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MacMahon Aline

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Aline MacMahon est une actrice américaine née le 3 mai 1899 à McKeesport, Pennsylvanie (États-Unis), décédée le 12 octobre 1991 à New York (New York).

MacMahon Aline

Filmographie

  • 1931 : Five Star Final : Miss Taylor
  • 1932 : The Heart of New York : Bessie, the Neighbor
  • 1932 : The Mouthpiece : Miss Hickey, Day's secretary
  • 1932 : Week-end Marriage : Agnes
  • 1932 : Life Begins : Miss Bowers
  • 1932 : Voyage sans retour (One Way Passage) : Countess Barilhaus (Barrel House Betty)
  • 1932 : Une fois dans la vie (Once in a Lifetime) : May Daniels
  • 1932 : Silver Dollar : Sarah Martin
  • 1933 : Chercheuses d'or de 1933 (Gold diggers of 1933) : Trixie Lorraine
  • 1933 : La Vie de Jimmy Dolan (The Life of Jimmy Dolan) : Auntie, aka Mrs. Moore
  • 1933 : Héros à vendre : Mary Dennis
  • 1933 : The World Changes : Anna Nordholm
  • 1934 : Heat Lightning : Olga
  • 1934 : The Merry Frinks : Hattie 'Mom' Frink
  • 1934 : Side Streets : Bertha Krasnoff
  • 1934 : Big-Hearted Herbert : Elizabeth Kainess
  • 1934 : Babbitt : Myra Babbitt
  • 1935 : While the Patient Slept : Nurse Sarah Keate
  • 1935 : Mary Jane's Pa : Ellen Preston
  • 1935 : Vivre sa vie (I Live My Life) : Betty Collins
  • 1935 : Ah, Wilderness! : Lily Davis
  • 1935 : Kind Lady : Mary Herries
  • 1937 : When You're in Love : Marianne Woods
  • 1939 : Back Door to Heaven : Miss Williams
  • 1941 : Out of the Fog : Florence Goodwin
  • 1942 : Madame veut un bébé (The Lady Is Willing) : Buddy
  • 1942 : Tish : Lizzie Wilkins
  • 1943 : Seeds of Freedom : Odessa Citizen
  • 1944 : Reward Unlimited : Mrs. Scott
  • 1944 : Les Fils du dragon (Dragon Seed) de Jack Conway et Harold S. Bucquet : Ling Tan's Wife
  • 1944 : Guest in the House : Aunt Martha
  • 1947 : The Mighty McGurk : Mamie Steeple
  • 1948 : Les Anges marqués (The Search) : Mrs. Murray
  • 1949 : Roseanna McCoy : Sarie McCoy
  • 1950 : La Flèche et le flambeau (The Flame and the Arrow) : Nonna Bartoli
  • 1953 : The Eddie Cantor Story (en) d'Alfred E. Green : Grandma Esther
  • 1955 : L'Homme de la plaine (The Man from Laramie) : Kate Canady
  • 1959 : Medea (TV) : Nurse
  • 1960 : La Ruée vers l'Ouest (Cimarron) : Mrs. Mavis Pegler
  • 1961 : Les Blouses blanches (The Young Doctors) : Dr. Lucy Grainger
  • 1963 : Le Seigneur d'Hawaii (Diamond Head) : Kappa Lani Kahanna
  • 1963 : L'Ombre du passé I Could Go On Singing : Ida
  • 1963 : All the Way Home : Aunt Hannah
  • 1974 : Antigone (TV) : Nurse
  • 1975 : For the Use of the Hall (TV) : Bess

49ème Parallèle

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49e Parallèle (49th Parallel) est un film britannique réalisé par Michael Powell, sorti en 1941. Pendant la Seconde Guerre mondiale, un sous-marin allemand coule un navire près des côtes canadiennes. Aussitôt, il tente un repli stratégique vers la baie d'Hudson mais il est repéré et bombardé. Six marins allemands survivants se retrouvent seuls sur le gigantesque territoire canadien. Ils doivent traverser le pays, rejoindre les États-Unis encore neutres, et espérer ainsi s'échapper du continent pour retourner en Allemagne.

 

49e Parallèle de Michael Powell49e Parallèle de Michael Powell

49e Parallèle de Michael Powell

Fiche technique

  • Titre original : 49th Parallel
  • Titre français : 49e Parallèle
  • Réalisation : Michael Powell
  • Scénario : Emeric Pressburger et Rodney Ackland
  • Direction artistique : David Rawnsley, assisté de Sydney S. Streeter et Fred Pusey
  • Photographie : Freddie Young
  • Son : A.W. Watkins
  • Musique : Ralph Vaughan Williams
  • Direction musicale : Muir Mathieson
  • Montage : David Lean
  • Production : Michael Powell
  • Production associée : George H. Brown, Roland Gillett
  • Sociétés de production : Ortus Films, Ministère de l'Information
  • Société de distribution : General Film Distributors
  • Pays d'origine : Royaume-Uni
  • Langues originales : anglais, français, allemand
  • Budget : 132 000 £ (est.)
  • Format : noir et blanc — 35 mm — 1,37:1 — son Mono (Western Electric Mirrophonic Recording)
  • Genre : Drame, Film de guerre
  • Durée : 123 minutes
  • Dates de sortie : Royaume-Uni : 8 octobre 1941 (première à Londres) ; France : 4 avril 1952

Distribution

  • Richard George : Kommandant Bernsdorff
  • Eric Portman : Lieutenant Hirth
  • Raymond Lovell : Lieutenant Kuhnecke
  • Niall MacGinnis : Vogel
  • Peter Moore : Kranz
  • John Chandos : Lohrmann
  • Basil Appleby : Jahner
  • Laurence Olivier : Johnnie, le trappeur
  • Leslie Howard : Philip Armstrong Scott
  • Finlay Currie : Le facteur
  • Ley On : Nick - l'esquimeau
  • Anton Walbrook : Peter
  • Glynis Johns : Anna
  • Charles Victor : Andreas
  • Frederick Piper : David
  • Raymond Massey : Andy Brock

Récompenses

  • Oscars du cinéma 1941 : Meilleur scénario

Johns Glynis

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Glynis Johns, née le 5 octobre 1923 à Pretoria (Union d'Afrique du Sud), est une actrice, danseuse, pianiste et chanteuse britannique de famille galloise. Elle a obtenu un Tony Award en 1953.

 

Johns Glynis Johns Glynis

Elle est la fille de l'acteur gallois Mervyn Johns (1899-1992) et d'une pianiste concertiste. Un de ses rôles les plus connus est celui de Winifred Banks en 1964, dans Mary Poppins. Elle y incarne la suffragette mère des deux enfants dont s'occupe la nurse Mary Poppins. Elle a été distinguée dans le cadre des Disney Legends de 1998.

 

Filmographie 

  • 1941 : 49e Parallèle (49th Parallel), de Michael Powell : Anna
  • 1945 : Le Verdict de l'amour (Perfect Strangers) de Alexander Korda : Dizzy Clayton
  • 1948 : Miranda, de Ken Annakin : Miranda Trewella
  • 1951 : Le Voyage fantastique (No highway in the sky), d'Henry Koster : Marjorie Corder
  • 1952 : Trois dames et un as (The Card), de Ronald Neame : Ruth Earp
  • 1953 : La Rose et l'Épée (The Sword and the Rose), de Ken Annakin : Princesse Mary Tudor
  • 1953 : Échec au roi (Rob Roy, the Highland Rogue), d'Harold French : Helen Mary MacPherson MacGregor
  • 1955 : Le Bouffon du roi (The Court Jester), de Melvin Frank et Norman Panama : Maid Jean
  • 1957 : Le Tour du monde en quatre-vingts jours (Around the World in 80 Days), de Michael Anderson : L'amie de la dame chic anglaise
  • 1958 : Je pleure mon amour (Another time, another place), de Lewis Allen : Kay Trevor
  • 1960 : The Spider's Web de Godfrey Grayson : Clarissa Hailsham-Brown
  • 1960 : Horizons sans frontières (The Sundowners), de Fred Zinnemann : Gertrude Firth
  • 1962 : Les Liaisons coupables (The Chapman Report), de George Cukor : Teresa Harnish
  • 1964 : Mary Poppins, de Robert Stevenson : Winifred Banks
  • 1972 : Under Milk Wood d'Andrew Sinclair : Myfanwy Price
  • 1973 : Le Caveau de la terreur (The Vault of Horror), de Roy Ward Baker : Eleanor Critchit
  • 1988 : Zelly and Me de Tina Rathborne : Co-co
  • 1995 : L'Amour à tout prix (While you were sleeping), de Jon Turtletaub : Elsie
  • 1999 : Superstar, de Bruce McCulloch : Grandma Gallagher

Un de nos avions n'est pas rentré

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Un de nos avions n'est pas rentré (titre original : One of Our Aircraft Is Missing) est un film britannique réalisé par Michael Powell, sorti en 1942. Après que leur bombardier B for Bertie a été touché au-dessus des Pays-Bas, l'équipage saute en parachute. Des résistants néerlandais vont les aider à retourner en Grande Bretagne.

Un de nos avions n'est pas rentré de Michael PowellUn de nos avions n'est pas rentré de Michael Powell

Un de nos avions n'est pas rentré de Michael Powell

Fiche technique

  • Titre original : One of Our Aircraft Is Missing
  • Titre français : Un de nos avions n'est pas rentré
  • Réalisation : Michael Powell
  • Scénario : Emeric Pressburger, Michael Powell
  • Direction artistique : David Rawnsley
  • Photographie : Ronald Neame
  • Son : A.W. Watkins
  • Montage : David Lean
  • Production : Michael Powell, Emeric Pressburger, John Corfield
  • Production associée : Stanley Haynes
  • Société de production : Archers Film Productions
  • Société de distribution : Anglo-American Film Corporation
  • Pays d’origine : Royaume-Uni
  • Langues originales : anglais, néerlandais, allemand
  • Format : noir et blanc — 35 mm — 1,37:1 — son Mono
  • Genre : Film de guerre, Film de propagande
  • Durée : 102 minutes (82 minutes dans la version américaine)
  • Dates de sortie : Royaume-Uni : 24 avril 1942, France : 29 octobre 1944

Distribution

  • Godfrey Tearle : Sir George Corbett, mitrailleur arrière du B for Bertie
  • Eric Portman : Tom Earnshaw, copilote du B for Bertie
  • Hugh Williams : Frank Shelley, navigateur du B for Bertie
  • Bernard Miles : Geoff Hickman, mitrailleur avant du B for Bertie
  • Hugh Burden : John Glyn Haggard, pilote du B for Bertie
  • Emrys Jones : Bob Ashley, opérateur radio du B for Bertie
  • Pamela Brown : Els Meertens
  • Joyce Redman : Jet van Dieren
  • Googie Withers : Jo de Vries
  • Hay Petrie : le bourgmestre
  • Selma Vaz Dias : la femme du bourgmestre
  • Arnold Marlé : Pieter Sluys
  • Robert Helpmann : De Jong
  • Peter Ustinov : le prêtre
  • Alec Clunes : l'organiste

A Canterbury Tale

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A Canterbury Tale est un film britannique de Michael Powell et Emeric Pressburger, sorti en 1944. L'histoire tourne autour de trois jeunes gens : le sergent britannique Peter Gibbs (Dennis Price), le sergent américain Bob Johnson (interprété par un véritable sergent, du nom de John Sweet), et une land girl1, Miss Alison Smith (Sheila Sim). Très tard un vendredi, le groupe arrive sur le quai de gare d'une petite ville fictive du Kent, du nom de Chillingbourne, près de Canterbury. Peter est stationné dans un camp militaire proche, Alison doit commencer un travail dans une ferme de la région, quant à Bob il est descendu du train par erreur, en entendant l'annonce « Canterbury prochain arrêt » et en pensant qu'il était arrivé à Canterbury.

Au moment où tous les trois quittent la gare, Alison est attaquée par un mystérieux homme en uniforme qui, avant de prendre la fuite, lui répand de la colle dans les cheveux. Il apparait que l'incident s'est produit quelques fois déjà auparavant. Alison demande à Bob s'il peut rester à Chillingbourne durant le week-end pour l'aider à résoudre le mystère. Le lendemain, tandis qu'elle conduit un chariot dans les champs, Alison rencontre Peter qui fait escorter le chariot par trois chenillettes. Alison accepte de revoir Peter. Les trois décident de mener l'enquête au sujet de l'agression, aidés par des gens du coin, parmi lesquels plusieurs garçons qui jouent à la guerre à grande échelle…

A Canterbury Tale de Michael Powell et Emeric PressburgerA Canterbury Tale de Michael Powell et Emeric PressburgerA Canterbury Tale de Michael Powell et Emeric Pressburger

A Canterbury Tale de Michael Powell et Emeric Pressburger

Fiche technique

  • Titre original : A Canterbury Tale
  • Réalisation : Michael Powell et Emeric Pressburger
  • Scénario : Michael Powell et Emeric Pressburger
  • Directeur artistique : Alfred Junge
  • Photographie : Erwin Hillier, assisté notamment de Desmond Dickinson (cadreur, non crédité)
  • Son : C.C. Stevens, Desmond Dew, Alan Whatley
  • Musique : Allan Gray
  • Montage : John Seabourne
  • Production : Michael Powell et Emeric Pressburger (et Jock Laurence pour les scènes additionnelles de la version américaine)
  • Sociétés de production : Archers Film Productions, Independent Producers
  • Société de distribution : General Film Distributors
  • Pays d'origine : Royaume-Uni
  • Langue originale : anglais
  • Format : noir et blanc — 35 mm — 1,37:1 — son Mono (Western Electric Recording)
  • Genre : Drame, Guerre
  • Durée : 124 minutes (95 minutes pour la version américaine)
  • Date de sortie : Royaume-Uni : 21 août 1944 (première à Londres)

Distribution

  • Eric Portman : Thomas Colpeper
  • Sheila Sim : Alison Smith
  • Dennis Price : Peter Gibbs
  • Sergeant John Sweet : Bob Johnson
  • Esmond Knight : le narrateur (sauf dans la version US)/ Seven-Sisters Soldier/ l'idiot du village
  • Charles Hawtrey : Thomas Beckett
  • Hay Petrie : Woodcock
  • George Merritt : Ned Horton
  • Edward Rigby : Jim Horton
  • Freda Jackson : Prudence Honeywood
  • Raymond Massey : le narrateur (version US)
  • Betty Jardine : Fee Baker
  • Eliot Makeham : Organiste
  • Harvey Golden : Sergent Roczinsky
  • Leonard Smith : Leslie
  • James Tamsitt : Terry
  • David Todd : David
  • Beresford Egan : Ovenden
  • Anthony Holles : Sergent Bassett
  • Maude Lambert : Miss Grainger

Knight Esmond

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Esmond Knight est un acteur anglais, né Esmond Penington Knight à East Sheen (en) (Surrey, Angleterre) le 4 mai 1906, décédé d'une crise cardiaque à Londres (Angleterre) le 23 février 1987.

Knight Esmond

Esmond Knight débute en 1925 au théâtre, où il sera très actif jusqu'en 1984, principalement à Londres, et en particulier dans les pièces de William Shakespeare. Hors l'Angleterre, il jouera une fois à Broadway (New York) en 1953. Au cinéma, il apparaît de 1928 à 1987, notamment dans plusieurs films britanniques du tandem Powell-Pressburger, ou encore dans des réalisations de Laurence Olivier (dont ses adaptations de trois pièces de Shakespeare en 1944, 1948 et 1955), avec qui il a également collaboré au théâtre. Notons qu'en 1960, dans le film Coulez le Bismarck !, il interprète le rôle de capitaine du Prince of Wales, sur lequel il servait en 1941 lors des opérations contre le Bismarck.

Il fut alors grièvement blessé et devint aveugle, ne recouvrant que très partiellement la vue deux ans plus tard (il en sera handicapé durant toute la suite de sa carrière). Dès 1937, il participe pour la télévision naissante à des adaptations de pièces de théâtre et par la suite, joue dans des téléfilms et séries, jusqu'en 1987. De 1946 jusqu'à sa mort en 1987, Esmond Knight est l'époux en secondes noces de l'actrice Nora Swinburne, avec laquelle il joue plusieurs fois, au théâtre et au cinéma.

Filmographie

  • 1931 : 77 Park Lane d'Albert de Courville : Philip Connor
  • 1934 : Le Chant du Danube (Waltzes from Vienna) d'Alfred Hitchcock
  • 1935 : Crime Unlimited de Ralph Ince
  • 1939 : The Arsenal Stadium Mystery de Thorold Dickinson
  • 1940 : Espionne à bord (Contraband) de Michael Powell
  • 1943 : The Silver Fleet de Vernon Sewell et Gordon Wellesley
  • 1944 : A Canterbury Tale de Michael Powell et Emeric Pressburger
  • 1944 : Henry V (The Chronicle History of King Henry the Fift with his Battell Fought at Agincourt in France) de Laurence Olivier
  • 1947 : Le Narcisse noir (Black Narcissus) de Michael Powell et Emeric Pressburger
  • 1948 : Les Chaussons rouges (The Red Shoes) de Michael Powell et Emeric Pressburger
  • 1948 : Hamlet de Laurence Olivier
  • 1950 : La Renarde (Gone to Earth) de Michael Powell et Emeric Pressburger
  • 1951 : Le Fleuve (The River) de Jean Renoir
  • 1955 : Richard III de Laurence Olivier
  • 1956 : Hélène de Troie (Helen of Troy) de Robert Wise
  • 1957 : Le Prince et la danseuse (The Prince and the Showgirl) de Laurence Olivier
  • 1960 : Coulez le Bismarck ! (Sink the Bismarck !) de Lewis Gilbert
  • 1960 : Le Voyeur (Peeping Tom) de Michael Powell
  • 1965 : L'Espion qui venait du froid (The Spy who came from the Cold) de Martin Ritt
  • 1969 : Anne des mille jours (Anne of the Thousand Days) de Charles Jarrott
  • 1976 : La Rose et la Flèche (Robin and Marian) de Richard Lester
  • 1984 : Element of Crime (Forbrydelsens element) de Lars von Trier
  • 1987 : Superman 4 (Superman IV : The Quest for Peace) de Sidney J. Furie

Télévision

  • 1959 : Ici Interpol (Interpol Calling), Saison 1, épisode 3 The Sleeping Giant
  • 1961 : Destination Danger (Danger Man), Saison 1, épisode 21 Aventures de vacances (Vacation)
  • 1962 : Le Saint (The Saint), Saison 1, épisode 4 Un souvenir de famille (The Covetous Headsman)
  • 1969 : Doctor Who, Saison 6, épisode 6 « The Space Pirates » : Dom Issigri
  • 1971 : La Cousine Bette (série TV)
  • 1976 : Moi Claude empereur (I, Claudius), épisode 3 La Prophétie (Waiting in the Wings)
  • 1978 : Le Retour du Saint (Return of the Saint), épisode 15 Les Collectionneurs (The Debt Collectors)

Théâtre

  • 1925-1926 : Richard III, Les Joyeuses Commères de Windsor (The Merry Wives of Windsor), Comme il vous plaira (As you Like it), Jules César (Julius Caesar), Beaucoup de bruit pour rien (Much ado about Nothing), Roméo et Juliette (Romeo and Juliet), La Mégère apprivoisée (The Taming of the Shrew), Antoine et Cléopâtre (Antony and Cleopatra), Mesure pour mesure (Measure for Measure) et Le Marchand de Venise (The Merchant of Venice), de William Shakespeare (saison, avec Margaret Rutherford pour la plupart) ;
  • 1926-1927 : Henry V, Hamlet (avec Heather Angel, Eric Portman), La Nuit des rois, ou Ce que vous voudrez (Twelfth Night, or What you will, avec Paul Cavanagh), Le Roi Jean (King John), Macbeth, Le Songe d'une nuit d'été (A Midsummer Night's Dream), Othello, le Maure de Venise (Othello, the Moor of Venice), Le Conte d'hiver (The Winter's Tale), La Comédie des erreurs (The Comedy of Errors) et La Tempête (The Tempest), de William Shakespeare ; St Patrick's Day de Richard Brinsley Sheridan (saison, avec George Coulouris pour la plupart) ;
  • 1930 : Hamlet de Shakespeare, avec John Gielgud
  • 1934 : Hamlet de Shakespeare, avec John Laurie, Sybil Thorndike
  • 1937 : Wise Tomorrow de Stephen Powys, avec Martita Hunt, Diana Churchill, Nora Swinburne, Naunton Wayne
  • 1938 : The Crest of the Wave d'Ivor Novello, avec Finlay Currie (à Bristol et en tournée)
  • 1939 : La Force des ténèbres (Night Must Fall) d'Emlyn Williams, avec Dame May Whitty (+ producteur) (adaptée au cinéma en 1937 par Richard Thorpe)
  • 1944 : Crisis in Heaven de Frances Clare, avec Barry Morse
  • 1946 : Roméo et Juliette (Romeo and Juliet) de William Shakespeare, avec Michael Goodliffe
  • 1946 : Sainte Jeanne (Saint Joan) et Homme et surhomme (Man and Superman) de George Bernard Shaw
  • 1951 : César et Cléopâtre (Caesar and Cleopatra) de George Bernard Shaw, avec Laurence Olivier, Lyndon Brook, Peter Cushing, Vivien Leigh, Wilfrid Hyde-White, Norman Wooland
  • 1953 : The Emperor's Clothes de George Tabori, avec Lee J. Cobb, Maureen Stapleton (à Broadway) ;
  • 1954 : Bell, Book and Candle de John Van Druten, avec Joan Greenwood
  • 1956 : The Caine Mutiny Court-Martial d'Herman Wouk, d'après son roman Ouragan sur le Caine (The Caine Mutiny ; adapté au cinéma en 1954), mise en scène de Lloyd Nolan, avec Nigel Stock, Lloyd Nolan (à Londres et Bristol)
  • 1957 : La Provinciale (The Country Wife) de William Wycherley, avec Joan Plowright
  • 1960-1961 : La Mégère apprivoisée de Shakespeare, avec Vanessa Redgrave, Diana Rigg
  • 1961 : Becket ou l'Honneur de Dieu (Becket) de Jean Anouilh, avec Christopher Plummer, Diana Rigg
  • 1962 : Two Stars for Comfort de John Mortimer, avec Trevor Howard
  • 1962-1963 : Peer Gynt d'Henrik Ibsen ; Le Marchand de Venise et Mesure pour mesure de Shakespeare ; L'Alchimiste (The Alchemist) de Ben Jonson (saison, avec Leo McKern, Adrienne Corri, Catherine Lacey, Wilfrid Lawson, Vernon Dobtcheff, Lee Montague)
  • 1966 : Les Troyennes (The Trojan Women) d'Euripide (à Édimbourg)
  • 1973 : Réunion de famille (The Family Reunion) de T. S. Eliot, avec Edward Fox, Nora Swinburne (à Manchester)
  • 1975 : The Cocktail Party de T. S. Eliot, avec Nora Swinburne (à Manchester)
  • 1976 : Les Trois Sœurs (The Three Sisters) d'Anton Tchekhov
  • 1978 : Crime et Châtiment (Crime and Punishment) d'après le roman éponyme de Fedor Dostoïevsky, avec Leo McKern (à Manchester)
  • 1979 : Réunion de famille de T. S. Eliot, avec Edward Fox (reprise, à Londres et Manchester)
  • 1982 : Hamlet de Shakespeare, avec Edward Fox
  • 1984 : Les Diables (The Devils) de John Whiting

Jackson Freda

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Freda Maud Jackson est une actrice anglaise, née le 29 décembre 1907 à Nottingham (Midlands de l'Est), morte le 20 octobre 1990 à Northampton (Midlands de l'Est).

 

Jackson Freda

Freda Jackson entame sa carrière d'actrice au théâtre en 1934 et joue notamment à Londres, en particulier au sein de la troupe de l'Old Vic. Parmi ses pièces notables, citons Hamlet de William Shakespeare, mise en scène par Tyrone Guthrie (avec Alec Guinness et Anthony Quayle, durant la saison 1938-1939 de l'Old Vic), Le Père d'August Strindberg (avec Michael Redgrave, en 1949), Pour Lucrèce de Jean Giraudoux, mise en scène par Jean-Louis Barrault (adaptation avec Claire Bloom, Vivien Leigh et Peter Wyngarde, en 1958), ou encore John Gabriel Borkman d'Henrik Ibsen (avec Bernard Miles, en 1961).

Au cinéma, elle contribue à vingt-six films (majoritairement britanniques, plus quelques-uns américains ou des coproductions), le premier sorti en 1938. Le dernier est Le Choc des Titans de Desmond Davis (avec Laurence Olivier et Claire Bloom), sorti en 1981. Dans l'intervalle, mentionnons Henry V de (et avec) Laurence Olivier (1944), La Croisée des destins de George Cukor (1956, avec Ava Gardner et Stewart Granger), ainsi que Tom Jones de Tony Richardson (1963, avec Albert Finney et Susannah York).

À la télévision, Freda Jackson apparaît d'abord dans une représentation, téléfilmée en 1938, de la pièce Trelawny of the 'Wells' (en) d'Arthur Wing Pinero, mise en scène par Tyrone Guthrie (production de l'Old Vic, avec Alec Guiness et Anthony Quayle). Puis elle collabore à seize séries (plusieurs étant dédiées au théâtre) de 1955 à 1980, dont Mon ami le fantôme (un épisode en 1970).

Théâtre (pièces jouées à Londres, sauf mention contraire)

  • 1936-1937 : La Provinciale (The Country Wife) de William Wycherley, mise en scène de Tyrone Guthrie
  • 1937-1938 : The Silent Knight d'Humbert Wolfe
  • 1938 : Gaily We Set Out de Sheila Dronisthorpe
  • 1938-1939 : Trelawny of the ''Wells' d'Arthur Wing Pinero, mise en scène de Tyrone Guthrie ; The Rivals de Richard Brinsley Sheridan ; Hamlet de William Shakespeare, mise en scène de Tyrone Guthrie (saison à l'Old Vic)
  • 1941 : Les Joyeuses Commères de Windsor (The Merry Wives of Windsor) de William Shakespeare, mise en scène de Tyrone Guthrie
  • 1942-1943 : The Russians de Constantin Simonov, mise en scène de Tyrone Guthrie (à Liverpool) ; La Mouette (The Seagull / Чайка) d'Anton Tchekhov (à Liverpool) ; Othello ou le Maure de Venise (Othello, the Moor of Venice) de William Shakespeare, mise en scène de Tyrone Guthrie (saison)
  • 1944-1945 : Eden End de John Boynton Priestley (à Bristol)
  • 1945 : No Room at the Inn de Joan Temple (rôle de Mme Voray, repris dans l'adaptation au cinéma de 1948 : voir filmographie ci-après)
  • 1949 : Le Père (The Father / Fadren) d'August Strindberg
  • 1950 : Anna Christie d'Eugene O'Neill
  • 1951-1952 : Le Roi Lear (King Lear) de William Shakespeare
  • 1953 : Starched Aprons d'Ena Lamont Stewart
  • 1955-1956 : Les Parents terribles (Intimate Relations) de Jean Cocteau (à Bristol)
  • 1957 : Camino Real de Tennessee Williams, mise en scène de Peter Hall
  • 1958 : Pour Lucrèce (Duel of Angels) de Jean Giraudoux, adaptation de Christopher Fry, costumes féminins de Christian Dior, mise en scène de Jean-Louis Barrault
  • 1961 : John Gabriel Borkman d'Henrik Ibsen
  • 1961-1962 : Mère Courage et ses enfants (Mother Courage and His Children / Mutter Courage und ihre Kinder) de Bertolt Brecht
  • 1972 : I, Claudius de John Mortimer et Robert Graves, mise en scène de Tony Richardson

Filmographie

  • 1938 : Mountains O'Mourne d'Henry Hughes : Biddy O'Hara
  • 1944 : A Canterbury Tale de Michael Powell et Emeric Pressburger : Prudence Honeywood
  • 1944 : Henry V (The Chronicle History of King Henry the Fift with His Battell Fought at Agincourt in France) de Laurence Olivier : Maîtresse Quickly
  • 1946 : Amour tragique (Beware of Pity) de Maurice Elvey : Une bohémienne
  • 1946 : Les Grandes Espérances (Great Expectations) de David Lean : Mme Joe Gargery
  • 1948 : Cendrillon du faubourg (No Room at the Inn) de Daniel Birt : Mme Voray
  • 1951 : Flesh & Blood d'Anthony Kimmins : Mme Hannah
  • 1952 : Women of Twilight de Gordon Parry : Mme Helen 'Nelly' Alistair
  • 1952 : L'assassin court toujours (Mr. Denning Drives North) d'Anthony Kimmins : Ma Smith
  • 1954 : Les bons meurent jeunes (The Good Die Young) de Lewis Gilbert : Mme Freeman
  • 1954 : The Crowded Day de John Guillermin : Mme Morgan
  • 1956 : The Last Man to Hang? de Terence Fisher : Mme Tucker
  • 1956 : La Croisée des destins (Bhowani Junction) de George Cukor : La Sandani
  • 1957 : Le Trottoir (The Flesh Is Weak) de Don Chaffey : Trixie
  • 1958 : Sous la terreur ou Le Conte des deux villes (A Tale of Two Cities) de Ralph Thomas : La Vengeance
  • 1960 : Les Maîtresses de Dracula (The Brides of Dracula) de Terence Fisher : Greta
  • 1961 : Le Spectre du chat (Shadow of the Cat) de John Gilling : Clara
  • 1961 : Attempt to Kill de Royston Morley : Mme Weyman
  • 1961 : Bobby des Greyfriars (Greyfriars Bobby) de Don Chaffey : La vieille concierge
  • 1963 : West 11 de Michael Winner : Mme Hartley
  • 1963 : Tom Jones de Tony Richardson : Mme Seagrim
  • 1964 : Le Secret du docteur Whitset (The Third Secret) de Charles Crichton : Mme Bales
  • 1965 : Le Messager du diable (Die, Monsteur, Die!) de Daniel Haller : Laetitia Witley
  • 1967 : Scotland Yard au parfum (The Jokers) de Michael Winner : Mme Pervis
  • 1969 : La Vallée de Gwangi (The Valley of Gwangi) de Jim O'Connolly : Tia Zorina
  • 1981 : Le Choc des Titans (Clash of the Titans) de Desmond Davis : Une sorcière du Styx

Télévision

  • 1938 : Trelawny of the 'Wells', téléfilm de Tyrone Guthrie : rôle non-spécifié
  • 1960 : Maigret, série
  • Saison unique, épisode 1 Murder in Montmartre : Rose Alfonsi
  • 1970 : Mon ami le fantôme (Randall & Hopkirk (deceased)), série
  • Saison unique, épisode 26 The Smile Behind the Veil : Mme Evans

Je sais où je vais

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Je sais où je vais (I Know Where I'm Going!) est un film britannique réalisé par Michael Powell et Emeric Pressburger, sorti en 1945. Il a pour interprètes principaux Wendy Hiller et Roger Livesey. Joan Webster, fille d'un employé de banque londonien, décidée depuis l'enfance d'avoir un jour beaucoup d'argent annonce à son père qu'elle va se marier à un homme qu'il n'a jamais vu, Sir Robert Gellinger, un industriel ayant fait fortune dans les produits chimiques. Elle doit le rejoindre sur l'île de Kiloran, située dans les Hébrides, en Écosse, pour l'épouser. Le soir de son arrivée, à Port Erraigh, sur l'île de Mull, dernière étape avant d'embarquer pour Kiloran, le brouillard la contraint de rester. Un jeune officier de la marine en permission, Torquil Mac Neil, devant se rendre également à Kiloran dont il est le "lord", lui propose de l'héberger, dans un vieux manoir, auprès de personnes qu'il connaît: une jeune femme solitaire et courageuse dont le mari est absent et un vieux colonel amateur de fauconnerie. Joan refuse tout d'abord, disant qu'elle attendra l'arrivée du bateau, puis se rendant à l'évidence elle rejoint le manoir.

Le lendemain, le brouillard fait place à la tempête. Joan décide de s'installer dans l'hôtel du port. Torquil lui propose d'utiliser la radio du garde-côte pour communiquer avec son futur époux. Le ton de la voix de Robert Gellinger, mondain et détaché, laisse Joan pensive alors même qu'elle n'est pas insensible au charme de Torquil qui l'accompagne à une fête familiale et lui évoque les attraits et l'originalité de la vie en Ecosse. Torquil raconte à Joan la légende de Corryvreckan, un maelström, situé près de Kiloran, dont les terribles remous sont l'effroi des marins. La tempête semble perdre de la vigueur, mais Joan ne veut pas attendre un jour de plus, elle est en train de tomber amoureuse mais ne veut pas renoncer à ses ambitions. Elle propose à un jeune marin peu expérimenté, contre une grosse somme, de l'emmener à Kiloran malgré le danger. Torquil les rejoint et monte dans le bateau. Au milieu de la traversée, les vagues déferlantes noient le moteur. Le courant entraîne le bateau vers les remous de Corryvreckan. La valise de Joan avec sa robe de mariée est emportée par les vagues. Torquil et le marin parviennent à assécher le moteur qui repart. Ils peuvent s'éloigner du maelström. Joan est consciente que son avidité et sa vanité ont failli causer la mort de deux hommes et la sienne.

Le lendemain, le calme est revenu, mais Joan renonce à ce mariage sans amour. Quant à Torquil sa permission est achevée, il doit rejoindre la Navy. Les jeunes gens se retrouvent sur le chemin, au son des cornemuses qui auraient dû jouer pour le mariage et s'étreignent. L'idée du titre vient de Frankie, l'épouse de Michael Powell, lui rappelant les paroles d'une chanson irlandaise intitulée « I know where I'm going ! » :

« Je sais où je vais
Et je sais qui vient avec moi
Je sais celui que j'aime
Mais mon amour sait qui j'épouserai. »

Michael Powell : « Emeric me dit un jour : « J'ai toujours eu envie de faire un film sur une jeune fille qui veut aller dans une île. À la fin de son voyage, elle est si près qu'elle peut distinguer les gens sur l'île, mais une tempête l'empêche de débarquer, et quand la tempête est passée, elle n'a plus envie d'y aller, parce que sa vie a changé brusquement, comme cela arrive souvent aux jeunes filles. - Pourquoi a-t-elle envie d'aller dans cette île au début ? demandai-je, estimant la question raisonnable. - Faisons le film pour le savoir. »

Je sais où je vaisJe sais où je vaisJe sais où je vais

Je sais où je vais

Fiche technique

  • Titre original : I Know Where I'm Going!
  • Titre français: Je sais où je vais
  • Réalisation : Michael Powell et Emeric Pressburger
  • Scénario : Michael Powell et Emeric Pressburger
  • Direction artistique : Alfred Junge
  • Photographie : Erwin Hillier
  • Son : C.C. Stevens
  • Musique : Allan Gray
  • Montage : John Seabourne
  • Production : Michael Powell, Emeric Pressburger, assisté de George R. Busby
  • Sociétés de production : The Archers, J. Arthur Rank Film Productions, Independent Producers
  • Société de distribution : Eagle-Lion Distributors Limited
  • Pays d'origine : Royaume-Uni
  • Langue originale : anglais, gaélique
  • Format : noir et blanc — 35 mm — 1,37:1 — son Mono (Western Electric)
  • Genre : Drame
  • Date de sortie : Royaume-Uni : 16 novembre 1945 (première à Londres) ; France : 27 février 1952
  • Durée :91 minutes

Distribution

  • Wendy Hiller : Joan Webster
  • Roger Livesey : Torquil MacNeil
  • Pamela Brown : Catriona
  • Finlay Currie : Ruairidh Mhor
  • George Carney : M. Webster
  • Nancy Price : Mme Crozier
  • Catherine Lacey : Mme Robinson
  • Jean Cadell : Le receveur des postes
  • John Laurie : John Campbell
  • Petula Clark : Cheril
  • Valentine Dyall : Mr. Robinson

Powell Michael

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Michael Powell (30 septembre 1905 à Bekesbourne, Kent – 19 février 1990 à Avening, Gloucestershire) est un réalisateur britannique. Avec Emeric Pressburger il réalise plusieurs classiques du 7e art : Colonel Blimp, Une question de vie ou de mort, Le Narcisse noir, Les Chaussons rouges, Les Contes d'Hoffmann. Seul, il réalise un autre classique : Le Voyeur.
 

Powell Michael

Michael Powell naît en Angleterre à Bekesbourne, ville située près de Cantorbéry, dans le Kent. Son père est cultivateur. Après sa scolarité à la King's School de Canterbury puis au Dulwich College, Powell commence en 1922 à travailler dans une banque. Grâce à son père, propriétaire d'un hôtel sur la Riviera de Nice, il est introduit auprès de Rex Ingram, réalisateur américain d'origine irlandaise, en tournage sur la Côte dans les studios Victorine. Ingram l'engage pour jouer la comédie et comme assistant directeur. Powell apparaît brièvement dans Le Magicien (1926), puis dans une série de films itinérants, les Riviera Revels, et plusieurs comédies loufoques qui l'occupent pendant trois ans. Cette expérience lui est profitable. Il met à profit sa présence sur les plateaux pour observer la fabrication des films et se former aux techniques de production, à la mise en scène, au cadrage et à la direction d'acteurs.

De retour en Angleterre en 1928, il est engagé par Hitchcock sur Champagne en tant que photographe de plateau. Hitchcock, qui déteste les photographes, est séduit par le jeune homme et l'engage pour son prochain film, Blackmail, tourné l'année d'après, et qui est aussi son premier parlant. Powell collabore en tant qu'assistant. Le film est célèbre pour sa poursuite de fin dans la salle de lecture et sur le dôme du British Museum. C'est Powell qui a suggéré cette idée au maître du suspens, lors de la réécriture du scénario. Il tourne ensuite, à la demande du producteur américain Jerry Jackson, une série de « quotas quickies », ces petits films des années 1930, d'une durée avoisinant une heure, tournés à la va-vite pour précéder la projection des films américains dans les salles de cinéma britanniques. Jusqu'en 1937 il en tourne en moyenne cinq par an et développe ainsi son habileté derrière la caméra. Il réalise en tout 23 films entre 1931 et 1936, dont les plus notables sont Red Ensign (1934) et Phantom Light (1935). Il réalise en 1937 son premier long-métrage, À l'angle du monde (The Edge of the World), dans les îles Shetland : la critique le compare alors à Flaherty.

En 1939, Powell est engagé par Alexander Korda pour mettre en scène et réaliser L'Espion en noir (The Spy in Black) avec Conrad Veidt. Le scénariste est Emeric Pressburger, avec lequel il va collaborer pendant plus de quinze ans. Alexander Korda, tycoon des studios anglais, lui confie la coréalisation du Voleur de Bagdad (1940), remake de l'œuvre tournée par Raoul Walsh en 1924. Le film, commencé dans les studios anglais, est terminé à Hollywood et primé pour les meilleurs effets spéciaux. À la demande du gouvernement britannique, Powell réalise 49e Parallèle (1941), une œuvre de propagande pour encourager l'entrée en guerre des États-Unis. À l'issue du film il crée avec Pressburger la compagnie indépendante « The Archers Films Production ».

Powell et Pressburger joignent leurs efforts sur une quinzaine de projets communs, dont plusieurs sont aujourd'hui considérés comme des classiques du 7e art : Colonel Blimp, A Canterbury Tale, Je sais où je vais, Une question de vie ou de mort, Le Narcisse noir, Les Chaussons rouges, Les Contes d'Hoffmann. Après deux films dans lesquels leurs noms apparaissent sous crédits séparés, ils scellent leur partenariat dans Un de nos avions n'est pas rentré qui porte la mention « Écrit, produit et dirigé par Michael Powell and Emeric Pressburger » sans préciser qui fait quoi. En réalité Powell s'occupe bien souvent seul de la réalisation tandis que Pressburger met au point le scénario.

La légende veut que Leo Marks se soit présenté un matin au domicile de Powell. Il lui aurait proposé l’idée suivante : « Que diriez-vous de réaliser un film sur un jeune homme qui tue des femmes avec sa caméra ? ». En réalité Michael Powell et Leo Marks se connaissent depuis quelques années, Marks étant lié à divers projets dont Powell avait eu connaissance. À cette époque Marks s’intéresse à la psychologie et Powell envisage de réaliser un film sur Freud, en particulier sur ses travaux. Ils mettent au point un projet ensemble mais au même moment John Huston annonce qu’il réalise un film sur l’inventeur de la psychanalyse. Leo Marks propose alors à Powell une idée à laquelle il songe depuis longtemps : celle « d’un homme obsédé, non pas tant par la caméra que par l’objectif de la caméra, qui vit sa vie à travers l’objectif d’une caméra, qui est même sexuellement obsédé par l’objectif d’une caméra. » Powell y décèle un potentiel extraordinaire et engage Marks pour écrire l’histoire puis le scénario. Il envisage dans un premier temps de prendre Laurence Harvey pour tenir le rôle du Voyeur, et même Dirk Bogarde (lequel refuse) mais finalement c’est Karl Boehm, connu en Europe pour son rôle dans Sissi, qui est choisi. Powell tient lui-même un rôle dans le film, celui du père du Voyeur, un psychanalyste aux tendances sadiques obsédé par les mécanismes de la peur. On le voit réaliser des films amateurs en noir et blanc et filmer en permanence les émotions de son jeune fils, lequel lui sert de cobaye. Le propre fils de Powell joue le rôle de Karl Boehm enfant. Moira Shearer, la ballerine des Chaussons rouges et des Contes d’Hoffmann, joue l’une des victimes du tueur, de même que Anna Massey, qui jouera ensuite dans Frenzy d’Hitchcock. Le résultat est un film d’épouvante moderne. À Londres il est programmé pour sortir sur les écrans au même moment que Psychose, avec lequel il entretient des rapports thématiques. Si le film de Hitchcock recueille les suffrages du public et de la critique, le film de Powell, très éloigné de ses œuvres antérieures, déconcerte.

Le film achevé est montré avant sa sortie aux critiques, qui le démolissent sans exception. La réception est tellement désastreuse (il est qualifié à l’unanimité de « malsain » et de « répugnant ») que les producteurs, effrayés, suspendent sa sortie avant de le revendre aux exploitants du circuit porno et semi-clandestin de l’époque. Le film est auréolé d’une réputation si exécrable qu’il n’est pratiquement pas projeté, et devient rapidement invisible. Powell, lynché par la critique, voit sa carrière ruinée avec l’ensemble des distributeurs et exploitants. Le film trouve pourtant un écho auprès de la jeune génération américaine, notamment de Martin Scorsese, et en France auprès de Bertrand Tavernier. Ces deux cinéastes contribuent par la suite à faire redécouvrir son œuvre.

Michael Powell s'est marié trois fois. Sa première épouse est une danseuse américaine du nom de Gloria Mary Rouger. Leur mariage, célébré en 1927, dure seulement trois semaines. Il se marie ensuite avec Frances May Reidy en 1943. Ce mariage dure jusqu'à la mort de cette dernière en 1983. Deux enfants naissent de cette union : Kevin Michael Powell en 1945 et Columba Jerome Reidy Powell en 1951. Powell épouse à la fin de sa vie Thelma Schoonmaker, monteuse notamment des films de Scorsese (il la rencontre par l'intermédiaire de celui-ci). Leur mariage dure de 1984 jusqu'à la mort du cinéaste. Powell a eu également des histoires d'amour avec plusieurs actrices durant les années 1940, notamment Deborah Kerr et Kathleen Byron, lesquelles ont tourné dans le Narcisse noir. Il a également vécu quelques années avec l'actrice Pamela Brown jusqu'à la disparition de celle-ci en 1975.

Filmographie

  • 1931 : Two Crowded Hours ; My Friend the King ; Rynox ; The Rasp ; The Star Reporter
  • 1932 : Hotel Splendide ; Born Lucky ; C.O.D. ; His Lordship
  • 1934 : The Fire Raisers, Red Ensign ; Something Always Happens ; The Girl in the Crowd
  • 1935 : Some Day ; Lazybones ; Her Last Affaire ; The Price of a Song ; The Love Test ; The Phantom Light
  • 1936 : The Brown Wallet ; Crown v. Stevens ; The Man behind the Mask

Longs métrages

Téléfilm

  • 1978 : Return to the Edge of the World

Patricia Davies - obituary

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Patricia Davies was the last of the team behind Operation Mincemeat, the subterfuge which allowed the Allies to invade Sicily.

Patricia Davies: 'We were all in on the plot. We were enthralled by the whole idea'

Patricia Davies: 'We were all in on the plot. We were enthralled by the whole idea'

Patricia Davies, who has died aged 93, was the last surviving member of the clandestine group in Naval Intelligence that in 1943 launched Operation Mincemeat, a brilliant subterfuge that significantly altered the course of the Second World War.

The plan of Operation Mincemeat, as told by Ben Macintyre in his book of the same name and in a BBC documentary, was to drop a dead body in the Mediterranean off the coast of Spain and hope the Nazis would find it. The body was dressed as a Royal Marines officer, and was attached to a briefcase containing a series of official-looking but faked letters indicating an Allied plan to push back against Axis forces in southern Europe by invading Greece and Sardinia — and not, as expected, Sicily.

The Nazis took the bait: believing the false information to be true, they diverted massive forces to Greece, enabling a successful Allied invasion of Sicily.

Patricia Davies (née Trehearne) was 18 when the war started and had just left Roedean, the private girls’ school near Brighton, when a friend of her father’s, a Royal Marines colonel, recruited her to work for Naval Intelligence.

She worked in the Admiralty, first for Ian Fleming (author of the James Bond novels), who was assistant to the Director, and later in a secret division called 17M, located in a small stuffy room in the basement of the Admiralty building.

Patricia Davies

Patricia Davies

The idea for Operation Mincemeat originated with Ian Fleming (who got the idea from a 1937 detective novel called The Milliner’s Hat Mystery, by Basil Thomson). Fleming elaborated the ruse in a memo which lay dormant until it was taken up by the head of 17M, Commander Ewen Montagu.

The plan required finding a suitably unmarked corpse and kitting it out to look like a Royal Marines officer on a secret mission. The corpse of a vagrant was found, and work began on creating a complete identity and life story for it. It was given the name Major William Martin, and put into a uniform, and into the pockets of the uniform were placed the painstakingly forged ephemera of a real person’s life: theatre ticket stubs, bus tickets, a letter from a bank manager and even an engagement ring for a fictitious fiancée.

“We were all in on the plot,” Patricia Davies recalled in one of the interviews she gave in later life. “We were enthralled by the whole idea, and did everything we could to elaborate it.”

The required veil of secrecy was never penetrated. “We were all terrified by the Official Secrets Act, and thought we’d end up in the Tower of London if we gave anything away,” she said. Her parents thought she was working as a filing clerk. The secrecy lasted only as long as necessary: a few years after the war ended, Montagu published his own account of Operation Mincemeat and it was made into a film, The Man Who Never Was (1956). “Churchill was kept informed, but he did rather dine out on it, which was another reason the story began to come out,” Patricia Davies recalled.

Her personal contribution to the preparation of Major William Martin was to address, in her fine handwriting, the envelope (to General Sir Harold Alexander, C-in-C, Middle East) containing the false Allied invasion plan.

On April 30 1943 the body of William Martin was deposited in the sea off the east coast of Spain from a naval submarine. It was intercepted by a fisherman, brought to Spanish authorities, and before long Nazi intelligence became interested. After an agonisingly long wait (mainly due to the ineptitude of Nazi spies), the contents of William Martin’s briefcase became known to the Nazi command, even allegedly reaching Hitler’s desk. Eight divisions were diverted to Greece, leaving Sicily barely defended.

The Allies invaded Sicily in July. One of the British officers involved in the successful invasion was Lieutenant Denis “Paddy” Davies. He and Patricia became engaged on VE-Day, May 8 1945 — Davies proposed to her in the thick of the euphoric crowds that were swarming around Buckingham Palace to celebrate the victory. They married in July that year.

Patricia Davies (back row, second from right) with members of the Operation Mincemeat team

Patricia Davies (back row, second from right) with members of the Operation Mincemeat team

Patricia Helen Trehearne was born in London on July 18 1921, the eldest of three children, and grew up in Surrey, Sussex and Devon. Her father, Edward Trehearne, was a lawyer; her mother, Nell George, was an amateur opera singer. Patricia’s younger sister, Anne, was evacuated to Canada during the war, and in adulthood was fashion editor of Queen . Their brother, John, was a farmer .

After the war, Paddy Davies was chairman of the cosmetics companies Lenthéric, Yardley, Momy and Germaine Monteil. He and Patricia had three children: Charlotte MacKean, a psychotherapist; Annabel Merullo, a literary agent; and Mark, a banker. Paddy Davies died in 2010.

They lived in West Sussex . Although for much of her life post-war she talked little about Operation Mincemeat, she was in demand as an interviewee before and after the publication of Macintyre’s book. Asked by a German television interviewer what she did during the war, she replied, with characteristic sharpness: “Well, I tried to ensure that as many of you were killed as possible.”

Patricia Davies, born July 18 1921, died July 22 2014

Duke of Marlborough - obituary

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The 11th Duke of Marlborough was the custodian of Blenheim Palace and preserved Vanbrugh's baroque masterpiece for future generations.

The Duke of Marlborough

The Duke of Marlborough

The 11th Duke of Marlborough, who has died aged 88, devoted his life to preserving his family seat of Blenheim Palace, Oxfordshire, for the benefit of future generations.

After inheriting the dukedom on the death of his father in 1972, the Duke applied his shrewd commercial flair to the business of pulling in the crowds, introducing regular opening hours, tea rooms, boat trips, as well as a gift shop, maze and butterfly house.

In what he described as “the ongoing battle of Blenheim”, he let out the house for corporate entertaining and the grounds for pop concerts, and even went so far as to open the family’s private apartments to the public.

He introduced proper accounts, insisting that every part of the business should be self-financing, and founded the Blenheim international horse trials, which have become a popular annual event.

Blenheim Palace owes its name to Blindheim, in Austria, where on August 13 1704 John Churchill, who had been created Duke of Marlborough in 1702, held back King Louis XIV’s troops and saved Vienna from a French attack.

To show her gratitude, Queen Anne presented the Duke with the royal manor of Woodstock in Oxfordshire and promised that a palace would be built for him in the grounds to be paid for by the Crown.

The baroque masterpiece that was created by Sir John Vanbrugh is a vast, triumphalist celebration of military victory. The Grinling Gibbons pinnacles show Marlborough’s coronet crushing the fleur-de-lis; the rooftop lions are biting into French cockerels; and there is a captured bust of Louis XIV in the centre of the south front.

The original layout of the trees in the park even mimicked Marlborough’s battle lines, though the grounds were redesigned under the 4th Duke by Capability Brown.

Yet even Queen Anne did not anticipate the grandeur and huge expense of Blenheim, and the house went on to become a financial burden to the Dukes of Marlborough for more than 300 years. The huge expense of maintaining the house often tempted them to desperate stratagems that did little for their reputation — or happiness. Gladstone famously remarked: “There never was a Churchill from John of Marlborough that had either morals or principles”.

In recent generations, the “wicked” 8th Duke had sold off many of Blenheim’s treasures to pay for the Palace’s upkeep; the 9th Duke sold himself to the American heiress Consuelo Vanderbilt, in one of the most unhappy and blatantly arranged marriages in history. Their son, the 10th Duke, was once described by Auberon Waugh as “one of the most richly absurd characters the English aristocracy ever produced, famous for his appalling rudeness, amazing tactlessness and quite extraordinary greed”.

Yet despite their efforts, when the 11th Duke inherited the titles and estates, the Palace and park were in a poor state and he was forced to surrender the Blenheim archives to meet death duties.

The Duke of Marlborough in his study at Blenheim

The Duke of Marlborough in his study at Blenheim

“It would be wrong to say,” he observed, “that I was longing to inherit because that would suggest I wanted my father to die, but there were certain things that couldn’t be done while he was alive.”

The 11th Duke’s achievement was in succeeding where so many of his ancestors had failed: in maintaining and improving his estate without compromising his principles or reputation. It was, the Duke said, his dearest wish “to ensure that my heir finds the place in the best possible state of repair and the estate in good order.”

It was a gruelling, uphill battle. Repainting the interiors took seven years, and rewiring took another seven. In 2009 the Duke had to spend £1 million to rebuild the Blenheim Dam and its adjoining cascade, created by “Capability” Brown, to comply with a law requiring that such structures be able to withstand a one-in-10,000-years flood

The Duke’s first two marriages had ended in divorce, and his heir, James, Marquess of Blandford, his eldest surviving son by his first marriage, was deemed for many years to be unsuitable to assume responsibility for the estate. A troubled man with a drugs problem, the Marquess clocked up a string of convictions for burglary, assault, and drugs and driving offences.

In 1994 the Duke and the trustees of the estate obtained a High Court order preventing Lord Blandford from having any management powers over the estate after the Duke’s death. A new trust was established that would oversee the estate’s assets after the Duke’s death, and then pass control to the Marquess’s son, George, when he succeeded. But in 2012, after the Marquess was reported to have been drug-free for five years, the Duke told a television documentary that he would inherit not just the title, but would also be given an executive role in the running of Blenheim Palace — although, like the Duke himself, he would be answerable to the trustees .

The Marquess had often blamed his father for his problems and, partly as a result, the debonair 6ft 5in Duke was sometimes described by profile writers as being remote, formal and stuffy. But the American author Bill Bryson found him “a charming man”, and other interviewers were often surprised to find themselves won over by his sense of humour and warm chuckle. His workforce at Blenheim regarded him as a benign if exacting employer; in 1989 he announced that he would be paying the poll taxes of workers and tenants on his estate.

John George Vanderbilt Henry Spencer-Churchill was born on April 13 1926, the elder son of the 10th Duke of Marlborough by his first marriage to Mary Cadogan, daughter of Viscount Chelsea. His father’s cousin, Winston Churchill, himself born at Blenheim, was one of his godparents.

After Eton, the young Lord Blandford, as he then was, joined the Life Guards, from which he retired in the rank of captain in 1952. Thereafter he involved himself in the management of Blenheim, particularly in the public opening of the Palace.

While his father was still alive, he lived five miles away at Lee Place, a country house which he kept on after becoming duke as a retreat for the family during the busy summer opening season. During the 1950s he served as a councillor on Oxfordshire County Council and became a magistrate.

Having inherited the Marlborough peerages in 1972, the Duke took his seat in the House of Lords and in his maiden speech the next year drew attention to the damage caused to sheep flocks by badgers. After that, he contributed only occasionally to debates, though he was for many years a member of the House of Lords bridge team. He lost his seat in the Lords when Labour banished all but 92 of the hereditary peers in 1999.

The Duke was chairman of Martini Rossi from 1979 to 1996 and president of the Thames and Chilterns Tourist Board from 1974. He also served as president of the Oxfordshire Association for Young People and of the Oxfordshire branch of the Country Landowners’ Association. He was appointed a Deputy Lieutenant for Oxfordshire in 1974.

He was a first-class shot and a good horseman, riding hard to hounds with the Heythrop. He was president of the Sports Aid Foundation (South Eastern Area) and of Oxford United Football Club in 1955. In 1959 he was honorary vice-president of the Football Association.
The Duke’s first wife, whom he married in 1951, was Susan Hornby, daughter of the deputy chairman of WH Smith. They had a daughter and two sons, the eldest of whom died aged two. When, shortly afterwards, his wife left him for another man, the Duke gained custody of their children; they divorced in 1961.

Tina Livanos, the former wife of the Greek shipping tycoon Aristotle Onassis, became the Duke’s second wife in 1961. She left him to marry Stavros Niarchos, who had previously been married to her sister. She and the Duke divorced in 1971.

The Duke married thirdly, in 1972, Rosita Douglas, the daughter of a Swedish count and ambassador to the United States. With her, he had another daughter and two sons, the eldest of whom died in infancy. The marriage was dissolved in 2008, and in the same year he married Lily Mahtani — her father, Narinder Sahni, has been a top executive with the Hinduja Group.

The Duke is succeeded to the Marlborough titles by his eldest son James, Marquess of Blandford, who was born in 1955.

The 11th Duke of Marlborough, born April 13 1926, died October 16 2014

The Volunteer

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The Volunteer est un film britannique réalisé par Michael Powell et Emeric Pressburger, sorti en 1944. L'engagement de l'habilleur d'un acteur de théâtre britannique, qui devient un héros et reçoit la Distinguished Service Medal au Palais de Buckingham.

 

The Volunteer de Michael Powell et Emeric PressburgerThe Volunteer de Michael Powell et Emeric Pressburger

The Volunteer de Michael Powell et Emeric Pressburger

Fiche technique

  • Titre original : The Volunteer
  • Réalisation : Michael Powell et Emeric Pressburger
  • Scénario : Michael Powell et Emeric Pressburger
  • Direction artistique : Alfred Junge
  • Photographie : Freddy Ford
  • Son : Desmond Dew
  • Montage : Michael C. Chorlton
  • Musique : Allan Gray
  • Production : Michael Powell et Emeric Pressburger
  • Sociétés de production : Archers Film Productions, Ministère de l'Information
  • Pays d’origine : Royaume-Uni
  • Langue originale : anglais
  • Format : noir et blanc — 35 mm — 1,37:1 — son Mono
  • Genre : Film de propagande
  • Durée : 45 minutes
  • Dates de sortie : Royaume-Uni : 10 janvier 1944

Distribution

  • Pat McGrath : Fred Davey
  • Michael Powell : Photographe près de Buckingham Palace

et dans leurs propres rôles

  • Ralph Richardson
  • Anna Neagle
  • Laurence Olivier
  • Herbert Wilcox
  • Tommy Woodrooffe
  • Anthony Asquith

Le Narcisse noir

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Le Narcisse noir (Black Narcissus) est un film britannique réalisé par Michael Powell et Emeric Pressburger, sorti en 1947, adapté d'un roman de 1939 de l'Anglaise Rumer Godden. Cinq sœurs anglicanes sont envoyées dans le palais himalayen de Mopu, cadeau d'un général indien, pour y établir un couvent, un dispensaire et une école. Ancien harem du général, situé sur un rocher venteux et escarpé, le palais trouble l'esprit des nonnes.

Le Narcisse noir de Michael Powell et Emeric PressburgerLe Narcisse noir de Michael Powell et Emeric PressburgerLe Narcisse noir de Michael Powell et Emeric Pressburger

Le Narcisse noir de Michael Powell et Emeric Pressburger

Fiche technique

  • Titre original : Black Narcissus
  • Titre français : Le Narcisse noir
  • Réalisation : Michael Powell et Emeric Pressburger
  • Scénario : Michael Powell et Emeric Pressburger, d'après le roman "Le Narcisse noir" de Rumer Godden
  • Direction artistique : Alfred Junge
  • Costumes : Hein Heckroth
  • Photographie : Jack Cardiff, assisté de Christopher Challis et Edward Scaife (cadreurs, non-crédités)
  • Son : Stanley Lambourne
  • Musique : Brian Easdale
  • Montage : Reginald Mills
  • Production : Michael Powell et Emeric Pressburger
  • Sociétés de production : The Archers et Independent Producers
  • Société de distribution : General Film Distributors
  • Pays d'origine : : Royaume-Uni
  • Langue originale : anglais
  • Format : Couleurs (Technicolor) - 35 mm — 1,37:1 - son Mono (Western Electric Recording)
  • Durée : 100 minutes
  • Dates de sortie : Royaume-Uni : 24 avril 1947, France : 20 juillet 1949

Distribution

  • Deborah Kerr : Sœur Clodagh (VF : sœur Clotilde)
  • David Farrar : Mr. Dean
  • Kathleen Byron : Sœur Ruth (VF : sœur Rose)
  • Jean Simmons : Kanchi
  • Sabu : le jeune général
  • Judith Furse : Sœur Briony
  • Flora Robson : Sœur Philippa
  • Jenny Laird : Sœur Miel (VF : Sœur Mélanie)
  • Esmond Knight : le général
  • May Hallatt : Angu Ayah
  • Shaun Noble : Con, l'ex-fiancé de Clodagh
  • Eddie Whaley Jr : Joseph Anthony, le jeune interprète
  • Nancy Roberts : Mère Dorothée
  • Ley On : Phuba, le valet de Dean

Pressburger Emeric

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Emeric Pressburger est un réalisateur, scénariste et producteur hongro-britannique né le 5 décembre 1902 et mort le 5 février 1988. Il est connu pour sa collaboration avec Michael Powell.

Pressburger Emeric

Emeric Pressburger, né Imre József Pressburger, est né à Miskolc en Hongrie dans une famille juive hongroise. Après des études aux universités de Prague et de Stuttgart, il débute une carrière de journaliste en Hongrie et en Allemagne. À la fin des années 1920, il devient scénariste pour l'UFA à Berlin. La montée en puissance des Nazis le pousse à l'exil à Paris, où il continue ses activités de scénariste, puis à Londres. Il dira plus tard : « Les pires choses qui me soient arrivées étaient les conséquences politiques d'événements au-delà de mon contrôle... les meilleures étaient exactement les mêmes »

Il rencontre au Royaume-Uni une petite communauté de cinéastes hongrois ayant fui le nazisme, comme l'influent Alexander Korda, propriétaire de London Films, qui l'engage comme scénariste. Il fait par la suite la connaissance de Michael Powell, avec qui il travaille sur L'Espion noir (1939). La collaboration Powell-Pressburger réalisera les films parmi les plus aboutis du cinéma britannique de cette période.

En 1938, il épouse Agí Donáth, de qui il divorcera en 1941. Il se remarie en 1947 avec Wendy Orme, avec qui il aura un enfant, Angela. Pressburger et Orme divorcent en 1971. Les deux fils d'Angela se sont fait une place de choix dans le cinéma : Andrew Macdonald est le producteur de films comme Trainspotting (1996), et Kevin Macdonald, réalisateur du Dernier Roi d'Écosse (2006), a gagné l'Oscar du meilleur film documentaire pour Un jour en septembre en 1999. Emeric Pressburger devient citoyen britannique en 1946. Il devient membre de la BAFTA en 1981 et du British Film Institute en 1983. Pressburger passe la fin de sa vie à Saxstead, dans le comté anglais de Suffolk, où il meurt d'une pneumonie le 5 février 1988, à l'âge de 85 ans.

Filmographie

Comme réalisateur

Korda Alexander

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Sir Alexander Korda, plus connu en France sous le nom d'Alexandre Korda, est un réalisateur et producteur hongrois naturalisé britannique, né le 16 septembre 1893 à Pusztatúrpásztó (Autriche-Hongrie) et mort le 23 janvier 1956 à Londres (Angleterre).

Korda Alexander

Fondateur de la société de production London Films, il est l'un des principaux artisans de l'industrie du film britannique. De son vrai nom Kellner Sándor László, Alexander Korda naît dans une famille juive de la Grande Plaine hongroise (comté de Jász-Nagykun-Szolnok). C'est une devise latine de son école de commerce de Budapest, « Sursum corda ! », qui lui donne l'idée pour son nom. Il travaille d'abord comme journaliste et devient l'envoyé spécial à Paris de Független Magyarország (« La Hongrie Indépendante ») avant de se consacrer au cinéma comme critique et théoricien.

Lorsqu'il quitte son pays natal en 1919, il a déjà 25 films à son actif en tant que réalisateur. Il travaille successivement à Vienne, Berlin, Paris (où il porte à l'écran le succès théâtral de Marcel Pagnol Marius) et Hollywood, où il entre chez United Artists. Cependant, c'est au Royaume-Uni qu'il connaît ses plus grands succès. Il finit par s'y installer avec ses frères Zoltan et Vincent Korda et, en 1932, fonde London Films et les Denham Film Studios à Denham, qui deviennent finalement une partie de la Rank Organisation.

Il est un des premiers à faire un usage remarqué de la couleur dans ses films, comme dans La Vie privée d'Henry VIII (1932) et Rembrandt (1936), tous deux avec Charles Laughton, qui apparaît aussi dans I, Claudius. En 1942, Korda devint le premier réalisateur à être anobli2. Parmi ses plus grands succès en tant que producteur : Les Quatre Plumes blanches (1939), Le Voleur de Bagdad (1940) et Le Troisième Homme (1949).

Filmographie

En tant que réalisateur

  • 1914 : Orhaz a Karpatokban
  • 1914 : A Becsapott újságíró
  • 1915 : Tutyu és Totyó
  • 1915 : A Tiszti kardbojt
  • 1915 : Lyon Lea
  • 1916 : Vergödö szívek
  • 1916 : A Nevetö Szaszkia
  • 1916 : A Nagymama - également scénariste
  • 1916 : Mesék az írógépröl
  • 1916 : Mágnás Miska
  • 1916 : A Kétszívü férfi
  • 1916 : Fehér éjszakák
  • 1916 : Egymillió fontos bankó, Az
  • 1916 : Ciklámen
  • 1917 : Szent Péter esernyöje
  • 1917 : Harrison és Barrison
  • 1917 : A Gólyakalifa
  • 1917 : Faun
  • 1917 : Mágia
  • 1918 : Mary Ann
  • 1918 : Aranyember, Az
  • 1919 : Yamata
  • 1919 : Se ki, se be
  • 1919 : Fehér rózsa
  • 1919 : Ave Caesar! (film)
  • 1920 : A 111-es
  • 1920 : Prinz und Bettelknabe
  • 1922 : Herren der Meere
  • 1922 : Die Tragödie eines verschollenen Fürstensohnes
  • 1922 : Samson und Delila - également scénariste
  • 1923 : Das Unbekannte Morgen - également scénariste
  • 1924 : Jedermanns Frau
  • 1924 : Tragödie im Hause Habsburg
  • 1925 : Der Tänzer meiner Frau - également scénariste
  • 1926 : Madame ne veut pas d'enfants (Madame wünscht keine Kinder)
  • 1927 : Eine Dubarry von heute
  • 1927 : The Stolen Bride
  • 1927 : La Vie privée d'Hélène de Troie (The Private Life of Helen of Troy)
  • 1928 : The Yellow Lily
  • 1928 : Night Watch
  • 1929 : Love and the Devil
  • 1929 : Tempête (The Squall)
  • 1929 : Her Private Life
  • 1930 : Lilies of the Field
  • 1930 : Women Everywhere
  • 1930 : The Princess and the Plumber
  • 1931 : Zum goldenen Anker
  • 1931 : Rive gauche
  • 1931 : Marius
  • 1931 : Die Männer um Lucie
  • 1931 : Längtan till havet
  • 1932 : La Dame de chez Maxim's
  • 1932 : Service for Ladies
  • 1932 : Wedding Rehearsal
  • 1933 : La Vie privée d'Henry VIII (The Private Life of Henry VIII.)
  • 1933 : The Girl from Maxim's
  • 1934 : The Private Life of Don Juan
  • 1936 : Rembrandt
  • 1940 : Le Voleur de Bagdad (The Thief of Bagdad) (non crédité)
  • 1941 : Lady Hamilton (That Hamilton Woman)
  • 1945 : Le Verdict de l'amour (Vacation from Marriage, titre américain, Perfect Strangers, titre anglais)
  • 1947 : Un mari idéal (An Ideal Husband)
  • En tant que producteur[modifier | modifier le code]
  • 1923 : Das Unbekannte Morgen
  • 1924 : Tragödie im Hause Habsburg
  • 1929 : Tempête (The Squall)
  • 1932 : La Dame de chez Maxim's
  • 1932 : Service for Ladies
  • 1932 : That Night in London
  • 1932 : Wedding Rehearsal
  • 1933 : Strange Evidence
  • 1933 : Men of Tomorrow
  • 1933 : Counsel's Opinion
  • 1933 : Cash
  • 1933 : La Vie privée d'Henry VIII (The Private Life of Henry VIII.)
  • 1933 : The Girl from Maxim's
  • 1934 : Private Life of the Gannets
  • 1934 : The Rise of Catherine the Great
  • 1934 : The Private Life of Don Juan
  • 1934 : The Scarlet Pimpernel
  • 1935 : Things Are Looking Up
  • 1935 : Sanders of the River
  • 1935 : Fantôme à vendre (The Ghost Goes West)
  • 1936 : Les Mondes futurs (Things to Come)
  • 1936 : Rembrandt
  • 1936 : Men Are Not Gods
  • 1936 : The Man Who Could Work Miracles
  • 1936 : Forget Me Not
  • 1937 : I, Claudius
  • 1937 : L'Invincible Armada (Fire Over England)
  • 1937 : Dark Journey
  • 1937 : Tempête dans une tasse de thé (Storm in a Teacup)
  • 1937 : Elephant Boy
  • 1937 : Le Chevalier sans armure (Knight Without Armour)
  • 1937 : Action for Slander
  • 1937 : Return of the Scarlet Pimpernel
  • 1937 : The Squeaker
  • 1938 : Le Divorce de Lady X (The Divorce of Lady X)
  • 1938 : South Riding
  • 1938 : Alerte aux Indes (The Drum)
  • 1938 : The Challenge
  • 1938 : Prison Without Bars
  • 1939 : Armes secrètes (Q Planes)
  • 1939 : Les Quatre Plumes blanches (The Four Feathers)
  • 1939 : L'Espion noir (The Spy in Black)
  • 1939 : Mademoiselle Crésus (Over the Moon)
  • 1939 : The Lion Has Wings
  • 1940 : Vingt-et-un jours ensemble (21 Days)
  • 1940 : Conquest of the Air
  • 1940 : Le Voleur de Bagdad (The Thief of Bagdad)
  • 1941 : Lady Hamilton (That Hamilton Woman)
  • 1941 : Lydia
  • 1942 : To Be or Not to Be
  • 1942 : Le Livre de la jungle (Jungle Book)
  • 1945 : Le Verdict de l'amour (Vacation from Marriage (ou aussi Perfect Strangers))
  • 1947 : Un mari idéal (An Ideal Husband)
  • 1948 : Anna Karénine (Anna Karenina)
  • 1949 : Le Troisième Homme (The Third Man)
  • 1950 : La Renarde (Gone to Earth) (coproducteur)
  • 1955 : Richard III
  • 1955 : Les Quatre Plumes blanches (Storm Over the Nile)

 


Farrar David

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David Farrar est un acteur anglais, né à Forest Gate (en) (Newham, Grand Londres, Angleterre) le 21 août 1908, décédé en Afrique du Sud (lieu indéterminé) le 31 août 1995.

Farrar David

David Farrar participe à 49 films, entre 1937 et 1962 (année où il met un terme à sa carrière), principalement des réalisations britanniques (notamment du tandem Powell-Pressburger, dont Le Narcisse noir en 1947 qui lui offre un de ses rôles les plus connus, aux côtés de Deborah Kerr). Il apparaît également dans plusieurs films américains (ainsi, Salomon et la Reine de Saba en 1959, avec Yul Brynner et Gina Lollobrigida), ainsi que sur une coproduction franco-italienne (Les Vaincus, en 1953).

 

Filmographie

  • 1937 : Return of a Stranger (en) (non crédité) de Victor Hanbury (en)
  • 1938 : Sexton Blake and the Hooded Terror (en) de George King
  • 1938 : A Royal Divorce (en) de Jack Raymond
  • 1939 : Armes secrètes (en) (Q Planes) (non crédité) de Tim Whelan et Arthur B. Woods
  • 1941 : La Chanson du bonheur (en) (Danny Boy) d'Oswald Mitchell (en)
  • 1941 : Sheepdog of the Hills (en) de Germain Burger (en)
  • 1942 : Suspected Person de Lawrence Huntington
  • 1942 : Went the Day Well? d'Alberto Cavalcanti
  • 1943 : The Dark Tower (en) de John Harlow (en)
  • 1943 : Contre-espionnage (en) (They met in the Dark) de Karel Lamač
  • 1943 : The Night Invader (en) de Herbert Mason (en)
  • 1944 : Headline (en) de John Harlow (en)
  • 1944 : The Hundred Pound Window (en) de Brian Desmond Hurst
  • 1944 : For Those in Peril de Charles Crichton
  • 1945 : The World owes me a living (en) de Vernon Sewell
  • 1945 : Meet Sexton Blake (en) de John Harlow (en)
  • 1945 : The Echo Murders (en) de John Harlow (en)
  • 1946 : The Trojan Brothers de MacIean Rogers
  • 1946 : Lisbon Story de Paul L. Stein
  • 1947 : Le Narcisse noir (Black Narcissus) de Michael Powell et Emeric Pressburger
  • 1947 : Frieda (en) de Basil Dearden
  • 1948 : Mr. Perrin and Mr. Traill (en) de Lawrence Huntington
  • 1949 : La Mort apprivoisée (The Small Back Room) de Michael Powell et Emeric Pressburger
  • 1949 : Diamond City (en) de David MacDonald
  • 1950 : La Cage d'or (Cage of Gold) de Basil Dearden
  • 1950 : La Renarde (Gone to Earth) de Michael Powell et Emeric Pressburger
  • 1951 : The Late Edwina Black (en) de Maurice Elvey
  • 1951 : Night without Stars (en) d'Anthony Pelissier
  • 1951 : The Golden Horde de George Sherman
  • 1952 : The Wild Heart (version américaine de Gone to Earth - 1950 - pré-cité, avec scènes additionnelles de Rouben Mamoulian)
  • 1953 : Les Vaincus (I Vinti) de Michelangelo Antonioni
  • 1954 : Duel dans la jungle (en) (Duel in the Jungle) de George Marshall
  • 1954 : Le Chevalier du roi (The Black Shield of Falworth) de Rudolph Maté
  • 1954 : Voyage en Birmanie (Lilacs in the Spring) de Herbert Wilcox
  • 1955 : Le Renard des océans (The Sea Chase) de John Farrow
  • 1955 : Les Rubis du prince birman (Escape to Burma) d'Allan Dwan
  • 1955 : Les Perles sanglantes (Pearl of the South Pacific) d'Allan Dwan
  • 1956 : La Page arrachée (Lost) de Guy Green
  • 1956 : La Bataille du Rio de la Plata (The Battle of the River Plate) de Michael Powell et Emeric Pressburger
  • 1957 : Woman and the Hunter de George P. Breakston (en)
  • 1958 : L'Affaire Dreyfus (I accuse !) de José Ferrer
  • 1958 : Robin des Bois don juan (en) (The Son of Robin Hood) de George Sherman
  • 1959 : John Paul Jones, maître des mers (John Paul Jones) de John Farrow
  • 1959 : Watusi de Kurt Neumann
  • 1959 : Salomon et la Reine de Saba (Solomon and Sheba) de King Vidor
  • 1960 : L'Aguicheuse (Beat Girl) d'Edmond T. Gréville
  • 1961 : The Webster Boy de Don Chaffey
  • 1962 : La Bataille des Thermopyles (The 300 Spartans) de Rudolph Maté

 

Byron Kathleen

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Kathleen Byron est une actrice anglaise de cinéma, de télévision et de théâtre. Elle est née le 11 janvier 1921 à West Ham, Londres et morte le 18 janvier 2009 dans cette même ville.

Byron Kathleen Byron Kathleen

Filmographie

  • 1946 : Une question de vie ou de mort (A Matter of Life and Death) de Michael Powell et Emeric Pressburger : Un ange officier
  • 1947 : Le Narcisse noir (Black Narcissus) de Michael Powell et Emeric Pressburger : Sœur Ruth
  • 1953 : La Reine vierge (Young Bess) de George Sidney : Jeanne Seymour
  • 1969 : Wolfshead: The Legend of Robin Hood de John Hough
  • 1971 : Les Sévices de Dracula (Twins of Evil) de John Hough : Katy Weil
  • 1973 : Nothing But the Night de Peter Sasdy : Dr Rose
  • 1974 : The Abdication de Anthony Harvey : La reine-mère
  • 1997 : Emma, l'entremetteuse (Emma) de Douglas McGrath : Mrs. Goddard

Simmons Jean

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Jean Simmons est une actrice anglaise, née le 31 janvier 1929 à Londres (Royaume-Uni), quartier de Crouch End, district de Haringey, et morte le 22 janvier 2010 à Santa Monica (Californie).

Simmons Jean

Elle est apparue notamment dans Hamlet, Un si doux visage (1952), La Tunique (1953), Blanches colombes et vilains messieurs (1955), Elmer Gantry le charlatan, Spartacus (1960). Elle a été mariée à l'acteur Stewart Granger et au réalisateur Richard Brooks. Star adolescente, la ravissante Jean Simmons se fait remarquer dès La Route des étoiles d'Anthony Asquith, Les Grandes Espérances de David Lean, d'après Charles Dickens, et dans Le Narcisse noir de Michael Powell. Sous contrat avec le studio Rank, elle continue d'habiter une modeste banlieue londonienne avec ses parents. Choisie par Laurence Olivier pour jouer son Ophélie, elle remporte avec Hamlet le prix d'interprétation au Festival de Venise.

Jean Simmons devient l'actrice préférée des Britanniques, incarnant une forme de réserve. En 1949, la jeune star retrouve Stewart Granger (ils s'étaient déjà croisés sur le tournage de César et Cléopâtre en 1945) et ils forment le plus beau couple de l'époque dans Adam et Evelyne d'Harold French. Mais Granger est marié et ils doivent se montrer discrets un temps. La jeune première a par ailleurs pour partenaires Dirk Bogarde dans Si Paris l'avait su, film à suspense de Terence Fisher, puis Trevor Howard dans Trio (en) adaptation de et par Somerset Maugham.

Elle part pour Hollywood, où l'attend un contrat avec la 20th Century Fox, tandis que Granger, qui a quitté sa femme, est pris sous contrat par la MGM. Jean s'impose simultanément dans de luxueuses productions historiques (Androclès et le lion d'après George Bernard Shaw, La Tunique, premier film en Cinemascope, avec son compatriote Richard Burton, L'Égyptien de Curtiz d'après le roman de Mika Waltari, La Reine Vierge avec Granger, Deborah Kerr et Charles Laughton, Désirée avec Brando en Napoléon, Spartacus de Kubrick, où elle est la seule star féminine parmi Kirk Douglas, Laurence Olivier, Laughton, Tony Curtis et Peter Ustinov) et dans des drames modernes signés par Otto Preminger, George Cukor et son deuxième mari Richard Brooks. Pendant sa carrière hollywoodienne, l'actrice tourne également le western Les Grands Espaces de Wyler, le film musical Blanches colombes et vilains messieurs de Mankiewicz avec Brando et Frank Sinatra, la comédie Ailleurs l'herbe est plus verte de Stanley Donen avec Cary Grant et le thriller victorien, Des pas dans le brouillard avec Stewart Granger...

Grande séductrice de l'écran, Jean Simmons a eu également pour partenaires Mitchum, Lancaster, Newman, Gregory Peck, Dean Martin et Rock Hudson. Des rumeurs persistantes lui attribuent des aventures avec Richard Burton et Marlon Brando (le premier s'en est vanté cruellement aux dépens de Granger, et le second réserve à sa partenaire son meilleur souvenir dans ses mémoires). Alors que Granger résistait aux avances de Grace Kelly ou d'Ava Gardner, sa jeune épouse, elle, faisait face au plus courant des chantages, exercé par Darryl Zanuck, patron de la Fox. Finalement, le poing de l'acteur britannique s'écrasa sur le visage du producteur et sa carrière sombra. Jean Simmons admit plus tard avoir un sérieux problème d'alcool contracté alors (et sa prestation en 1969 dans The Happy Ending prend plus de sens encore).

Nommée à l'Oscar du meilleur second rôle féminin pour Hamlet, Simmons est ensuite ignorée par l'Académie qui ne la renomme qu'une seconde fois, tardivement, pour The Happy Ending. Elle n'obtiendra finalement qu'un Golden Globe pour sa « carrière très variée » (cf. Le blog d'Écran noir). Après les triomphes de Elmer Gantry le charlatan et de Spartacus, sa carrière cinématographique marque le pas. Ses derniers films, Divorce American Style en 1967 et Mr. Sycamore en 1975 (les deux avec Jason Robards), passent inaperçus. Le film d'horreur Dominique, réalisé par Michael Anderson en 1978, est qualifié de « sinistre » par la critique. Après cet échec, la vedette d'Un si doux visage ne revient plus au cinéma qu'à de rares occasions : Le Patchwork de la vie, auquel participent Winona Ryder et Anne Bancroft, en 1995, et Shadows in the Sun en 2009.

Jean Simmons a aussi beaucoup tourné pour la télévision. Heidi de Delbert Mann, avec Maximilian Schell et Michael Redgrave, remporte un triomphe. Elle y interprète la gouvernante. Dans The Dain Curse d'après Dashiell Hammett, elle séduit James Coburn. Au fil des téléfilms, Jean a pour partenaires Glenn Ford, Edward Asner, Jason Robards... Elle apparaît dans les séries Hawaï police d'État, Perry Mason, Arabesque, avec les vétérans Raymond Burr et Angela Lansbury, Star Trek : La Nouvelle Génération, Dans la chaleur de la nuit... Dans Hôtel, elle retrouve une vedette de la Fox, Anne Baxter, en patronne de palace. Avec Gene Kelly, Mitchum et Taylor, Simmons devient un des personnages de la saga Nord et Sud, et elle interprète la mère autoritaire de Rachel Ward dans Les oiseaux se cachent pour mourir (1983). L'année suivante, elle collabore avec Stephen Frears sur le téléfilm December Flower. Elle participe également à la série télé d'horreur Dark Shadows, créée et réalisée par Dan Curtis, dont elle partage l'affiche avec Roy Thinnes. Elle interprète encore Miss Havisham dans une nouvelle version de Les Grandes Espérances où figure Anthony Hopkins. Très active, Jean Simmons a prêté sa voix à plusieurs longs métrages d'animation : Final Fantasy : Les Créatures de l'esprit en 2001, Le Château ambulant de Miyazaki et Le Ruban de Moebius.

Filmographie

  • 1944 : Sports Day de Francis Searle : Peggy
  • 1944 : Give Us the Moon de Val Guest : Heidi
  • 1944 : Mr. Emmanuel de Harold French : Sally Cooper
  • 1945 : Kiss the Bride Goodbye de Paul L. Stein : Molly Dodd
  • 1945 : Meet Sexton Blake de John Harlow : Eva Watkins
  • 1945 : Le Chemin des étoiles (en) (The Way to the Stars) d'Anthony Asquith : Une chanteuse
  • 1945 : César et Cléopâtre (Caesar and Cleopatra) de Gabriel Pascal : Harpiste
  • 1946 : Les Grandes Espérances (Great Expectations) de David Lean : Estella, jeune
  • 1947 : Les Monts brûlés (Hungry Hill) de Brian Desmond Hurst : Lady Broderick
  • 1947 : Le Narcisse noir (Black Narcissus) de Michael Powell et Emeric Pressburger : Kanchi
  • 1947 : Oncle Silas (Uncle Silas) de Charles Frank : Caroline Ruthyn
  • 1947 : The Woman in the Hall de Jack Lee : Joy Blake
  • 1948 : Hamlet de Laurence Olivier : Ophelia, la fille de Polonius
  • 1949 : Le Lagon bleu (The Blue Lagoon) de Frank Launder : Emmeline Foster
  • 1949 : Adam et Evelyne (en) (Adam and Évelyne) de Harold French : Evelyne Wallace
  • 1950 : Si Paris l'avait su (So Long at the Fair) d'Antony Darnborough (de) et Terence Fisher : Vicky Barton
  • 1950 : Trio de Ken Annakin et Harold French : Evie Bishop (segment Sanitorium)
  • 1950 : La Cage d'or (Cage of Gold) de Basil Dearden : Judith
  • 1951 : La Fille aux papillons (The Clouded Yellow) de Ralph Thomas : Sophie Malraux
  • 1952 : Un si doux visage (Angel Face) d'Otto Preminger : Diane Tremayne Jessup
  • 1952 : Androclès et le Lion (Androcles and the Lion) de Chester Erskine et Nicholas Ray : Lavinia
  • 1953 : La Reine vierge (Young Bess) de George Sidney : La jeune Bess (Queen Elizabeth I)
  • 1953 : Retour à l'amour (Affair with a Stranger) de Roy Rowland : Carolyn Parker
  • 1953 : La Tunique (The Robe) d'Henry Koster : Diana
  • 1953 : The Actress de George Cukor : Ruth Gordon Jones
  • 1954 : Belle mais dangereuse (She Couldn't Say No) de Lloyd Bacon : Corby Lane
  • 1954 : Les Gladiateurs (Demetrius and the Gladiators) de Delmer Daves : Diana
  • 1954 : L'Égyptien (The Egyptian) de Michael Curtiz : Merit
  • 1954 : Une balle vous attend (A Bullet Is Waiting) de John Farrow : Cally Canham
  • 1954 : Désirée d'Henry Koster : Désirée Clary
  • 1955 : Des pas dans le brouillard (Footsteps in the Fog) d'Arthur Lubin : Lily Watkins
  • 1955 : Blanches colombes et vilains messieurs (Guys and Dolls) de Joseph L. Mankiewicz : Sergent Sarah Brown
  • 1956 : L'Impudique (Hilda Crane) de Philip Dunne : Hilda Crane
  • 1957 : Cette nuit ou jamais (This Could Be the Night) de Robert Wise : Anne Leeds
  • 1957 : Femmes coupables (Until They Sail) de Robert Wise : Barbara Leslie Forbes
  • 1958 : Les Grands Espaces (The Big Country) de William Wyler : Julie Maragon
  • 1958 : Retour avant la nuit (Home Before Dark) de Mervyn LeRoy : Charlotte Bronn
  • 1959 : Cette terre qui est mienne (This Earth Is Mine) d'Henry King : Elizabeth Rambeau
  • 1960 : Elmer Gantry le charlatan (Elmer Gantry) de Richard Brooks : Sœur Sharon Falconer
  • 1960 : Spartacus de Stanley Kubrick : Varinia
  • 1960 : Ailleurs l'herbe est plus verte (The Grass Is Greener) de Stanley Donen : Hattie Durant
  • 1963 : All the Way Home d'Alex Segal : Mary Follet
  • 1965 : Life at the Top de Ted Kotcheff : Susan Lampton
  • 1966 : Mister Buddwing de Delbert Mann : The Blonde / Grace #3
  • 1967 : Divorce à l'américaine (Divorce American Style) de Bud Yorkin : Nancy Downes
  • 1967 : Violence à Jericho (Rough Night in Jericho) d'Arnold Laven : Molly Lang
  • 1969 : The Happy Ending de Richard Brooks : Mary Wilson
  • 1971 : Say Hello to Yesterday d'Alvin Rakoff : Une femme
  • 1975 : Mr. Sycamore de Pancho Kohner : Estelle Benbow
  • 1979 : Dominique de Michael Anderson : Dominique Ballard
  • 1988 : Yellow Pages de James Kenelm Clarke : Maxine de la Hunt
  • 1988 : The Dawning de Robert Knights : Tante Mary
  • 1995 : Le Patchwork de la vie (How to Make an American Quilt) de Jocelyn Moorhouse : Em R
  • 2001 : Final Fantasy : les Créatures de l'esprit (Final Fantasy: The Spirits Within) de Hironobu Sakaguchi : Membre du conseil #2 (Voix)
  • 2004 : Le Château ambulant (Hauru no ugoku shiro) de Hayao Miyazaki : Grandma Sophie (Voix)
  • 2005 : Le Ruban de Moebius (Thru the Moebius Strip) de Glenn Chaika : Shepway (Voix)
  • 2008 : Shadows in the Sun de David Rocksavage : Hannah

Télévision

  • 1967 : Hallmark Hall of Fame (série télévisée) : Sarah Churchill
  • 1968 : Heidi (téléfilm) : Fräulein Rottenmeier
  • 1972 : Decisions! Decisions! (téléfilm) : Phoebe Masterson
  • 1972 : The Odd Couple (série télévisée) : Une princesse
  • 1975 : The Easter Promise (téléfilm) : Constance Payne
  • 1977 : Hawaï police d'État (Hawaii Five-O) (série télévisée) : Terri O'Brien
  • 1978 : The Dain Curse (Un privé dans la nuit) (Feuilleton TV) : Aaronia Haldorn
  • 1979 : Beggarman, Thief (téléfilm) : Gretchen Jordache Burke
  • 1981 : Golden Gate (téléfilm) : Jane Kingsley
  • 1981 : Jacqueline Susann's Valley of the Dolls (téléfilm) : Helen Lawson
  • 1981 : A Small Killing (téléfilm) : Margaret Lawrence
  • 1983 : Les oiseaux se cachent pour mourir (The Thorn Birds)(Feuilleton TV) : Fiona 'Fee' Cleary
  • 1983 : All for Love (série télévisée) : Deidre Mackay
  • 1983 et 1985 : Hôtel (série télévisée) : Milly Toland / Jessica Daniels
  • 1984 : December Flower (téléfilm) : Etta
  • 1985 : Midas Valley (téléfilm) : Molly Hammond
  • 1985 : Nord et sud (North and South) (Feuilleton TV) : Clarissa Main
  • 1986 : Nord et Sud 2 (Feuilleton TV) : Clarissa Main
  • 1987 : Perry Mason: The Case of the Lost Love (téléfilm) : Laura Kilgallen
  • 1988 : Tu récolteras la tempête (Inherit the Wind) (téléfilm) : Lucy Brady
  • 1988 : Alfred Hitchcock présente (Alfred Hitchcock presents) (série télévisée) : Margaret Lowen
  • 1988 : A Friendship in Vienna (téléfilm) : Narratrice (Voix)
  • 1989 : Great Expectations (Feuilleton TV) : Miss Havisham
  • 1989 : Arabesque (Murder She Wrote) (série télévisée) : Eudora McVeigh Shipton
  • 1990 : Dark Shadows (téléfilm) : Elizabeth Collins Stoddard
  • 1990 : American Playhouse (série télévisée) : Elinor âgée
  • 1990 : Laker Girls (téléfilm) : Connie Harrison
  • 1990 : People Like Us (téléfilm) : Peach Prindible Bailey
  • 1991 : They Do It with Mirrors (téléfilm) : Carrie-Louise Serrocold
  • 1991 : La Malédiction de Collinwood (Dark Shadows) (série télévisée) : Elizabeth Collins Stoddard
  • 1991 : Great Expectations (série télévisée) : Miss Havisham
  • 1993 : Angel Falls (série télévisée) : Irene Larson
  • 1994 : One More Mountain (téléfilm) : Sarah Keyes
  • 1994 : Dans la chaleur de la nuit (série télévisée) : Cordelia Woodlin
  • 1995 : Daisies in December (téléfilm) : Katherine Palmer
  • 1998 : Mysteries of the Bible III (série télévisée) : Narratrice
  • 1998 : Pour que triomphe la vie (Her Own Rules) (téléfilm) : Katherine Stratton
  • 2000 : American Masters (série télévisée) : Narratrice
  • 2003 : Winter Solstice (téléfilm) : Lucinda Rhives

Furse Judith

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Judith Furse est une actrice anglaise née le 4 mars 1912 à Camberley et morte le 29 août 1974 dans la même ville.

Furse Judith Furse Judith

Elle passe sa scolarité à l'école Saint Paul et étudie le théâtre à l'école Old Vic au début des années 30. Elle est célèbre notamment pour le rôle de Sœur Briony dans Le Narcisse noir (1947).

 

Filmographie

  • 1939 : Au revoir Mr. Chips (Goodbye, Mr. Chips), de Sam Wood
  • 1947 : Le Narcisse noir (Black Narcissus), de Michael Powell et Emeric Pressburger
  • 1949 : The Romantic Age d'Edmond T. Gréville
  • 1951 : L'Homme au complet blanc (The Man in the White Suit), d'Alexander Mackendrick
  • 1953 : Le Fond du problème (The Heart of the Matter), de George More O'Ferrall
  • 1957 : Blue Murder at St Trinian's, de Frank Launder
  • 1959 : Serious Charge, de Terence Young
  • 1961 : Carry On Regardless
  • 1964 : Agent Secret 0.0.0.H! contre Dr. Crow (Carry On Spying), de Gerald Thomas

Robson Flora

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Dame Flora McKenzie Robson est une actrice anglaise, née le 28 mars 1902 à South Shields (Royaume-Uni), décédée le 7 juillet 1984 à Brighton (Royaume-Uni).

Robson Flora

Née à South Shields, anglaise d'ascendance écossaise1, beaucoup de ses ancêtres étaient des ingénieurs, surtout dans la navigation. Son père, qui eut une influence majeure dans sa vie, était ingénieur naval, avant de se mettre en retraite et se déplacer de South Shields à Welwyn Garden City. Elle est issue d'une grande famille, avec deux frères, John et David et quatre sœurs Eliza (Lila), Margaret (Darge), Helen (Nellie) et Shela. Flora, Lila et Darge sont restées célibataires. Très tôt, son père découvre que Flora a des talents dans la récitation, et à l'âge de 6 ans elle a débuté les concours de récitations. 

Elle grandit avec l'habitude de gagner et était très dépitée lorsqu'elle perdait. Elle fait ses études à la Palmers Green High School au nord de Londres. Elle a joué jusqu'à l'âge de 80 ans, avec notamment une participation dans la super-production A Tale of Two Cities (dans le rôle de Miss Pross) pour la télévision américaine. Elle apparaitra aussi à la télévision britannique. Elle jouera des pièces dans le West End telles que Ring Round the Moon, L'Importance d'être Constant et Les Trois Sœurs.

Robson fait ses débuts en 1921, à l'âge de 19 ans. De grande taille (1,78 m), mais n'ayant pas de côté glamour pour les rôles féminins principaux (avec un grand front, une grande bouche et un nez imposant), elle se spécialise dans des rôles de personnalité, notamment celle de la reine Elizabeth I dans L'Invincible Armada (1937) et L'Aigle des mers (1940). À l'âge de 32 ans, Robson joue l'impératrice Elizabeth dans le film d'Alexander Korda The Rise of Catherine the Great (1934).

Elle est nommée dans la catégorie oscar de la meilleure actrice dans un second rôle à la cérémonie des Oscars pour son rôle d'Angelique Buiton dans L'Intrigante de Saratoga (1945). Après la guerre, elle apparaît dans Holiday Camp (1947), Le Narcisse noir (1947), Goodtime Girl (1948), Frieda (1947) et enfin dans Dead Lovers (1948). Ses rôles de «méchantes» se limitent à la dame de cœur dans le film de 1972 Alice au pays des merveilles, Livia dans I, Claudius (1937), Ftatateeta dans César et Cléopâtre (1945), et Miss Milcrist dans Meurtre au galop (1963).

Filmographie

  • 1931 : A Gentleman of Paris
  • 1932 : Dance Pretty Lady : Mrs. Raeburn
  • 1933 : One Precious Year : Julia Skene
  • 1934 : The Rise of Catherine the Great : Empress Elisabeth
  • 1936 : Anna Christie (téléfilm) : Anna Christopherson
  • 1937 : I, Claudius, de Joseph von Sternberg : Livia
  • 1937 : L'Invincible Armada (Fire Over England), de William K. Howard : Queen Elizabeth I of England
  • 1937 : Farewell Again : Lucy Blair
  • 1939 : Les Hauts de Hurlevent (Wuthering Heights), de William Wyler : Ellen
  • 1939 : Smith, de Michael Powell : Mary Smith
  • 1939 : We Are Not Alone (en) d'Edmund Goulding :Jessica Newcome
  • 1939 : Invisible Stripes : Mrs. Taylor
  • 1940 : Poison Pen : Mary Rider
  • 1940 : L'Aigle des mers (The Sea Hawk), de Michael Curtiz : Queen Elizabeth I
  • 1941 : Bahama Passage : Mrs. Ainsworth
  • 1944 : Deux mille femmes (2,000 Women) : Miss Manningford
  • 1945 : Great Day : Mrs. Liz Ellis
  • 1945 : L'Intrigante de Saratoga (Saratoga Trunk), de Sam Wood : Angelique Buiton
  • 1945 : César et Cléopâtre (Caesar and Cleopatra), de Gabriel Pascal : Ftatateeta
  • 1946 : The Years Between : Nanny
  • 1947 : Le Narcisse noir (Black Narcissus), de Michael Powell et Emeric Pressburger : Sister Philippa
  • 1947 : Frieda : Nell Dawson
  • 1947 : Holiday Camp : Esther Harman
  • 1948 : Les Ailes brulées (Good Time Girl) : Chairman of the Juvenile Court
  • 1948 : Saraband for Dead Lovers : Countess Clara Platen
  • 1952 : The Tall Headlines : Mary Rackham
  • 1953 : Tonnerre sur Malte (Malta Story) : Melita Gonzar, Maria's Mum
  • 1954 : Roméo et Juliette (Romeo and Juliet), de Renato Castellani : Nurse
  • 1955 : Romeo and Juliette (téléfilm) : Nurse
  • 1957 : High Tide at Noon : Donna MacKenzie
  • 1957 : No Time for Tears : Sister Birch
  • 1958 : The Gypsy and the Gentleman : Mrs. Haggard
  • 1958 : Innocent Sinners : Olivia Chesney
  • 1963 : Les 55 Jours de Pékin (55 Days at Peking), de Nicholas Ray : Dowager Empress Tzu-Hsi
  • 1963 : Meurtre au galop (Murder at the Gallop), de George Pollock : Miss Milchrest
  • 1964 : Les Canons de Batasi (Guns at Batasi), de John Guillermin : Miss Baker Wise, M.P.
  • 1965 : A King's Story : Queen Mary
  • 1965 : Le Jeune Cassidy (Young Cassidy), de Jack Cardiff et John Ford : Mrs. Cassidy
  • 1965 : Ces merveilleux fous volants dans leurs drôles de machines (Those Magnificent Men in Their Flying Machines or How I Flew from London to Paris in 25 hours 11 minutes), de Ken Annakin : Mère Supérieure
  • 1966 : Frontière chinoise (7 Women), de John Ford : Miss Binns, Head of British Mission
  • 1966 : David Copperfield (série télévisée) : Betsey Trotwood
  • 1967 : L'Œil du Malin (Eye of the Devil), de J. Lee Thompson : Comtesse Estell
  • 1967 : La Malédiction des Whateley (The Shuttered Room) : Aunt Agatha
  • 1967 : Cry in the Wind
  • 1970 : The Beloved : Antigone
  • 1970 : The Beast in the Cellar : Joyce Ballantyne
  • 1970 : Fragment of Fear : Lucy Dawson
  • 1971 : La Grande scrofa nera
  • 1972 : Alice au pays des merveilles, de William Sterling : La Reine de cœur
  • 1974 : Le Fantôme de Canterville (The Canterville Ghost) (téléfilm) : Madame Ummey
  • 1974 : Heidi (téléfilm) : Grandmother
  • 1978 : Les Misérables (téléfilm) : The Prioress
  • 1979 : Dominique, de Michael Anderson : Mrs. Davis
  • 1979 : Oresteia (feuilleton TV) : Kilissa
  • 1979 : Un homme nommé Intrépide ("A Man Called Intrepid") (feuilleton TV) : Sister Luke
  • 1980 : Gauguin the Savage (téléfilm) : Sister Allandre
  • 1980 : A Tale of Two Cities (téléfilm) : Miss Pross
  • 1981 : Le Choc des Titans (Clash of the Titans), de Desmond Davis : Stygian Witch
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