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Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN)

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L'Organisation du traité de l'Atlantique Nord est née de la guerre froide. Au lendemain de la défaite de l'Allemagne, le monde se partage en deux blocs, opposant les États-Unis et l'URSS, ainsi que leurs alliés respectifs. 

Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN)

L'Alliance atlantique est alors destinée à contrer la puissance soviétique. Aujourd'hui, l'OTAN comprend 19 membres : depuis l'origine, la Belgique, le Canada, le Danemark, les États-Unis, la France, la Grande-Bretagne, l'Islande, l'Italie, le Luxembourg, la Norvège, les Pays-Bas, le Portugal ; depuis 1952, la Grèce et la Turquie ; depuis 1955, la République fédérale d'Allemagne ; depuis 1982, l'Espagne ; depuis mars 1999, la Hongrie, la Pologne et la République tchèque. 

Tous ces pays en font partie afin de « sauvegarder la paix et la sécurité, et de développer la stabilité et le bien-être dans la région de l'Atlantique nord ». Après la chute du mur de Berlin, en 1989, l'Alliance a redéfini son rôle. À Rome, en 1991, puis lors du Conseil de l'Atlantique Nord à Washington, en 1999, elle a adopté un nouveau concept stratégique. L'OTAN doit s'ouvrir à de nouveaux États, développer des partenariats avec la Russie et l'Ukraine, élargir le dialogue avec les pays de la Méditerranée. Une conception élargie de la sécurité peut conduire l'Organisation à mener des opérations de maintien de paix hors de sa zone de compétence. La condition en est alors une réforme de ses structures militaires.

L'origine du Pacte est multiple. Elle se trouve, tout d'abord, dans la déclaration du président américain Harry Truman, datant du 12 mars 1947. La « doctrine Truman », motivée, entre autres, par l'essor de mouvements de guérilla nationalistes soutenus par les Soviétiques ou à direction communiste (Kurdistan, Chine, Grèce, Viêt Nam), remet en question la tradition isolationniste des États-Unis en temps de paix, en militant en faveur d'une solidarité militaire au sein du monde occidental.

L'OTAN doit aussi sa création au désir des Européens de se lier aux États-Unis par un pacte durable de défense. Soucieux de la menace soviétique (création du Kominform, grèves communistes en Italie et en France en 1947-1948, et surtout « coup de Prague » de février 1948, puis blocus de Berlin en juin), la Grande-Bretagne, la France, les Pays-Bas et le Luxembourg, déjà liés par le traité de Bruxelles (17 mars 1948), décident d'élargir leur pacte d'alliance à d'autres pays de l'Europe occidentale et aux deux grands États industriels d'Amérique du Nord. Le traité de l'Atlantique Nord est signé le 4 avril 1949 par les douze pays fondateurs et entre en vigueur le 24 août suivant.

La zone couverte par le traité, s'étendant aux territoires métropolitains des États membres mais non à leurs possessions d'outre-mer, est décrite dans l'article 6 : l'Alliance intervient en cas d'« attaque contre le territoire de l'une des parties en Europe ou en Amérique du Nord, contre les départements français d'Algérie (mention supprimée en 1963, après l'accession du pays à l'indépendance), contre le territoire de la Turquie ou contre les îles placées sous la juridiction de l'une des parties dans la région de l'Atlantique nord, au nord du tropique du Cancer ».

Le traité peut être révisé au bout de dix ans à la demande de l'une des parties et par voie de consultation (article 12). Il peut être dénoncé par toute partie au bout de vingt ans, mais sa durée est illimitée, comme le préciseront les Alliés dans les accords de 1954. Enfin, d'autres pays peuvent être admis dans l'Alliance, aux conditions fixées par l'article 10, qui précise : « Les parties peuvent, par accord unanime, inviter à accéder au traité tout autre État européen susceptible de favoriser le développement des principes du présent traité et de contribuer à la sécurité de la région de l'Atlantique nord. » La zone sera progressivement élargie à la Grèce et à la Turquie, à l'Allemagne, à l'Espagne, et finira par s'étendre aux pays de l'Europe de l'Est avec l'adhésion, en 1999, de la Hongrie, de la Pologne et de la République tchèque.

L'esprit et les buts du traité sont exposés dans le Préambule et dans les trois premiers articles. Le Pacte a pour objet d'assurer collectivement la sécurité des États signataires. La référence à la charte de l'Atlantique de 1941 et à la charte des Nations unies de 1944 est constante. Comme elles, le texte du traité mentionne les grands principes sur lesquels doit reposer l'ordre international : la liberté des peuples, le règne du droit, la justice, la coopération économique et le refus de l'emploi de la force pour résoudre les conflits, sauf en cas de légitime défense.

En temps de paix, la sécurité collective des États membres est assurée par l'assistance mutuelle et la coopération économique. Il est dit, dans l'article 3, que chaque pays signataire devra accroître sa capacité de « résistance à une attaque armée ». Et, selon l'article 5, toute agression armée contre un des membres est considérée « comme une attaque dirigée contre toutes les parties. […] Chacune d'elles, dans l'exercice du droit de légitime défense […], assistera la partie ou les parties ainsi attaquées ». Chaque État membre conserve cependant le choix des moyens. Pour la première fois de son histoire, l'OTAN a mis en œuvre la disposition de l'article 5, le 12 septembre 2001, après les attentats qui ont frappé les États-Unis. (→ événements du 11 septembre 2001.)

Dès sa création, en 1949, l'OTAN est une organisation purement défensive et dissuasive, et, dans l'hypothèse où une agression est commise sur le territoire des pays membres, ceux-ci bénéficient, le cas échéant, du « parapluie nucléaire » américain. Mais la fabrication, par l'URSS, de missiles balistiques à capacité intercontinentale l'amène, en 1967, à adopter la doctrine de « riposte graduée », qui fixe les conditions nouvelles de l'engagement des forces armées de l'Alliance.

En cas d'échec de la dissuasion, cette riposte doit se faire en trois paliers : l'engagement des forces conventionnelles ; l'emploi des armes nucléaires tactiques en soutien des armes conventionnelles ; et, par voie de conséquence, la mise en œuvre des forces nucléaires stratégiques des deux adversaires – les représailles étant alignées sur le niveau d'agression de l'adversaire. Cette évolution doctrinale conduit la France, en 1966, à se retirer du commandement intégré de l'Alliance, puis à exiger le retrait des forces stationnées sur son territoire et à récupérer la souveraineté complète de son espace aérien. Toutefois, un certain nombre de liens sont préservés, grâce à des accords d'état-major.

Une seconde évolution se fait jour avec la crise des euromissiles : au déploiement, à partir de 1977, des missiles SS 20 soviétiques, l'OTAN réplique, en 1979, par la « double décision », qui envisage ou le retrait des SS 20 ou, en cas de maintien de leur présence, le déploiement des missiles américains Pershing 2 sur le territoire des alliés européens (Allemagne, Italie, Grande-Bretagne principalement). Cette seconde option est effectivement appliquée en 1983, dans un climat d'intense agitation pacifiste, hostile à l'action de l'Alliance.

Pour que la politique de sécurité de l'Alliance soit définie et appliquée avec le concours des États membres, indépendants et souverains, chacun des gouvernements doit être parfaitement informé des choix et des orientations de ses partenaires et des motivations qui les inspirent. L'OTAN n'est pas une organisation supranationale ; il s'agit d'une alliance internationale à vocation défensive. Fin 1949, l'Europe et le monde paraissent de plus en plus nettement s'organiser autour de deux pôles de puissance : les États-Unis, qui, poussés par les circonstances, sont amenés à exercer leur leadership sur le « monde libre », et assument les responsabilités majeures au sein de l'Alliance atlantique ; l'URSS, qui, en attendant la mise en place du pacte de Varsovie en 1955, a signé des traités militaires avec ses satellites et s'efforce, depuis janvier 1949, de les intégrer économiquement à l'espace soviétique par le biais du Comecon, réplique à la création de l'OECE (Organisation européenne de coopération économique). Ce sont désormais deux « blocs » relativement homogènes qui vont s'affronter dans les batailles de la guerre froide.

En mai 1956, toutefois, le Conseil de l'Atlantique crée un comité chargé de rechercher les moyens de développer la coopération entre les pays de l'OTAN dans les domaines non militaires. Le 13 décembre est présenté le rapport dit « des trois sages ». Qualifié aussi de « charte morale », ce rapport affirme que l'existence de relations étroites au niveau politique et économique entre les membres de l'Alliance est la condition sine qua non à la réalisation effective de la mission de dissuasion de l'OTAN. Ainsi, la procédure de consultation n'est pas limitée aux seules questions militaires. Le comité politique, les groupes d'experts ad hoc, le groupe consultatif sur la politique atlantique sont autant d'organes qui contribuent au développement de la consultation politique entre les gouvernements des États membres de l'OTAN. Enfin, la déclaration d'Ottawa de 1974 – sur les relations atlantiques – réaffirme la volonté des Alliés de « maintenir entre eux une étroite consultation et un esprit de coopération et de confiance mutuelle » (paragraphe 11).

Ce qui distingue fondamentalement ce traité des alliances de type traditionnel qui l'ont précédé, ce sont les organes permanents qui se sont développés pour en assurer l'exécution et qui constituent l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord, instituée par la convention d'Ottawa du 20 septembre 1951.

Le Conseil de l'Atlantique Nord

Le Conseil de l'Atlantique Nord, organe politique le plus élevé de l'OTAN, présidé par le secrétaire général, est la seule structure définie par le traité de l'Atlantique Nord. En son sein, les États membres ont les mêmes droits, quels que soient leur poids économique ou leur importance militaire, et les décisions sont prises à l'unanimité – ce qui implique un droit de veto pour chacun. Les gouvernements des États membres peuvent y conduire des consultations sur toutes les questions touchant à leur sécurité. C'est l'organe décisionnel suprême.

Le secrétaire général de l'OTAN

Le secrétaire général de l'OTAN est nommé par le Conseil de l'Atlantique Nord par consensus, au terme de consultations. Sa fonction est à la fois civile et militaire. Chargé de promouvoir et de diriger le processus de consultation et de prise de décision au sein de l'OTAN, il se doit de donner des impulsions et des conseils fondés sur ses contacts avec les membres de l'Alliance et les responsables d'autres États.

Le Comité des plans de défense (CPD)

Le Comité des plans de défense (CPD) est chargé de donner des orientations aux autorités militaires de l'OTAN. Il a été institué après la décision prise par la France, en 1966, de ne plus laisser participer son ministère de la Défense au Conseil de l'Atlantique Nord et de se faire représenter au sein de ce dernier par son seul ministère des Affaires étrangères.

Le Groupe des plans nucléaires (GPN)

Le Groupe des plans nucléaires (GPN), composé des représentants de tous les États membres, à l'exception de la France, est la principale enceinte de consultation pour toutes les questions relatives au rôle des forces nucléaires dans le cadre des politiques de sécurité et de défense mises en place par l'OTAN. Depuis 1992, cet organisme a cessé de travailler activement, l'OTAN n'ayant plus aujourd'hui d'« adversaire global ». Toutefois, les États-Unis et la Grande-Bretagne, qui sont, avec la France, les seuls pays membres de l'OTAN à posséder des armements nucléaires, continuent de se concerter au sein du GPN.

Le Comité militaire, créé en octobre 1949, est l'instance militaire suprême de l'OTAN. Placé sous l'autorité politique du Conseil de l'Atlantique Nord, du CPD et du GPN, il donne des orientations au haut commandement de l'OTAN. En temps de paix, il est chargé de préparer les mesures et les plans jugés nécessaires à la défense commune de la zone de l'OTAN en Europe. Le Comité dispose d'un état-major militaire international (EMI), qui veille à ce que ses décisions et directives soient appliquées ; c'est l'organe exécutif du Comité militaire, dont la France, qui l'avait quitté en 1966, se rapproche depuis 1995. Ainsi, la mission militaire de la France participe à tous les travaux, sauf à ceux qui sont relatifs à la planification nucléaire.

Le Commandement suprême allié en Europe (SACEUR)

Au niveau stratégique, le nombre des commandements suprêmes a été ramené (par dissolution, en 1992, du Commandement suprême allié de la Manche, ou CINCHAN) de trois à deux. Le Commandement suprême allié en Europe (SACEUR), basé à Mons, en Belgique, a pour mission fondamentale de contribuer au maintien de la paix, de la sécurité et de l'intégrité territoriale des États membres de l'Organisation. Il couvre les zones terrestres allant du cap Nord à l'Afrique du Nord et de l'Atlantique à la frontière orientale de la Turquie, à l'exception du Portugal et du Royaume-Uni. En cas de conflit armé, le SACEUR a vocation à prendre la direction de toutes les opérations terrestres, navales et aériennes dans cette zone qui couvre près de 2 millions de kilomètres carrés. De lui dépendent trois commandements régionaux : pour le Nord-Ouest (à High Wycombe, en Grande-Bretagne), pour le Centre-Europe (à Brunssum, aux Pays-Bas) et pour le Sud (à Naples).

Le Commandement suprême allié de l'Atlantique (SACLANT)

Basé à Norfolk, aux États-Unis, le SACLANT étend sa compétence de l'Arctique au tropique du Cancer et des eaux territoriales de l'Amérique du Nord aux côtes d'Europe et d'Afrique, y compris le Portugal, mais à l'exclusion de la Manche et des îles Britanniques. Il a pour fonction, en temps de paix, de préparer des plans de défense, ainsi que de diriger des exercices d'entraînement intégrés et combinés. En temps de guerre, sa mission fondamentale est de prendre en charge la sécurité de tout l'océan Atlantique, en assurant la protection de ses voies maritimes.

En 1966, la France s'est retirée du commandement militaire intégré de l'OTAN, car la politique française reposait – depuis le retour au pouvoir du général de Gaulle – sur la constitution d'une force de dissuasion nationale. Cela répondait à un double objectif : reconquérir l'indépendance nationale, tant militaire que politique, et ne pas se laisser entraîner par les États-Unis dans un conflit qui ne concernait pas la France. La doctrine française de la dissuasion proportionnelle s'opposait, à l'époque, à la doctrine de la « riposte massive ». Or, bien qu'en 1967 l'OTAN eût adopté la doctrine de la « riposte graduée », en élevant le seuil de recours au nucléaire, la position de la France resta inchangée.

Après trois décennies d'ostracisme, la France a admis que la défense européenne ne pouvait se concevoir comme concurrente de l'Alliance atlantique. Sans que les forces armées du pays soient en permanence intégrées dans l'OTAN, les représentants de la France ont fait leur retour au sein du Conseil des ministres de la Défense et au Comité militaire à partir de 1994, quand on commença à envisager l'emploi des troupes françaises déployées en Bosnie dans le cadre de l'OTAN. En 1996, le chef d'état-major des armées françaises, le général Jean-Philippe Douin, a affirmé que la France était prête à adhérer à une nouvelle structure militaire de l'Alliance atlantique. Mais, l'année suivante, le refus américain d'attribuer à un Européen le commandement régional pour le sud de l'Europe (Naples) a mis un terme à cette démarche.

La fin de la guerre froide, synonyme de disparition de la menace soviétique et de démocratisation des pays de l'Europe de l'Est, a également obligé l'OTAN à s'interroger sur ses raisons d'être, tant la chute du mur de Berlin semblait dicter l'effacement d'une structure politico-militaire née pour répondre aux tensions Est-Ouest. Désireuse de justifier sa survie, l'OTAN a vu sa tâche facilitée par les enseignements tirés de la guerre du Golfe de 1990-1991 et du conflit dans l'ex-Yougoslavie, qui, tout autant que la nouvelle donne stratégique, ont imposé une révision de sa doctrine stratégique et une restructuration de ses forces.

Au lendemain de la guerre froide, l'OTAN a été contrainte de modifier ses structures pour être en mesure de faire face aux exigences de la nouvelle situation en Europe. L'Organisation a manifesté la volonté de se rénover en lançant un processus de coopération avec les États membres de l'ex-pacte de Varsovie, qui estiment vivre dans « un vide stratégique ». Les nouvelles missions ayant, a priori, pour terrain d'application privilégié l'Europe centrale et orientale, l'intégration des pays qui en font partie apparaît comme le corollaire logique de la volonté d'assurer la stabilité de cette partie de l'Europe. Pour répondre au désir d'adhésion que ceux-ci ont formulé, deux organismes ont été créés.

Le Conseil de partenariat euro-atlantique (CPEA)

Il a remplacé, en 1997, le Conseil de coopération nord-atlantique (COCONA), créé en novembre 1991, à l'instigation du président américain George Herbert Walker Bush, pour être un forum réunissant les représentants de l'Alliance atlantique et ceux des États de l'ex-pacte de Varsovie. Le CPEA offre le cadre général dans lequel ont lieu les consultations touchant aux questions politiques et à la sécurité, en vue d'un renforcement de la coopération entre les États européens, y compris les républiques de l'ex-URSS (soit, au total, 44 États).

Le Partenariat pour la paix (PPP)

Le Partenariat pour la paix (PPP) a été créé et proposé aux pays de l'ancienne Europe communiste dès 1994. Il se compose de 24 membres. En adhérant à ce Partenariat, les anciens pays communistes s'engagent à respecter et à défendre les principes du droit international, de même qu'à s'acquitter des obligations posées par la charte de l'ONU et à se conformer aux principes proclamés par la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948. Les partenaires doivent également réaffirmer qu'ils sont résolus à tenir les engagements pris en application de l'Acte final d'Helsinki ainsi que de la totalité des documents ultérieurs de la CSCE (Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe), devenue l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe).

En contrepartie, ils doivent être associés à des exercices militaires de l'OTAN, tels que des manœuvres communes et des échanges de personnels militaires ; dans certaines circonstances, ils doivent aussi être associés à des opérations de maintien de la paix. Enfin, ils ont la possibilité de recourir à l'article 4 du traité de l'Atlantique Nord, et peuvent donc demander des « consultations » aux pays membres de l'OTAN, s'il advient que leur intégrité territoriale, leur indépendance politique ou leur sécurité sont menacées. En revanche, ils ne peuvent pas bénéficier des dispositions de l'article 5.

Le PPP est un élément clé de l'instauration de nouvelles relations de sécurité entre l'Alliance et ses partenaires. Il est devenu une composante permanente de la sécurité européenne et a vocation à poursuivre sa fonction d'antichambre de l'OTAN. De fait, l'admission de pays d'Europe centrale et orientale en tant que membres à part entière a été l'une des questions fondamentales du sommet de Madrid, en juillet 1997. Le 12 mars 1999, la Hongrie, la Pologne et la République tchèque ont été les premiers d'entre eux à quitter le PPP pour faire leur entrée dans l'Alliance. En novembre 2002, la Bulgarie, l'Estonie, la Lettonie, la Lituanie, la Roumanie, la Slovaquie et la Slovénie sont invitées à rejoindre l'Alliance en mai 2004.

Le Conseil OTAN-Russie

Depuis la fin de la guerre froide, l'OTAN a également tenu à amorcer le dialogue avec la Russie, l'Ukraine et certains pays d'Afrique du Nord et du Proche-Orient. Ainsi, le 27 mai 1997, à Paris, les membres de l'Alliance atlantique et la Fédération de Russie ont signé l'Acte fondateur instituant les relations de coopération et de sécurité mutuelles entre eux et crée un Conseil permanent conjoint, transformé en Conseil OTAN-Russie le 28 mai 2002. La « charte sur un partenariat spécifique entre l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord et l'Ukraine » a été paraphée à Sintra, au Portugal, le 29 mai 1997.

L'OTAN et le Proche-Orient

Par ailleurs, à Bruxelles, le 8 février 1995 et lors de la réunion interministérielle tenue à Sintra le 29 mai 1997, le Conseil de l'Atlantique Nord a décidé d'entamer un dialogue direct avec l'Égypte, Israël, la Jordanie, la Mauritanie, le Maroc et la Tunisie afin que ces pays apportent « leur contribution à la paix et à la sécurité dans la région ».

La multiplication des conflits qui ont fait suite à la guerre froide dans l'ex-Yougoslavie et dans l'ex-URSS a montré que la disparition de la menace globale que représentait pour l'Europe occidentale l'Union soviétique ne signifiait pas la fin de l'insécurité. Dans la perspective de ces nouveaux défis, et dans le cadre de « la conception élargie de la sécurité », formulée à Rome en novembre 1991, l'OTAN a cherché à redéfinir ses missions, afin de conserver le rôle majeur dans la gestion des crises à venir.

Le document établi à Rome énonce les principes qui déterminent le rôle futur de l'OTAN dans le système de sécurité de la nouvelle Europe. Le dialogue, la coopération ainsi que le maintien d'un potentiel de défense collectif sont les éléments clés de la nouvelle stratégie de l'Alliance, éléments qui doivent permettre de résoudre de manière pacifique les crises affectant la sécurité européenne. Ce nouveau concept autorise des interventions de l'Alliance au-delà des frontières des pays membres (il s'agit du « hors zone »). Il est affirmé que « le rôle fondamental des forces nucléaires des Alliés est politique : préserver la paix et prévenir la coercition et toute forme de guerre ». Lors du sommet de Bruxelles de janvier 1994, les chefs d'État et de gouvernement des pays alliés ont reconnu la menace que constitue la prolifération des armes de destruction massive pour la sécurité internationale. Les forces nucléaires sont devenues « l'arme du dernier recours ».

L'OTAN a aujourd'hui abandonné la stratégie de l'« avant » et a adopté un dispositif de joint precision interdiction ; ses forces doivent être capables d'opérer des frappes au-delà de l'Europe orientale, et jusque dans la profondeur du dispositif ennemi. En 1991, les huit corps d'armée nationaux ont été remplacés par cinq corps d'armée multinationaux. Une force de réaction rapide de 70 000 hommes, rassemblant des divisions multinationales, est en mesure d'intervenir à tout moment sur le territoire européen de l'Alliance.

De nouvelles structures de commandement sont également conçues avec la mise en œuvre de QG multinationaux et interarmées, et celle de Groupes de forces interarmées multinationales (GFIM). Ces forces doivent être interopérables et disposer de doctrines ainsi que de technologies adaptées.

Enfin, l'OTAN. adopte une approche globale de la sécurité, considérant que les intérêts de l'Alliance peuvent être mis en cause par des actes relevant du terrorisme, du sabotage et du crime organisé, aussi bien que par la rupture des approvisionnements en ressources vitales.

L'OTAN n'a jamais eu à intervenir militairement au moment des plus vives tensions entre les blocs américain et soviétique. Paradoxalement, c'est au moment où l'Alliance voit disparaître son objectif initial – faire face à la menace soviétique – que des missions nouvelles s'ouvrent à elle. Elle doit désormais s'acquitter de tâches de maintien de la paix et gérer les crises en coopération avec des pays qui n'en sont pas membres, ainsi qu'avec d'autres organisations internationales.

Pour sa première intervention à l'étranger depuis la fin de la guerre froide, l'OTAN a participé, en 1994, à la zone d'exclusion aérienne au-dessus de la Bosnie-Herzégovine. C'est à la demande de l'ONU que les appareils de l'Alliance atlantique sont intervenus contre l'aviation serbe qui survolait l'espace aérien bosniaque. Le Conseil de sécurité de l'ONU a donné, le 15 décembre 1995, autorité à l'OTAN pour faire appliquer, si nécessaire en recourant à la force, les dispositions militaires de l'accord de paix sur la Bosnie-Herzégovine, signé à Paris le 14 décembre 1995. Aux termes de cet accord, l'OTAN a pris le relais de la force de protection de l'ONU (la FORPRONU) qui avait été déployée, en mars 1992, dans l'ex-Yougoslavie pour accomplir une mission de maintien de la paix, de séparation des forces en présence et d'assistance humanitaire. La force multinationale de mise en application de la paix (IFOR) a achevé sa mission en décembre 1996 et a été remplacée par une force de stabilisation de la paix (SFOR), plus réduite, et qui s'emploie à faire exécuter l'accord de paix dans son intégralité.

Cette première opération militaire d'envergure de l'OTAN a été réalisée selon des modalités qui n'avaient pas été imaginées lors de sa fondation. Pour la première fois depuis 1949, l'OTAN est sortie de sa zone traditionnelle d'intervention telle qu'elle avait été définie à l'origine. Enfin, il s'agit également de la première opération de l'OTAN avec des pays non membres de l'Organisation : la Russie, le Danemark, la Norvège, la Suède, la Finlande, la Pologne, la Lituanie, l'Estonie, la Lettonie et la Turquie, qui tous ont participé à l'opération « Effort concerté ».

Depuis, l'OTAN s'est engagée au Kosovo (1999), en Macédoine (2001), dans le cadre de la mission « Moissons essentielles » (récupération des armes des militaires de l'UCK [Armée de libération du Kosovo]) et en Afghanistan où elle assure, depuis août 2003, le commandement de la Force internationale d'assistance et de sécurité (FIAS), déployée autour de Kaboul. C'est la première fois que l'OTAN intervient hors de la zone « euro-atlantique ». Le sommet de Prague du 21 novembre 2002 a tiré, en effet, les enseignements des attentats du 11 septembre 2001 pour mieux prendre en compte la menace terroriste.

Au-delà de la nature de ses missions et de l'étendue de la zone géographique qu'elle couvre, c'est surtout la structure de l'OTAN que la fin de la guerre froide a mise en cause, dans la mesure même où la disparition de la menace globale que représentait le bloc soviétique a libéré de facto l'Europe de sa dépendance à l'égard de Washington. Cela explique que la fin des années 1990 ait été marquée par une course de vitesse entre les partisans d'un renforcement de l'Identité européenne de sécurité et de défense (IESD) au sein de l'OTAN – le retour de la France jouant alors le rôle de moteur – et ceux qui visaient à l'« otanisation » de l'Union de l'Europe occidentale (UEO), considérée par le traité de Maastricht lui-même comme le « bras armé » de l'Union européenne. Or, celle-ci, en se dotant des instruments propres à la mise en place de la politique européenne de sécurité et de défense (PESD), a ôté sa finalité à l'UEO, qui a mis fin à son existence en novembre 2000.

Désormais, l'OTAN soutient pleinement le développement de l'Identité européenne de sécurité et de défense. Les Américains ne la conçoivent plus comme une concurrente, mais comme le moyen de renforcer le lien transatlantique sur une base plus équilibrée. Le Conseil européen de Feira (juin 2000) a décidé de mettre en place des relations spécifiques entre l'OTAN et l'Union européenne sous la forme de groupes chargés d'étudier les capacités militaires, les questions de sécurité, les modalités de transfert des moyens de l'OTAN à l'UE et les arrangements permanents entre les deux organisations. Ces derniers ont été précisés lors du Conseil européen de Göteborg (juin 2001).

euromissiles

Systèmes balistiques nucléaires intermédiaires (missiles SS 20 et Pershing 2, missiles de croisière), ayant une portée comprise entre 1 000 et 5 500 km. Ils furent déployés en Europe par les Soviétiques et les Américains, entre 1977 et décembre 1987, date à laquelle fut signé le traité sur les Forces nucléaires intermédiaires (F.N.I.), officialisant le début de leur démantèlement, avant leur complète destruction.

O.S.C.E. (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe)

Nouveau nom donné à la C.S.C.E. (Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe), en janvier 1995. Elle regroupe tous les États de Vancouver à Vladivostok, afin de renforcer la sécurité commune et la prévention des conflits.

G.F.I.M. (Groupe de forces interarmées multinationales)

Il se caractérise par ses structures d'état-major, sa logistique, ses unités militaires et ses capacités de renseignement.


Gambier Karine

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Karine Gambier est une actrice pornographique française qui a tourné essentiellement entre 1975 et 1980. Elle est également créditée sous les noms de Karine Stephen, Brigette Lanning, Simone Sanson, Barbara Sellers, Barbara Stephen.

Gambier Karine

Blonde pulpeuse, elle fut la rivale de Brigitte Lahaie. Mais non motivée par le vedettariat, elle semble aujourd'hui oubliée en France en dehors du cercle des cinéphiles du cinéma X, et cela malgré une filmographie importante et une collaboration avec de grands réalisateurs dont Francis Leroi, Alain Payet et Claude Bernard-Aubert.

Elle est révélée en 1976 par Shocking ! de Claude Mulot, un film inspiré par La Grande bouffe de Marco Ferreri, au scénario assez simpliste : « Quelques bourgeois apprenant que ce jour est le dernier avant l'anéantissement nucléaire de la Terre, passent leurs dernière heures ... ». La même année elle tient la vedette de Luxure que Max Pécas réalise en deux versions (softcore et hardcore).

Elle tourne à plusieurs reprises pour Claude Bernard-Aubert (alias Burd Tranbaree) dans des succès du X comme Sarabande porno, La Grande Mouille ou La Rabatteuse. On la voit aussi dans plusieurs productions allemandes (Schulmädchen-Report 11, Josefine Mutzenbacher 2)2 ainsi que dans les pages de nombreux magazines à travers l'Europe (Mayfair, Pleasure, Frivool, Private, Supersex).

En parallèle de sa carrière pornographique, elle a tourné pour des productions érotiques. C'est ainsi qu'on la voit dans Gefangene Frauen (1979) d'Erwin C. Dietrich et dans quatre films de Jess Franco : Deux sœurs vicieuses (1977), Voodoo Passion (1977), Des femmes pour le bloc 9 (1977) et Cocktail spécial (1978).

Filmographie

  • 1976 : Porn's Girl de Guy Maria : Ginette
  • 1976 : Désirs inavouables de Joséphine ou Josefine Mutzenbacher - Mein Leben für die Liebe ou Josefine Mutzenbacher - Wie sie wirklich war: 2 ou Vicieuses expertes de Gunter Otto : Steffi
  • 1976 : Mes nuits avec Alice, Pénélope, Arnold, Maud et Richard de Claude Mulot : Karine, l'amie de Charlène (version soft)
  • 1976 : La Comtesse Ixe ou Sueurs chaudes de Jean Rollin : la comtesse Ixe
  • 1976 : Luxure de Max Pécas : Laure (version soft et hard)
  • 1976 : Shocking ! de Claude Mulot : Patricia (avec Emmanuelle Parèze, Marie-Christine Chireix, Carole Gire)
  • 1976 : Échanges de partenaires de Claude Mulot : Joëlle
  • 1976 : Les Demoiselles de pensionnat de Jean-Claude Roy (version soft et hard)
  • 1976 : Projections spéciales de Jean-Louis van Belle : Carole (comme Diana Love)
  • 1977 : Les Hôtesses du sexe de Didier Philippe-Gérard : la deuxième hôtesse
  • 1977 : Insomnies sous les tropiques de Claude Mulot
  • 1977 : Délires porno de Didier Philippe-Gérard : l'héroine « Shaft »
  • 1977 : Fais-moi tout ou Moi, je fais tout d'Henri Sala
  • 1977 : Délectations de Jean Luret (film soft)
  • 1977 : Schulmädchen-Report 11. Teil - Probieren geht über Studieren ou Jeux d'amour au collège de Ernst Hofbauer : Regine Schmerholz (film soft)
  • 1977 : Mains douces et lèvres chaudes d'Henri Sala : Juliette
  • 1977 : Prouesses Porno ou Hommes de joie pour femmes en chaleur de Claude Bernard-Aubert
  • 1977 : Vicieuses et insatisfaites d'Henri Zaphiratos
  • 1977 : La Grande Baise ou Sexual Circles de Claude Mulot : Dolly
  • 1977 : Cailles sur canapé de Serge Korber : Suzie, une secrétaire
  • 1977 : J'ai très envie de Michel Caputo
  • 1977 : Sarabande porno ou Esclaves sexuelles sur catalogue de Claude Bernard-Aubert
  • 1977 : Bangkok Porno ou Bangkok Connection ou La pornographie thaïlandaise d'Alain Payet
  • 1977 : Deux sœurs vicieuses ou Ton diable dans mon enfer ou Die Teuflischen Schwestern de Jess Franco : Millie (film soft)
  • 1977 : Le cri d'amour d'un déesse blonde ou Der Ruf der blonden Göttin ou Voodoo Passion de Jess Franco : Olga (film soft)
  • 1977 : Pornotissimo de Serge Korber : la secrétaire
  • 1978 : Porno Roulette
  • 1978 : Massagesalon Elvira de Hans Billian : Judith
  • 1978 : Baise-moi partout ou Attention, je vais jouir de José Benazeraf
  • 1978 : Rentre c'est bon de Maxime Debest : Florence
  • 1978 : Furia sexuelle de Jean Desvilles
  • 1978 : La Rabatteuse de Claude Bernard-Aubert : Inge (comme Barbara Stephen)
  • 1978 : La Servante perverse ou Lèche-moi partout de Francis Leroi (comme Karine Stephen)
  • 1978 : Les Chattes en feu de Jean Desvilles
  • 1978 : Des femmes pour le bloc 9 ou Cellule 9 de Jess Franco : Karine (film soft)
  • 1978 : Je suis à prendre de Francis Leroi : Maguy (comme Carine Stephen)
  • 1978 : Étreintes de René Mazin
  • 1978 : Veuves en chaleur de Claude Bernard-Aubert : Valérie
  • 1978 : Cocktail spécial de Jess Franco : Sandra
  • 1978 : La Grande Levrette de Claude Bernard-Aubert : Marie-Claude
  • 1978 : Je cris... je jouis de Claude Bernard-Aubert
  • 1978 : Poupée la pipe d'Anne-Marie Tensi : Mme Anciot
  • 1978 : Obsessions pornos d'Alain Payet
  • 1978 : Perversions très intimes ou Prends-moi, je suis encore vierge de Michel Caputo
  • 1978 : Lust Injeltion-Eine Spritze der Lust d'Andreas Katsimitsoulias
  • 1979 : Queue de béton de Michel Caputo : la femme de ménage
  • 1979 : Lycéennes perverses de Raphaël Delpard
  • 1979 : Anna, cuisses entrouvertes de José Benazeraf
  • 1979 : Scrabble partouzes ou Le rodéo du sexe d'Alain Payet
  • 1979 : Parties chaudes ou les délices de l'adultère de Claude Bernard-Aubert : (comme Barbara Stephen)
  • 1979 : Gamines à tout faire d'Alain Payet
  • 1979 : Auto-stoppeuses en chaleur de Claude Bernard-Aubert (comme Karen Stephen)
  • 1979 : Grimpe-moi vite ou Remplis-moi vite ou La vendeuse de Lazlo Renato : Martine Frojac
  • 1979 : Orgies pour jouir d'Yves Prigent : l'amie de Joëlle
  • 1979 : Rien que par derrière de Norbert Terry : Patricia (comme Karine Stephen)
  • 1979 : La Grande Mouille ou Chattes mouillées ou Extases totales ou Parties de chasse en Sologne de Claude Bernard-Aubert : une chasseuse (comme Karine Stephen)
  • 1979 : Les Enfonceuses expertes ou les aventures d'une petite fille perverse d'Alain Payet
  • 1979 : Chloé, l'obsédée sexuelle de Michel Caputo
  • 1979 : J'ai rien dessous ou Attention peinture fraîche de Gérard Grégory : la cliente du garage
  • 1979 : Refais-le moi encore de Pierre B. Reinhard
  • 1979 : Jouissances profondes de Michel Caputo
  • 1979 : Les Suceuses de Claude Bernard-Aubert : une infirmière (comme Barbara Stephen)
  • 1979 : Je te suce, tu me suces, il nous... de José Benazeraf
  • 1979 : Petites filles très précoces ou Confidences d'une petite vicieuse de Michel Caputo
  • 1979 : Les Pipeuses ou Collégiennes en délire de Charles Giny
  • 1980 : Die Nichten der Frau Oberst ou Les bourgeoises de l'amour d'Erwin C. Dietrich : Frau Oberst (comme Simone Sanson, film soft)
  • 1980 : L'infirmière n'a pas de culotte ou La clinique en délire de Francis Leroi (avec Danièle David, Diane Dubois, Céline Galone, Barbara Moose, Danièle Troeger)
  • 1980 : Gefangene Frauen ou Les prisonnières de l'île aux rats ou Le corps et le fouet d'Erwin C. Dietrich : Carla, la gardienne (comme Simone Sanson, film soft avec Brigitte Lahaie, France Lomay)
  • 1980 : Cuisses ouvertes ou Initiation à l'échangisme de Jean-Claude Roy (comme Barbara Sellers)
  • 1980 : Les Petites Écolières de Claude Mulot : une fille du bar (rôle soft, non crédité)
  • 1980 : Femmes brûlantes ou Langues de petites chattes ou Langues de petites filles d'Alain Payet
  • 1981 : Un Membre de fer d'Anne-Marie Tensi
  • 1981 : Enquêtes ou Call Girls de luxe de Gérard Kikoïne : Karine
  • 1981 : European Sex Vacation d'Andreas Katsimitsoulias

Perello Michèle

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Michèle Perello, de son vrai nom Michèle Peirello, est une actrice française née le 28 décembre 1942 à Marseille et décédée le 10 janvier 2004 à Paris1. Elle est essentiellement apparue dans des productions érotiques des années 1970.

Perello Michèle

Michèle Perello débute comme mannequin après avoir remporté de nombreux titres de miss : Miss Côte d'Azur, Miss Communauté, Miss Marseille, Miss Saint-Raphaël. Elle fait ses premières apparitions au cinéma en 1960. Michèle Perello tient son premier rôle consistant au cinéma en 1970 face à Anny Duperey dans La Rose écorchée de Claude Mulot. Dans Morgane et ses nymphes, Bruno Gantillon déshabille l'actrice qui fait ensuite l'essentiel de sa carrière dans des films érotiques. Elle travaille notamment à trois reprises pour Christian Lara. Le réalisateur lui donne l'occasion de montrer, à trente ans, ses talents d'actrice.

Après avoir tourné des inserts destinés à « caviarder » Le Cri du désir d'Alain Nauroy, l'actrice franchit résolument le pas du hardcore dans Corps brûlants de Christian Lara3. Dans ces deux films qui la mettent en vedette, elle tient, avec un égal bonheur, le rôle d'une initiatrice « à la fois étonnamment fragile et autoritaire à l'instant où elle cède à ses pulsions ». Elle tourne aussi pour José Bénazéraf (Les Deux Gouines, Les Incestueuses ) et Serge Korber (Excès).

Elle incarne en 1980 une des protagonistes du thriller d'Yves Prigent Le Transfuge. Dans les années 1980, elle refait quelques apparitions à l'écran dans des productions classiquescomme Urgence de Gilles Béhat . Dans les années 1960, elle fut la compagne de Hubert Wayaffe, animateur à Europe 1, avec qui elle a eu un fils, Richard.

Filmographie

  • 1960 : Me faire ça à moi, de Pierre Grimblat : (avec Eddie Constantine et Bernadette Lafont)
  • 1960 : Les filles sèment le vent, de Louis Soulanes
  • 1970 : La Rose écorchée, de Claude Mulot : Agnès 7
  • 1971 : Morgane et ses nymphes, de Bruno Gantillon : Anna
  • 1971 : Madame êtes-vous libre ?, téléfilm de Claude Heymann : l'amie de Philippe
  • 1972 : La Scoumoune, de José Giovanni : (avec Jean-Paul Belmondo et Claudia Cardinale)
  • 1973 : Jeu de dames (ou Sex revolution), de Christian Lara : Nora
  • 1973 : Prenez la queue comme tout le monde, de Jean-François Davy : la secrétaire de Claude
  • 1973 : Les Infidèles, de Christian Lara : Sophie, la mère de Julien 8
  • 1975 : Les Deux Gouines (ou Victoire et Isabelle), de José Bénazéraf : Michelle 7
  • 1975 : Les Incestueuses, de José Bénazéraf : la propriétaire
  • 1975 : Les Ravageuses du sexe (Les Demoiselles à péage), de Richard Balducci : Pauline 9
  • 1975 : La Fille à la sucette, de Daniel Daert : Laura 10
  • 1976 : Corps brûlants, de Christian Lara : Hélène
  • 1976 : Excès, de Serge Korber  : Maryse, l'amie de Jeanne
  • 1977 : Le Cri du désir, d'Alain Nauroy : Françoise Beauchamps
  • 1977 : Cailles sur canapé, de Serge Korber : Simone (Images d'archives)
  • 1980 : Ta gueule, je t'aime !, de Serge Korber : Simone
  • 1980 : Plaisirs secrets, de Serge Korber (Images d'archives)
  • 1982 : Corri come il vento, Kiko, de Sergio Bergonzelli : Lorraine
  • 1982 : Le Transfuge, d'Yves Prigent : Erika
  • 1985 : Urgence, de Gilles Béhat : la mère de Tim 8
  • 1988 : Corps z'a corps, d'André Halimi 8

Photographie

  • 1971 : Parade (Royaume-Uni), n°1634, du 17 avril 1971 - couverture
  • 1971 : Rex (Royaume-Uni), n°16, 1971
  • 1974 : Daring (Royaume-Uni), juin 1974 - couverture
 

Pozzi Moana

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Moana Pozzi, de son nom patronymique Anna Moana Rosa Pozzi, née le 27 avril 1961 à Gênes et morte le 15 septembre 1994 à Lyon, est une actrice, actrice de films pornographiques et soubrette italienne.

Pozzi Moana

En 1991, Moana Pozzi cofonde, avec l'actrice du X d'origine hongroise Ilona Staller, le « Parti de l'amour » (Partito dell'Amore) en Italie qui milite pour la légalisation des maisons closes, la promotion d'une meilleure éducation sexuelle et la création de « parcs de l'amour ». Elle meurt à l'Hôtel-Dieu de Lyon d'un cancer du foie (carcinome hépatocellulaire).

 

Filmographie 

  • 1989 - Les Ingénues (Backfield in Motion)
  • 1990 - Les Ingénues 2 (The Rise of the Roman Empress 2)
  • 1990 - Italie folies 1 (Inside Napoli 1)
  • 1990 - Italie folies 2 (Inside Napoli 2)
  • 1992 - Docteur Angelica (Le professoresse di sessuologia applicata)

Pierro Marina

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Marina Pierro, née en 1960 à Naples, est une actrice italienne. Elle a joué dans de nombreux films de Walerian Borowczyk (tels que Docteur Jekyll et les femmes ou Cérémonie d'amour).

Pierro Marina

Découverte par Luchino Visconti, Marina Pierro joue un de ses premiers rôles dans L'Innocent (1976). Elle devient l'égérie de Walerian Borowczyk et jouera dans la majorité de ses films à partir de 1978. Une première apparition dans Interno di un convento (Intérieur d'un couvent), puis se succèdent plusieurs films controversés que l'on qualifia d'érotiques et de surréalistes. Depuis la disparition de Walerian Borowczyk Marina Pierro n'est plus apparue à l'écran. Marina Pierro se consacre aujourd'hui à des travaux d'écriture et réalise des essais videos.

Filmographie

  • 1976 : L'Innocent de Luchino Visconti
  • 1978 : Intérieur d'un couvent (Interno di un convento) de Walerian Borowczyk
  • 1979 : Les Héroïnes du mal de Walerian Borowczyk
  • 1981 : Docteur Jekyll et les femmes de Walerian Borowczyk
  • 1982 : La Morte vivante de Jean Rollin
  • 1983 : L'Art d'aimer (Ars amandi) de Walerian Borowczyk
  • 1987 : Cérémonie d'amour de Walerian Borowczyk
  • 1990 : Série rose ( Un traitement justifié / épisode de Walerian Borowczyk)

Grimaldi Eva

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Eva Grimaldi, née le 7 septembre 1961 à Vérone, est une actrice italienne de cinéma et de télévision.

Grimaldi Eva Grimaldi Eva Grimaldi Eva

Filmographie

  • Il peccato e la vergogna (2010) TV : Liliana
  • Mogli a pezzi (2008) TV : Sofia (episodes inconnus)
  • Caterina e le sue figlie (2007) TV : Eleonora
  • Domani è un'altra truffa (2006) TV : L'aspirante actrice
  • The Fine Art of Love: Mine Ha-Ha (2005) : Simba
  • Il bello delle donne (2002) TV : Elfride De Contris
  • Occhi verde veleno (2001) TV
  • La casa delle beffe (2000) TV
  • Tre stelle (1999) TV : Anna Folena
  • Un bacio nel buio (1999) TV
  • Paparazzi (1998) : Eva
  • Ladri si diventa (1998) TV : Vanessa
  • Simpatici & antipatici (1998) : Michela
  • Ladri si nasce (1997) TV
  • La signora della città (1996) TV : Nadiuska
  • Les Anges gardiens (1995) : Regina Podium
  • Le Retour d'Arsène Lupin (1995) TV : Arlètte Forlano
  • Cari fottutissimi amici (1994) : Topona
  • Abbronzatissimi 2 - un anno dopo (1993) : Stella
  • Vendetta II: The New Mafia (1993) TV : Brenda Lamanna
  • Mutande pazze (1992) : Stefania
  • L'angelo con la pistola (1992) : Teresa
  • Cattive ragazze (1992)
  • Abbronzatissimi (1991) : Elide
  • Vendetta: Secrets of a Mafia Bride (1991) TV : Brenda
  • Per sempre (1991) : Berenice Rondi
  • Dames galantes (1990) : Jeanne de Tignonville
  • Jours tranquilles à Clichy (1990) : Yvonne
  • Valse d'amour (Tolgo il disturbo) (1990) : Ines
  • Alcune signore per bene (1990) : Kiki
  • Classe di ferro (1989) TV : Carmen
  • Intimo (1989) : Tea
  • Kinski Paganini (1989) : Marie Anna Elise Bonaparte
  • La maschera del demonio (1989) : Anibas
  • Un sapore di paura (1988) : Pearl
  • Rimini, Rimini - un anno dopo (1988) : Flaminia Longheroni (La scelta)
  • Vincere per vincere (1988) TV : La consolatrice
  • Delitti e profumi (1988) : Porzia
  • Ratman (Quella villa in fondo al parco) (1988) : Marlis
  • Mia moglie è una bestia (1988) : Huc
  • Black Cobra (Cobra nero) (1987) : Elys Trumbo
  • Intervista (1987) : Actrice
  • La monaca del peccato (1986) : Maria Susanna Simonin
  • Ferragosto O.K. (1986) TV : La comtesse - cliente de l'auberge
  • D'Annunzio (1985) : Viola
  • Drive in (1983) TV : Personnages variés

Gavin Erica

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Erica Gavin est une actrice américaine née le 22 juillet 1947 à Los Angeles en Californie. Elle est connue particulièrement pour avoir interprété le rôle-titre du film Vixen! de Russ Meyer en 1968.

Gavin Erica

Filmographie

  • 1968 : Initiation : Jan
  • 1968 : Vixen! : Vixen Palmer
  • 1970 : La Vallée des Plaisirs / Orgissimo (Beyond the Valley of the Dolls) : Roxanne
  • 1971 : Erika's Hot Summer : Erika
  • 1973 : Godmonster of Indian Flats
  • 1974 : Caged Heat : Jacqueline Wilson
  • 2008 : 3 Stories About Evil : madame Harris

Giorgi Eleonora

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Eleonora Giorgi (née le 21 octobre 1953 à Rome dans la région du Latium) est une actrice italienne, fille d'un père romain et d'une mère hongroise.

Giorgi Eleonora

Eleonora Giorgi a débuté avec un rôle de figuration dans le giallo de Paolo Cavara, La Tarentule au ventre noir. Puis elle a poursuivi avec Les Rangers défient les karatékas de Bruno Corbucci. En 1977, elle décroche un premier rôle dans Liberi armati pericolo où elle côtoie Tomás Milián. Mais c'est sa présence dans Inferno (1980) de Dario Argento, et sa mort horrible qui lui donne l'un de ses plus beaux rôles au cinéma. 

Elle enchaîne avec Nudo di donna (1981) de et avec Nino Manfredi. En 1982, elle donne la réplique à Marcello Mastroianni dans Oltre la porta de Liliana Cavani. Eleonora Giorgi a quitté pendant un certain temps le monde du cinéma pour entretenir une ferme à la campagne. En 2009, sortira son deuxième film L'Ultima estate.

Filmographie

  • 1973 : Une histoire du 17ème siècle (Storia di una monaca di clausura) de Domenico Paoleta
  • 1974 : Péché véniel (Peccato veniale) de Salvatore Samperi
  • 1975 : En 2000, il conviendra de bien faire l'amour (Conviene far bene l'amore) de Pasquale Festa Campanile
  • 1976 : Cœur de chien (Cuore di cane) d'Alberto Lattuada
  • 1977 : Caresses bourgeoises (Una spirale di nebbia) d'Eriprando Visconti
  • 1979 : Oublier Venise (Dimenticare Venezia) de Franco Brusati
  • 1980 : Inferno de Dario Argento
  • 1982 : Borotalco de Carlo Verdone

Poutine veut "forcer" Kiev à négocier avec les séparatistes

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Le président russe veut que l'Ukraine entame des négociations "sur le fond", tout en rappelant que l'avenir de la Crimée était bien en Russie.

Poutine veut "forcer" Kiev à négocier avec les séparatistes

Le président russe Vladimir Poutine a déclaré vendredi qu'il fallait "forcer" Kiev à négocier "sur le fond" avec les séparatistes pro-russes qui affrontent les forces armées ukrainiennes dans l'est de l'Ukraine. "Il faut forcer les autorités ukrainiennes à entamer des négociations sur le fond. Pas sur des questions techniques (...), mais sur le fond (...) : quels seront les droits de la population du Donbass, de Lougansk, du sud-est du pays ?" a-t-il lancé lors d'un forum de la jeunesse russe. Le président a aussi regretté que Kiev refuse, selon lui, d'évacuer les forces ukrainiennes encerclées par les rebelles dans l'est de l'Ukraine, via le couloir humanitaire qu'il a demandé aux séparatistes russes d'établir vendredi.

Soldats "perdus"

"Je pense qu'il s'agit d'une erreur colossale qui va mener à d'importantes pertes de vies humaines", a-t-il prévenu, ajoutant que "cela lui rappelait les événements de la Seconde Guerre mondiale". Le président a aussi annoncé que son homologue ukrainien, Petro Porochenko, l'avait assuré que les soldats russes, que Kiev a annoncé lundi avoir arrêtés sur son territoire, reviendraient sous peu en Russie. "Je vous le dis sérieusement, je pense qu'ils s'étaient perdus, la frontière (russo-ukrainienne) n'est pas clairement marquée", a-t-il assuré. Vladimir Poutine a aussi affirmé que la Crimée, "lieu sacré" pour les Russes, ne reviendrait pas dans le giron de Kiev, lançant que "le peuple russe et le peuple ukrainien sont quasiment un seul et même peuple", déclenchant les applaudissements du public. "Cette guerre est notre énorme tragédie", a-t-il regretté.

Guida Gloria

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Gloria Guida (née le 19 novembre 1955 à Merano, dans la province de Bolzano dans le Trentin-Haut-Adige) est une actrice italienne . Elle est retirée du cinéma après son mariage en 1991 avec Johnny Dorelli. Elle est mère d’une fille.

Guida Gloria Guida Gloria Guida Gloria

Filmographie

  • 1974 : La ragazzina : Monica
  • 1974 : La minorenne
  • 1974 : La ragazzina : Monica
  • 1975 : Blue Jeans : Daniela Anselmi (Blue Jeans)
  • 1975 : Il gatto mammone : Marietta
  • 1975 : Il solco di pesca : Tonina
  • 1975 : À nous les lycéennes (La liceale) : Loredana
  • 1975 : La novizia : Maria
  • 1975 : Peccati di gioventù : Angela Batrucchi
  • 1975 : Quella età maliziosa : Paola
  • 1976 : Il medico... la studentessa : Claudia Raselli
  • 1976 : L'affittacamere : Giorgia Mainardi
  • 1976 : Ragazza alla pari
  • 1976 : Scandalo in famiglia
  • 1977 : Maschio latino cercasi : Gigia
  • 1977 : Orazi e curiazi 3-2
  • 1978 : Travolto dagli affetti familiari
  • 1978 : Indagine su un delitto perfetto : Alice
  • 1978 : Les lycéennes redoublent (La liceale nella classe dei ripetenti) : Angela
  • 1978 : Avere vent'anni : Lia
  • 1978 : The Bermuda Triangle : Michelle
  • 1979 : La liceale seduce i professori : Angela Mancinelli
  • 1979 : L'infermiera di notte : Angela Della Torre
  • 1979 : La liceale, il diavolo e l'acquasanta : Luna
  • 1980 : Fico d'India : Lia Millozzi
  • 1981 : Bollenti spiriti : Marta
  • 1982 : Les Derniers Monstres (Sesso e volentieri) : Linda
  • 1982 : La casa stregata : Candida
  • 1988 : Festa di Capodanno
  • 1989 : Finalmente venerdì

Gemser Laura

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Laura Gemser, née Laurette Marcia Gemser le 5 octobre 1950 à Surabaya (Java, Indonésie), est une actrice et costumière italienne d'origine indonésienne. Elle est aussi connue sous les noms de Moira Chen et de Laura M. Gemser. Laura Gemser est généralement considérée comme l'une des icônes érotiques les plus connues des années 1970.

Gemser LauraGemser Laura

Après avoir posé pour divers magazines aux Pays-Bas, elle participe à quelques films érotiques comme Emmanuelle l'antivierge (Emmanuelle 2) de Francis Giacobetti avec Sylvia Kristel. C'est une autre Emanuelle (avec un seul « m », copyright oblige) qui lui apporte une reconnaissance internationale : Black Emanuelle qu'elle incarne dans une dizaine de films. Bien qu'elle apparaisse dans de nombreux films comportant des scènes pornographiques, ses rapports sont toujours simulés : les scènes les plus connues des Black Emmanuelle étant l'œuvre de doublures.

En plus de la gloire, la série des Black Emanuelle donne à l'actrice l'occasion de faire deux rencontres déterminantes. Une rencontre amoureuse d'abord pendant le tournage de Black Emanuelle en Afrique en la personne de Gabriele Tinti, de dix-huit ans son aîné, qu'elle épouse en 1976. Le couple se retrouvera souvent à l'écran et restera uni jusqu’à ce qu'un infarctus emporte l'acteur le 12 novembre 1991.

Laura Gemser aura ensuite une rencontre professionnelle avec Joe D'Amato avec qui l'actrice collaborera près de trente fois. Des titres comme Viol sous les tropiques (1977) ou La Nuit fantastique des morts-vivants (1980) sont aujourd'hui considérés comme des films érotiques/d'horreur italiens cultes. Elle participe à la période dite « érotico-exotique » du réalisateur, donnant la réplique à Dirce Funari et George Eastman, laissant le soin à Annj Goren, Lucía Ramírez et Mark Shannon de tourner les séquences hardcore.

Elle tourne ensuite dans Ator l'invincibile, inspiré par le succès de Conan le barbare. Le réalisateur, revenu à l'érotisme soft l'emploie encore dans trois films à succès avec Lilli Carati en vedette : L'Alcôve, Il Piacere et Voglia di guardare. Elle fera encore beaucoup de petites apparitions non créditées, travaillant en parallèle comme costumière.

Filmographie

  • 1974 : Amore libero - Free Love de Pier Ludovico Pavoni : Janine
  • 1975 : Emmanuelle l'antivierge (Emmanuelle 2) de Francis Giacobetti : une masseuse
  • 1975 : Black Emanuelle en Afrique (Emanuelle nera) de Bitto Albertini : Mae Jordan / Emanuelle
  • 1976 : Voto di castità de Joe D'Amato : la femme de ménage
  • 1976 : La Spiaggia del desiderio (Emanuelle de l'île Taboo) d' Enzo D'Ambrosio et Humberto Morales : Haydee
  • 1976 : Deux Super-flics (I Due superpiedi quasi piatti) de Enzo Barboni : Susy Lee
  • 1976 : La Possédée du vice (Emanuelle nera: Orient reportage) de Joe D'Amato : Emanuelle
  • 1976 : Eva nera (Voluptueuse Laura) de Joe D'Amato : Eva
  • 1976 : Velluto nero (Vicieuse Emmanuelle / Vicieuse et manuelle) de Brunello Rondi : Laura
  • 1976 : Le Voyage des damnés (Voyage of the Damned) de Stuart Rosenberg : Estedes Friend
  • 1977 : Black Emanuelle en Amérique (Emanuelle in America) Joe D'Amato : Emanuelle
  • 1977 : Suor Emanuelle (Emanuelle et les collégiennes) de Giuseppe Vari : Emanuelle
  • 1977 : Black Emanuelle autour du monde (Emanuelle - Perché violenza alle donne?) de Joe D'Amato : Emanuelle
  • 1977 : I due superpiedi quasi piatti: Susy Lee
  • 1977 : Viol sous les tropiques (Emanuelle e gli ultimi cannibali) de Joe D'Amato : Emanuelle
  • 1978 : L'Infermiera di campagna (Emanuelle in the Country) de Joe D'Amato : Docteur Selenia Anselmi
  • 1978 : Exit 7 d' Emile Degelin : l'hôtesse de l'air
  • 1978 : Emanuelle et les filles de Madame Claude (La Via della prostituzione) de Joe D'Amato : Emanuelle
  • 1978 : La Mujer de la tierra caliente (Le tropique du désir) de José María Forqué : la femme
  • 1978 : Voglia di donna (Chevauchées perverses) de Franco Bottari : la princesse africaine
  • 1979 : Secrets érotiques d'Emmanuelle (I Mavri Emmanouella) de Ilias Mylonakos : Emmanuella Brindisi
  • 1979 : Laura's Desires : Laura
  • 1979 : El Periscopio (L'infirmière a le feu aux fesses) de José Ramón Larraz :
  • 1979 : Collections privées, segment L'île aux sirènes de Just Jaeckin : une sirène
  • 1980 : Brigade criminelle (International Prostitution) de Sergio Gobbi : Tazzi
  • 1980 : Exotic Love (Porno Esotic Love) de Joe D'Amato : Eva
  • 1980 : La Nuit fantastique des morts-vivants (Le Notti erotiche dei morti viventi) de Joe D'Amato : Luna
  • 1981 : Murder Obsession (Follia Omicida) de Riccardo Freda : Beryl
  • 1981 : Camp d'amour (Die Todesgöttin des Liebescamps) de Christian Anders : la Divine
  • 1981 : The Bushido Blade de Tsugunobu Kotani : Tomoe
  • 1982 : Les Sept salopards (La Belva dalle calda pelle) de Bruno Fontana : Emanuelle
  • 1982 : Caligula: la véritable histoire (Caligola: La storia mai raccontata) de Joe D'Amato : Miriam
  • 1982 : Pénitencier de femmes (Violenza in un carcere femminile) de Bruno Mattei : Emanuelle / Laura Kendall
  • 1982 : Les Aventuriers de l'or perdu (Horror Safari) de Alan Birkinshaw : Maria
  • 1982 : Ator l'invincibile de Joe D'Amato : Indun
  • 1983 : Love Is Forever (Les Évadés du triangle d'or) téléfilm de Hall Bartlett : Keo Sirisomphone (comme Moira Chen)
  • 1983 : Le Déchaînement pervers de Manuela de Joe D'Amato : Manuela / Emanuelle
  • 1983 : Révolte au pénitencier de filles (Emanuelle fuga dall'inferno) de Bruno Mattei : Emanuelle
  • 1983 : Le Gladiateur du futur (Endgame - Bronx lotta finale) de Joe D'Amato : Lilith (comme Moira Chen)
  • 1984 : L'Alcôve (L'Alcova / La Retape) de Joe D'Amato : Zerbal
  • 1985 : Il Piacere (La Femme pervertie) de Joe D'Amato : Haunani
  • 1986 : Voglia di guardare (La Fille aux bas nylon) de Joe D'Amato : Josephine
  • 1987 : Pomeriggio caldo de Joe D'Amato : une danseuse (non créditée)
  • 1987 : Interzone de Deran Sarafian : la femme du frère de Panasonic (non créditée)
  • 1987 : Delizia de Joe D'Amato : la fiancée de Brian (non créditée)
  • 1987 : Undici giorni, undici notti de Joe D'Amato : Dorothy Tipton (non créditée)
  • 1988 : Riflessi di luce de Mario Bianchi : Diana
  • 1988 : Onze jours, onze nuits 2 (Top Model) de Joe D'Amato : Dorothy / Eve
  • 1988 : Amore sporco (Sexy dancing) de Joe D'Amato : la masseuse (non créditée)
  • 1989 : High Finance Woman de Joe D'Amato : une prostituée (non créditée)
  • 1989 : Any Time, Any Play de Joe D'Amato : une vendeuse (non créditée)
  • 1989 : Blue Angel Cafe de Joe D'Amato : la photographe
  • 1990 : Undici giorni, undici notti 2 de Jackie Forrest : Jackie Forrest
  • 1990 : Quest for the Mighty Sword (Hobgoblins / L'epée du Saint Graal) de Joe D'Amato : Grimilde
  • 1990 : Sangue negli abissi de Raffaele Donato et Joe D'Amato : une assistante de laboratoire (non créditée)
  • 1990 : La Stanza della parole de Franco Molè : apparition dans un caméo (non créditée)
  • 1990 : Object of Desire de Roger Duchowny : la photographe (non créditée)
  • 1990 : Metamorphosis de George Eastman : une prostituée
  • 1991 : Passion's Flower de Joe D'Amato : une prostituée (non créditée)
  • 1992 : Una Tenera storia de Joe D'Amato : la secrétaire de Karen (non créditée)

Costumière

  • 1988 : Dirty Love - Amore sporco
  • 1988 : Top Model
  • 1990 : Quest for the Mighty Sword
  • 1990 : DNA formula letale
  • 1990 : La casa 5
  • 1990 : La stanza delle parole
  • 1990 : Troll 2
  • 1990 : Troll 3
  • 1990 : Hot steps - passi caldi
  • 1991 : Le porte del silenzio
  • 1991 : La donna di una sera
  • 1992 : Ritorno dalla morte - Frankenstein 2000
 

Novak Alexander

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Alexander Valentinovich Novak (born August 23, 1971, in Avdiivka), is a Russian politician, and the current minister of energy of Russia.

Novak Alexander

In 1993 he graduated from Norilsk Industrial Institute as a specialist on Economy and Management in Metallurgy. Between 1993–1997 he was economist, Head of the Financial Bureau of the Accounting Department of the Norilsk Mining and Smelting Complex. In 1997 to 1999 he headed the tax Pplanning department of the complex. Between 2002–2007 - he was head of the Main Finance Management of the Krasnoyarsk Krai Administration, Deputy Governor of the Krasnoyarsk Krai and Head of the Main Finance Authority of the Krasnoyarsk Krai.

From September 2008 to May 2012 he was Deputy Finance Minister of the Russian Federation. On May 2012 he was appointed as the Energy Minister in Dmitry Medvedev's Cabinet. Since July 2010 he is a member of United Aircraft Corporation Board of Directors. In 2004 he was distinguished by the Governor of the Krasnoyarsk Krai. In 2006 he was rewarded with the medal “For Distinguished Service in Organizing the All-Russia Agricultural Census 2006” of the Russian Federal Statistics Service.

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Power Samantha

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Samantha Power, née le 21 septembre 1970 à Dungarvan en Irlande, est une journaliste et écrivain américano-irlandaise, ambassadrice des États-Unis aux Nations unies depuis 2013.

Power Samantha

Née en Angleterre, mais élevée en Irlande, Samantha Power suit ses parents qui émigrent aux États-Unis en 1979 et fait des études à Lakeside High School et à l'université Yale. De 1993 à 1996, elle travaille comme journaliste à U.S. News & World Report, The Boston Globe, The Economist et The New Republic, en tant que reporter sur les guerres de Yougoslavie. De retour sur le sol américain, elle reprend des études à Faculté de droit de Harvard dont elle est diplômée en 1999. Elle est fondatrice en 1998 et directrice jusqu'en 2002 du Centre Carr pour la politique des droits de l'homme.

En 2002, elle reçoit le prix Pulitzer de l'essai pour son livre A Problem From Hell: America and the Age of Genocide, une étude sur la réponse américaine face au crime de génocide. Elle essuie également les critiques de Howard Zinn pour son manque de mise en abîme des dommages collatéraux et intentionnels et d'Edward Herman pour le manque de traitement des massacres au Timor oriental et en Asie du Sud-Est. En 2004, elle est citée par le classement du Times comme l'une des 100 plus éminentes chercheuses des États-Unis.

Activiste des droits de l'homme à université Harvard, elle est enseignante à l'école d'affaires publiques John F. Kennedy de cette même université jusqu'en 2004. En 2005 et 2006, elle travaille pour le groupe de soutien de Barack Obama lors de sa campagne pour devenir sénateur, puis pour sa campagne de 2008, jusqu'à ce qu'elle traite Hillary Clinton de « monstre ». Mais après l'élection d'Obama, elle entre dans son équipe au département d'État, et enfin au Conseil de sécurité nationale en 2009. Le 5 juin 2013, elle est nommée par le président au poste d'ambassadrice auprès des Nations unies, en remplacement de Susan Rice. Confirmée par le Sénat le 1er août suivant, elle prend ses fonctions le lendemain. Samantha Power est mariée à Cass Sunstein, juriste et philosophe, et mère de deux enfants.

Tchourkine Vitali

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Vitali Ivanovitch Tchourkine, né le 21 février 1952 à Moscou, est un diplomate russe, actuel ambassadeur de la fédération de Russie auprès de l'Organisation des Nations unies à New York. Il est le représentant permanent de la Russie au conseil de sécurité des Nations unies. Il a le rang d'ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire.

Tchourkine Vitali

Il naît à Moscou, fils unique d'un ingénieur en aéronoautique1. Il poursuit ses études secondaires à l'école no 56 avec enseignement renforcé en anglais, langue qu'il maîtrise parfaitement depuis cette époque, ayant bénéficié en plus d'une répétitrice privée d'origine britannique. À l'âge de onze ans il est choisi pour tourner dans le film Le Cahier bleu, puis en 1964 dans Zéro trois et surtout dans le film de Marc Donskoï, Le Cœur d'une mère, en 1965. Il monte à cheval et fait partie d'équipes sportives équestres junior. Il entre au prestigieux MGuIMO en 1969 dans la même promotion qu'Andreï Kozyrev et Andreï Denissov. Il sort diplômé de l'institut en 1974. Outre l'anglais qu'il parle parfaitement, il parle aussi le français et a pris des leçons de mongol.

De 1974 à 1979, il travaille comme interprète au ministère des Affaires étrangères. Il est interprète aux négociations sur la limitation des armements stratégiques de Genève. Ensuite il est nommé troisième secrétaire au département des États-Unis du ministère des Affaires étrangères. En 1982, il est à l'ambassade d'URSS à Washington en tant que deuxième, puis premier secrétaire, jusqu'en 1987. De 1987 à 1989, Vitali Tchourkine est référent du département international du Comité central du Parti communiste de l'Union soviétique. De 1989 à 1990, il est secrétaire de presse au ministère des Affaires étrangères.

Après l'écroulement de l'URSS, il devient chef du département de l'information du ministère des Affaires étrangères de la nouvelle fédération de Russie. Il est nommé sous-ministre des Affaires étrangères en 1992. De 1994 à 1998, Vitali Tchourkine est ministre plénipotentiaire et extraordinaire de la Russie au royaume de Belgique et représentant permanant au siège de l'OTAN à Bruxelles. De 1998 à 2003, il est ministre plénipotentiaire et extraordinaire à l'ambassade de Russie à Ottawa. De 2003 à 2006, Vitali Tchourkine est envoyé spécial de ministère des Affaires étrangères. Il est nommé le 8 avril 2006 représentant permanent de la Russie au conseil de sécurité des Nations unies et auprès de l'Organisation des Nations unies, succédant à Andreï Denissov.

Il jouit d'une grande liberté de parole et s'exprime sur les grands sujets comme le ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov. Il innove en donnant régulièrement des conférences de presse ou des interviews à la presse étrangère, ce que ne faisaient pas ses prédécesseurs. Il s'exprime particulièrement en août 2008 pendant la crise russo-géorgienne en s'opposant aux points de vue des puissances occidentales et en effectuant une certaine pédagogie vis-à-vis des journalistes occidentaux. Il a utilisé le droit de veto de la Russie au conseil de sécurité, le 4 février 2012 à propos du conflit syrien, en même temps que la Chine. Vitali Tchourkine est père d'un fils et d'une fille.


Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE)

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Organisation issue en 1995 de l'ensemble de négociations tenues à partir de 1973 (sous l'appellation de CSCE [Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe]) entre les États européens, le Canada et les États-Unis, afin d'établir un système de sécurité et de coopération en Europe.

Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE)

Lors du sommet de 1975 à Helsinki, la CSCE adopte l'Acte final, qui précise les principes régissant les relations entre les États signataires (notamment l'inviolabilité des frontières et le respect des droits de l'homme). Lors du deuxième sommet (Paris, 1990) est signée la Charte pour une nouvelle Europe. En 1991, l'Albanie et les trois pays Baltes rejoignent la CSCE, suivis en 1992 par les autres républiques de l'ex-URSS et par les États indépendants nés de l'éclatement de la Yougoslavie (Croatie, Slovénie et Bosnie-Herzégovine, rejointes en 1995 par l'Ancienne République yougoslave de Macédoine). En 1996, la principauté d'Andorre devient membre de l'OSCE, suivie par la Serbie (2000) et le Monténégro (2006).

Le Président en exercice

Il s'agit du ministre des Affaires étrangères du pays qui exerce la présidence tournante chaque année. Il détient la responsabilité générale de l’exécution.

  • Allemagne en 1991
  • Tchécoslovaquie en 1992
  • Suède en 1993
  • Italie en 1994
  • Hongrie en 1995
  • Suisse en 1996
  • Danemark en 1997
  • Pologne en 1998
  • Norvège en 1999
  • Autriche en 2000
  • Roumanie en 2001
  • Portugal en 2002
  • Pays-Bas en 2003
  • Bulgarie en 2004
  • Slovénie en 2005
  • Belgique en 2006
  • Espagne en 2007
  • Finlande en 2008
  • Grèce en 2009
  • Kazakhstan en 2010
  • Lituanie en 2011
  • Irlande en 2012
  • Ukraine en 2013
  • Suisse en 2014
  • Serbie en 2015

États participants

  • Albanie 
  • Allemagne      
  • Andorre 
  • Arménie 
  • Autriche 
  • Azerbaïdjan
  • Belgique
  • Biélorussie    
  • Bosnie-Herzégovine 
  • Bulgarie 
  • Canada 
  • Chypre 
  • Croatie 
  • Danemark 
  • Espagne 
  • Estonie 
  • États-Unis
  • Finlande 
  • France 
  • Géorgie 
  • Grèce 
  • Hongrie 
  • Irlande 
  • Islande
  • Italie
  • Kazakhstan
  • Kirghizistan
  • Lettonie 
  • Liechtenstein 
  • Lituanie 
  • Luxembourg 
  • Macédoine      
  • Malte 
  • Moldavie 
  • Monaco 
  • Mongolie           
  • Monténégro 
  • Norvège 
  • Ouzbékistan 
  • Pays-Bas
  • Pologne 
  • Portugal 
  • République tchèque           
  • Roumanie 
  • Royaume-Uni
  • Russie 
  • Saint-Marin 
  • Serbie      
  • Slovaquie           
  • Slovénie 
  • Suède 
  • Suisse 
  • Tadjikistan
  • Turkménistan 
  • Turquie 
  • Ukraine 
  • Vatican 

 

Pyatt Geoffrey R.

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Geoffrey R. Pyatt (born 1963), is the United States Ambassador to Ukraine. Pyatt's U.S. State Department career landed him posts in Asia, Europe, and Latin America.

 

Pyatt Geoffrey R.

Pyatt was born 1963 in La Jolla, an affluent neighborhood of San Diego, California. He received his bachelor’s degree in political studies in 1985 at the University of California, Irvine, and a master’s degree in international relations at Yale University in 1987. Pyatt started his diplomatic career in Honduras, from 1990 until 1992 he worked as vice-consul and economic officer in Tegucigalpa. The highest position (before his current post) was deputy chief of diplomatic mission in India in 2006 and 2007. After that he worked as deputy chief of U.S. mission to International Atomic Energy Agency and other international organizations in Vienna. Prior to his current position Pyatt served as Principal Deputy Assistant Secretary of the Bureau of South and Central Asian Affairs from May 2010 until July 2013.

Pyatt took the Oath of Office of United States Ambassador to Ukraine on July 30, 2013 in the Harry S Truman Building of the US State Department in Washington, D.C. Ukrainian President Viktor Yanukovych accepted Pyatt's credentials on August 15, 2013. After his appointment, Pyatt started actively studying the Ukrainian language. On October 15, 2013 Pyatt attended an international conference on fighting anti-Semitism in Kiev, but could not address the audience at the event due to the United States federal government shutdown of 2013. Pyatt became part of a diplomatic scandal in January 2014, when his conversation with the Assistant Secretary of State for European and Eurasian Affairs at the United States Department of State, Victoria Nuland, was apparently intercepted and uploaded to YouTube.

Assistant Secretary Victoria Nuland and Geoffrey Pyatt greet Ukrainian President-elect Petro Poroshenko before he met with U.S. Secretary of State John Kerry in Warsaw, Poland, on June 4, 2014. Pyatt supported the 2014 Ukrainian revolution against Ukraine's pro-Russian President Victor Yanukovych. Pyatt characterised pro-Russian separatist rebels in Donetsk and Luhansk as "terrorists".

Iran : nouvelles sanctions des Etats-Unis contre des entités liées au programme nucléaire

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Les Etats-Unis ont annoncé vendredi 29 août des sanctions supplémentaires contre plus de 25 entités, entreprises et individus accusés de favoriser le programme nucléaire controversé de l'Iran et de soutenir le « terrorisme », en violation des sanctions qui touchent le pays.

Iran : nouvelles sanctions des Etats-Unis contre des entités liées au programme nucléaire

Selon l'agence Reuters, parmi les sociétés visées figurent des compagnies maritimes, des compagnies aériennes et six banques iraniennes. Dans des communiqués simultanés de la Maison Blanche, du département d'Etat et du Trésor, Washington assure dans le même temps poursuivre la recherche d'un règlement diplomatique au dossier nucléaire iranien par le biais des négociations entre les grandes puissances et l'Iran.

Miller William Green

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William Green Miller served as the United States Ambassador to Ukraine under Bill Clinton, from 1993 to 1998.

Miller William Green

He went to college and graduate school at Williams College, the University of Oxford and Harvard University. In 1959, he joined the United States Foreign Service. From 1959 to 1964, he served as a diplomat in Iran. He then worked as a staffer for Secretary of State Dean Rusk, and in the Senate for John Sherman Cooper.

From 1981 to 1983, he served as Associate Dean and Professor of International Politics at the Fletcher School of Law and Diplomacy at Tufts University. In 1986, he was a Research Fellow at the Harvard Institute of Politics and became President of the American Committee on United States-Soviet Relations. From 1993 to 1998, he served as the United States Ambassador to Ukraine.

He is a Senior Policy Scholar at the Woodrow Wilson International Center for Scholars in Washington, D.C.. He is also a member of the Council on Foreign Relations, the International Institute of Strategic Studies, and the Middle East Institute. He is the co-Chairman of the Kyiv Mohyla Foundation of America and a Director of The Andrei Sakharov Foundation. He has also been a senior consultant for the John D. and Catherine T. MacArthur Foundation.

Popadiuk Roman

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Roman Popadiuk served as the first United States Ambassador to Ukraine under George H.W. Bush, from 1992 to 1993. From 1999-2012, he served as the Executive Director of the George Bush Presidential Library Foundation at Texas A&M University in College Station, Texas. He is now a Principal in Bingham Consulting LLC, a subsidiary of Bingham McCutchen LLP based in Washington, DC. 

Popadiuk Roman Popadiuk Roman

Roman Popadiuk was born in Austria on May 30, 1950. He received a B.A. from Hunter College in 1973, and a PhD from CUNY Graduate Center in 1981. He was an adjunct lecturer in Political Science at Brooklyn College in New York City. He joined the United States Foreign Service in 1981. From 1982 to 1984, he worked as a diplomat in Mexico City. From 1984 to 1986, he worked in the Department of State and in the National Security Council. From 1986 to 1989, he served as Assistant Press Secretary, then Special Assistant to the President and Deputy Press Secretary for Foreign Affairs and Deputy Assistant under Ronald Reagan. He served as Deputy Assistant to the President and Deputy Press Secretary for Foreign Affairs under George H.W. Bush, from 1989 to 1992.

He served as the first United States Ambassador to Ukraine under George H.W. Bush from 1992 to 1993. From 1993 to 1995, he taught at the Foreign Service Institute. From 1995 to 1998, he served as the International Affairs Adviser on the staff of the Office of the Commandant at the Industrial College of the Armed Forces at Fort McNair in Washington, D.C.. He is a member of the Council on Foreign Relations and sits on the Board of Advisers of the Scowcroft Institute of International Affairs at The Bush School of Government and Public Service at Texas A&M University. He is also on the Board of Advisers of the Confucius Institute at Texas A&M University and the U.S.-Ukraine Business Council in Washington, D.C..

He has received a number of awards, including the United States Department of State Meritorious and Superior Honor Awards. Other awards include the Annual Achievement Award from the Ukrainian Institute of America, the Shevchenko Freedom Award presented by the Ukrainian Congress Committee of America, and the Hunter College Hall of Fame.  He is also a member of the Board of Directors of the Foreign Affairs Museum Council. He is also a member of the U.S.-Ukraine Energy Task Force of the Ukraine 2020 Policy Dialogue, a forum co-sponsored by the U.S. Embassy in Ukraine and the U.S.-Ukraine Foundation in Washington, D.C., aimed at stengthening U.S.-Ukraine relations and Ukraine's integration into Europe.  He has published two books and articles in The Ukrainian Quarterly, The Foreign Service Journal, Mediterranean Quarterly, and Presidential Studies Quarterly. He is married to Judith Ann Fedkiw, and they have four children, Gregory, Matthew, Catherine and Mary.

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