans le parc (Barefoot in the Park) de Gene Saks
  • 1967 : Que vienne la nuit (Hurry Sundown) d'Otto Preminger
  • 1968 : Histoires extraordinaires, sketch Metzengerstein de Roger Vadim : la comtesse Frederica
  • 1968 : Barbarella de Roger Vadim : Barbarella
  • 1968 : On achève bien les chevaux (They Shoot Horses, Don't They?) de Sydney Pollack
  • 1971 : Klute de Alan J. Pakula
  • 1972 : Tout va bien de Jean-Luc Godard, Jean-Pierre Gorin
  • 1972 : F.T.A de Francine Parke
  • 1973 : Steelyard blues d'Alan Myerson
  • 1973 : Maison de poupée (A Doll's House) de Joseph Losey
  • 1976 : L'Oiseau bleu (The Blue Bird) de George Cukor
  • 1977 : Touche pas à mon gazon (Fun with Dick and Jane) de Ted Kotcheff
  • 1977 : Julia de Fred Zinnemann
  • 1978 : Le Retour (Coming Home) d'Hal Ashby
  • 1978 : Le Souffle de la tempête (Comes a Horseman) d'Alan J. Pakula
  • 1978 : California Hôtel (California Suite) d'Herbert Ross
  • 1979 : Le Syndrome chinois (The China Syndrome) de James Bridges
  • 1980 : Le Cavalier électrique (The Electric Horseman) de Sydney Pollack
  • 1980 : Comment se débarrasser de son patron (Nine to Five|9 to 5) de Colin Higgins
  • 1981 : La Maison du lac (On Golden Pond) de Mark Rydell
  • 1981 : Sois belle et tais-toi (documentaire) de Delphine Seyrig
  • 1981 : Une femme d'affaires (Rollover) d'Alan J. Pakula
  • 1984 : Les Poupées de l'espoir (The dollmaker) de Daniel Petrie (TV) : Gertie Nevels
  • 1985 : Agnès de Dieu (Agnes of God) de Norman Jewison
  • 1986 : Le Lendemain du crime (The Morning After) de Sidney Lumet
  • 1987 : Leonard Part 6 de Paul Weiland
  • 1989 : Old Gringo de Luis Puenzo
  • 1990 : Stanley & Iris de Martin Ritt
  • 1994 : A Century of Cinema de Caroline Thomas (documentaire)
  • 2002 : Searching for Debra Winger de Rosanna Arquette (documentaire)
  • 2004 : Tell Them Who You Are de Mark Wexler (documentaire)
  • 2005 : Sa mère ou moi ! (Monster-in-Law) de Robert Luketic
  • 2007 : Mère-fille, mode d'emploi (Georgia Rule) de Garry Marshall
  • 2011 : Peace, Love and Misunderstanding de Bruce Beresford
  • 2012 : Et si on vivait tous ensemble ? de Stéphane Robelin
  • 2013 : Le Majordome (The Butler) de Lee Daniels : Nancy Reagan
  • 2014 : Blonde sur ordonnance (Better Living Through Chemistry) de Geoff Moore, David Posamentier

Théâtre

  • 2009 : 33 Variations de Moisés Kaufman

Oscar du cinéma

  • 1970 : nomination en tant que meilleure actrice, On achève bien les chevaux
  • 1972 : meilleure actrice, Klute
  • 1978 : nomination en tant que meilleure actrice, Julia
  • 1979 : meilleure actrice, Le Retour
  • 1980 : nomination en tant que meilleure actrice, Le Syndrome chinois
  • 1982 : nomination en tant que meilleure actrice de soutien, La Maison du lac
  • 1987 : nomination en tant que meilleure actrice, Le Lendemain du crime

Golden Globes

  • 1961 : actrice au meilleur potentiel
  • 1971 : meilleure actrice dans un film (drame), Klute
  • 1972 : actrice mondialement favorite
  • 1977 : meilleure actrice dans un film (drame), Julia
  • 1978 : actrice mondialement favorite
  • 1978 : meilleure actrice dans un film (drame), Le Retour

 

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