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Ōtaka Yoshiko

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Yoshiko Ōtaka (ou en mandarin Li Xianglan et en anglais Shirley Yamaguchi) est une chanteuse et actrice japonaise née le 12 février 1920, et morte le 7 septembre 2014 (à 94 ans) à Tokyo, au Japon.

Ōtaka Yoshiko

Elle a acquis une grande notoriété en Chine pendant l'occupation japonaise sous le pseudonyme de Li Xianglan. Sous cette identité chinoise, elle tourna ainsi quelques films de propagande sympathiques à l'occupant comme Shina no yoru (Les nuits de Chine), dans lequel elle joue le rôle d'une jeune chinoise qui finit par tomber amoureuse d'un Japonais.

 

Filmographie

  • 1938 : Mi yue kuai che : la mariée
  • 1939 : Byakuran no uta : Li Xue Xiang
  • 1940 : Toyuki : Liqin, typist
  • 1940 : Shina no yoru : une orpheline chinoise
  • 1940 : Enoken no songokû: songokû zenko-hen : une femme orientale
  • 1940 : Nessa no chikai : Li Fangmei
  • 1941 : Tie xie hui xin
  • 1941 : Kimi to boku
  • 1941 : Soshu no yoru
  • 1942 : Wan shi liu fang
  • 1942 : Ying chun hua
  • 1943 : Tatakai no machi
  • 1943 : Sayon no kane : Sayon
  • 1943 : Chikai no gassho
  • 1944 : Watashi no uguisu
  • 1944 : Yasen gungakutai : Ai Ran
  • 1944 : Noroshi wa Shanghai ni agaru : Yu Ying
  • 1948 : Jonetsu no ningyo : Yoshiko Yomaguchi
  • 1948 : Koun no isu
  • 1948 : Waga shogai no kagayakeru hi
  • 1949 : Ningen moyo
  • 1949 : Kikoku (Damoi)
  • 1950 : Akatsuki no dasso : Harumi
  • 1950 : Scandale (Shubun) d'Akira Kurosawa : Miyako Saijo
  • 1952 : Japanese War Bride : Tae Shimizu
  • 1952 : Muteki
  • 1952 : Sengoku burai : Oryo
  • 1952 : Shanhai no onna : Li Lili (chanteuse)
  • 1952 : Fuun senryobune
  • 1953 : Hoyo : Yukiko Nogami
  • 1955 : Jin ping mei : Pan Jinlian
  • 1955 : La Maison de bambou (House of Bamboo) de Samuel Fuller : Mariko
  • 1956 : Navy Wife : Akashi
  • 1956 : Byaku fujin no yoren : Madam White
  • 1957 : Shen mi mei ren
  • 1958 : Ankōru Watto monogatari utsukushiki aishu
  • 1958 : Tokyo no kyujitsu : May Kawaguchi
  • 1958 : Yi ye feng liu : Ge Qiuxia

Olivero Magda

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Magda Olivero née le 25 mars 1910 à Saluzzo dans le Piémont, et morte le 8 septembre 2014 à Milan, est une cantatrice (soprano) italienne.

 

Olivero Magda

Considérée comme l'une des grandes chanteuses lyriques du xxe siècle, elle est particulièrement associée au répertoire vériste italien. Magda Olivero étudie à Turin le piano et le chant avec Luigi Gerussi, et y débute en 1933, dans le rôle de Lauretta de Gianni Schicchi. La même année, elle débute à la Scala de Milan, où elle chante Gilda, Nanetta, Mimi, Butterfly. En 1937, elle aborde à l'Opéra de Rome le rôle d'Elsa dans Lohengrin, puis ajoute à son répertoire ceux de Violetta, Manon et Liù, tout en créant des œuvres contemporaines de compositeurs tels Franco Alfano et Felice Lattuada. En 1940, elle chante Adriana Lecouvreur de Francesco Cilea, qui devient son rôle-fétiche2, se marie et abandonne la scène.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle donne des concerts, puis revient à la scène en 1951 avec Adriana à la demande de Cilea lui-même, la jugeant irremplaçable dans ce rôle. Elle entreprend alors une seconde carrière qui durera plus de trente ans. Elle chante Margherita de Mefistofele, ainsi que Santuzza, Nedda, Tosca, Giorgetta, Suor Angelica, Fedora et Francesca da Rimini. Elle paraît à Paris, Bruxelles, Amsterdam, Londres, Édimbourg, etc., et débute au Metropolitan Opera de New York en 1975, âgée de 65 ans, dans le rôle de Tosca.

La carrière de Olivero demeure un cas particulier pour sa longévité. Elle sut préserver durant 50 ans toute l'intégrité de sa voix grâce à une émission vocale exceptionnelle et au choix rigoureux d'un répertoire fondé principalement sur le répertoire puccinien et la Jeune école italienne, avec quelques Verdi et quelques rôles français, notamment Manon. Sa longévité lui permit de chanter d'abord aux côtés d'Aureliano Pertile ou de Carlo Galeffi, puis plusieurs dizaines d'années plus tard auprès d'Alfredo Kraus et Luciano Pavarotti, et de parrainer les débuts de jeunes chanteurs nés après la Seconde Guerre mondiale. Elle demeure, avec Maria Callas et Leyla Gencer, l'une des grandes interprètes de l'opéra italien de l'après-guerre. Callas elle-même évita d'aborder des rôles tels qu'Adriana Lecouvreur ou Francesca da Rimini où l'art de Olivero passait pour ne pouvoir être approché.

 

Wilson Sandy

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Alexander Galbraith Wilson, plus connu sous le nom de Sandy Wilson, est un auteur-compositeur britannique, né le 19 mai 1924 à Sale et mort le 27 août 2014 à Taunton dans le Somerset. Sa comédie musicale The Boy Friend lui apporte une renommée internationale durant les années 1950.

Wilson Sandy

Alexander Galbraith Wilson naît en 1924 à Sale, une ville du comté métropolitain du Grand Manchester. Son père, écossais et Presbytérien, redoute l'influence des divertissements populaires, comme le théâtre et le cinéma. L'enfant assiste à une représentation de La Tempête de William Shakespeare et décide qu'il fera du théâtre son métier. Il est scolarisé dans une école préparatoire, l'Elstree School. Une bourse d'étude lui est attribuée afin de poursuivre ses études à Harrow School, où il monte une version musicale de la comédie Les Oiseaux du poète grec Aristophane. Il prend des leçons de piano et étudie les œuvres de compositeurs tels Cole Porter et George Gershwin. Durant la Seconde Guerre mondiale, il est employé de bureau aux magasins militaires. À la fin du conflit, il entre à l'Oriel College de l'université d'Oxford, où il obtient un bachelor's degree en littérature anglaise. Wilson joue dans des spectacles étudiants aux côtés de futurs artistes, comme Donald Swann et Michael Croft. Il passe une année à l'Old Vic Theatre School, où il suit un cours consacré à la production théâtrale.

En 1948, Sandy Wilson écrit pour la revue Slings and Arrows d'Hermione Gingold, avec laquelle il se lie d'amitié. En 1950, il collabore avec le compositeur Geoffrey Wright en écrivant les paroles de la comédie musicale Caprice. Sa réputation d'auteur-compositeur grandit au cours des années 1950. Il écrit la comédie musicale The Boy Friend, qui parodie les spectacles des « Roaring Twenties », après avoir reçu une commande du Players' Theatre . En 1954, la comédie musicale est montée au Wyndham's Theatre, dans le West End londonien. Les actrices Anne Rogers et Joan Sterndale-Bennett (en) font partie de la distribution. The Boy Friend est jouée plus de 2 000 fois à Londres, où elle reste à l'affiche plus de cinq ans. 485 représentations sont données à Broadway. Julie Andrews y effectue ses débuts. Les chansons du spectacle, notamment I Could Be Happy With You et A Room in Bloomsbury, deviennent des « standards ». En 1971, la comédie musicale est adaptée à l'écran par Ken Russell.

Aucune de ses autres comédies musicales ne peut égaler le succès de The Boy Friend. The Buccaneer, dont l'action se déroule dans le milieu de la presse, est créée dans un petit théâtre londonien en septembre 1953. Elle est montée en 1956 au Lyric Hammersmith, avec Kenneth Williams dans le rôle principal, et atteint les 200 représentations. Valmouth, qui met en vedette Bertice Reading et Fenella Fielding, est adaptée du roman de Ronald Firbank. Elle est jouée à seulement 186 reprises dans le West End en 1958. En 1960, elle ne rencontre pas le succès à New York. Elle est pourtant louée par les critiques, qui la considèrent comme l'une des comédies musicales britanniques les plus originales du xxe siècle1. Sandy Wilson donne une suite à The Boy Friend en 1964, avec la comédie musicale Divorce Me, Darling!, dont l'action se déroule une décennie plus tard. Elle n'est jouée que 70 fois dans le West End avant d'être retirée de l'affiche.

Le compositeur se produit en 1971 dans un one-man-show, intitulé Sandy Wilson Thanks the Ladies. Au cours des années 1970, il adapte pour la scène le roman His Monkey Wife de John H. N. Collier. The Clapham Wonder est l'adaptation de The Vet's Daughter, une nouvelle de Barbara Comyns Carr. En 1979, sa comédie musicale Aladdin est créée sans grand succès au Lyric Hammersmith. Sandy Wilson compose des musiques pour la télévision, notamment pour la série de la BBC The World of Wooster, adaptation de l'œuvre de P.G. Wodehouse. Il écrit son autobiographie, I Could Be Happy, qui paraît en 1975. Wilson est également l'auteur d'une biographie d'Ivor Novello.

Redpath Jean

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Jean Redpath MBE (28 April 1937 – 21 August 2014) was a Scottish folk singer, educator and musician.

Redpath Jean

Redpath was born in Edinburgh to musical parents. Her mother knew many Scots songs and passed them on to Jean and her brother; her father played the hammered dulcimer. She was raised in Leven, Fife, Scotland, and later returned to Edinburgh, taking medieval studies at the university. To help pay her way through her studies, she worked as a driving instructor and undertaker's assistant.

The Scottish poet and folk-song collector Hamish Henderson was working in the School of Scottish Studies at the university and Redpath took a keen interest in the archive of tapes and discs of music and songs. She learned about 400 songs, together with the oral folklore that went with them. In March 1961, at the age of 24, she went to the United States. Her first performance was in San Francisco. Later she met up with Ramblin' Jack Elliott and Bob Dylan in Greenwich Village. The natural warmth and power of her voice brought her to perform at Gerde's Folk City. In 1963, following a concert performance, she signed up with Elektra Records. In 1975 she switched to the Philo label. From 1972 to 1976 Jean was artist-in-residence at Wesleyan University in Middletown, Connecticut. She lectured in folklore and gave talks in schools.

In 1976 Redpath embarked on a project to record all the songs of Robert Burns, some being folk songs, some Burns's own compositions, and most a mixture of the two. Twenty-two volumes were planned, but when her collaborator, the composer Serge Hovey, died after seven volumes, the project came to a premature end. Hovey had done the instrumental arrangements for 323 songs, and Redpath felt no other musician could replace him. The albums won critical praise from around the world. In 1986 she recorded Lady Nairne, a collection of songs written by Scottish women. Redpath sensitively reconstructed songs that might otherwise have been lost. Between 1974 and 1987, Redpath appeared regularly on Garrison Keillor's "A Prairie Home Companion" APM radio show. She also appeared on Robert J. Lurtsema's "Morning pro musica" broadcast from WGBH in Boston.

Redpath toured throughout the U.S. and Canada, played venues in South America, Hong Kong, and Australia, including the Sydney Opera House, and performed often at the Edinburgh Folk Festival. In 1977, Royal Jubilee Year, Redpath appeared at a royal banquet at Edinburgh Castle for Queen Elizabeth II. Starting in 1979, Redpath was a lecturer at the University of Stirling, Scotland, with occasional trips to teach at Wesleyan University. She gave courses for ten years in Scottish Song at the Heritage of Scotland Summer School at the University of Stirling.

She was awarded the MBE, as well as being named a Kentucky colonel by the Governor of Kentucky. A portrait of Redpath by Alexander Fraser hangs in the Scottish National Portrait Gallery in Edinburgh. In 1996 she launched the Burns International Festival. In 2009, Redpath made an appearance on the Late Show with David Letterman, singing "Some Kind of Love" by the late John Stewart of the Kingston Trio. Letterman promoted her album By Request during her appearance, although the song "Some Kind of Love" does not appear on that album. This led to some confusion for viewers who wished to obtain a recorded version of the song. Redpath died from cancer on 21 August 2014 at a hospice in Arizona.

Discography

  • Skipping Barefoot Through the Heather (1962)
  • Scottish Ballad Book (1962)
  • Laddie Lie Near Me (1963)
  • Lilt and Laughter (1963)
  • Frae My Ain Countrie (1973)
  • Jean Redpath (1975)
  • Songs of Robert Burns vol 1 (1976)
  • Song of the Seals (1978)
  • Father Adam (1979)
  • Lowlands (1980)
  • Songs of Robert Burns vol 2 (1980)
  • Songs of Robert Burns vol 3 (1981)
  • Songs of Robert Burns vol 4 (1981)
  • Haydn: Scottish Songs (1984)
  • Songs of Robert Burns vol 5 (1985)
  • The Scottish Fiddle (1985)
  • Lady Nairne (1986)
  • A Fine Song For Singing (1987)
  • Songs of Robert Burns vol 6 (1987)
  • First Flight (1989)
  • Songs of Robert Burns vol 7 (1990)
  • Leaving the Land (1990)
  • The Moon's Silver Cradle (1996)

Bulger James J.

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James J. Bulger (né le 3 septembre 1929 à Dorchester, Massachusetts) est un fugitif et le chef présumé du "Winter Hill Gang", une organisation criminelle irlando-américaine basée à Boston, Massachusetts. Il est le frère aîné de William Michael Bulger, ancien président du Sénat du Massachusetts et de l'Université du Massachusetts.

Bulger James J.

Le 19 août 1999, James J. Bulger a été ajouté à la liste des dix fugitifs les plus recherchés du FBI. Il était recherché pour vol, meurtre, conspiration à commettre un meurtre, extorsion, conspiration à commettre une extorsion, blanchiment d'argent, conspiration à commettre un blanchiment d'argent et pour trafic de stupéfiants avant d'être arrêté dans son appartement de Santa Monica en Californie avec sa compagne, Catherine Greig, le 22 juin 2011. Il avait 81 ans le jour de son arrestation et semblait en mauvaise santé. Comme des milliers d'immigrants irlandais qui ont navigué à travers l'Atlantique, James Joseph Bulger Senior a quitté l'ouest de l'Irlande dans les années 1900. Il fait le voyage à Boston, où il a rencontré et épousé une Irlandaise du nom de Jean McCarthy. Leur premier enfant, James Junior est né en 1929.

James Bulger Senior était ouvrier. Il a perdu son bras à cause d'un accident de travail dans les années 1920. James Bulger Junior et ses frères et sœurs ont donc grandi dans la pauvreté. James Bulger a été arrêté une première fois en 1943, à l'âge de 14 ans, pour vol. Il est ensuite arrêté pour coups et blessures et vol à main armée. À cette époque, il était associé à un gang de rue pour mineurs connu sous le nom de Shamrocks. Entre 1943 et 1947, Bulger a été arrêté pour vol, coups et blessures, et vol à main armée. Pour tous ces crimes, il a été envoyé dans une maison de redressement pour mineurs à partir de 1943 jusqu'en 1948.

Peu de temps après sa sortie en avril 1948, il rejoint l'Armée de l'Air. Après avoir terminé une formation de base, il a été affecté à la Smoky Hill Air Force Base, à Salina, au Kansas, et plus tard dans l'Idaho. En 1950, il a été arrêté pour absence sans permission. Le 16 août 1952, il a été libéré et il retourna dans le Massachusetts. De retour à Boston, Bulger a vite repris ses activités criminelles. En 1952, il a été impliqué dans le détournement d'un camion. En 1955, il rejoint une bande qui braque une série de banques dans le Rhode Island et de l'Indiana. En janvier 1956, un mandat fédéral est délivré pour son arrestation. Bulger est arrêté en mars 1956 et condamné à 25 ans de prison en juin de cette année-là.

Bulger a d'abord été sous la responsabilité fédérale du pénitencier d'Atlanta (1956-1959). Là, selon Kevin Weeks, il a été impliqué dans le programme MKULTRA, dont le but était la recherche des médicaments de contrôle mental, dirigée par le chimiste Sidney Gottlieb. Pour dix-huit mois, Bulger et dix-huit autres détenus qui s'étaient portés volontaires pour diminuer leurs peines ont été drogués au LSD et autres. À la suite des expériences, Bulger aurait souffert d'insomnie et des cauchemars fréquents. Il a ensuite été transféré d'Atlanta à l'île d'Alcatraz le 2 novembre 1959. Il est devenu un ami proche de son compatriote détenu Clarence Carnes, alias "The Kid Choctaw." En novembre 1962, il est transféré au pénitencier fédéral de Leavenworth (1962-1963), et l'année suivante à Lewisburg (1963-1965). Il est libéré après avoir purgé neuf ans de prison. À sa sortie, il s'est constitué un véritable réseau du mal.

Après sa libération, Bulger travaille comme concierge avant de devenir un des tueurs de Donald Killeen, le patron de la famille mafieuse dominante dans le sud de Boston. Une guerre des gangs sanglante débute, conduisant à une série de meurtres à travers Boston et sa banlieue environnante. Le 13 mai 1972, Donald Killeen est assassiné. Ce qui met fin aux conflits. Un accord est trouvé entre le clan Mulleen et James J. Bulger, sous la médiation de Howie Winter. À partir de ce moment commence le règne du Gang Winter Hill qui prend le contrôle de "Bean Town" (la ville des fèves). À l'arrestation de "Howie" en 1979, Bulger prend le contrôle du gang. Bulger aurait joué un rôle important dans la victoire du gang "Winter Hill", et dans l'élévation du taux de la criminalité dans les quartiers irlando-américain de Boston. Il devient le caïd le plus redouté de Boston. Il est soupçonné d'avoir eu une implication directe dans l'assassinat d'Eddie Connors et Buddy Leonard en novembre 1975 et aurait tué au total 19 personnes.

Après la fin de la guerre des Gangs, Bulger aurait commencé à utiliser son influence pour supprimer toute opposition en persuadant Howie Winter de sanctionner les meurtres de ceux qu'il considérait comme ayant "franchi la ligne" (Spike O'Toole, Paulie McGonagle, et Tommy King, ...). En 1974, il commence à collaborer avec le FBI, servant d'informateur pour faire tomber les gangs rivaux et surtout infiltrant à son tour la police bostonienne. En décembre 1994, alors qu'il est sur le point d'être arrêté par le FBI, il parvient à prendre la fuite, informé par un agent à la retraite, John Connolly, qui sera condamné à 10 ans de prison en 2002 pour sa participation à la fuite du malfrat. Pendant seize ans, ce dernier échappera aux agents lancés à ses trousses.

Le 22 juin 2011, Bulger est arrêté dans une résidence de Santa Monica en Californie après 16 années de fuite en compagnie de Catherine Creig, sa compagne de longue date. Selon le Boston Herald, il a été arrêté avec plus de 800 000 $ (560 000 €) en liquide et 30 armes à feu5. Il est accusé d'avoir tué 19 hommes ou femmes. La récompense pour la capture de Bulger était de 2 millions de dollars et pour tous renseignements sur sa femme, 100 000 $. Le personnage avait inspiré Martin Scorsese pour son film Les Infiltrés, qui l'utilisa pour construire le personnage du chef d'un gang irlandais Frank Costello, interprété par Jack Nicholson.

La Dernière Torpille

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La Dernière Torpille (Torpedo Run) est un film américain réalisé par Joseph Pevney en 1958. Le commandant Barney Doyle, aux commandes du sous-marin Greyfish, se lance à la poursuite d'un porte-avions japonais, responsable de nombreuses pertes dans la flotte alliée. Au plus fort des combats, il sait qu'il peut compter sur son second, Archer Sloan. Alors que le sous-marin rattrape le navire, le commandant s'aperçoit que celui-ci se protège en navigant bord à bord avec un paquebot chargé de mille-quatre-cents prisonniers, des civils américains. Sa perplexité se change en colère lorsqu'il réalise que sa femme et sa fille, qu'il avait laissées à terre, font partie de ces prisonniers. N'écoutant que son devoir, Doyle ordonne malgré tout d'attaquer...

La Dernière Torpille de Joseph PevneyLa Dernière Torpille de Joseph Pevney

La Dernière Torpille de Joseph Pevney

Fiche Technique

  • Titre : La Dernière torpille
  • Titre original : Torpedo run 
  • Scénario : William Wister Haines
  • Réaliséalisateur : Joseph Pevney
  • Date de sortie : 01/01/1958
  • Durée : (1h38min) 
  • Genre : Guerre
  • Nationalité: Etats-Unis

Distribution

L'Odyssée du sous-marin Nerka

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L'Odyssée du sous-marin Nerka (Run Silent, Run Deep) est un film américain de Robert Wise sorti en salles en 1958. L'action de ce film tire son inspiration dans la tactique mise au point par les sous-mariniers américains dans le Pacifique durant la Seconde Guerre mondiale. Ils attaquaient en surface les navires d'escorte des convois maritimes japonais et les torpillaient de face dans l'étrave lorsque ceux-ci fonçaient sur eux pour les éperonner.

1942. Détroit de Bungo. Le sous-marin du commandant Richardson est détruit par l'Akikaze, un destroyer japonais. Seul, Richardson et quelques membres de son équipage survivent. L'année suivante, à Pearl Harbor, le commandant reçoit la charge d'un autre submersible baptisé le Nerka. Mais il se heurte à l'hostilité du lieutenant Jim Bledsoe, le second, qui espérait obtenir le poste de commandant du bateau. Richardson veut affronter l'Akikaze et entraîne ses hommes dans sa vengeance.

L'Odyssée du sous-marin Nerka de Robert WiseL'Odyssée du sous-marin Nerka de Robert Wise

L'Odyssée du sous-marin Nerka de Robert Wise

Fiche technique

  • Titre : L'Odyssée du sous-marin Nerka
  • Titre original : Run Silent, Run Deep
  • Réalisation : Robert Wise
  • Scénario : John Gay, d'après le roman Run Silent, Run Deep d'Edward L. Beach
  • Musique : Franz Waxman
  • Directeur de la photographie : Russell Harlan
  • Montage : George Boemler
  • Direction artistique : Edward Carrere
  • Décorateur de plateau : Ross Dowd
  • Production : Harold Hecht et William Schorr producteur associé
  • Société de production e: Hill-Hecht-Lancaster Productions et Jeffrey Pictures Corp.
  • Société de distribution : United Artists
  • Pays : États-Unis
  • Genre : Guerre
  • Format : Noir et blanc - 35 mm - 1,85:1 - Son : mono (Westrex Recording System)
  • Durée : 93 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 27 mars 1958 ; France : 2 juillet 1958

Distribution

  • Clark Gable : Le commandant "Rich" Richardson
  • Burt Lancaster : Le lieutenant Jim Bledsoe
  • Jack Warden : Le matelot 1re Classe Mueller
  • Brad Dexter : Ens. Gerald Cartwright
  • Don Rickles : Second maître 1re classe Ruby
  • Nick Cravat : Le bosco Russo
  • Joe Maross : Chef Kohler
  • Mary LaRoche : Laura Richardson
  • Eddie Foy III : Larto
  • Rudy Bond : Second maître 1re classe Cullen
  • Jimmy Bates : Jessie
  • John Bryant : Carl Beckman
  • John Close : le combinard à Bungo Straits
  • Joel Fluellen : Bragg
  • John Gibson : le capitaine Blunt
  • Ken Lynch : Frank
  • Maurice McEndree : l'opérateur radio
  • Russell Thorson : un membre de l'équipage du sous-marin
  • H.M. Wynant : Corpsman Hendrix
  • Skip Ward
  • Wayne Dahmer

Destination Tokyo

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Destination Tokyo est un film américain réalisé par Delmer Daves en 1943. Durant la Seconde Guerre Mondiale, le sous-marin américain U.S.S.Copperfin est envoyé secrètement dans la baie de Tokyo, afin d'obtenir des informations en vue de préparer le bombardement de Tokyo.

Destination Tokyo de Delmer DavesDestination Tokyo de Delmer Daves

Destination Tokyo de Delmer Daves

Fiche technique

  • Titre : Destination Tokyo
  • Réalisation : Delmer Daves
  • Scénario : Delmer Daves et Albert Maltz, d'après le roman éponyme de Steve Fisher
  • Direction artistique : Leo K. Kuter
  • Décors : Walter F. Tilford
  • Photographie : Bert Glennon
  • Son : Robert B. Lee
  • Montage : Christian Nyby
  • Musique : Franz Waxman
  • Production : Jack L. Warner (Producteur délégué) et Jerry Wald (Producteur)
  • Société(s) de production : Warner Bros.
  • Société(s) de distribution : Warner Bros.
  • Pays d’origine : Drapeau des États-Unis États-Unis
  • Langue : Anglais et Japonais
  • Format : Noir et blanc - 35 mm - 1,37:1 - Mono (RCA Sound System)
  • Genre : Aventure - Histoire - Guerre
  • Durée : 135 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 15 décembre 1943, France : 3 août 1945

Distribution

  • Cary Grant : Capitaine Cassidy
  • John Garfield : Wolf
  • Alan Hale : "Cookie" Wainwright
  • John Ridgely : Officier de réserve Raymond
  • Dane Clark : Tin Can
  • Warner Anderson : Andy, officier
  • William Prince : Pills
  • Robert Hutton : Tommy Adams ('The Kid')
  • Tom Tully : Mike Conners
  • Faye Emerson : Mrs. Cassidy
  • Peter Whitney : Dakota
  • Warren Douglas : Larry, officier
  • John Forsythe : Sparks - Marin
  • Bill Kennedy : Torpedo, officier

Opération dans le Pacifique

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Opération dans le Pacifique (Operation Pacific) est un film de guerre américain réalisé par George Waggner en 1951. À travers l'épopée d'un équipage de sous-marin, dirigé par le Commandant Pop Perry, et son adjoint le Lieutenant Duke Gifford (incarné par John Wayne), on évoque la difficulté qu'eut la marine américaine à améliorer l'efficacité des torpilles équipant ses sous-marins pendant la période critique après l'attaque de Pearl Harbor.

Opération dans le Pacifique de George WaggnerOpération dans le Pacifique de George Waggner

Opération dans le Pacifique de George Waggner

Fiche technique

  • Titre original : Operation Pacific
  • Réalisation et scénario : George Waggner
  • Photographie : Bert Glennon
  • Montage : Alan Crosland Jr.
  • Production : Warner Bros. Pictures
  • Durée : 111 min
  • Pays : États-Unis
  • Langue : anglais et hawaiien
  • Noir et blanc
  • Aspect Ratio : 1.37 : 1
  • Son : Mono (RCA Sound System)

Distribution

  • John Wayne : Lieutenant Duke E. Gifford
  • Patricia Neal : Lieutenant Mary Stuart
  • Ward Bond : Commandant John T. 'Pop' Perry
  • Scott Forbes : Lieutenant Larry
  • Philip Carey : Lieutenant Bob Perry
  • Paul Picerni : Jonesy
  • Martin Milner : Enseigne Caldwell
  • Sam Edwards : Junior
  • James Flavin (non-crédité) : Mick
  • Virginia Brissac : Sœur Anna

Torpilles sous l'Atlantique

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Torpilles sous l'Atlantique (The Enemy Below) est un film américain de 1957 réalisé par Dick Powell. Durant l'été 1943, Murrell (Robert Mitchum), alors capitaine d’un cargo commercial, est torpillé par un sous-marin allemand et perd son épouse dans le naufrage. Recueilli après avoir passé vingt-cinq jours sur un radeau, il accepte le commandement d’un destroyer d'escorte de classe Buckley car il préfère, dit-il, « être du bon côté du canon ». Son passé de « civil » inspire une certaine méfiance à ses hommes, mais l’occasion se présente bientôt pour lui de prouver ses capacités. Durant une patrouille dans les Caraïbes au large de Trinidad, il détecte en effet la présence d’un sous-marin allemand. 

Celui-ci, commandé par Von Stolberg (Curd Jürgens), a également repéré son ennemi avec son oscillateur SSB mais, fort habilement, Murrell se maintient toujours à la même distance afin que le signal émis par son navire passe pour un faux écho... Les renseigmements de l'US Navy confirment à Murrell que le submersible ennemi doit rejoindre un raider allemand et devait être intercepté. Les deux capitaines utilisent des tactiques (bien illustrées par le film) pour se couler mutuellement, et ils y parviennent. Le film se termine par un constat moral d'usage sur la futilité de la guerre.

Dans le film, le vrai commandant du destroyer Whitehurst joue celui du chef mécanicien. C'est lui qui lit la bande dessinée Little Orphan Annie. Plusieurs marins du Whitehurst se sont portés volontaires pour figurer dans le film, surtout durant la scène d'évacuation du navire. Le film a obtenu un Oscar des meilleurs effets spéciaux en 1958. Le destroyer commandé par le Capitaine Murrell, le USS Haynes dont on aperçoit le n° d'identification 181, est en réalité un destroyer d'escorte de la classe Buckley : le DE 634, USS Whitehurst. Il fut un des 65 exemplaires de sa classe dont la mise en service débuta en 1943. En activité de cette date à 1969, les gros plans dont il fait l'objet dans les scènes qui ne demandent pas d'effets spéciaux apportent la véracité qu'il faut à ce film d'action très psychologique. Toujours dans la vraie vie, il connût une fin des plus classiques en finissant coulé comme cible en 1971. En revanche, l'intérieur du submersible Type VII ne reflète pas la réalité : table d'attaque aux voyants lumineux, téléphones et phonographes d'après-guerre. La salle des machines et le compartiment des torpilles avant ne sont pas bien reconstitués. Le film nous montre la présence de cabines. 

Aucun submersible allemand de cette période ne possédait de cabines, pas même le Type XXI dit « électro boot ». Le capitaine devait coucher sur son casier situé juste à côté de l'opérateur radio... Qui plus est, les marins allemands sont trop propres pour des sous-mariniers. Pour un aperçu plus réaliste de la vie à bord d'un U-Boot allemand, le film Das Boot est mieux indiqué. La chanson So leben wir (c'est comme ça que nous vivons) est une ballade militaire prussienne du début du xixe siècle. Le script du film a inspiré celui d'un épisode de la série Star Trek appelé "Balance of terror", tourné en 1966, où le vaisseau spatial Enterprise incarnait le destroyer tandis que le vaisseau romulien, muni d'un système de camouflage, incarnait le submersible.

Torpilles sous l'Atlantique de Dick PowellTorpilles sous l'Atlantique de Dick Powell

Torpilles sous l'Atlantique de Dick Powell

Fiche technique

  • Titre : Torpilles sous l'Atlantique
  • Titre original : The Enemy Below
  • Réalisation : Dick Powell
  • Scénario : Wendell Mayes
  • Directeur de la photographie : Harold Rosson
  • Son : Henry M. Leonard et Arthur L. Kirbach
  • Assistant réalisateur : Arthur Lueker
  • Musique : Leigh Harline
  • Société de distribution : 20th Century Fox
  • Pays : États-Unis
  • Genre : Guerre
  • Durée : 98 minutes
  • Image : Couleur
  • Date de sortie en salles : États-Unis : 25 décembre 1957 (New York), Allemagne de l'Ouest  : 17 janvier 1958, France : 5 février 1958

Distribution

  • Robert Mitchum (VF : Roger Tréville) : le capitaine Murrell
  • Curd Jürgens (VF : Lui-même) : le capitaine Von Stolberg
  • David Hedison (VF : Jean-Claude Michel) : le lieutenant Ware
  • Theodore Bikel : « Heinie » Schwaffer
  • Russell Collins (VF : Georges Hubert) : le médecin
  • Frank Albertzon (VF : Pierre Leproux) : le lieutenant Crain
  • David Blair (VF : Michel François) : Ellis
  • Jimmy Bates (VF : Fernand Rauzena) : le quartier-maître Quiroga
  • Jeff Daly (VF : Claude Bertrand) : Corky
  • Frank Obershall : Braun
  • Arthur La Ral : Kunz
  • David Post (VF : Michel Roux) : Lewis, l'opérateur sonar
  • Biff Elliot : le quartier-maître
  • Kurt Kreuger : Von Holem
  • Peter Dane (VF : Guy Loriquet) : Andrew, le chef détecteur radar
  • Alan Dexter (VF : Lucien Bryonne) : le lieutenant Mackeson
  • Joe Di Reda (VF : Jean Clarieux) : Robbins
  • Doug McClure (VF : Serge Lhorca) : l'enseigne Merry

Un homme est passé

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Un homme est passé (Bad Day at Black Rock) est un film américain de John Sturges, sorti en 1955. Pour la première fois depuis quatre ans, un train s'arrête à Black Rock, bourgade perdue en plein désert. Le visiteur, John J. Macreedy (qui est amputé d'un bras entier), interroge les quelques habitants qu'il rencontre sur le moyen de se rendre en un lieu-dit alentour : Adobe Flat, et ce sans préciser clairement ses motivations. Bizarrement, l'évocation de ce lieu associée à cette visite totalement inattendue génèrent une forte agressivité de la population locale. Plus Macreedy essaye de comprendre et pose de questions, plus la population se montre menaçante.

En 1955, un film important, qui est resté comme une œuvre à retenir par de nombreux cinéphiles, aborde le sujet des préjugés à racheter envers les Nippo-Américains : c'est « Un homme est passé », « Bad Day at Black Rock » en titre original de John Sturges. Et la particularité de ce film est de rester comme une œuvre véritablement forte à ce niveau, bien que dénuée de tout personnage nippo-américain visible à l'écran. Sorte de western moderne et abstrait, c'est un film court et sec (moins de 80 minutes), qui se repose sur son décor désertique et son format cinémascope pour mettre en scène cette projection métaphorique d'un règlement de compte de l'Amérique avec ses démons.

Situé en 1945, deux mois après la fin du conflit, le film narre en effet le passage dans la petite ville perdue de « Black Rock » (Arizona) d'un étranger du nom de John McReady, incarné par Spencer Tracy. Si ce dernier s'y rend, c'est pour rencontrer Komoko, un fermier japonais : « Il n'a pas eu de chance. Il est arrivé en 41 un peu avant Pearl Harbor. Ils sont venus le chercher trois mois après pour le mettre dans un camp de concentration. » ment Reno Smith à son sujet (Robert Ryan). En vérité, Komoko n'a même pas été mis dans un camp, il a été lynché au lendemain de Pearl Harbor, dans un élan de délire patriotique par une partie des habitants, menés par Reno Smith. La ferme a été également brûlée. McReady était venu voir Komoko pour lui remettre la médaille de son fils mort au combat dans la 442 RCT. Tracy va se retrouver dès lors perdu au milieu de l'hostilité générale de ceux qui veulent étouffer le crime. 

L'ambiance est lourde, l'apparition presque fantastique et mystérieuse de Tracy, proche du Sanjuro de Akira Kurosawa ou de l'Homme sans nom de Sergio Leone, étant en quelque sorte là pour remettre les choses à leurs places, laver la tache du racisme et du préjudice parmi une population rurale peu cultivée, une Amérique profonde qui a pris Komoko comme victime de ses frustrations. Smith, qui loua ses terres à Komoko, ne s'était pas remis que ce dernier y trouve une source d'eau. Du fait de sa haine des Japonais et de ce que son engagement dans l'armée a été refusé, il part tuer cet homme accompagné de quelques complices saouls.

À travers les personnages du docteur, du tenancier de l'hôtel et du Shérif, le film exprime également un sentiment de remords très fort qui cherche un remède contre « la honte ». On y parle, face au crime, d'une « indifférence mélancolique ». Cela peut exprimer non seulement l'injustice et le tort faits aux Nippo-Américains, mais cette histoire évoque aussi le maccarthysme alors d'actualité. Une ambiance de lâcheté, où les questions sont pour les personnages de savoir s'ils doivent suivre le troupeau contre un seul homme. Ici on ne voit rien du préjudice concret contre les Nippo-Américains, mais on utilise de nombreuses métaphores. Il n'empêche : ce « Un Homme est passé » reste encore peut-être, d'un point de vue occidental, ce qu'il y a de plus fort et intransigeant sur le sujet. Peut-être parce que c'est un film hollywoodien qui ne cherche pas à retranscrire ce qui a été vécu par les populations nippo-américaines, leurs malheurs. Ici ne reste que le règlement de compte moral interne des États-Unis au sortir de la guerre. 

La puissance évocatrice de l'absence, de la désintégration de Komoko, est sans doute plus puissante que toutes reconstitutions. Quand le crime est raconté, la force des mots évoquant la ferme brûlée, le Japonais transformé en torche humaine et abattu en dit énormément sur le mal fait. Comme pour payer son crime, Smith brûlera lui aussi en retour à la fin de l'œuvre. Les villageois qui se sont rachetés veulent à la fin du film la médaille destinée à Komoko pour améliorer leur moral, pour se reconstruire, ce que McReady acceptera. Le bras perdu de McReedy est peut-être une évocation de celui perdu par Daniel Inouye aux combats de la 442 RCT en Italie.

Un homme est passé de John SturgesUn homme est passé de John Sturges

Un homme est passé de John Sturges

Fiche technique

  • Titre : Un homme est passé
  • Titre original : Trouble at Red Rock cité dans [( James Dean ou le mal de vivre, d'Yves Salgues - où le héros de ce livre longe la rivière Salinas en voiture de sport)]
  • Réalisation : John Sturges
  • Scénario : Don McGuire et Millard Kaufman d'après une histoire de Howard Breslin
  • Production  : Dore Schary
  • Société de production : Metro-Goldwyn-Mayer
  • Musique : André Previn
  • Photographie : William C. Mellor
  • Montage : Newell P. Kimlin
  • Direction artistique : Cedric Gibbons et Malcolm Brown
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Format : Couleur (Eastmancolor)
  • Genre : Thriller
  • Durée : 81 minutes
  • Dates de sortie : 7 janvier 1955 (États-Unis)

Distribution

  • Spencer Tracy (VF : Serge Nadaud) : John J. Macreedy
  • Robert Ryan (VF : Jean-Claude Michel) : Reno Smith
  • Anne Francis (VF : Joëlle Janin) : Liz Wirth
  • Dean Jagger (VF : René Blancard) : Shérif Tim Horn
  • Walter Brennan (VF : Louis Arbessier) : Doc T.R. Velie Jr.
  • John Ericson (VF : Philippe Mareuil) : Pete Wirth
  • Ernest Borgnine (VF : William Sabatier) : Coley Trimble
  • Lee Marvin (VF : André Valmy) : Hector David
  • Russell Collins (VF : Jean Brochard) : M. Hastings
  • Walter Sande (VF : Yves Brainville) : Sam, le propriétaire du café

Requins d'acier

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Requins d'acier (Crash Dive) est un film américain réalisé par Archie Mayo, sorti en 1943. Relations tendues entre un commandant de sous marin et son second, tous deux amoureux de la meme femme.

Requins d'acier de Archie MayoRequins d'acier de Archie Mayo

Requins d'acier de Archie Mayo

Fiche technique

  • Titre : Requins d'acier
  • Titre original : Crash Dive
  • Réalisation : Archie Mayo
  • Scénario : Jo Swerling, d'après le roman de W.R. Burnett
  • Producteurs : Milton Sperling, Lee S. Marcus (non crédité), William Goetz producteur exécutif (non crédité) et Darryl F. Zanuck producteur exécutif (non crédité)
  • Société de production et de distribution : 20th Century Fox
  • Photographie : Leon Shamroy
  • Montage : Ray Curtiss et Walter Thompson
  • Musique : David Buttolph
  • Direction artistique : Richard Day et Wiard Ihnen
  • Décors : Paul S. Fox et Thomas Little
  • Costumes : Earl Luick et Sam Benson
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Format : Couleur (Technicolor) - 35 mm - 1,37:1 - Son : mono (Western Electric Recording)
  • Genre : Drame de guerre
  • Durée : 106 minutes
  • Dates de sortie : États-Unis : 28 avril 1943 (première à New York) ; France : 25 juillet 1946

Distribution

  • Tyrone Power : Lt. Ward Stewart
  • Anne Baxter : Jean Hewlett
  • Dana Andrews : Lieutenant commandant Dewey Connors
  • James Gleason : Chef Mike 'Mac' McDonnell
  • Dame May Whitty : Grand-mère
  • Harry Morgan : Brownie
  • Ben Carter : Oliver Cromwell Jones
  • Steve Forrest : Marin
  • Charley Grapewin : Pop

War of the Satellites

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War of the Satellites est un film américain réalisé par Roger Corman, sorti en 1958. Des extraterrestres entrent en contact avec les humains pour les sommer de mettre fin a leurs explorations spatiales.

War of the Satellites de Roger CormanWar of the Satellites de Roger Corman

War of the Satellites de Roger Corman

Fiche technique

  • Titre : War of the Satellites
  • Réalisation : Roger Corman
  • Scénario : Jack Rabin, Irving Block et Lawrence L. Goldman
  • Photographie : Floyd Crosby
  • Musique : Walter Greene
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Format : Noir et blanc
  • Genre : Science-fiction
  • Durée : 66 minutes (1 h 6)
  • Dates de sortie : États-Unis : 18 mai 1958

Distribution

  • Dick Miller : Dave Boyer
  • Susan Cabot : Sybil Carrington
  • Richard Devon : Dr. Pol Van Ponder
  • Bruno VeSota : Mr. LeMoine
  • Mitzi McCall : Mitzi

Riskin Robert

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Robert Riskin est un scénariste, producteur et réalisateur américain né le 30 mars 1897 à New York, New York (États-Unis), décédé le 20 septembre 1955 à Beverly Hills (Los Angeles). Il est principalement connu pour être le scénariste principal des films réalisés par Frank Capra.

Riskin Robert

Riskin nait à New York dans le Lower East Side de parents juifs, qui ont émigré de la Russie tsariste. Il se rend à l'âge de 17 ans en Floride où il tourne des court-métrages, avant de s'engager dans l'armée1. A la fin de la guerre il retourne à New York où il produit des pièces pour Broadway, dont certaines comme Bless You, Sister et Many a Slip rencontrent un certain succès. Il poursuit cette activité jusqu'à la crise de 1929 où de nombreux théâtres ferment. Le cinéma passant alors à l'ère du parlant, a besoin de scénariste pour les dialogues. Riskin se rend alors à Hollywood en 1931, la firme Columbia ayant acheté les droits de certaines de ses pièces; sa rencontre avec Frank Capra donnera le film The Miracle Woman, qui sera le début d'une fructueuse collaboration.

 

Filmographie

comme scénariste

  • 1931 : Illicit d'Archie Mayo
  • 1931 : Many a Slip de Vin Moore
  • 1931 : Arizona de George B. Seitz
  • 1931 : The Miracle Woman de Frank Capra
  • 1931 : La Blonde platine (Platinum Blonde) de Frank Capra
  • 1931 : Men in Her Life de William Beaudine
  • 1932 : Three Wise Girls de William Beaudine
  • 1932 : The Big Timer d'Edward Buzzell
  • 1932 : Shopworn de Nick Grinde
  • 1932 : La Ruée (American Madness) de Frank Capra
  • 1932 : Night Club Lady d'Irving Cummings
  • 1932 : Virtue d'Edward Buzzell
  • 1933 : Ann Carver's Profession d'Edward Buzzell
  • 1933 : Ex-Lady de Robert Florey
  • 1933 : La Grande Dame d'un jour (Lady for a Day) de Frank Capra
  • 1934 : New York-Miami (It Happened One Night) de Frank Capra
  • 1934 : La Course de Broadway Bill (Broadway Bill) de Frank Capra
  • 1935 : Carnival de Walter Lang
  • 1935 : Toute la ville en parle (The Whole Town's Talking) de John Ford
  • 1936 : L'Extravagant Mr. Deeds (Mr. Deeds Goes to Town) de Frank Capra
  • 1937 : When You're in Love réalisé par lui-même
  • 1937 : Les Horizons perdus (Lost Horizon) de Frank Capra
  • 1938 : Vous ne l'emporterez pas avec vous (You Can't Take It with You) de Frank Capra
  • 1938 : Madame et son cowboy (The Cowboy and the Lady) de H.C. Potter
  • 1941 : L'Homme de la rue (Meet John Doe) de Frank Capra
  • 1941 : Lelki klinika de László Cserépy (adaptation, remake de New York-Miami)
  • 1944 : L'introuvable rentre chez lui (The Thin Man Goes Home) de Richard Thorpe
  • 1946 : L'Emprise du crime (The Strange Love of Martha Ivers) de Lewis Milestone
  • 1947 : Magic Town de William A. Wellman
  • 1950 : Jour de chance (Riding High) de Frank Capra
  • 1950 : La Bonne combine (Mister 880) d'Edmund Goulding
  • 1951 : Half Angel de Richard Sale
  • 1951 : Si l'on mariait papa (Here Comes the Groom) de Frank Capra
  • 1956 : L'Extravagante héritière (You Can't Run Away from It) de Dick Powell
  • 1961 : Milliardaire d'un jour (Pocketful of Miracles) de Frank Capra (remake de La Grande Dame d'un jour)
  • 2002 : Les Aventures de Mister Deeds (Mr. Deeds) de Steven Brill (remake de L'Extravagant Mr. Deeds)

comme producteur

  • 1939 : They Shall Have Music d'Archie Mayo
  • 1939 : The Real Glory de Henry Hathaway
  • 1947 : Magic Town de William A. Wellman

comme réalisateur

  • 1937 : When You're in Love

L'Homme de nulle part

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L'Homme de nulle part (Jubal) est un western sorti en 1956, réalisé par Delmer Daves. Il bénéficie d'une distribution (masculine surtout) intéressante puisqu'on y rencontre en vedettes Glenn Ford, Ernest Borgnine et Rod Steiger. En second rôle, Charles Bronson et en caméo, entre autres, Jack Elam. Jubal Troop est recueilli par Shep Horgan, riche éleveur qui l’embauche. Peu à peu il se voit confier de plus en plus de responsabilités, au grand dam de Pinky, régisseur du domaine qui est ainsi relégué à la seconde place. De plus Mae, la jeune femme de Shep, n’est pas insensible à ses charmes, ce qui porte la jalousie de Pinky à son comble.

La tension monte encore d’un cran à l’arrivée d’une caravane qui se dirige vers l’Ouest: Jubal prend la défense de ses membres lorsque Pinky veut les chasser. Une idylle se noue entre Jubal et la fille du pasteur qui conduit la communauté. Pinky, habile manipulateur, utilise la situation et manœuvre pour regagner sa place et les faveurs de Mae tout en se débarrassant de Shep Horgan et de Jubal Troop. Le drame peut alors se dérouler et la tension devient telle qu’un témoin en arrive à déclarer : « Il y a des jours où je ne peux pas m’empêcher de penser que c’est insulter Dieu que de prétendre qu’il a créé l’homme à son image ».

L'histoire est plus complexe qu'il n'y paraît comme souvent chez ce metteur en scène, on y trouve des moments quasi-shakespeariens et d'autres presque freudiens... histoires d'amour, d'intolérance, de jalousies et de frustrations sur fond de grands espaces admirablement filmés. Un western où l'action et la psychologie sont parfaitement équilibrées et les personnages bien dessinés, sans caricature. Le casting masculin est impressionnant, et un an avant 3H10 pour Yuma Felicia Farr, juvénile et lumineuse, séduit déjà Glenn Ford.

L'Homme de nulle part de Delmer Daves L'Homme de nulle part de Delmer Daves

L'Homme de nulle part de Delmer Daves

Fiche technique

  • Film Columbia (USA 1956) en technicolor et cinémascope.
  • Réalisation : Delmer Daves
  • Scénario : Russel S. Hughes et D. Daves à partir d'une histoire de Paul I. Wellman
  • Directeur de la photographie : Charles Lawton Jr.
  • Musique : David Raksin, dirigée par Morris Stoloff
  • Montage : Al Clark
  • Producteur : William Fadiman
  • Existe en DVD (Colombia Western Classics)

Distribution

  • Glenn Ford : Jubal Troop
  • Ernest Borgnine : Shep Horgan
  • Rod Steiger : Pinky
  • Valerie French : Mae Horgan
  • Felicia Farr : Naomi Hoktor
  • Basil Ruysdael : Shem Hoktor
  • Charles Bronson : Reb Haislipp
  • Noah Beery Jr. : Sam
  • John Dierkes : Carson
  • Jack Elam : McCoy

Ambush at Cimarron Pass

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Ambush at Cimarron Pass est un western américain réalisé par Jodie Copelan en 1958. Un groupe de cow-boys et une troupe de l'armée américaine, tous deux attaqués par la même bande d'Indiens, s'unissent pour rentrer au fort.

Ambush at Cimarron Pass avec Clint EastwoodAmbush at Cimarron Pass avec Clint Eastwood

Ambush at Cimarron Pass avec Clint Eastwood

Fiche technique

  • Réalisation : Jodie Copelan
  • Scénario : Robert A. Reeds, Robert E. Woods, Richard G. Taylor et John K. Butler
  • Production : Herbert E. Mendelson
  • Musique originale : Paul Sawtell et Bert Shefter
  • Photographie : John M. Nickolaus Jr.
  • Montage : Carl Pierson
  • Durée : 73 min
  • Pays : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Distribution : Twentieth Century Fox
  • Format : noir et blanc
  • Date de sortie : États-Unis : mars 1958

Distribution

  • Scott Brady : Sergent Matt Blake
  • Margia Dean : Teresa Santos
  • Clint Eastwood : Keith Williams
  • Irving Bacon : Juge Stanfield
  • Frank Gerstle : Capitaine Sam Prescott
  • Ray Boyle : Johnny Willows
  • Baynes Barron : Corbin (le trafiquant d'armes)
  • William Vaughn : Henry (l'éclaireur)
  • Ken Mayer : Caporal Schwitzer
  • John Damler : Soldat Zach
  • Keith Richards : Soldat Lasky
  • John Frederick : Soldat Nathan

Je veux vivre !

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Je veux vivre ! (I Want to Live !) est un film américain de Robert Wise sorti en 1958. Il raconte l'histoire « vraie » d'une femme, Barbara Graham (en) reconnue coupable de meurtre et qui va être exécutée. Interprété par Susan Hayward, Simon Oakland, Stafford Repp et Theodore Bikel, il repose sur des articles écrits par le journaliste Ed Montgomery, lauréat du prix Pulitzer, et fondés sur des lettres écrites par Ms. Graham. Produit par Walter Wanger il a été réalisé par Robert Wise.

En dépit de l'épilogue final d'Ed Montgomery, attestant le caractère factuel du film où l'innocence de Graham était largement affirmée, la preuve de sa complicité dans le meurtre repose sur des preuves solides. Hayward a avoué à Robert Osborne que sa propre recherche l'avait amenée à conclure que Graham était bien coupable. Le film n'en a pas moins acquis une grande réputation, faisant gagner à Susan Hayward l'Oscar de la meilleure actrice.

Barbara Graham est accusée du meurtre d'une riche veuve, et devant le tribunal, elle n'a vraiment pas les bonnes cartes en main. Elle a déjà été condamnée pour parjure et son mari est un truand toxicomane avec une longue carrière criminelle derrière lui ; malheureusement c'est lui qui est son alibi : elle était avec lui au moment des faits, mais il était en plein delirium et ne peut rien se rappeler.

Conscient de la situation désespérée de la femme, un enquêteur lui propose de lui procurer pour de l'argent un alibi vraisemblable. Cependant cela lui permet de produire contre elle devant le tribunal une fausse confession. Un reporter des causes criminelles, Ed Montgomery, a si bien préparé l'opinion publique que Barbara Graham trouve devant elle des jurés prévenus. Seul Carl Palmberg, psychologue devant les tribunaux, croit en son innocence. Mais, isolé, il ne peut rien contre la puissance des médias qui ont déjà prononcé leur verdict. Barbara Graham est condamnée à mort. Ce n'est qu'après la sentence qu'il peut convaincre Ed Montgomery de l'innocence de Barbara Graham. Montgomery tourmenté par sa mauvaise conscience essaie maintenant de convaincre l'opinion publique, mais la demande de grâce déposée est rejetée et le jugement contre Barbara Graham est exécuté.

Le film est produit par Figaro Inc., la maison de production que fonda en 1953 Joseph L. Mankiewicz, c’est le seul film de la compagnie à avoir eu un succès aussi bien critique que commercial.

Je veux vivre ! de Robert WiseJe veux vivre ! de Robert Wise

Je veux vivre ! de Robert Wise

Fiche technique

  • Titre : Je veux vivre !
  • Titre original : I Want to Live !
  • Réalisation : Robert Wise
  • Production : Walter Wanger
  • Société de production : Figaro Inc.
  • Distribution : United Artists
  • Scénario : Nelson Gidding et Don Mankiewicz d'après les articles de Ed Montgomery et les lettres de Barbara Graham
  • Musique : John Mandel
  • Photographie : Lionel Lindon
  • Montage : William Hornbeck
  • Décors : Victor A. Gangelin et Ted Haworth
  • Costumes : Angela Alexander et Wesley Jeffries
  • Pays d'origine : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Format : Noir & blanc - Son : Mono (Westrex Recording System)
  • Genre : Drame
  • Durée : 120 minutes
  • Sortie : États-Unis
  • 18 novembre 1958

Distribution

  • Susan Hayward : Barbara Graham
  • Simon Oakland : Ed Montgomery
  • Virginia Vincent : Peg
  • Theodore Bikel : Carl Palmberg
  • Vesley Lau : Henry Graham
  • Philip Coolidge : Emmett Perkins
  • Lou Krugman : Jack Santo
  • James Philbrook : Bruce King
  • Bartlett Robinson : Le procureur général
  • John Marley : Le père Devers
  • Raymond Bailey : Le directeur de San Quentin
  • Olive Blakeney (non-créditée) : Corona Warden

Plongée à l'aube

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Plongée à l'aube (We Dive at Dawn) est un film britannique réalisé par Anthony Asquith, sorti en 1943. Le sous-marin HMS Sea Tiger, qui vient juste de rentrer au port, est brusquement rappelé en mer pour une mission spéciale : couler le Brandenburg, un navire de guerre allemand. En route, l'équipage apprend que leur cible a atteint la Baltique, mer sur laquelle de lourds moyens de défense ont été disposés ; au lieu de reculer, le Sea Tiger prend le Brandenburg en chasse.

La tension grandit lorsque la cible se rapproche ; arrivés à portée de tir, ils lancent leurs torpilles, mais doivent battre retraite sans savoir si leur attaque a réussi. Bientôt, sous peine de ne plus jamais pouvoir rentrer, ils doivent trouver à se revitailler en carburant alors qu'ils se trouvent toujours dans les eaux ennemies… Réalisé pendant la Seconde Guerre mondiale, Plongée à l'aube fait partie d'un certain nombre de films de propagande britanniques.

Plongée à l'aube de Anthony AsquithPlongée à l'aube de Anthony Asquith

Plongée à l'aube de Anthony Asquith

Fiche technique

  • Titre : Plongée à l'aube
  • Titre original : We Dive at Dawn
  • Réalisation : Anthony Asquith
  • Scénario : J.B. Williams, Val Valentine et Frank Launder (ce dernier non crédité)
  • Images : Jack E. Cox
  • Musique : Hubert Bath
  • Production : Edward Black pour Gainsborough Pictures et Gaumont British Picture Corporation
  • Pays d'origine : Royaume-Uni
  • Format : Noir et Blanc - 1,37:1
  • Genre cinématographique : Drame, Guerre
  • Durée : 98 minutes
  • Date de sortie : 20 mai 1943

Distribution

  • John Mills : le commandant - le lieutenant Freddie Taylor
  • Louis Bradfield : le premier officier - le lieutenant Brace
  • Ronald Millar : le troisième officier - le lieutenant Johnson
  • Jack Watling : l'officier de navigation - le lieutenant Gordon
  • Reginald Purdell : Coxwain/ Dabbs
  • Caven Watson : l'artificier en chef/ P.O. Duncan
  • Niall MacGinnis : l'ami du torpilleur - Mike Corrigan
  • Eric Portman : hydrophones/ Hobson
  • Leslie Weston : le préposé aux torpilles/ Tug Wilson
  • Norman Williams : le préposé au périscope - "Canada"
  • Philip Friend (non-crédité) : Humphries

Le Raid suicide du sous-marin X1

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Le Raid suicide du sous-marin X1 (Submarine X-1) est un film britannique réalisé par William A. Graham, sorti en 1969. Le film est inspiré de l'Opération Source qui eut lieu en Norvège en 1943. Pendant la seconde guerre mondiale, un officier mène l'attaque d'un groupe de sous-marins de poche contre un cuirassé allemand.

Le Raid suicide du sous-marin X1 avec James CaanLe Raid suicide du sous-marin X1 avec James Caan

Le Raid suicide du sous-marin X1 avec James Caan

Fiche technique

  • Titre original : Submarine X-1
  • Titre français : Le Raid suicide du sous-marin X1
  • Réalisation : William A. Graham
  • Scénario : Donald S. Sanford et Guy Elmes
  • Direction artistique : William C. Andrews
  • Photographie : Paul Beeson
  • Montage : John S. Smith
  • Musique : Ron Goodwin
  • Producteur : John C. Champion
  • Langue : anglais
  • Pays d'origine : Royaume-Uni
  • Format : Couleurs - 35 mm - 1,66:1 - Mono
  • Genre : guerre
  • Durée : 89 minutes
  • Date de sortie : 1969

Distribution

  • James Caan : Commandant Richard Bolton
  • David Sumner : Lieutenant Davies
  • Norman Bowler : Sous-lieutenant Pennington
  • Brian Grellis : CPO Barquist
  • Paul Young : Matelot-chef Quentin
  • William Dysart : Robert Talbot Gogan
  • John Kelland : Keith Willis
  • Kenneth Farrington : Boker Knowles
  • Keith Alexander : le sous-lieutenant du X-3
  • Carl Rigg : Norman Kennedy
  • Steve Kirby : le matelot-chef du X-2
  • Nick Tate : le matelot-chef du X-1 (comme Nicholas Tate)
  • George Pravda : Capitaine Erlich

Destination Zebra, station polaire

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Destination Zebra, station polaire (Ice Station Zebra) est un film américain réalisé par John Sturges en 1968. Il est adapté du roman éponyme d'Alistair MacLean. Le commandant d'un sous-marin atomique américain, James Ferraday, reçoit l'ordre des services secrets de partir pour l'Arctique avec le soviétique passé à l'Ouest, Boris Vasselov et l'officier américain Leslie Anders. Ils doivent rallier Zebra, une base polaire britannique. 

Leur mission consiste à récupérer une caméra secrète et ses films. Au cours de la mission, de nombreux sabotages ont lieu qui mettent en péril le sous-marin et tout son équipage. À chaque fois, appareil et équipage sont sauvés in extremis, au prix de pertes en vies humaines. Qui est le traitre à bord, d'autant que celui-ci est disposé à sacrifier sa vie pour permettre le succès de sa mission de destruction du sous-marin ?

Destination Zebra, station polaire de John SturgesDestination Zebra, station polaire de John Sturges

Destination Zebra, station polaire de John Sturges

Fiche technique

  • Réalisation : John Sturges
  • Scénario : Douglas Heyes, Harry Julian Fink et W.R. Burnett
  • D'après le roman d'Alistair MacLean
  • Production : Martin Ransohoff et John Calley
  • Musique originale : Michel Legrand
  • Photographie : Daniel L. Fapp Panavision et metrocolor
  • Montage : Ferris Webster
  • Pays : États-Unis
  • Langue : anglais
  • Distribution : Metro-Goldwyn-Mayer
  • Dates de sortie : États-Unis : 23 octobre 1968, France : 4 septembre 1969

Distribution

  • Rock Hudson (VF : Jean-Claude Michel) : James Ferraday
  • Patrick McGoohan (VF : Jacques Thebault) : David Jones
  • Ernest Borgnine (V.F : André Valmy)  : Boris Vaslov
  • Jim Brown (VF : Sady Rebbot) : Le capitaine Leslie Anders
  • Tony Bill : Le lieutenant Russel Walker
  • Lloyd Nolan : Garvey
  • Gerarld S.O'Loughlin (VF : Michel Gudin) : Le lieutenant Bob Raebum
  • Lee Stanley (VF : Jacques Ferrière) : Le lieutenant Martin Mitgang
  • Alf Kjellin : Le colonel Ostrovsky
  • Murray Rose : Le lieutenant Georges Mills
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