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Milligan Spike

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Terence Alan Patrick Seán Milligan, KBE, connu sous le nom de Spike Milligan, est un homme de spectacle irlandais, né le 16 avril 1918 à Ahmadnâgar (Inde) et décédé le 27 février 2002 à Rye, Sussex de l'Est (Royaume-Uni), dont le père s'est vu refuser la citoyenneté britannique en raison de son ascendance irlandaise.

Milligan Spike

Humoriste, écrivain, musicien, poète, dramaturge et acteur, il a passé la majeure partie de sa vie au Royaume-Uni et est l'un des créateurs, le scénariste principal et l'un des interprètes majeurs de The Goon Show, série radiodiffusée de 1951 à 1960, dans laquelle il joue le rôle de nombreux personnages et, en particulier, celui du populaire Eccles. Il fut artilleur durant la Seconde Guerre mondiale. Il relate ses souvenirs dans une trilogie, où, en tant qu'antimilitariste, il dénonce la bêtise humaine et l'absurdité à laquelle elle conduit, trilogie qui deviendra très vite un ensemble de six livres, couvrant la période allant de ses classes, sa période d'entraînement, jusqu'à la fin de la guerre.

Milligan est né à Ahmednagar, Inde, le 16 avril 1918, d'un père irlandais, le capitaine Leo Alphonso Milligan, MSM (Meritorious Service Medal), Artillerie royale, 1890–1969, de l'armée des Indes, et de Florence Mary Winifred Kettleband, 1893–1990, née en Angleterre. Il passe son enfance à Poona (Inde), puis à Rangoon, capitale de la Birmanie (Myanmar). Il fréquente l'école du couvent Jesus and Mary à Poona, et celle des Frères chrétiens de Saint Paul à Rangoon. Il a vécu la plus grande partie de sa vie en Angleterre et a servi dans l'armée britannique en tant qu'artilleur au cours de la Deuxième Guerre mondiale.

Pendant la période allant de la fin des années 1930 au début de la décennie suivante, Miligan se produit comme chanteur de jazz amateur et trompettiste. Il poursuit cette activité alors qu'il est mobilisé et aussi après la cessation des hostilités, tout en écrivant et jouant des sketches comiques qui sont intégrés aux concerts montés pour les troupes combattantes. Après sa mobilisation mais avant d'être posté à l'étranger, accompagné de son collègue musicien Harry Edgington, surnommé Edge-ying-Tong, jeu de mots qui donne ensuite naissance à l'une de ses plus mémorables créations, ce duo, le Ying Tong Song, compose nombre d'histoires désopilantes, bourrées de jeux de mots, répondant à une logique totalement biaisée, destinées à se prémunir contre l'ennui des casernes. D'après l'un de ses biographes « il savait crooner comme Bing Crosby et gagner un crochet ; il jouait aussi de la batterie, de la guitare et de la trompette, tous instruments qu'il avait appris à maîtriser en autodidacte ».

Au cours de la Deuxième Guerre mondiale, l'artilleur Milligan, matricule 954024, sert en tant que signaleur au 56e régiment royal d'artillerie lourde, batterie D, puis rejoint la Première Armée britannique lors de la campagne d'Afrique de Nord. Il participe ensuite à la campagne d'Italie où il est élevé au grade de Lance Bombardier, ce qui correspond à Vice-Caporal ou Artilleur de première classe. Il est sur le point de devenir Caporal lorsqu'il est blessé à la bataille de Monte Cassino.

Ensuite hospitalisé pour une blessure de mortier à la jambe droite et commotion, il est rétrogradé par un supérieur peu amène au rang d'artilleur de seconde classe. Cet officier figure dans le journal de guerre de MIlligan sous le nom de Major Evan 'Jumbo' Jenkins. Milligan a toujours été d'avis que le Major Jenkins l'avait pris en grippe parce qu'il remontait sans cesse le moral des troupes, alors que lui estimait qu'elles devaient être traitées à l'ancienne, la manière du général Horatio Herbert Kitchener. Milligan évoque aussi l'anecdote selon laquelle les artilleurs Milligan et Edgington avaient été invités au bivouac pour jouer du jazz avec cet officier et avaient fait montre de beaucoup plus de talent que lui dans l'exécution du chant militaire Whistling Rufus.

Après son hospitalisation, Spike Milligan occupe en Italie différents postes à l'arrière avant de devenir animateur à plein temps. Il joue de la guitare au sein d'un groupe de jazz, le Bill Hall Trio, au cours de spectacles comiques destinés aux armées. Il reste en Italie avec ce trio après une fois démobilisé, mais retourne bientôt en Angleterre. En tant que membre du Central Pool of Artists (« Artistes aux armées »), il a écrit des parodies des histoires figurant à leur répertoire qui contiennent en germe de nombreux éléments-clés de la future Goon Show, d'abord baptisée Crazy People.

Milligan revient au jazz à la fin des années quarante, gagnant laborieusement sa vie avec le Hall Trio et des participations à des comédies musicales. Il s'efforce cependant de pénétrer le monde fermé de la radio en tant que scénariste ou animateur. Il y parvient avec un premier succès radiophonique intitulé la Derek Roy Show. Peu après, Peter Sellers, Harry Secombe et Michael Bentine le rejoignent pour un projet comique original, The Goon Show. Lors de la première saison de cette série, La BBC l'intitule Crazy Gang featuring those Crazy People, the Goons! (« La bande des fous, avec ces fous les Goons »), façon d'amadouer les directeurs de programme en reliant ces émissions à un groupe de comédiens alors célèbres, le Crazy Gang.

Le premier épisode est diffusé le 28 mai 1951 sur le BBC Home Service. Bien qu'il ne joue pas beaucoup dans les premiers numéros, Milligan devient ensuite l'animateur principal de la revue, incarnant un grand nombre de personnages, dont le célèbre Eccles et Minnie Bannister, Willium Mate, Jim Spriggs et le nuisible Count Moriarty. C'est lui qui écrit la plupart des scénarios, tout en collaborant pour certains, en particulier avec Larry Stephens et Eric Sykes. La plupart des premiers épisodes a été écrite avec Stephens et produite par Jimmy Grafton, mais cette collaboration prend fin après la troisième série, Milligan rédigeant seul la plus grande partie de la quatrième. À partir de la cinquième, qui coïncide avec la naissance de son second enfant Sean, et pendant presque toute la sixième, Milligan collabore avec Eric Sykes, son partenaire dans Associated London Scripts. Milligan et Stephens renouent leur collaboration pendant le sixième série, mais, vers la fin de la huitième, Stephens doit s'effacer pour raisons de santé. Milligan travaille alors avec John Antrobus pour une brève période et le partenariat Milligan-Stephens se termine avec la mort prématurée de Stephens, victime d'une hémorragie cérébrale en janvier 1959. Plus tard, Milligan s'est employé à minimiser et critiquer les apports de Stephens à la série Goon Show.

Le programme The Goon Show est d'abord émis en public et en direct sur format 16 pouces ; pendant la séance de mise en train, Milligan joue de la trompette et Peter Sellers se sert des percussions de l'orchestre, ces émissions en direct exigeant une grande fidélité au scénario ; cependant, à partir de la 4e série, la BBC opte pour l'enregistrement sur bande magnétique. Milligan exploite au maximum les possibilités offertes par cette technologie qui permet, en particulier, le montage, d'où les improvisations et les effets sonores. Ses exigences en la matière se font de plus en plus complexes, les effets sonores, alors appelés grams, étant poussés à la limite des compétences des ingénieurs : création par moyen mécanique (foley), retour en play back avec quatre, voire cinq platines à la fois. Ces effets sont fabriqués à l'avance sur bandes magnétiques, les ingénieurs de la BBC réussissant ensuite à créer des stings qu'il aurait été très difficile, sinon impossible à réaliser sur foley ou disque. Dans les dernières années, bien des grams de la série émanent de l'atelier radiophonique de la BBC, l'un des plus remarquables étant l'effet dit « stomacal » du major Bloodnok, œuvre de Dick Mills.

Bien que la revue (The Goon Show) ait conféré à Milligan le statut de star internationale, les exigences de la rédaction et de l'exécution des scénarios commencent à peser sur sa santé. Spike Milligan souffre alors de sévères attaques dépressives, prélude à des décennies de troubles bipolaires. Vers la fin de 1952, sans doute exacerbés par certaines tensions s'étant révélées entre les membres du groupe, ces troubles s'aggravent et Spike Milligan semble s'être convaincu de tuer Peter Sellers ; il s'arme d'un couteau à peler les pommes de terre, se dirige vers l'appartement voisin de Peter Sellers et se blesse en heurtant la porte en verre de l'immeuble. Il est alors hospitalisé, subit une cure de sommeil pendant deux semaines et passe presque deux mois en convalescence. La revue n'en souffre pas car elle dispose d'un stock considérable de scénarios déjà achevés. Milligan explique son geste par le surmenage engendré par la revue, auquel il attribue aussi l'échec de son premier mariage.

Autre aspect moins connu des activités de Spike Milligan au cours des années 1950 et 1960, sa participation aux travaux de l'Agence des écrivains (Associated London Scripts [ALS]). C'est l'époque où, alors que la revue The Goon Show gagne en popularité, il se marie et fonde une famille. Cet événement personnel semble l'avoir troublé au point qu'il arrête d'écrire et qu'Eric Sykes lui offre de partager son petit bureau situé à l'étage d'une épicerie au 130 Uxbridge Road à Shepherd's Bush. Sykes y travaille à une série comique pour la radio intitulée Educating Archie, avec Peter Brough dans le rôle titre de ventriloque et sa marionnette Archie Andrews. L'idée de cette agence à but non lucratif pour écrivains émane de Sykes ; c'est Milligan, cependant, qui contacte les étoiles montantes de la scène comique que sont Ray Galton et Alan Simpson. Ainsi naît Associated London Scripts (ALS) avec Frankie Howerd, Sykes et Stanley "Scruffy" Dale, agent de Howerd. Leur première secrétaire et une ancienne camarade de classe de Simpson, Beryl Vertue, qui devient ensuite directeur commercial. L'acteur Tony Hancock rejoint temporairement le groupe qui inclut aussi des célébrités telles que Terry Nation, Johnny Speight et John Antrobus.

Cette activité occupe jusqu'à trente écrivains, avec un secrétariat permanent de douze personnes. Aussi, les bureaux de Shepherd's Bush s'avèrent trop exigus dès 1957, et l'équipe s'installe dans Kensington Street, puis à Orme Court situé dans Bayswater Road, le quartier chic jouxtant Hyde Park. Au milieu des années soixante, Robert Stigwood fait une offre d'achat. Galton et Simpson y sont favorables, mais Sykes and Milligan s'y opposent. La transaction finit par la vente de leurs parts dd' ALS à Stigwood qui s'oriente vers la production de films, tandis que Galton et Simpson, plus tard à leur regret, cèdent celles qu'ils détiennent sur Orme Court à Milligan et Sykes. Milligan vend ensuite des parts à Sykes. Quant à Beryl Vertue, elle rejoint Stigwood, puis devient productrice indépendante et vice-présidente du groupe Robert Stigwood.

Filmographie

 

Films

  • 1952 : Down Among the Z Men, rôle d'Eccles, comédie sur un agent secret, en noir et blanc, incluant tous les Goons, dont Michael Bentine et Andrew Timothy.
  • 1969 : L'Ultime Garçonnière (The Bed Sitting Room), de Richard Lester.
  • 1970 : The Magic Christian, de Joseph McGrath.
  • 1972 : The Adventures of Barry McKenzie, de Bruce Beresford, gérant décati d'un hôtel minable de Londres.
  • 1973 : Les Trois Mousquetaires, de Richard Lester, Monsieur Bonacieux, mari de Madame Bonacieux (Raquel Welch).
  • 1973 : Digby de Joseph MacGrath, film pour enfants.
  • 1977 : Mon Beau légionnaire, de Marty Feldman.
  • 1978 : La vie de Brian, de Terry Jones.
  • 1981 : La Folle Histoire du monde, de Mel Brooks.

Participation 

  • Man About The House (1974).
  • The Great McGonagall (1974) avec Peter Sellers dans le rôle de la Reine Victoria.
  • The Last Remake of Beau Geste (1977), avec Marty Feldman.
  • The Hound of the Baskervilles (1978).
  • Life of Brian (1979).
  • History of the World, Part I (1981).
  • Yellowbeard (1983).
  • The Case of the Mukkinese Battle Horn (1956).
  • The Running, Jumping and Standing Still Film (1960).
  • Postman's Knock (1962).
  • The Bed-Sitting Room (1969), avec Peter Cook, Dudley Moore et Arthur Lowe, d'après la pièce de Milligan et Androbus.
  • The Magic Christian (1969).
  • Alice's Adventures in Wonderland (1972).
  • Adolf Hitler: My Part in his Downfall (1972), avec Jim Dale.
  • Digby, the Biggest Dog in the World (1973), comédie pour enfants.

Schulmann Patrick

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Patrick Schulmann, né le 2 janvier 1949 à Paris 20e, et mort le 19 mars 2002 au Chesnay dans les Yvelines, est un réalisateur, scénariste, compositeur de la musique originale, directeur de la photographie, acteur, reporter français.

Schulmann Patrick

Durant sa jeunesse, il a été acteur dans des courts-métrages comme La Foire aux cancres (1963) en super 8. Patrick Schulmann met en scène Axel et Zoé s'aiment d'amour tendre en 1971, puis Et la tendresse ? Bordel ! avec Jean-Luc Bideau et Bernard Giraudeau. Après trois échecs, il trouve le succès avec P.R.O.F.S (1985) où l'on découvre Patrick Bruel et Fabrice Luchini alors tous deux débutants. 

Après avoir tourné Les Oreilles entre les dents (1987), il devient reporter à la télévision pour l'émission Envoyé spécial sur France 2. Il revient au cinéma en 1998 avec Comme une bête (1998). Le 19 mars 2002, Patrick Schulmann est victime d'un accident de voiture à 18h50 à Neauphle-le-Vieux dans les Yvelines, où il réside. Il meurt à l'hôpital Mignot au Chesnay, au cours de la nuit.

Filmographie

  • 1969 La Foire aux cancres
  • 1971 Axel et Zoé s'aiment d'amour tendre    
  • 1976 L'Intrus    
  • 1979 Et la tendresse ? Bordel !
  • 1980 Rendez-moi ma peau…    
  • 1983 Zig Zag Story
  • 1984 Aldo et Junior
  • 1985 P.R.O.F.S
  • 1987 Les Oreilles entre les dents
  • 1998 Comme une bête

 

Leroi Francis

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Francis Leroi, né le 5 septembre 1942 à Paris et mort le 21 mars 2002 à l’île Maurice des suites d’un cancer, est un cinéaste français connu pour avoir été l’un des pionniers du cinéma pornographique des années 1970.

Leroi Francis

Il fait ses études au lycée Henri IV à Paris et réalise, dès cette époque, ses premiers films tournés en 8 mm, notamment une adaptation du Grand Meaulnes. Il passe ensuite sa licence de philosophie et écrit une thèse sur Sade qui lui est refusée par la Sorbonne. Dans les années 1960, il fréquente les auteurs de la Nouvelle Vague, devient l’assistant de Claude Chabrol sur le tournage de Landru en 1962 et réalise plusieurs courts métrages, dont l’un sur le tournage d’Alphaville de Jean-Luc Godard.

De 1964 à 1965, il tient une rubrique théâtrale dans le journal Combat. En 1965, il met en scène dans un café théâtre parisien l’une de ses pièces, Les Minets chéris, qui deviendra en 1966 son premier long métrage, le psychédélique Pop' Game, dans lequel il mêle dénonciations politiques et scènes érotiques. Il se lance ensuite dans le cinéma de genre avec des films tels que La Michetonneuse en 1970, coécrit avec François Jouffa, ou Les Tentations de Marianne en 1972, coécrit avec Patrick Rambaud.

En 1973, il produit La Bonzesse, film réalisé à Paris et à Ceylan par le journaliste François Jouffa, qui sera interdit pendant un an par la censure. En 1975, il produit un film pornographique, Le Sexe qui parle, de Frédéric Lansac. Passant ensuite derrière la caméra, il tourne de 1977 à 1980 une vingtaine de films (certains sous le pseudonyme de Jim Clark), parmi lesquels : Jeux de langue (1977), Je suis à prendre (1977) avec Brigitte Lahaie, Dodo petites filles au bordel (1980) avec Cathy Stewart et Julia Perrin.

Il s’essaie également au fantastique avec Le Démon dans l’île , avec Jean-Claude Brialy et Anny Duperey, en 1983. Il revient à l’érotisme en 1984 avec Emmanuelle 4 ; le film, qui sort sept ans après le troisième opus de la série, est attendu. Leroi met en scène le passage du rôle de Sylvia Kristel à Mia Nygren et obtient le succès et de substantiels revenus.

En 1990, c'est à Moscou qu'il coréalise avec François Jouffa en pirates Sex & Perestroika, un docu-fiction censé représenter l'évolution des mœurs derrière le Rideau de fer après la chute du Mur de Berlin. Il revient au cinéma pornographique dans les années 1990 avec Rêves de cuir et Rêves de cuir 2 qui battent des records de ventes en cassettes. En 2000, il tourne encore Regarde-moi avec Ovidie et son making-off, Focus, qu’il diffuse sur son site internet. Réputé être l’intellectuel du cinéma pornographique, Francis Leroi aura apporté avec sa sensibilité désabusée une certaine respectabilité à ce genre controversé.

Filmographie

 

Comme réalisateur

  • 1966 : Pop' Game (également directeur de la photographie)
  • 1968 : La Poupée rouge
  • 1969 : Ciné girl
  • 1970 : La Michetonneuse (sortie en 1972)
  • 1982 : Le Démon dans l’île

Films érotiques et pornographiques

  • 1972 : Les Tentations de Marianne (soft)
  • 1977 : Jeux de langue (soft)
  • 1976 : Les Plaisirs solitaires avec Maryline Guillaume et Segfried Sellier
  • 1977 : Fella
  • 1977 : Lèche-moi partout
  • 1977 : Je suis à prendre
  • 1978 : Les Petites Filles
  • 1978 : Les Jours et les nuits d'Eva Blue
  • 1978 : La Servante perverse
  • 1978 : Jouissance perverses
  • 1978 : Cette salope d'Amanda
  • 1978 : Alice chez les satyres
  • 1978 : La petite pensionnaire
  • 1978 : L'infirmière n'a pas de culotte
  • 1979 : Désir sous les tropiques (soft)
  • 1979 : Nuits très chaudes aux Caraïbes (soft)
  • 1979 : Déculottez-vous Mesdemoiselles (sous le pseudonyme de J. Clack)
  • 1980 : Petites filles au bordel
  • 1980 : La Pension des fesses nues (sous le pseudonyme de J. Clack)
  • 1980 : Charlotte mouille sa culotte !
  • 1980 : Le Secret des écolières sans culotte (sous le pseudonyme de J. Clack)
  • 1981 : Ma mère me prostitue
  • 1983 : Emmanuelle 4 (soft, version hard en vidéo)
  • 1990 : Sex et Perestroika (soft)
  • 1992 : Rêves de cuir avec Zara Whites et Deborah Wells
  • 1993 : Rêves de cuir 2 avec Tabatha Cash et Deborah Wells
  • 1993 : Le Secret d'Emmanuelle (Téléfilm, soft)
  • 1993 : Éternelle Emmanuelle (Téléfilm, soft)
  • 1993 : La Revanche d'Emmanuelle (Téléfilm, soft)
  • 1993 : Emmanuelle à Venise (Téléfilm, soft) avec Sylvia Kristel et Marcela Walerstein
  • 1993 : L'Amour d'Emmanuelle (Téléfilm, soft) avec Sylvia Kristel et Marcela Walerstein
  • 1993 : Le Parfum d'Emmanuelle (Téléfilm, soft) avec Sylvia Kristel et Marcela Walerstein
  • 1993 : Magique Emmanuelle (Téléfilm, soft) avec Sylvia Kristel
  • 1993 : Emmanuelle au 7e ciel (soft)
  • 2001 : Focus (documentaire)
  • 2001 : Regarde-moi avec Lisa Crawford, Ovidie, Titof

Comme scénariste

  • 1966 : Pop' Game
  • 1975 : Emmanuelle 2 : l'antivierge
  • 1982 : Le Démon dans l'île
  • 1984 : Emmanuelle 4

Comme producteur

  • 1972 : Le Franc-tireur
  • 1973 : La Bonzesse (sortie en 1974, après un an d'interdiction)
  • 1977 : Entrecuisses / Possessions
  • 1977 : Triples introductions

Moore Dudley

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Dudley Moore est un acteur, compositeur et scénariste britannique, né le 19 avril 1935 à Londres et mort le 27 mars 2002 dans le New Jersey (États-Unis).

Moore Dudley

La carrière de Dudley Moore démarra dans les années 1960, dans un spectacle humoristique très populaire, Beyond the fridge. Avec son compère Peter Cook, il forma un duo inoubliable à la BBC, puis devint rapidement une star aux États-Unis, grâce à des films tels que Elle, Arthur ou Une défense canon aux côtés d'Eddie Murphy. Dudley Stuart John Moore naquit le 19 avril 1935 à Londres (à Charing Cross Hospital, sur son site original dans Westminster). Il était le fils de John Moore, électricien dans les chemins de fer, et de Ada Moore; il grandit, avec sa sœur Barbara, dans le district de Dagenham (Essex). Il n'eut pas une enfance très facile, en raison de sa petite taille (1 m 58 adulte) et d’une infirmité, un pied bot, qui l'obligea à des soins nombreux et répétés. Il trouva refuge très tôt dans la musique. Il apprit le piano et le violon à l’âge de six ans, et dès l’âge de quatorze ans, il accompagnait cérémonies et mariages aux grandes orgues.

Il fréquenta d'abord l'école de Dagenham County, où il reçut des leçons particulières d’un professeur, Monsieur Peter Cork, dont il devint l'ami et le confident et avec lequel il ne cessa de correspondre sa vie durant. Il obtint à 14 ans une bourse afin de poursuivre ses études musicales à Magdalen College (l'un des plus prestigieux collèges de l'université d'Oxford), où il remporta un premier prix d’Orgue. C'est également à cette époque que débute sa carrière d'acteur. Alan Bennett qui jouait à ses côtés à l'occasion d'un spectacle de fin d'année le présenta au producteur de Beyond the Fringe. Cette comédie, où Moore, Peter Cook, Jonathan Miller et Alan Bennett se donnaient la réplique, et dont le succès se répandit jusqu'aux États-Unis, inaugura l'ère des émissions satiriques à la télévision.

Durant ses années d’université, Moore se prit également de passion pour le jazz et devint très vite un compositeur-interprète accompli. Il eut la chance de fréquenter des musiciens aussi prestigieux que John Dankworth ou Cleo Laine. En 1960, il quitta le groupe de John Dankworth pour se consacrer aux répétitions de Beyond the Fringe. Pendant les années 1960, il monta un trio : 'The Dudley Moore Trio', avec Chris Karan aux percussions, Pete McGurk à la contrebasse, et plus tard Peter Morgan. Il s’inspirait principalement d’Oscar Peterson et d’Errol Garner. Dans une interview, il confia même qu’un soir il réussit à égaler en virtuosité l’incomparable main gauche de Garner, qu’il n'en revint pas lui-même, et qu'il ne lâcha pas le tempo pendant plusieurs jours. Ses premiers enregistrements ont été My Blue Heaven, Lysie Does It, Poova Nova, Take Your Time, Indiana, Sooz Blooz, Bauble, Bangles and Beads, Sad One for George, et Autumn Leaves.

Le trio se produit régulièrement à la télévision britannique, enregistra plusieurs disques, et devint la coqueluche du cabaret de Peter Cook, The Establishment. Moore composa, entre autres, la musique des films Fantasmes (Bedazzled de Stanley Donen, sorti en 1967), L'escalier (Staircase de Stanley Donen), et Six Weeks (de Tony Bill). En 1965, Moore anima sa propre série télévisée à la BBC Not only... but also. Mais lorsqu’il invita Peter Cook, leurs sketches satiriques s’imposèrent rapidement comme l’objet même de la série. On se souvient surtout des parodies d’interviews (dans lesquelles Cook jouait le rôle d’un intellectuel excentrique) ou de Pete and Dud commentant l’actualité… ils n’écrivaient que les grandes lignes de leurs sketches, et laissaient ainsi une grande place à l’improvisation lors des enregistrements en direct, l’un ne manquant jamais une occasion de taquiner l'autre pour lui faire perdre son sang-froid. Malheureusement la BBC n’a pas conservé l’intégralité de ces émissions, et pour la plupart, il ne nous reste que des fragments de bandes son.

Moore et Cook partagèrent ensuite l’affiche de Fantasmes (Bedazzled), avec Eleanor Bron, et entreprirent une tournée avec leurs spectacles Behind the Fridge et Good Evening. En 2009, il apparut que la police britannique avait tenté de les poursuivre au début des années 1980 pour les obscénités qu’ils avaient proférées sous couvert de leurs personnages 'Derek and Clive'. Peu de temps après, Moore prit ses distances avec Cook, dont l’alcoolisme commençait à affecter son travail, pour se consacrer à sa carrière cinématographique.

Lorsqu’apparurent les symptômes de la maladie qui allait l’emporter quelques années plus tard (une paralysie supra-nucléaire progressive), on le suspecta d’abord de s'adonner à la boisson; on se souvenait, en effet, que Moore joua avec bonheur, et au début de sa carrière, deux rôles d’alcooliques notoires, Arthur et George Webber (dans Elle). À la fin des années 1970, Moore conquit Hollywood, où il joua en 1978 dans Drôle d'embrouille (Foul Play) avec Goldie Hawn et Chevy Chase. L’année suivante il apparut dans Elle de Blake Edwards, puis dans Sacré Moïse ! (Wholly Moses!). Ce dernier ne connut pas un grand succès. Peu de temps après, il enchaîna avec Arthur, aux côtés de Liza Minelli, Sir John Gielgud (qui remporta un Oscar à cette occasion) et Geraldine Fitzgerald.

En 1981, Moore fut nommé pour l’Oscar du meilleur acteur, mais Henry Fonda lui souffla la distinction dans le film La Maison du lac (On Golden Pond, un film américain de Mark Rydell). En revanche, il gagna le Golden Globe du meilleur acteur de comédie musicale. En 1984, Moore connut encore un succès retentissant dans Micki + Maude de Blake Edwards, avec Amy Irving. Ce qui lui valut encore le Golden Globle du meilleur acteur de comédie musicale. Les films dans lesquels il a tourné ensuite furent reçus avec peu d’enthousiasme tant par la critique que le public. Parmi lesquels, on compte Arthur 2: On the Rocks et The Mighty Kong une adaptation de King Kong.

Parallèlement à sa carrière cinématographique, Moore continua de composer, écrivant des partitions pour une quantité de films, et donnant des concerts agrémentés de parodies de pièces classiques (on se souvient de la parodie de la sonate de Beethoven). En 1991, Moore collabora à des séries télévisées de vulgarisation de musique classique, d'abord avec le chef d’orchestre Sir Georg Solti, dans Orchestra, puis avec Michael Tilson Thomas dans Concerto!. Il incarna également le rôle de Ko-Ko dans l'opéra comique de Jonathan Miller, The Mikado, en mars 1988.

Filmographie

  • 1966 : Un mort en pleine forme (The Wrong Box), de Bryan Forbes : John Finsbury
  • 1967 : Fantasmes (Bedazzled), de Stanley Donen : Stanley Cook
  • 1969 : Gonflés à bloc (Monte Carlo or Bust!), de Ken Annakin : Lt. Kit Barrington
  • 1969 : L'Ultime Garçonnière (The Bed-Sitting Room), de Richard Lester : Sergent
  • 1978 : Drôle d'embrouille (Foul play), de Colin Higgins : Stanley Tibbets
  • 1979 : Derek and Clive Get the Horn, de Russell Mulcahy : Derek
  • 1979 : Elle (10), de Blake Edwards : George Webber
  • 1980 : Sacré Moïse ! (Wholly Moses!), de Gary Weis (en) : Harvey/Herschel
  • 1981 : Arthur, de Steve Gordon : Arthur Bach
  • 1982 : Six Weeks, de Tony Bill : Patrick Dalton
  • 1983 : La Fille sur la banquette arrière (Romantic Comedy), d'Arthur Hiller : Jason
  • 1984 : Micki et Maude (Micki & Maude), de Blake Edwards : Rob Salinger
  • 1984 : Une défense canon (Best Defense), de Willard Huyck : Wylie Cooper
  • 1984 : Faut pas en faire un drame (Unfaithfully Yours), de Howard Zieff : Claude Eastman
  • 1985 : Santa Claus, de Jeannot Szwarc : Patch
  • 1987 : Mon Père c'est moi (Like Father Like Son), de Rod Daniel : Dr Jack Hammond / Chris Hammond
  • 1988 : Arthur 2 : Dans la dèche (Arthur 2: On the Rocks), de Bud Yorkin : Arthur Bach
  • 1990 : Les Fous de la pub (Crazy People), de Tony Bill : Emory Leeson
  • 1992 : Meli-Melo à Venise1 (Blame It on the Bellboy), de Mark Herman :
  • 1993 : The Pickle, de Paul Mazursky : Homme de la planète Cleveland (Non crédité)

Wilder Billy

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Billy Wilder est un réalisateur, producteur et scénariste américain de films noirs et de comédies. De son vrai nom Samuel Wilder, il est né à Sucha (actuelle Pologne, à l'époque possession de l'empire austro-hongrois en Galicie), le 22 juin 1906 et est mort d'une pneumonie à Beverly Hills, en Californie (États-Unis) le 27 mars 2002. 

Wilder Billy

Billy Wilder est l'une des figures les plus importantes du cinéma américain. Quatre de ses films sont présents dans le Top 100 de l'American Film Institute, comme pour Alfred Hitchcock et Stanley Kubrick. Il a dirigé quatorze acteurs différents ayant été nommés pour leur performance aux Oscars. Dans le classement du magazine Sight & Sound, il figure à la septième place des plus grands réalisateurs . Billy Wilder a obtenu l'AFI Life Achievement Award en 1986, prix remis par l'American Film Institute une fois par an à un acteur ou un réalisateur ayant accompli une carrière remarquable.

Issu d'une famille juive autrichienne, Samuel Wilder, du prénom de son grand-père maternel, naît dans une petite ville de l'empire austro-hongrois qui appartient aujourd'hui à la Pologne. Il est tout jeune lorsque la famille s'installe à Vienne, où lui et son frère Wilhelm font leurs études primaires et secondaires. Son père rêve de le voir devenir avocat ou médecin mais il quitte rapidement l'université et opte pour une carrière de journaliste. Sa mère a fait un séjour aux États-Unis et été fascinée par Billy the Kid ou les Buffalo Bill Wild West Shows, ce qui explique le surnom familial de Billy qu'il adopte ensuite à la place de son prénom officiel, Samuel.

Il travaille pour un journal viennois, où il est chargé d'articles sur le sport, de faits-divers, et commence également à rédiger des critiques sur les spectacles, notamment le cinéma. En 1926, il s'établit à Berlin où il survit un temps en jouant le gigolo ou le danseur mondain à l'hôtel Eden, tout en commençant à écrire des récits et des ébauches d'histoires. Il collabore à un journal allemand local, Berliner Zeitung am Mittag, puis un tabloïd pour lesquels il rédige des articles mais aussi des nouvelles et des romans-feuilleton à succès, généralement policiers ou burlesques. Ses enquêtes le mettent en contact avec des milieux et des personnes variés et l'amène à se familiariser avec une diversité de décors et de personnages que l'on retrouve plus tard dans ses films.

C'est l'époque du cinéma muet. Il travaille, souvent comme nègre pour des scénaristes à succès et collabore avec d'autres professionnels du cinéma, notamment Fred Zinnemann, alors opérateur, et Robert Siodmak. Le succès d'une de ces œuvres, Les Hommes le dimanche (1930) lui vaut de signer un contrat avec la Universum Film AG en 1929. Il gagne bien sa vie et commence à collectionner des œuvres d'art contemporain, notamment des meubles signés Mies van der Rohe. Son frère, Wilhelm, s'installe aux États-Unis dans le courant des années 1920. L'arrivée d'Adolf Hitler au pouvoir le contraint à son tour à l'exil. Il séjourne d'abord à Paris, rue de Saïgon, où il vit chichement et fréquente un milieu d'expatriés allemands qui compte Franz Waxman, Friedrich Hollaender ou Peter Lorre. Il réalise un film avec une jeune débutante, Danielle Darrieux, et Pierre Mingand : Mauvaise graine. Joe May, un metteur en scène allemand, emporte un de ses scénarios à Hollywood et réussit à le placer en studio. Il contacte alors Wilder et lui demande de le rejoindre. Celui-ci obtient un visa de tourisme et s'embarque pour les États-Unis où la perspective d'une guerre le persuade de s'établir.

Jack Lemmon et Shirley MacLaine dans le film La Garçonnière (1960). Il sait à peine parler l'anglais et part. Néanmoins, il assimile la langue rapidement. Il écrit beaucoup de nouvelles qu'il fait traduire de l'allemand et réussit à en vendre aux studios de cinéma. Grâce à cette activité et ses contacts (dont Peter Lorre avec qui il partage un temps un appartement), il réussit à percer à Hollywood et signe un contrat avec la Paramount Pictures. Il travaille cinq jours et demi par semaine, rédige des scénarios originaux ou retravaille les textes d'autres scénaristes.

En 1938, il entame avec Charles Brackett un partenariat prolifique qui débouche sur plusieurs classiques de la comédie américaine, dont La Huitième Femme de Barbe-Bleue (1938) et Ninotchka (1939) d'Ernst Lubitsch, autre immigré allemand qu'il considère toute sa vie comme son "seul Dieu". Lorsque la Paramount fait appel à Gary Cooper pour donner la réplique à Ingrid Bergman dans Pour qui sonne le glas, Wilder et Brackett servent de monnaie d'échange et se retrouvent au service du producteur Samuel Goldwyn. Ils écrivent alors le scénario de Boule de feu (1941) et son remake Si bémol et Fa dièse de Howard Hawks. Wilder retourne ensuite travailler au sein de la Paramount. Il rêve de passer à la mise en scène mais la répartition du travail dans l'industrie du cinéma américain et le poids des syndicats professionnels empêchent les scénaristes de réaliser leurs propres scripts. Wilder se retrouve alors dans une situation similaire à celle de Preston Sturges et Joseph L. Mankiewicz.

Après une âpre négociation avec la Paramount et le producteur Arthur Hornblow Jr., il est autorisé à mettre en scène Uniformes et jupons courts (1942), suivi des Cinq Secrets du désert (1943). Avec la double casquette de réalisateur et de scénariste qu'il garde désormais de manière définitive, il signe un troisième long métrage coécrit avec Raymond Chandler : Assurance sur la mort (1944), adapté de James M. Cain, qui est sa première grande réussite et un modèle de film noir. À partir de 1942, Charles Brackett produit plusieurs de ses films : Les Cinq Secrets du désert, Le Poison (1945), récompensé par quatre Oscars dont ceux du meilleur film, du meilleur réalisateur et du meilleur scénario adapté, qui traite de l'alcoolisme et Boulevard du crépuscule (Oscar du meilleur scénario original 1950) qui scelle la fin de leur collaboration. Dès lors, Wilder devient producteur de la plupart de ses œuvres. Le cinéma de Billy Wilder devient plus caustique et cynique : il tourne notamment Le Gouffre aux chimères (1951), son film préféré.

En 1957, il débute une collaboration prolifique avec le scénariste I.A.L. Diamond et leur entente est telle que les deux hommes travaillent ensemble sur une dizaine de films et livrent au passage quelques classiques parmi lesquels Certains l'aiment chaud (1959) et La Garçonnière (1960), couronné par cinq Oscars dont ceux du meilleur film, du meilleur réalisateur et meilleur scénario original. Il dirige également Marilyn Monroe dans Sept Ans de réflexion (1955) et dans Certains l'aiment chaud où elle a pour partenaires Jack Lemmon (qu'il fera jouer dans sept films en 12 ans) et Tony Curtis. Billy Wilder tourne ses derniers films en Europe, comme Alfred Hitchcock, et prend sa retraite en 1981.

Maître incontesté de la comédie américaine dans les années 1950 et 1960, le cinéaste a su imposer son style de moraliste et de caricaturiste corrosif, grâce à des scénarios d'une efficacité redoutable marqués par l'empreinte d'Ernst Lubistch et illustrés par des mises en scène soignées et fluides. Wilder a évoqué, dans ses films comiques, des sujets polémiques et cherchait à aller à l'encontre des discours dominateurs et du puritanisme anglo-saxons  : l'adultère et ses tentations (Sept ans de réflexion, Avanti!), le travestissement (Certains l'aiment chaud), l'amour à trois et la prédation masculine (Sabrina, Ariane), l'humiliation en entreprise (La Garçonnière) ou encore le marché noir et la corruption des militaires américains dans l'Allemagne d'après 1945 (La Scandaleuse de Berlin). Derrière une tonalité légère, ses personnages sont souvent sombres, manipulateurs et cyniques. Même si une partie de la critique le jugeait meilleur scénariste que metteur en scène et voyait en ses réalisations l'antithèse des audaces visuelles ou narratives et des prouesses techniques d'un Alfred Hitchcock et d'un Orson Welles, il semble que certains de ses films comme Assurance sur la mort et Boulevard du crépuscule le réhabilitent aujourd'hui comme un créateur d'images hors-pair. 

Le succès de ses films auprès d’un large public lui a permis de rester l’un des rares cinéastes véritablement indépendants à Hollywood où il se plaisait à apporter sa touche européenne, affirmant  :« Il y a une phrase de Renoir sur la différence entre les réalisateurs européens et les réalisateurs américains, par exemple entre Lubitsch, Wyler, Siodmak, Zinnemann, Sirk et moi d'un côté, et Ford ou Hawks de l'autre : en Amérique, tout marche comme sur des rails, alors que les films européens comportent toujours de charmants détours inattendus. » . Enfin, parmi ses acteurs fétiches, outre Jack Lemmon, on peut citer William Holden (4 films), Walter Matthau (3 films) ou encore Marilyn Monroe, Audrey Hepburn et Shirley MacLaine (2 films).

Filmographie

Réalisateur

  • 1934 : Mauvaise Graine
  • 1942 : Uniformes et jupons courts (The Major and the Minor)
  • 1943 : Les Cinq Secrets du désert (Five Graves to Cairo)
  • 1944 : Assurance sur la mort (Double Indemnity)
  • 1945 : Death Mills
  • 1945 : Le Poison (The Lost Weekend)
  • 1947 : La Valse de l'empereur (The Emperor Waltz)
  • 1948 : La Scandaleuse de Berlin (A Foreign Affair)
  • 1950 : Boulevard du crépuscule (Sunset Boulevard)
  • 1951 : Le Gouffre aux chimères (Ace in the Hole ou The Big Carnival)
  • 1953 : Stalag 17
  • 1954 : Sabrina
  • 1955 : Sept Ans de réflexion (The Seven Year Itch)
  • 1957 : Ariane (Love in the Afternoon)
  • 1957 : L'Odyssée de Charles Lindbergh (The Spirit of Saint Louis)
  • 1957 : Témoin à charge (Witness for the Prosecution)
  • 1959 : Certains l'aiment chaud (Some Like It Hot)
  • 1960 : La Garçonnière (The Apartment)
  • 1961 : Un, deux, trois (One, Two, Three)
  • 1963 : Irma la douce
  • 1964 : Embrasse-moi, idiot (Kiss Me, Stupid)
  • 1966 : La Grande Combine (The Fortune cookie)
  • 1970 : La Vie privée de Sherlock Holmes (The Private Life of Sherlock Holmes)
  • 1972 : Avanti!
  • 1974 : Spéciale première (The Front Page)
  • 1978 : Fedora
  • 1981 : Victor la gaffe (Buddy Buddy)

Scénariste

  • 1929 : Der Teufelsreporter de Ernst Laemmle
  • 1929 : Les Hommes le dimanche (Menschen am Sonntag) de Robert Siodmak (coscénariste + 2e assistant-réalisateur)
  • 1931 : Der falsche Ehemann de Johannes Guter
  • 1931 : L'Homme qui cherche son assassin (Der Mann, der seinen Mörder sucht) de Robert Siodmak
  • 1931 : Émile et les Détectives de Gerhard Lamprecht
  • 1931 : Princesse, à vos ordres (Ihre Hoheit befiehlt) de Hans Schwartz
  • 1932 : Es war einmal ein Waltzer de Victor Janson
  • 1932 : Scampolo, ein Kind der Strasse de Hans Steinhoff
  • 1932 : Un rêve blond de Paul Martin
  • 1933 : Adorable de William Dieterle
  • 1933 : Le Sexe faible de Robert Siodmak
  • 1933 : Madame ne veut pas d'enfants de Hans Steinhoff
  • 1933 : Was Frauen träumen de Géza von Bolváry
  • 1934 : Das Blaue vom Himmel de Victor Janson
  • 1934 : Music in the Air de Joe May
  • 1935 : The Lottery Lover de Wilhelm Thiele
  • 1935 : Rivaux (Under Pressure) de Raoul Walsh
  • 1937 : Champagne valse (Champagne Waltz) d'A. Edward Sutherland
  • 1938 : La Huitième Femme de Barbe-Bleue (Bluebeard's Eighth Wife), d'Ernst Lubitsch
  • 1938 : Cet âge ingrat (That Certain Age) d'Edward Ludwig
  • 1939 : La Baronne de minuit (Midnight) de Mitchell Leisen
  • 1939 : Ninotchka d'Ernst Lubitsch
  • 1939 : What a Life de Theodore Reed
  • 1940 : Arise, My Love de Mitchell Leisen
  • 1940 : Rhythm on the River de Victor Schertzinger
  • 1941 : Boule de feu (Ball of Fire) de Howard Hawks
  • 1941 : Par la porte d'or (Hold Back the Dawn) de Mitchell Leisen
  • 1942 : Six destins (Tales of Manhattan) de Julien Duvivier
  • 1948 : Si bémol et Fa dièse (A Song Is Born) de Howard Hawks
  • 1957 : Témoin à charge (Witness for the Prosecution)
  • 1962 : Les Révoltés du Bounty (Mutiny on the Bounty) de Lewis Milestone
  • 1967 : Casino Royale de John Huston
  • 1970 : La Vie privée de Sherlock Holmes (The Private Life of Sherlock Holmes) (coscénariste)

Urich Robert

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Robert Urich est un acteur et producteur américain, né le 19 décembre 1946 à Toronto, dans l'Ohio, et décédé le 16 avril 2002 à Thousand Oaks, en Californie (États-Unis) d'une forme peu commune de cancer qui s'attaquait principalement aux articulations.

Urich Robert

Il était surtout connu pour le rôle de Dan Tanna, le détective privé de charme de la série Vegas chargé de démêler les intrigues imaginées par Michael Mann. De 1978 à 1981, il a interprété 66 fois le détective privé assisté par deux jolies secrétaires, Béatrice et Angie. Le succès de la série était tel à l'époque (Robert Urich était considéré comme l'homme le plus séduisant des USA) que de nombreuses vedettes y firent des apparitions, de Kim Basinger à Melanie Griffith, en passant par Stepfanie Kramer, Jill St. John, Dean Martin, Leslie Nielsen, Tony Curtis ou Mohammed Ali.

 

Filmographie

  • 1973 : Bob et Carole et Ted et Alice (série TV) : Bob Sanders
  • 1973 : Magnum Force : Officer Mike Grimes
  • 1974 : Killdozer (TV) : Mack McCarthy
  • 1975 : The Specialists (TV) : Dr. William Nugent
  • 1976 Section 4 ( SWAT) Jim Street 1977 : Bunco (TV) : Walker
  • 1978 : Leave Yesterday Behind (TV) : David Lyle
  • 1978 : Vega$ (TV) : Dan Tanna
  • 1979 : When She Was Bad... (TV) : Bob Morgan
  • 1980 : Fighting Back (TV) : Rocky Bleier
  • 1980 : The Shadow Box (TV)
  • 1981 : Killing at Hell's Gate (TV) : Charles Duke
  • 1982 : Tentez votre chance (Take Your Best Shot) (TV) : Jess Marriner
  • 1982 : Gavilan (série TV) : Robert Gavilan
  • 1982 : Espèce en voie de disparition (Endangered Species) : Ruben Castle
  • 1983 : Princesse Daisy (Princess Daisy) (TV) : Patrick Shannon
  • 1984 : L'Amour en héritage de Douglas Hickox / Kevin Connor, (feuilleton TV) : Jason Darcy
  • 1984 : Les Guerriers des étoiles (The Ice Pirates) : Jason
  • 1984 : Invitation pour l'enfer (Invitation to Hell) (TV) : Matt Winslow
  • 1984 : His Mistress (TV) : Allen Beck
  • 1985 : Scandal Sheet (TV) : Ben Rowan
  • 1985 : Turk 182! : Terry Lynch
  • 1985 : Spenser (Spenser: For Hire) (série TV) : Spenser
  • 1986 : L'Impossible évasion (The Defiant Ones) (TV) : Johnny 'Joker' Johnson
  • 1986 : Young Again (TV) : Michael Riley, Age 40
  • 1987 : Amerika (feuilleton TV) : Peter Bradford
  • 1988 : April Morning (TV) : Joseph Simmons
  • 1989 : Long zai tian ya : Airport police
  • 1989 : Spooner (TV) : Harry Spooner / Michael Norlon
  • 1989 : The Comeback (TV) : Scotty Malloy
  • 1989 : She Knows Too Much (TV) : Harry
  • 1989 : Lonesome Dove (feuilleton TV) : Jake Spoon
  • 1989 : Murder by Night (TV)
  • 1989 : Night Walk (TV) : Simon
  • 1990 : Blind Faith (TV) : Rob Marshall
  • 1990 : American Dreamer (série TV) : Tom Nash
  • 1990 : A Quiet Little Neighborhood, a Perfect Little Murder (TV) : Ross Pegler
  • 1990 : 83 Hours 'Til Dawn (TV) : Bradley Burdock
  • 1991 : Stranger at My Door (TV) : Joe Fortier
  • 1991 : ...And Then She Was Gone (TV) : Jack Bauer
  • 1992 : Jock of the Bushveld : Rocky
  • 1992 : Blind Man's Bluff (TV) : Thomas Booker
  • 1992 : Survive the Savage Sea (TV) : Jack Carpenter
  • 1992 : Double Edge (TV) : Harry Carter
  • 1992 : Revolver (TV) : Nick Suster
  • 1992 : Crossroads (série TV) : Johnny
  • 1993 : Spenser: Ceremony (TV) : Spenser
  • 1993 : Sous la menace d'un père (Deadly Relations) (TV) : Leonard J. Fagot
  • 1993 : It Had to Be You (série TV) : Mitch Quinn
  • 1994 : The World's Greatest Magic (TV) : Host
  • 1994 : Spenser: Pale Kings and Princes (TV) : Spenser
  • 1994 : To Save the Children (TV) : Jake Downey
  • 1994 : Danielle Steel: Un parfait inconnu (A Perfect Stranger) (TV) : Alex Hale
  • 1994 : Spencer: Le piège (Spenser: The Judas Goat) (TV) : Spenser
  • 1995 : Spencer: Cité sauvage (Spenser: A Savage Place) (TV) : Spenser
  • 1995 : A Horse for Danny (TV) : Eddie Fortuna
  • 1995 : She Stood Alone: The Tailhook Scandal (TV) : Adm. Williams
  • 1996 : Capitaines courageux (Captains Courageous) (TV) : Capt. Matthew Troop
  • 1996 : The Angel of Pennsylvania Avenue : Angus Feagan
  • 1996 : The Lazarus Man (série TV) : Lazarus (James Cathcart) (1996)
  • 1997 : Boatworks (série TV) : Host
  • 1997 : Vital Signs (série TV) : Host
  • 1997 : Choc en plein ciel (Final Descent) (TV) : Capt. Glen (Lucky) Singer
  • 1998 : Invasion America (série TV) : Briggs (voix)
  • 1999 : Le Train de l'enfer (Final Run) (TV) : Glen 'Lucky' Singer
  • 1999 : La Croisée des chemins (Miracle on the 17th Green) (TV) : Mitch McKinley
  • 2001 : Clover Bend : Bill
  • 2001 : Late Boomers (TV) : Dennis
  • 2001 : La Route de la liberté (Aftermath) (TV) : Jack
  • 2001 : For Love of Olivia (TV) : Horton Roundtree
  • 2001 : Emeril (série TV) : Jerry McKenney
  • 2002 : Action Force (The President's Man: A Line in the Sand) (TV) : President Adam Mayfield
  • 2002 : Night of the Wolf (TV) : Purly Owens

Comme producteur

  • 1986 : L'Impossible évasion (The Defiant Ones) (TV)
  • 1992 : Blind Man's Bluff (TV)

Félix María

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Maria Felix est une actrice mexicaine, née le 8 avril 1914 à Álamos (Mexique) et décédée le 8 avril 2002 à Mexico. Elle était surnommée, surtout vers la fin de sa carrière, La Doña, « la Dame ».

Félix MaríaFélix MaríaFélix María

Entre 1942 et 1971, elle joua dans 47 films, au Mexique, en France et en Italie. Elle ne fut jamais célèbre aux États-Unis, ayant refusé d'y jouer de petits rôles et ayant perdu celui de Pearl Chavez dans Duel au soleil, prévu pour elle, pour des questions de planning. La date de naissance de María Félix est sujet à controverse. Il existe un certain consensus, selon lequel elle serait née le 8 avril 1910, plutôt qu'en 1914. Cette date plus flatteuse est celle qui figure dans son éloge funèbre dans le New York Times, mais aucune preuve n'en a été apportée. Son père, Bernardo Félix, était d'origine Yaqui et sa mère Josefina Güereña, d'origine espagnole. Elle avait été élevée dans un couvent à Pico Heights, en Californie.

Elle a été mariée à trois Mexicains (Enrique Álvarez, avec qui elle eut son seul enfant, Agustín Lara, qui composa en son honneur une chanson célèbre au Mexique, et le chanteur Jorge Negrete) et à un Français, le millionnaire Alex Berger. Elle a également eu une liaison avec le peintre muraliste Diego Rivera, qui à un moment a voulu divorcer d'avec Frida Kahlo pour l'épouser. La superbe María Félix s'impose comme une icône à son pays dès son premier film en 1943. Elle se spécialise dans le (mélo)drame romantique, souvent métissé d'aventures, parfois inspiré de Stefan Zweig, Pierre Benoit, Alexandre Dumas fils ou Vicente Blasco Ibáñez. Chacune de ces compositions entre au panthéon mexicain. La star tourne particulièrement avec Emilio Fernández et a pour partenaires des stars internationales : Pedro Armendariz, Fernando Rey et Antonio Vilar.

En 1951, Félix interprète deux films en Europe : La Couronne noire de Luis Saslavsky sur une histoire de Jean Cocteau aux côtés des italiens Rossano Brazzi et Vittorio Gassman, et Messaline de Carmine Gallone face au français Georges Marchal. L'idole revient à son public hispanique, jouant notamment avec Carlos Thompson en Argentine, et retrouvant Emilio Fernández pour Reportaje (1953) où elle incarne... une star de cinéma. Retour en Europe pour un autre rôle mythique, La Belle Otero (cf. Caroline Otero), sous la direction de Richard Pottier (1954) d'après les mémoires de la célèbre danseuse, et surtout pour French Cancan de Jean Renoir, avec pour principale vedette Jean Gabin et pour rivale la juvénile Françoise Arnoul. María Félix enchaîne avec Les héros sont fatigués (1955) face à un autre monstre sacré : Yves Montand.

Fidèle à son principe d'alternance, l'actrice revient à des compositions mexicaines, notamment dans Faustina (1957) d'après une pièce de Goethe, et dans une seconde adaptation de Vicente Blasco Ibáñez avec pour co-star Jack Palance. En 1959, plus active que jamais, la star s'illustre dans Sonatas de l'espagnol Juan Antonio Bardem, au côté de Francisco Rabal, dans La cucaracha d'Ismael Rodríguez avec une autre icône mexicaine : Dolores del Rio, et dans un autre sommet de sa carrière internationale : La fièvre monte à El Pao de Luis Buñuel, face à Gérard Philipe. Ensuite María Félix tourne encore une poignée de films dans son pays - dont Amor y sexo (1964) de Luis Alcoriza (adaptation d'Alphonse Daudet) et se retire en 1971.

 

Filmographie

  • 1943 : La Femme sans âme (La Mujer sin alma) de Fernando de Fuentes : Teresa
  • 1943 : El Peñón de las Ánimas de Miguel Zacarías : María Ángela Valdivia
  • 1944 : Amok d'Antonio Momplet : Mme Belmont/Mme Travis
  • 1946 : Enamorada d'Emilio Fernandez : Béatrix Penafiel
  • 1946 : La femme de tout le monde (La mujer de todos) d'après le livre La Dame aux camélias de Julio Bracho : María Romano
  • 1950 : La Diablesse (Doña Diabla) de Tito Davison : Angela
  • 1951 : Messaline de Carmine Gallone : Messaline
  • 1951 : Le trésor maudit (Incantesimo tragico) de Mario Sequi : Oliva
  • 1951 : La Couronne noire de Luis Saslavsky : Mara
  • 1954 : La Belle Otero de Richard Pottier : Carolina Otero
  • 1955 : Les héros sont fatigués d'Yves Ciampi : Manuella
  • 1955 : French Cancan de Jean Renoir : La Belle Abbesse
  • 1957 : Tizoc d'Ismael Rodríguez
  • 1957 : Faustina (Si Fausto fuese Faustina) de José Luis Sáenz de Heredia : Faustina
  • 1959 : La Cucaracha d'Ismael Rodriguez : La cucaracha
  • 1959 : Flor de mayo de Roberto Gavaldon : Magdalena
  • 1959 : La fièvre monte à El Pao de Luis Buñuel : Ines Vargas
  • 1960 : La estrella vacía de Emilio Gómez Muriel : Olga Lang
  • 1961 : Juana Gallo de Miguel Zacarías : Ángela Ramos 'Juana Gallo'
  • 1963 : La Bandida de Roberto Rodríguez : María Mendoza 'La Bandida'
  • 1964 : Amor y sexo de Luis Alcoriza : Diana
  • 1966 : La Valentina de Rogelio A. González : Valentina Zúñiga
  • 1970 : La constitución série tv d'Ernesto Alonso : María Guadalupe
  • 1970 : Cristina de Juan Lamata : Domenica, La Leona
  • 1971 : La generala de Juan Ibáñez : Mariana Sampedro, La Generala

 

Agar John

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John Agar (de son vrai nom John George Agar) est un acteur américain né le 31 janvier 1921 à Chicago, (Illinois) et décédé le 7 avril 2002 à Burbank (Californie) d'emphysème. 

Agar John Agar John

Il est connu pour avoir fait six films aux côtés de John Wayne, dont Le Massacre de Fort Apache et La Charge héroïque, et d'avoir été le premier mari de Shirley Temple, de 1945 à 1949.

Filmographie

  • 1948 : Le Massacre de Fort Apache (Fort apache) de John Ford : Lieutenant Michael O'Rourke
  • 1949 : Iwo Jima de Allan Dwan : Soldat Peter Conway
  • 1949 : I Married a Communist de Robert Stevenson : Don Lowry
  • 1949 : Adventure in Baltimore de Richard Wallace : Tom Wade
  • 1950 : La Charge héroïque (She wore a yellow ribbon) de John Ford : Lieutenant Flint Cohill
  • 1951 : Une corde pour te pendre (Along the Great Divide) de Raoul Walsh : Billy Shear
  • 1955 : Tarantula ! (Tarantula) de Jack Arnold : Docteur Matt Hastings
  • 1955 : La Revanche de la créature de Jack Arnold : Professeur Clete Ferguson
  • 1956 : Le Peuple de l'enfer (The Mole people) de Virgil W. Vogel : Dr John Bentley
  • 1957 : The Brain from Planet Arous de Nathan Juran : Steve March
  • 1958 : Attack of the Puppet People de Bert I. Gordon : Bob Westley
  • 1967 : L'Affaire Al Capone de Roger Corman : Dion O'Bannion
  • 1968 : Hell raiders de Larry Buchanan : Major Ronald Paxton
  • 1969 : Les Géants de l’Ouest de Andrew V. McLaglen : Christian
  • 1970 : Chisum de Andrew V. McLaglen : Amos Patton
  • 1971 : Big Jake de George Sherman et John Wayne : Bert Ryan
  • 1976 : King Kong de John Guillermin : employé municipal
  • 1982 : Divided We Fall de Jeff Burr et Kevin Meyer (en)
  • 1988 : Appel d'urgence (Miracle Mile) de Steve De Jarnatt : Ivan Peters
  • 1990 : Visions en direct (Fear) de Rockne S. O'Bannon : Leonard Scott Levy
  • 1993 : Body bags (TV) de John Carpenter : Dr Lang

Sidney George

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George Sidney est un réalisateur et producteur américain, né le 4 octobre 1916 à New York, et décédé le 5 mai 2002 à Las Vegas.

Sidney George

Il était un spécialiste des films musicaux. Il signa pourtant deux grands classiques du film d'aventures : Les Trois Mousquetaires en 1948 et Scaramouche en 1952.

Filmographie

 

Producteur

  • 1957 : Un seul amour (Jeanne Eagels)
  • 1960 : Pepe
  • 1964 : L'Amour en quatrième vitesse (Viva Las Vegas)
  • 1964 : The 36th Annual Academy Awards (TV)
  • 1965 : Who Has Seen the Wind? (TV)
  • 1966 : The Swinger
  • 1967 : Half a Sixpence

Réalisateur

  • 1937 : Pacific Paradise
  • 1937 : Sunday Night at the Trocadero
  • 1938 : Billy Rose's Casa Mañana Revue
  • 1938 : Party Fever
  • 1938 : Men in Fright
  • 1938 : Football Romeo
  • 1938 : Practical Jokers
  • 1939 : Alfalfa's Aunt
  • 1939 : Tiny Troubles
  • 1939 : Duel Personalities
  • 1939 : Love on Tap
  • 1939 : Clown Princes
  • 1939 : Cousin Wilbur
  • 1939 : Hollywood Hobbies
  • 1939 : Dog Daze (en)
  • 1940 : A Door Will Open
  • 1940 : What's Your IQ? #2
  • 1940 : Quicker'n a Wink
  • 1941 : Free and Easy
  • 1941 : Third Dimensional Murder
  • 1941 : Willie and the Mouse
  • 1941 : Of Pups and Puzzles
  • 1942 : Pacific Rendezvous
  • 1943 : Pilot #5
  • 1943 : Parade aux étoiles (Thousands Cheer)
  • 1944 : Le Bal des sirènes (Bathing Beauty)
  • 1945 : Escale à Hollywood (Anchors Aweigh)
  • 1946 : Ziegfeld Follies (en coréalisation)
  • 1946 : Les Demoiselles Harvey (The Harvey Girls)
  • 1946 : Féerie à Mexico (Holiday in Mexico)
  • 1946 : La Pluie qui chante (Till the Clouds Roll By) - Scène finale
  • 1947 : Éternel Tourment (Cass Timberlane)
  • 1948 : Les Trois Mousquetaires (The Three Musketeers)
  • 1949 : The Cliff Edwards Show (série TV)
  • 1949 : Le Danube rouge (The Red Danube)
  • 1950 : La Clé sous la porte (Key to the City)
  • 1950 : Annie, la reine du cirque (Annie Get Your Gun)
  • 1951 : Show Boat
  • 1952 : Scaramouche
  • 1953 : La Reine vierge (Young Bess)
  • 1953 : Embrasse-moi, chérie (Kiss Me Kate)
  • 1955 : La Chérie de Jupiter (Jupiter's Darling)
  • 1956 : Tu seras un homme, mon fils (The Eddy Duchin Story)
  • 1957 : Un seul amour (Jeanne Eagels)
  • 1957 : La Blonde ou la Rousse (Pal Joey)
  • 1960 : Qui était donc cette dame ? (Who was that lady ?)
  • 1960 : Pepe
  • 1963 : Bye Bye Birdie
  • 1963 : Les Astuces de la veuve (A Ticklish Affair)
  • 1964 : L'Amour en quatrième vitesse (Viva Las Vegas)
  • 1965 : Who Has Seen the Wind? (TV)
  • 1966 : The Swinger
  • 1967 : Half a Sixpence

Robert Yves

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Yves Robert, né le 19 juin 1920 à Saumur, mort le 10 mai 2002 à Paris, est un acteur, scénariste, réalisateur et producteur français.

Robert Yves

Yves Robert naît à Saumur, mais passe une partie de son enfance à Pouancé, dans le nord du Maine-et-Loire. Il garde de ses premières années passées au contact de la nature un amour de la campagne que l'on retrouve dans plusieurs de ses films, notamment dans Ni vu... Ni connu... et Alexandre le bienheureux, ainsi qu'une passion pour le jardinage. Il débute dans la vie professionnelle comme typographe, à l'âge de 13 ans, et multiplie les petits métiers : pâtissier, livreur, modèle au Musée Grévin. Il gagne Paris en 1939, puis rejoint à Lyon en 1943 la troupe de théâtre Grenier-Hussenot. Il fait sur les planches un début de carrière brillant en participant à la création de plusieurs pièces de théâtre, telles que La tête des autres de Marcel Aymé et Colombe de Jean Anouilh, et joue au cabaret, entre autres à la Rose Rouge. Ses débuts sont unanimement salués et il remporte le prix du meilleur comédien en 1949.

Appelé par le cinéma, il est engagé par Marcel Carné pour son premier grand rôle. Il participe au total en tant qu'acteur à une cinquantaine de films, au cours desquels il fait preuve de son talent et de son éclectisme, interprétant souvent des personnages hauts en couleurs. Il crée ainsi de remarquables compositions lors de brèves apparitions (Le Viager) ou dans des premiers rôles (Le Cinéma de papa). Il tourne aussi bien dans des films comiques comme L'aventure c'est l'aventure que dramatiques comme Un mauvais fils. Attiré par la mise en scène, il tourne son premier court-métrage en 1951 avec Claude Sautet comme assistant, puis dirige en 1958 son premier film, Ni vu... Ni connu..., qui marque l'une des premières apparitions de Louis de Funès dans un premier rôle. Il devient rapidement l'un des spécialistes, au talent reconnu et au succès public, de la comédie française.

Sur un plan personnel, après un premier mariage et la naissance de deux enfants, Anne et Jean-Denis Robert, il vit, à partir de 1948, avec l'actrice Rosy Varte, rencontrée dans la troupe Grenier-Hussenot, puis, à partir de 1956, avec l'actrice Danièle Delorme, dont il a fait connaissance en jouant Colombe. Après leur mariage, il fonde avec elle une maison de production : La Guéville. En 1961, La Guerre des boutons remporte le Prix Jean-Vigo. Le Grand Blond avec une chaussure noire et Un éléphant ça trompe énormément lui apportent la reconnaissance internationale. La Gloire de mon père et Le Château de ma mère, issus des romans éponymes de Marcel Pagnol, sont un énorme succès en France et dans une moindre mesure à l'international. Sa comédie Salut l'artiste (1973) est considérée par un grand nombre d'artistes comme le summum dans la description des humiliations infligées à un artiste par le milieu du spectacle. En 1977, Nous irons tous au paradis est nommé pour le César du meilleur film. Jardinier émérite, il a pour seule médaille celle de chevalier du mérite agricole.

En tant que producteur, en association avec son ami Gilbert de Goldschmidt, il révèle en France les œuvres des Monty Python. Grand découvreur de talents, il contribue à faire connaître ou reconnaître Louis de Funès, Pierre Richard, Anny Duperey. Il prend grand soin de la musique de ses films, composée à treize reprises par Vladimir Cosma, à qui il confie le premier long-métrage de ce dernier, et est responsable de plusieurs grands succès de la musique française, tels que le morceau de flûte de Pan interprété par Gheorghe Zamfir pour Le Grand Blond avec une Chaussure Noire ou Les Copains d'abord, composée par Georges Brassens pour Les Copains. En 2002, il est terrassé par une hémorragie cérébrale qui l'emporte. En tant que réalisateur, il laisse une œuvre importante qui respire notamment l'humour, la joie de vivre, le sens de l'amitié, une insouciance des conventions sociales et une profonde humanité.

Il est inhumé au cimetière du Montparnasse (9e division), avec pour épitaphe « Un homme de joie... ». Clin d'œil au réalisateur de La Guerre des boutons, des visiteurs posent régulièrement sur sa tombe des boutons de toutes les couleurs. Le 24 septembre 2011, lors du cinquantenaire du tournage de la Guerre des Boutons, Le Jardin Yves Robert est inauguré à Armenonville-les-Gâtineaux (Eure et Loir), Longeverne dans le film.

Filmographie

 

Réalisateur

Courts-métrages

  • 1951 : Les Bonnes Manières
  • 1951 : Fernand cherche du boulot

Longs-métrages

  • 1954 : Les hommes ne pensent qu'à ça (+ acteur, producteur)
  • 1958 : Ni vu... Ni connu... (+ acteur, scénariste)
  • 1959 : Signé Arsène Lupin (+ acteur, scénariste)
  • 1960 : La Famille Fenouillard (+ acteur, scénariste)
  • 1961 : La Guerre des boutons (+ scénariste, producteur) (Prix Jean-Vigo 1962)
  • 1963 : Bébert et l'Omnibus (+ producteur)
  • 1964 : Les Copains (+ producteur)
  • 1965 : Monnaie de singe (+ scénariste)
  • 1967 : Alexandre le bienheureux (+ scénariste, producteur exécutif)
  • 1969 : Clérambard (+ scénariste, producteur)
  • 1972 : Le Grand Blond avec une chaussure noire (+ acteur, producteur)
  • 1973 : Salut l'artiste (+ acteur, scénariste)
  • 1974 : Le Retour du grand blond (+ acteur, producteur)
  • 1976 : Un éléphant ça trompe énormément (+ scénariste, producteur)
  • 1977 : Nous irons tous au paradis (+ scénariste, producteur délégué)
  • 1979 : Courage, fuyons (+ scénariste, producteur)
  • 1984 : Le Jumeau (+ acteur, scénariste)
  • 1990 : La Gloire de mon père (+ scénariste)
  • 1990 : Le Château de ma mère (+ scénariste)
  • 1991 : Le Bal des casse-pieds (+ scénariste)
  • 1993 : Montparnasse-Pondichéry (+ acteur, scénariste)
  • Télévision[modifier | modifier le code]
  • 1986 : L'Été 36 deux épisodes pour France 2

Scénariste, adaptation

  • 1956 : Bonjour sourire (Sourire aux lèvres) de Claude Sautet (coadaptateur uniquement)
  • 1971 : Les Malheurs d'Alfred de Pierre Richard (+ acteur, producteur)
  • 1985 : L'Homme à la chaussure rouge (The Man with One Red Shoe) de Stan Dragoti

Producteur

  • 1970 : Le Distrait de Pierre Richard (Producteur délégué)
  • 1974 : Que la fête commence de Bertrand Tavernier (Producteur associé)
  • 1976 : Le Plein de super d'Alain Cavalier (Producteur délégué)
  • 1977 : Les Petits Câlins de Jean-Marie Poiré (Producteur exécutif)
  • 1978 : La Drôlesse de Jacques Doillon
  • 1978 : La Femme qui pleure de Jacques Doillon
  • 1981 : Qu'est-ce qui fait courir David ? d'Élie Chouraqui
  • 1988 : Fréquence meurtre d'Élisabeth Rappeneau
  • 1995 : Sortez des rangs de Jean-Denis Robert
  • 1999 : Himalaya, l'enfance d'un chef d'Éric Valli (Producteur associé)
  • 2001 : Le Peuple migrateur de Jacques Perrin et Jacques Cluzaud (producteur associé)
  • Acteur[modifier | modifier le code]
  • 1948 : Les Dieux du dimanche de René Lucot
  • 1950 : Trois télégrammes de Henri Decoin
  • 1950 : Juliette ou la Clé des songes de Marcel Carné
  • 1950 : Le Tampon du Capiston de Maurice Labro
  • 1951 : La Rose rouge de Marcello Pagliero
  • 1951 : Bibi Fricotin de Marcel Blistène
  • 1951 : Deux sous de violettes de Jean Anouilh
  • 1952 : Suivez cet homme de Georges Lampin
  • 1953 : Virgile de Carlo Rim
  • 1954 : L'honneur est sauf d'Édouard Molinaro, court métrage
  • 1955 : Escalier de service de Carlo Rim
  • 1955 : Futures Vedettes de Marc Allégret
  • 1955 : Les Grandes Manœuvres de René Clair
  • 1955 : Les Mauvaises Rencontres d'Alexandre Astruc
  • 1956 : Les Truands de Carlo Rim
  • 1956 : La Terreur des dames ou Ce cochon de Morin de Jean Boyer
  • 1956 : Folies-Bergère / Un soir au music-hall de Henri Decoin
  • 1957 : Les femmes sont marrantes d'André Hunebelle
  • 1958 : Le Petit Prof de Carlo Rim
  • 1959 : Nina de Jean Boyer
  • 1959 : La Jument verte de Claude Autant-Lara
  • 1960 : La Mort de Belle d'Édouard Molinaro
  • 1960 : La Française et l'Amour de René Clair (film à sketches : sketche Le mariage)
  • 1960 : La Brune que voilà de Robert Lamoureux
  • 1962 : Cléo de 5 à 7 d'Agnès Varda
  • 1962 : Le Pèlerinage de Jean L'Hôte - court métrage -
  • 1963 : Chemins de Paris de Raymond Letouzey - court métrege -
  • 1965 : La Communale de Jean L'Hôte
  • 1966 : Le Roi de cœur de Philippe de Broca
  • 1967 : Un idiot à Paris de Serge Korber
  • 1967 : Le Mois le plus beau de Guy Blanc
  • 1969 : Le Pistonné de Claude Berri
  • 1970 : Le Cri du cormoran le soir au-dessus des jonques de Michel Audiard
  • 1970 : Le Cinéma de papa de Claude Berri
  • 1970 : Le Distrait de Pierre Richard
  • 1970 : Le Voyou de Claude Lelouch
  • 1971 : Les Malheurs d'Alfred de Pierre Richard
  • 1972 : Le Viager de Pierre Tchernia
  • 1972 : L'Aventure c'est l'aventure de Claude Lelouch
  • 1972 : Chère Louise de Philippe de Broca
  • 1972 : Absences répétées de Guy Gilles
  • 1973 : La Grande Paulette de Gérard Calderon
  • 1973 : La Raison du plus fou de François Reichenbach
  • 1974 : Section spéciale de Costa-Gavras
  • 1974 : Trop c'est trop de Didier Kaminka
  • 1975 : Le Juge et l'Assassin de Bertrand Tavernier
  • 1976 : Le Petit Marcel de Jacques Fansten
  • 1978 : Le Rose et le Blanc de Robert Pansard-Besson
  • 1979 : Ils sont grands, ces petits de Joël Santoni
  • 1980 : Femme entre chien et loup - (Een vrouw tussen hond en wolf) de André Delvaux
  • 1980 : Un mauvais fils de Claude Sautet
  • 1983 : Vive la sociale de Gérard Mordillat
  • 1983 : Garçon ! de Claude Sautet
  • 1985 : Billy Ze Kick de Gérard Mordillat
  • 1986 : Le Débutant de Daniel Janneau
  • 1988 : Cher frangin de Gérard Mordillat
  • 1989 : Le Crime d'Antoine de Marc Rivière
  • 1992 : La Crise de Coline Serreau
  • 1995 : Le Nez au vent de Dominique Guerrier
  • 1995 : Sortez des rangs de Jean-Denis Robert
  • 1998 : Disparus de Gilles Bourdos

Wasserman Lew

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Lewis Robert "Lew" Wasserman (March 22, 1913 – June 3, 2002) was an American talent agent and studio executive, sometimes credited with creating and later taking apart the studio system in a career spanning more than six decades. He was also the manager of MCA.

Wasserman Lew

Wasserman was born in Cleveland, Ohio, to Russian Jewish immigrants, Isaac Wasserman and Minnie Chernick. He began his show business career as an usher in a Cleveland theater in 1933. He later became a booking agent for the Music Corporation of America (MCA), founded by Jules Stein. Under Wasserman, MCA branched out into representing actors and actresses in addition to musicians and in the process created the star system, which drove up prices for studios. MCA struggled to gain ground in Hollywood since major agencies like those belonging to Charles Feldman, Myron Selznick, and Leland Hayward had already grabbed up most of the major talent. However, in the mid-1940s, when it purchased Hayward's agency, MCA finally gained bargaining leverage with the studios. As an agency, Wasserman's MCA came to dominate Hollywood, representing such stars as Bette Davis and Ronald Reagan, whom Wasserman was instrumental in helping to become president of the Screen Actors Guild.

Wasserman was an influential player and fund-raiser in the Democratic Party, but was also a lifelong and instrumental advocate, mentor, and close friend of Reagan. The Newsmeat Power Rankings identify Wasserman and his close friend Jack Valenti as two of the top five "most famous and powerful Americans whose campaign contributions result most often in victory." At MCA Wasserman expanded upon a business practice known as film packaging (something established by earlier agents like Feldman and Selznick). Since studios reduced output after WWII, they let more actors off of long-term contracts and big agencies like MCA could negotiate stronger terms for their clients. Agents like Wasserman would pitch packages (say, a writer client, director client, and actor or actress) to the studios, who only needed to finance it. Agencies therefore began doing the job the studios used to in some respects- namely, assembling films.

Wasserman expanded on practices established by earlier agents. For example, Feldman and Selznick realized in the late 1930s that an actor could pay much less tax by turning himself into a corporation. The corporation, which would employ the actor, would own part of a motion picture the actor appeared in, and all monies would accrue to the corporation, which was taxed at a much lower rate than was personal income. Wasserman used this tax avoidance scheme with actor James Stewart, beginning with the Anthony Mann western Winchester '73 (1950). This marked the first time an onscreen talent ever received "points in the film" - a business tactic that skyrocketed after Wasserman's negotiation and Stewart's ensuing success. Following the rising postwar popularity of television and the resulting near bankruptcy of many studios, Wasserman purchased Universal Studios and Decca Records in 1962 and merged them with MCA. In 1966, he singlehandedly installed Jack Valenti as head of the Motion Picture Association of America (MPAA). Together they orchestrated and controlled much of how Hollywood operated, and was allowed to do business, for the next several decades. Wasserman ran the combined company for nearly 30 years before selling it to Japanese consumer electronics conglomerate Matsushita Electric in 1990.

Wasserman pocketed an estimated $350 million from the sale of MCA and remained as manager, but with vastly diminished power and influence, until Seagram bought controlling interest in 1995, which then resulted in his role becoming even more marginalized. Wasserman served on the board of directors until 1998. On September 29, 1995, Wasserman was presented with the Presidential Medal of Freedom by President Bill Clinton. In 1996, he was inducted into the Television Hall of Fame. Wasserman died of complications from a stroke in Beverly Hills in 2002 and was interred in Hillside Memorial Park Cemetery in Culver City. He was honored posthumously with the 2,349th star on the Hollywood Walk of Fame on October 5, 2007. Wasserman was married to Edith "Edie" Beckerman who was also Jewish. They had one child, a daughter, Lynne Kay Wasserman. Lynne married MCA agent Ron Leif with whom she had a daughter, Carol Ann Leif; they later divorced. In 1970, Lynne married stockbroker Jack Meyrowitz. They changed their name to Myers and had a son Casey Wasserman. This marriage also ended in divorce.

Lew Wasserman's grandson, Casey Wasserman, carries on the family name in the agency business, the Wasserman Media Group (WMG), which he started in 1998. He is also acting President and Chief Executive Officer of the Wasserman Foundation, a charitable organization founded by the Wassermans in 1952 in Beverly Hills. Wasserman's granddaughter, Carol Ann Leif, is a stand-up comedian. Wasserman's widow, Edie, died on August 18, 2011, at the age of 95, and is buried with him in the Wasserman family plot at Hillside Memorial Park Cemetery in Culver City, Ca.

Jurado Katy

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Katy Jurado (de son vrai nom María Cristina Estela Claudia Soledad Katherina Lucía Marcela Jurado García), née le 16 janvier 1924 à Guadalajara et décédée le 5 juillet 2002 à Cuernavaca, était une actrice mexicaine.

Jurado Katy

Elle obtint son premier grand succès à Hollywood en 1952 dans le rôle de Helen Ramirez, l'ancienne maîtresse de Gary Cooper dans le western Le train sifflera trois fois (High Noon) de Fred Zinnemann. Ce rôle lui valut un Golden Globe Award. En 1954 elle a été la première actrice mexicaine proposée pour un Oscar. En 1956 elle est « Rosa » dans Trapèze. Entre 1959 et 1961 elle a été mariée avec Ernest Borgnine.

Filmographie

  • 1951 : La Dame et le Toréador (Bullfighter and the Lady), de Budd Boetticher
  • 1952 : Le Train sifflera trois fois (High Noon) de Fred Zinnemann
  • 1953 : Le Sorcier du Rio Grande (Arrowhead) de Charles Marquis Warren
  • 1953 : L'Enjôleuse (El Bruto) de Luis Buñuel
  • 1954 : La Lance brisée de Edward Dmytryk
  • 1955 : Le Procès de Mark Robson
  • 1955 : Le Cercle infernal (The Racers), de Henry Hathaway
  • 1956 : Trapèze de Carol Reed
  • 1958 : L'Or du Hollandais (The Badlanders) de Delmer Daves
  • 1961 : Barabbas de Richard Fleischer
  • 1961 : La Vengeance aux deux visages de Marlon Brando
  • 1973 : Pat Garrett et Billy le Kid de Sam Peckinpah
  • 1978 : The Children of Sanchez de Hall Bartlett : Chata
  • 1984 : Au-dessous du volcan de John Huston

Frankenheimer John

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John Frankenheimer est un réalisateur américain, né le 19 février 1930 à New York (États-Unis) et mort le 6 juillet 2002 à Los Angeles (Californie).

Frankenheimer John

Son père était juif allemand tandis que sa mère était une catholique irlandaise ; il fut éduqué selon les principes catholiques. John Frankenheimer est mort d'une crise cardiaque en juillet 2002.

Filmographie

  • 1957 : Mon père, cet étranger (The Young Stranger)
  • 1961 : Le Temps du châtiment (The Young Savages)
  • 1962 : L'Ange de la violence (All Fall Down)
  • 1962 : Le Prisonnier d'Alcatraz (Birdman of Alcatraz)
  • 1962 : Un crime dans la tête (The Manchurian Candidate)
  • 1964 : Sept jours en mai (Seven Days in May)
  • 1964 : Le Train (The Train)
  • 1966 : Grand Prix
  • 1966 : L'Opération diabolique (Seconds)
  • 1968 : L'Homme de Kiev (The Fixer)
  • 1969 : Les parachutistes arrivent (The Gypsy Moths)
  • 1969 : The Extraordinary Seaman
  • 1970 : Le Pays de la violence (I Walk the Line)
  • 1970 : Les Cavaliers (The Horsemen)
  • 1973 : L'Impossible Objet (Story of a Love Story)
  • 1973 : The Iceman Cometh
  • 1975 : French Connection 2 (French Connection II)
  • 1977 : Black Sunday
  • 1979 : Prophecy - Le monstre (Prophecy)
  • 1982 : À armes égales (The Challenge)
  • 1985 : Le Pacte Holcroft (The Holcroft Covenant)
  • 1986 : Paiement cash (52 Pick-Up)
  • 1989 : Dead Bang
  • 1990 : The Fourth War
  • 1992 : Les Contes de la Crypte (Saison 4 série TV épisode 10)
  • 1992 : Year of the Gun, l'année de plomb (Year of the Gun)
  • 1996 : L'Île du docteur Moreau (The Island of Dr. Moreau)
  • 1997 : George Wallace
  • 1996 : Andersonville (TV)
  • 1998 : Ronin
  • 2000 : Piège fatal (Reindeer Games)
  • 2002 : Sur le chemin de la guerre (Path to War)

Steiger Rod

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Rod Steiger, né Rodney Stephen Steiger le 14 avril 1925 à Westhampton (en) (dans Les Hamptons, État de New York) et mort des suites d'une pneumonie et d'une insuffisance rénale le 9 juillet 2002 à Los Angeles (Californie), est un acteur américain.

Steiger Rod

Il a été marié cinq fois (dont quatre divorces) et il a eu deux enfants, une fille Anna de son second mariage avec l'actrice Claire Bloom, et un garçon de son quatrième. Il a obtenu une nomination pour l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle, pour le film d'Elia Kazan : Sur les quais en 1955, et l'Oscar du meilleur acteur en 1967 pour le rôle du shérif Bill Gillespie pour Dans la chaleur de la nuit de Norman Jewison. Il a également joué dans le film Il était une fois la révolution de Sergio Leone en 1971.

Filmographie

  • 1951 : Teresa, de Fred Zinnemann
  • 1954 : Sur les quais (On the Waterfront), d'Elia Kazan
  • 1955 : Oklahoma !, de Fred Zinnemann
  • 1955 : Le Grand Couteau (The Big Knife), de Robert Aldrich
  • 1955 : Condamné au silence (The Court-Martial of Billy Mitchell), d'Otto Preminger
  • 1956 : L'Homme de nulle part (Jubal), de Delmer Daves
  • 1956 : Plus dure sera la chute (The Harder They Fall), de Mark Robson
  • 1956 : Les Échappés du néant (Back from Eternity), de John Farrow
  • 1957 : La Femme et le rôdeur (The Unholy Wife), de John Farrow
  • 1957 : Le Jugement des flèches (Run of the Arrow), de Samuel Fuller
  • 1957 : Frontière dangereuse (Across the Bridge), de Ken Annakin
  • 1958 : Cri de terreur (Cry Terror!), d'Andrew L. Stone
  • 1959 : Al Capone, de Richard Wilson
  • 1960 : Les Sept Voleurs (Seven Thieves), d'Henry Hathaway
  • 1961 : Vendredi 13 heures (An einem Freitag um halb zwölf), d'Alvin Rakoff
  • 1961 : La Marque (The Mark), de Guy Green
  • 1962 : Lutte sans merci (13 West Street), de Philip Leacock
  • 1962 : Convicts 4, de Millard Kaufman
  • 1962 : Le Jour le plus long (The Longest Day), de Ken Annakin, Andrew Marton et Bernhard Wicki
  • 1963 : Main basse sur la ville (Le Mani sulla città), de Francesco Rosi
  • 1964 : Les Deux Rivales (Gli Indifferenti), de Francesco Maselli
  • 1964 : Le Prêteur sur gages (The Pawnbroker), de Sidney Lumet
  • 1965 : E venne un uomo, d'Ermanno Olmi
  • 1965 : Le Cher Disparu (The Loved One), de Tony Richardson
  • 1965 : Docteur Jivago (Doctor Zhivago), de David Lean
  • 1967 : Dans la chaleur de la nuit (In the Heat of the Night), de Norman Jewison
  • 1967 : La Fille et le général (La Ragazza e il generale), de Pasquale Festa Campanile
  • 1968 : No Way to Treat a Lady, de Jack Smight
  • 1968 : Le Sergent (The Sergeant) de John Flynn
  • 1969 : L'Homme tatoué (The Illustrated Man), de Jack Smight
  • 1969 : Auto-Stop girl (Three Into Two Won't Go), de Peter Hall
  • 1970 : Waterloo, de Sergei Bondarchuk
  • 1971 : Il était une fois la révolution (Giù la testa), de Sergio Leone
  • 1971 : Happy Birthday, Wanda June, de Mark Robson
  • 1973 : Lolly-Madonna XXX, de Richard C. Sarafian
  • 1973 : Les Enfants de chœur (Gli Eroi), de Duccio Tessari
  • 1974 : Mussolini: Ultimo atto, de Carlo Lizzani
  • 1974 : Lucky Luciano, de Francesco Rosi
  • 1975 : Les Innocents aux mains sales, de Claude Chabrol
  • 1975 : Hennessy, de Don Sharp
  • 1976 : W.C. Fields et moi (W.C. Fields and Me), d'Arthur Hiller
  • 1977 : Portrait of a Hitman, d'Allan A. Buckhantz
  • 1978 : Wolf Lake, de Burt Kennedy
  • 1978 : F.I.S.T, de Norman Jewison
  • 1979 : La Percée d'Avranches (Steiner - Das eiserne Kreuz, 2. Teil), d'Andrew V. McLaglen
  • 1979 : Amityville, la maison du diable (The Amityville Horror), de Stuart Rosenberg
  • 1979 : Avec les compliments de Charlie (Love and Bullets), de Stuart Rosenberg
  • 1980 : Klondike Fever, de Peter Carter
  • 1980 : The Lucky Star, de Max Fischer
  • 1981 : Le Lion du désert (Lion of the Desert) de Moustapha Akkad
  • 1981 : Cattle Annie and Little Britches, de Lamont Johnson
  • 1981 : L'Élu (The Chosen), de Jeremy Kagan
  • 1982 : La Montagne magique (Der Zauberberg), de Hans W. Geißendörfer
  • 1984 : Machination (The Naked Face), de Bryan Forbes
  • 1987 : The Kindred, de Stephen Carpenter et Jeffrey Obrow
  • 1987 : Catch the Heat, de Joel Silberg
  • 1988 : American Gothic, de John Hough
  • 1989 : Djavolji raj, de Rajko Grlic
  • 1989 : Calendrier meurtrier (January Man), de Pat O'Connor
  • 1989 : Tennessee Nights, de Nicolas Gessner
  • 1989 : Sauf votre respect (Try This One for Size), de Guy Hamilton
  • 1991 : Men of Respect, de William Reilly
  • 1991 : The Ballad of the Sad Cafe, de Simon Callow
  • 1991 : Guilty as Charged, de Sam Irvin
  • 1993 : Le Voisin (The Neighbor), de Rodney Gibbons
  • 1993 : Kölcsönkapott idö, d'István Poór
  • 1994 : The Last Tattoo, de John Reid
  • 1994 : L'Expert (The Specialist), de Luis Llosa
  • 1994 : Tous les jours dimanche, de Jean-Charles Tacchella
  • 1995 : Captain Nuke and the Bomber Boys, de Charles Gale
  • 1996 : Carpool (en) d'Arthur Hiller
  • 1996 : Shiloh, de Dale Rosenbloom
  • 1996 : Mars Attacks!, de Tim Burton
  • 1997 : Le Rêve de Jimmy (The Kid), de John Hamilton
  • 1997 : La Dernière Cavale (Truth or Consequences, N.M.), de Kiefer Sutherland
  • 1997 : Livers Ain't Cheap, de James Merendino
  • 1997 : Incognito, de John Badham
  • 1998 : The Snatching of Bookie Bob
  • 1998 : Alexandria Hotel, d'Andrea Barzini et James Merendino
  • 1998 : Body and Soul, de Sam Henry Kass
  • 1998 : Animals (Animals and the Tollkeeper), de Michael Di Jiacomo
  • 1998 : Traque infernale (Legacy), de T.J. Scott
  • 1999 : Cypress Edge, de Serge Rodnunsky
  • 1999 : La Tête dans le carton à chapeaux (Crazy in Alabama), d'Antonio Banderas
  • 1999 : Shiloh 2 (Shiloh 2: Shiloh Season), de Sandy Tung
  • 1999 : Hurricane Carter (The Hurricane), de Norman Jewison
  • 1999 : La Fin des temps (End of Days), de Peter Hyams
  • 2000 : The Last Producer, de Burt Reynolds
  • 2001 : Lightmaker, de Dieter Meier
  • 2001 : A Month of Sundays, de Stewart Raffill
  • 2001 : The Hollywood Sign, de Sönke Wortmann
  • 2002 : Poolhall Junkies, de Mars Callahan

Télévision

  • 1951 : Tales of Tomorrow (série)
  • 1953 : Marty, de Delbert Mann
  • 1964 : The Movie Maker, de Joseph Lejtes
  • 1966 : Mort d'un commis voyageur (Death of a Salesman), d'Alan Cooke
  • 1977 : Jésus de Nazareth (Jesus of Nazareth), de Franco Zeffirelli (feuilleton)
  • 1983 : La Course vers le pôle (Cook & Peary: The Race to the Pole), de Robert Day
  • 1984 : The Glory Boys, de Michael Ferguson
  • 1985 : Les Dessous d'Hollywood (Hollywood Wives), de Robert Day (feuilleton)
  • 1986 : L'Épée de Gédéon (Sword of Gideon), de Michael Anderson
  • 1988 : Desperado: Avalanche at Devil's Ridge, de Richard Compton
  • 1989 : Passion and Paradise, d'Harvey Hart
  • 1991 : Meurtre entre chiens et loup (In the Line of Duty: Manhunt in the Dakotas), de Dick Lowry
  • 1992 : Due vite, un destino, de Romolo Guerrieri
  • 1992 : Sinatra, de James Steven Sadwith
  • 1993 : Les Chroniques de San Francisco (Tales of the City), d'Alastair Reid (feuilleton)
  • 1995 : Little Surprises, de Jeff Goldblum
  • 1995 : OP Center, de Lewis Teague
  • 1995 : Choices of the Heart: The Margaret Sanger Story, de Paul Shapiro
  • 1995 : L'Honneur de la cavalerie (In Pursuit of Honor), de Ken Olin
  • 1995 : Columbo : Une étrange association (Columbo: Strange Bedfellows), de Vincent McEveety
  • 1995 : Out There, de Sam Irvin
  • 1996 : Dalva, de Ken Cameron
  • 1996 : EZ Streets, de Paul Haggis
  • 1998 : Modern Vampires, de Richard Elfman
  • 1999 : Chicken Soup for the Soul (série)
  • 2000 : Animated Epics: Moby Dick
  • 2001 : The Flying Dutchman, de Robin P. Murray

Riesner Dean

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Dean Riesner est un scénariste américain né le 3 novembre 1918 à New York (États-Unis) et mort le 18 août 2002 à Encino (États-Unis). 

Riesner Dean

Il s'agit du fils de Charles Reisner. Il débute dans le cinéma à l'âge de cinq ans dans le film Le Pèlerin avec Charlie Chaplin. Et il jouera dans plusieurs films durant son enfance, toutefois, à l'âge adulte, il se convertit vers l'écriture.

Filmographie

Scénariste

  • 1948 : Bill and Coo
  • 1952 : Schlitz Playhouse of Stars (série télévisée)
  • 1954 : The Joe Palooka Story (série télévisée)
  • 1955 : So This Is Hollywood (série télévisée)
  • 1956 : Playhouse 90 (série télévisée)
  • 1956 : Ethel Barrymore Theater (série télévisée)
  • 1956 : Conflict (série télévisée)
  • 1957 : The Thin Man (série télévisée)
  • 1957 : The Restless Gun (série télévisée)
  • 1959 : The Texan (série télévisée)
  • 1957 : Sugarfoot (série télévisée)
  • 1960 : Bat Masterson (série télévisée)
  • 1959 : Colt .45 (série télévisée)
  • 1960 : Bourbon Street Beat (série télévisée)
  • 1958 : Bronco (série télévisée)
  • 1960 : Shotgun Slade (série télévisée)
  • 1960 : Bonanza (série télévisée)
  • 1958 : Lawman (série télévisée)
  • 1961 : The Case of the Dangerous Robin (série télévisée)
  • 1955 : Cheyenne (série télévisée)
  • 1960 : Surfside 6 (série télévisée)
  • 1962 : G.E. True (série télévisée)
  • 1963 : The Dakotas (série télévisée)
  • 1960 : 77 Sunset Strip (série télévisée)
  • 1959 : The Many Loves of Dobie Gillis ( (série télévisée)
  • 1963 : Au-delà du réel (série télévisée)
  • 1963 : Rawhide (série télévisée)
  • 1963 : Le Virginien (The Virginian) (série télévisée)
  • 1964 : Slattery's People (série télévisée)
  • 1964 : 12 O'Clock High (série télévisée)
  • 1965 : Bob Hope Presents the Chrysler Theatre (série télévisée)
  • 1965 : The Long, Hot Summer (série télévisée)
  • 1964 : Ben Casey (série télévisée)
  • 1967 : L'Homme de fer (série télévisée)
  • 1968 : Lancer (série télévisée)
  • 1968 : Coogan's Bluff
  • 1971 : Play Misty for Me
  • 1971 : Dirty Harry
  • 1973 : High Plains Drifter
  • 1973 : Charley Varrick
  • 1976 : The Keegans de John Badham (téléfilm)
  • 1976 : Rich Man, Poor Man (série télévisée)
  • 1976 : The Enforcer
  • 1981 : The High Country
  • 1981 : Das Boot
  • 1983 : Blue Thunder
  • 1983 : The Sting II
  • 1983 : Sudden Impact
  • 1984 : Starman
  • 1987 : Fatal Beauty

Acteur

  • 1921 : Peck's Bad Boy
  • 1922 : A Ladies Man
  • 1923 : The Pilgrim : Petit garçon
  • 1923 : A Prince of a King : Gigi, le Prince
  • 1935 : It's in the Air : Indien courageur
  • 1948 : The Cobra Strikes : Detective Brody
  • 1948 : Assigned to Danger : Docteur Michael Kelly
  • 1950 : The Traveling Saleswoman : Tom
  • 1950 : Young Man with a Horn : Joe
  • 1950 : Operation Haylift : Lieutenant Richter
  • 1950 : Gunfire : Outlaw Mack
  • 1953 : Mesa of Lost Women : Aranya Henchman

 


Ashley Ted

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Ted Ashley (August 3, 1922 – August 24, 2002) was the chairman of the Warner Bros. film studio from 1969 to 1980. He was born in Brooklyn as Theodore Assofsky in a Jewish family. 

Ted Ashley, Jack Warner & Jack Valenti in 1969

Ted Ashley, Jack Warner & Jack Valenti in 1969

At the age of 20 he started out as a William Morris agent (He changed his name at that time). In 1951 he started his own talent agency, Ashley-Famous, which was acquired by Kinney National Company in 1967. In 1969, Ashley suggested Kinney head Steve Ross to acquire the cash-stripped film company Warner Bros.-Seven Arts. Ted Ashley became CEO of the movie studio until 1981. He then became vice chairman of Warner Communications until his retirement in 1988. Ted Ashley died aged 80 in New York of leukemia, after a long illness.

Thompson John Lee

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J. Lee Thompson, de son vrai nom John Lee Thompson, est un réalisateur, scénariste et producteur britannique né le 1er août 1914 à Bristol (Royaume-Uni) et mort le 30 août 2002 à Sooke (Canada).

Thompson John LeeThompson John Lee

Il est surtout connu pour avoir réalisé Les Canons de Navarone en 1961 et le thriller Les Nerfs à vif en 1962. À partir des années 1970, il développe une longue collaboration avec Charles Bronson, qu'il dirigera dans 9 films.

Filmographie

Comme réalisateur

  • 1950 : Murder Without Crime
  • 1953 : The Yellow Balloon
  • 1954 : The Weak and the Wicked
  • 1954 : Pour le meilleur et pour le pire (For Better, for Worse)
  • 1955 : An Alligator Named Daisy
  • 1955 : L'Abominable invitée (As Long as They're Happy)
  • 1956 : Peine capitale (Yield to the Night)
  • 1957 : The Good Companions
  • 1957 : Woman in a Dressing Gown
  • 1958 : No Trees in the Street
  • 1958 : Ice-Cold in Alex
  • 1959 : Aux frontières des Indes (North West Frontier)
  • 1959 : Les Yeux du témoin (Tiger Bay)
  • 1960 : L'Homme des fusées secrètes (Wernher von Braun)
  • 1961 : Les Canons de Navarone (The Guns of Navarone)
  • 1962 : Les Nerfs à vif (Cape Fear)
  • 1962 : Tarass Boulba
  • 1963 : Les Rois du soleil (Kings of the Sun)
  • 1964 : Madame Croque-maris (What a Way to Go!)
  • 1965 : L'Encombrant Monsieur John (John Goldfarb, Please Come Home)
  • 1965 : Le Démon est mauvais joueur (Return from the Ashes), d'après le roman Le Retour des cendres, d'Hubert Monteilhet
  • 1966 : L'Œil du malin (Eye of the Devil)
  • 1969 : L'Or de MacKenna (Mackenna's Gold)
  • 1969 : Before Winter Comes
  • 1969 : L'Homme le plus dangereux du monde (The Chairman)
  • 1970 : Country Dance
  • 1972 : La Conquête de la planète des singes (Conquest of the Planet of the Apes)
  • 1972 : A Great American Tragedy (TV)
  • 1973 : La Bataille de la planète des singes (Battle for the Planet of the Apes)
  • 1974 : Huckleberry Finn
  • 1975 : The Reincarnation of Peter Proud
  • 1975 : The Blue Knight (TV)
  • 1976 : Widow (TV)
  • 1976 : Monsieur St. Ives (St. Ives)
  • 1977 : Le Bison blanc (The White Buffalo)
  • 1978 : L'Empire du Grec (The Greek Tycoon)
  • 1979 : Passeur d'hommes (The Passage)
  • 1980 : Cabo Blanco
  • 1981 : Happy Birthday to Me
  • 1981 : Code Red (TV)
  • 1983 : Le Justicier de minuit (10 to Midnight)
  • 1984 : L'Enfer de la violence (The Evil That Men Do)
  • 1984 : L'Ambassadeur : Chantage en Israël (The Ambassador)
  • 1985 : Allan Quatermain et les Mines du roi Salomon (King Solomon's Mines)
  • 1986 : La Loi de Murphy (Murphy's Law)
  • 1986 : Le Temple d'or (Firewalker)
  • 1987 : Le justicier braque les dealers (Death Wish 4: The Crackdown)
  • 1988 : Le Messager de la mort (Messenger of Death)
  • 1989 : Kinjite, sujets tabous (Kinjite: Forbidden Subjects)

comme Scénariste

  • 1937 : The Price of Folly
  • 1940 : The Middle Watch
  • 1941 : East of Piccadilly
  • 1950 : No Place for Jennifer
  • 1953 : The Weak and the Wicked
  • 1953 : The Yellow Balloon
  • 1954 : For Better, for Worse
  • 1986 : Future Hunters

comme Producteur

  • 1957 : The Good Companions
  • 1957 : Woman in a Dressing Gown
  • 1965 : John Goldfarb, Please Come Home
  • 1965 : Le Démon est mauvais joueur (Return from the Ashes)

Cartlidge Katrin

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Katrin Cartlidge (née à Londres le 15 mai 1961, morte le 7 septembre 2002) est une actrice anglaise. Elle débute au théâtre dans les années 1980 (Royal Court, puis Royal National Theatre), puis joue le rôle de Lucy Collins dans la série télévisée Brookside sur Channel 4.

Cartlidge Katrin

Elle se fait connaître du public international dans Naked (1993) de Mike Leigh qui obtient le Prix de la mise en scène à Cannes. Elle tournera ensuite deux autres films avec le réalisateur : Deux filles d'aujourd'hui et Topsy-Turvy. En 1996, on la retrouve dans Breaking the Waves de Lars von Trier, puis en 1998 dans Claire Dolan, film du new-yorkais Lodge H. Kerrigan. Katrin Cartlidge est décédée des suites d'une pneumonie et septicémie.

Filmographie

  • 1982-1988 : Brookside, de Phil Redmond
  • 1985 : Sacred Hearts, de Barbara Rennie
  • 1987 : Eat the Rich, de Peter Richardson
  • 1993 : Naked, de Mike Leigh
  • 1994 : Before the Rain, de Milcho Manchevski
  • 1995 : 3 Steps to Heaven, de Constantine Giannaris
  • 1996 : Breaking the Waves, de Lars von Trier
  • 1997 : Saint-Ex, de Anand Tucker
  • 1997 : Deux filles d'aujourd'hui, de Mike Leigh
  • 1998 : Claire Dolan, de Lodge H. Kerrigan
  • 1998 : The Lost Son, de Chris Menges
  • 1999 : La Cerisaie, de Michael Cacoyannis
  • 1999 : Topsy-Turvy, de Mike Leigh
  • 2000 : Le Poids de l'eau, de Kathryn Bigelow
  • 2001 : No Man's Land, de Danis Tanovic
  • 2001 : From Hell, de Allen Hughes
  • 2002 : Searching for Debra Winger, de Rosanna Arquette

Hunter Kim

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Kim Hunter, de son vrai nom Janet Cole, est une actrice américaine née le 12 novembre 1922 à Détroit, Michigan (États-Unis), décédée le 11 septembre 2002 à New York (États-Unis).

Hunter Kim

Elle est connue pour son rôle de Stella Kowalski dans Un tramway nommé Désir et pour celui du Dr. Zira dans la saga La Planète des singes. Née à Détroit mais élevée en Floride, Kim Hunter étudie à l'Actors Studio et fait ses débuts sur les planches de Miami en novembre 1939 dans Penny Wise. Remarquée par des producteurs, elle signe un contrat avec David O. Selznick et tourne son premier film en 1943 (La Septième Victime de Mark Robson).

La même année elle partage l'affiche avec Ginger Rogers de Tender Comrade d'Edward Dmytryk, dont le récit de femmes vivant en communauté pendant la Seconde Guerre mondiale lui vaut d'être suspectée de sympathies communistes. Elle continue à tourner quelques films mais le maccarthysme la tient éloignée d'Hollywood et la fait se concentrer sur sa carrière théâtrale.

En 1947, elle forme avec Marlon Brando le couple déchiré et passionné d'Un tramway nommé Désir sur la scène de Broadway, couple qu'ils recréent en 1951 pour les besoins du grand écran dans l'adaptation d'Elia Kazan et qui permet à Kim Hunter d'obtenir l'Oscar du Meilleur Second Rôle l'année suivante. Sa carrière cinématographique ne connaîtra plus un tel succès bien qu'elle obtienne en 1968 l'un des rôles principaux de La Planète des singes (Franklin J. Schaffner).

Elle jouera dans deux de ses suites : Le Secret de la planète des singes et Les Évadés de la planète des singes. Elle continue tout de même à jouer dans quelques longs métrages mais travaille surtout pour la télévision et le théâtre. Elle apparaît notamment en 1997 dans Minuit dans le jardin du bien et du mal de Clint Eastwood. Kim Hunter s'éteint le 11 septembre 2002 à l'âge de 79 ans d'une crise cardiaque dans son appartement de Greenwich Village à New York.

Filmographie

  • 1943 : Tender Comrade d' Edward Dmytryk : Doris Dumbrowski
  • 1943 : La Septième Victime (The Seventh Victim) de Mark Robson : Mary Gibson
  • 1944 : L'Etrange Mariage de William Castle : Millie Baxter
  • 1946 : Une question de vie ou de mort (A Matter of Life and Death) de Michael Powell et Emeric Pressburger : June
  • 1951 : Un tramway nommé Désir (A Streetcar Named Desire) d' Elia Kazan : Stella Kowalski
  • 1952 : Tout peut arriver (Anything Can Happen) de George Seaton : Helen Watson
  • 1952 : Bas les masques (Deadline U.S.A.) de Richard Brooks : Nora Hutcheson
  • 1956 : Au cœur de la tempête (Storm center) de Daniel Taradash : Martha Lockridge
  • 1957 : Mon père, cet étranger (The Young Stranger) de John Frankenheimer : Helen Ditmar
  • 1964 : Lilith de Robert Rossen : Dr. Bea Brice
  • 1968 : La Planète des singes (Planet of the Apes) de Franklin J. Schaffner : Dr Zira
  • 1968 : The Swimmer de Frank Perry : Betty Graham
  • 1970 : Le Secret de la planète des singes (Beneath the Planet of the Apes) de Ted Post : Dr Zira
  • 1971 : Les Évadés de la planète des singes (Escape from the Planet of the Apes) de Don Taylor : Dr Zira
  • 1998 : Minuit dans le jardin du bien et du mal (Midnight in the Garden of Good and Evil ) de Clint Eastwood : Betty Harty
  • 2000 : Sonia Horowitz, l'insoumise (A Price Above Rubies) de Boaz Yakin : Rebbitzn

Télévision

  • 1971 : Columbo : Plein Cadre (Suitable for Framing) (série TV) : Edna Matthews
  • 1993 : La Loi de Los Angeles - Saison 8 - SÉRIE TV - Épisode : 22… Mme Schoen
  • Arabesque - Saison 7 - SÉRIE TV - Épisode : 1 l'arroseur arrosé… Beatrice Vitello

Taylor Robert

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Robert Taylor, de son vrai nom Spangler Arlington Brugh, est un acteur américain né le 5 août 1911 à Filley (Nebraska) et décédé le 8 juin 1969 à Santa Monica (Californie). Il est surtout connu pour ses rôles dans Quo Vadis et dans Traquenard de Nicholas Ray.

Taylor Robert

Il fit ses débuts au cinéma en 1934. Son élégance naturelle, sa chevelure sombre et ses yeux bleus firent immédiatement de lui un bourreau des cœurs. Il fut surnommé l'homme au profil parfait. Un de ses premiers films importants fut Le Roman de Marguerite Gautier (1936), où il donnait la réplique à Greta Garbo. Vers la fin de sa vie, il tourna beaucoup à la télévision, notamment dans la série policière de 1959, The Detectives Starring Robert Taylor. Il admettait lui-même qu'il était loin d'être le meilleur acteur de sa génération, mais il se montra toujours extrêmement professionnel, toujours à l'heure et prêt à s'investir pour que le film soit le meilleur possible. Beaucoup de ses collègues déclarèrent après sa mort qu'il avait été sous-estimé en tant qu'acteur, surtout dans les films de sa fin de carrière. Bien qu'il fût surtout connu pour ses grands films classiques, il restait toujours désireux d'interprêter des rôles plus risqués et plus difficiles. Il voulait être connu pour autre chose que sa "belle gueule".

En 1947, Robert Taylor témoigna librement devant la Commission des activités anti-américaines mise en place par le sénateur Joseph McCarthy. Il déclara qu'il avait joué dans Song of Russia en dépit de ses convictions. Il alla jusqu'à affirmer que le script de Richard Collins and Paul Jarrico, ainsi qu'une chanson du film écrite par Yip Harburg, étaient pro-communistes. Il fournit également un témoignage à charge contre l'acteur Howard Da Silva. Il aurait déclaré : « Je peux en nommer quelques-uns qui ont l'air d'aimer compliquer les choses. Je ne peux pas dire s'ils sont communistes ou non. Un de ces types, actuellement, c'est Howard Da Silva. On a l'impression qu'il a toujours quelque chose à dire au mauvais moment ».

Il eut pour première épouse l'actrice Barbara Stanwyck, avec laquelle il partageait un ranch et une grande maison à Brentwood (Los Angeles). Ce ranch est encore connu sur place comme l'ancien ranch de Robert Taylor. Taylor et Stanwyck formaient un des couples les plus en vue d'Hollywood, et ils avaient pour amis un autre couple de stars, celui de Clark Gable et Carole Lombard. Ce mariage dura, avec des hauts et des bas, de 1939 à 1951. Robert Taylor eut aussi des aventures avec Ava Gardner et Lana Turner.

Il pensa plusieurs fois se remarier avec Barbara Stanwyck après leur divorce, et eut aussi une relation sérieuse avec Eleanor Parker, mais finit par épouser en secondes noces l'actrice d'origine allemande Ursula Thiess. Ils se marièrent en 1954 et eurent deux enfants. Il forma un couple bien assorti avec Ursula Thiess, une réfugiée de la Seconde Guerre mondiale qui faisait encore elle-même ses robes, même pour aller à des galas. Il fumait beaucoup, et mourut d'un cancer du poumon à l'âge de 57 ans. Il fut enterré à Glendale, en Californie. Le tout-Hollywood assista à ses funérailles, où son meilleur ami Ronald Reagan fit son éloge funèbre.

Filmographie

  • 1934 : Handy Andy de David Butler : Lloyd Burmeister
  • 1934 : The Spectacle Maker de John Farrow : The Duchess's Paramour (non crédité)
  • 1934 : There's Always Tomorrow de Edward Sloman : Arthur White
  • 1934 : Une méchante femme (A Wicked Woman) de Charles Brabin : Bill Renton, Yancey's Love
  • 1935 : Buried Loot de George B. Seitz : Albert 'Al' Douglas (court métrage)
  • 1935 : Médecin mondain (Society Doctor) de George B. Seitz : Dr. Tommy 'Sprout' Ellis
  • 1935 : Times Square Lady de George B. Seitz : Steven J. 'Steve' Gordon
  • 1935 : Tel père tel fils (West Point of the Air) de Richard Rosson : 'Jasky' Jaskarelli
  • 1935 : Meurtre dans la marine (Murder in the Fleet) d'Edward Sedgwick : Lt. Tom 'Tommy' Randolph
  • 1935 : La Fiesta de Santa Barbara de Louis Lewyn : lui-même (court métrage)
  • 1935 : La Naissance d'une étoile (Broadway Melody of 1936) de Roy Del Ruth : Robert Gordon
  • 1935 : Le Secret magnifique (Magnificent Obsession) de John Stahl : Dr. Robert Merrick
  • 1936 : La Petite Provinciale (Small Town Girl) de William A. Wellman : Dr. Robert 'Bob' Dakin
  • 1936 : Une certaine jeune fille (Private Number) de Roy Del Ruth : Richard Winfield
  • 1936 : La Fièvre des tropiques (His Brother's Wife) de W.S. Van Dyke : Chris Claybourne
  • 1936 : L'Enchanteresse (The Gorgeous Hussy) de Clarence Brown : Lt. Timberlake
  • 1936 : Le Roman de Marguerite Gautier (Camille) de George Cukor : Armand Duval
  • 1937 : Valet de cœur (Personal Property) de W.S. Van Dyke : Raymond Dabney aka Ferguson
  • 1937 : Sa dernière chance (This Is My Affair) de William A. Seiter : Lt. Richard Perry
  • 1937 : Lest We Forget de Henry Hathaway et Richard Thorpe (court métrage)
  • 1937 : Le Règne de la joie (Broadway Melody of 1938) de Roy Del Ruth : Stephan 'Steve' Raleigh
  • 1938 : Vive les étudiants (A Yank at Oxford) de Jack Conway : Lee Sheridan
  • 1938 : Trois camarades (Three Comrades) de Frank Borzage : Erich Lohkamp
  • 1938 : La Foule en délire (The Crowd Roars) de Richard Thorpe : Thomas 'Tommy' / 'Killer' McCoy
  • 1939 : Trafic d'hommes (Stand Up and Fight) de W.S. Van Dyke : Blake Cantrell
  • 1939 : Lucky Night (en) de Norman Taurog : William 'Bill' Overton
  • 1939 : La Dame des tropiques (Lady of the Tropics) de Jack Conway : William 'Bill' Carey
  • 1939 : Remember? de Norman Z. McLeod : Jeffrey 'Jeff' Holland
  • 1940 : La Valse dans l'ombre (Waterloo Bridge) de Mervyn Le Roy : Roy Cronin
  • 1940 : Escape de Mervyn Le Roy : Mark Preysing
  • 1940 : L'Appel des ailes (Flight Command) de Frank Borzage : Ensign Alan Drake
  • 1941 : Billy the Kid le réfractaire (Billy the Kid) de David Miller : Billy Bonney
  • 1941 : Duel de femmes (When Ladies meet) de Robert Z. Leonard : Jimmy Lee
  • 1942 : Johnny, roi des gangsters (Johnny Eager) de Mervyn Le Roy : John 'Johnny' Eager
  • 1942 : Her Cardboard Lover de George Cukor : Terry Trindale
  • 1942 : Le Cargo des innocents (Stand by for Action) de Robert Z. Leonard : Lieut. Gregg Masterman
  • 1943 : Primary Flight Instruction: Stearman N2-S Part 2 : Instructor
  • 1943 : Primary Flight Instruction: Stearman N2-S Part 1 : Instructor
  • 1943 : Bataan de Tay Garnett : Sergeant Bill Dane
  • 1944 : Song of Russia de Gregory Ratoff : John Meredith
  • 1946 : Lame de fond (Undercurrent) de Vincente Minnelli : Alan Garroway
  • 1947 : Le Mur des ténèbres (High Wall) de Curtis Bernhardt : Steven Kenet
  • 1949 : Embuscade (Ambush) de Sam Wood : Ward Kinsman
  • 1949 : L'Île au complot (The Bribe) de Robert Z. Leonard : Rigby
  • 1949 : Guet-apens (Conspirator) de Victor Saville : Maj. Michael Curragh
  • 1950 : La Porte du diable (Devil's Doorway) d'Anthony Mann : Lance Poole
  • 1951 : Quo Vadis de Mervyn Le Roy : Marcus Vinicius
  • 1951 : Convoi de femmes (Westward the Women) de William A. Wellman : Buck Wyatt
  • 1952 : Ivanhoé (Ivanhoe) de Richard Thorpe : Ivanhoe
  • 1952 : Le Grand Secret (Above and Beyond) de Melvin Frank et Norman Panama : Col. Paul W. Tibbets, 509th Composite Group CO (pilot of Enola Gay)
  • 1953 : Les Chevaliers de la Table ronde (Knights of the Round Table) de Richard Thorpe : Lancelot
  • 1953 : Cupidon photographe (I Love Melvin) de Don Weis : Cameo appearance in Judy's Dream
  • 1953 : Vaquero (Ride, Vaquero ! ) de John Farrow : Rio
  • 1953 : La Perle noire (All the Brothers Were Valiant) de Richard Thorpe : Joel Shore
  • 1954 : La Vallée des Rois (Valley of the Kings) de Robert Pirosh : Mark Brandon
  • 1954 : Sur la trace du crime (Rogue Cop) de Roy Rowland : Det. Sgt. Christopher Kelvaney
  • 1955 : L'Aventure fantastique (Many Rivers to Cross) de Roy Rowland : Bushrod Gentry
  • 1955 : Les Aventures de Quentin Durward (The Adventures of Quentin Durward) de Richard Thorpe : Quentin Durward
  • 1956 : La Dernière chasse (The Last Hunt) de Richard Brooks : Charlie Gilson
  • 1956 : Au sixième jour (D-Day the Sixth of June) de Henry Koster : Capt. Brad Parker
  • 1956 : Les Grands de ce monde (The Power and the Prize) de Henry Koster : Cliff Barton
  • 1957 : Contrebande au Caire (Tip on a Dead Jockey) de Richard Thorpe : Lloyd Tredman
  • 1958 : Libre comme le vent (Saddle the Wind) de Robert Parrish : Steve Sinclair Double S Owner
  • 1958 : Le Trésor du pendu (The Law and Jake Wade) de John Sturges : Jake Wade
  • 1958 : Traquenard (Party Girl) de Nicholas Ray : Thomas 'Tommy' Farrell
  • 1959 : Le Bourreau du Nevada (The Hangman) de Michael Curtiz : Mackenzie Bovard
  • 1959 : La Maison des 7 faucons (The House of the Seven Hawks) de Richard Thorpe : John Nordley
  • 1959 : Les Aventuriers du Kilimandjaro (Killers of Kilimanjaro) de Richard Thorpe : Robert Adamson
  • 1963 : The Dick Powell Show (série TV)
  • 1963 : Le Grand Retour (Miracle of the White Stallions) d'Arthur Hiller : Col. Podhajsky
  • 1963 : Les Ranchers du Wyoming (Cattle King) de Tay Garnett : Sam Brassfield
  • 1964 : La Maison de Madame Adler (A House Is Not a Home) de Russell Rouse : Frank Costigan
  • 1964 : Celui qui n'existait pas (The Night Walker) de William Castle : Barry Moreland
  • 1966 : Johnny Tiger de Paul Wendkos : George Dean
  • 1966 : La Pampa sauvage (Savage Pampas) de Hugo Fregonese : Captain Martín
  • 1967 : La Sfinge d'oro de Luigi Scattini : Prof. Karl Nichols
  • 1967 : Le Justicier de l'Arizona (Return of the Gunfighter) de James Neilson : Ben Wyatt
  • 1967 : Hondo and the Apaches (TV) : Gallagher
  • 1968 : Le Rouble à deux faces d'Étienne Périer : Anderson
  • 1968 : Where Angels Go, Trouble Follows de James Neilson : M.. Farraday
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